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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Voici une vidéo qui tente de comparer visuellement les douleurs des gens et celles des fibromyalgiques dans une situation de la vie quotidienne.
Bénévoles à l’hôpital: un rôle utile, mais encadré « Pour moi , il s’agit du bénévolat le plus difficile au sein d’un Comité, estime Marilyne La Droitte, responsable des actions pour les malades au Comité départemental de la Gironde.
Chez nous, entre 70 % et 75 % des bénévoles qui s’engagent dans cette voie ont été touchés par la maladie, soit directement, soit par l’intermédiaire d’un proche.
Ces visites sont une nécessité. Aujourd’hui, de plus en plus de personnes vivent seules.
Il est très dur de passer une journée entière dans une chambre d’hôpital sans visite.
D’autant que le cancer provoque du stress, des angoisses et des questionnements.
Le bénévole qui rend visite à un malade n’est pas une “ blouse blanche ”. Grâce à son écoute bienveillante, on lui parle plus qu’à un soignant.
En tous cas, de manière différente. Il peut d’ailleurs ainsi devenir un relais d’information précieux avec l’équipe médicale ». Convention-type L’intervention de bénévoles à l’hôpital est encadrée.
Elle doit faire l’objet d’une signature de convention avec chacun des établissements. « Ces interventions sont encouragées depuis la loi du 4 mars 2002 sur le droit des malades, note Giulietta Poillerat, déléguée au service actions pour les malades à la Ligue nationale contre le cancer.
Une circulaire parue deux ans plus tard fixe le contenu de la convention-type que doit passer chaque association avec les hôpitaux.
Cette dernière s’engage à assurer une formation pour ses bénévoles, à les encadrer et les soutenir ».
En 2010, les visites aux personnes malades, à l’hôpital ou à domicile ont constitué la deuxième activité d’accompagnement en nombre après le soutien psychologique. Aujourd’hui, trois Comités sur cinq proposent ce type d’activité. « Il s’agit d’une action forte qui implique aux Comités de recru ter, former et animer les équipes, poursuit Giulietta Poillerat.
Ces derniers doivent être vigilants à l’épuisement des bénévoles, connaître leurs limites… ». Respecter l’avis du patient « Tous les deux ou trois ans, nous faisons passer des annonces dans les journaux pour recruter, souligne pour sa part Michèle Melmont, coordinatrice du groupe d’accompagnement au Comité départemental des Hautes- Alpes.
Lors de la formation, les personnes réalisent si elles sont aptes ou non à faire de l'accompagnement. A ce moment là, la sélection se fait d'elle-même. Les bénévoles arrêtent et sont remplacés par d’autres ». Le Comité des Hautes-Alpes a signé une convention avec l’hôpital et les cliniques de Gap pour formaliser les relations et pour que les bénévoles soient acceptés dans les services. « Les accompagnements se déroulent à la demande de la famille ou de la personne, souligne Michèle Melmont.
Le personnel médical nous indique les patients à qui nous pouvons rendre visite. Ensuite, nous décidons d’un accompagnement en accord avec eux. Nous respectons toujours l’avis des patients. Nous essayons de consacrer entre une heure et une heure et demie par semaine à chaque personne.
Bien sûr cela peut être plus long si besoin ». Suivi psychologique obligatoire Les visites aux personnes malades hospitalisées sont une activité fréquemment proposée par les comités départementaux de la ligue.
En Gironde, comme dans les Hautes-Alpes et de nombreux autres Comités départementaux, les bénévoles bénéficient d’un suivi psychologique obligatoire. « Il faut réussir à prendre du recul par rapport à sa propre expérience, confirme Michel Vaillant, délégué aux relations avec les Comités et à la formation à la Ligue nationale contre le cancer.
De nombreux candidats sont motivés car ils ont été touchés directement ou indirectement par le cancer. Mais le malade recherche plus l’écoute que le partage de la part du bénévole. Il faut qu’ils oublient leur propre histoire. L’accompagnement à l’hôpital comme à domicile réclame avant tout une grande stabilité psychologique et émotionnelle ».
L’école de formation de la Ligue propose plusieurs modules pour favoriser la relation du bénévole au malade, et au personnel soignant. Ces formations étudient notamment la question de la responsabilité juridique du bénévole. « Il faut savoir jusqu’où aller afin de laisser la place à l’équipe soignante, rappelle Michel Vaillant. Le bénévole n’est pas un ami, ni un membre de la famille.
Il doit trouver sa place. D’autant qu’il lui arrive de recueillir les confidences des patients. Que doit-il faire, par exemple, si l’un d’eux lui parle de sa volonté de mettre fin à ses jours ? Lors de ces formations, les volontaires arrivent avec des certitudes. Il faut souvent repartir sur de nouvelles bases. En moyenne, 98 % des personnes qui suivent la formation sont très satisfaites de ce qu’elles y ont appris. Les autres reconnaissent finalement que ces visites ne sont pas faites pour elles ».
L’année dernière, près de 2.000 personnes ont suivi les formations dispensées par l’école de la Ligue. - See more at:
http://www.ligue-cancer.net/vivre/article/26499_benevoles-lhopital-un-role-utile-mais-encadre#.Uh3-aBvxrVh
15 TRUCS SPECTACULAIRES POUR VOTRE CORPS
1. Si vous avez une démangeaison dans la gorge, grattez-vous l'oreille. Lorsque les nerfs de l'oreille sont stimulés, ils provoquent un réflexe dans la gorge qui déclenche un spasme musculaire, ce qui calmera la démangeaison.
2. Vous avez du mal à entendre quelqu'un lors d'une fête ou au téléphone dans un lieu bruyant ? Utilisez votre oreille droite, car elle est meilleure pour comprendre quelqu'un qui parle. Toutefois, la gauche est meilleure pour discerner la musique.
3. Vous avez un urgent besoin de vous soulager, mais il n'y a aucune salle de bains à proximité. Imaginez-vous en train de faire l'amour. Cela tiendra votre cerveau occupé et le distraira.
4. La prochaine fois qu'un médecin vous donnera une injection, toussez légèrement en même temps qu'il enfonce l'aiguille. La toux augmente la pression dans le canal rachidien, ce qui entrave la sensation de douleur alors que l'influx nerveux tente de remonter jusqu'à votre cerveau.
5. Dégagez un nez bouché ou soulagez la pression dans les sinus en pressant votre langue contre le palais, puis en exerçant une pression avec un doigt entre vos sourcils. Répéter en alternance durant une vingtaine de secondes fera bouger l'os vomer, ce qui devrait dégager la congestion.
6. Vous avez mangé un gros repas et vous vous sentez le ventre plein au moment d'aller dormir. Couchez-vous sur le côté gauche. Cela vous empêchera d'avoir un reflux acide, puisque cela gardera votre estomac plus bas que l'œsophage, ce qui empêchera les sucs gastriques de remonter dans votre gorge.
7. Vous pouvez arrêter un mal de dents en frottant le dos de votre main avec de la glace, sur la zone palmée entre le pouce et l'index. Les voies nerveuses s'y trouvant stimuleront la partie du cerveau qui bloque les signaux de douleur provenant de la bouche.
8. Si vous avez trop bu d'alcool et que tout commence à tourner, placez une main sur quelque chose de stable. Comme l'alcool dilue le sang dans la partie de l'oreille appelée la cupule, laquelle contrôle l'équilibre, mettre la main sur quelque chose de stable donnera un autre point de référence à votre cerveau, ce qui contribuera à faire cesser les étourdissements.
