animaux années 50 antiquité arbres archeologie astrologie astronomie au jardin boissons bonbons bonjour bonsoir
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Animaux - Oiseaux - (58)
· Mythologie Greco-romaine- (74)
· La(les)mode(s) - (17)
· Années 50 - (37)
· Arbres et arbustes (22)
· Préhistoire - (25)
· Au Jardin - (27)
· Parcs , réserves naturelles, zoos... (49)
· Bonjour + texte (589)
· Cadeaux de mes ami(e)s - (582)
Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
5848 articles
On y trouve plusieurs espèces d'orchidées du genreOrchis :
- L'orchis pourpre (Orchis purpurea)
- L'orchis moucheron (Gymnadenia conopsea)
- L'orchis guerrier ou orchis militaire (Orchis militaris) qui est très rare
- L' Orchis pyramidal (Anacamptis pyramidalis)
- L'Orchis pourpre (Orchis purpurea)
- L'orchis bouc (Himantoglossum hircinum) à l'odeur fétide
- L'orchis bouffon (Anacamptis morio, syn. Orchis morio)
- L'orchis singe (Orchis simia)
On trouve également des orchidées du genreOphrys dont les fleurs ont la particularité d'imiter la forme et l'odeur d'insectes femelles par des phéromones sexuelles ce qui attire les mâles de l'espèce d'insecte correspondante qui vont ainsi polliniser les fleurs :
- L'ophrys abeille (Ophrys apifera)
- L'ophrys mouche (Ophrys insectifera)
- L'ophryslitigieux ou ophrys petite araignée (Ophrys araneola)
- L'ophrys araignée (Ophrys sphegodes)
- L'ophrys bourdon (Ophrys fuciflora) la plus courante
On trouve aussi d'autres fleurs comme :
- L'oeillet des Chartreux (Dianthus carthusianorum)
- L'anémone pulsatille (Pulsatilla vulgaris)
- La corydale à bulbe plein (Corydalis solida)
- La scille à deux feuilles (Scilla bifolia)
La cérémonie rituelle des Voladores
Inscrit en 2009 sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité
Pays : Mexique
(UNESCO)
La cérémonie rituelle des Voladores (« hommes volants ») est une danse de fertilité exécutée par plusieurs groupes ethniques au Mexique et en Amérique centrale, en particulier le peuple Totonac dans l’État oriental de Veracruz, pour exprimer leur respect et leur harmonie avec la nature et le monde spirituel.
Au cours de la cérémonie, quatre jeunes hommes escaladent un tronc d’arbre de dix-huit à quarante mètres de haut, fraîchement coupé dans la forêt avec le pardon du dieu de la montagne.
Un cinquième homme, le Caporal, se tient sur la plate-forme qui surplombe le poteau et de sa flûte et son tambour joue des airs en l’honneur du soleil, des quatre vents et de chacune des directions cardinales.
Après cette invocation, les autres se jettent « dans le vide » depuis la plate-forme.
Attachés à la plate-forme par de longues cordes, ils tournoient tandis que la corde se déroule, imitant le vol d’un oiseau et descendant progressivement jusqu’au sol.
Chaque variante de la danse étant un moyen de faire revivre le mythe de la naissance de l’univers, la cérémonie rituelle des Voladores exprime la vision du monde et les valeurs de la communauté, facilite la communication avec les dieux et constitue un appel à la prospérité.
Pour les danseurs et les nombreuses autres personnes qui participent à la spiritualité du rite en tant qu’observateurs, elle suscite un sentiment de fierté et de respect du patrimoine culturel de sa propre identité.
Le bâtisseur de ponts...
Voici l'histoire de deux frères qui s'aimaient beaucoup et vivaient en parfaite harmonie dans leur ferme jusqu'au jour où un conflit éclata entre eux.
Les deux frères vivaient du travail de leurs champs. Ils cultivaient ensemble et récoltaient ensemble. Ils avaient tout en commun. Tout commença par un malheureux malentendu entre eux. Mais peu à peu, le fossé se creusa jusqu'au jour où il y eut une vive discussion puis un silence douloureux qui dura plusieurs semaines.
Un jour quelqu'un frappa à la porte du frère aîné. C'était un homme à tout faire qui cherchait du travail. Quelques réparations à faire...
- Oui, lui répondit-il, j'ai du travail pour toi. Tu vois, de l'autre côté du ruisseau vit mon frère cadet. Il y a quelques semaines, il m'a offensé gravement et nos rapports se sont brisés. Je vais lui montrer que je peux aussi me venger. Tu vois ces pierres à côté de ma maison ? Je voudrais que tu en construises un mur de deux mètres de haut, car je ne veux plus le voir.
L'homme répondit :
- Je crois que je comprends la situation.
L'homme aida son visiteur à réunir tout le matériel de travail puis il partit en voyage le laissant seul pendant toute une semaine.
