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POEMES et POETES

Le sourire ... une histoire de Saint-Exupéry !

Publié à 11:26 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes le sourire histoire de st exupéry
Le sourire    ...    une histoire de Saint-Exupéry  !


Le sourire (une histoire de Saint-Exupéry)
(Hanoch McCarty)


« Souriez à tous ceux qui vous entourent, à votre mari, à votre 
femme, souriez à tout le monde, peu importe qui ils sont, cela 
vous aidera à avoir plus d’amour pour les autres »
(Mère Teresa)


Beaucoup de gens sont familiers avec “Le Petit Prince”, un très
beau livre écrit par Antoine de Saint-Exupéry. C’est une très belle 
histoire pour les enfants, aussi bien une bonne lecture pour les
adultes qui fait réfléchir. Mais peu de gens connaissent les autres 
écrits de Saint-Exupéry.


Saint-Exupéry était un pilote de combat qui se battait contre les
Nazis et qui a été tué en action.

Avant la Deuxième Guerre mondiale, il a combattu dans la Guerre 
Civile d’Espagne contre les fascistes. Il a écrit une histoire 
passionnante sur cette expérience intitulée, « Le sourire ». C’est
cette histoire que j’aimerais partager avec vous maintenant.

Ce n’est pas très clair si c’est une autobiographie ou une fiction.
Je préfère croire que c’est le premier choix.

Il raconte qu’il a été capturé par l’ennemi et jeté dans une prison.
Il était persuadé qu’après le mauvais traitement qu’il a reçu de
ses geôliers, il allait être exécuté le jour suivant. A partir de ce 
moment-là, il raconte sa propre l'histoire :

J’étais sûr que j’allais être tué. Je suis devenu terriblement nerveux 
et éperdu. Frénétiquement, j’ai cherché dans mes poches pour voir 
s’il y avait une cigarette qui avait échappé à la fouille. J’ai fini par 
en trouver une, mais à cause du tremblement de mes mains, je 
n’arrivais pas à la poser sur mes lèvres. 

A travers les barreaux, je pouvais voir mon geôlier. Il ne prenait 
même pas la peine de me regarder. Après tout pourquoi regarder
une chose, un corps.

Je décidais de l’appeler et de lui demander : « Avez-vous du feu,
por favor ? Il me regarda, haussa les épaules, et vint allumer ma 
cigarette ».

Au même moment qu’il s’approcha pour allumer ma cigarette,
ses yeux rencontrèrent les miens, et je ne sais pas pourquoi, je 
lui ai fait un grand sourire. Peut-être par nervosité ou bien le fait 
qu’il soit si proche. 

A ce moment précis, c’est comme si une étincelle s’était allumée.
Nos deux cœurs se sont rencontrés, nos deux âmes humaines 
aussi.

Je sais qu’il ne voulait pas que cela arrive, mais mon sourire est
passé à travers les barreaux et a généré son sourire aussi. 
Après avoir allumé ma cigarette, il resta près de moi, continuant 
de regarder dans mes yeux et sourire.

J’ai continué à lui sourire, le voyant comme une personne et 
non plus comme un geôlier. Lui aussi me regardait maintenant
autrement.

« As-tu des enfants ? », il me demanda.

« Oui, regarde », j’ai pris mon portefeuille  et j’ai commencé de
lui montrer les photos de ma famille.

Lui aussi, il me montra les photos de ses enfants et commença 
de me parler de ses plans et espoirs pour eux. 

Alors, des larmes commencèrent de couler sur mes joues, je lui 
dit que j’avais peur de ne plus revoir mes enfants. Des larmes 
commencèrent à couler sur les siennes aussi.

Soudainement, sans dire un mot, il se mit à ouvrir ma cellule
pour me laisser sortir. En dehors de la prison, tranquillement 
et par de petites routes, il me fit sortir de la ville. Il me libéra 
et sans dire un seul mot repartit dans la ville. 

Ma vie a été sauvée par un sourire !

Oui, un sourire. Contre toute attente, l’imprévue, une simple
connection entre deux personnes.


J’aime raconter cette histoire dans mon travail parce que
j’aime considérer que sous toutes les couches que nous 
construisons pour nous protéger nous-mêmes, notre dignité, 
nos titres, nos diplômes, notre statut ou le besoin d’être vu 
d’une certaine manière, en dessous de tout cela, demeure 
l’authentique, la partie vitale de nous-mêmes. 

Je n’ai pas peur d’appeler cela une âme. Je crois que c’est une 
partie entière de nous, quelque chose que nous pouvons 
reconnaître dans chacun d’entre nous. 

L’histoire de Saint-Exupéry parle de ce moment magique quand
deux âmes se reconnaissent l’un l’autre.

