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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Le massage balinais pour une relaxation douce et profonde
Introduction et bref historique du massage balinais
Le massage balinais est à l’image des habitants de Bali, c’est-à-dire profond, doux et tendre. Il peut s’illustrer de différentes manières mais s’intéresse, dans tous les cas, à la santé du corps et de l’esprit.
Histoire
Résultat de la combinaison de deux cultures – de part sa situation géographique -, le massage balinais trouve ses origines, à la fois, chez les Indiens, avec leur médecine ayurvédique, et chez les Chinois, avec leur médecine énergétique. La tradition ancestrale se traduit, soit par le URUT, destiné à détendre les articulations, soit par le PIJAT, aux techniques plus douces et apaisant également l’esprit. Utilisé depuis des siècles, chez les paysans comme chez les rois, le massage balinais s’attache, avant tout, à effacer les souffrances physiques et spirituelles. A noter que l’archipel de l’Indonésie compte plus de 17 500 îles : par conséquent, cette technique ancestrale connaît de nombreuses variantes même si toutes s’accordent à soigner aussi bien le corps que l’esprit : le massage sasak, lombok, urat, mais aussi le boreh balinais ou encore, le rituel javanais lulur.
Massage balinais : techniques et bienfaits
Techniques
Dans la plus pure tradition orientale, le massage balinais débute par une prière. Le thérapeute procède ensuite à une succession de gestes, afin de relaxer le corps et ouvrir l’esprit. Ensuite, il poursuit le travail de décontraction, par des mouvements de pétrissages et de pressions sur les méridiens. Enfin, il termine son action par des étirements doux, agrémentés de légères percussions. En d’autres termes, il s’agit d’une solution combinant la douceur et la tonicité, pour une détente optimale teintée d’effets dynamisants.
Bienfaits
Le massage balinais agit sur le système nerveux, hormonal et digestif, pour harmoniser l’ensemble et permettre le retour à l’équilibre parfait, entre le corps et l’esprit. Plus concrètement, il soulage les migraines, les douleurs musculaires et articulaires, ainsi que les troubles du sommeil et la dépression. Par la stimulation de la circulation, il diminue également le stress. Le massage balinais est, enfin, efficace contre les blessures sportives, puisqu’il utilise des techniques d’accupression et de réflexologie.
Spécificités
Le massage balinais cherche surtout à équilibrer le corps et l’esprit, de manière à faire circuler harmonieusement l’énergie, sans que cette dernière ne rencontre d’obstacles. Il est particulièrement préconisé pour les grands sportifs, sujets aux douleurs musculaires et aux courbatures. Sa douceur conjuguée à son intensité permet de soulager durablement – et en profondeur - les contractions et dénouer le corps, pour un retour à l’équilibre et au bien-être.
Comment se déroule une séance de massage balinais ?
Déroulement
d'une séance La séance débute par un massage dynamisant : vous êtes, alors, en position allongée, enduit d’huiles essentielles. Le masseur procède, ensuite, aux pétrissages et aux frictions, de la tête aux pieds, en utilisant le bout de ses doigts mais aussi ses avant bras. La seconde phase est plus relaxante, se traduisant par des mouvements d’étirements doux, agrémentés de quelques légères pressions sur certains points du corps. Enfin, la séance s’achève par un remodelage de la tête et du corps et plus particulièrement du dos.
Durée
Le massage balinais est prodigué – en moyenne – pendant une heure, même s’il est possible d’ avoir des séances plus courtes (30 ou 45 minutes) ou plus longues (90 minutes).
Recommandations
Cette technique de relaxation extrême utilise des huiles essentielles. Utilisées et diffusées tout au long de la séance, elles sont sélectionnées minutieusement en fonction de leur senteur mais aussi de la température de la pièce. Traditionnellement, il est d’usage de recourir à des huiles essentielles à fortes odeurs, comme la rose, le bois de santal, l’ylang-ylang, le jasmin ou encore, le cempaka, le coco ou la fleur de frangipanier.
La graine de Chia fait partie de ces « nouveaux » aliments, redécouverts récemment, mais qui sont en fait cultivés et utilisés depuis des millénaires. Nous vous proposons donc de (re)découvrir cette petite graine qui, sans aucune préparation préalable, se glisse facilement dans tous vos plats et vous apporte acides gras essentiels, fibres et antioxydants.
Le chia, qu’est ce que c’est ?
Petit historique de la graine de chia Les premières traces de cette graine remontent à l’époque précolombienne, en Amérique du Sud. Elle était grillée ou moulue et représentait la troisième source alimentaire végétale, après le maïs et les haricots ; elle était alors dégustée sous forme de boisson ou de galette. Outre ses qualités nutritives, les Aztèques appréciaient également ses propriétés curatives, notamment pour le traitement des infections. Cette graine était considérée comme très énergétique et représentait l’alimentation principale des guerriers. Tombé dans l’oubli après l’invasion espagnole et la disparition des populations indigènes, le chia est « redécouvert » dans les années 90 grâce à une entreprise américaine (Core Natural LLC) qui obtient un brevet pour cultiver une variété de chia, le Salba®. Depuis, le chia est de nouveau cultivé en Amérique du Sud (Argentine et Pérou), aux USA et en Australie où il a su convaincre et séduire. Cette petite graine arrive seulement depuis peu en France et en Europe et ne cesse de faire parler d’elle depuis… A raison !
