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Jean Casimir-Perier

Publié à 02:22 par dessinsagogo55 Tags : mort centerblog sur merci france monde homme enfants fille blogs
Jean Casimir-Perier

 

 

Jean Casimir-Perier, né le 8 novembre 1847 à Paris et mort le 11 mars 1907 dans la même ville, est un homme d'État français. Il est président de la République française du 27 juin 1894 au 16 janvier 1895.

 

Situation personnelle

Origines et jeunesse

 

Jean Paul Pierre Casimir-Perier appartient à la noblesse et à la grande bourgeoisie parisienne. Il est l'arrière-petit-fils de Claude Perier, écuyer, anobli en 1778 comme conseiller-secrétaire du roi (en charge lors de l’abolition de la noblesse en 1790), l'un des banquiers fondateurs de la Banque de France; le petit-fils de Casimir Perier (1777-1832), président du Conseil sous la monarchie de Juillet. Il est le fils d'Auguste Casimir-Perier (1811-1876), ministre de l'Intérieur dans le gouvernement d'Adolphe Thiers, et de Camille Fontenilliat (1823-1907), fille de Henry Fontenilliat et le neveu de Gaston d'Audiffret-Pasquier, président de l'Assemblée nationale puis du Sénat de 1875 à 1879.

 

La famille Perier est une famille de banquiers et d'industriels originaires du Dauphiné, dont plusieurs membres ont exercé d'importantes responsabilités politiques.

 

En hommage à Casimir-Pierre Perier (1777-1832), président du Conseil en 1831-1832, ses fils adoptèrent le patronyme de Casimir-Perier.

 

Il descend également du célèbre architecte lyonnais Toussaint-Noël Loyer.

 

Il étudie au lycée Condorcet et se distingue au concours général. Licencié ès lettres, il poursuit ses études à la faculté de droit de Paris

 

En 1870, il se distingue au combat en tant que capitaine de la 4e compagnie au 1er bataillon des mobiles de l'Aube, équipé à ses frais. Lors du combat de Bagneux le 13 octobre 1870, il porte dans ses bras la dépouille de son commandant, Anne Marie André Henry Picot de Dampierre, afin de le ramener dans les lignes françaises. Il est cité à l'ordre de l'armée et fait chevalier de la Légion d'honneur.

 

Mariage et enfants

 

Il épouse à Paris le 17 avril 1873, sa cousine Hélène Perier avec qui il a deux enfants : Claude (17 septembre 1880-1915, mort pour la France) et Germaine (Mme Edmé Sommier, 24 septembre 1881 - 1968). Ni l'un ni l'autre de ces enfants ne laisse de descendance 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Casimir-Perier

   
   
   
   
Notes et références                                                  
     Monde : France 1847
   
   
   
 
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27 juin : Événements

Publié à 01:06 par dessinsagogo55 Tags : jeune film monde center paris centerblog prix sur merci france coup création annonce
27 juin : Événements

Événements


992 : seconde bataille de Conquereuil. Victoire du comte d'Anjou Foulques III Nerra sur Conan Ier de Bretagne.
1358 : création de la république de Raguse, à la suite du traité de Zara.
1474 : mariage du duc de Bretagne François II et de Marguerite de Foix.
1570 : bataille d'Arnay-le-Duc.
1743 : bataille de Dettingen.

 


1789 : face à la résistance des députés du tiers état, soutenus par le bas clergé et une cinquantaine de nobles, le roi Louis XVI invite les trois ordres à débattre ensemble, l'Assemblée nationale constituante devenant légitime et la Révolution légale.


1795 : bataille de Beaulieu-sous-la-Roche, pendant la guerre de Vendée.
1856 : la Castiglione devient la maîtresse de Napoléon III.
1864 : victoire confédérée à la bataille de Kennesaw Mountain, pendant la guerre de Sécession.
1869 : victoire impériale décisive, à la bataille de Hakodate, marquant ainsi la fin de la guerre de Boshin.

 

1889 : Herminie Cadolle présente, lors de l'exposition universelle de Paris, le premier soutien-gorge moderne, sous le nom de « Bien-être ».

 

1894 : début du mandat de président de la République française de Jean Casimir-Perier.


1905 : début de la mutinerie du cuirassé Potemkine

 

image.
1940 : depuis Londres, le général de Gaulle est reconnu par Winston Churchill chef des Français libres.


