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ACTUALITES

F. Fillon, ministre du Quinquennat ... remet sa démission !

Publié à 12:54 par yvonne92110 Tags : actualités fillon remet la démission du gouvernement
F. Fillon, ministre du Quinquennat ... remet sa démission !
Fillon, unique Premier ministre du quinquennat, remet la démission du gouvernement ... François Fillon, qui restera l'unique Premier ministre du quinquennat de Nicolas Sarkozy remet jeudi la démission de son gouvernement au président sortant, au lendemain du dernier Conseil et à cinq jours de la passation de pouvoirs à l'Elysée avec François Hollande.Partagez cet article sur FacebookPartagez cet article sur TwitterM. Fillon doit remettre cette démission "en matinée", a indiqué l'Elysée. Matignon n'a pas fourni d'indication. Puis, jusqu'à mardi, "le gouvernement expédiera les affaires courantes", a signalé mercredi la porte-parole Valérie Pécresse à l'issue du dernier conseil des ministres.

Cette ultime réunion a, de l'aveu général, été empreinte d'une grande émotion. Selon plusieurs ministres, Nicolas Sarkozy a été "applaudi debout" par les 32 ministres et secrétaires d'Etat.

Comme il s'est appliqué à le faire tout au long de la campagne, François Fillon a, lui, défendu le bilan du quinquennat.

"J'ai rappelé que l'engagement principal de Nicolas Sarkozy en 2007 avait été tenu", celui "de remettre la France en mouvement", a-t-il dit. "Nous l'avons fait avec un nombre de réformes qu'aucun autre (gouvernement) n'a engagées", a-t-il ajouté.

Nommé Premier ministre par Nicolas Sarkozy le 17 mai 2007, M. Fillon pourra se prévaloir d'une longévité quasi inédite à ce poste dans l'histoire de la Ve République: seul Georges Pompidou a fait mieux. Mais, durant une large partie du quinquennat, il aura eu à lutter pied à pied contre l'omniprésidence, construisant sa popularité sur un style tout en sobriété, en opposition totale avec celui de Nicolas Sarkozy.

Agé de 58 ans, ayant quitté la Sarthe pour se présenter aux législatives à Paris, il est aujourd'hui le principal rival du patron de l'UMP, Jean-François Copé, dans l'optique de 2017.

 

Mercredi, en conseil des ministres, celui qui fut qualifié en 2007 de simple "collaborateur" a eu le droit à un hommage appuyé de Nicolas Sarkozy.

"Il n'y a pas eu de couple qui se soit aussi bien entendu dans la Ve République", a affirmé le président sortant, selon plusieurs témoignages. "On était différents. Heureusement qu'on était différents, les deux mêmes ça aurait été insupportable", a-t-il ajouté.

  

La flamme des J.O de Londres ... Allumée à Olympie !

Publié à 12:46 par yvonne92110 Tags : actualités la flamme des JO de londres allumée
La flamme des J.O de Londres ... Allumée à Olympie !

- (photo ci-dessus : Des actrices allument la flamme olympique lors d'une répétition le 9 mai 2012 à Olympie en Grèce) -                                      

La flamme des JO de Londres allumée à Olympie en Grèce La flamme des jeux Olympiques de Londres, qui s'ouvriront le 27 juillet, a été allumée jeudi en Grèce conformément à la tradition, dans l'ancienne Olympie, site des premiers Jeux dans l'antiquité, avant de traverser le pays et de rejoindre la Grande-Bretagne.
La Grande Prêtresse Ino Menegaki a allumé la flamme olympique "à la lumière directe des rayons du soleil" vers 09h10 GMT. Puis, selon le rituel préparé par la chorégraphe Artemis Ignatiou, la lumière sacrée a été confiée au premier relayeur, le champion du monde grec de natation en eau libre, Spyros Gianniotis.

Il devait ensuite passer le premier relais à Alexander Loukos, boxeur britannique de 19 ans et fils d'un immigré grec.

La flamme accomplira un périple d'une semaine en Grèce, "visitant" cinq grands sites archéologiques, dont l'Acropole, pour arriver le 17 mai au vieux Stade olympique d'Athènes, siège des premiers Jeux modernes en 1896, où elle sera remise à la délégation britannique à l'issue d'une cérémonie nocturne.

