Thèmes

à méditer actualités amitié amour amitié tendresse animaux armistice 11 novembre 1918 artiste peintre artistes divers automne belle journée belles femmes belles images

Images
Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· POEMES et POETES (587)
· CITATIONS ET PROVERBES (779)
· NOEL ET JOUR DE L'AN (1150)
· HUMOUR (1093)
· LA PENSEE du JOUR (2490)
· ARTISTES DIVERS (457)
· ANIMAUX DOMESTIQUES ET AUTRES (789)
· BRETAGNE (405)
· ENFANTS (1166)
· PEOPLE (547)

Rechercher
Derniers commentaires Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "yvonne92110" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Articles les plus lus

· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !

· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
· Sans dessus dessous ... texte de Raymond Devos !
· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !

Voir plus 

Statistiques

Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour : 29.05.2021
37578 articles


Restons toujours ZEN !

 cool     Notez que les commentaires malveillants, insultants ou racistes, ne seront  pas validés  ...    cool     Merci de laisser  éventuellement une trace de votre passage sur mon  "Livre d'Or"  !!!  Vous pouvez également cliquer sur "j'aime",  si vous  avez apprécié  la visite ...

 

HISTOIRE et REGIONS de FRANCE

5ème République ... Portraits Officiels des Présidents !

Publié à 14:07 par yvonne92110 Tags : Histoire de France portraits officiels présidents 5ème R
5ème République ... Portraits Officiels des Présidents  !

Nicolas Sarkozy
.

Jacques Chirac
.

François Mitterrand
.

Valéry Giscard d' EstaingLe portrait officiel du président Giscard dans les années 1974-1981

Georges Pompidou
.

Charles de Gaulle
.

Une page d' Histoire ... A propos du 8 mai 1945 !

Publié à 13:33 par yvonne92110 Tags : histoire de france le 8 mai 1945 une page d histoire
Une page d' Histoire ...  A propos du 8 mai 1945 !

(photo Churchill au balcon de Whitehall, le 8 mai 1945)

LE HUIT MAI 1945
Chronologie historique :

Le 4 mai 1945, au poste de commandement du maréchal Montgomery à Lüneburg (Allemagne), l'amiral von Friedeburg signa la capitulation des forces allemandes du nord-ouest pour le 5 mai à 8 heures.

A Reims, le 7 mai 1945 à 2 h 41, la reddition sans condition des armées allemandes fut signée par le général Alfred Jodl sur des tables de ping-pong placées côte à côte, au Q.G. du général Eisenhower installé au Collège moderne et technique de la rue Jolicoeur (aujourd’hui lycée Roosevelt).

L'acte de reddition prévoyait la fin effective des hostilités sur les deux fronts à 23 h 01 (heure d'Europe centrale) le 8 mai :

"ACTE DE REDDITION MILITAIRE
1. Nous soussignés, agissant au nom du Haut Commandement Allemand, déclarons par la présente que nous offrons la reddition sans condition au Commandant Suprême des Forces Expéditionnaires Alliées et, simultanément au Haut Commandement Soviétique, de toutes les forces de terre, de mer et de l'air qui sont à cette date sous contrôle Allemand.
2. Le Haut Commandement Allemand transmettra immédiatement à toutes les autorités militaires navales et aériennes Allemandes et à toutes les autorités militaires sous contrôle Allemand, l'ordre de cesser de prendre part aux opérations actives à 23 heures 01 heure d'Europe Centrale le 8 mai et de rester sur les positions qu'elles occuperont à ce moment.
Aucun navire ni avion ne sera sabordé et aucun dégât ne sera fait à leur coque, à leurs machines ou à leur équipement.
3. Le Haut Commandement Allemand adressera immédiatement aux commandants des forces intéressées tous les ordres donnés par le Commandant Suprême des Forces expéditionnaires Alliées et par le Haut Commandement Soviétique, et s'assurera de leur exécution.
4. Cet acte de reddition militaire ne préjuge pas de l'avenir et sera remplacé par tout autre instrument général de reddition qui sera imposé par ou au nom des Nations-Unies et applicable à l'ALLEMAGNE et aux forces armées Allemandes dans leur ensemble
5. Dans le cas où le Haut Commandement Allemand ou certaines forces sous son contrôle manqueraient d'agir conformément à cet acte de reddition, le Commandant Suprême des Forces Expéditionnaires Alliées et le Haut Commandement Soviétique prendront toutes actions punitives ou autres qu'ils jugeront appropriées.
Signé à Reims France à 2 heures 41, le 7 mai 1945.
Au nom du Haut Commandement allemand.
Signature du général JODL
Au nom du Commandant Suprême
des Forces Expéditionnaires Alliées
Signature du général BEDELL-SMITH
Au nom du Haut Commandement Soviétique,
Signature du général SOUSLOPAROV
Général Armée française (témoin)
Signature du général SEVEZ"

Le 8 mai, à 15 heures, la capitulation était officiellement proclamée dans les pays occidentaux par Truman, Churchill et De Gaulle.
Dans l'après-midi, en Bavière, douze SS français, faits prisonniers dans les premiers jours du mois, furent fusillés sur ordre du général Leclerc.