9. Arrêtez un saignement de nez en mettant un peu de coton sur vos gencives directement au-dessus de la petite bosse sous votre nez, et appuyez fermement. La plupart des saignements proviennent de la paroi du cartilage qui divise le nez, et le fait d'exercer une pression à cet endroit aidera à faire stopper l'écoulement de sang.
10. La nervosité vous tenaille ? Ralentissez votre rythme cardiaque en soufflant sur le pouce. Le nerf vague contrôle le rythme cardiaque, et vous pouvez le calmer par la respiration.
11. Vous devez retenir votre souffle sous l'eau pendant un certain temps ? Au lieu de prendre une grande respiration, hyperventilez-vous avant de plonger en inspirant rapidement à plusieurs reprises. Cela trompera votre cerveau en lui faisant croire qu'il a plus d'oxygène dans vos poumons, ce qui vous donnera une dizaine de secondes de plus.
12. Vous pouvez empêcher votre cerveau de se figer en appuyant l'ensemble de la langue contre le palais, en couvrant le plus de surface possible. Ce phénomène se produit lorsque les nerfs du palais deviennent extrêmement froids, de sorte que votre cerveau pense que tout votre corps est gelé. Il compense par une surchauffe qui provoque un mal de tête. En réchauffant votre palais, vous détendrez votre cerveau et vous vous sentirez mieux.
13. Si vous avez une main engourdie, balancez la tête de gauche à droite. Cela fera disparaître l'engourdissement en moins d'une minute. Votre main s'engourdit lorsque les nerfs du cou sont compressés, et vous détendre le cou est donc le moyen d'y remédier. Si un de vos pieds devient engourdi, c'est parce qu'un nerf dans le bas du corps a été compressé, et il vous faut donc vous lever et marcher.
14. Vous avez le hoquet ? Appuyez sur vos sourcils avec le pouce et le majeur jusqu'à ce que le hoquet soit parti. Habituellement l'effet est assez rapide.
15. Enfin, celui-ci est totalement inutile, mais c'est un truc sympa. Demandez à quelqu'un de lever un bras à l'horizontale, paume vers le bas. Appuyez avec deux doigts sur le poignet de cette personne. Elle va résister, et son bras restera horizontal. Puis, demandez-lui de mettre un pied sur une surface surélevée du sol d'environ un centimètre, comme sur une pile de quelques magazines, et refaites le même truc. Comme sa colonne vertébrale est légèrement désaxée, elle sera incapable de maintenir son bras horizontal, peu importe la résistance qu'elle tentera d'opposer à la pression que vous exercerez avec seulement deux doigts.
Le Syndrome de la Fibromyalgie
La FIBROMYALGIE est une maladie chronique, cyclique et protéiforme, c'est- à-dire qui se présente sous les aspects les plus divers. Elle se distingue d'autres maladies du fait qu'elle n'affecte pas un type de cellule particulier ni un organe spécifique. Elle se manifeste par une myriade de symptômes qui apparemment n'ont aucun lien les uns avec les autres. De plus, il existe un nombre infini de combinaisons de symptômes entre eux avec des variations d'un jour à l'autre. Sont également différents les premiers troubles d'un malade à l'autre, et il semble bien souvent difficile de déterminer quand se sont installées les premières manifestations de la maladie. Avec le temps, il est cependant possible de dégager des dénominateurs communs à toutes ces formes cliniques de la maladie: répercussion préjudiciable sur la vie professionnelle et sur la vie de tous les jours, perturbation des liens familiaux et des relations avec autrui, perturbation psychique, avec dans bons nombres de cas une invalidité mentale et physique marquée.
Les symptômes les plus communs sont les suivants:
Troubles du système nerveux : fatigue, irritabilité, nervosité, anxiété, dépression, troubles de la mémoire et de la concentration (fibrofog), apathie, insomnie, réveils nocturnes fréquents et sommeil non réparateur, vision floue, malaises, vertiges ou équilibre instable, maux de tête, migraines.
Troubles musculaires et ostéo-articulaires :
douleurs généralisées au niveau des muscles, des tendons et des ligaments, avec raidissement souvent marqué au réveil. Les douleurs sont de toutes formes et de tous types, lancinantes, transfixiantes, à type de coup de poignard, de piqures, de contractures, de brûlures, de sensation pseudo-grippale, avec toutes les intrications possibles. Sont souvent concernées les zones préalablement traumatisées ou opérées. Des douleurs temporo-maxillaires sont fréquentes, associées avec des difficultés de la mastication, de même que des douleurs faciales parfois atroces et des céphalées dont l'origine est souvent décrite à la nuque. Les maux de tête peuvent être généralisés ou concerner seulement une moitié du visage ou n'être localisés que dans la région occipitale et à la nuque. S'associent parfois des douleurs déchirantes aux chevilles. Il existe fréquemment des douleurs articulaires, avec ou sans gonflement articulaire ou juxta-articulaire (jouxtant l'articulation), aux épaules, aux poignets, aux doigts, aux genoux. Les muscles peuvent être le siège de légères fasciculations ou convulsions, et le syndrome de la jambe sans repos peut se manifester. Souvent les patients décrivent des sortes de décharges éléctriques dans les muscles ou des fourmillements et une faiblesse musculaire généralisée.
Troubles gastro-intestinaux :
dans 60 %, des cas, il existe le syndrome du colon irritable qui associe de fréquents gaz, un gonflement abdominal, des crampes abdominales, une constipation ou une diarrhée (ou alternance des deux). Parfois un état nauséeux, des douleurs gastriques avec brûlures, dyspepsie, hyperacidité gastrique et goût anormal dans la bouche.
Troubles génito-urinaires :
65 % des femmes fibromyalgiques présentent des douleurs de la sphère génito-urinaires. Vulvodynie (dans 15 % des cas), c'est-à-dire des douleurs à la vulve avec démangeaisons et brûlures des petites lèvres (vulvite) ou de l'orifice vulvaire et de sa périphérie (vestibulite), avec ou non irritation visible de la muqueuse ; spasmes vaginaux ou crampes vaginales ; douleurs sexuelles (dyspareunie) avec ou sans sécheresse vaginale. Dans 25 % des cas, mictions fréquentes diurnes et nocturnes d'une urine souvent concentrée, picotements urinaires, difficulté de la miction (dysurie), brûlures urinaires avec ou sans infection, antécédents d'infections urinaires à répétition dans le cadre d'une cystite interstitielle chronique ; spasmes de la vessie.
Le syndrome prémenstruel est habituellement plus intense. Tous les troubles de la fibromyalgie présentent une aggravation prémenstruelle.
Troubles dermatologiques :
sensations de picotement, de démangeaison, de vibration éléctrique de la peau ; toutes sortes de manifestations cutanées prurigineuses ou non, eczéma, crevasses, éruptions de boutons, de furoncles, rashes, neurodermite et dermite séborrhéique ; sensation de brûlure souvent intense à la paume des mains et à la plante des pieds, avec parfois gonflement ; sécheresse cutanée ; sensibilité exagérée au toucher (hyperesthésie) ; sueurs profuses avec ou sans bouffées de chaleur. D'intenses démangeaisons peuvent survenir à n'importe quel endroit du corps, avec souvent une recrudescence nocturne. Ongles friables et cassants, cheveux de mauvaise qualité, tombants et de repousse médiocre. Parfois, il existe une réaction excessive de la peau qui rougit et se tuméfie à l'endroit où l'on exerce un léger frottement avec une pointe émoussée (dermatographisme).