Le relais britannique débutera le 19 mai dans le sud-ouest de l'Angleterre, pour un périple de 70 jours et de 12.875 km, jusqu'à la cérémonie d'ouverture, le 27 juillet à Londres.

En Grande-Bretagne, la flamme parcourra un peu moins de 13000 kilomètres à travers tout le pays hôte, passant à moins de 16 kilomètres de 95 pour cent de la population du Royaume-Uni, de l'île de Man, de Guernesey et de Jersey.

La flamme olympique sera portée par 8000 relayeurs et utilisera de nombreux moyens de transport différents durant son voyage.

La flamme fera un seul détour hors du Royaume-Uni, en Irlande, car le CIO a décidé de supprimer les étapes internationales, quatre ans après les incidents survenus dans plusieurs pays, notamment la France, lors du périple international de la torche des Jeux de Pékin en 2008.

Cette cérémonie perpétue la tradition des Jeux de l'antiquité à Olympie, pendant lesquels un feu demeurait allumé tout au long de la compétition. Une tradition réintroduite en 1936 pour les JO de Berlin.                                     

Grande leçon de courage ... Au marathon de Londres !

Publié à 11:51 par yvonne92110 Tags : actualités grande lecon courage marathon de londres
Grande leçon de courage ... Au marathon de Londres !
Une femme paralysée fait le marathon de Londres avec des "jambes bioniques" ... Une Britannique de 32 ans, paralysée, a réussi à boucler pour la première fois le marathon de Londres à l'aide de "jambes bioniques", un appareillage qui lui a permis de se tenir debout et de marcher plus de 40 kilomètres en dépit de son handicap.
Partagez cet article sur FacebookPartagez cet article sur TwitterClaire Lomas a franchi mardi en larmes, mais "aux anges", la ligne d'arrivée, appuyée sur ses béquilles, 16 jours après avoir entamé ce parcours de 42,2 kilomètres.

Des centaines de personnes s'étaient rassemblées pour saluer son exploit et des soldats de la cavalerie royale lui ont fait une garde d'honneur sur le Mall, la célèbre avenue qui conduit à Buckingham Palace, dans le centre de Londres.

"Quand je m'entraînais, il y avait des jours où je me demandais si j'y arriverais", a expliqué Claire Lomas, une ancienne chiropractrice paralysée des membres inférieurs à la suite d'un accident de cheval en 2007.

"Mais quand j'ai commencé, j'ai juste pris chaque jour comme il venait, et chaque pas me rapprochait du but".

La jeune femme, qui dessine aujourd'hui des bijoux, a marché trois kilomètres environ chaque jour, soutenue par son mari, sa fille de 13 mois et ses parents. Des personnalités ont aussi marché un moment à ses côtés pour l'encourager.

L'appareil qui était fixé sur ses jambes a été mis au point par un chef d'entreprise israélien et coûte 43.000 livres (53.000 euros).

Avec l'aide de capteurs de mouvement relié à un ordinateur embarqué, il permet de mimer la façon dont les articulations devraient répondre normalement. Les personnes dont les membres inférieurs sont paralysés peuvent ainsi se mettre debout, marcher et monter les escaliers.

Grâce à cette course, la jeune femme a réuni plus de 86.000 livres (107.000 euros) pour une association qui finance la recherche contre la paralysie provoquée par une fracture du cou ou du dos.

Claire Lomas ne doit pas figurer dans le palmarès de la course qui devait être bouclée par les 36.000 participants en une journée et elle ne recevra donc pas de médaille à ce titre.

Mais une douzaine de participants lui ont donné la leur en hommage à son exploit.

Le Duo Présidentiel ... Une parenthèse républicaine !

Publié à 11:44 par yvonne92110 Tags : actualités une parenthèse républicaine présidents
Le Duo Présidentiel  ...  Une parenthèse républicaine !