1941 : le pogrom de Iași par le régime de Ion Antonescu fait plus de 13 000 morts.
1949 : après 9 ans de fermeture pour cause de guerre, réouverture de la Bourse de Paris.
1949 : résolution no 71 du Conseil de sécurité des Nations unies, créant la Cour internationale de justice.
1950 : résolution no 83 du Conseil de sécurité des Nations unies, consistant en une plainte pour agression contre la République de Corée.
1954 : l’URSS est le premier pays à produire de l’électricité nucléaire, en ouvrant la centrale nucléaire d'Obninsk.
1954 : la CIA renverse le président Arbenz, au Guatemala.
1956 : le Parlement français adopte le principe de la vignette automobile.
1964 : création en France de l'ORTF (Office de radiodiffusion télévision française), qui regroupe le service public de l'audiovisuel.
1967 : le premier guichet automatique bancaire, développé par De La Rue, est installé à Enfield Town, au nord de Londres, par Barclays.
1973 : coup d'État de Juan María Bordaberry en Uruguay.
1977 : indépendance de Djibouti.
1980 : tragédie d'Ustica.
1981 : Pen Sovan est nommé Premier ministre du Cambodge.
1985 : la route 66, aux États-Unis, est officiellement déclassée.
1988 : accident ferroviaire de la gare de Lyon.
1988 : bataille de Calueque, victoire décisive des Angolo-Cubains sur les Sud-Africains et l'Unita (guerre civile angolaise).
1992 : au Tibet, la Chine reconnaît Orgyen Trinley Dorje comme 17e Karmapa, 20 jours après que le 14e dalaï-lama l'eut reconnu.
1995 : Hamad ben Khalifa Al Thani devient émir du Qatar, après avoir mené un coup d'Etat contre son père.
1997 : sortie du premier tome des aventures de Harry Potter, Harry Potter à l'école des sorciers, tiré à 5 000 exemplaires.
2007 : des recherches confirment l'identité d'une momie retrouvée en 1903, comme étant celle de la reine-pharaon Hatchepsout.
2007 : le Premier ministre du Royaume-Uni Tony Blair cède son poste, ainsi que la tête du Parti travailliste.
2008 : Bill Gates quitte Microsoft, pour se consacrer à sa fondation humanitaire.
2011 : résolution n° 1990 du Conseil de sécurité des Nations unies, consistant en des rapports du secrétaire général sur le Soudan.
2012 : résolution n° 2052 du Conseil de sécurité des Nations unies (situation au Moyen-Orient).
2012 : résolution n° 2053 du Conseil de sécurité des Nations unies (situation concernant la République démocratique du Congo).
2017 : la mission de l'ONU annonce l'achèvement du désarmement total des FARC en Colombie.
2018 : la mission spatiale japonaise Hayabusa 2 atteint l’orbite de l’astéroïde (162173) Ryugu.
2019 : au Danemark, la sociale-démocrate Mette Frederiksen devient, à 41 ans, la plus jeune Première ministre du pays.
2019 : pour la première fois depuis la création de l'épreuve, en 1958, un Français, Alexandre Kantorow, décroche le premier prix de piano du Concours international Tchaïkovski.
2020 : en Islande, fin de l’élection présidentielle, qui a débuté le 25 mai 2020, afin d'élire le président du pays. C'est le président sortant, Guðni Th. Jóhannesson, qui est réélu sans surprise, avec plus de 91 % des voix

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/27_juin

   
   
   
   
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Le chanteur Wes, interprète du titre phare «Alane», est mort

Publié à 00:23 par dessinsagogo55 Tags : center article google message centerblog sur merci monde musique mort nuit art film
Le chanteur Wes, interprète du titre phare «Alane», est mort
Le chanteur Wes, interprète du titre phare «Alane», est mort

 

Wes Madiko est décédé à l’âge de 57 ans à l’hôpital d’Alençon, des suites d’une opération médicale due à une infection nosocomiale.

 

 
Le 26 juin 2021 à 17h33
 

Robin Schulz avait remis au goût du jour son titre phare. Wes Madiko, connu notamment pour son titre Alane, tube de l’été en 1997, est décédé dans la nuit de vendredi à samedi à l’âge de 57 ans, a annoncé sa famille sur les réseaux sociaux. « Une légende nous a quittés, nous laissant un ultime message de paix pour l’humanité sur son lit d’hôpital qui vous sera communiqué dans les jours à venir », poursuit la famille.

