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HISTOIRE et REGIONS de FRANCE

Ce Juge confond tout ... le bagne n'existe plus !

Publié à 14:36 par yvonne92110 Tags : histoire et régions de france le bagne de belle ile en mer
Ce Juge confond tout  ... le bagne n'existe plus !
(ci-dessus : photo du film "les vauriens")
Un "bagne" pour enfants en Bretagne !

Autrefois, la Bretagne comptait plusieurs centres de rééducation bretons, publics ou privés. Le plus connu fut l’institution publique de Belle-Île-en-Mer(Morbihan), autour de laquelle s’est forgée la légende noire d’un bagne d’enfants parmi les plus répressifs et répulsifs.

La "notoriété" de ce bagne pour enfants a éclaté dans les années 1930, lors d’une émeute à l’intérieur de cette prison unique. La presse a alors dénoncé les colonies dites “pénitentiaires” ou “correctionnelles” pour mineurs comme étant des bagnes d’enfants.

L’institution belliloise, dite de la "Haute Boulogne", est une ancienne colonie agricole et maritime datant de 1880, située sur un terre-plein derrière la forteresse Vauban, au Palais. Elle est définitivement fermée en 1977.

En août 1934, une révolte éclate sur l’île. Un des enfants, avant de manger sa soupe dans le silence absolu, a ce jour-là osé mordre dans un morceau de fromage. Les surveillants l’ont alors rossé de coups. A la suite de ces mauvais traitements administrés à leur camarade, une émeute éclate au sein de l’institution de Belle-Île-en-Mer, qui provoque l’évasion massive de 55 pupilles. Ce fait divers est suivi d’une campagne de presse très virulente, et va inspirer des intellectuels comme Jacques Prévert, qui écrit son célèbre poème "La Chasse à l’enfant". Il y dénonce la "battue" organisée sur l’île, avec prime de 20 francs offerte aux touristes et aux habitants de Belle-île, pour chaque garçon capturé.

 Entourée par un mur d’enceinte, l’institution se composait d’une série de baraquements disposés plus ou moins en quinconce sur le terrain. Y sont détenus les jeunes d’au moins treize ans condamnés à des peines de 6 mois à 2 ans ainsi que des adolescents détenus jusqu’à leurs 16 ans ou à leurs 21 ans.        peniten.gif

En 1902 la colonie pénitentiaire de Belle-Ile installée à côté de la Citadelle (Le Palais) est agrandie pour accueillir davantage de détenus (117 hectares sur le domaine de Bruté, à cinq kilomètres à l’intérieur de l’île). Le pénitencier compte jusqu’à 320 pensionnaires.

L’année 1940 marque la fin dans les textes de ce que l’on appelait les bagnes d’enfants. La "maison" de Belle-Ile alors devenue "institut public d’éducation surveillée" (IPES) fonctionnera encore quatre ans. En 1945, l’institut est évacué puis Haute-Boulogne reprend du service en accueillant des mineurs coupables d’avoir appartenus à la Milice installée en France par les nazis pendant l’Occupation.

Fin 1947, l’IPES rouvre ses portes, avec un régime assoupli, plus "éducatif" que "répressif".

 Qui allait à Belle-île ?

Parce que c’était sur une île, la colonie de Belle-Île s’est retrouvée presque naturellement destinée à accueillir ceux que l’on considérait comme “les plus durs”, les plus insubordonnés. Selon Marie Rouanet, les occupants de ces "prisons" pour enfants étaient le plus souvent coupables de petits délits, ou tout simplement indisciplinés. De 1850 jusqu’au milieu du XXe siècle, des milliers de jeunes sont condamnés à la maison de correction, et y subissent de durs châtiments.

Parmi les délits recensés dans ces institutions françaises, le vol est l’un des plus courants (tuiles d’églises, vol de saucisses ...). Après une plainte de voisin par exemple, le voyou peut en prendre pour 4 ans !

Autre exemple, cité par Marie Rouanet, que celui d’un garçon de 12 ans contre qui le curé de Cintegabelle porte plainte. Le jeune homme "fume ostensiblement, ne retire pas sa casquette et tient des propos irrévérencieux au passage d’une procession. Coupable de « trouble à l’ordre public sur le parcours d’une procession et pendant l’exercice du culte », celui-ci est condamné à deux ans de maison de correction". Les enfants errants, les mendiants et les petites filles qui se prostituent, sont également enfermés. D’autres encore viennent de l’Assistance publique, après une mauvaise conduite dans leur famille d’accueil par exemple.

