à méditer actualités amitié amour amitié tendresse animaux artiste peintre artistes divers automne belle journée belles femmes belles images bon mercredi les ptits bouts
ImagesRubriques
>> Toutes les rubriques <<
· POEMES et POETES (587)
· CITATIONS ET PROVERBES (779)
· NOEL ET JOUR DE L'AN (1150)
· HUMOUR (1093)
· LA PENSEE du JOUR (2490)
· ARTISTES DIVERS (457)
· ANIMAUX DOMESTIQUES ET AUTRES (789)
· BRETAGNE (405)
· ENFANTS (1166)
· PEOPLE (547)
bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !
· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
· Sans dessus dessous ... texte de Raymond Devos !
· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
Notez que les commentaires malveillants, insultants ou racistes, ne seront pas validés ... Merci de laisser éventuellement une trace de votre passage sur mon "Livre d'Or" !!! Vous pouvez également cliquer sur "j'aime", si vous avez apprécié la visite ...
Un jour d'élections !
Deux candidats ...
Trois sourires ...
Quatre grimaces ...
Cinq ans de présidence ... si ...
Six ( si tout va bien ) ...
Sept raisons de touner sa langue sept fois .....
Huit petis tours et puis s'en vont
Neuf ou pas sera l'élu ...
Dix bonnes raisons et plus de bien réfléchir et bien voter !!
(Ambulance du Samu : photo ci-dessus) -
Un garçon de neuf ans a été retrouvé par sa mère, pendu à la porte de sa chambre, ce vendredi soir au domicile familial, à Fosses dans le Val d'Oise, a-t-on appris samedi auprès des gendarmes.L'enfant aurait confié à sa soeur, âgée de cinq ans, "qu'il avait fait une grosse bêtise et qu'il voulait se suicider", a-t-on expliqué de même source.
Le garçon, qui "n'avait pas de problèmes à l'école", selon les premiers éléments recueillis, était scolarisé à Fosses, à l'école primaire Henri-Barbusse où une cellule psychologique pourrait être mise en place, selon les gendarmes.
En 2009, 37 enfants de 5 à 14 ans s'étaient donnés la mort en France (sur 10.499 suicides) contre 26 en 2008 et 22 en 2007 mais 43 en 2000, selon les derniers bilans disponibles, fournis par l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm).
- ( photo ci-dessus : Un sans abri dans une rue parisienne le 1er mai 2012 ) -
Sans domicile, mais pas sans intérêt pour la politique ! Etre sans domicile fixe n'empêche pas de s'intéresser à la campagne électorale et pour certains de voter, même si beaucoup de sans-abri ont le sentiment d'être des "invisibles" et d'avoir été oubliés dans les débats ...Mais la démarche n'est pas toujours évidente, relève la Fédération nationale des associations de réinsertion sociale, qui a lancé à l'automne 2011 une campagne de clarification pour les associations et les sans-abri.
Aux Moulins de l'Espoir, un centre d'hébergement lillois géré par l'Armée du Salut, "une semaine de la citoyenneté", à l'initiative de résidants, a permis de convaincre huit d'entre eux (sur une centaine) de s'inscrire sur les listes. "Ce n'est pas parce qu'ils ont eu un passage difficile dans leur vie qu'ils ne sont plus citoyens", insiste Bruno Guibout, le directeur.
Mais "certains se désintéressent de leur propre sort, ils ont oublié leur citoyenneté", souligne Raoul Dubois, 62 ans, lui-même résidant du centre lillois. "Ce n'est pas leur priorité, c'est dans l'immédiat qu'ils veulent quelque chose", dit-il, regrettant que la situation des sans-abri ait été peu évoquée dans la campagne: "On ne s'intéresse pas à nous."
A Paris, l'Armée du Salut dispose de deux établissements qui fournissent une domiciliation à 1.142 personnes. Mais au centre d'accueil hivernal de la rue Mouzaia (XIXe arrondissement), qui héberge une cinquantaine d'hommes seuls, à peine une poignée d'entre eux a voté au premier tour, souvent parce qu'ils n'ont pas la nationalité française.