Autres manifestations :
congestion nasale ; bouche séche, goût anormal souvent métallique dans la bouche ; sifflements d'oreilles passagers ou bruits anormaux plus ou moins permanents (tinnitus) ; engourdissements des mains, des pieds ou au niveau du visage, et fourmillements ça et là (paresthésies) ; crampes aux jambes et aux pieds ; température corporelle basse et grande sensibilité au froid ; grande susceptibilité aux infections et aux allergies en tous genres ; hypersensibilité aux bruits, à la lumière, aux odeurs et aux produits chimiques ; gonflements des paupières et des mains à prédominence matinale ; surcharge pondérale ; yeux secs irrités ; palpitations ; syndrome hypoglycémique avec une envie irrésistible d'aliments sucrés.
Toutes les cellules du corps peuvent être concernées par la maladie, tous les tissus peuvent être affectés. Tous les symptômes, aussi divers soient-ils, sont reliés à une même maladie, la FIBROMYALGIE, et tous relèvent d'une même origine.
Quand le terme FMS a-t-il été utilisé pour la première fois?
chroniques diffuses Le Syndrome de la FIBROMYALGIE a été officiellement reconnu en tant qu'entité clinique à part entière par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) lors de la Déclaration de Copenhague du 1.1.1993. Il a été déclaré être la cause la plus fréquente des douleurs musculaires. · Prévalence sur la population générale Elle est présente dans toutes les ethnies à travers le monde.
Le sexe-ratio est de 85 % de femmes pour 15 % d'hommes. Cela se traduit en Israël par au moins 200 000 individus souffrants de FMS, dont au moins 170 000 femmes. Les rhumatologues parlent de la fibromyalgie comme étant l'affection la plus fréquente qui peuple leurs consultations.
La FMS est une maladie génétique. A quel âge se manifeste-t-elle?
La FIBROMYALGIE est une maladie génétique, héréditaire. Elle peut affecter une famille entière, comme par exemple une mère et ses deux filles. Lorsque les deux parents sont atteints de la maladie, tous leurs enfants seront fibromyalgiques (il existe une forme pédiatrique de la FMS).
Le docteur R. Paul St. Amand a traité les membres d'une même famille s'échelonnant sur trois générations, dont une fillette âgée de deux ans, ainsi que des patients dont la maladie ne s'est manifestée qu'une fois passés leurs soixante-dix printemps. Une de mes patientes a développé la maladie à l'âge de 80 ans.
Ce large éventail de l'âge d'apparition de la maladie est impossible à expliquer par la présence d'un seul gène défectueux. C'est pourquoi il semble que dans la pathogénie de la fibromyalgie plusieurs gènes soient en cause.
Le nombre de gènes responsables, couvrant une pallette allant de gènes mineurs (récessifs) à des gènes plus dommageables (dominants), permet toutes les sortes de combinaisons entre eux qui vont déterminer l'âge d'apparition de la maladie ainsi que la sévérité des symptômes.
Chez ceux qui n'auraient qu'un défaut mineur dans la séquence des acides aminés des gènes en cause, la maladie peut pratiquement ne jamais se manifester ou jamais complètement, voire même transitoirement ou épisodiquement.
Puisque 85 % des fibromyalgiques sont des femmes, il paraît logique d'admettre qu'au moins un gène défectueux est localisé sur le chromosome X.
Les facteurs qui induisent l'apparition de la maladie A des degrés variables pour chacun, et sous l'influence individuelle du potentiel génétique défectueux, certains traumatismes peuvent précipiter l'apparition de la maladie.
Le facteur déclenchant peut être un accident, une infection, toutes sortes d'actes chirurgicaux, voire une intervention dentaire, un traumatisme psychique, stress ou autres tensions nerveuses. Mais ces facteurs favorisant l'entrée dans la maladie n'en sont en aucun cas la cause. On peut également noter que les zones douloureuses fibromyalgiques se superposent souvent aux régions du corps préalablement traumatisées, accidentées ou opérées ; cette observation n'exprime pas un lien causal.
La FMS est une maladie métabolique
Le rôle du phosphate La FIBROMYALGIE est une maladie métabolique. L'incapacité à produire de l'énergie appropriée, adéquate, dans les tissus affectés explique l'ensemble des troubles de la fibromyalgie. Les divers gènes défectueux altèrent la capacité des reins à disposer des PHOSPHATES.
La fibromyalgie est due à une anomalie dans l'excrétion rénale des phosphates, d'origine génétique. Tout commence dès la naissance par une minuscule rétention des phosphates. Les os vont bientôt être débordés dans leur capacité à remplir leur rôle habituel de stockage des phosphates.
Ces derniers vont graduellement être dissiminés et s'accumuler un peu partout, pour finir par atteindre des niveaux critiques dans certains tissus, les muscles et les tendons en particulier. C'est en compagnie du calcium que les phosphates en excés pénètrent dans les cellules, et c'est ensemble qu'ils initient les perturbations métaboliques qui vont conduirent aux symptômes de la fibromyalgie.
En effet, la rétention d'une substance biochimique au sein même d'une cellule provoque un dysfonctionnement métabolique qui va engendrer une incapacité à répondre aux besoins énergétiques. Les cellules utilisent leur énergie sous forme d'adénosine triphosphate (ATP) pour remplir leurs fonctions métaboliques et autres tâches qui nous sont vitales.
La rétention des phosphates interfère avec la formation de l'énergie dans les cellules affectées. Les fonctions cellulaires sont compromises. Si l'énergie est insuffisante, « rien ne marche plus». Le rôle du calcium Pour que soit maintenu l'équilibre électrique à même une cellule, deux charges négatives de l'ion phosphate sont contrebalancées par deux charges positives de l'ion calcium. L'excès cellulaire des phosphates entraîne donc un excés cellulaire du calcium.
Le calcium a une fonction primordiale au sein de la cellule. Normalement il siège dans le réticulum endoplasmique, le réservoire cellulaire. Lorsqu'une stimulation se présente, le signal d'action est transmis au réticulum endoplasmique, lequel va libérer le calcium dans le cytosol, la partie liquide du cytoplasme cellulaire. La quantité de calcium libérée est exactement proportionnelle à la tâche réclamée, ni plus ni moins. Le calcium est l'élément générateur final qui enclenche l'action cellulaire. La cellule instruite à agir, continue à le faire jusqu'à ce que les signaux provenant du calcium cessent. Pour interrompre ces signaux, les cellules possèdent des pompes enzymatiques qui utilisent l'ATP comme source d'énergie, à l'instar de toutes les fonctions métaboliques de l'organisme. Ces pompes enzymatiques ont pour fonction de ramener le calcium dans son réservoire, le réticulum endoplasmique, ou de l'expulser de la cellule.
Etant donné que chez le fibromyalgique les capacités énergétiques sont pauvres, en raison d'une insuffisance en ATP, le calcium s'accumule dans le cytosol, là où il ne devrait plus se trouver, là où son action pour une tâche spécifique n'est plus réclamée ni désirée. Il en résulte que les tissus en excès de phosphates se trouvent comme constamment stimulés jour et nuit, jusqu'à un point d'épuisement.