J’ai eu des moments comme cela. Tomber amoureux par 
exemple. Regarder un bébé. Pourquoi nous sourions quand nous
voyons un bébé ? Peut-être parce que nous voyons quelqu’un
sans toutes ces couches de protections, quelqu’un qui sourit,
que nous savons vraiment authentique et sans artifice.

                                        **********



Écrivain, poète et aviateur français né le 29 juin 1900 à Lyon, 
Antoine de Saint-Exupéry disparu en vol le 31 juillet 1944 au 
large de Marseille. Sa mémoire est célébrée solennellement 
à Strasbourg le 31 juillet 1945. En 1948 il est reconnu 
« Mort pour la France ».




« Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité »
   Antoine de Saint-Exupéry ; 
   Cahiers de Saint-Exupéry (1900-1944)

« Les yeux sont aveugles, il faut chercher avec le cœur »
   Antoine de Saint-Exupéry ; Le petit prince (1943)

« Le sourire est souvent l'essentiel, on est payé par un sourire »
   Antoine de Saint-Exupéry ; Lettre à un otage (1944)

« Être un homme, c'est sentir, en posant sa pierre, que l'on 
   contribue à bâtir le monde »
   Antoine de Saint-Exupéry ; Terre des hommes (1939)

« On risque de pleurer un peu si l'on s'est laissé apprivoiser »
   Antoine de Saint-Exupéry ; Le petit prince (1943)

« Si tu veux comprendre le mot bonheur, il faut l'entendre 
   comme récompense et non comme but »
   Antoine de Saint-Exupéry ; Citadelle (posthume, 1948)

« Nous sommes riches aussi de nos misères »
   Antoine de Saint-Exupéry ; Vol de nuit (1931)

« L'amour véritable commence là où tu n'attends plus rien
   en retour »
   Antoine de Saint-Exupéry ; Citadelle (posthume, 1948)

Poème en image ... signé Lazare Carnot !

Publié à 12:22 par yvonne92110 Tags : poèmes et poète en image poème de lazare Carnot

Poème de Charles Marie Leconte de Lisle ...

Publié à 12:16 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes midi de charles marie l de lisle
Poème de Charles Marie Leconte de Lisle  ...

                                                                                                                                                                                                                                                                                                            Midi  ...

                                                                                                                                                                                                                                                      Midi, Roi des étés, épandu sur la plaine, 
Tombe en nappes d'argent des hauteurs du ciel bleu. 
Tout se tait. L'air flamboie et brûle sans haleine ; 
La Terre est assoupie en sa robe de feu. 

                                                                                                                                                                                                                                                                      L'étendue est immense, et les champs n'ont point d'ombre, 
Et la source est tarie où buvaient les troupeaux ; 
La lointaine forêt, dont la lisière est sombre, 
Dort là-bas, immobile, en un pesant repos. 

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  Seuls, les grands blés mûris, tels qu'une mer dorée, 
Se déroulent au loin, dédaigneux du sommeil ; 
Pacifiques enfants de la Terre sacrée, 
Ils épuisent sans peur la coupe du Soleil. 

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                    Parfois, comme un soupir de leur âme brûlante, 
Du sein des épis lourds qui murmurent entre eux, 
Une ondulation majestueuse et lente 
S'éveille, et va mourir à l'horizon poudreux. 

                                                                                                                                                                                                                                                                     Non loin, quelques boeufs blancs, couchés parmi les herbes, 
Bavent avec lenteur sur leurs fanons épais, 
Et suivent de leurs yeux languissants et superbes 
Le songe intérieur qu'ils n'achèvent jamais. 

                                                                                                                                                                                                                                                                         Homme, si, le coeur plein de joie ou d'amertume, 
Tu passais vers midi dans les champs radieux, 
Fuis ! la Nature est vide et le Soleil consume : 
Rien n'est vivant ici, rien n'est triste ou joyeux. 

                                                                                                                                                                                                                                                                                            Mais si, désabusé des larmes et du rire, 
Altéré de l'oubli de ce monde agité, 
Tu veux, ne sachant plus pardonner ou maudire, 
Goûter une suprême et morne volupté, 
               
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         Viens ! Le Soleil te parle en paroles sublimes ; 
Dans sa flamme implacable absorbe-toi sans fin ; 
Et retourne à pas lents vers les cités infimes, 
Le coeur trempé sept fois dans le Néant divin. 

Un joli panier pour vous ... qui fleure bon la lavande !

(Charles-Marie Leconte de Lisle - 1818-1894)

"Sans elle, Sans toi" ... merci à l'auteur inconnu !

Publié à 15:31 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes sans elle sans toi merci a inconnu

Soleil couchant ... par José Maria de Heredia !