- (photo ci-dessus : Nicolas Sarkozy et François Hollande devant l'Arc de Triomphe le 8 mai 2012 à Paris ) -                                                                                                                

Le 8 Mai, une "parenthèse républicaine" avant la reprise de combats, estime la presse ... Le "duo présidentiel" qu'ont formé mardi lors des cérémonies du 8 Mai le président élu François Hollande et le vaincu Nicolas Sarkozy offre une "parenthèse républicaine" avant la reprise de combats "sans merci" pour les législatives de juin, estiment mercredi les éditorialistes.
Dans le Figaro, Paul-Henri du Limbert parle de "la paix des braves sous l'Arc de triomphe", une image "forte" qui "frappe la conscience nationale". "Nicolas Sarkozy a réussi sa sortie, François Hollande son entrée", assure l'éditorialiste du quotidien conservateur.

"On n'ira pas jusqu'à rejoindre le choeur des mauvaises langues selon lesquelles Nicolas Sarkozy est enfin devenu président le jour où il ne l'était plus, mais force est de reconnaître qu'il réussit mieux sa sortie que son entrée en fonctions il y a cinq ans", ajoute Bruno Dive (Sud-Ouest).

"Comme s'il avait fallu attendre l'échec pour trouver les gestes qui réconcilient, rassemblent et grandissent", avance Michel Urvoy dans Ouest France.

"Nicolas Sarkozy avait débuté la campagne en demandant l'indulgence des téléspectateurs pour ses erreurs de début de mandat", souligne Daniel Ruiz (La Montagne). "Hier, il a mis la touche finale à son acte de contrition en nous proposant l'image sereine d'une transition normale", "se montrant... sous un jour plus apaisé que celui du discours de Grenoble, des clivages caricaturaux et du braconnage sur les terres fangeuses de l'extrême droite".

Selon Ruiz, le vaincu s'épargne ainsi "le ratage d'une sortie giscardienne sous les sifflets" et "concède" à M. Hollande "la victoire du discours rassembleur sur celui de l'identité nationale".

Le président sortant "avait besoin de la présence de son successeur à ses côtés" pour "atténuer" son "image de diviseur", selon Michel Lepinay (Paris-Normandie). "Evidemment, on ne peut défaire en un jour... cinq ans de passion virulente, de propos à l'emporte-pièce, de stigmatisations, de coups de gueule et de coups de force", poursuit-il.

La "sérénité retrouvée" de Nicolas Sarkozy "a valeur d'autocritique" mais elle arrive "trop tard", déplore Patrick Fluckiger dans l'Alsace.

Pour François Martin (le Midi Libre), la classe politique a joué hier un remake de "Guerre et Paix" mais le 8 mai 2012 ne représente qu'une "parenthèse républicaine inédite dans une campagne de brutes", une fugace "armistice" avant la reprise" de "combats" qui, pour les législatives, "s'annoncent furieux" et "sans merci."

D'ailleurs, relève Pascal Jalabert (Le Progrès), la parenthèse est déjà "refermée", "France de gauche et France de droite lâchent de nouveau leurs coups". Et ce sans prendre garde à la "troisième France qui au premier tour de l'élection a planté des épines dans la gerbe républicaine".

 

Viol chez les Pompiers de Paris ... A qui faire confiance ?!

Publié à 11:38 par yvonne92110 Tags : actualités viol chez les pompiers paris plus confiance
Viol chez les Pompiers de Paris ... A qui faire confiance ?!
Viol présumé chez les pompiers de Paris : une quinzaine de militaires entendus ..... Des auditions sont en cours dans le cadre de l'enquête sur des faits allégués de viol dont affirme avoir été victime un jeune sapeur-pompier dans un car qui ramenait de province une équipe sportive des pompiers de Paris, a-t-on appris mercredi de source proche du dossier.
Ces auditions, précise-t-on de même source, concernent une quinzaine de militaires de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP), qui ont été convoqués.

Elles sont réalisées par des gendarmes de la section de recherches de Paris saisie par le parquet de Paris.

Interrogé par l'AFP le lieutenant-colonel Pascal Le Testu, porte-parole de la BSPP, n'a voulu faire aucun commentaire, se contentant de rappeler que deux enquêtes étaient en cours : l'une diligentée par l'autorité judiciaire et l'autre interne, menée par la hiérarchie de la BSSP.

