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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
5848 articles
Mon âme et le monde
"J’ai appris que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée,le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste.
Le monde, lui, n’est ni triste ni gai. Il est là ; il existe ; c’est tout."
(auteur inconnu)
Rever
Le seul fait de rêver est déjà très important,
Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir,
Et l’envie furieuse d’en réaliser quelques- uns,
Je vous souhaite d’aimer ce qu’il faut aimer,
Je vous souhaite d’oublier ce qu’il faut oublier,
Je vous souhaite des chants d’oiseaux au réveil,
Je vous souhaite des rires d’enfants,
Je vous souhaite des silences,
Je vous souhaite de résister à l’enlisement,
À l’indifférence, aux vertus négatives de notre époque.
Je vous souhaite surtout d’être vous.
J. Brel (source "Les Passeurs")
Nous sommes faits de cela,
nous ne sommes faits que de ceux que nous aimons
et de rien d'autre.
Si retranchée soit notre vie,
perdues sur les hauteurs brûlées de vent,
elle n'est jamais si proche que dans une poignée de visages aimés,
que dans cette pensée qui va vers eux,
dans ce souffle d'eux à nous,
de nous à eux.
Christian BOBIN - "une fête sur les hauteurs"
L'inespérée
bonne et douce nuit à tous...
merci de vos visites....
gros bisous
à demain...
Vivre c'est aimer
Aimer c'est comprendre
Comprendre c'est partager
Partager c'est donner
Donner c'est aimer
Aimer c'est vivre.
(auteur inconnu)
Les humeurs d'une "nuit"
Ses yeux de chatte étincelaient,
Ses mouvements d'humeurs changeantes sont réputés.
Elle se mouvait lentement comme un félin,
Sa plume noire traçant sur une feuille de vélin.
Sous son air nonchalant,
Son sourire condescendant,
Se cachait un coeur de pierre.
Dans le gant de velours, il y a une poignée de fer.
Tirant sur elle sa couverture bleue étoilée et sombre.
Son ombre, jouant cache-cache avec le clair-obscur,
Ne faisait qu'un avec le pénombre.
Elle affichait un air déterminé et sûr.
Enfin elle décida de se lever,
Pour laisser des flots de lumière passer et se propager.
Majestueuse et altière, elle quitta son trône étoilé.
(auteur inconnu)
Ne te détourne pas de l'obstacle, n'essaie pas de fuir les difficultés.
Lorsqu'il rencontre un rocher sur sa route, le fleuve ne remonte jamais en arrière.
Il le contourne en glissant, joue avec lui comme le guérisseur qui murmure et enchante la blessure, ou bien il bondit dans une gerbe de lumière.
Apprends à danser avec l'obstacle, si tu veux progresser.
(auteur inconnu)
L'amitié....
L'amitié est rare, très rare, d'où son aspect précieux et marquant. On arrive à la fin de la vie et on essaie de compter ceux qu'on considère comme de vrais amis, ceux dont la fidélité a été sans failles, ceux qui vous ont aimé tel que vous êtes, sans vous juger ni essayer de vous changer. C'est dans les épreuves, les moments difficiles et parfois décisifs, que l'amitié se révèle et se consolide ou s'absente et tombe dans le commun de l'oubli. L'amitié est ce qui permet de désarmer la cruauté et d'affronter le mal. Elle peut avoir existé, avoir été sincère et forte, et puis se briser d'un seul coup, s'anéantir parce qu'elle aura manqué à l'un de ses principes fondamentaux, la fidélité, c'est-à-dire la constance dans la confiance, cette présence qui ne doit jamais faire défaut.
La trahison, c'est le fait de « manquer à la foi donnée à quelqu'un », c'est une forme d'abandon doublé parfois d'une volonté de nuisance ou d'une participation active ou passive à une opération de malfaisance. On agit contre quelqu'un à qui l'on devait fidélité. Souvent on agit par intérêt, par jalousie ou par vengeance et mesquinerie. Toutes ces notions non seulement sont étrangères à l'amitié, mais sont sa négation absolue. L'évêque anglican Jeremy Taylor (1613-1667) utilise l'expression « adultère d'amitié » pour parler de trahison : « La trahison et la violation d'un secret constituent les adultères d'amitié et dissolvent l'union entre les amis. » Dans ce sens, l'amitié est considérée comme un « mariage entre les âmes ». Quand on convoque le malheur et la convoitise, on révèle sa propre défaite, son incapacité d'avoir de l'amitié.