 

Le chanteur est décédé à l’hôpital d’Alençon, dans l’Orne, où il habitait depuis 2006, a confirmé la famille à nos confrères de L’Orne Hebdo. Wes était hospitalisé depuis plusieurs jours. Selon Le Bled Parle, un site d’informations camerounais, le chanteur est décédé des suites d’une opération médicale due à une infection nosocomiale.

 

Une carrière à succès

 

Wes Madiko, qui avait commencé la musique au Cameroun, où il est né, avant d’être remarqué et de partir pour l’Europe en 1987, s’était fait connaître mondialement dix ans plus tard avec son titre « Alane ». Ce titre entraînant lui avait permis de remporter un disque de diamant et 10 millions de singles ont été vendus dans le monde. Le chanteur avait aussi vu une de ses autres chansons, « In Youpendi », utilisée dans le film « Le Roi Lion ».

 
 

Le titre « Alane », quelque peu tombé dans les oubliettes, a connu ces derniers mois une seconde jeunesse. Wes et le DJ Robin Schulz s’étaient associés pour en sortir une version remixée diffusée l’été dernier. « Je suis toujours très ému de voir qu’elle peut donner autant de joie et de bonheur à toute l’humanité », témoignait Wes auprès de L’Orne Hebdo à l’époque.

 

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/le-chanteur-wes-interprete-du-titre-phare-alane-est-mort-26-06-2021-DPNMKA3TQRF2LGI5U6DMNENBL4.php

   
   
   
   
Notes et références                                                  
    Wes : Alane
   
   
   
 
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Les Charlots : Merci patron

Les Charlots : Merci patron

 

Merci Patron est une chanson française du groupe vocal Les Charlots, écrite par Gérard Rinaldi et composée par Luis Régo, membres de ce groupe et sortie en 1971. Elle était principalement chantée par Gérard Rinaldi accompagné par les autres membres du groupe pour le refrain.

 

Création et distribution

 

Selon, un des membres du groupe, Gérard Filippelli, l’idée de la chanson est née alors que le groupe rentrait d’un gala.

Le titre est sorti en 1971 sur un simple 45 tours (en face A) avec la chanson Berrystock ( en face B). Le sticker du vinyle d'origine indique le nom des deux auteurs, Gérard Rinaldi (pour les paroles) et Luis Régo (pour la musique) et les arrangements musicaux sont d'Hervé Roy. La photo de la pochette (en noir et blanc) a été réalisée dans les locaux de l’usine de gravure du label Vogue

.

Thème

 

La chanson présente sous une forme comique et sarcastique le thème de l'exploitation des ouvriers par leur employeur. Sur un rythme joyeux et entraînant signé par le futur comédien Luis Régo, le texte se termine par un rejet pur et simple du patron (toujours sur ton joyeux) par les ouvriers pour le « remercier »

 

Chanson « humoristico-communiste » ?

 

En partie grâce au ton très enjoué de la musique et du texte à vocation humoristique procédant par inversion, la douleur du travail à l’usine se transforme en bonheur et les ouvriers vivent dans la joie leur condition.

La chanson est très rapidement devenue, durant les années 1970, un hymne récurrent chez les syndicalistes durant les manifestations, les grèves et les occupations d'usine

 

Refrain

 

Merci patron, merci patron.
Quel plaisir de travailler pour vous.
On est heureux comme des fous.
Merci patron, merci patron.
Ce que vous faites ici bas
Un jour, Dieu vous le rendra.

 

Popularité

 

Avec Paulette, la reine des paupiettes, des mêmes auteurs et sortie 4 ans auparavant, cette chanson assure et confirme la popularité du groupe auprès des Français. Ceux-ci, après avoir longtemps accompagné le chanteur Antoine, assurent la première partie des spectacles de Claude François

 

Postérité

 

Un film avec Les Charlots et Louis de Funès avec un titre éponyme avait été envisagé en 1975 par le réalisateur Jean Girault mais le projet n'aboutit pas.

Le titre de cette chanson a été reprise par le journaliste et essayiste, français François Ruffin comme titre de son film éponyme.

