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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
5848 articles
L'homme et l'arignée
En Inde, on raconte l'histoire d'un homme bienveillant et paisible qui allait prier chaque matin dans le Gange.
Un jour, une fois sa prière terminée, il remarqua une araignée venimeuse en train de se débattre dans l'eau et la recueillit dans le creux de sa main pour la transporter vers la rive.
Alors qu'il la déposait par terre, celle-ci le piqua.
Sans qu'il le sache, toutes ses prières diluèrent le poison.
Le jour suivant, la même chose se produisit.
Le troisième jour, le bienveillant homme était de nouveau dans l'eau jusqu'aux genoux. Et bien entendu, l'araignée était là aussi, nageant frénétiquement.
Alors que l'homme s'apprêtait de nouveau à la sortir de l'eau, l'araignée dit :
"Pourquoi t'obstines-tu à vouloir me sauver? Tu ne vois pas que je te pique chaque fois? Je suis ainsi faite."
L'homme recueillit tout de même l'araignée dans sa main en lui répondant :
"Parce que c'est ainsi que je suis fait."
Il y a bien des raisons à la bienveillance, mais celle qui nous y pousse naturellement le plus est peut-être le fait spirituel que c'est ainsi que nous sommes faits.
C'est comme ça que le coeur de l'être humain continue de battre.
Les araignées piquent.
Les loups hurlent.
Les fourmis construisent des fourmilières que personne ne voit.
Et les humains s'entraident, peu importe les conséquences.
Même lorsque les autres piquent....
Mark Nepo
Anonyme je cherche une anecdote sur le volcan
vous en auriez pas une
si oui vous pouvez la mettre
merci
Merci de votre visite
et de votre commentaire...
j'ai trouvé ceci...
Saint-Pierre - Cyparis. Retrouvé quatre jours après la catastrophe, Cyparis, protégé par les murs de son cachot, en partie brûlé et asphixié, survit à ses blessures.
Louis Auguste Cyparis (1875 - Panama, 1929 ), dit Ludger Sylbaris (ou) Cylbaris, dit également Louis Sanson était un prisonnier de la prison de Saint-Pierre.
C'est l'un des survivants de l'éruption du 8 mai 1902 de la Montagne Pelée en Martinique.
Cyparis travaillait au Prêcheur comme marin et cultivateur. Condamné à un mois de prison pour une bagarre où il a blessé un homme d'un coup de couteau, il s'échappe près du terme de sa peine et écope de huit jours au cachot.
Cachot de Cyparis à Saint Pierre
Protégé par les épais murs de son cachot, il est secouru trois jours après l'éruption, le 11 mai 1902, par des hommes du Morne-Rouge qui entendirent ses plaintes. Il souffrait de nombreuses brûlures. Après son sauvetage, certains mettront en doute son histoire, jusqu'à ce que le président de la cour d'appel de Martinique confirme son incarcération à la date de l'éruption. Gracié, il est engagé par le cirque Barnum aux États-Unis d'Amérique, où il exhibe ses brûlures et où on le présente faussement comme le seul rescapé de la catastrophe.
En effet, selon certaines sources, il y aurait eu au moins un second rescapé, Léon Compère, cordonnier, qui prit la fuite par la route de Fonds-Saint-Denis.
Louis Auguste Cyparis meurt en 1929 à Panama, dans le plus grand dénuement, totalement oublié, l'année même où la Montagne Pelée, qui l'avait rendu célèbre, connut une nouvelle et violente éruption.
Le pouce du Roi
Un roi africain avait un ami d'enfance qui était très proche de lui. Cet ami avait une habitude curieuse : quel que soit l'évènement qui lui arrivait dans la vie, positif ou négatif, il disait "C'est génial !"
Un jour le roi et son ami partirent à la chasse. Son ami prépara les fusils pour le roi. Mais il fit sans doute une bétise, car un des fusils explosa dans les mains du roi et le priva de son pouce.
Au moment où cet accident arriva, l'ami dit, comme d'habitude, "C'est génial !"
