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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Saint Jean-Marie Vianney Curé d'Ars
Jean-Marie Vianney a grandi en pleine période de troubles révolutionnaires, c'est à dire aussi de persécution religieuse. Ainsi, Jean-Marie recevra sa première communion dans la clandestinité. Le jeune campagnard, qui n'a jamais fréquenté l'école, voudrait devenir prêtre mais son père est réticent. A vingt ans, il commence ses premières études, mais il est si peu doué pour les études que le séminaire de Lyon, où il a fini par entrer, décide de le renvoyer. Il parvient quand même à se présenter à l'ordination sacerdotale à Grenoble. Après un premier ministère à Ecully, il est nommé curé dans une petite paroisse de 230 habitants: Ars, à 40 km de Lyon. Il y restera jusqu'à sa mort. Sa bonté, la joie dont il rayonne, ses longues heures de prière devant le Saint-Sacrement, impressionnent peu à peu ses paroissiens. Pour écouter, réconforter et apaiser chacun, il reste jusqu'à seize ou dix huit heures par jour au confessionnal. Pendant les dernières années de sa vie, jusqu'à 100.000 pèlerins viendront chaque année pour entendre une parole de réconfort et de paix de la part de ce curé ignorant de tout, mais non pas du cœur des hommes ni de celui de Dieu. Complètement donné à sa tâche pastorale, épuisé, il aura ce mot vers la fin de sa vie: «Qu'il fait bon de mourir quand on a vécu sur la croix». Il est exaucé le 4 août 1859 quand il meurt à l'âge de 74 ans
Le cardinal Barbarin a publié un décret élevant la mémoire liturgique du saint curé d'Ars, célébrée le 4 août, au rang de fête à l'intérieur du diocèse de Lyon. C'est une manière d'honorer de façon particulière saint Jean-Marie Vianney, que le pape Benoît XVI donne comme saint patron à tous les prêtres du monde, à l'occasion du 150e anniversaire de sa mort
Mémoire de saint Jean-Marie Vianney, prêtre. Curé de la paroisse d’Ars, au diocèse de Belley, pendant plus de quarante ans, jusqu’à sa mort en 1859, il accomplit son ministère d’une manière admirable par sa prédication, sa prière continue et son exemple de pénitence. Chaque jour, il catéchisait enfants et adultes, réconciliait les pénitents, et une telle charité, puisée dans la sainte Eucharistie comme à sa source, resplendissait en lui qu’on venait de loin rechercher ses conseils, et qu’il conduisit à Dieu, avec sagesse, un grand nombre de personnes
Saint Jean-Marie Vianney, curé d'Ars
Saint Jean-Marie Baptiste Vianney est né le 8 mai 1786 près de Lyon. Dès l'age de 17 ans il choisit de répondre à l'appel du Bon Dieu désirant "gagner des âmes au Bon Dieu". Il ne put répondre à cet appel que deux ans plus tard, son père s'y opposant. En 1815 il est ordonné prêtre et en 1818 il est envoyé à Ars où, par sa prédication, sa prière et sa manière de vivre il réveille la foi de ses paroissiens. Très rapidement sa réputation de confesseur se répand ce qui attire de nombreux pélérin.
SAINT MARTIN DE TOURS, 1600 ANS DE VENERATION
Saint Martin de Tours est vénéré depuis 16 siècles dans nos régions.
Fêté le 11 novembre, date de sa mise au tombeau, c'était autrefois un jour férié.
Près de 4.000 églises lui sont dédiées en France et pas loin de 450 en Belgique dont plus de 250 rien qu'en Wallonie, sans compter les multiples chapelles
Pourquoi ce saint a-t-il pris une telle importance pendant le quatrième siècle de notre ère ?
Revoyons ensemble son histoire.
Saint Martin de Tours
Saint Martin est né en 316 à Sabaria, aujourd'huiSzombathely en Pannonie (Hongrie),
qui sait peut-être au hasard d'une garnison de son père, tribun militaire.
Il fut élevé à Pavie et s'enrôla dans l'armée par obligation.