Le 8 mai à 23 h 16 pour l'Occident (le 9 mai à 0 h 16 pour les Soviétiques), à la demande de Staline, l’acte définitif de capitulation fut signé au Q.G. du général Joukov à Berlin par le maréchal Wilhelm Keitel, von Friedeburg et Stumpff, devant A. W. Tedder (au nom du Haut Commandement des Forces expéditionnaires alliées), G. Joukhov (au nom du Haut Commandement de l'Armée rouge), Carl Spaatz (Commandant des Forces stratégiques aériennes des E. U.), et J. De Lattre Tassigny (Général commandant en chef de la 1ère Armée française). Par le traité franco-soviétique de Moscou du 10 décembre 1944, De Gaulle avait obtenu que le général de Lattre de Tassigny et le général Leclerc fussent présents aux signatures de capitulation de l’Allemagne et du Japon les 8 mai et 3 septembre 1945.
La capitulation sans conditions de l’Allemagne mettait fin, en Europe, à la Deuxième Guerre mondiale.

La loi du 7 mai 1946 fixa la commémoration de la victoire au 8, si c’était un dimanche, sinon au premier dimanche qui suivait.

En 1951, le ministre de l’Intérieur, Henri Queuille, décida de la fixer au 8 mai.

La loi du 20 mars 1953 instaura le 8 Mai comme une fête nationale légale et un jour férié.

Le général de Gaulle supprima le jour férié en 1961, la commémoration de la victoire étant fixée au deuxième dimanche du mois de mai (sauf en 1965 pour le vingtième anniversaire).

Le 8 mai 1975, le président Giscard d'Estaing décida de supprimer toute commémoration.

La fête légale et le jour férié furent rétablis par le gouvernement Mauroy sous la présidence de François Mitterrand (loi du 2 octobre 1981).

Les Anglais et les Américains ne chôment pas le 8 mai.
Les Russes fêtent la capitulation de l'Allemagne nazie le 9 mai.

Historique de la Fête du Travail ... Première partie !

Publié à 13:39 par yvonne92110 Tags : histoire et régions historique fete du travail 1
Historique de la Fête du Travail  ... Première partie !
Du Moyen Age à la Révolution ...
Du Moyen Age à la Révolution


Au Moyen Age, le 1er mai, avec le retour des beaux jours et la fin de la saison morte, était l’une des grandes dates de démarrage des contrats d’apprentissage pour de nombreuses corporations d’artisans.

Mais, pendant des siècles, ce n’était pas le travail que l’on mettait en avant ce jour-là ; on fêtait plutôt le muguet porte-bonheur (cette fête remonterait à 1560) ou les amoureux, le 1er mai étant, dans de nombreuses régions de France jusqu’en 1914, le jour où les jeunes gens déclaraient leur flamme à leur belleavec des branches et des fleurs ornés de rubans.

Quand en 1793, Fabre d’Églantine, le père du calendrier révolutionnaire, fixe une fête du Travail, il ne choisit d’ailleurs pas l’équivalent du 1er mai mais le 1er pluviose (en janvier).                                                                                      

Des émeutes aux Etats-Unis ...
Des émeutes aux Etats-Unis...

Notre actuelle fête du Travail du 1er mai tire son origine de manifestations de 1886 outre-atlantique. Les syndicats américains faisaient en effet pression depuis quelques années sur les employeurs pour obtenir une limitation de la journée de travail à huit heures. Ils choisissent de manifester le 1er mai parce que ce jour-là marquele début de l’année comptable de la plupart des entreprises américaines et que de nombreux contrats retiennent aussi cette date comme terme.

À l’issue de la journée du 1er mai 1886, 200 000 travailleurs obtiennent la journée de huit heures. Ceux dont les patrons ont refusé entament alors une grève générale. Ils sont environ 340 000 sur l’ensemble du territoire américain.

Le 3 mai, un défilé de travailleurs à Chicago dégénère : trois morts sont tués par les forces de l’ordre, une bombe tue des policiers et cinq syndicalistes sont pour cela condamnés à mort, malgré la minceur des preuves à leur encontre.                 