Le jeune homme a déposé plainte dimanche à Paris pour viol, accusant un de ses collègues de l'avoir violé après une séance de bizutage qui aurait mal tourné, au vu et au su d'autres pompiers qui se trouvaient dans le bus.

Deux Présidents ensemble ... pour célèbrer le 8 mai !

Publié à 11:51 par yvonne92110 Tags : actualités deux présidents ensemble fetent le 8 mai
Deux Présidents ensemble ... pour célèbrer le 8 mai !

- ( photo ci-dessus) Le président élu François Hollande et le président sortant Nicolas Sarkozy déposent une gerbe sur la tombe du soldat inconnu le 8 mai 2012 à Paris ) -

Sarkozy et Hollande attendus ensemble aux cérémonies du 8-mai ...

    Nicolas Sarkozy, lors de la cérémonie du 8-mai, en 2010 

Le président sortant Nicolas Sarkozy et François Hollande participent ensemble ce mardi à Paris, aux cérémonies du 8-mai marquant la fin de la Deuxième Guerre mondiale, un signe de "réconciliation" salué par le nouveau président élu dimanche.

"Que nous puissions avoir, le 8 mai, le président encore en exercice, Nicolas Sarkozy, et celui qui est désormais élu par les Français, je crois que c'est une belle image qui permet d'agir pour ce qui est, à mon avis, l'objectif qui doit être le mien au lendemain de ce scrutin : la réconciliation", a commenté lundi François Hollande.

Les deux hommes se retrouveront pour la cérémonie qui débutera à 11h05 par un dépôt de gerbe du président Sarkozy au pied de la statue du général de Gaulle, sur les Champs-Elysées.

"Réconciliation" :

À partir de 11h15, Nicolas Sarkozy, président en exercice jusqu'au 15 mai, passera les troupes en revue sur la place de l'Etoile, déposera une gerbe, ravivera la flamme et se recueillera devant le tombeau du soldat inconnu.

"Nicolas Sarkozy a proposé à François Hollande de participer à cette cérémonie, il l'a accepté", a précisé l'Elysée.

Cette décision a été prise lors d'une conversation téléphonique, lundi matin, entre le secrétaire général de l'Elysée Xavier Musca et le directeur de campagne de M. Hollande, Pierre Moscovici.

La politique ne perdra pas pour autant ses droits: le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, a invité par texto les militants à venir "nombreux accueillir chaleureusement Nicolas Sarkozy à l'occasion de la cérémonie du 8 mai [mardi] à 9h30, place de l'Etoile à Paris".

Il y a 17 ans, en 1995, François Mitterrand et Jacques Chirac tout juste élu avaient également participé ensemble aux cérémonies du 8-mai. Mais c'est la première fois que le président sortant commémore l'armistice aux côtés de celui qui l'a battu dans les urnes deux jours plus tôt.

Au lendemain de cette cérémonie, François Hollande poursuivra la préparation de sa transition avec déjà des rendez-vous majeurs: passations des pouvoirs et nomination d'un Premier ministre le 15 mai, premier conseil des ministres et rencontres avec Angela Merkel à Berlin le 16, voyages aux Etats-Unis pour le G8 (18-19 mai) et le sommet de l'OTAN (20-21 mai). François Hollande a également été invité par le président Obama à lui rendre visite à la Maison Blanche.

Mi juin, Sarkosy redevient ... un justiciable ordinaire !

Publié à 13:07 par yvonne92110 Tags : actualités sarkosy redevient un justiciable ordinaire
Mi juin, Sarkosy redevient ... un justiciable ordinaire !
Sarkozy redeviendra à la mi-juin un justiciable ordinaire ..... Nicolas Sarkozy perdra à la mi-juin l'immunité présidentielle qui le protégeait d'éventuelles poursuites judiciaires et l'empêchait même d'être entendu comme témoin dans plusieurs affaires, ayant trait notamment au financement de sa campagne de 2007. 
L'article 67 de la Constitution stipule que le président de la République ne peut durant son mandat "être requis de témoigner" ni "faire l'objet d'une action, d'un acte d'information, d'instruction ou de poursuite". Cette interdiction est levée un mois après la cessation de ses fonctions.