L'imagerie populaire l'a immortalisé dans le geste de pitié et d'amour qu'il accomplit lors d'un hiver aux portes d'Amiens vers l'an 338 et que nous décrit Sulpice Sévère, son contemporain:
"C'est ainsi qu'un jour où il n'avait sur lui que ses armes et un simple manteau de soldat, au milieu d'un hiver qui sévissait plus rigoureusement que de coutume, à tel point que bien des gens succombaient à la violence du gel, il rencontre à la porte d'Amiens un pauvre nu:
ce misérable avait beau supplier les passants d'avoir pitié de sa misère, ils passaient tous leur chemin.
L'homme rempli de Dieu comprit donc que ce pauvre lui était réservé, puisque les autres ne lui accordaient aucune pitié.
Mais que faire ?
Il n'avait rien que la chlamyde dont il était habillé: il avait en effet déjà sacrifié tout le reste pour une bonne œuvre semblable.
Ainsi, saisissant l'arme qu'il portait à la ceinture,
il partage sa chlamyde en deux,
en donne un morceau au pauvre et se rhabille avec le reste.
En vérité, le Seigneur se souvenait de ses paroles, lui qui avait proclamé jadis:
"Chaque fois que vous avez fait quelque chose pour l'un des ces tout petits, c'est pour moi que vous l'avez fait",
quand il déclara avoir été vêtu en la personne de ce pauvre.
Et pour confirmer son témoignage en faveur d'une si bonne oeuvre, il daigna se faire voir dans le même habit que le pauvre avait reçu. Cette vision n'exalta pas un orgueil tout humain chez notre bienheureux, mais il reconnut dans son œuvre la bonté de Dieu, et comme il avait dix-huit ans, il s'empressa de se faire baptiser.
Saint Martin de Tours
Pourtant il ne renonça pas immédiatement à la carrière des armes, s'étant finalement laissé convaincre par les prières de son tribun, à qui l'attachaient des liens de camaraderie et d'amitié: c'est qu'en effet, à l'expiration de son tribunat, celui-ci se promettait de renoncer au monde.
Tenu en suspens par cette attente pendant deux années environ,
après avoir reçu le baptême, Martin continua de servir dans l'armée mais de manière purement nominale".
Baptisé en 339 à Amiens, il quitte l'armée en 354, puis vint à Poitiers où il fut ordonné prêtre en 360. Disciple de Saint Hilaire, évêque de Poitiers, il lutte contre l'arianisme.
Il voyage, retourne en Hongrie puis s'installe à Milan dans la vie érémitique.
Il fondera avec Hilaire, le monastère de Ligugé près de Poitiers en 361
et devint évêque de Tours en 371, mais resta moine tant qu'il le put. Evêque missionnaire, il fut un ardent propagateur de la Foi, faisant triompher le christianisme dans l'ouest de la Gaule et organisant les paroisses rurales et des monastères (Marmoutier)
Son prestige est immense.
Ses miracles sont célèbres; guérison d'un lépreux, résurrection d'un enf
Il y eut aussi ce qu'on appela la seconde charité de St Martin:
Un jour de fête, allant à l'église célébrer l'office, il vit un pauvre nu et ordonna à son archidiacre qu'on le vêtit. Tardant à le faire, il l'emmena lui-même et lui donna sa propre tunique.
Nu à son tour, il força son archidiacre à lui apporter un autre habit.
Mais ce dernier en colère ne lui apporta qu'une guenille que Martin prit pour célébrer la Messe.
Pendant le Saint Sacrifice, un globe de feu apparut sur sa tête, comme sur celle des apôtres, et levant les mains vers le ciel, ses bras nus furent soudains couverts de bracelets d'or et de pierreries apportés par des anges.
Une autre fois, pour convaincre des païens d'abattre un pin sacré, Martin consentit à se laisser attacher du côté où il tomberait, mais au signe de la croix, l'arbre abattu tomba du côté opposé...