La palpation des fibromyalgiques met en évidence de nombreuses enflures et bosses dans les muscles, les tendons et les ligaments. Ces zones sont sous tension 24 heures par jour. Seul le calcium peut être tenu pour responsable d'une stimulation incessante dans le cytosol des cellules. Normalement, les cellules respectent des phases de repos dans leurs fonctions métaboliques. Chez les fibromyalgiques, c'est cette absence ou le manque de qualité de ces phases de repos qui engendre toute la symptomatologie.
A un degré ou un autre, cela affecte ou affectera toutes les cellules de l'organisme. En résumé, l'excès cellulaire en phosphates pertube la formation d'une énergie adéquate (ATP). Cela se traduit par un excès de calcium dans la cellule qui va la stimuler et la maintenir en suractivité. Ce dysfonctionnement cellulaire conduit à un syndrome d'hyperactivité métabolique et d'épuisement énergétique. Seule la restauration d'une production normale d'ATP peut rétablir ces abus métaboliques. .
Etudes de biopsies musculaires
Des biopsies au niveau de lésions du trapèze ont été réalisées sur des malades fibromyalgiques. Des différences significatives ont été notées par rapport à des biopsies de contrôle sur des individus indemnes de FMS : réduction de 70% du taux d'ATP et de 21% de la phosphocréatine, riche en phosphates de haute énergie. Toutes les fibres d'un même échantillon ne sont pas affectées, ce qui confirme qu'on n'est pas en présence d'une maladie musculaire congénitale. Une autre étude a révélé des taux bas d'ATP à l'intérieur des globules rouges de fibromyalgiques.
Résultats biologiques
Diverses études biologiques confirment l'étendue des méfaits de la fibromyalgie. Il a été démontré l'existence de perturbations significatives, en plus ou en moins, dans la production d'hormones, de neuromédiateurs et de diverses autres molécules et substances chimiques.
On reporte des taux bas de l'hormone de croissance, du facteur de croissance I de l'insuline-like, de la sérotonine, du calcium libre ionisé, de la calcitonine, du cortisol libre urinaire, de certains acides aminés, du neuropeptide Y, de l'hormone de stimulation thyroïdienne (TSH), dans la numération des cellules T.
D'autres s'avèrent augmentés :
La prolactine, la substance P, l'enzyme de convertion de l'angiotensine, et l'acide hyaluronique lors d'une seule étude. Des biopsies cutanées ont montré un excès des cytokines et d'immunoglobulines G dans le derme. Tant d'altérations de tests biologiques montrent combien de tissus et de systèmes peuvent être affectés dans la fibromyalgie.
Tests sanguins Il n'existe pas de test specifique de laboratoire qui confirme le diagnostic de FIBROMYALGIE.
Les radiolographies, scanners ou autres ne montrent rien. Cependant, l'historique détaillée de la maladie (l'anamnèse) révèlera sa chronologie cyclique et conduira au diagnostic. Ce dernier sera confirmé par l'existence d'enflures et de bosses dans un certain nombre de muscles, tendons et ligaments lors d'une palpation minutieuse de tout le corps. Le résultat de cette palpation sera représenté sur un schéma. Non seulement cet examen confirme la maladie, il matérialise, authentifie et crédibilise les complaintes du patient. La vitesse de sédimentation est normale dans la fibromyalgie étant donné qu'il ne s'agit pas d'une maladie inflammatoire. Une vitesse augmentée chez une authentique fibromyalgie mérite d'être explorée.
Maladies associées Dans plus de 20% des cas, la FIBROMYALGIE est associée à d'autres maladies, à savoir des maladies rhumatologiques et systémiques avec diverses anomalies immunologiques (maladie de Behçet, lupus érythémateux disséminé, maladie de Crohn, rectocolite hémorragique, maladie de Sjögren.), une hyperparathyroïdie, une hypothyroïdie, une thyroïdite d'Hashimoto, etc.
FMS et hypoglycémie (fibroglycémie )
Le syndrome d'HYPOGLYCEMIE, entité clinique à part, peut être induit ou intensifié par la fibromyalgie. 40% des femmes et 20% des hommes souffrant de fibromyalgie présentent une hypoglycémie ou une intolérence aux hydrates de carbone. On parle de FIBROGLYCEMIE lorsque les deux pathologies coexistent. Des symptômes de l'hypoglycémie se chevauchent avec ceux de la fibromyalgie. Les troubles hypoglycemiques aigus sont aisément identifiables.
Ils surviennent dans les trois ou quatre heures qui suivent un repas, et sont possibles en pleine nuit : attaques de panique, tremblements des mains ou de tout le corps, subites bouffées de sueurs, sentation de faim impérieuse, maux de tête, palpitations ou arythmie cardiaque, sévère anxiété, malaises ou syncopes.
Ils n'apparaissent cependant pas chez chacun. Les troubles hypoglycémiques chroniques peuvent exister indépendemment du taux de sucre dans le sang. Ils sont dus à une asthénie métabolique constante engendrée par l'hypoglycémie plutôt qu'à des chutes du sucre sanguin avec leurs régulations hormonales. Des céphalées sont ressenties à type de bandes frontales concentriques autour de la tête.
Par ailleurs, fatigue, insomnie, irritabilité, nervosité, émotivité, sueurs, malaise, sifflements d'oreilles, troubles de la mémoire et de la concentration, fourmillements des extrémités et au visage, crampes musculaires, douleurs abdominales, ballonnement abdominal, diarrhée. Fait remarquable, ces troubles sont soulagés par un repas et sont exacerbés par la faim. La plupart des malades présentant une FIBROGLYCEMIE ont une envie constante et irrépressible d'aliments ou boissons sucrés dans des tentatives, souvent vaines, d'en tirer quelque énergie.
Sucres et aliments riches en amidon sont rapidement convertis en glucose dans le processus biologique de la digestion, c'est pourquoi l'organisme privilégie cet apport.
Malheureusement, chez ces fibroglycémiques, chaque apport sucré saturera rapidement les rouages métaboliques en molécules de glucose, provoquant à chaque fois une libération pancréatique d'insuline qui réduira cette soudaine montée de la glycémie, en dirigeant le glucose vers les cellules musculaires, hépatiques, graisseuses et autres.
De plus, et c'est ce qui nous intéresse ici tout particulièrement, l'insuline participe à accroître la réabsorption rénale des phosphates mais aussi à leur réintroduction dans diverses cellules de l'organisme. Ainsi, les fluctuations du taux d'insuline ne feront qu'intensifier les symptômes de la fibromyalgie.
Les symptômes de l'hypoglycémie vont se confondre avec ceux de la fibromyalgie. Ces patients sont confrontés à un sérieux problème métabolique. Des modifications dans leur comportement alimentaire deviennent essentielles. Aucun compromis dans la diète ne sera permis, sinon au prix de l'exacerbation des symptômes. Hypoglycémie et fibromyalgie devront être traitées parallèlement. La suppression des sucres et autres aliments riches en amidon évitera les fluctuations de la glycémie et, en conséquence, les pics insuliniques néfastes. Il a été démontré que les fibromyalgiques possèdent une capacité réduite à stimuler la partie hypothalamo-hypophysaire de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien, ainsi que le système sympathique adrénergique, conduisant à une réponse insuffisante de l'hormone hypophysaire corticotrope (ACTH) et de l'adrénaline face à un état hypoglycémique.