 La vie au quotidien :

La journée décrite ci-dessous se déroulait ainsi dans la plupart des institutions pénitentiaires pour enfants en France. On peut donc imaginer qu’elle était semblable à Belle-île. Lever à 6 heures du matin avec des exercices d’hygiène rudimentaires. Pour le petit déjeuner, un simple morceau de pain. Puis ils vont aux ateliers agricoles ou dans leur salle de cours, selon la saison. Les jeunes marchent à pied en rang serré jusqu’aux champs, avec interdiction de se parler pendant les huit à douze heures de travaux quotidiens. Pour le déjeuner, du pain trempé dans du bouillon de légumes, et un plat de légumes (souvent secs). Le soir, de la soupe.

En cas de manquement à la discipline, les punitions sont diverses : régime pain sec, piquet dans la position à genoux pendant les récréations, cachot... En théorie, les coups sont interdits, mais les mauvais traitements sont nombreux (coups de ceinture, coups de trousseau de clefs, sévices sexuels).

Après 1945, une ordonnance sur la protection judiciaire de la jeunesse considère le jeune délinquant comme un individu digne de ce nom. L’enfant est autorisé à sortir le dimanche. L’accent est mis davantage sur l’éducation au détriment de l’apprentissage, lequel a montré ses limites. Des efforts sont fait en matière d’hygiène et d’activités sportives.

L’institution de Belle-île ferme définitivement ses portes en 1977.

 Biblio :

- Jean Fayard, "Une enfance en enfer", éditions Le Cherche Midi (2003).- Marie Rouanet, "Les enfants du bagne", éditions Pocket (2001). Elle retrace cent ans d’histoire de la délinquance juvénile, à travers la vie dans les pénitenciers pour enfants qu’on appela les "petits bagnes".- Yann Le Pennec, "Le bagne des enfants de Belle-île".

Jacques PREVERT : "La chasse à l'enfant" ! 

Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan !
Au-dessus de l'île on voit des oiseaux
Tout autour de l'île il y a de l'eau
Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan !
Qu'est-ce que c'est que ces hurlements ?
Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan !
C'est la meute des honnêtes gens
Qui fait la chasse à l'enfant
Il avait dit j'en ai assez de la maison de redressement
Et les gardiens à coup de clefs lui avaient brisé les dents
Et puis ils l'avaient laissé étendu sur le ciment
Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan !
Maintenant il s'est sauvé
Et comme une bête traquée
Il galope dans la nuit
Et tous galopent après lui
Les gendarmes les touristes les rentiers les artistes
Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan !
C'est la meute des honnêtes gens
Qui fait la chasse à l'enfant
Pour chasser l'enfant, pas besoin de permis
Tous les braves gens s'y sont mis
Qu'est-ce qui nage dans la nuit
Quels sont ces éclairs ces bruits
C'est un enfant qui s'enfuit
On tire sur lui à coups de fusil
Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan !
Tous ces messieurs sur le rivage
Sont bredouilles et verts de rage
Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan !
Rejoindras-tu le continent rejoindras-tu le continent ?
Au-dessus de l'île on voit des oiseaux
Tout autour de l'île il y a de l'eau.
(Jacques Prévert, extrait de Paroles, éditions Gallimard)

Oradour sur Glane ... Village martyr de la barbarie nazie !

Publié à 13:01 par yvonne92110 Tags : histoire et régions de france village martyr oradour glane
Oradour sur Glane ... Village martyr de la barbarie nazie !

Vue prise le 30 mars 2007 de l'église dévastée du village martyr d'Oradour-sur-Glane, village où 642 habitants ont été assassinés par des soldats SS en 1944.(Vue prise le 30 mars 2007 de l'église dévastée du village martyr d'Oradour-sur-Glane, village où 642 habitants ont été assassinés par des soldats SS en 1944). Seuls six villageois ont survécu à la tuerie. Aujourd'hui, ils ne sont plus que deux à pouvoir en témoigner, dont Robert Hébras, Agé de 19 ans à l'époque, il a survécu sous les corps de camarades fauchés par la mitrailleuse et a pu s'extraire du tas de cadavres embrasés par les SS. Il accompagnera la visite des chefs d'Etat aujourd'hui, à Oradour ...     (j'ai personnellement visité ce village limousin : à chaque fois une grande  émotion ressentie !)
10 juin 1944. Le village de Haute-Vienne se trouve encerclé par une unité SS, qui massacre 642 personnes avant d'incendier le bourg, devenu lieu de mémoire.
 