Publié à 12:53 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes josé maria de heredia soleil couchant

Poème de Raphaël Nacef : Les yeux d'une femme !

Publié à 14:55 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes raphael nacef yeux d une femme
Poème de Raphaël Nacef : Les yeux d'une femme !

Poème de Raphaël Nacef : Les yeux d'une femme !                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                        .;;

Merci mon amie Yvette ... pour ce joli partage !

Publié à 12:20 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes poèmes et poètes centerblog centerblog
Merci mon amie Yvette   ...  pour ce joli partage !

Les soeurs jumelles

Je te vois grandissant près de ta sœur jumelle,
Comme deux frais épis sortis du même grain,
Si semblables en tout, en votre heureux matin,
Qu'on la prenait pour toi, qu'on te prenait pour elle.
Quelquefois, vous trouviez un plaisir innocent
À changer vos deux noms, aimable et doux manège,
Et, si quelqu'un de nous se laissait prendre au piège,
Votre rire éclatait, pur et retentissant !
Le Seigneur avait fait vos âmes si pareilles,
Que vous n'aviez besoin de lèvres ni d'oreilles
Pour vous interroger : un regard suffisait.
L'une de vous à peine ébauchait sa pensée,
D'un mot l'autre achevait la phrase commencée ;
Souvent pour mieux causer, chacune se taisait.
Comme deux astres d'or dont la lumière amie
Se lève à la même heure et brille à l'horizon,
Vous mes filles, astres charmants de ma vie,
Votre double sourire éclairait la maison.

Anatole de Ségur.

L'oreiller d'un enfant ... de Marceline Desbordes-Valmore !

Publié à 11:03 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes l oreiller d un enfant md valmore
L'oreiller d'un enfant  ... de Marceline Desbordes-Valmore !

 

L'oreiller d'un enfant ... 

                                                                                                                                                                                                                                                                                         Cher petit oreiller, doux et chaud sous ma tête,

Plein de plume choisie, et blanc ! et fait pour moi !

Quand on a peur du vent, des loups, de la tempête,

Cher petit oreiller, que je dors bien sur toi !

 

Beaucoup, beaucoup d'enfants pauvres et nus, sans mère,

Sans maison, n'ont jamais d'oreiller pour dormir;

Ils ont toujours sommeil. Ô destinée amère!

Maman ! douce maman ! cela me fait gémir.

 

Marceline Desbordes-Valmore

Poème dédié à toutes les Mamans ...

Publié à 11:10 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes a de musset dédié aux mamans
Poème dédié à toutes les Mamans   ...

A ma Mère  ... 

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            « Après un si joyeux festin,
Zélés sectateurs de Grégoire, 
Mes amis, si, le verre en main 
Nous voulons chanter, rire et boire, 
Pourquoi s'adresser à Bacchus ? 
Dans une journée aussi belle 
Mes amis, chantons en " chorus " 
A la tendresse maternelle.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              Un don pour nous si précieux, 
Ce doux protecteur de l'enfance, 
Ah ! c'est une faveur des cieux 
Que Dieu donna dans sa clémence.
D'un bien pour l'homme si charmant 
Nous avons ici le modèle ; 
Qui ne serait reconnaissant 
A la tendresse maternelle ?

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   Arrive-t-il quelque bonheur ? 
Vite, à sa mère on le raconte ; 
C'est dans son sein consolateur 
Qu'on cache ses pleurs ou sa honte. 
A-t-on quelques faibles succès, 
On ne triomphe que pour elle 
Et que pour répondre aux bienfaits 
De la tendresse maternelle.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            Ô toi, dont les soins prévoyants, 
Dans les sentiers de cette vie 
Dirigent mes pas nonchalants, 
Ma mère, à toi je me confie. 
Des écueils d'un monde trompeur 
Écarte ma faible nacelle. 
Je veux devoir tout mon bonheur 
A la tendresse maternelle. »

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       Alfred de Musset (1810-1857)

La pendule ... de Pierre Gamarra !

Publié à 12:28 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes la pendule de pierre gamarra
La pendule    ...    de Pierre Gamarra  !

"La Pendule"                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               Je suis la pendule, tic !

Je suis la pendule, tac !

On dirait que je mastique

du mastic et des moustiques

quand je sonne et quand je craque,

je suis la pendule, tic !

Je suis la pendule, tac !

J'avance ou bien je recule,

tic-tac, je suis la pendule,

je brille quand on m'astique,

je ne suis pas fantastique

mais je sais l'arithmétique,

j'ai plus d'un tour dans mon sac,

je suis la pendule, tic !

Je suis la pendule, tac !

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  (auteur : Pierre Gamarra)