L'inaptitude de ces systèmes neuroendocriniens chez les fibromyalgiques peut d'autant mieux expliquer le chevauchement des troubles fibromyalgiques et hypoglycémiques. Aucune diète n'est nécessaire en l'absence de FIBROGLYCEMIE.
Le Syndrome de Fatigue Chronique (CFS)
Le SYNDROME DE FATIGUE CHRONIQUE est assimilé à la fibromyalgie, il a pour origine le même trouble génétique. Pour la plupart des patients, les deux termes ou conditions, fibromyalgie et syndrome de fatigue chronique, coexistent. Pour d'autres, un symptôme ou un groupe de symptômes prédomine. Il n'existe pas de syndrome de fatigue chronique stricto sensu, exclusif. Un interrogatoire bien conduit et une palpation minutieuse mettront en évidence leur existence simultanée.
A des degrés divers en intensité, tous les symptômes du syndrome de fatigue chronique rencontrent les critères de la fibromyalgie. Nous avons affaire à même affection qui se présente sous divers aspects, en fonction du seuil individuel de la douleur et des zones, systèmes ou organes affectés et au devant de la scène. Ceux qui possèdent un seuil très haut de la douleur peuvent n'avoir que la fatigue comme trouble dominant.
L'anamnèse retrouvera cependant des symptômes du colon irritable, de vagues douleurs vulvaires ou de légers troubles mictionnels, associés à quelques complaintes douloureuses musculaires et tendineuses, mais le tout bien modeste ou insignifiant comparé à l'importance de la fatigue, de la dépression ou des troubles cognitifs. Selon la sévérité de l'atteinte du système nerveux, certains fibromyalgiques, outre la fatigue, souffrent d'une perte marquée et handicapante de leur mémoire immédiate ou à court terme.
Ils oublient ce qui vient de leur être dit et ne se souviennent où ils ont déposé des objets. Ajoutée à cela une perte du sens de l'orientation, ils peuvent se trouver perdus en des endroits familiers. Au beau milieu d'une conversation ou d'une activité, ils peuvent perdre le fil de l'une ou de l'autre.
Un quelconque raisonnement ou un simple exercice de déduction peut être difficile, voire impossible. Certains ne peuvent lire par manque de concentration ou par inaptitude à de nouvelles acquisitions, ou par perte de la mémoire des noms. Certains oublient leurs rendez-vous ou leurs projets immédiats, ou ne se souviennent pas s'ils ont ou non réglé leurs factures.
Ces patients deviennent hypersensibles aux bruits, aux lumières vives, aux odeurs. Ils pleurent aisément et s'énervent à la moindre contrariété. Il est important de reconnaître en ces troubles cognitifs et en ces hyper-réactions sensorielles et émotionnelles les expressions d'une même pathologie, la fibromyalgie. · FMS et son incidence sur les troubles ostéo-articulaires Dans la fibromyalgie les articulations restent une des localisations les plus longtemps indemnes d'accumulation des phosphates. La fibromyalgie n'est pas une maladie ostéo-articulaire, mais des douleurs aux articulations, avec ou sans gonflement, rougeur ou chaleur locale, sont fréquentes..
Mais livrée à elle-même, après des années d'évolution et d'aggravation inéluctable, la fibro-myalgie va finalement faire le lit à une ostéo-arthrite par précipitation de cristaux de phosphate de calcium. · Comment s'explique l'aspect cyclique de la FMS Gonflements tissulaires Les enflures et bosses que l'on trouve à la palpation au niveau des tendons, des ligaments et principalement dans les muscles, sont plus ou moins douloureuses, voire pas du tout, selon qu'elles pressent ou non sur des terminaisons nerveuses. Une petite bosse peut ainsi être plus douloureuse qu'une grosse enflure. Il est question égale-ment du seuil de la douleur de chacun.
Les douleurs passent d'un endroit à l'autre, varient d'un jour à l'autre, ou restent par ailleurs fixes en localisation et intensité. 90 à 95% de ces gonflements tissulaires correspondent à de l'eau collectée sous pression. Toutes les cellules fibromyalgiques subisent de constantes accumulations d'eau, d'excès de phosphates, de calcium et autres substances chimiques. C'est le liquide extra-cellulaire qui, en pénétrant dans les cellules, provoque davantage de pression et de douleurs selon l'incidence sur la taille des enflures et des bosses. Lorsqu'une partie de l'eau est expulsée, leur taille se réduit et les douleurs diminuent.
En vérité, le flux sanguin subit des fluctuations qualitatives et quantitatives (volumétriques) selon l'importance des drainages cellulaires et du nombre de sites concernés. Chez le fibromyalgique, tout est fonction de la capacité des reins à éliminer les phosphates. Le rôle essentiel des reins Le rein contrôle le taux des phosphates sanguins. Ces derniers sont filtrés lors du passage du sang dans les glomérules rénaux et poursuivent leur route dans les tubules rénaux. Une autre voie de passage, évitant la filtration glomérulaire, se fait directement du sang vers les cellules rénales elles-mêmes et de celles-ci vers les tubules.
Les phosphates sont ensuite éliminés dans l'urine, mais peuvent aussi être réabsorbés de l'urine primitive, à travers les cellules qui tapissent les tubules, vers les cellules rénales, puis réintroduits dans la circulation sanguine. Le rein retient ou élimine les phosphates selon les besoins de l'organisme. Le rein fibromyalgique n'arrive pas à excréter dans l'urine les phosphates suffisamment rapidement. Cela est dû à un déficit enzymatique d'origine génétique qui perturbe le processus physiologique rénal normal. Il en résulte un retour excessif de phosphates vers le sang , d'où une augmentation de leur taux sanguin. L'organisme ne peut pas tolérer une augmentation des phosphates dans le sang dans la mesure où ces derniers sont en corrélation avec le taux du calcium sanguin. Si les phosphates s'élèvent, le calcium doit nécessairement chuter, ce que l'organisme n'accepte pas non plus. A cela, les quatre glandes parathyroïdiennes situées dans le cou vont répondre en sécrétant la parathormone (PTH), l'hormone parathyroïdienne, dont le rôle est de maintenir constante la calcémie.
Etant donné que dans la fibromyalgie les phosphates ne peuvent être suffisamment excrétés, ni ne peuvent rester en excés dans le sang, une certaine quantité devra être transférée vers les os. Lorsque ces derniers seront saturés, les phosphates iront se déposer dans toutes sortes de cellules de l'organisme. Alors de l'eau va pénétrer dans ces cellules, accompagnée par du calcium, entre autres, afin de diluer la concentration intracellulaire des phosphates et éviter toute cristallisation. Les gonflemments tissulaires réapparaissent et toute la séquence métabolique se répète, avec son cortège de pression, de douleurs, de symptômes habituels, cognitifs et autres, comme si tout recommençait, avec parfois la survenue d'autres symptômes ou d'autres localisations douloureuses selon que les phosphates seront allés se loger ailleurs. Chaque cycle se termine réglé par l'activité métabolique du moment. Certains tissus n'auront initialement qu'une atteinte sporadique. Chaque cycle est suivi d'une période de repos. De la qualité et de la durée de ces périodes de repos dépendra la permanence des symptômes. Enflures et bosses, avec le temps, seront plus nombreuses.