A cela le roi, qui était vraiment en colère, lui dit "Non, ce n'est pas génial du tout" et en donna la preuve à son ami en le jetant en prison.
Un an plus tard, le roi chassait hors de son royaume et des cannibales le capturèrent et le firent prisonnier dans leur village. Ils l'attachèrent à un tronc, mirent du bois autour de lui, et s'apprêtèrent à le faire griller vif pour le manger.
Mais, au moment où ils allaient mettre le feu, ils s'aperçurent qu'il lui manquait un pouce. Une de leurs croyances étant qu'en le mangeant ils leur arriverait la même chose, ils détachèrent le roi et le laissèrent partir.
Sur le chemin du retour, exténué, choqué, il se souvint des circonstances dans lesquelles il avait perdu son pouce.
A peine arrivé, il se fit conduire à la prison pour parler avec son ami.
"Tu avais raison, mon ami, dit-il, c'était génial que je perde mon pouce."
Et il raconta ce qui lui était arrivé à son ami. "Je te supplie de me pardonner de t'avoir laissé croupir en prison si longtemps.
C'était mal de ma part de t'avoir fait cela."
Son ami lui répondit : "Mais non, c'était génial au contraire !"
"Qu'est-ce que tu veux dire ? Comment le fait de te jeter en prison, toi, mon ami, pourrait-il être génial ?"
"Si je n'avais pas été en prison j'aurais été avec toi. Et ils m'auraient mangé."
Ce qui nous arrive dans la vie ne semble pas toujours avoir de sens. Mais en gardant une attitude positive, vous lui trouverez un sens. Et vous transformerez le mal en bon, en "génial", même.
Il suffit de chercher le génial et vous le trouverez.
(auteur inconnu)
Né en Egypte, développé en Chine puis codifié au Japon, l'art de la culture des arbres en pot remonte à 4 000 ans. Une formidable épopée planétaire qui n'a touché l'Europe finalement qu'assez tardivement en 1878.
Selon des écrits retrouvés de l'époque des pharaons, la culture des plantes en pots aurait commencé sur les rives du Nil en Égypte il y a environ 4 000 ans. A l'époque, la technique était principalement destinée à faciliter les déplacements des plantes. Plus tard, les Grecs, les Babyloniens, les Perses et les Indiens reprirent la technique pour les mêmes raisons pratiques. La culture dans un but esthétique fût quant à elle inventée par les Chinois à l'ère de la dynastie des Han (206 av. J.-C. - 220 ap. J.-C.). A l'époque, la technique du Bonsaï s'attachait à recréer un paysage dans une coupe. C'est sous la dynastie Qin (220 - 581) que les premiers arbres uniques dans un pot firent leur apparition.
Les bonsaï à structure codifiée tels que nous les connaissons aujourd'hui ont été créés au Japon. C'est vraisemblablement aux VIe et VIIe siècles que l'art de la culture du Bonsaï traversa les mers pour gagner le Japon avec les moines bouddhistes chargés de répandre leurs convictions. Si quelques écrits en attestent, il semble que toutefois l'engouement des Japonais pour cet art ait du attendre plusieurs siècles. Ainsi, sous la dynastie Yuan (1279 - 1368 après J.-C.), il est confirmé que des ministres et de marchands japonais ramenèrent des arbres de Chine et il faudra attendre l'exil forcé d'un fonctionnaire chinois, Chu Shun-sui en 1644 pour qu'une collection complète débarque au Japon. Cet homme grand amateur de Bonsaï fuyait la domination mandchoue et pour s'occuper en terre d'exil, il initia quelques Japonais. Pendant des siècles, quelques privilégiés perpétuèrent ces enseignements. Seules les classes dominantes, féodales et religieuses en avaient la maîtrise. Il faudra encore attendre la première exposition nationale de bonsaï à Tokyo en 1914 pour que la culture du Bonsaï se démocratise. La culture du bonsaï n'a finalement été reconnue comme art au Japon qu'en 1934.