L'investiture de François Hollande doit avoir lieu au plus tard le 15 mai, le quinquennat de Nicolas Sarkozy s'achevant ce jour-là à minuit. Les juges pourraient donc théoriquement convoquer M. Sarkozy à partir du 16 juin.

En 2007, son prédécesseur Jacques Chirac avait été entendu le 19 juillet, deux mois après son départ de l'Elysée, par un juge enquêtant sur un volet de l'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris. Renvoyé en correctionnelle, Jacques Chirac a été condamné le 15 décembre 2011 à deux ans de prison avec sursis, une première pour un ancien président de la République. Il n'a pas fait appel.

Les juges enquêtent sur plusieurs affaires dans lesquelles ils pourraient décider d'entendre Nicolas Sarkozy.

L'un des volets de l'affaire Bettencourt porte sur des soupçons de financement illégal de sa campagne électorale de 2007, et a été relancé par l'incarcération, le 23 mars, de Patrice de Maistre, l'ex-conseiller financier de Liliane Bettencourt. Nicolas Sarkozy a démenti toute irrégularité.

Des accusations sur un financement libyen de sa campagne de 2007, lancées en 2011 par le fils du colonel Kadhafi, Saïf Al-Islam, ont par ailleurs ressurgi entre les deux tours. Le site Mediapart a publié un document controversé attribué à un ex-homme de confiance de Kadhafi, faisant état d'un "accord de principe" conclu en 2006 et portant sur 50 millions d'euros.

Nicolas Sarkozy a parlé d'"infamie" et porté plainte pour "faux" et "publication de fausses nouvelles" contre Mediapart. Lequel a riposté en déposant une plainte en dénonciation calomnieuse contre le président sortant.

Dans l'affaire Karachi, les juges enquêtent par ailleurs sur un éventuel financement occulte de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995, par le biais de rétrocommissions présumées versées dans le cadre de contrats d'armement, mises en lumière dans l'enquête sur l'attentat de Karachi (Pakistan) du 8 mai 2002.

"Ca fait bientôt 17 ans. Est-ce que vous imaginez que s'il y avait quoi que ce soit à reprocher à M. Balladur, on ne l'aurait pas trouvé ?", relevait en octobre 2011 Nicolas Sarkozy, qui était en 1995 ministre du Budget et porte-parole de campagne de M. Balladur.

Les juges Roger Le Loire et Renaud van Ruymbeke ont obtenu l'élargissement de leur enquête à de possibles faits de blanchiment aggravé de 1993 à mars 2012, ce qui a conduit à une nouvelle mise en examen le 24 avril pour l'homme d'affaires franco-libanais Ziad Takieddine.

Pour éviter que la justice passe trop tard, François Hollande s'est engagé à lancer dès sa première année de mandat une réforme du statut pénal du chef de l'Etat afin qu'il ne soit plus intouchable pendant son mandat.

31 Ans après Mitterrand ... la Bastille " s'enflamme " !

Publié à 12:53 par yvonne92110 Tags : actualités 31 ans après mitterrand la bastille en fete
31 Ans après Mitterrand ... la Bastille " s'enflamme " !

 

Trente-et-un ans après, la Bastille s'enflamme de nouveau pour Hollande ! C'est là que le 10 mai 1981 la gauche avait fêté François Mitterrand, premier socialiste élu président sous la Véme République : dimanche, 31 ans plus tard ... elle est revenue célébrer la victoire de François Hollande, place de la Bastille à Paris.

20H00. Le visage du vainqueur apparaît sur l'écran géant, confirmant ce que tout le monde subodorait depuis la fin de l'après-midi. La clameur est immense sur une place noire de monde, avec de très nombreux jeunes.

Quand, tout juste arrivé de Tulle, il arrive près de la place plus de quatre heures plus tard, à 00H20, François Hollande déclenche la liesse dans une foule toujours aussi compacte.