Les symptômes également vont s'aggraver à mesure que les excès de phosphates vont s'additionner pour déprimer encore davantage la production énergétique et la rendre quasi constamment défectueuse. Les périodes de repos seront de plus en plus courtes. La sévérité de la maladie est fonction de sa durée d'évolution. · diagnostic de fibromyalgie. Pourquoi ? · Les critères officiels de la fibromyalgie font mention de 11 points douloureux au minimum sur 18 zones répertoriées. Les patients font habituellement état de douleurs généralisées situées sur les muscles, les tendons et les ligaments, ou en périphérie. Ces douleurs sont décrites comme mobiles d'un endroit à l'autre et variables en intensité d'un jour à l'autre, ou bien fixes en des endroits donnés. Ces critères stipulent des douleurs et non pas des enflures ou des boules.
Le concept des points douloureux nous apparaît, au docteur R. St. Amand et à moi-même, un peu arbitraire. Il ne tient pas compte du seuil de la douleur de chacun, qui fait que chez certains tout le corps est hypersensible alors que chez d'autres il faut vraiment appuyer fort pour faire mal. Et qu'en est-il lorsque tous les symptômes de la fibromyalgie sont réunis, mais seulement 9 points douloureux retrouvés ? Va-t-on demander au patient de revenir dans 6 mois avec, s'il vous plaît, quelques points en plus ! Et qu'en serait-il si on palpe 20 points douloureux, mais pour la plupart en dehors des zones officiellement répertoriées ? Ce concept peut être péjorativement restrictif. Sans compter que les enflures et les boules, que je perçois, peuvent n'être pas douloureuses, ou peu douloureuses, selon qu'elles rencontrent ou non une terminaison nerveuse.
Sans compter que le syndrome de la fatigue chronique, de même origine génétique, réunit les mêmes symptômes mais peu de zones douloureuses, Je préfère donc parler d'enflures et de boules, de les répertorier sur un schéma, sans en faire le décompte.
Le docteur Kurland est né en France, à Paris, le 26 Juillet 1949. Ses études médicales ont été couronnées par le Titre de Lauréat de la Faculté de médecine de Paris. Il s'est ensuite spécialisé en Rhumatologie et a travaillé pendant 15 ans dans le Service de Rhumatologie de la Fondation Rothchild à Paris (F.O.R).
Pendant le même temps, il a étudié l'orthopédie pour se spécialiser dans la chirurgie du pied. Le docteur Kurland est également diplômé en Hydrologie et Climatologie médicales, succédant à son père, le docteur Leib Kurland, dans une activité saisonnière estivale à Evian-les-Bains (Haute-Savoie) où il a pris en charge des milliers d'anciens déportés de la Shoa recevant des soins de dédommagement des autorités allemandes.
Le docteur Kurland, enfin, est diplômé de Neuralthérapie et de Mésothérapie, thérapies anti-douleurs d'une efficacité remarquable. La thèse de Docteur en Médecine soutenue par le docteur Kurland avait pour titre « Le Thermalisme à Tiberiade (Israël) » et a été primée par les instances universitaires de Paris. Sa thèse d'Hydrologie et Climatologie médicales avait pour titre « Le traitement du Psoriasis à la Mer Morte (Israël) ».
Le docteur Kurland a fait son aliya le 30 septembre 1997. Pendant deux ans il a été médecin à l'hôpital Meir de Kfar Saba dans le service de chirurgie de la colonne vertébrale (Spinal Care Unit) du docteur Gipstein, ainsi que médecin consultant dans le Centre de la Douleur du professeur Judaikin. Il a obtenu sa licence de médecin No 32954.
Le docteur Kurland a également travaillé deux ans et demi comme médecin spécialiste de la douleur dans un centre médical à Tel-Aviv ainsi qu'à Jérusalem. Déjà son expérience sur la FIBROMYALGIE lui valait une grande renommée , ce qui a motivé son installation à titre privé à KFAR SABA.
Le docteur Kurland est le seul médecin en Israël à être affilié au Fibromyalgia Treatment Center de Santa Monica en Californie et à être recommandé par ce Centre de réputation mondiale. Pour finir de décrire le docteur Norbert Kurland, disons qu'il est un pianiste confirmé, un joueur d'échec redouté, un ancien moniteur de ski et compétiteur international. Il est également écrivain, auteur de deux romans. Célibataire à l'époque de son aliya, il a connu Rita, experte en cosmétiques, et ils se sont mariés en septembre 2001. Ils sont les fiers parents d'un petit garçon âgé aujourd'hui de trois ans.
Près de 87 personnes sont mortes en raison de noyades depuis le 1er juillet.
Voici en infographie un rappel des gestes à adopter au cas où vous seriez confronté à un tel accident.
Depuis début juillet, 87 personnes se sont noyées, dont 33 sur le littoral selon le ministère de l'Intérieur qui a lancé dimanche un nouvel appel "à la plus grande prudence et au sens des responsabilités de chacun".
L'an dernier, 497 sont mortes pendant l'été dont 28 parmi les moins de 6 ans, 47 de 6 à 9 ans et 145 chez les plus de 65 ans. La plupart des accidents impliquant des enfants sont dus à un manque de surveillance, à un défaut du dispositif de sécurité ou encore à une chute.
Pour les adultes, ils se produisent principalement suite à un malaise, à une imprudence ou tout simplement parce qu'ils ne savent pas bien nager. Selon les derniers chiffres du Baromètre Santé Inpes 2010, en effet, en moyenne, tous âges confondus, un Français sur cinq ne sait pas nager (28% des femmes et 14% des hommes).
Les conseils à suivre L'Inpes (prévention et éducation sanitaire) propose une brochure "Mode d'emploi de la baignade", téléchargeable sur son site.
Des conseils pour les piscines sont également en ligne. Pour les petits, la première règle reste de "ne pas les quitter des yeux". "Un enfant peut se noyer sans bruit, en moins de trois minutes, dans vingt centimètres d'eau," précise l'enquête.
Il est conseillé d'équiper l'enfant de brassards (marquage CE et norme NF13138-1) et de lui apprendre à nager le plus tôt possible : dès 4-5 ans, selon ses capacités, et, pour tous à partir de 6 ans.
Autres conseils :
choisir les zones de baignade surveillées et plus généralement, éviter de se baigner si l'on n'est pas en forme (fatigue, problèmes de santé, frissons). Il n'est néanmoins pas superflu de se former aux gestes de premiers secours.
La cystite :un cauchemar de femme
Une femme sur deux vivra l’expérience au moins une fois dans sa vie:
la cystite, cette infection urinaire douloureuse, est souvent récidivante. Il existe pourtant des moyens efficaces de s’en prémunir.
Une ou des cystites ?A l’origine de la maladie
Les facteurs de risques Quel traitement ?
Facteurs psychosomatiques Une ou des cystites ?
Celles qui ont déjà contracté cette infection savent de quoi il s’agit : la cystite, c’est avant tout de la douleur. Mais quelle est cette maladie dont une femme sur deux parle comme d’un calvaire ?
En réalité, il existe plusieurs types de cystites, comme l’explique le professeur François Desgrandchamps, chirurgien et chef du service urologie de l’hôpital Saint Louis, à Paris : « La cystite la plus répandue est la cystite bactérienne.
Il s’agit d’un germe qui remonte le long de l’urètre, qui pullule et qui enflamme la vessie.
Dans 90% des cas, elle est causée par le passage dans la vessie de germes venus de l’intestin, notamment l’ Escherichia coli ou E.Coli.
Mais la cystite peut également être « radique » (suite à un traitement par radiation), « chimique » (après une chimiothérapie) ou encore « interstitielle ».