...puis en France

PUIS en FRANCE .....Ces événements ont de telles répercussions dans le milieu syndical que la IIe Internationale, réunie à l’été 1889, retient cette date du 1er mai comme journée de manifestations et d’actions en faveur de la journée de huit heures. Le 1er mai 1890 voit donc d’innombrables défilés dans la plupart des pays d’Europe.

L’année suivante, l’un d’entre eux tourne mal : à Fourmies, dans le département du Nord, la police tire et fait neuf morts parmi les manifestants. L’Internationale socialiste confirme alors sa position de 1889. Pour l’appuyer, la Russie bolchévique fait en 1920 du 1er mai un jour chômé, fête légale des travailleurs.

Pour la petite histoire, les Etats-Unis sont l’un des rares pays du monde où la fête du Travail n’est pas le 1er mai, alors que tout est parti de chez eux, car une date (le 1er lundi de septembre) avait déjà été fixée pour ce thème en 1885, légalisée en 1894.

Historique de la Fête du Travail ... Seconde partie !

Publié à 13:28 par yvonne92110 Tags : histoire et régions historique fete du travail 2
Historique de la Fête du Travail  ... Seconde partie !
Le 1er mai au XXème siècle ...
Le 1er mai au XXème siècle

Il y a donc, depuis 1890, des manifestants du 1er mai dans les rues des villes, mais ce jour-là n’est pas cité pour autant comme fête du Travail.

Ce n’est qu’en 1919, exceptionnellement que le jour est chômé, car le Sénat fait passer la durée du travail à huit heures et accorde cette journée de congé pour fêter l’événement. Mais on continue à travailler les 1er mai des années suivantes.

Le 1er mai n’est enfin déclaré Fête du Travail et jour chômé qu’en 1941, sous le gouvernement de Vichy, à l’initiative du secrétaire d’État au Travail de Pétain, le socialiste et ancien dirigeant de la CGT René Belin.
À la Libération, le nouveau gouvernement annule de nombreuses décisions de Vichy, mais pas celle-là : le 1er mai reste férié, mais sans intitulé officiel, l’idée de travail ou de fête des travailleurs n’est reprise… que dans nos têtes mais pas dans les textes.

Enfin, en 1955, pour honorer le travail manuel, Pie XII place la fête de "saint Joseph artisan" (il était charpentier)… le 1er mai.                     

Le 1er mai au XXème siècle
Le 1er mai au XXème siècle

Il y a donc, depuis 1890, des manifestants du 1er mai dans les rues des villes, mais ce jour-là n’est pas cité pour autant comme fête du Travail.

Ce n’est qu’en 1919, exceptionnellement que le jour est chômé, car le Sénat fait passer la durée du travail à huit heures et accorde cette journée de congé pour fêter l’événement. Mais on continue à travailler les 1er mai des années suivantes.

Le 1er mai n’est enfin déclaré Fête du Travail et jour chômé qu’en 1941, sous le gouvernement de Vichy, à l’initiative du secrétaire d’État au Travail de Pétain, le socialiste et ancien dirigeant de la CGT René Belin.
À la Libération, le nouveau gouvernement annule de nombreuses décisions de Vichy, mais pas celle-là : le 1er mai reste férié, mais sans intitulé officiel, l’idée de travail ou de fête des travailleurs n’est reprise… que dans nos têtes mais pas dans les textes.

Enfin, en 1955, pour honorer le travail manuel, Pie XII place la fête de "saint Joseph artisan" (il était charpentier)… le 1er mai.

Le 1er mai au XXème siècle
Le 1er mai au XXème siècle

Il y a donc, depuis 1890, des manifestants du 1er mai dans les rues des villes, mais ce jour-là n’est pas cité pour autant comme fête du Travail.

Ce n’est qu’en 1919, exceptionnellement que le jour est chômé, car le Sénat fait passer la durée du travail à huit heures et accorde cette journée de congé pour fêter l’événement. Mais on continue à travailler les 1er mai des années suivantes.

Le 1er mai n’est enfin déclaré Fête du Travail et jour chômé qu’en 1941, sous le gouvernement de Vichy, à l’initiative du secrétaire d’État au Travail de Pétain, le socialiste et ancien dirigeant de la CGT René Belin.
À la Libération, le nouveau gouvernement annule de nombreuses décisions de Vichy, mais pas celle-là : le 1er mai reste férié, mais sans intitulé officiel, l’idée de travail ou de fête des travailleurs n’est reprise… que dans nos têtes mais pas dans les textes.