Pourtant "lors du débat de l'entre-deux-tours, la salle de télé était quasi pleine, et le silence était complet lorsque les deux candidats ont abordé l'immigration", souligne Jocelyne Bresson, la directrice du centre.
Mais si nombre d'entre eux s'intéressent à la campagne, c'est avant tout pour espérer que la structure qui les accueille temporairement depuis janvier ne ferme pas ses portes au 31 mai, comme annoncé.
"Quand on est en détresse, avoir un hébergement, de la nourriture, et un endroit où se laver, occupe tout notre temps", et ne permet pas de chercher du travail ou d'entamer des démarches administratives, explique ainsi Emilio, ancien professeur argentin d'une cinquantaine d'années.
"Nous sommes nombreux mais nous sommes presque invisibles" pour les politiques. "La personne en détresse, on n'aime pas la voir dans la rue, on ne la regarde pas", déplore-t-il. Il a quand même choisi son candidat, de même qu'Ali Mzé. Pour ce dernier, ancien militaire, "demain, on sera tous à la rue. Les politiques doivent dire comment on va s'en sortir".
Dominique, 58 ans, qui n'a pas pu s'inscrire à temps sur les listes électorales, avoue lui qu'il aurait "voté blanc". "Nous, on demande juste un toit pour dormir. La chance tourne vite. Tout le monde peut devenir clochard aujourd'hui."
La campagne de l'élection présidentielle de 2012 est officiellement close !
Après quatre semaines de campagne officielle -mais plusieurs mois passés par les candidats sur le terrain et dans les médias-, quelque 46 millions de Français sont appelés à élire leur nouveau chef de l'Etat, pour la 9e fois de l'histoire de la Ve République (la première en 1965). Ils devront départager Nicolas Sarkozy et François Hollande.
Le report de voix des principaux candidats éliminés au 1er tour -Marine Le Pen (FN), Jean-Luc Mélenchon (Front de Gauche) et François Bayrou (MoDem)-, ainsi que la mobilisation des abstentionnistes sont les clés du scrutin, alors que les derniers jours ont été marqués par un resserrement dans les intentions de vote entre le président-candidat et son rival.
Débutée dans les faits dès le second semestre 2011 avec l'organisation d'une primaire ouverte pour désigner le candidat socialiste, la campagne a connu une brusque accélération début 2012 avec le premier grand meeting de François Hollande au Bourget, le 28 janvier, puis l'entrée en lice de Nicolas Sarkozy, le 15 février.
Dominée par la course aux 500 signatures au cours du mois suivant, la compétition pour le 1er tour a notamment été marquée, dans sa dernière ligne droite par la stricte égalité du temps de parole entre les 10 candidats, un casse-tête pour les médias audiovisuels.
La campagne de second tour, théâtre d'une opposition frontale, a pris un tournure plus violente, avec pour point culminant le grand débat entre François Hollande et Nicolas Sarkozy mercredi dernier, regardé par plus de 17 millions de téléspectateurs.
Sur le fond, conséquence du score historique obtenu par le Front national le 22 avril (17,90% soit 6,4 millions d'électeurs), l'entre-deux-tours a été marqué par l'omniprésence dans le débat de thèmes chers au parti d'extrême droite, au premier rang desquels l'immigration.
Ils ont relégué au second plan le principal enjeu du début de campagne, celui de l'endettement et de la réduction des déficits publics.
Ce second tour débute samedi à 12H00 (heure de Paris, GMT+2) à Saint-Pierre et Miquelon. Les premières estimations de résultats seront divulguées dimanche à 20H00 précises, à la clôture des bureaux de vote dans les grandes villes de la métropole.
Mais, comme lors du premier tour, et malgré les interdictions, de premières estimations devraient commencer à circuler auprès du grand public à compter de 18H30, via les réseaux sociaux ou des sites internet de médias étrangers.