Il fut un ascète et un apôtre, par dessus tout un homme de prière et de charité, apôtre des populations rurales.
Lors de ses voyages à Trèves, il maintiendra des contacts avec l'empereur.
Il fut aussi en proie à de nombreuses attaques, même de proches comme Brice, son successeur à l'épiscopat.
LA MORT DE SAINT MARTIN.
Il s'éteindra à l'âge , vénérable pour l'époque, de 81 ans en 397, à Candes d'où ses ouailles ramenèrent sa dépouille vers le cimetière gallo-romain à l'ouest de la cité de Tours où il fut mis en terre le 11 novembre
Il devint très vite le premier saint non martyr vénéré en occident .Son corps deviendra l'objet d'un culte d'une extraordinaire dévotion.Ce culte éclôt sous Perpeetus, évêque de Tours (461-491), qui fit construire un grand sanctuaire.
A une première chapelle succédera une première basilique que visiteront les rois mérovingiens.
C'est sous le signe de Saint Martin et Saint Hilaire que Clovis plaça sa victoire de 507.
Il devint alors le patron des Francs (à Visé il l'est toujours)
Son tombeau devint le centre de pèlerinage le plus important de l'époque mérovingienne.
Les Carolingiens vont poursuivre cette dévotion et il apparaît dans les litanies qui accompagnent les hauts faits d'histoire sous Pépin le Bref.
Les Rois de France Capétiens se déclareront "abbés laïcs de St Martin de Tours",
c'est à dire protecteurs officiels du sanctuaire.
Sa chape est attestée dès 678 dans le Trésor Royal de France et portée comme talisman dans les batailles
Un capitulaire de Charlemagne spécifie en 810-813 que St Martin fait partie des fêtes d'obligation et les pèlerinages à son tombeau se succédèrent.
Il est toujours mentionné à Liège en 1595 dans les pèlerinages expiatoires pour 10 florins or.
Cette crypte incite au recueillement et est loin d'être un endroit triste et sinistre.
Une certaine chaleur se dégage des pierres blanches et les murs sont couverts d'ex-votos gravés à même la pierre et souvent accompagnés des blasons des donateurs dont les émaux ajoutent une note vivement colorée.
SAINTE THÉRÈSE D'AVILA
Vierge
Réformatrice des Carmélites
Docteur de l'église catholique
(1515-1582)
Sainte Thérèse naquit en Espagne, de parents nobles et chrétiens. Dès l'âge le plus tendre, un fait révéla ce qu'elle devait être un jour. Parmi ses frères, il y en avait un qu'elle aimait plus que les autres ; ils se réunissaient pour lire ensemble la vie des saints : « Quoi ! lui dit-elle, les martyrs verront Dieu toujours, toujours ! Allons, mon frère, chez les cruels Maures, et soyons martyrs nous aussi, pour aller au ciel. » Et, joignant les actes aux paroles, elle emmenait son petit frère Rodrigue ; ils avaient fait une demi-lieue, quand on les ramena au foyer paternel.
Elle avait dès lors une grande dévotion à la Sainte Vierge. Chaque jour elle récitait le rosaire. Ayant perdu sa mère, à l'âge de douze ans, elle alla se jeter en pleurant aux pieds d'une statue de Marie et la supplia de l'accepter pour sa fille, promettant de la regarder toujours comme sa Mère.
Cependant sa ferveur eut un moment d'arrêt. De vaines lectures, la société d'une jeune parente mondaine, refroidirent son âme sans toutefois que le péché mortel la ternît jamais. Mais ce relâchement fut court, et, une vive lumière divine inondant son âme, elle résolut de quitter le monde. Elle en éprouva un grand déchirement de cœur ; mais Dieu, pour l'encourager, lui montra un jour la place qu'elle eût occupée en enfer, si elle s'était attachée au monde.
Elle devint la réformatrice de l'Ordre du Carmel et fut accompagnée de saint Jean de la Croix.
Un séraphin vint un jour la percer du dard enflammé de l'amour divin : Jésus la prit pour épouse. Ses révélations, ses écrits, ses miracles, ses œuvres, ses vertus, tout est sublime à la même hauteur.
