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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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la Canonisation ( 29 Juin 1867 )
Pour étayer le dossier de canonisation, de nouveaux miracles sont ajoutés au dossier :
L’année de la béatification, le 15 novembre 1854, en l’église de Pibrac survient la guérison de Lucie Noël, venue de la paroisse de Revel; ne pouvant plus marcher, après deux ans de traitement d’un mal que les médecins ont jugé incurable, elle décide de recourir à l’intervention de la bienheureuse Germaine. Ce jour-là, péniblement appuyée sur ses deux béquilles, elle entre dans l’église de Pibrac. Au moment de la communion, elle est tentée d’aller seule à la Sainte Table, mais elle se ravise et n’ose pas se décider. Dés son retour à Revel, rejetant ses béquilles, elle se met à marcher sans douleurs.
Le second miracle s’accomplit à Langres dans l’hôpital de la Charité:
Françoise Huot est paralysée des bras et des jambes; les médecins ont conclu à un sérieux ramollissement de la moelle épinière avec des symptômes mortels rendant tout traitement inutile et même dangereux. Après une neuvaine de prières dédiées à la bienheureuse Germaine, elle constate le dernier jour que ses plaies se cicatrisent et que ses douleurs ont disparu; elle se lève de son siège… puis se met à genoux pour remercier Dieu.
Ces deux miracles sont aussitôt soumis à la Congrégation des Rites.
Le 23 février 1865, le Pape Pie IX promulgue le décret consacrant leur authenticité; dès lors, il ne reste plus qu’à obtenir le décret du Tuto, rendu par Pie IX le 23 juillet 1865 depuis sa retraite de Gaëte (Italie).
Enfin, le 29 juin 1867, jour du dix-huitième centenaire du martyre de St Pierre et de St Paul, est célébrée à Rome la canonisation de Sainte Germaine
Sainte Germaine est la patronne des faibles, des malades, des déshérités.
Elle est aussi la patronne des bergers.
On la représente avec sa quenouille, accompagnée d'un mouton, mais aussi avec son tablier ouvert sur un bouquet de roses.
SAINTE GODELEINEVierge et martyre
Sainte du( PAS DE CALAIS )
Godeleine ou Godelive (même construction que Théophile, aimé de Dieu), est fêtée dans le diocèse d'Arras le 6 juillet, à Wierre-Efffroy, mais aussi en Belgique (diocèse de Tournai-Noyon, à l'époque). On trouve une vie détaillée dans "Les petits bollandistes", Vie des saints, tome 8, Paris Bloud et Barral, 1878, p. 82 à 94, mais c'est une écriture dans le style hagiographique d'autrefois.
Née vers 1049, de Hemrid, seigneur de Wierre-Effroy (Boulonnais), et de Ogine, d'éducation trés pieuse et dévouée aux pauvres, elle est mariée avec Bertolf, de Ghistelles. Il ne semble pas que ce fut un mariage heureux, en raison d'une hostilité de type raciste de la part de sa belle-mère (conflit entre les gens du Nord et du Sud, les uns héritiers blond ou roux à la peau blanche, les autres, chevelure brune et de peau plus colorée). Elle traitait sa bru de "corneille" et lui fit subir de nombreux sévices La légende détaille les souffrances et brimades que lui font subir son mari et sa belle-mère. Après une fausse tentative de réconciliation, son mari la fait exécuter par deux valets au château. Elle décède dans la nuit du 6 au 7 juillet 1070. Bertolf se remariera. Du second mariage naitra une fille aveugle. Elle sera guérie par un miracle de la sainte. Le mari se convertit et se fait religieux.
Les femmes maltraitées, dit le récit, peuvent trouver en elle un bel exemple à imiter, et sujet de consolation, puisque Godeleine, après sa mort transforma les mœurs de son mari
Saint SAULVE, évêque d’Albi
Le vocable « Saint-Saulve » rappelle le souvenir de l'évêque missionnaire, originaire d'Auvergne, Salvius, qui fut assassiné du temps de Charles Martel (v. 685-741), en compagnie d'un disciple dont le nom n'est pas mentionné dans le récit de la Passion de saint Saulve (fin du VIIIe s.) ; la tradition lui a donné le nom de Supère (Superius, « celui qui est au-dessus », parce que son corps fut inhumé au-dessus de saint Saulve...) Une autre tradition voit en Saulve un évêque d'Angoulême, ce qui n'est pas à exclure. Sa première sépulture ayant été une étable gardée par un taureau aux cornes lumineuses, saint Saulve était honoré naguère comme protecteur des bestiaux. Autour de ses reliques s'établit un monastère, devenu abbaye par la suite, qui prospéra jusqu'à la Révolution ; c'est sur les ruines de l'abbaye qu'ont été construits, à partir de 1845, le couvent et le pensionnat des Ursulines. Saint Saulve est le premier patron des églises de Beuvrages (bâtie dit la tradition, à l'emplacement de l'étable), Vendegies-sur-Ecaillon, Hecq et Leval dans le Nord, Essigny-le-Grand dans l'Aisnes, Jollain-Merlin dans le Hainaut belge et Limbricht (commune de Sittard) dans le Limbourg néerlandais. De nombreuses églises et abbayes possèdent ou ont possédé une relique de saint Saulve.