Fiche d’identité chia
Les graines de chia sont petites (de la taille des graines de pavot environs) et de couleur foncée, mais certaines variétés sont blanches, beiges ou grisâtres. La couleur du grain n’a pas d’influence sur sa valeur nutritive, mais le chia pâle aura un goût neutre, tandis que le foncé aura un goût plus prononcé.
La graine de chia est :
– Riche en protéines : entre 22 à 30%, dont tous les acides aminés essentiels (AAE)
– Riche en fibres : 30% de fibres, solubles pour la plupart
A savoir : Les fibres solubles contribuent à abaisser le taux de cholestérol, de ralentir l’absorption du glucose dans le sang (en modérant la sécrétion d’insuline) ; les fibres insolubles sont, elles, les plus efficaces en cas de constipation, car elles accélèrent le transit intestinal.
– Très riche en antioxydants (notamment la vitamine E), ce qui rend sa conservation plus stable que la graine de lin.
– Source de vitamines et minéraux. (pour 100 gr de chia) : 500 mg de calcium, 535 mg de phosphore, 290 mg de magnésium, potassium, 6,5 mg de fer, 3,49 mg de zinc & cuivre, et contient peu de sodium (moins de 0,2 mg).
– Riche en Oméga 3 (de type AAL) : 16 à 20%
– Contient des oméga 6 (de type AGL) : 5 % à 8 %
– Ne contient pas de gluten
Ainsi, on retient des graines de chia qu’elles sont riches en fibres et en acides gras essentiels oméga 3 et oméga 6. On les apprécie également pour leur bonne activité anti-oxydante.
Attention toutefois à l’exagération des bienfaits de la graine de chia, le site passeport-santé pointe intelligemment les dérives de sa comparaison avec le lait ou le saumon.
Pourquoi on l’aime ?
Effets du Chia sur la santé Une étude menée sur des patients atteint de diabète de type 2 a montré, entre autre, une amélioration de leur taux de glycémie (limitation de l’augmentation habituelle de la glycémie après le repas) ainsi qu’une réduction de certains facteurs de risques cardiovasculaires (diminution du taux de protéines C réactive, diminution de la pression artérielle…).
Une ration de chia vous assure l’apport quotidien recommandé par l’OMS en oméga 3 et oméga 6 d’origine végétale.
Sa grande teneur en antioxydants vous aidera à lutter contre les radicaux libres.
En revanche, aucune étude n’a prouvé un quelconque effet lié à la perte de poids chez les personnes obèses ou en surpoids.
Comment consommer le chia ?
boissonCes petites graines peuvent se consommer telles quelles : simplement ajoutées dans un bol de céréales ou un yaourt, saupoudrées sur une salade ; à la manière des Aztèques, vous pouvez la moudre et l’ajouter alors à une boisson ou smoothie. Le chia peut également entrer dans la confection de gâteaux ou de biscuits. Il est aussi possible de préparer une sorte de « porridge » de chia en faisant tremper les graines dans de l’eau ou du lait.
Les végétaliens et/ou les intolérants aux oeufs peuvent remplacer l’effet liant de l’œuf avec des graines de chia mises à tremper entières dans un peu d’eau ou directement dans les ingrédients humides. Quand on met le chia entier, on doit attendre un peu, le temps que les fibres absorbent l’eau & que la consistance de l’oeuf se forme (environ 40 minutes).
Au final, consommée chaque jour, la graine de chia représente un vrai petit coup de pouce nutritionnel qui soutient efficacement les bienfaits d’une alimentation variée et équilibrée.
La vaccination contre la grippe accuse une baisse préoccupante et continue.
Entre 2009 et 2012, la couverture vaccinale des personnes à risque est en effet passée de 60 % à 50 %.
Le taux de couverture vaccinale a encore diminué par rapport à la précédente campagne :
50,1 % en 2012, contre 51,7 % en 2011.
Cette baisse du nombre de vaccination observée depuis plusieurs année touche l'ensemble des catégories de population à risque.
A noter un recul préoccupant de la vaccination des 65-69 ans (53,7 % en 2008 contre 38,7 % en 2012) et des personnes qui souffrent d'affection de longue durée (49 % en 2008 contre 32,1 % en 2012).
Deux catégories qui sont particulièrement vulnérables et qui doivent être protégées en priorité des complications sévères de la grippe
En revanche, les personnes asthmatiques et qui souffrent de BPCO, affichent un bien meilleur taux de vaccination.