"Vous êtes une foule immense !", commence-t-il, rayonnant. "Merci, peuple de France ici rassemblé !", "Je vous ai entendus. J'ai entendu votre volonté de changement !", poursuit sous les vivats celui qui se décrit comme "le président de la jeunesse de France".

Devant une mer de drapeaux français mais aussi du monde entier, il entonne la Marseillaise, étreint longuement Lionel Jospin, salue Mazarine Pingeot, la fille de François Mitterrand, et fait la bise à son ex-compagne Ségolène Royal. La candidate malheureuse de 2007 s'était aussi taillé un bon succès d'estime à l'applaudimètre, déclenchant quelques "Ségolène présidente".

"Je me pince toutes les trois secondes pour m'assurer que c'est bien réel", lâche la nouvelle première dame de France, Valérie Trierweiler.

Toute la soirée, les fumigènes rouges et roses ont illuminé le Génie de la Bastille, des pétards ont crépité, les drapeaux ont flotté. Très vite, la colonne de Juillet a été escaladée, les barrières de sécurité enjambées et la foule s'est pressée vers la scène écouter des artistes "amis", Yannick Noah, Ridan, Pep's, Kassav, Yaël Naïm, Axel Bauer...

Aux premiers rangs, la pression est forte, quelques mouvements de foule ont lieu, mais l'ambiance reste bon enfant.

"Hollande président!", "On a gagné ! On a gagné !", scande la foule. Certains brandissent des roses rouges, d'autres lèvent le poing et fustigent autant le vaincu qu'ils acclament son tombeur. "Bye bye Sarko", "Sarko en prison", "Sarko, c'est fini!", "Sarkozy au Pôle Emploi".

L'intervention du président battu est aussi copieusement huée que celles des ténors de la droite Jean-François Copé et Nadine Morano. Un homme, ironique, demande si les merguez vendues dans un stand sont "halal", un thème de campagne développé par Nicolas Sarkozy au grand dam de la gauche.

"Hollande président, ça va changer la notion de président", dit la comédienne Josiane Balasko, soutien de longue date des socialistes et de François Hollande. Clémentine Célarié, Guy Bedos, Michel Piccoli sont aussi là.

Armel Noisy, Stéphanois de 60 ans, est venu fêter "le départ de Nicolas Sarkozy" mais attend aussi de François Hollande qu'il respecte "ce qu'il a dit lors du débat, dans sa longue tirade : +Moi, président...+" ...

Car la foule a des exigences: "Hollande, le changement, ça doit être vraiment maintenant", réclame une pancarte, "Vite, la VIème République", "La retraite à 60 ans à taux plein, c'est maintenant", exigent d'autres.

En 1981, la fête s'était organisée dans l'improvisation, dans l'après-midi, quand les sondages ne laissaient plus le moindre doute sur l'identité du vainqueur. Elle s'était aussi tenue sous la pluie et François Mitterrand n'était pas venu parler. Cette fois, elle a été préparée.

Sous l'oeil des caméras placées au pied de l'Opéra Bastille, construit durant l'ère Mitterrand, les sympathisants avaient afflué très tôt avant l'officialisation des résultats.

François Hollande Président ... de tous les Français !

Publié à 12:39 par yvonne92110 Tags : actualités francois hollande président de la france
François Hollande Président ... de tous les Français !

Elu président avec 51,62%, Hollande face maintenant au casse-tête du gouvernement et des législatives ..... Au lendemain d'une victoire fêtée à la Bastille par des dizaines de milliers de personnes, le nouveau président François Hollande va devoir se lancer dans la formation d'un gouvernement pour préparer les législatives, et ainsi disposer d'une majorité pour diriger le pays.

Photographe : Thomas Coex :: François Hollande à son arrivée place de la Bastille dans la nuit du 6 au 7 mai 2012 à Paris 

François Hollande a obtenu 51,62% des suffrages exprimés, contre 48,38% à Nicolas Sarkozy, selon la totalisation finale des résultats effectuée par le ministère de l'Intérieur, y compris les Français de l'étranger.

Plus de 18 millions de suffrages se sont portés sur le président élu, 16,9 millions sur son prédécesseur et 2,1 millions d'électeurs ont voté blanc ou nul, selon cette totalisation portant sur plus de 46 millions d'inscrits et 37 millions de votants.