Théâtre d’un massacre de civils, en juin 1944, le village d’Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne), où se rendent mercredi les présidents français et allemand François Hollande et Joachim Gauck, est devenu l’un des symboles de la barbarie nazie.

Le 10 juin 1944, 642 personnes, -dont, selon les chiffres de l’association nationale des familles de martyrs d’Oradour-sur-Glane, 247 femmes et 205 enfants de moins de 15 ans-, y ont été fusillées ou brûlées par une unité SS.

En début d’après-midi, 150 soldats de la division SS «Das Reich» qui remontaient de Toulouse vers le front de Normandie, encerclent Oradour. Prétextant un contrôle d’identité, ils rassemblent la population sur le champ de foire. Le village, qui abrite provisoirement des réfugiés, parmi lesquels une soixantaine d’Alsaciens et de Lorrains, est particulièrement animé en ce samedi. Les SS réclament une liste d’otages, que le maire refuse de désigner, consentant seulement à se sacrifier lui-même et, au besoin, sa famille.

Les hommes sont alors emmenés dans des granges, forges et garages, abattus à la mitrailleuse puis brûlés. Cinq parviendront à s’échapper. Parallèlement, débute le massacre des femmes et des enfants, enfermés dans l’église. Les Allemands y répandent un gaz suffocant, puis mettent le feu. Une femme survivra. Puis le village est incendié. 10% seulement des victimes pourront être identifiées.

Ralentie dans sa progression vers le nord par les sabotages de la Résistance, la division Das Reich, commandée par le général Heinz Lammerding, s’était déjà livrée à des représailles, destinées à priver les maquisards du soutien de la population. La veille, à Tulle (Corrèze), 99 civils avaient été pendus aux balcons et aux lampadaires.

Lieu de mémoire :

Mais la gratuité du massacre d’Oradour, qui n’avait jamais résisté à l’occupant, en fait rapidement un symbole de la barbarie nazie. Les ruines d’Oradour sont classées monument historique en 1945. Un Centre de la mémoire a été inauguré en juillet 1999 par le président Jacques Chirac.

Le 12 janvier 1953, sept Allemands et 14 Alsaciens (dont treize enrôlés de force dans la Wehrmacht) sont jugés par le tribunal militaire de Bordeaux, qui prononcera deux condamnations à mort, commuées par la suite, et des peines de travaux forcés.

Le 20 février de la même année, une loi votée sous la pression des élus alsaciens hostiles à l’idée que «Malgré-nous» et soldats allemands puissent être mis sur le même plan, amnistie les 13 «Malgré-nous». En signe de protestation, les représentants de l’Etat ne seront pas invités par Oradour aux commémorations du massacre pendant plus de vingt ans. 

Seul un responsable allemand de la «Das Reich» a été jugé, et condamné à la réclusion criminelle à perpétuité en juin 1983 par le tribunal de Berlin-Est : libéré en juillet 1997 en raison de son âge, et «des regrets» exprimés pour ses actes, Heinz Barth est mort en août 2007. La justice allemande a aussi ouvert une enquête en décembre 2011, toujours en cours.

L’Untersturmführer (sous-lieutenant dans la Waffen SS) Barth, 23 ans en juin 1944, commandait la 1ère section de la 3e compagnie du 1er bataillon du régiment «Der Führer» de la division à l’origine du massacre. Sa section était chargée d’encercler Oradour. Il avait reconnu avoir lui même «tué 12 à 15» villageois.http://vivelaresistance.unblog.fr/files/2009/06/monumentoradour.jpg

Visite historique du Président allemand ... à Oradour !

Publié à 11:43 par yvonne92110 Tags : histoire et régions de france village martyr oradour glane
Visite historique du Président allemand ... à Oradour !

 La «ville martyr» est le symbole de la pire atrocité nazie en France  ...