Les réactions politiques au débat Sarkozy-Hollande ...
- Ségolène Royal, présidente PS de la région Poitou-Charentes, a estimé jeudi sur Europe 1 que le débat Hollande-Sarkozy avait été "dominé" par le candidat socialiste. Comme on demandait à la championne PS malheureuse de 2007 ce que ce duel d'entre-deux-tours pouvait changer, elle a répondu : "Beaucoup de choses". "François Hollande a dominé les débats, il a été déterminé, volontaire, combatif et il a réussi à incarner le changement que nous attendons", a assuré Mme Royal à propos de celui qui est aussi le père de ses quatre enfants.
- Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP, a estimé jeudi matin sur Radio Classique qu'entre les deux tours de la présidentielle, "les Français rebattent les cartes" et dénoncé "l'imposture intellectuelle" de François Hollande. Le patron de l'UMP a aussi considéré que "les candidats sont de moins en moins propriétaires de leurs voix. Ni François Bayrou, ni Marine Le Pen n'ont véritablement d'influence sur leurs électeurs". "Quand Marine Le Pen appelle à voter blanc, on sait qu'elle est dans une alliance objective PS/FN, a-t-il ajouté. Bayrou, je ne sais pas (...). Mon sentiment est que les Français rebattent les cartes entre le premier et le second tour".
- Jean-Marc Ayrault, conseiller spécial du candidat PS, François Hollande, a estimé jeudi sur LCP que, Nicolas Sarkozy était "en permanence dans l'agressivité" alors que François Hollande a montré une "vraie personnalité". "Ce qu'on retiendra, c'est que François Hollande a montré qu'il y avait un autre chemin que celui qu'on vient de connaître et donc qu'il y avait un changement possible", a-t-il poursuivi.
- Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche) a estimé que François Hollande avait "bien scotché" Nicolas Sarkozy lors du débat d'entre-deux-tours mercredi soir, ironisant sur le président-candidat qui a, selon lui, "passé son temps à gigoter". Parlant de Nicolas Sarkozy, l'ex-candidat à la présidentielle (11,1%) a affirmé l'avoir "trouvé très mauvais et rabâchant". "On a entendu des bouts de discours qu'il a faits tout au long de la campagne, il ne terminait pas les phrases, il ne terminait pas les arguments, il donnait des références à des organismes internationaux par des abréviations sans se rendre compte que tout le monde ne sait pas forcément de quoi il parle", "il y avait un côté bâclé", a souligné l'ex-PS qui a appelé à voter pour le candidat socialiste au deuxième tour.
- Manuel Valls, directeur de la communication de François Hollande, a jugé mercredi qu'on avait "découvert un homme d'Etat" dans le candidat socialiste. Il a fait valoir que le "débat" avait été "utile". "Nicolas Sarkozy devait le bouffer, le dominer. On est très loin de cette vision. Quand on a ce bilan on ne peut pas le faire", a-t-il dit. "Le plus important, c'est la capacité à apporter un espoir. Nous sommes tous très fiers, cette fierté doit se convertir en voix pour François Hollande", a dit encore M. Valls.