Quelques jours plus tard, lorsqu'il revint de la ville, l'homme à tout faire avait déjà terminé son travail. Mais quelle surprise ! Au lieu d'un mur de deux mètres de haut, il y avait un pont. Précisément à ce moment, le frère cadet sortit de sa maison et courut vers son aîné en s'exclamant :
- Tu es vraiment formidable ! Construire un pont alors que nous étions si fâchés ! Je suis fier de toi !
Pendant que les deux frères fêtaient leur réconciliation, l'homme à tout faire ramassa ses outils pour partir.
- Non, attends ! lui dirent-ils. Il y a ici du travail pour toi.
Mais il répondit :
- Je voudrais bien rester, mais j'ai encore d'autres ponts à construire...
(auteur inconnu)
Ce jardin là...
Il était une fois un grand jardin, le grand jardin de ma vie. Il avait jailli, un jour d'hiver, au détour d'une rencontre.
Le Jardin des plantes de Paris est un jardin botanique ouvert au public, situé dans le Ve arrondissement de Paris, entre la mosquée de Paris, le campus de Jussieu et la Seine. Il appartient au Muséum national d'histoire naturelle et est, à ce titre, un campus.
Placé sous le patronage de Buffon jusqu'en 1788, il s'étend sur une superficie de 23,5 hectares.
Les attractions du jardin
- La perspective
La grande galerie de l'évolution vue du Jardin des plantes
Une grande perspective (500 m de long pour 3 ha) s'étend de la grande galerie de l'évolution à la place Valhubert, près des quais de Seine. Ses parterres à la française sont bordés de rideaux de platanes. À partir du mois d'avril, les parterres sont fleuris. Les collections de fleurs changent régulièrement, totalisant près de mille plantes cultivées.
La perspective se divise en deux esplanades : l'esplanade Milne-Edwards, du nom du directeur du Muséum de 1890 à 1900, qui se trouve face à la Galerie, et l'esplanade Lamarck, du côté de la Seine. L'esplanade Milne-Edward recouvre la zoothèque située en sous-sol, qui regroupe des centaines de milliers d'animaux naturalisés, insectes, poissons, reptiles ou mammifères. Face à la Galerie, en tête de cette esplanade, se trouve une statue en bronze de Buffon, œuvre de Jean Carlus (1908).
- Les grandes serres
Les grandes serres après les rénovations de 2010.
Quatre serres à armature métallique sont alignées le long de la perspective. Après cinq ans de travaux, 1 300 m² de verreries démontées et huit millions d'euros investis, les serres du Jardin des plantes accueillent de nouveau le public depuis juin 2010. Elles offrent aux visiteurs :
- un jardin d'hiver (750 m²), à climat chaud et humide (22 °C). De style Art déco, la serre est l'œuvre de l'architecte René Berger (1937). Elle comprend un ruisseau, des ficus, des palmiers, des bananiers, des plantes grimpantes et épiphytes...
Plantes épiphytes dans la serre d'hiver du Jardin des Plantes de Paris.
- une serre dite mexicaine, œuvre de Rohault de Fleury (1834–1836), précurseur de l'architecture métallique en France. Elle regroupe des espèces caractéristiques des milieux arides d'Amérique, Afrique méridionale et Madagascar : cactus, euphorbes, agaves, avocatiers, caféiers, poivriers...
- une serre australienne et néo-calédonienne, également dessinée par Rohault de Fleury...
- une serre dite paléobotanique qui présente les étapes du développement de la flore depuis l'apparition des plantes terrestres, il y a 430 millions d'années.
Serre paleobotanique
- Les jardins spécialisés
Située le long de la Galerie de Minéralogie, la roseraie a pour but d'étudier et de présenter au public les différentes sous-espèces de roses, classées de manière raisonnée. Elle comprend 170 variétés de roses européennes, plantées le long de l'allée Haüy (du nom de l'abbé Haüy, pionnier de la minéralogie), qui longe la galerie de botanique et de géologie. Elle est ornée de deux statues, L'Amour prisonnier de Félix Sanzel et Venus genitrix de Charles Dupaty.
La roseraie
Une École de Botanique et un jardin écologique s'alignent entre les serres et la Seine : la première présente les végétaux par familles et permet d'appréhender leurs caractéristiques, le second est un milieu composite de la région parisienne, où l'on observe les populations végétales et animales dans leur évolution naturelle.
Bassins de l'école de botanique
Regroupant 4 500 variétés d'arbustes et de plantes, l'école de botanique a été créée par le botaniste André Thouin au XVIIIe siècle. Elle vise à présenter de manière raisonnée au public et aux botanistes les espèces susceptibles de vivre en plein air en Europe. Elle comprend également des arbres historiques. Plusieurs cours hebdomadaires y sont dispensés par les jardiniers du Muséum.