Le président allemand Joachim Gauck est attendu avec François Hollande, ce mercredi à Oradour-sur-Glane, pour la première visite d'un dirigeant d'Outre-Rhin dans  ce «village martyr» de la Haute-Vienne où fut perpétrée la pire atrocité nazie en France occupée.

«C'est pour moi le point culminant» d'une visite d'Etat de «dimension historique» en France, a déclaré le responsable allemand, lors d'une conférence de presse en compagnie de son homologue français.

Les deux présidents, accompagnés de leurs épouse et compagne, sont attendus aux alentours de 14H30 et doivent arpenter les rues du village fantôme où 642 personnes, dont 205 enfants, furent tuées, le 10 juin 1944, par une unité de la division «Das Reich», qui remontait vers le front de Normandie.

Joachim Gauck et François Hollande traverseront notamment le champ de foire, où la population fut rassemblée avant les exécutions méthodiques, et gagneront l'église, où femmes et enfants furent regroupés et brûlés.

Des allocutions des deux chefs d'Etat sont prévues au Centre de la mémoire, inauguré en 1999 à proximité des ruines classées monument historique en 1946. La visite doit durer près de deux heures et s'achever par une rencontre avec des familles des victimes. Deux survivants du massacre seront présents.

«Je ne leur cacherai pas mon état d'âme, je n'hésiterai pas, en pleine conscience politique, à dire que cette Allemagne que j'ai l'honneur de représenter est une Allemagne différente de celle qui hante leurs souvenirs», a déclaré Joachim Gauck mardi devant la presse, en prévision de cette rencontre avec les familles des survivants.

«Vous avez bien voulu que je sois à vos côtés à Oradour pour qu'on se souvienne ce que des Allemands d'une autre Allemagne ont commis comme atrocités», a-t-il ajouté à l'adresse de François Hollande, déclarant avoir accepté son invitation «avec un mélange de reconnaissance et d'humilité».

Hommage de François Hollande :

Le massacre d'Oradour-sur-Glane conserve une forte connotation symbolique de la barbarie nazie dans la mémoire collective en France et le déplacement de Joachim Gauck dans ce petit village du Limousin devrait constituer un moment important, sur le plan émotionnel, dans les relations entre les deux pays, comme le fut l'image de François Mitterrand et Helmut Kohl se tenant par la main, en 1984, à Douaumont, près de Verdun, où se déroulèrent les combats les plus meurtriers de la première guerre mondiale.

François Hollande a rendu un hommage appuyé à la décision de Joachim Gauck de se rendre à Oradour. Cette visite «sera un symbole, le symbole d'une histoire, d'un passé qui se regarde en face, d'une vérité qui doit être dite, prononcée, proclamée, reconnue» en présence des familles et des survivants. Mais cette visite, a poursuivi le président français, «nous oblige à aller, une fois reconnu le passé, dans la préparation audacieuse de l'avenir».

Collonges la Rouge ... l'un de nos plus beaux villages !

Publié à 15:13 par yvonne92110 Tags : histoire et régions de france correze collonges la rouge
Collonges la Rouge  ...  l'un  de nos plus beaux villages !

Construit à partir du 12ème siècle par des moines cisterciens, Collonges la Rouge est un des plus beaux villages de France. Son église, sa chapelle des pénitents, ses castels, ses rues pavées, sa maison de la sirène, ses tourelles et ses échaugettes, ses caves voûtées, le tout construit  en grès rouge, attirent un grand nombre de touristes qui aiment calme, beauté architecturale et dépaysement. A visiter absolument. La population de Collonges la Rouge est constituée de 464 habitants.L'église St Pierre de Collonges la RougeLe castel de VassinhacUne vue de Collonges la RougeAutre vue des deux toursRamade de FriacUne rue de Collonges la RougeRue de Collonges la Rouge

Balade en Corrèze ... Collonges la Rouge !