En Europe, le premier Bonsaï a être exposé fut amené spécialement pour la troisième exposition universelle de Paris, en 1878. Les documents de l'époque montrent des Bonsaï totalement différents que ceux que nous connaissons aujourd'hui. La codification actuelle date en effet des années 1950. Pendant la seconde guerre mondiale, les américains importèrent de nombreux spécimens du Japon. A partir de 1965, les bonsaï vont déferler sur l'Europe principalement en Allemagne et aux Pays Bas. Leur succès en France n'est apparu que dans les années 1980.
L'art de la taille
Un arbre miniature parfaitement structuré s'obtient en le sculptant régulièrement par une taille décidée des feuilles et des racines. Ce geste est l'essence même de l'art du bonsaï !
Outre la taille d'entretien classique à tous les arbres, l'art de la nanification d'un bonsaï repose sur deux tailles distinctes.
La taille des feuilles
Pour obtenir un bonsaï à petites feuilles, le jardinier doit procéder à la taille répétée au fur et à mesure des années des feuilles. De manière générale, cette taille ne s'opère pas pendant la période de repos pour éviter que les feuilles ne s'agrandissent et que la distance des entrenoeuds s'allonge. La taille s'effectue donc en pleine période de pousse et elle consiste à tailler au ciseau les ¾ de la feuille pour ne garder que le pétiole et le début de la feuille. Quand les feuilles repoussent, elles seront automatiquement plus petites et présenteront des entrenoeuds plus rapprochés.
Outre la taille des feuilles, il est possible de procéder à une défoliation complète ou partielle de l'arbre pour épaissir les branches. Cette pratique étant une épreuve rude pour l'arbre, il est conseillé de l'espacer dans le temps (tous les 2 ou 3 ans).
La taille des racines
Sachant qu'un bonsaï doit se limiter à un pot restreint, il est impératif de procéder assez régulièrement à la taille de ses racines. La fréquence de cette taille redoutée par les débutants dépend de plusieurs facteurs (espèce, taille du pot et environnement de l'arbre). En règle générale, la taille doit s'envisager quand l'arbre montre des signes de déclin ou quand il commence à se soulever de son pot. Sachez que la taille des racines affaiblit la plante puisqu'elle limite sa capacité à trouver dans la terre l'eau et les nutriments nécessaires à sa croissance. En conséquence, elle ne doit être réalisée que dans le cas ou la plante est en pleine santé au risque de voir le bonsaï mourir.
Pour que le stress généré soit minimisé, il est préférable de procéder à la taille des racines de préférence en fin d'automne et au début du printemps. La taille s'opère très simplement : la plante est retirée de son pot. Les racines sont « démêlées » avec précaution avec un crochet de préférence. Quand les racines sont mises à nue, la taille privilégie les grosses racines et laisse en place les radicelles qui sont plus efficaces pour absorber l'eau.
Attention : la structuration d'un bonsaï demande de la patience. Si vous avez choisi un pot décidément trop petit pour accueillir les racines de votre arbre, il est préférable de prendre son mal en patience et de renouveler l'opération plusieurs années de suite pour loger les racines dans le pot choisi ! Une fois rempoté, le premier arrosage doit saturer et rincer le sol pour que la reprise se solde par une réussite.
L'arrosage
Par ce que l'eau est la principale nourriture d'un bonsaï, de la qualité de l'arrosage dépend la santé et la beauté de l'arbre.
L'arrosage d'un bonsaï nécessite toutes les attentions puisque l'eau est le principal élément nutritif dont l'arbre a besoin pour vivre. Gardez toujours à l'esprit que s'il est trop arrosé, il meurt et s'il n'est pas assez arrosé, il meurt aussi ! En effet, les racines d'un bonsaï sont fragiles. Trop d'eau les font pourrir. Pas assez d'eau les dessèchent. Plus qu'une fréquence théorique dûment indiquée sur les fiches techniques, l'arrosage doit se faire principalement en observant les besoins de l'arbre. L'équilibre est délicat puisque dans bien des cas, une motte maintenue humide à longueur d'année aura l'effet inverse de celui désiré : les racines constamment baignées vont pourrir !