"Le président" : dès lundi matin, le visage radieux du nouveau chef de l'Etat s'affiche dans les rues de Paris à la une des magazines.

Nette sans être écrasante, la victoire du candidat socialiste est saluée en France comme à l'étranger comme un cap vers le "changement" et la relance de l'économie, même si "le plus dur commence" pour le nouveau chef de l'Etat.

La gauche salue dans son ensemble la victoire de l'"espoir", qui selon le quotidien Libération "fait renaître 1981", 31 ans plus tard, et l'élection de François Mitterrand dont les images "semblait condamnées aux livres d'histoire".

La droite constate pour sa part sans rechigner que le candidat socialiste est devenu, comme l'écrit le Figaro, "le président de tous les Français", à l'image de Nicolas Sarkozy, qui a reconnu dimanche soir sa défaite et souhaité "bonne chance" à son successeur avant même l'annonce des résultats définitifs.

A la Bastille en liesse - drapeaux tricolores et hurlements de joie -, François Hollande a remercié "le peuple de France, ici rassemblé", promettant de "réparer, redresser" pendant cinq ans, après "des années de blessure, de rupture".

Les principaux dirigeants étrangers ont également tourné dès dimanche soir la page du sarkozysme. La chancelière Angela Merkel et le ministre des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, ont invité François Hollande en Allemagne pour travailler à un pacte de croissance. Le président américain Barack Obama l'a invité à la Maison blanche et félicité pour son élection, comme la Brésilienne Dilma Rousseff, le Vénézuélien Hugo Chavez, ou le Premier ministre belge, Elio Di Rupo.

Première étape du quinquennat Hollande, la passation de pouvoirs devrait avoir lieu vers le 14 mai. Le chef de l'Etat doit également désigner dans les prochains jours son Premier ministre, qui conduira la bataille des législatives.

François Hollande candidat avait annoncé que son choix dépendrait de l'ampleur de sa victoire. Avec 51,62% des voix, celle-ci ne plaide pas pour la nomination d'une personnalité au discours trop radical, susceptible de diviser les Français alors que le discours est au rassemblement. Le nom du député-maire de Nantes Jean-Marc Ayrault, fidèle du chef de l'Etat, tenait la corde ces derniers jours.

Parmi ceux qui devraient figurer dans un premier gouvernement, les noms de Manuel Valls, François Rebsamen, Marisol Touraine, Jean-Yves Le Drian, Laurent Fabius, Najat Vallaud-Belkacem, Aurélie Filippetti circulent avec insistance.

Dimanche soir, François Hollande a demandé à ses partisans de "ne pas se démobiliser". "Il faut donner une majorité au président de la République", a-t-il martelé, dans la perspective des législatives des 10 et 17 juin.

Europe Ecologie Les Verts, allié écologiste des socialistes, réunit un Conseil fédéral ce lundi pour discuter de sa participation au gouvernement.

A droite, le bureau politique de l'UMP se réunira à 15H00 pour préparer les législatives. L'UMP, secouée par la défaite, entre dans une période de turbulences sur la ligne politique, après l'échec du "à droite toute" de Nicolas Sarkozy entre les deux tours, comme sur la direction du parti.

Le calendrier international s'accélèrera ensuite pour le président Hollande, qui a déjà deux rendez-vous cruciaux à son agenda, avec le sommet du G8, les 18 et 19 mai à Camp David (Etats-Unis) et le sommet de l'Otan de Chicago les 20-21 mai.

Dans son message au nouveau président français, Barack Obama a évoqué d'emblée des "dossiers difficiles" à gérer en commun, dans une allusion évidente à l'Afghanistan - François Hollande a annoncé le retrait anticipé, fin 2012, des troupes combattantes françaises - et à la crise de la dette européenne.

Pour celui qui veut être le président de "l'égalité" et de "la justice", les choses sérieuses commencent.

Les Français votent ... pour le prochain Président !