 

 

 

 

Paroles

 

Quand on arrive à l'usine, la gaité nous illumine
L'idée de faire nos huit heures, nous remplit tous de bonheur
(Ah, ah, ah, ah, ah, oui)
D'humeur égale et joyeuse, nous courons vers la pointeuse
Le temps d'enfiler nos bleus et nous voilà tous heureux

 

Merci patron (merci patron), merci patron (merci patron)
Quel plaisir de travailler pour vous
On est heureux comme des fous
Merci patron (merci patron), merci patron (merci patron)
Ce que vous faites ici bas
Un jour Dieu vous le rendra

 

Quand on pense à tout l'argent, qu'au fin de mois on vous prend
Nous avons tous un peu honte d'être aussi près de nos comptes
(Ah, ah, ah, ah, ah, oui)
Tout le monde à la maison, vous adore avec passion
Vous êtes notre bon ange et nous chantons vos louanges

 

Merci patron (merci patron), merci patron (merci patron)
Quel plaisir de travailler pour vous
On est heureux comme des fous
Merci patron (merci patron), merci patron (merci patron)
Ce que vous faites ici bas
Un jour Dieu vous le rendra

 

Mais en attendant ce jour pour vous prouver notre amour
Nous voulons tous vous offrir un peu de notre plaisir
(Ah, ah, ah, ah, ah, oui)
Nous allons changer de rôle, vous irez limer la tôle
Et nous nous occuperons de vos ennuis de patron

 

Nous serons patron (nous serons patron), nous serons patron (nous serons patron)
À vous le plaisir de travailler pour nous
Vous serez heureux comme un fou
Nous serons patron (nous serons patron), nous serons patron (nous serons patron)
Ce que vous avez fait pour nous
Nous le referons pour vous

 

Source : Musixmatch

 
   
   
   
   
   
   
 
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Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Merci_Patron_(chanson)

 

https://youtu.be/9NxcsBJ9-AU

 
     
     
Notes et références                                                    
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Serge Gainsbourg : La chanson de Prévert

Publié à 20:28 par dessinsagogo55 Tags : center google centerblog sur merci moi france amour musique histoire nuit automne enfant film
Serge Gainsbourg : La chanson de Prévert

 

La Chanson de Prévert est une chanson française de l'auteur-compositeur-interprète Serge Gainsbourg (1928-1991) extraite de son troisième album L'Étonnant Serge Gainsbourg de 1961. Elle fait partie des tubes les plus célèbres de son répertoire, inspirée de la célèbre chanson Les Feuilles mortes, d'Yves Montand, écrite et composée par Jacques Prévert et Joseph Kosma, pour le film Les Portes de la nuit, de Marcel Carné de 1946.

  Histoire

Serge Gainsbourg commence sa carrière dans les cafés-concerts parisiens des années 1950 où, très inspiré par l’important succès de l'époque de Boris Vian, il écrit, compose, et enregistre ses premiers tubes et albums Du chant à la une ! (1958), Serge Gainsbourg N°2 (1959), Le Poinçonneur des Lilas (1958), L'Eau à la bouche (1960)...

Il écrit et compose cette chanson d'amour tube de son répertoire La Chanson de Prévert, sur le thème du souvenir nostalgique et des regrets d'un amour passé, à qui il dédie ces paroles « Oh je voudrais tant que tu te souviennes, Cette chanson était la tienne, C'était ta préférée je crois, Qu'elle est de Prévert et Kosma... ». Elle est inspirée de la célèbre chanson d'amour de l'époque Les Feuilles mortes, composée par Joseph Kosma, et écrite par Jacques Prévert pour le film Les Portes de la nuit, de Marcel Carné de 1946 (où elle est fredonnée par Diego, joué par Yves Montand) « Les feuilles mortes se ramassent à la pelle, Tu vois, je n’ai pas oublié, Les feuilles mortes se ramassent à la pelle, Les souvenirs et les regrets aussi... ». Cette chanson participe au début de carrière fulgurant de l'époque d'Yves Montand au music-hall et au cinéma (succès universel international repris entre autres par Juliette Gréco, Édith Piaf, Françoise Hardy, Dalida, et sous le titre anglais Autumn Leaves par Frank Sinatra, ou Nat King Cole...). La Chanson de Prévert est reprise depuis par de nombreux interprètes, dont Jane Birkin, Charlotte Gainsbourg, Bernard Lavilliers, ou Raphael...