Pour donner toutes les chances de survie à un bonsaï, il est donc nécessaire de l'installer dans un substrat drainant. Le terreau est ainsi à bannir puisqu'il a le grand désavantage de se dessécher très vite et de devenir imperméable ou au contraire de conserver trop d'humidité et de faire pourrir les racines. Il faut toujours garder à l'esprit qu'il est plus facile de sauver un arbre qui à soif que de sauver un arbre qui été trop arrosé !
L'arrosage d'un bonsaï se fait traditionnellement tous les jours en quantité restreinte selon la technique du « bassinage ». Cette technique consiste à arroser en pluie fine par le dessus de la plante. L'eau doit ruisseler sur les feuilles pour les laver et éliminer les nuisibles (acariens principalement). Si l'arrosage est réalisé avec l'eau du robinet, il est recommandé de la faire décanter pendant quelques heures pour favoriser l'élimination du chlore.
En cas de forte déshydratation, une autre technique est employée. Elle consiste à plonger le pot dans une bassine d'eau jusqu'à affleurement du rebord extérieur. Quand l'eau remonte naturellement dans le pot, le bonsaï peut être retiré de son bain et égoutté.
Sachant qu'un bonsaï se doit d'être arrosé tous les jours, en cas de départ en vacances il est impératif de le confier à une personne de confiance ou à défaut de l'emmener avec vous. S'il reste sans arrosage pendant plusieurs jours en été, à votre retour il est fort probable qu'il est rendu l'âme !
Ecosystème méconnu, la mangrove est une zone de jonction entre la mer et la terre dans les régions intertropicales. On estime aujourd'hui qu'elle recouvre près de 150 000 km² de la surface du globe. En Afrique, en Asie et en Amérique du sud, on retrouve les paysages étonnants que forment les palétuviers et leurs racines échasses.
Koumak
Ici, près de Koumac en Nouvelle Calédonie. La mangrove calédonienne est aujourd'hui mondialement connue grâce au cœur de Voh photographié vu du ciel par Yann Arthus-Bertrand. Très dense mais assez basse, la mangrove couvre une surface d'environ 200 km² en Nouvelle-Calédonie.
Anse du Souffleur - Port Saint Louis
Un sentier sur pilotis a été aménagé pour permettre au visiteur d'accéder aux paysages grandioses de la mangrove guadeloupéenne. A deux pas des plages de sable fin vivent oiseaux et autres crabes violonistes, communément surnommés les "cé ma faute" très facilement observables à partir du sentier.
Los Haitises - République Dominicaine
Uniquement accessible par voie maritime le Parc National de Los Haitises, en République Dominicaine est situé au sud de la péninsule de Samana. Il recèle des trésors naturels dont la mangrove grâce à son climat subtropical mais aussi l'île aux oiseaux où on peut observer pélicans, perroquets et pique-bœufs.
Sentier des Salines - Guyane Française
Les racines-échasses des palétuviers s'ancrent dans la vase et permettent aux arbres de résister aux courants générés par les marées. Située dans la zone de balancement des marées et alimentée en eau douce à l'abri des courants marins, la mangrove se développe principalement dans les estuaires et les lagunes.
Marais du Kakadu National Park - Australie
Inscrit sur la liste du patrimoine mondial depuis 1981, le parc National de Kakadu permet d'étudier l'évolution des mangroves dans les estuaires et sur le littoral au nord de l'Australie. Les scientifiques étudient notamment l'impact des activités humaines sur ces écosystèmes fragiles.
Marais de Kaw - Guyane
En canoë sur le marais de Kaw, on découvre une diversité biologique impressionnante et notamment des oiseaux tels que l'ibis rouge ou l'aigrette. On peut aussi apercevoir l'œil jaune d'un caïman. Au marais succèdent la mangrove puis l'estuaire.
Guadeloupe
La mangrove guadeloupéenne couvre une surface d'environ 8 000 ha. Elle est située principalement autour de Grand Cul-de-Sac Marin et à partir des rives de la rivière salée, sur la partie centre nord de l'île. On y distingue trois types de mangrove : maritime, arbustive et haute. A chacun correspond un type de palétuvier : rouge, noir ou blanc.