Les Français se font moins vacciner
Taux global de vaccination : 51,7 %
Catégories 65-69 ans 70 ans et + Asthme et BPCO
Assurance Maladie
Taux de couverture vaccinale 2012 38,7 % 59 % 52,1 %
Taux de couverture vaccinale 2011 41,8 % 60,1 % 33 %
Chez les populations pour lesquelles la vaccination contre la grippe est recommandée, la couverture vaccinale est nettement inférieure à l'objectif national et européen d'au moins 75%...
Un phénomène qui peut s'expliquer au moins en partie par une minimisation du risque de la grippe, conjuguée à une perte de confiance dans l'efficacité de la vaccination. De fait, aujourd'hui, un Français sur 5 (21%) considère qu'il est plus dangereux de se faire vacciner que d'avoir la grippe.
L'Assurance maladie relance sa campagne de vaccination contre la grippe saisonnière.
Elle se déroule du 11 octobre 2013 au 31 janvier 2014. n'attendez pas le début de l'épidémie pour vous faire vacciner ! N'attendez pas le début de l'épidémie pour vous faire vacciner !Si vous êtes concerné, vous avez dû (ou allez) recevoir un bon pour vaccin gratuit directement dans votre boîte aux lettres. En échange de celui-ci, vous pouvez vous faire délivrer directement le vaccin par votre pharmacien et vous faire vacciner par une infirmière ou votre médecin, sans prescription médicale préalable (sauf si vous ne vous êtes jamais fait vacciner, à ce moment-là la prescription par le médecin reste obligatoire).
Cet accès simplifié aux non primo-vaccinants a progressé en 2012 avec l'utilisation de ce dispositif par les trois quarts de la population concernée (73,6 % en 2012, 72,5 % en 2011). » Exception pour les femmes enceintes qui ne sont pas atteintes d'une maladie chronique et pour les personnes atteintes d'une obésité sévère, qui doivent se rendre chez leur médecin traitant pour avoir une prescription. A noter : il faut compter environ 15 jours entre la vaccination et le moment où l'organisme est protégé contre la grippe.
Qui peut se faire vacciner gratuitement contre la grippe ? »
Les plus de 65 ans. »
Les personnes souffrant de certaines affections de longue durée (ALD) exonérantes : diabète, AVC invalidant, néphropathies chroniques graves, mucoviscidose, insuffisance cardiaque, drépanocytose, déficit immunitaire primitif grave, etc. »
Les personnes atteintes d'asthme ou de broncho-pneumopathie chronique obstructive, quel que soit leur âge. »
Le calendrier vaccinal intègre depuis 2012 les femmes enceintes quel que soit le trimestre de grossesse et les personnes obèses, avec un indice de masse corporel supérieur ou égal à 40, qui peuvent donc bénéficier d'un vaccin gratuit. »
Depuis 2013, les personnes atteintes d'une hépatopathie chronique avec ou sans cirrhose prises en charge à 100% au titre d'une ALD sont également invitées à se faire vacciner. »
Avant 65 ans, rien ne vous empêche de vous faire malgré tout vacciner. Cela peut être utile aux personnes désirant éviter une gêne personnelle ou professionnelle occasionnée par la grippe.
En effet, si les symptômes de la grippe s'estompent en moins d'une semaine, elle peut être suivie d'une période de fatigue de plusieurs semaines.
La plante qui combat le cancer et dont personne ne parle
L'arbre Graviola vient des profondeurs de la forêt amazonienne.Des recherches en laboratoire ont montré que des extraits de cette plante miraculeuse peut lutter contre le cancer avec un traitement entièrement naturel qui ne provoque ni nausées, ni perte de poids et ni perte de cheveux, de protéger le système immunitaire et d'éviter les infections mortelles, les personnes se sentent plus forts et plus sains tout au long du traitement, plus d'énergie et améliore la vision de la vie.
Sur internet il suffit de taper «antibiotiques naturels» et immédiatement une avalanche de résultats indiquant :
" La Graviola fonctionne à merveille, est une plante qui pourrait nous sauver du cancer" graviola Graviola est un petit arbre typique des régions tropicales chaudes caractérisées par de grandes feuilles vertes et des fruits comestibles jaune-vert, vendus sur les marchés d'Amérique du Sud sous le nom de Guanabana et utilisé dans la préparation de certaines boissons.
Les résultats ont permis d'identifier les ingrédients actifs spécifiques appelées Annonaceae acétogénines, les protagonistes des propriétés biologiques de cette plante.
Les résultats encourageants observés dans un court laps de temps a conduit à une expérimentation en plein essor qui compte aujourd'hui plus de 600 études avec d'excellents résultats et qui, malheureusement, n'a pas été accompagnée par une utilisation tout aussi valable dans un cadre cliniquement possible.
Le fruit ressemble à une fragolone vert et sa saveur est agréable. C'est un fruit naturel et sans effets secondaires. Cette plante a de nombreux avantages anti-cancer.