Or l'amitié est un état de grâce apaisé et apaisant. Il faut du temps pour atteindre cet état où le plaisir vient de la gratuité et de l'absence de quelque intérêt que ce soit. C'est en ce sens que la force d'une amitié peut s'effondrer parce qu'un élément impur s'est introduit dans la relation. Dans la relation amoureuse et sexuelle, la trahison, l'usure, le conflit et la guerre sont de l'ordre du possible. Ils font partie du jeu, sont admis même si l'on n'en parle pas. Quand un amour est trahi et brisé, on a du chagrin et on sombre dans une mélancolie profonde. On souffre du fait qu'on est face à une impossibilité, celle d'inverser le cours des choses. On a le sentiment qu'on ne se relèvera pas de cet échec. Pourtant, le temps fait son travail. Parce que l'amitié est à l'écart de toute satiété et de tout calcul, ces dérapages ne devraient pas arriver et en outre ils ne sont pas prévus. Le fondement même de l'amitié est l'absence de conflit pervers et d'intérêt dissimulé
Quand une amitié est trahie, la blessure est insupportable justement parce qu'elle ne fait pas partie de la conception et la nature de la relation, laquelle est une vertu, pas un arrangement social ou psychologique. Elle est vécue comme une injustice. Elle est incurable. On ne comprend pas et on s'en veut d'avoir donné le bien le plus précieux à quelqu'un qui ne le méritait pas ou qui n'a pas compris le sens ni la gravité de ce don. On s'est trompé et on a trompé. La rupture s'impose parce que l'amitié ne souffre pas de concessions avec le faux, la tiédeur et la perversité.
En amour, on peut solliciter et insister, la consolation existe. Tôt ou tard, l'oubli s'installe et l'émotion retrouve sa jeunesse et ses forces. En amitié, la consolation est illusoire, le deuil un précipice. Un ami, un vrai ne se remplace pas. On vit avec la blessure infinie, on s'entête à vouloir oublier, mais on sait que c'est un exercice vain. Pourquoi ce genre de blessure persiste-t-il dans la mémoire ? C'est le principe de la parole donnée qui n'a pas été respecté. La confiance abusée, cambriolée par la personne à qui on a laissé les clés, c'est l'effarement de découvrir qu'on a longtemps fait fausse route, qu'on a cru les mots dont on n'avait que l'enveloppe, ouvert sa maison intérieure, lieu intime du secret, et voilà que tout cela vole en éclats. La trahison est une forme silencieuse de meurtre. On tue le don et la grâce, puis on se masque. On prend place dans le coeur et l'amour de l'autre, on connaît ses repères et ses faiblesses, puis on en profite pour démolir la maison et fouler aux pieds la confiance.
Comment ne plus souffrir de ces blessures ? Comment choisir ses amis ? Quelle illusion ! Comment savoir, comment prévoir les métamorphoses de l'âme, ses errances, ses revirements ou sa fidélité et son intégrité ? Il n'y a pas de recette.
D'après Tahar Ben Jelloun, "Des blessures inconsolables", dans le Nouvel Observateur, décembre 2000.
Bon jour !
Exprimer un bonjour, comme deux pieds
Lovés, soudés l'un à l'autre,
L'envie d'exister, cohabiter,
Deux pieds, que l'on fait notre, animent
Coeur à lèvres, marche du matin
A la soirée arrivant, en fin
Parfois, une canne faut ajouter...
Souhaiter en sourire et non dire, Bon jour,
Espérant que la joie sera à vous semée
Quelque part, dans un détour, toute en velours
Sur notre chemin, aux rencontres, où plonger
Nous pourrons sous le soleil bonheur,
Enrober ses écrins, en douceur
S'ouvrir à celui reçu Le coeur...