Khao Lak - Thaïlande
Le parc national de Laem Ru, situé sur la côte ouest de la Thaïlande, est bordé par la mangrove au-delà de laquelle s'étend la forêt tropicale. C'est en barque qu'on peut visiter le littoral tropical thaïlandais. Le parc n'accueille aucun résident permanent si ce n'est un refuge pour pêcheurs.
Péninsule de Gove - Australie
La péninsule de Gove est réputée pour ses ressources minières. Néanmoins le territoire Nord auquel elle appartient possède un climat tropical qui permet le développement de la mangrove près des côtes où vivent les si fameux crocodiles d'Australie.
Mangrove aux trois îlets - Martinique
Parcourir la mangrove des Trois-Ilets se fait idéalement en kayak. C'est une activité reposante l'après-midi pour fuir à la fois les plages encombrées et la chaleur du soleil tropical. On peut alors prendre tout le temps et tendre l'oreille pour écouter le chant des oiseaux.
Marais de Kakadu - Australie
Le parc National de Kakadu, situé au nord de l'Australie, abrite 21 des 29 espèces végétales présentes en Australie qui forment la mangrove. Les menaces à peser sur le parc sont l'exploitation des mines d'uranium et l'invasion d'espèces intrusives. Néanmoins, l'UNESCO atteste aujourd'hui que ces menaces sont sous contrôle.
Coucher de soleil sur Kakadu
Situé à 200 km à l'est de Darwin, le parc se trouve entre les rivières de Wildman et Alligator River. On dit que la rivière ne contient que des crocodiles et qu'elle doit son nom à un explorateur peu naturaliste.
Parc national de Cahuita - Costa Rica
Le parc National de Cahuita est situé sur la péninsule du même nom. Le visiteur chemine entre la plage et la mangrove et découvre ainsi toute sorte d'espèces insolites telles que le Chocuaco ou le singe hurleur du Costa Rica. La mangrove occupe environ 250 ha.
Mangrove de l'Ile Maurice
L'île d'Ambreest située à 20 minutes environ de bateau de Grand-Gaube, un village touristique de l'Ile Maurice. C'est une petite île à la fois réserve ornithologique et forêt mauricienne tellement la mangrove y est dense. Le bassin entouré de mangrove abrite une faune diversifiée.
Bali - Indonésie
A Saunur sur Bali, existe un centre d'information sur la mangrove et tout l'écosystème qu'elle représente. Le centre fournit des explications quant au management et aux programmes de conservation mis en place en Indonésie. Des sentiers sur pilotis permettent au visiteur de se promener les pieds au sec.
République Dominicaine
La République Dominicaine propose des excursions en kayak à la découverte des canaux laissés ouverts par la mangrove. De plus, il est possible de visiter certaines grottes qui ajoutent à la magie des paysages.
Kerala - Inde
En Inde, le tsunami a gravement endommagé la mangrove qui représente 6 740 km² soit près de 7 % de la surface totale de la mangrove mondiale. Kerala, mais aussi Maharashtra et Karnataka firgurent parmi les forêts de mangrove protégées aujourd'hui en Inde.
Kakadu, territoire du Nord
On retrouve le Parc National de Kakadu parmi les 23 sites classés au patrimoine mondial de l'Unesco. Le site est classé comme paysage naturel mais aussi en tant que paysage culturel du fait des vestiges préhistoriques et aborigènes qu'il abrite.
" Plantez une pensée, vous récolterez une action ;
Plantez une action, vous récolterez une habitude ;
Plantez une habitude, vous récolterez un trait de caractère ;
Plantez un trait de caractère, vous récolterez un destin "
Cela semble évident et facile, mais ...
- La pensée doit être bien ciblée ;
- L'action, menée à terme ;
- L'habitude entretenue ;
- Le trait de caractère glorifié ;
Et enfin, le destin peut s'accomplir."
(Anna Lee Waldo)