C'est également un agent antimicrobien, contre les infections, les infections bactériennes et fongiques, abaisse la pression artérielle, il est utilisé pour les troubles de la dépression, le stress et nervosité Depuis 1976, Graviola s'est avéré être un tueur de cancer extrêmement puissant dans 20 tests de laboratoires indépendants
.Une étude publiée dans le Journal of Natural Products, suite à une enquête similaire menée par l'Université catholique de Corée du Sud a déclaré que Graviola peut tuer sélectivement les cellules cancéreuses du côlon avec une capacité supérieure à 10.000 médicamenst de chimiothérapie couramment utilisé comme l'Adriamycine.
Le rapport de l'Université catholique de Corée du Sud a déclaré que Graviola pouvait cibler sélectivement les cellules cancéreuses, laissant intactes les cellules saines, contrairement à la chimiothérapie, qui visent indistinctement toutes les cellules qui se reproduisent activement et provoque des effets secondaires souvent dévastateurs, des nausées et perte de cheveux chez les patients cancéreux.
Une étude menée à l'Université de Purdue à Lafayette (États-Unis) a récemment découvert que les feuilles de l'arbre Graviola tuer les cellules cancéreuses chez six lignées cellulaires humaines et sont particulièrement efficaces contre les cancers de la prostate, du pancréas et du poumon.
Le corossol (son nom en anglais), connu en Italie comme le fruit de Graviola est donc un remède miracle (et naturel) pour éradiquer les cellules cancéreuses, 10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie. Les tests de laboratoire effectués depuis 1970 ont montré son efficacité, et tuer les cellules malignes dans 12 types de cancer, y compris le côlon, du sein, de la prostate, du poumon et du pancréas, et est jusqu'à 10.000 fois plus forte en ralentissant la croissance des cellules cancéreuses par rapport à «l'Adriamycine, un médicament de chimiothérapie couramment utilisé dans le traitement du cancer.
Contrairement à la chimiothérapie, le composé extrait de «l'arbre Graviola seulement tue les cellules cancéreuses sans nuire aux cellules saines. Une importante société pharmaceutique américaine a alors investi près de sept ans à essayer de synthétiser deux des ingrédients anti-cancer Graviola.
Mais il n'a pas été possible de synthétiser en aucune façon les ingrédients actifs de Graviola contre le cancer. L'original tout simplement n'a pas pu être reproduit.
Il n'y avait aucune façon dont la société pharmaceutique en question avait été en mesure de protéger leurs propres intérêts, et récupérer l'argent investi dans la recherche.
Cette société pharmaceutique a abandonnée le projet et a alors décidée de ne pas publier les résultats de ses recherches
Le National Cancer Institute a effectué la première recherche scientifique en 1976. Les résultats ont montré que les feuilles et les tiges de Graviola se sont révélés efficaces pour attaquer et détruire les cellules malignes. Inexplicablement, les résultats ont été publiés dans un rapport interne, mais jamais rendus publics.
Source : http://voceuniversale.myblog.it/archive/2013/07/27/la-pianta-che-combatte-il-cancro-e-di-cui-nessuno-parla-5535319.html
Il y a plus de 4 millions d’asthmatiques en France et l’asthme est la première maladie chronique de l’enfant.
Comment éviter les crises d’asthme et améliorer son quotidien ?
Conseils.
Maladie inflammatoire, l’asthme se traduit par des difficultés à respirer, des sifflements, une sensation d’oppression thoracique et une toux irritante. Si 4 millions de personnes sont touchées par cette affection en France, elle représente 1000 décès par an chez les moins de 65 ans et constitue la première maladie chronique de l’enfant. Si une allergie au pollen ou une simple promenade à la campagne peuvent être responsables d’un asthme occasionnel, la maladie peut également être persistante au quotidien ! Pour éviter d’exacerber la sensibilité des asthmatiques, il est conseillé d’adopter des réflexes simples. Evitez si possible tout contact avec des allergènes et les substances polluantes : fumées, gaz d’échappement, bombes aérosols. Un simple rhume ou la prise de médicaments spécifiques pour traiter un virus peuvent également déclencher une crise mais aussi le stress et l’alimentation. Alors rendez-vous régulièrement chez votre médecin traitant. Apprendre à bien connaître les facteurs de déclenchement de son asthme permet de prévenir l’apparition d’une crise.
Que ressent le malade ?
Le mot le plus utilisé est « oppression ».
L’asthmatique en crise a des difficultés à inspirer et surtout à expirer l’air contenu dans ses poumons, comme s’il respirait au travers d’une petite paille. Un sifflement accompagne cette gêne et témoigne du rétrécissement de ses bronches. L’air est emprisonné dans la poitrine, le thorax est bloqué. Cette sensation s’accompagne d’une toux irritante et quelquefois d’un sentiment d’anxiété. Elle ne peut pas se comparer à l’essoufflement dû à l’effort, bien que l’exercice puisse provoquer une crise chez certains asthmatiques.