 

 

Paroles

 

"Oh je voudrais tant que tu te souviennes"
Cette chanson était la tienne
C'était ta préférée je crois
Qu'elle est de Prévert et Kosma

 

Et chaque fois "Les feuilles mortes"
Te rappellent à mon souvenir
Jour après jour les amours mortes
N'en finissent pas de mourir

 

Avec d'autres bien sûr je m'abandonne
Mais leur chanson est monotone
Et peu à peu je m'indiffère
A cela il n'est rien à faire

 

Car chaque fois "Les feuilles mortes"
Te rappellent à mon souvenir
Jour après jour les amours mortes
N'en finissent pas de mourir

 

Peut-on jamais savoir par où commence
Et quand finit l'indifférence
Passe l'automne vienne l'hiver
Et que la chanson de Prévert

 

Cette chanson "Les feuilles mortes"
S'efface de mon souvenir
Et ce jour là mes amours mortes
En auront fini de mourir

 

Et ce jour là mes amours mortes
En auront fini de mourir

 

Source : LyricFind

Paroliers : Serge Gainsbourg

Paroles de La Chanson de Prévert © Warner Chappell Music France, Reservoir Media Management Inc

 
   
   
   
   
   
   
 
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Elton John : I'm still standing

Publié à 19:56 par dessinsagogo55 Tags : google film centerblog enfant sur center merci musique blogs you
Elton John : I'm still standing

 

 

I'm Still Standing est une chanson d'Elton John, co-écrite avec le parolier Bernie Taupin, extraite de l'album Too Low for Zero en 1983.

 

 

 

Paroles

 

You could never know what it's like
Your blood like winter freezes just like ice
And there's a cold lonely light that shines from you
You'll wind up like the wreck you hide behind that mask you use

 

And did you think this fool could never win?
Well look at me, I'm coming back again
I got a taste of love in a simple way
And if you need to know while I'm still standing, you just fade away

 

Don't you know I'm still standing better than I ever did
Looking like a true survivor, feeling like a little kid
I'm still standing after all this time
Picking up the pieces of my life without you on my mind

 

I'm still standing (Yeah, yeah, yeah)
I'm still standing (Yeah, yeah, yeah)

 

Once I never could have hoped to win
You're starting down the road leaving me again
The threats you made were meant to cut me down
And if our love was just a circus, you'd be a clown by now

 

You know I'm still standing better than I ever did
Looking like a true survivor, feeling like a little kid
I'm still standing after all this time
Picking up the pieces of my life without you on my mind

 

I'm still standing (Yeah, yeah, yeah)
I'm still standing (Yeah, yeah, yeah)

 

Don't you know that I'm still standing better than I ever did
Looking like a true survivor, feeling like a little kid
I'm still standing after all this time
Picking up the pieces of my life without you on my mind

 

I'm still standing (Yeah, yeah, yeah)
I'm still standing (Yeah, yeah, yeah)
I'm still standing (Yeah, yeah, yeah)
I'm still standing (Yeah, yeah, yeah)
I'm still standing (Yeah, yeah, yeah)
I'm still standing (Yeah, yeah, yeah)

 

Source : Musixmatch

Paroliers : John Elton / Taupin Bernard J P

Paroles de I’m Still Standing © Hst Publishing Ltd., Rouge Booze, Inc.

 
 
 
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Chewing-gum

Publié à 18:30 par dessinsagogo55 Tags : saint center place centerblog sur base merci france monde chez histoire 2010 divers cadre enfant livre
Chewing-gum

Le chewing-gum, gomme à mâcher, pâte à mâcher, chique, chiclette, ou gomme (en Amérique du Nord) est une gomme à laquelle sont ajoutés des arômes et parfums alimentaires. Elle est destinée à être mâchée et non avalée.

C'est Thomas Adams qui, en mélangeant du chiclé (latex issu du sapotillier) avec de la résine et du sirop, fabrique puis commercialise en 1872 les premiers chewing-gums.

 

Histoire

 

 
Publicité de 1897.
 

Préhistoire

 

Dès la Préhistoire, les hommes mâchaient de la sève de conifères : des empreintes dentaires ont été laissées sur des résines dont les polyphénols devaient servir d'antiseptique. Des traces de pâte à mâcher à base de sève de bouleau datant d'il y a plus de 6 500 ans ont été découvertes en 1997 en Suède. Il y a plus de 5 000 ans, les Mayas, au Mexique, mastiquaient de la sève de sapotillier. La sève de cet arbre originaire du Yucatan est un latex appelé chiclé ( « tchiclé »). Les Égyptiens - du temps des pharaons - utilisent un masticatoire à base de résine de lentisque pour fabriquer de la gomme à mâcher. Les Grecs utilisaient quant à eux le pistachier lentisque.

 

Moyen Âge

 

Les Asiatiques mâchaient le bétel (pratique toujours actuelle en Inde avec la noix d'arec), les Amérindiens des Andes chiquaient les noix du kolatier et ceux d'Amazonie chiquaient des boulettes de tabac. Les Européens adoptèrent cette habitude à la suite de l'importation de cette plante en France, en 1560.