Publié à 14:50 par yvonne92110 Tags : histoire et régions de france corrèze collonges la rouge
Balade en Corrèze  ...  Collonges la Rouge !
Merveille architecturale de la Corrèze, Collonges-la-Rouge charme les visiteurs par ses façades de grès pourpre, ses tours pointues et ses escaliers en spirale. Au carrefour du Limousin, du Quercy et du Périgord, le rouge flamboyant de ce village contraste avec le vert des vignobles et châtaigniers environnants. De tourelle en échauguette, de porche en jardin, de castel en hôtel particulier, la balade dévoile un village hors du commun. Ainsi le temps d'une escapade, celles et ceux qui rêvent de s'évader dans une atmosphère médiévale viennent déambuler dans ses rues et ruelles fleuries à la découverte de son histoire et de ses mystères. J'ai eu le plaisir de visiter ce village pittoresque, où repose d'ailleurs un artiste très apprécié dans les années 60 : "Maurice Biraud" ...                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             Maurice Eugène Biraud (1922-1982) est né à Paris. Certainement peu connu des plus jeunes, il a été dans les années 60, le meilleur animateur de radio sous le surnom de : Bibi. Tous les matins sur Europe N°1 avec Anne Perez et monsieur Brandu il faisait régner une bonne humeur communicative avec ses sketches, ses histoires, ses feuilletons ...  Il a aussi été un des piliers du célébrissime feuilleton : Signé Furax de Pierre Dac et Francis blanche, où il était le commissaire Socrate et Maurice La Grammaire. Son éviction brutale de la radio l’a sûrement fortement contrarié, il est mort d’une crise cardiaque au volant de sa voiture à un feu rouge.

 Il a écrit au moins deux livres drôles : Faut l’faire  et Allons-y gaiement. Il a fait beaucoup de TV et aussi du théâtre.

 Au cinéma, il est d’un naturel époustouflant. Quand il apparaît à l’écran sa stature et sa voix sont inoubliables. Il avait aussi l’art de dire avec justesse le « Audiard ».Son premier rôle il l’a dans : Le roi camelot en 1950, et son dernier dans : Un dimanche de flic en 1982

            On peut le voir dans : Le passe muraille, Mam’zelle Nitouche, Poisson d’Avril, Candide, Un taxi pour Tobrouk (Où il est l’égal de ses partenaires, Ventura, Aznavour, Hardy Kruger et German Cobos), Le cave se rebiffe (Encore un rôle superbe où il donne la réplique à Gabin et Bernard Blier), Le septième juré, Mélodie en sous-sol (Encore un très bon rôle avec Gabin et Delon), L’œil du monocle (Avec Paul Meurisse et Robert Dalban),Des pissenlits par la racine,  La métamorphose des cloportes, La grande sauterelle, Fleur d’oseille, Le cri du cormoran, Le train, Flic story, Le gitan, Un dimanche de flics en 1982 sera son dernier film.Maurice Biraud

Le port le plus célèbre de france ... Marseille !

Publié à 10:59 par yvonne92110 Tags : histoire et régions de france le vieux port de Marseille
Le port le plus célèbre de france  ...  Marseille  !

  Le Vieux port de Marseille

Localisation : Marseille, dans le département des Bouches-du-Rhône, au sud-est de la France.

Le port : Le Vieux port est l'un des quatre ports de plaisance qui font de Marseille l'un des plus grands complexes plaisancier d'Europe.
Mais le Vieux port est certainement le plus charmant des ports de Marseille, avec, en arrière plan, la célèbre Basilique Notre-Dame-de-la-Garde.

Mont St Michel ... enfin le retour à l'insularité !

Publié à 13:24 par yvonne92110 Tags : histoire et régions de france Mt st michel insularité
Mont St Michel  ... enfin  le retour à l'insularité !

Plusieurs centaines de personnes, perchées sur le Mont-Saint-Michel ou sur le morceau de l'ancienne digue-route qui reliait autrefois le Mont à la terre, ont assisté mercredi soir à une grande marée qui a entièrement entouré le rocher, une première depuis 1879 qui préfigure le retour à l'insularité de la Merveille.augmenter la taille du texte diminuer la taille du texte

"Pour la première fois depuis bien longtemps nous allons voir la mer ceinturer le Mont", se réjouit une demi-heure avant l'événement Laurent Beauvais, président de la région Basse-Normandie mais aussi du syndicat mixte à l'origine des travaux pour que la Merveille retrouve son insularité.

Face au Mont, les rues sont restées vides et c'est accroché au remparts ou tassé sur le bord de la digue que le public a attendu l'événement  ... parfois sans le savoir.  Mais cela restait "une démonstration a minima", a prévenu M. Beauvais, attendant de pied ferme la fin des travaux prévue au printemps 2015 et surtout une grande marée de coefficient 119 attendue en février 2015.