Que se passe-t-il dans les poumons lors d’une crise d’asthme ?
Lors de certaines circonstances dont nous avons parlé, l’asthmatique ressent une oppression du thorax, une respiration sifflante, une toux et un essoufflement quelquefois angoissants. Que se passe-t-il alors dans ses poumons ? Normalement, lors de l’inspiration, l’air est amené dans les alvéoles pulmonaires pour apporter au sang et aux cellules l’oxygène dont nous avons besoin. Il y est conduit par un système de tuyaux (la trachée et les bronches) entourés de muscles (comme des lacets). Le conduit le plus gros qui va du larynx aux bronches est la trachée. La trachée se divise en deux bronches-souches droite et gauche et chacune de celles-ci se divise encore plusieurs fois et devient de plus en plus étroite. Chez une personne en bonne santé, les bronches restent suffisamment ouvertes pour permettre une inspiration et une expiration libres et faciles, ne demandant aucun effort particulier. Lorsqu’une crise est déclenchée par les différents facteurs dont nous avons parlé (allergie, irritations, infection virale), il se produit une contraction des muscles et une inflammation plus ou moins importante à la surface des bronches, ce qui engendre un rétrécissement des voies respiratoires. L’air ne passe plus que difficilement.
L’asthme peut être occasionnel ou persistant
Certains asthmes sont déclenchés occasionnellement dans des conditions bien précises : lieux de travail , contact avec un animal, promenade à la campagne au moment où les pollens sont dans l’air. Il s’agit d’un asthme intermittent. Dans d’autres cas l’asthme est présent tout au long de l’année. Il est alors persistant et plus ou moins sévère. Les causes en sont souvent multiples. Quel que soit le mécanisme de déclenchement, l’asthme est reconnu aujourd’hui comme une maladie inflammatoire : d’où l’importance des médicaments anti-inflammatoires dans le traitement quotidien de l’asthme et pour guérir des crises aigues. Dans l’état actuel de nos connaissances sur la maladie, on ne peut pas parler de guérison définitive. Mais la vie des asthmatiques a été transformée grâce aux progrès très importants de son traitement depuis 30 ans. Il existe actuellement des médicaments efficaces qui permettent un contrôle total des signes de l’asthme. Un asthmatique doit pouvoir vivre normalement s’il est bien suivi et bien traité.
L’asthme est souvent imprévisible
L’oppression, le sifflement et la toux de l’asthmatique sont de fréquence et d’intensité variables. Les crises peuvent être de courte durée ou persister plusieurs jours. Dans ce cas il s’agit alors d’une » attaque d’asthme « . Ces manifestations peuvent être liées à des facteurs déclenchants précis, ou apparaître sans raison évidente. Entre les crises, un essoufflement peut persister et chez certains asthmatiques, souvent les plus âgés, il peut devenir permanent et plus ou moins intense. On parle alors d’asthme persistant. Il s’agit alors d’un « asthme à dyspnée continue ».
L’asthme est sensible à plusieurs facteurs.
L’asthme est dû à une sensibilité exagérée des bronches à plusieurs facteurs. On parle « d’hyperréactivité bronchique non-spécifique ». Cela explique qu’une crise puisse survenir dans différentes situations :
Contact avec un allergène: acariens, pollens, animaux…
Inhalation de substances polluantes : fumées, gaz d’échappement, bombes aérosols, peintures…
Viroses : un simple rhume peut provoquer au bout de quelques jours d’évolution l’apparition d’une crise.
Prise de certains médicaments : aspirine ou anti-inflammatoires non stéroïdiens, médicaments contre l’hypertension, certains collyres… Ingestion d’un aliment : une allergie alimentaire peut provoquer une véritable crise d’asthme.
Le stress. Ces différents facteurs interviennent en proportion variable d’un sujet à l’autre. Chez une même personne, ils peuvent également intervenir en proportion variable en fonction de l’évolution de l’asthme.
« Le stress est-il responsable de mon asthme ? » est une question souvent posée par les asthmatiques. Il est réel que l’anxiété, le stress et les soucis peuvent aggraver un asthme existant, mais n’est pas asthmatique qui veut et l’asthme n’existe pas exclusivement dans la tête !
Il existe une variation naturelle de l’asthme qui coïncide avec notre rythme du sommeil. Il est plus important aux premières heures du jour (entre 3 et 5 heures du matin). L’asthmatique est alors réveillé par des quintes de toux ou une respiration sifflante. Il peut aussi être oppressé au lever, même si le sommeil n’a pas été perturbé. C’est en milieu d’après-midi que l’asthmatique se sent le mieux.
L’activité physique est un des facteurs déclenchants de l’asthme, particulièrement chez l’enfant et l’adolescent. En effet, une crise peut apparaître à la suite d’un effort intense et peut durer un quart d’heure ou plus. Cet asthme dû à l’exercice est plus intense quand l’air frais est froid et sec, et qu’il est respiré par la bouche.