Sainte Thérèse d'Avila
Jeune femme brillante et aimée de ses proches, elle entre à l’âge de 20 ans au monastère de l’Incarnation d’Avila. Elle y prend le nom de Thérèse de Jésus et découvre dans la prière silencieuse (oraison) le lieu de l’amitié et de l’intimité avec le Christ.
Passionnément désireuse de partager son expérience et de la mettre au service de l’Église, elle s’engage dans la fondation de carmels réformés pour suivre de plus près le Christ dans la prière, la pauvreté et la simplicité d’une vie fraternelle.
Elle nous a laissé une œuvre écrite prodigieuse pour nous aider à marcher et à travailler au service de l’évangile, bonne nouvelle de l’amour de Dieu pour tous
Sainte Thérèse d'Avila (1515 - 1582)
L'enfance de Teressa de Ahumada, alimentée par des lectures pieuses, baigna dans une atmosphère passionnée ; à sept ans elle s'enfuit de chez elle afin d'être capturée par les Sarrazins, déjà elle espérait le martyre qui lui ouvrirait, croyait-elle, les portes du Ciel... Mais son oncle la ramena à la maison et elle commença de rêver à la vie religieuse tout en se plongeant avec délices dans les intrigues amoureuses de l'adolescence. Son père la confie alors aux Augustines d'Avila où elle fut pensionnaire de 16 à 18 ans. Puis elle prend la résolution de devenir religieuse, plus par souci d'ambition personnelle que pour un véritable amour de Dieu. Elle choisit d'entrer au Carmel où elle avait une parente, mais son père s'y oppose et elle s'enfuit à nouveau de la maison.
Enfin elle prononce le 3 novembre ses voeux solennels, elle a 22 ans.
Elle tombe malade et durant sa convalescence à Beccedas elle lit les oeuvres du franciscain Francisco de Osuna qui influenceront sa destinée spirituelle.
En 1534, une expérience mystique majeure lui révèle l'image du Christ flagellé.
Six ans plus tard elle éprouve douloureusement la nature infernale de la perte des âmes; elle décide de travailler sans relâche à son salut et d'observer la règle avec sérénité et diligence. En 1562 elle fonde le petit couvent de Saint Joseph d'Avila qui institue les observances traditionnelles du Carmel. Les vocations affluent et la renommée de Thérèse déclenche des mouvements de ferveur exceptionnels.
En 1567, elle rencontre un jeune moine avec lequel elle se liera d'une forte amitié spirituelle, il s'appelle Jean de la Croix...
Le prieur général du Carmel la charge de créer autant de couvent de réformées qu'elle le pourra (17 monastères seront successivement établis sous ses ordres).
Elle mourut dans la nuit du 4 au 15 octobre 1582, quand l'Espagne et le monde catholique basculèrent du calendrier julien au calendrier grégorien. Sa dépouille fut enterrée dans le couvent de l'Annonciation de la ville, une main ayant été sectionnée et conservée dans un reliquaire d'Avila (le père Gracián en coupa le petit doigt).
A son exhumation le 25 novembre 1585, découverte incorrompue alors que les vêtements avaient pourri, on y laissa un bras et le reste du corps fut envoyé à Avila, dans la salle du chapitre du couvent de Saint-Joseph. Le transfert se fit un samedi du mois de novembre de 1585, presque en secret. Les religieuses du couvent d'Alba de Tormes demandèrent à conserver un bras comme relique. Quand le duc d'Alba se rendit compte du transfert, il se plaignit à Rome et entama des négociations pour le récupérer. Le corps fut renvoyé à nouveau à Alba de Tormes, par ordre papal (1586). En 1598, un sépulcre fut édifié. On y transféra son corps, toujours intact, dans une nouvelle chapelle en 1616, puis en 1670, dans une chasse d'argent.
Après ces événements, on ne fit plus d'autres atteintes à ses restes. Ils sont désormais dans plusieurs endroits :