Cette dernière est peu connue. Elle n’est ni bactérienne, ni virale, et plus difficile à diagnostiquer ».
Si les hommes ne se plaignent pas de souffrir de cystite, c’est parce que cette infection est très sexiste !
Elle touche principalement les femmes, et ce pour une raison purement anatomique.
« La vessie est protégée de l’extérieur par l’urètre », explique l’urologue.
« Chez l’homme, ce canal est plus long que chez la femme (10 cm pour l’homme en moyenne contre 3 cm pour la femme). Les germes peuvent donc plus facilement remonter dans la vessie de la femme que de l’homme.
Chez ce dernier, on ne parlera d’ailleurs pas de cystite mais de « prostatite ».
Quand un germe entre dans l’appareil urinaire masculin, il contamine en même temps la prostate et la vessie. La prostatite, contrairement à la cystite, donne lieu à des excès de fièvre, et le traitement est plus long que chez la femme. »A l’origine de la maladie
A l’origine de la cystite bactérienne, on trouve souvent des troubles digestifs. Ces derniers augmentent la prolifération microbienne péri-anale, dans le cas de constipation ou de diarrhée par exemple, et les germes passent facilement dans la vessie.
Mais la cystite, notamment chez les jeunes filles, peut également apparaître après un rapport sexuel.
Enfin, la cystite, lorsqu’elle est récidivante (plus de quatre épisodes par an) peut être la conséquence d’une modification ou d’un désordre hormonal. Les femmes sous traitements hormonaux (pilules micro-dosée ou ménopause) devront faire attention à leur taux d’oestrogènes.
Fibromyalgie : la recherche se précise
Des chercheurs américains ont découvert un mécanisme capable d'expliquer, pour la première fois, certains symptômes de la fibromyalgie, une maladie mal comprise. Longtemps, le corps médical a considéré les symptômes de la fibromyalgie comme la manifestation d’une dépression.
Aujourd’hui, les chercheurs admettent que les malades, qui souffrent de fatigue chronique, présentent une anomalie du contrôle de la douleur.
Les recherches se précisent depuis que des scientifiques du Massachusetts, aux Etats-Unis, ont mené une étude publiée dans la revue spécialisée Pain, sur 27 patients fibromyalgiques et 30 personnes témoins.
La moitié des malades présentent des lésions des fibres nerveuses au niveau de la peau, en particulier des jambes, connue habituellement chez les diabétiques.
Cette maladie, appelée polyneuropathie des petites fibres, provoque des sensations de brûlure, des picotements ou des fourmillements qui peuvent être déclenchés par un simple effleurement de la peau.
Entre autres, les chercheurs ont constaté que la moitié des malades présentait une dysfonction du système immunitaire."Ces résultats constituent une première preuve objective d'un mécanisme à l'origine de cas de fibromyalgie, et l'identification d'une cause sous-jacente est la première étape en vue de trouver de meilleurs traitements", s’est réjouie Anne Louise Oaklander, co-auteur de cette étude.
La pastèque, ou melon d’eau, possède un goût rafraîchissant qui désaltère.
Rouge ou rosée, blanche ou jaune, sa chair est une importante source de lycopène, un antioxydant qui protègerait contre plusieurs maladies. Les pépins de la pastèque sont comestibles et fournissent de la vitamine C.
Les bienfaits de la pastèque :
Cancer.
Selon les résultats d’une étude, une grande consommation de pastèque serait associée à un plus faible risque de cancer de la prostate.
Hypertension.
Une étude pilote a démontré que la consommation de suppléments de pastèque en poudre améliorait la fonction artérielle chez des individus souffrant d’hypertension.
Plusieurs études prospectives et épidémiologiques ont démontré qu’une consommation élevée de fruits et de légumes diminuait le risque de maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies chroniques.
La présence d’antioxydants dans les fruits et les légumes pourrait jouer un rôle dans ces effets protecteurs.
Que contient la pastèque?
Caroténoïdes.
Les principaux composés antioxydants de la pastèque sont des caroténoïdes, plus particulièrement du lycopène, et, dans une moindre mesure, du bêta-carotène. La consommation d’aliments riches en caroténoïdes, qui donnent la couleur vive des fruits, serait liée à un risque moindre de souffrir de certains cancers.
Les caroténoïdes sont mieux absorbés dans l’organisme lorsqu’une petite quantité de lipides (gras) est consommée au même moment. Un morceau de fromage ou quelques noix constituent un excellent accompagnement pour la pastèque.
Lycopène.
Le lycopène est le principal caroténoïde de la pastèque. Il a entre autres un effet hypocholestérolémiant, il prévient l’inflammation et il empêche la formation de certains types de cellules cancéreuses. Des concentrations élevées de lycopène dans le sang ont également été associées à une plus faible incidence de maladies cardiovasculaires et de cancer de la prostate.
Le lycopène de la pastèque coupée : meilleur avant… Si l’on désire couper à l’avance sa pastèque, il faut la consommer préférablement dans les 4 jours. Selon une étude, la teneur en lycopène d’une pastèque coupée en morceaux diminue de 6 % à 11 % après 7 jours au réfrigérateur.
Par contre, cette perte de lycopène est mineure durant les 4 premiers jours. Même si les données actuelles ne sont pas suffisantes pour définir un apport quotidien de lycopène à consommer, les études épidémiologiques indiquent que la consommation de plus de 6 mg de lycopène par jour pourrait avoir des effets bénéfiques. Une portion de 125 ml (1/2 tasse) de pastèque contient environ 3,5 mg de lycopène, soit approximativement la même quantité qu’une tomate moyenne, reconnue comme une source importante de lycopène.
Le contenu en lycopène de pastèques de différents cultivars varie considérablement, pouvant atteindre jusqu’à 8 mg de lycopène par portion de 125 ml15.
De plus, le lycopène de la pastèque serait bien absorbé dans l’organisme, puisqu’il augmenterait la concentration de lycopène dans le sang, tout autant que le jus de tomate. À noter que contrairement à d’autres caroténoïdes, le lycopène n’a pas la capacité de se transformer en vitamine A dans l’organisme.
Davantage d’études seront nécessaires afin de connaître plus précisément la biodisponibilité du lycopène de la pastèque pour prévenir certaines maladies.
Citrulline et arginine
La pastèque est l’un des aliments les plus riches en citrulline, un acide aminé. Dans le corps humain, la citrulline est convertie en arginine (un acide aminé essentiel), qui joue un rôle sur les systèmes cardiovasculaire et immunitaire et qui aurait des effets bénéfiques sur la santé des vaisseaux sanguins.
Les pastèques à chair orangée ou jaune en contiennent généralement plus que celles à chair rouge. Selon une étude, la consommation quotidienne de jus de pastèque permettrait d’augmenter les taux d’arginine dans le plasma sanguin chez l’humain.
D’où vient la solidité des os ?
lLes os sont extraordinairement solides si l’on considère leur légèreté et leur porosité, ce que les scientifiques ont du mal à expliquer.
Mais ils ont découvert que les os tirent leur force d’une combinaison de minuscules fibres qui deviennent soit rigides soit plus malléables quand elles sont étirées, une découverte qui pourrait conduire vers de meilleurs traitements contre l’ostéoporose.
Environ 70% de l’os est fait de cristaux semblables à ceux de la craie, le minéral hydroxyapatite.
Ces cristaux forment tout autour des fibres collagènes robustes connues comme étant des fibrilles qui constituent la plupart du reste de l’os.