Enfin, en 1955, pour honorer le travail manuel, Pie XII place la fête de "saint Joseph artisan" (il était charpentier)… le 1er mai.

1er Mai : la Fête du Travail ...

Chaque année, au moment du 1er mai, il y a toujours un plaisantin pour s'indigner que l'on fête le travail… en restant au lit !                                             De nombreux défilés sont organisés ce jour là, par les partis politiques et les syndicats .....  C'est aussi le jour où chacun peut vendre du muguet sur la voie publique, mais sous certaines conditions :                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            Les ventes de fleurs ainsi que toutes ventes sur la voie publique, sont réglementées. L'exercice d'une activité commerciale sur le domaine public est, en application des articles L. 2212 et L. 2213 du code général des collectivités territoriales, soumis à une autorisation de stationnement ou de voirie délivrée par les autorités locales, auxquelles il appartient de vérifier que les demandeurs exercent régulièrement leur activité.

Par ailleurs, l'article L. 442-8 du code du commerce interdit à toute personne d'offrir à la vente des produits en utilisant le domaine public dans des conditions irrégulières. Les infractions à ces dispositions sont passibles des amendes prévues pour les contraventions des quatrième et cinquième classes et peuvent entraîner la confiscation, voire la saisie, des marchandises.

Les ventes effectuées en des lieux non destinés à cet effet sont soumises aux dispositions de l'article L. 310-2 du code du commerce sur les ventes au déballage. Les vendeurs en situation irrégulière sont passibles d'une amende de  15000 euros

Ces réglementations font l'objet de contrôles réguliers de la part des services compétents, police, gendarmerie ... ainsi que ceux de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes.

La vente de muguet le 1er mai rentre dans ce dispositif réglementaire. Cependant, cette vente effectuée par des personnes non munies des autorisations nécessaires fait l'objet, de la part des autorités locales, d'une tolérance admise à titre exceptionnel conformément à une longue tradition. Au demeurant, de nombreuses communes organisent elles-mêmes, par arrêté municipal, la vente du muguet par des particuliers le jour de la fête du Travail."

Les particuliers peuvent vendre du muguet dans la rue le 1er mai en raison d'une tolérance administrative au titre de la tradition. La loi interdit formellement la vente sur la voie publique sans autorisation des autorités locales et sans payer les droits qui s'y rapportent.

L'exception relative au muguet pour le seul jour du 1er mai est toutefois assortie de conditions : Le Muguet doit être sauvage, sans racines, sans ajout d'autre fleur ou verdure, sans emballage ou pot. Par ailleurs, le vendeur ne doit pas s'approcher à moins de 40 mètres d'un fleuriste patenté, ni installer un étal, ni racoler le client ... Attention, certaines municipalités exigent, malgré tout, une autorisation préalable ... En quelque sorte, cela peut varier d'une ville à l'autre !!!  

Premier mai 1941 ... Une "Histoire" à se rappeler !

Publié à 15:37 par yvonne92110 Tags : histoire et régions de france premier mai 1941 Edifiant
Premier mai 1941 ... Une "Histoire" à se rappeler !

1er MAI une histoire à se rappeler .....

Pour ceux qui connaissent l' histoire ... et les autres  !!!

L'affiche ci-jointe a été placardée dans toute la France pour le 1er mai 1941.

Édifiant !

La Turbie ... Village médiéval français !

Publié à 12:43 par yvonne92110 Tags : histoire et régions france village medieval la turbie
La Turbie ... Village médiéval français !

 Bienvenue à La Turbie !

Situé sur la Côte d'Azur, le village médiéval de La Turbie, célèbre pour son monumental Trophée d'Auguste, est perché au-dessus de la Principauté de Monaco, entre Nice et Menton.

Dans ce beau village au charme authentique, tout est réuni pour vous séduire : les panoramas les plus célèbres de la Riviera Française, un patrimoine historique et architectural riche et varié à visiter avec les nouvelles technologies, de nombreux sentiers de randonnée aménagés, des loisirs sportifs variés, et le Parc Naturel de la Grande Corniche.

 

Au plus haut point de la Grande Corniche, sur l’ancienne Via Julia Augusta, sa position de promontoire a conféré à La Turbie un rôle stratégique depuis la nuit des temps et façonné sa destinée exceptionnelle.
 
Les Romains ont choisi le lieu pour y ériger le monumental Trophée d'Auguste, à la gloire de l’Empereur, les Comtes de Provence l’ont transformé en forteresse et les premiers hivernants de la Côte d’Azur en ont fait l’une de leur destination préférée.

Si les siècles et l’histoire ont immanquablement transformé le village, ce dernier a gardé son caractère défensif.