- Jack Lang (ancien ministre socialiste): "Francois Hollande a littéralement dominé Nicolas Sarkozy de bout en bout. Avec un talent rare, il a révélé une fois de plus sa maîtrise des dossiers, sa rigueur intellectuelle, son sens élevé de l'Etat, la puissance de ses convictions et la solidité de ses engagements. Ce soir Francois Hollande marque un nouveau point dans cette bataille présidentielle". (communiqué)
- Michel Destot (député-maire PS de Grenoble): "Chiffres à l'appui, ce débat aura permis de faire le bilan des injustices économiques, sociales et fiscales du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Face à ce constat implacable, il n'a eu comme seule réponse que l'agressivité, l'invective, la caricature et finalement l'esquive. (...) Au contraire, François Hollande, fort de la cohérence de son projet, propose le changement et sera demain le Président de la justice, du redressement et du rassemblement". (communiqué)
- Jeannette Bougrab (secrétariat d'Etat à la Jeunesse): "Nicolas Sarkozy par sa compétence, son volontarisme, et sa connaissance des dossiers a mis en exergue l'inexpérience gouvernementale de François Hollande, et l'imprécision de ses propositions tant sur l'économie, le nucléaire, ou l'immigration. (..) Le candidat socialiste a pour seul bilan d'avoir coulé son département pour des décennies et d'avoir laissé prospérer les dérives troubles au sein du Parti Socialiste". (communiqué)
- Michel Sapin (responsable du projet de François Hollande): "Il a présidé le débat. François Hollande, Je crois (d'ailleurs) que c'est la Une de Libé (...). Sur toute la partie économique et sociale, on a eu un François Hollande imposant son rythme, ses thèmes, avec un Nicolas Sarkozy en défense, ayant toujours le mot de mensonge ou de calomnie à la bouche." (à l'AFP)
- Bruno Le Roux (député PS): "C'était un candidat qui se présentait comme un président. Et c'était un président qui se présentait comme à un meeting de l'UMP. Les mêmes mensonges les mêmes approximations, c'est à dire quelqu'un qui n'est pas aujourd'hui en situation de sérénité, et c'est un débat qui clairement à l'avantage de celui qui est le candidat". (à l'AFP)
- Harlem Désir (numéro deux du PS): "Hollande a remporté la bataille de la crédibilité et de l'espoir. Il était fort face à un Nicolas Sarkozy dans les cordes, acculé, sur la défensive. Il était dans le débat, Sarkozy était comme d'habitude dans le pugilat, pas au niveau d'un président". (à l'AFP)
- Elisabeth Guigou (ancienne ministre PS): "François Hollande a vraiment dominé le débat. Grave, déterminé, précis dans ses propos, et rassurant. Nicolas Sarkozy a été très vite énervé s'emmêlant dans ses explications et anxiogène". (à l'AFP)
- Xavier Bertrand (ministre UMP du travail): "Après le débat de ce soir, les Français peuvent juger, face aux imprécisions, a l'arrogance et a l'agressivité du candidat socialiste, de la solidité, de la force de l'expérience et du sérieux des propositions de Nicolas Sarkozy nécessaires au redressement de notre pays. Le 6 mai, ils voteront pour Nicolas Sarkozy!" (sur sa page Facebook)
- Florian Philippot (ancien directeur de campagne de Marine Le Pen): "J'ai eu le sentiment que ce débat était assez ennuyeux parce que c'est le résultat naturel quand on oppose deux jumeaux idéologiques (..) Autant Sarkozy avait été assez bon en 2007 autant j'ai trouvé que là sur la forme il était assez fébrile et souvent sur la défensive et donc parfois agressif cette fois-ci, parce qu'il était gêné par son bilan (..) Face à lui un représentant de la gauche dont on sait qu'il n'y pas grand-chose à attendre parce que on a vu la gauche à l'oeuvre". (sur BFM-TV)
Anne Sinclair ne participera pas à la soirée électorale pour le second tour de la présidentielle dimanche prochain, après les derniers rebondissements de l'affaire DSK, selon Guillaume Dubois, directeur général de BFMTV.
Anne Sinclair, épouse de Dominique Strauss-Kahn et directrice éditoriale du Huffington Post français, avait participé en tant que consultante à la première soirée spéciale de BFMTV consacrée à l'élection présidentielle.
"Face au climat passionnel et irrationnel du 2e tour de la campagne, particulièrement depuis une semaine, il a été décidé d'un commun accord de repousser cette collaboration au futur", a confirmé Paul Ackermann, rédacteur en chef du Huffington Post.
Paul Ackerman a également précisé que les nouveaux développements de l'affaire DSK "ne remettaient pas en cause" la présence d'Anne Sinclair à la tête du Huffington Post, ne créant "aucun conflit d'intérêt".