Saint Denis, Évêque de Paris, au Ier siècle, quoiqu’une certaine critique prétende le nier, est bien cet illustre Athénien converti par l’Apôtre des nations, saint Paul. Il sacrifia la gloire, la fortune, l’amitié, tout dans ce monde, pour prêcher l’Évangile. Formé à l’école du grand Apôtre, doué d’une rare intelligence, il devait par sa science, ses écrits, ses vertus, qui lui ont fait donner le nom d’homme céleste et divin, devenir l’une des premières gloires du Christianisme naissant.
Après avoir gouverné quelque temps l’Église d’Athènes en qualité d’Évêque, il prit avec lui le prêtre Rustique et le diacre Éleuthère, traversa la mer et vint à Rome, où il se présenta au pape saint Clément pour évangéliser les peuples qu’il lui assignerait.
Le saint Pape l’envoya, avec un groupe de prédicateurs apostoliques, à la conquête spirituelle des Gaules. Confiant à quelques-uns de ses disciples plusieurs parties de cette vaste contrée, il s’avança jusqu’à Paris, qui alors s’appelait encore Lutèce. Il y entra du côté de la porte Saint-Jacques, avec ses deux premiers compagnons, et parla si éloquemment des mystères du Christianisme, qu’il convertit dès l’abord une foule de païens ; plusieurs chapelles furent construites, l’Évangile faisait des progrès rapides, quand le démon suscita une terrible persécution contre ce nouveau culte, qui menaçait de tout envahir.
Saint Denis, âgé de plus de cent ans, donna l’exemple de la fermeté dans les supplices, et son courage fortifia celui de sa Chrétienté au berceau ; ni la prison, ni les fouets, ni le feu, n’ébranlèrent sa constance.
Attaché à une croix, il y prêcha le grand mystère de la Rédemption du monde ; enfin, après avoir eu le bonheur de célébrer le saint Sacrifice de la Messe dans sa prison, devant ses compagnons de supplices, consolé par l’apparition du Sauveur, il eut la tête tranchée, avec une foule de Chrétiens, vers l’an 117, saint Sixte Ier étant pape et Hadrien empereur romain, au lieu qui porte le nom de Montmartre, ou Mont-des-Martyrs.
Dieu permit qu’après l’exécution son corps se levât de lui-même, pour porter sa tête entre ses mains, à deux lieues de là, au lieu appelé Saint-Denis, en souvenir de ce fait mémorable.
Saint Dominique Savio
C’est un jeune, mort en pleine adolescence, un authentique témoin du Christ. Un jeune qui a découvert le monde merveilleux de la grâce et qui, fier de sa foi, a rayonné, jusque dans les plus petits détails de sa vie, la joie du Christ.
Le « Chevaliers de la Vierge Immaculée » à qui il a consacré toute sa vie dans un élan de confiance totale.
Un apôtre à l’âme de feu, qui a mis toute sa vie au service du Christ et, pour le Christ, au service de tous ses frères, dont il se sentait responsable et que, dans un élan irrésistible, il voulait sauver.
Dominique naît à Riva de Chieri (Piémont) le 2 avril 1842. Doué d’une intelligence précoce, il découvre très tôt une vraie prière. Il sert la Messe n’ayant pas encore six ans. Sa ferveur exceptionnelle le fait admettre à la Communion dès l’âge de sept ans, contrairement à toutes les habitudes de l’époque. Au soir de ce jour, il écrit dans un modeste carnet ces quelques lignes :
Résolutions prises par moi, Dominique, l’an 1849, pour ma première communion :
Saint Dominique Savio
C’est dans une fidélité héroïque à ces résolutions que, guidé par Don Bosco, Dominique monte vers la sainteté. Le 8 décembre 1854, il adresse à la Vierge Immaculée cette prière : « Faites que je reste toujours votre enfant. Faites-moi mourir plutôt que de commettre un seul péché ». Quelques temps plus tard, il fonde en l’honneur de Notre-Dame les « Compagnons de l’Immaculée Conception ».
Il meurt dans une extase le 9 mars 1857. Le Pape Pie XII le proclame saint et le donne comme Patron aux jeunes du monde entier le 12 juin 1954. Aujourd’hui encore, des jeunes l’admirent et décident de s’engager dans son sillage en vivant de son idéal.
Saint Daniele Comboni fondateur de l'Institut des Missionnaires Comboniens
Né à Brescia, Italie, il consacre sa vie à l'Afrique. Ordonné prêtre en 1854, dans la confiance que les africains deviendront eux-mêmes protagonistes de leur propre évangélisation, il prépare un projet qui a le but de «sauver l'Afrique par l'Afrique même».