 

Grâce à la richesse et l’originalité d’un patrimoine remarquablement préservé, La Turbie propose de nombreuses visites et randonnées. 

Mardi le 13 mars, 2012























En attendant Noël ... chez Pretty Poun !

Publié à 13:00 par yvonne92110 Tags : cadeaux communs merci Martine Pretty Poun

ARMISTICE ... 11 Novembre 1918 !

Publié à 16:23 par yvonne92110 Tags : histoire de france armistice 11 novembre 1918
ARMISTICE  ...  11  Novembre 1918  !

11 novembre 1918 : l'armistice est signé : la Première Guerre Mondiale est enfin terminée ! Lundi 11 novembre 1918 à 11 heures : dans toute la France, les cloches sonnent à la volée. Au front, les clairons bondissent sur les parapets et sonnent le «Cessez-le-Feu», «Levez-vous», «Au Drapeau». La «Marseillaise» jaillit à pleins poumons des tranchées. Même soulagement en face, dans le camp allemand.

Pour la première fois depuis quatre ans, Français et Allemands peuvent se regarder sans s'entretuer. Un armistice (arrêt des combats) a été conclu le matin entre les Alliés et l'Allemagne, dernière des Puissances Centrales à rendre les armes. Il laisse derrière lui huit millions de morts et six millions de mutilés.

Les survivants ont perdu la foi dans les valeurs morales et spirituelles qui ont fait la grandeur et l'unité de l'Europe. Mais ils veulent croire que cette guerre qui s'achève restera la dernière de l'Histoire, la «der des der»...

L'Armistice est signé à Rethondes, en forêt de Compiègne, le 11 novembre 1918.
Au front alternent des scènes d'émotion, de joie et de fraternisation à l'annonce du cessez-le-feu. La liesse déferle sur la France, tandis que retentissent les coups de canon que Georges Clemenceau a ordonné de tirer.

Au Palais Bourbon, à 16 heures, Clemenceau lit les conditions d'armistice, salue l'Alsace et la Lorraine et rend hommage à la Nation.
Ce "jour de bonheur" ne peut faire oublier à l'ancien combattant, revenu à la vie civile, l'expérience tragique et le message dont il est porteur. Il importe en effet que le courage et les sacrifices des soldats durant ces quatre années de guerre restent dans chaque mémoire.
Ce sont les anciens combattants qui vont imposer peu à peu le 11 novembre comme une fête nationale.

.1921 : l'inhumation du Soldat inconnu Le 28 janvier 1921, le Soldat inconnu est inhumé sous la voûte de l'Arc de Triomphe.
Sur la dalle de granit sont gravés ces mots : "Ici repose un soldat français mort pour la Patrie (1914-1918) En 1922 : le 11 novembre, jour de commémoration nationale - Tout au long de l'année 1922, les anciens combattants insistent pour que le Parlement déclare le 11 novembre fête nationale, ce qu'établit la loi du 24 octobre 1922....  1923, en présence de nombreuses associations d'anciens combattants, André Maginot, ministre de la guerre et des pensions, allume pour la première fois une flamme du souvenir. Le foyer de la flamme est réalisé par le ferronnier Brandt.
Le Comité de la Flamme aura désormais la tâche de la faire raviver chaque jour au crépuscule. Au fil des années, la Flamme est ravivée par les associations d'anciens combattants et le Livre d'or du Souvenir est signé par de nombreux hôtes de la France. En quatre années seulement, un cérémonial annuel est né et il deviendra vite une tradition.
Parallèlement, on a assisté à l'érection d'un monument aux morts dans chaque commune de France, autour duquel chaque municipalité organise la cérémonie du 11 novembre : cortège des autorités, des associations patriotiques, des enfants des écoles, de la population.

Cette cérémonie garde aujourd'hui tout son sens car elle est l'occasion de rendre hommage aux combattants pour que ne sombrent pas dans l'oubli les sacrifices et les souffrances de toute une génération. Il importe à cette occasion de faire de la jeunesse l'héritière des valeurs qu'ils ont défendues.
  
(photo ci-dessus) :  Tableau représentant la signature de l’Armistice de 1918 dans le wagon-salon du maréchal Foch. Derrière la table, de droite à gauche, le général Weygand, le maréchal Foch (debout) et les amiraux britanniques Rosslyn Wemyss et G. Hope. Devant, le ministre d’État allemand Matthias Erzberger, le général major Detlof von Winterfeldt (avec le casque) de l’Armée impériale, le comte Alfred von Oberndorff des Affaires étrangères et le capitaine de vaisseau Ernst Vanselow de la Marine impériale.