Mieux vivre son asthme grâce à l’éducation thérapeutique.
Ce n’est pas toujours facile de s’y retrouver lorsqu’on a de l’asthme. Certes, il existe des médicaments très efficaces pour contrôler la maladie, mais la personne doit néanmoins respecter un cahier des charges assez lourd :
bien connaître ses symptômes pour prévoir et éviter l’apparition d’une crise, savoir surveiller son souffle, aménager son environnement, savoir utiliser correctement ses médicaments…
Tout cela ne va pas de soi, et l’asthmatique se sent parfois seul et démuni devant tous ces comportements à adopter, d’autant plus que le médecin n’a pas toujours suffisamment de temps pour aborder tous ces sujets lors de la consultation. C’est pourquoi, depuis plusieurs années, il existe des écoles de l’asthme dont l’objectif est précisément d’accueillir les personnes malades et de les aider à acquérir des compétences. Les écoles de l’asthme ne proposent pas des cours théoriques et compliqués ou des groupes de parole mais plutôt des ateliers interactifs permettant d’acquérir des connaissances ou des savoirs immédiatement applicables dans la vie de tous les jours.
L’éducation des patients proposée dans les écoles de l’asthme est réellement considérée aujourd’hui comme faisant partie intégrante du traitement car elle a largement prouvé son efficacité. En effet, il existe de nombreuses études par le monde qui ont montré que les personnes asthmatiques ayant bénéficié de l’éducation s’en sortent beaucoup mieux : leur asthme est mieux contrôlé, elles ont moins de crises, moins de gênes respiratoires la nuit, sont moins souvent hospitalisées et ont moins d’absences à l’école ou au travail. Ces résultats ont conduit les autorités de santé françaises (HAS www.has-sante.fr , DGS www.sante.gouv.fr ) à mener une réflexion afin d’inciter les professionnels de santé à mettre en place des structures d’éducation et encourager les malades à participer à ces formations. Souhaitons que l’offre d’éducation s’élargisse afin que chaque asthmatique puisse trouver une école de l’asthme proche de son domicile. Souhaitons que cette éducation, aujourd’hui dispensée par des professionnels de santé encore trop souvent bénévoles, soit enfin officiellement reconnue comme un acte de soins et bénéficie ainsi d’une prise en charge par l’Assurance Maladie. Nous avons bon espoir car il existe des signes encourageants (notamment le plan ministériel sur la qualité de vie dans les maladies chroniques).
Les pertes de mémoire peuvent survenir à tout âge, et cela peut affecter votre travail et votre vie personnelle. L’on se souvient tous des moyens mnémotechniques que l’on utilisait à l’école (Est-ce que « Never Eat Shredded Wheat » vous a aidé à passer en CE2 ? ), mais en réalité les astuces pour améliorer la mémoire peuvent nous servir en dehors de l’école.
A l’âge adulte, il y a un certain nombre d’outils simples et pratiques qui nous aident à nous souvenir du nom des gens, ou bien à arrêter d’oublier où l’on a garé notre voiture et où l’on a laissé nos clés.
8 Trucs pour une bonne mémoire se souvenir de tout (ou presque) !
Comme l’écrivait le poète et romancier Max Jacob, « l’érudition, c’est la mémoire et la mémoire, c’est l’imagination ».
Aujourd’hui plus qu’hier, et ce d’autant plus à l’heure où les distractions numériques et le multitâche prennent le pas sur nos cerveaux, le travail sur la mémoire et la remémoration semble d’une importance cruciale.
Souvenons-nous d’ailleurs du philosophe Cicéron, pour qui la mémoire était « trésor et gardien de toutes les choses ». Pour ne pas perdre cet atout précieux et entacher la mémoire de travail..
-visualiser pour mieux mémoriser:
Vous avez besoin que votre cerveau imprime une liste de mots ou de noms ? Une chose est sûre : vous vous en souviendrez nettement mieux si chacun d’entre eux sont associés à une image, surtout si vous avez une mémoire visuelle (comme environ 65% de la population).
Ainsi, si vous avez un rendez-vous à 4h30, vous pourriez par exemple penser à votre quatuor favori (au hasard, les Beatles ?) et au gâteau d’anniversaire de vos 30 ans. Cela peut paraître idiot, mais vous nous remercierez quand vous serez pile à l’heure.
Entraîner avec un jeu de réflexion: images Ce n’est pas une idée reçue :
Les jeux qui stimulent le cerveau comme le Sudoku ou les mots-croisés peuvent se révéler utiles.il y a aussi des exercices disponibles sur ordinateur ou sur smartphone. C’est le cas de Lumosity, un jeu développé par des neuroscientifiques dont la promesse est d’améliorer la mémoire de 97 % des utilisateurs au bout de seulement 10 heures de jeu.