L'école de botanique
Entre l'école de botanique et la ménagerie, le jardin alpin, créé en 1931 (à la place d'une pépinière), vise à étudier les plantes arbustives et herbacées des milieux montagnards du monde entier (Himalaya, Alpes, Corse). Il compte plus de 2 000 plantes sur deux zones reliées par un passage souterrain. Ce jardin comporte un pistachier mâle à partir duquel le botaniste Sébastien Vaillant mit en évidence la sexualité des végétaux au XVIIIe siècle.
Le jardin alpin
- La ménagerie
La ménagerie est le second plus ancien parc zoologique du monde. Elle fut créée en 1793 à l'initiative de Bernardin de Saint-Pierre, par le transfert des animaux de la ménagerie royale de Versailles et les ménageries privées et foraines. Lors de la commune de Paris, les animaux furent mangés par les Parisiens assiégés.
Peintres animaliers au Jardin des plantes en 1902.
Magazine L'Illustration (août 1902).
Au cours de son histoire, elle a présenté d'innombrables espèces animales, dont la première girafe présentée en France (1827), des éléphants, des ours bruns et blancs, des phoques.
Beaucoup de constructions, parfois sophistiquées pour l'époque, ont été édifiées à cet effet au XIXe et au début du XXe siècle, succédant aux enclos et cages sommaires du début : rotonde, fosses aux ours, singeries, fauveries, maisons des rapaces et des reptiles, faisanderies. La plus vaste d'entre elles est sans doute la grande volière édifiée en 1888 par Alphonse Milne-Edwards pour l'Exposition universelle de 1889 et toujours utilisée.
Rotonde ouest
Au milieu du XXe siècle, la ménagerie est entrée dans une période de déclin, éclipsée par des parcs zoologiques plus modernes (zoo de Vincennes, parc de Thoiry), puis contestée par les mouvements anti-zoos, alors que pratiquement aucune rénovation ne pouvait être entreprise, faute de moyens (c'était aussi l'époque où la Grande galerie de Zoologie, aujourd'hui de l'Évolution, a dû fermer parce qu'il pleuvait à travers sa verrière). Les animaux vivaient dans des installations généralement mal entretenues, souvent dégradées et exiguës.
La fauverie du jardin des plantes
C'est à partir des années 1980 qu'une politique de réhabilitation de la ménagerie a été mise en place, avec plusieurs rénovations successives (Volières à Rapaces, Rotonde, Maison des Reptiles, etc.), et une nette préférence accordée à la présentation d'espèces de petite et moyenne taille, généralement peu connues et/ou menacées d'extinction.
Les plus grandes espèces (éléphant, girafe, lion, tigre, gorille, chimpanzé, ours), impossibles à maintenir correctement dans des installations de petite taille et impossibles à agrandir au centre de Paris, ont progressivement quitté la ménagerie dans les années 1970 à 2000.
Actuellement, elle héberge 1 100 animaux, mammifères, reptiles et oiseaux, sur 5,5 hectares. Elle s'est spécialisée dans plusieurs groupes d'animaux :
- chez les mammifères :
Le cheval de Przewalski
L'orang-outan
Plusieurs espèces de caprins :
La chèvre des montagnes rocheuses
Le takin
Le bharal
Le bouquetin d'Ethiopie
des petits carnivores, des rongeurs et des cercopithèques.
Cercopithèque
- Chez les oiseaux :
les vautours et les rapaces nocturnes sont bien représentés, de même que les faisans et certains échassiers :
Spatule
Ibis
Agami
Kagou huppé (très rare)
- de nombreux reptiles(dont des tortues géantes de plus de 100 ans), des batraciens et des insectes sont élevés dans la maison des reptiles et le vivarium (construit par souscription grâce à René Jeannel).
Le vivarium
Bon jour !
Exprimer un bonjour, comme deux pieds
Lovés, soudés l'un à l'autre,
L'envie d'exister, cohabiter,
Deux pieds, que l'on fait notre, animent
Coeur à lèvres, marche du matin
A la soirée arrivant, en fin
Parfois, une canne faut ajouter...
Souhaiter en sourire et non dire, Bon jour,
Espérant que la joie sera à vous semée
Quelque part, dans un détour, toute en velours
Sur notre chemin, aux rencontres, où plonger
Nous pourrons sous le soleil bonheur,
Enrober ses écrins, en douceur
S'ouvrir à celui reçu Le coeur...
Souhaiter un Bon jour l'âme en fleur,
C'est comme offrir notre musique,
La poésie de notre coeur, le bond de l'heure,
Sans compter pour conter tous ces instants épiques,
Pour dire à une personne,
Qu'on l'a vu et reconnu,
Que présence dans la rue
De notre existence chantonne,
Qu'il a une importance,
Qu'il soit voisin inconnu ami
Du coeur avec sa science,
Un - petit rien - de la vie...
Car bien trop souvent au temps qui passe,
Des mots s'en vont, tout jamais perdus,
Car trop souvent
Derrière nos murs
Si on ne les laisse éclore au grand jour,
Déverser pour partager, aussi, à vous..
(auteur inconnu)