Dans une interview contestée par son entourage et publiée dimanche dans le quotidien britannique le "Guardian", DSK a accusé ses adversaires politiques de s'être servis de l'affaire du Sofitel pour faire échouer sa candidature à l'élection présidentielle.
Cet entretien serait un "montage fait à partir d'un livre à paraître" du journaliste américain Edward Epstein", a affirmé dimanche à l'AFP l'entourage de l'ancien directeur du Fonds monétaire international.
Par ailleurs, un juge américain a ouvert la voie mardi aux préparatifs d'un procès civil contre Dominique Strauss-Kahn, à New York, refusant de classer la plainte au civil déposée contre DSK par la femme de chambre Nafissatou Diallo qui l'accuse d'agression sexuelle.
Tout en exposant leur vision de la société française pour les cinq ans qui viennent, les deux hommes, tous les deux 57 ans, se préparent à un choc des personnalités.
Longtemps réputé spécialiste de la synthèse lors de ses onze ans à la tête du PS (1997-2008), François Hollande se dit prêt à un débat "rugueux" face à Nicolas Sarkozy, dont l'énergie et la combativité sont des traits de caractère reconnus par tous.
Lors de précédents débats, François Hollande a montré qu'il pouvait renvoyer sèchement à leurs arguments tour à tour Alain Juppé fin janvier et plus récemment Jean-François Copé.
Donné perdant par les sondages, Nicolas Sarkozy s'est livré une fois pendant la campagne à l'exercice de la confrontation directe, face à Laurent Fabius le 6 mars, ce qui avait donné lieu à un échange tendu, sans concessions.
Ayant besoin des électeurs de Marine Le Pen pour gagner, le président-candidat a égrené des thèmes de campagne qui devraient refaire surface: fermeté sur l'immigration, remise des "frontières" au coeur du discours politique, défense du travail contre les "permanents syndicaux"...
Né à quelques mois d'intervalle (août 1954 pour François Hollande, janvier 1955 pour Nicolas Sarkozy), tous deux élus députés en 1988, les deux candidats ont déjà croisé le fer plusieurs fois au fil de leur carrière politique, dont la dernière en 2005.
Leur duel sera animé par Laurence Ferrari (TF1) et David Pujadas (France 2), et diffusé simultanément sur BFMTV, i-Télé, LCI et France24, ainsi que par RTL, RMC, Europe 1, France Inter, France Info et RFI.
Mardi, Manuel Valls pour François Hollande et Franck Louvrier pour Nicolas Sarkozy ont réglé les derniers détails techniques (température à 19e degré, choix des chaises...).
D'après les politologues, le débat ne fait généralement bouger qu'à la marge l'électorat. Selon les derniers sondages, François Hollande l'emporterait avec 53-54% des voix.
"Un juge du Bronx a rejeté l'immunité diplomatique requise par (...) Dominique Strauss-Kahn", écrit le quotidien américain qui dit avoir eu accès à la décision écrite du juge.
La plainte au civil, déposée le 8 août dernier, vise à obtenir des dommages et intérêts d'un montant non précisé pour Mme Diallo. La femme de chambre de 33 ans, silencieuse depuis des mois et qui n'a jamais repris le travail, affirme que l'ancien ministre français l'a contrainte à une fellation le 14 mai 2011 dans sa suite du Sofitel à New York.
Lundi, une nouvelle étape devait être franchie, avec l'installation en début d'après-midi de poutres d'acier qui porteront sa hauteur au delà de 381 mètres. Elle dépassera alors de quelques mètres l'Empire State building, jusqu'à présent le gratte-ciel le plus élevé de New York.
Les New-Yorkais attendaient ce moment symbolique avec impatience, depuis que les fondations avaient été posées en avril 2006.
Une conférence de presse, dans l'après-midi, au 71e étage de la tour, devait célébrer ce qui a été qualifié d'"événement majeur", par la Port authority, responsable du projet, et qui sur son site internet associe la reconstruction du World Trade Center à la "reconstruction de l'avenir".