Utilisez la technique Cicéron: aujourd’hui baptisée Méthode de Loci ou encore « méthode des lieux » pour se souvenir des choses et des informations. utilise le pouvoir des images en tant que support (dans ce cas, des lieux physiques) et des relations spatiales mémorisées pour retenir une information.
En pratique, vous pouvez tenter l’expérience en traversant dans votre tête les pièces de votre domicile, ensuite, souvenez-vous de l’information propre à chaque pièce en retournant dans chacune d’entre elles.
Adoptez la méthode Boulanger-boulanger : maturite psychologique
Dans une expérience psychologique connue sous le nom du paradoxe de Boulanger-boulanger (Baker-baker) les sujets ont été séparés en deux groupes et on leur a montré la photographie d’un homme. Pour l’un des groupes, les psychologues ont indiqué que le nom de famille de celui-ci était Boulanger, à l’autre que sa profession était boulanger. Or, quand la photo de l’homme leur a de nouveau été présentée et qu’ils devaient alors se souvenir du mot associé, les sujets à qui on avait parlé du métier ont mieux réussi à se le remémorer, contrairement aux autres.
Faites une bonne sieste: micro-sieste-6593 Voilà un bon argument pour mettre votre travail de côté pendant une heure cet après-midi : faire une bonne sieste peut booster l’apprentissage et la mémoire.
Des spécialistes du sommeil de la NASA ont constaté que faire la sieste améliorait considérablement la mémoire de travail, et une étude de 2008 a utilisé l’IRM pour montrer que l’activité du cerveau est plus importante tout au long de la journée chez ceux qui font la sieste, que chez ceux qui n’ont pas fait de pause.
Des bienfaits de l’étiquetage des gens: inglourious_basterds51 Franklin Roosevelt était connu pour sa très bonne mémoire, et nous ferait rougir de honte : il était capable de se souvenir du nom de quelqu’un qu’il n’avait vu qu’une seule fois, plusieurs mois auparavant, sans difficulté apparente.
Son secret ? Tout simplement en visualisant le nom des gens qu’il croise écrit en toutes lettres sur leur front, après s’être présenté à eux. Voilà pourquoi Roosevelt parvenait à se souvenir des noms de l’ensemble de son personnel et des personnes rencontrées. À noter, d’après CNN, que le fait de visualiser le nom avec sa couleur préférée peut aider.
Consommez des Oméga-3: Salmon-630x418 Les acides gras Oméga-3, que l’on trouve dans des aliments tels que le saumon, le thon, les huîtres, les graines de potiron, les choux de Bruxelles, les noix et bien d’autres encore, ou que l’on prend en complément alimentaire, font partie des nutriments les plus bénéfiques pour votre cerveau.
En outre, selon une étude de l’université de Columbia, la consommation de matières grasses saines réduirait les risques de contracter la maladie d’Alzheimer.
Etre attentifs : meditate-1 Etre concentré sur la tâche demandée ou rester attentif lors d’une conversation restent peut-être la meilleure astuce (et sans doute la plus difficile) pour améliorer la mémoire. Pourquoi ? Parce que le fait de se distraire réduit à néant nos souvenirs – les souvenirs que nous créons ne sont alors pas très fiables –, ce qui nous fait oublier plus facilement les choses. Enfin, si toutefois vous avez du mal à vous concentrer, sachez que le fait de pratiquer la méditation une dizaine de minutes chaque jour renforcerait, d’après l’université de Californie, les capacités de la mémoire et de la concentration. Bref, pour prendre soin de votre cerveau, tachez d’être attentifs.
Cette drogue surnommée "crocodile" à cause des blessures irréversibles qu'elle inflige au corps, est un "cocktail" dévastateur.
Elle est 15 fois plus nocive que l’héroïne mais trois fois moins chère...
Présente depuis 2010 en Russie, elle débarque aux USA et en Europe.
Cette désomorphine, surnommée "drogue crocodile", à cause des blessures irréversibles qu'elle inflige au corps, se compose d’héroïne mais surtout de codéine, d’essence et de différents solvants de peinture. Elle est souvent préparé de manière artisanale.
Injectée dans l'organisme, c'est une vraie bombe à retardement. Un "cocktail" dévastateur, quinze fois plus nocif que l’héroïne.
Trois fois moins cher que l'héroïne, dix fois plus puissante Alors pourquoi s'injecter une telle saleté ?
Une question d'argent sans aucun doute. Une dose de cette "drogue crocodile" se vend trois fois moins cher que l'héroïne et provoque 10 fois d'effets.
Une tentation dévastatrice pour les toxicomanes qui que peu de moyens pour se payer leur dose.
Des trous dans la peau Selon un médecin américain, qui a relevé cette année deux premières victimes aux USA, cette drogue endommage les vaisseaux sanguins et les tissus de l'épiderme, laissant les membres à vif.
Des images (attention : elles sont très choquantes) circulent sur Internet où l'on voit la peau se détacher complètement de l'os.
Les muscles et les os sont attaqués et le membre ne peut pas être sauvé. Il ne reste plus qu'à l'amputer.