De manière prophétique, il annonce à l'Eglise toute entière, en particulier en Europe, que l'heure du salut des peuples de l'Afrique est arrivée. Pour cela, même s'il est un simple prêtre, il n'hésite pas à se présenter au Concile Vatican I pour demander aux évêques que chaque église locale soit engagée dans la conversion de l'Afrique (Postulatum, 1870).
Avec un courage hors du commun à l'époque, il envoie des sœurs missionnaires en Afrique Centrale et en 1872 il fonde son Institut de sœurs exclusivement consacrées aux missions: les sœurs Missionnaires Comboniennes.
Pour les africains, il dépense toutes ses énergies et se bat pour l'abolition de l'esclavage.
En 1877 il est consacré Evêque et nommé Vicaire Apostolique de l'Afrique Centrale.
Canonisé le 5 octobre 2003 par Jean-Paul II.
Saint Jacques de la Marche
Saint Jacques de la Marche (1391-1476), Franciscain
né à Monteprandone dans les Marches italiennes. Jacques garda d'abord les brebis, puis, grâce à un prêtre de sa famille, commença des études et fit son droit à Pérouse. Entré chez les Franciscains, ami de saint Bernardin de Sienne et de saint Jean de Capistran, il était un grand orateur. Il parcourut la Dalmatie, la Bosnie, la Hongrie, la Bohème, la Pologne et l'Italie, où il convertit des foules d'hérétiques.
ll fut, dès son noviciat, le modèle des vertus héroïques. Il ne donnait que trois heures au sommeil et passait le reste de la nuit à prier au pied du crucifix.
Il eut d'immenses succès, en Allemagne, dans une seule ville, deux cents jeunes gens, entraînés par ses exemples embrassèrent la vie religieuse. Une fois, les hérétiques tentèrent de l'empoisonner; mais voyant le plat se briser, au seul signe de la Croix fait par le Saint, ils s'écrièrent: "Le doigt de Dieu est là", et ils se convertirent. En Norvège et en Danemark, il administra le Baptême à deux cent mille personnes. A Prague, des personnes lui promirent de se convertir s'il faisait un miracle. Après avoir invoqué Dieu et fait le signe de la Croix, il avala un breuvage empoisonné sans en ressentir aucun mauvais effet.
De retour en Italie, ayant affaire à un batelier qui refusait de lui faire traverser le Pô, Jacques n'hésita pas, étendit son manteau sur le fleuve et vogua heureusement vers l'autre rive.
Il tenta même d'étendre son ministère jusqu'au Proche-Orient, mais il rentra en Italie où, durant trente ans, il ne cessera de parcourir les Marches et l'Italie centrale. Enfin, malgré son grand âge, il est chargé par le pape d'une mission diplomatique à Naples, où il mourut le 28 novembre 1476.
Benoît XIII l'a canonisé en 1726.
Saint Léger, nommé évêque d'Autun en 663, réunit en 670 un concile qui statue principalement sur la vie monastique. Le patron de la paroisse est représenté avec ses insignes pontificaux que sont la chape de couleur rouge, la mitre et la crosse. La crosse, inspirée de la houlette des bergers, rappelle la vocation pastorale de l'évêque.
Saint Dominique est né vers 1170 en Espagne.
Garçon timide et réservé, bon écolier studieux, Dominique passe volontiers des nuits entières à travailler. A 14 ans, il entre à l’université de Palencia où il étudie la théologie et la philosophie. Il entre dans les ordres comme chanoine régulier de Saint Augustin.
Pendant qu’il étude à Palencia, une famine éclate en Espagne. De nombreux pauvres viennent se réfugier dans les villes. Dominique est touché par cette misère des hommes, les pauvres qui mendient, les femmes et les enfants pâles et maigres .Dominique va vendre et donner tout ce qu’il a pour les aider…L’amour de Dominique est contagieux, non seulement ses professeurs mais aussi ses camarades vont suivre l’exemple. Il a moins de 20 ans et déjà il rassemble les hommes autour de lui.
Plus tard devenu prêtre, il quitte le monastère et sa vie d’alors qui n’était que prière, liturgie et étude pour se rendre dans le Sud de la France où sévit une secte religieuse, les Cathares. Séparés de l’église, ils répandent partout leurs idées…. Le Pape et les Evêques mènent une vraie guerre contre ces « hérétiques », Dominique, lui, apprend à dialoguer avec eux. Pour prêcher la Parole de Dieu, il reçoit le renfort de compagnons.
Deux par deux, pauvrement, les nouveaux missionnaires vont par les chemins, prêcher dans les villes et les villages, dans plusieurs pays d’Europe. Dominique passe des nuits entières à prier et à pleurer. Ainsi va se développer petit à petit la communauté des frères qui naît en 1216. C’est le début de l’immense famille Dominicaine. Dominique obtient sa reconnaissance officielle par le Pape. De nombreux couvents en France, en Italie, en Espagne se créent.
Le 8 août 1221, Saint Dominique meurt à Bologne après une longue maladie. Il est canonisé en 1234 par Grégoire IX, qui fixe sa fête au 4 août