Publié à 13:48 par yvonne92110 Tags : actualités les francais votent pour la présidence
Les Français votent ... pour le prochain  Président !
Les Français votent pour départager Nicolas Sarkozy et François Hollande ... Le scrutin du second tour de la présidentielle, où 46 millions de Français sont appelés à voter, s'est ouvert à 08H00 dimanche en métropole, sous un ciel souvent gris, pour départager les deux finalistes, le sortant UMP Nicolas Sarkozy et le socialiste François Hollande, alors que la participation s'annonce forte.
Premier des deux à s'exprimer, François Hollande a voté vers 10H30 dans son fief de Tulle, en Corrèze. Le candidat socialiste, qui était accompagné de sa compagne Valérie Trierweiler, a pris le temps de serrer des mains et d'embrasser quelques connaissances avant de pénétrer dans le bureau de vote.

Comme au premier tour, Nicolas Sarkozy devait voter en fin de matinée dans un lycée du XVIe arrondissement de Paris.

François Bayrou, le président du MoDem, a voté à Pau dès l'ouverture du bureau, et Jean-Luc Mélenchon, l'ex-candidat du Front de Gauche, à 10H00 pile dans une école du Xe arrondissement de Paris.

Les bureaux de vote sont ouverts en métropole de 08H00 à 18H00 dans la plupart des communes, et jusqu'à 19H00, voire 20H00, dans les grandes villes, en particulier à Paris et dans presque toute la région parisienne.

Plus d'un million de personnes résidant en outre-mer ou à l'étranger ont voté dès samedi. Les derniers bureaux de vote fermeront à 20H00.

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    Selon les premiers pointages, la participation à 17H00 locales était en hausse de trois à six points en Polynésie, Guadeloupe et Nouvelle-Calédonie. A 12H00 locales, elle était de 28,01% à La Réunion, contre 21,83% au premier tour. Déjà élevée, avec 79,48% au plan national au premier tour, la participation est traditionnellement plus importante au second tour. Mais elle ne devrait pas atteindre cette année le niveau de 2007, 83,97%, alors qualifié de très élevé.

    "Qui ?", "L'heure du choix", "C'est le jour J": les quotidiens dominicaux titraient de façon lapidaire sur ce second tour, après une campagne jugée très longue qui a en fait commencé avec les primaires socialistes à l'automne 2011.

    Jusqu'à la dernière minute, les candidats ont appelé les abstentionnistes à se mobiliser en leur faveur.

    Au premier tour, le 22 avril, François Hollande est arrivé en tête avec 28,63% des voix contre 27,18% pour Nicolas Sarkozy. Après une campagne de second tour très âpre dominée par la crise économique, l'enjeu majeur réside dans le report des voix qui se sont portées sur le centriste François Bayrou (9,13%) et la candidate Front national Marine Le Pen (17,90%). Les suffrages dont avait bénéficié Jean-Luc Mélenchon (FG, 11,10%) semblaient acquis à François Hollande.

    Si ce dernier l'emportait, il deviendrait le deuxième président socialiste de la Ve République, après François Mitterrand qui a fait deux mandats entre 1981 et 1995. Nicolas Sarkozy, qui avait gagné en 2007 face à la socialiste Ségolène Royal, serait alors le deuxième président à ne pas voir son mandat renouvelé par les Français, après Valéry Giscard d'Estaing, battu en 1981 par François Mitterrand.

    A l'inverse, une réélection de Nicolas Sarkozy contrasterait avec la situation prévalant dans plusieurs pays européens, où les gouvernements ont dû céder la place sous l'effet de la crise économique et financière.

    C'est à 20H00 que sera levée l'interdiction de publier ou diffuser, notamment sur internet, des sondages, estimations, résultats ou commentaires.

    Craignant que des organes de presse, comme au premier tour, ne violent la loi, les autorités de contrôle ont rappelé les règles du jeu et prévenu que des sanctions seraient prises en cas d'infraction.

    Au premier tour, plusieurs médias étrangers avaient brisé l'interdiction de diffusion d'estimations avant 20H00. Considérant que ce qui s'apparentait à un embargo était rompu, l'Agence France-Presse avait alors décidé de publier à son tour, pour ses seuls clients médias, les chiffres des grands instituts de sondage.