La tour 1WTC doit être achevée en 2013, et devrait atteindre au final, avec sa flêche, 541 mètres, soit 1.776 pieds, chiffre symbolique de l'année de l'indépendance des Etats-Unis. Elle sera alors la plus haute des Etats-Unis, et la troisième plus haute tour au monde.
La plus haute tour du monde est depuis mars 2008 la Burj Khalifa, construite à Dubaï, qui fait 828 mètres, suivie du complexe Abraj Al-Bait, à la Mecque en Arabie Saoudite.
La Tour 1WTC se dresse dans la partie nord-ouest du site dévasté il y a 10 ans, à proximité immédiate du mémorial du 11-Septembre rendant hommage aux quelque 3.000 morts des attentats du 11-Septembre.
Elle est visible à des kilomètres à la ronde, jusqu'à la tour de contrôle de l'aéroport de La Guardia. Et les New-Yorkais ont ces dernières années suivi avec fierté sa progression dans le ciel, symbole de leur détermination à reconstruire.
Les parois de verre sont désormais posées jusqu'au 70e étage, et les sols de béton ont été coulés jusqu'au 87e étage, selon la Port Authority de New York.
"La ligne d'horizon de New York atteint de nouveaux sommets. Les derniers progrès au World Trade Center sont un témoignage de la force et de la détermination des New-Yorkais, et de notre foi dans une ville qui ne cesse de monter", a déclaré lundi le maire de la ville Michael Bloomberg, en félicitant les équipes de construction et en saluant "l'avenir radieux" de la ville.
La 1WTC, aux normes de sécurité particulièrement exigeantes, offrira 240.000 m2 de bureaux.
Elle avait au début de sa construction été surnommée "Tour de la liberté", mais ses responsables insistent depuis presque trois ans sur le fait que son seul nom est "one WTC".
Inde : peu d'espoir de retrouver des survivants après un naufrage meurtrier .....
Selon la police, 105 corps ont été jusqu'à présent repêchés dans les eaux tumultueuses du fleuve Brahmapoutre, où le ferry s'est brisé lundi soir en pleine tempête. En dépit d'une capacité maximale de 225 personnes, le bateau transportait quelque 350 passagers.
La police a indiqué que 150 d'entre eux avaient été secourus ou avaient réussi à nager jusqu'à la rive. Le ferry ne disposait ni de bateau de sauvetage ni de bouées de sauvetage et les chances de retrouver des survivants après une nuit passée dans l'eau étaient minimes.
"Le temps peu clément et le fleuve agité handicapent les secours", a déclaré à l'AFP le chef de la police de l'Assam, J.N. Choudhury.
Taleb Ali, un paysan de 35 ans rescapé du naufrage, a rapporté que les passagers avaient demandé au capitaine d'ancrer le ferry à un banc de sable lorsque la tempête éclata à mi-parcours mais que ce dernier refusa tout net. "La tempête devint alors plus intense et le bateau s'est cassé en deux avant de couler", a-t-il témoigné auprès de l'AFP.
Arun Kalita, un ouvrier employé à la construction de routes, a de son côté raconté les cris des passagers: "Je pouvais entendre de nombreux passagers appeler Dieu à l'aide. Mais les eaux étaient tumultueuses et la tempête était très sévère. Personne ne pouvait venir les sauver", a-t-il ajouté. Des arbres déracinés par les vents violents bloquaient les routes d'accès au site de l'accident, empêchant des équipes de sauveteurs d'atteindre la zone, ont indiqué des responsables à Guwahati.
De nouvelles pluies étaient prévues mardi dans la région.
Le navire se rendait de Dhubri au district voisin de Fakirganjan lorsque l'accident s'est produit. Dhubri est situé à quelque 300 kilomètres de Guwahati, la principale ville de l'Assam.
Les bateaux sont un mode de transport courant en Inde dans les régions les plus reculées mais les accidents sont fréquents en raison de normes de sécurité défaillantes et du trop grand nombre de passagers à bord.