Tous étaient conscients du caractère symbolique de ce mercredi 24 juillet en regardant l'eau de cette marée de coefficient 108 lentement recouvrir la déviation provisoire menant au Mont, à côté de la passerelle inachevée et face au morceau de digue route qui gâchait encore fortement le plaisir des curieux.

Pendant une vingtaine de minutes vers 21h30 l'accès au Mont a ainsi été interdit à tous, en attendant que l'eau se décide à se retirer. Un spectacle sous le soleil couchant .  La mer a pu enfin entourer le Mont-Saint-Michel grâce en partie aux travaux de septembre 2012 qui avaient permis de détruire une partie de l'ancienne digue-route construite en 1879.

Le désensablement a été accéléré avec les tous premiers travaux pour rétablir l'insularité de la Merveille par la construction du nouveau barrage sur le Couesnon, en 2006.

Désormais il reste encore à relier la nouvelle passerelle au Mont, puis à détruire le reste de la digue-route, ce qui est prévu pour fin 2014. A terme le Mont devrait retrouver son insularité entre 50 et 90 fois par an.

Le coût du projet, qui a subi de nombreuses critiques, notamment en raison de la création d'un nouveau parking distant de 2,5 km du Mont, est évalué à 230 millions d'euros dont 184 millions d'investissements publics directs.

Classé au patrimoine mondial de l'Unesco en 1979, le Mont-Saint-Michel accueille environ 2,5 millions de visiteurs par an.

Marianne ... parmi les symboles de la République !

Publié à 12:15 par yvonne92110 Tags : Histoire de France marianne symbole de la république
Marianne  ...  parmi les symboles de la République !

 Marianne, symbole parmi les symboles de la République ...

Marianne :
Marianne, allégorie de la République, apparaît dans un concours officiel en 1848 et décore les mairies à partir de 1877. Elle a notamment pour origine une chanson écrite en 1792 par Guillaume Lavabre, en langue d'oc, « La guérison de Marianne », identifiant Marianne à la nouvelle patrie révolutionnaire. Marianne a souvent été un sobriquet donné à la République par ses adversaires. En fait, au XVIIIe siècle, il s’agissait d’un prénom assez couramment porté chez les gens simples. En 1797, Barras, à une réception, s’enquit du prénom de son hôtesse : « Marie-Anne » - « Parfait, dit-il, il est simple, il est bref et sied à la République, autant qu’il sied à vous-même ». Ce surnom, Marianne, la fille du peuple, péjoratif chez les contre-révolutionnaires, deviendra plus tard l’incarnation de la France républicaine.

Le bonnet phrygien ou bonnet rouge :
A Rome, les affranchis, c’est-à-dire les esclaves récemment libérés, se coiffaient d’un bonnet conique, à l’instar des anciens Phrygiens qui portaient une coiffure haute retombant sur le côté de la tête. Ce souvenir, associé au fait que les gens du peuple portaient souvent un bonnet de laine rouge à la fin de l’Ancien régime, fit du bonnet phrygien un signe de ralliement révolutionnaire. Il devint même un élément de la nomenclature des jours du calendrier républicain conçu par Romme et Fabre d’Eglantine. En juillet 1791, il avait été porté lors du transfert de Voltaire au Panthéon. En 1792, il fut popularisé par les mutins amnistiés du régiment de Châteauvieux qui s’étaient révoltés contre les officiers ayant refusé d’accorder aux soldats le contrôle des caisses de leur régiment. En 1792, il fut imposé au Roi, pour le couronner du signe de la liberté, et il fut porté par les Sans culottes. Le bonnet phrygien figura sur le sceau de l’État, sur le drapeau des insurgés en juin 1848 puis servit de coiffure à Marianne sous la Troisième République.

La cocarde :
Emblème de la Nation, la cocarde orne fréquemment le bonnet phrygien. C’était à l’origine une touffe de plumes de coq portée par les soldats d’un régiment de Louis XIV. En juillet 1789, à la demande de Bailly et de La Fayette, Louis XVI accroche à sa cocarde blanche, symbole de commandement militaire, le ruban bleu et rouge des Parisiens. La cocarde nationale tricolore, ou cocarde de la Liberté, fut portée par les soldats de la Garde nationale et par les civils qui voulaient montrer leur patriotisme. Elle fut arborée par La Fayette lors de la fête de la Fédération du 14 juillet 1790. Elle était obligatoire à la Convention.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         Depuis que Brigitte Bardot a prêté son visage à un buste de Marianne en 1968, les mairies françaises ont vu défiler les traits de nombre de célébrités, qui ont successivement eu l'honneur de représenter le symbole de la République.

hebergeur d'image 

Je vous emmène en Vendée ... à l'île de Normoutier !