Pour mieux comprendre ce qui rend ces fibres si fortes, Asa Barber et Fei Hang de l’Université de Londres ont utilisé une nouvelle technique pour mesurer directement les propriétés mécaniques des fibrilles individuellement.
Barber et Hang ont utilisé la microscopie électronique à balayage (MEB) pour faire des images des fibrilles, qui mesurent moins de 100 nanomètres, plus de 1000 fois plus fines qu’un cheveu humain.
Ils ont utilisé des os de bois de cervidés parce que c’est un bon modèle de l’os humain, et parce qu’il est plus approprié pour l’imagerie étant donné sa faible teneur en eau.
Ils ont associé la MEB à la microscopie à force atomique, qui étire les fibrilles avec une force spécifique.
Ils ont mesuré la réponse de la force de tension de six fibrilles, en marquant de combien ils avaient tiré quand une force croissante était appliquée.
Les fibres se sont d’abord étirées par la même quantité sous la même force.
Cependant, à un certain point, leurs réactions ont divergé : quand plus de force était appliquée, certaines fibres ont perdu leur forme à un taux plus rapide.
D’autres sont devenues plus dures,ésistant à une force d’environ 1000 nanonewtons avant de se briser.
Ceci est approximativement équivalent à la force qui serait appliquée par le poids d’un centième d’un grain de riz.
Les fibres les plus malléables ont cassé à une force d’environ 500 nanonewtons. "La présence de fibres de collagène, avec différentes propriétés mécaniques à l’intérieur de l’os, permet d’augmenter sa capacité à absorber de l’énergie et en fait un matériau efficace et solide" dit Barber.
Les chercheurs ont ensuite utilisé la spectroscopie pour examiner la fabrication chimique des échantillons.
Leurs résultats suggèrent que les fibres les plus fortes ont une composition minérale plus importante. Barber ajoute que leurs résultats pourraient mieux expliquer comment l’ostéoporose, et les conditions qui y sont associées, affectent les propriétés mécaniques des os.
D’autres se demandent s’il existe différents types de fibres dans l’os : "C’est une donnée intéressante, mais il faudrait les répéter avec plus d’échantillons provenant de différentes régions anatomiques" conclut-il.
L’activité sportive non professionnelle n’augmente pas les risques d’ostéoarthrite.
Il n’existe pas de preuve convaincante confirmant un effet nocif de l’exercice sur les articulations si celles-ci sont normales et l’exercice régulier, selon une revue d’études publiée dans le Journal of Anatomy
L’exercice est une activité de loisir extrêmement populaire dans de nombreux pays du monde Occidental, et pour beaucoup c’est devenu une partie intégrante du style de vie moderne.
Il est largement conseillé car il est bénéfique pour contrôler son poids, pour gérer les maladies cardiovasculaires et le diabète, et pour améliorer son bien-être psychologique, entre autres bénéfices.
En revanche, la perception de la presse non spécialisée et du public est aussi que l’exercice est potentiellement délétère pour les articulations, en particulier celles des membres inférieurs. Des chercheurs de Boston aux USA, et d’Ainring en Allemagne
, ont passé en revue les études existantes sur la relation entre l’exercice régulier et l’ostéoarthrite et ont conclu qu’en l’absence de blessure articulaire déjà existante, il n’y a pas de risque accru d’ostéoarthrite à cause de l’exercice.
"Nous avons trouvé que chez les athlètes professionnels, où il y avait plus de risques de se blesser à cause du sport, il existait un risque supérieur d’ostéoarthrite sur des articulations endommagées, mais chez la plupart des gens, faire de l’exercice vigoureux, sans trop de chocs, est bénéfique à la fois physiquement et mentalement" explique le Dr David Hunter du New England Baptist Hospital.
"Le facteur de risque le plus important pour l’ostéoarthrite est le poids du corps, à tel point que chaque kilo de masse corporelle en plus augmente la pression sur le genou d’environ 4 kg."
On pourrait de ce fait conjecturer que l’exercice permet de réduire le poids du corps, et que cela pourrait en fait réduire le risque d’ostéoarthrite plutôt que l’augmenter.
Le genou est l’articulation la plus souvent affectée par les symptômes de l’ostéoarthrite. Il s’agit d’une des causes les plus fréquentes de douleur articulaire et les femmes sont plus souvent touchées que les hommes.
Pourquoi a t-on parfois des fourmis dans les jambes ?
Il nous est tous arrivé au moins une fois d'avoir des "fourmis dans les jambes".
Ces petites bêtes imaginaires censées décrire la désagréable sensation de picotement ou d'engourdissement que l'on ressent après un moment d'immobilité.
Mais à quoi est du ce trouble également appelé "paresthésie" ?
A qui ceci n'est-il jamais arrivé ?
Imaginez, vous êtes assis dans une certaine position depuis un petit moment déjà et tout d'un coup, vous voulez en changer.
Et là une vague de picotement gagne l'un de vos membres, écrasés par la position que votre corps a prise.
Vous le remuez mais impossible de le faire bouger correctement sans ressentir les picotements pendant plusieurs dizaines de secondes voire minutes. Vous aimez nos contenus ?
L'image qui vient alors rapidement est celle de petits nuisibles présents sous la peau et faisant la course sous l'épiderme provoquant des sensations désagréables au possible.
Ce sont les fameuses "fourmis" dans les jambes, le bras ou tout autre membre. Évidemment, nous n'avons pas réellement d'insectes sous la peau.
Et cette expression trouve une autre explication beaucoup plus terre à terre : un trouble dans la circulation et l'irrigation sanguine. Une réaction du système nerveux
Tout d'abord, replaçons un peu les choses dans leur contexte : notre corps est parcouru de centaines de vaisseaux sanguins parmi lesquels on distingue les artères, qui mènent un sang riche en oxygène vers les organes et les veines qui "rapatrient" le sang moins riche.
A cette mécanique généralement bien huilée, se couple une "surveillance" du système nerveux qui veille à envoyer au cerveau un rapport détaillé du bon fonctionnement de la machine.
En d'autres termes, lorsqu'il y a ralentissement du flux sanguin, les nerfs sensitifs basés dans les vaisseaux concernés vont rapporter les informations plus haut dans le système cognitif.
C'est de là que vient la sensation de "fourmis" qui traduit l'expression de ces signaux plus ou moins organisés.
Dans le cas présent, cette irrigation se trouve perturbée parceque les membres sont compressés trop longtemps.
Pour tenter de remédier à la perturbation de la circulation, les nerfs vont alors agir en simulant un changement de position, quitte à nous faire réellement changer de posture.
Et la sensation ne disparaitra que lorsque la circulation sera correctement rétablie.
Ce phénomène est un exemple de ce qu'on appelle une "paresthésie", autrement dit, un trouble de la sensibilité tactile qui a la particularité d'être désagréable mais non douloureux.
Consulter en cas de fourmillements prolongés
Néanmoins, il faut noter que si ces fourmillements surviennent de manière régulière et que rien ne les explique en apparence, il peut s'agir d'une pathologie plus grave ou d'un problème de circulation sanguine en général.
D'autant plus s'ils sont accompagnés d'autres symptômes suspects. Il convient alors de consulter dès que possible un médecin
En savoir plus: http://www.maxisciences.com/circulation-sanguine/pourquoi-a-t-on-parfois-des-fourmis-dans-les-jambes_