Souhaiter un Bon jour l'âme en fleur,
C'est comme offrir notre musique,
La poésie de notre coeur, le bond de l'heure,
Sans compter pour conter tous ces instants épiques,
Pour dire à une personne,
Qu'on l'a vu et reconnu,
Que présence dans la rue
De notre existence chantonne,
Qu'il a une importance,
Qu'il soit voisin inconnu ami
Du coeur avec sa science,
Un - petit rien - de la vie...
Car bien trop souvent au temps qui passe,
Des mots s'en vont, tout jamais perdus,
Car trop souvent
Derrière nos murs
Si on ne les laisse éclore au grand jour,
Déverser pour partager, aussi, à vous... Jour
Bon ! Je souhaite, sincère souhait
Qui ne sera galvaudé...
(auteur inconnu)
Cette photo est parue dans un article intitulé ' Rescuing Hug ' (en français : le câlin sauveur). L'article décrivait la première semaine de vie de petites jumelles, Kyrie (le point rouge) et Brielle (le point jaune).
Apparemment, chacune était dans son propre incubateur. L'une d'entre elles était très faible et instable, et son état laissait supposer le pire.
Une infirmière s'est toutefois battue contre le règlement de l'hôpital qui imposait cette séparation, et a finalement réussi à faire mettre les deux jumelles dans le même incubateur.
Quand les deux bébés furent placés ensemble, celle qui était en meilleure santé a immédiatement passé son bras autour du corps de sa petite soeur. Les battements du coeur de sa soeur se sont alors immédiatement stabilisés et sa température est redevenue normale.
Les petites jumelles ont survécu et sont maintenant pleines de vie. En fait, les deux fillettes sont retournées à la maison où elles ont partagé le même berceau en continuant de se câliner. Les jumelles sont maintenant à la maternelle.
Depuis, l'hôpital a changé son règlement et fait maintenant dormir les jumeaux ensemble dans le même incubateur. Cette histoire prouve qu'un câlin peut faire le plus grand bien, et même sauver une vie !
(Auteur Anonyme)
Histoire vraie ou pas...
une chose est sure....
un calin c'est magique....
Bonne et douce nuit à tous...
à demain...
Je suis….
Je suis le bleu du ciel et l'ocre de la terre
Le vent de la forêt
Le rouge du pavot
La blancheur de la plume et le noir du mystère
Je vibre dans le jaune habillant l'abricot
Sanglote dans le gris des plus funestes orages
Et ruisselle dans l'or de l'âme du soleil
Je suis dans les reflets du pllus petit rivage
Le mauve du lilas
Le rose sans pareil de la fleur éternelle et des feux du flamant
Je suis tous les reflets argentés de la lune
Au coeur de la moindre étoile
Au bord du firmament
Et ceux ou te sourit la blondeur de la dune
Dans le trille du merle
Le rire du ruisseau
J'éclate en mille sons ou chante la tendresse
Vibrato de bonheur comblant chaque ruisseau
Et je danse toujours dans le feu qui se dresse
Je suis tous les flocons doux cristaux de neige
Qui dessinent dans l'air leur valse de froid
Et les gouttes de pluie en rondes ou manège
abreuvant le sol sec lorsque l'été fait loi
Je perle dans la sève éttofant les ramures
Dans les sillons du champs que l'homme a labouré
Ou geint le souvenir d'un grand choc des armures
Et niche la colombe au tendre bec doré
Je suis clair,je suis sombre à tout instant du jour
Mes couleurs sont partout dans l'ombre ou la lumière
Mes chagrins, ma colère et surtout mon amour
Je suis le cri du vent
Sa chanson coutumière
L'arôme de la mousse et le goût des embruns
Je transperce la nuit des mes clartés sans nombre
Je donne leur nuance aux plus simples des parfums
Et je chante pour toi lorsque ton coeur est sombre
Regarde - moi …..sens -moi…..
Toi, qui dans tes hivers recherche une lueur et la force de vivre
Car je suis toujours là
Je me nomme ” UNIVERS “
et je m'offre en ami pour tout ce que je livre……
Auteur Johanne Hauber-Bieth