Publié à 15:15 par yvonne92110 Tags : histoire et régions de france ile de noirmoutier vendée
Je vous emmène en Vendée ...  à l'île de Normoutier !

L’île de Noirmoutier est une île française de l'Atlantique située dans le département de la Vendée (85).

Elle est reliée au continent grâce à un pont depuis 1971.

 Elle est constituée de 10 hameaux et de quatre communes.

Sa longueur est d'approximativement 18 km, sa largeur varie de 500 mètres à 12 km et sa superficie est de 49 km².

 

 

L'île est souvent surnommée l'« île aux mimosas » pour sa douceur climatique permettant aux mimosas de pousser et d'y fleurir en hiver.

Ses paysages dominants sont les marais salants, les dunes et les forêts de chênes verts.

Noirmoutier s'écrivait autrefois Noirmoutiers.

Le nom poitevin-saintongeais de l'île est Nérmoutàe (écrit Nermoster dans des textes du XIIIe siècle).

Le nom breton est Nervouster.

Tous ces noms viennent du latin in + Herio Monasterio c'est-à-dire : « au monastère d'Herus », Herus étant le nom latin de la partie septentrionale de l'île (aujourd'hui l'« île d'Her »).

L'étymologie qui associerait la couleur « noire » au terme de « moutier » (désignant un monastère) est donc strictement d'origine populaire.

 

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Général de Gaulle ... 18 juin 1940 appel à la résistance !

Publié à 11:36 par yvonne92110 Tags : histoire et régions de france appel du 18 juin 1940
Général de Gaulle ... 18 juin 1940 appel à la résistance !

Appel du 18 juin 1940 : l'appel à la résistance du général de Gaulle !

 

Le 18 juin 1940, le général de Gaulle lance son célèbre appel à la Résistance sur les ondes de la BBC  depuis Londres : refusant la capitulation de la France face à l’ennemi nazi, le général de Gaulle rejoint Londres afin d’y poursuivre le combat. Le 18 juin, il lance depuis la BBC son célèbre appel à continuer la lutte, acte fondateur de la France Libre : "Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas".

 

L'inscription de l'Appel du 18 juin 1940 au Registre Mémoire du monde de l'UNESCO !

 
Créé en 1992 par l’UNESCO, le programme Mémoire du monde a pour objectif de préserver, de conserver et de promouvoir le patrimoine documentaire aux niveaux international, national et régional. Ce programme est né de la prise de conscience que cette mémoire est fragile et que des éléments importants du patrimoine documentaire disparaissent chaque jour. En 2003, la France avait obtenu l'inscription de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen.

En juin 2005, la proposition conjointe de l’Institut national de l’audiovisuel et de la BBC, d'inscription de l'Appel du 18 juin I940 au Registre Mémoire du monde a été retenue par le Comité consultatif international du Programme Mémoire du monde – lors de sa 7ème réunion qui s'est tenue à Lijiang (Chine) - et approuvée par le Directeur général de l'UNESCO.



Quatre documents - considérés comme les témoignages essentiels de l'événement - sont concernés par cette inscription :


- l’enregistrement radio de l'appel du 22 juin au micro de la BBC, conservé dans les archives de l'Ina et dans celles de la BBC.


- le manuscrit du texte de l'appel radiodiffusé du 18 juin, détenu par l'Amiral Philippe de Gaulle.


- le manuscrit de l'affiche, détenu par le Musée de l'Ordre de la Libération.


- l'affiche elle-même, détenue par le Musée de l'Ordre de la Libération.




L'inscription de l'Appel du 18 juin au Registre Mémoire du monde marque la reconnaissance du média radio comme l'une des sources essentielles du patrimoine documentaire de l'humanité. Elle marque également l'intérêt porté par la communauté nationale et internationale à un patrimoine fragile. Enfin, c'est un hommage exceptionnel rendu, soixante-cinq ans après l'événement, à l'action du Général de Gaulle.