Une drogue qui peut s'avérer fatale dès la première prise.
D'abord la peau se nécrose et devient verdâtre, puis elle apparaît craquelée comme celle d'un crocodile.
L'épiderme se fissure et laisse de véritables trous dans les bras.
Des plaies ouvertes et infectées qui ressemblent à des morsures de crocodile, d'où le nom donné à cette drogue de l'enfer.
Le reportage de France24 Reporters en mars 2012 (attention certaines images peuvent choquer) : En circulation depuis 2010 en Russie, elle arrive aux USA Cette "saleté" serait présente en Russie depuis 2010, selon le site Réseau International, et compterait un million de consommateurs selon un site d'information belge.
Mais comme cela se passait loin de chez nous, aucune inquiétude. Pourtant des signes annoncent la prochaine circulation de cette drogue aux USA ou en Europe.
C'est par le site américain Gawker.com que l'alerte a été donnée fin septembre aux Etats-Unis.
Elle aurait été détectée en Allemagne 2011 et aussi en Belgique. Selon Gawker.com, deux victimes ayant pris cette drogue, viennent d'être recensées en Arizona
Le site a donné la parole au Docteur Frank LoVecchio, co-directeur médical d'un centre anti-poison américain qui a déclaré : "Nous avons extrêmement peur. Il va y avoir de plus en plus de cas." Il y a deux ans, LCI diffusait ce reportage de journalistes britanniques en Russie (attention certaines images peuvent choquer) :
Votre enfant s’ennuie ? Arrêtez de lui trouver sans cesse des activités ! Cela lui fait du bien ! Un enfant inoccupé se révélerait en fait être en train de développer sa créativité !
C’est un docteur qui a mené l’enquête…Il s’agit du docteur Teresa Belton de l’université d’East Anglia qui a démarré cette recherche pour connaître les conséquences de l’ennui chez les enfants.
Les artistes, écrivains et même des scientifiques ont été interrogés pour savoir ce qu’ils faisaient quand ils s’ennuyaient durant leur enfance.
Pour eux, cet ennui les incitaient à combler ce vide et donc à développer des activités telles que l’écriture ou le dessin pour quitter cet état
L’inverse est aussi valable, les enfants qui sont en interaction constante avec leurs parents ou leurs amis recherchent tôt ou tard des instants de solitude pour s’évader et faire travailler leur imagination. Il ne faut pas donc obliger nos enfants à pratiquer une activité, mais les laisser se débrouiller seul…
Une des personnes interrogées a ainsi avoué apprécier les moments d’ennui qui lui permettent, selon lui, de se sentir plus créatif.
Cependant, un des soucis majeurs que dénonce le docteur Teresa Belton est la télé et les écrans en général.
Elle s’explique : « Aujourd’hui, lorsque les enfants n’ont rien à faire, ils allument immédiatement la télévision, l’ordinateur, le téléphone ou autre écran . Le temps qu’ils passent sur ces appareils augmente. Mais les enfants ont besoin de moments inoccupés, des moments où ils peuvent faire fonctionner leur imagination. L’écran peut court-circuiter ce processus et le développement de la créativité«
La nature a horreur du vide et nous essayons de remplir ces vides , rajoute le docteur. Cependant, il faut laisser ce vide, qui se remplira de lui-même grâce à la créativité que nous développerons…
Prêts à laisser nos enfants (et pourquoi pas nous-mêmes !) s’ennuyer pour développer leur créativité ?
Les sucres et les céréales raffinées peuvent entraîner chez l’homme un phénomène de dépendance. Notre manque d’information est utilisée par l’industrie agro-alimentaire pour nous vendre toujours plus de sucre.
Procédé de raffinage du sucre : « Le sucre peut être obtenu à partir de betteraves dont on extrait le jus. Après quoi, on mélange ce jus à de la chaux, puis à de l’anhydride carbonique. On l’épure grâce à de l’anhydride sulfureux et on le filtre sur du « noir » animal composé de débris d’os calciné d’animaux. »
Procédé de fabrication du Miel : « Le miel est la denrée produite par les abeilles mellifiques (qui produisent le miel) à partir du nectar des fleurs ou des sécrétions issues des parties vivantes de plantes ou se trouvant sur elles (miellat), qu’elles butinent, transforment, combinent avec des matières spécifiques propres, emmagasinent et laissant mûrir dans les rayons de la ruche. » Il est difficile d’évaluer la production annuelle d’une abeille, mais on estime qu’une ruche produit 20 à 30 kg de miel par an.
Avis du Collectif : On pourrait donc croire qu’une simple ruche pourrait fournir en sucre une demi douzaine de familles, sans pollutions ni danger pour la santé, permettant la fabrication de boissons chaude ou froide de pâtisseries mais plus encore, production de propolis, de cire, de gelée royal…
Pour une généralisation de l’utilisation des ruches comme procédé de fabrication de notre sucre sur le toit des villes et ailleurs :