 

Invention du chewing-gum moderne

 

Le chewing-gum moderne naît en Amérique du Nord : en 1869, Antonio López de Santa Anna, général mexicain, est chassé de son pays par la révolution. Il arrive à New York avec son « Trésor de Mexico » : 250 kg de sève séchée de sapotillier pour en faire un substitut au caoutchouc. Il charge Thomas Adams de négocier le chiclé qui, finalement, s’avère impropre à l'usage envisagé ; mais Adams conserve le stock, et le revend en pharmacie à un coût inférieur à la paraffine. C’est le début du succès. D’autres pionniers tentent d’améliorer le produit mexicain : William J. Whit ajoute du sirop de glucose dans son « Yucatan Chewing Gum ». William Semple, dentiste de l’Ohio, obtient le premier brevet d’invention du chewing-gum moderne en dissolvant du naphte et de l’alcool, et en y ajoutant une petite dose de réglisse pour lui donner un goût agréable. William Wrigley Jr., quant à lui, se charge de lancer le produit sur tout le sous-continent nord-américain, grâce à de grandes campagnes de publicité à la fin du XIXe siècle.

Le premier chewing-gum commercialisé l'est par John B. Curtis.

 

Les chewing-gum d'aujourd'hui

 

 
Paquets de gomme à mâcher mentholés.
 

Le chewing-gum est popularisé en Europe par les Américains à la fin de la Première Guerre mondiale. La Croix-Rouge américaine expédie 4,5 millions de chewing-gum en France en 1918 pour les troupes américaines. À la suite de cette introduction, des sociétés françaises, belges, britanniques et italiennes passent des commandes massives aux États-Unis pour commercialiser le chewing-gum en Europe. Dès le début des années 1920, des compagnies européennes se lancent dans la fabrication de chewing-gum.

En France, c'est avec l'arrivée des G.I. en 1944, à l'occasion du Débarquement, que le chewing-gum est vraiment popularisé. L'un de ces soldats, Courtland E. Parfet, décide de revenir en France en 1952, pour y lancer la marque Hollywood, un chewing-gum à la chlorophylle entièrement fabriqué en France (la première usine est installée à Montreuil)

Dans différents marchés, le chewing-gum a été associé à la collection de petites vignettes (les marques Globo, dès l'entre-deux-guerres, Malabar ou Bazooka Joe par exemple) ou des tatouages temporaires. Depuis les années 1870, plusieurs artistes l'ont utilisé dans leurs créations. À l'origine, et dans des marchés haut de gamme comme au Japon, le chewing-gum est à base de chiclé et de gélatine.

 

Préparation

 

 
Gomme à mâcher en tablette.
 

La gomme de base est un produit complexe à fabriquer : les ingrédients sont dosés avec rigueur pour obtenir des gommes plus ou moins élastiques. Les ingrédients sont malaxés entre une heure et demie et deux heures dans un pétrin qui fonctionne comme celui des boulangers. Le malaxage fait chauffer la gomme. Elle atteint à la fin une température de 95 °C à 98 °C. L'élastomère utilisé (à la place du chiclé) est un copolymère isobutylène-isoprène (butyl) de qualité alimentaire.

On ajoute à cette base les arômes, les édulcorants ou le sucre ainsi que divers additifs et auxiliaires de fabrication (colorant, gélatine, émulsifiant, stabilisant, agent gélifiant, bicarbonate, cire de carnauba)10. Les ingrédients et la gomme de base sont mélangés dans un pétrin pendant 15 à 20 minutes. En fin de malaxage, la pâte atteint une température de 50 °C environ. On verse ensuite la pâte à mâcher à l'intérieur d'une extrudeuse. Bien pressée, elle forme alors des bandes plus ou moins épaisses. Ces bandes passent ensuite dans le laminoir et sont découpées en tablettes. Après refroidissement, les tablettes ou les noyaux de dragées sont maintenus à une température et une humidité précises pendant 6 à 48 heures. Cette phase est très contrôlée, la qualité des gommes à mâcher en dépend.

Les tablettes sont enveloppées dans un emballage en aluminium pour conserver toute leur saveur. Elles sont ensuite mises en paquets. Les dragées sont d’abord recouvertes de sucre durci avant d’être emballées dans de petites boîtes en carton.

 

Consommation

 

D'après le Livre Guinness des records 2007, les États-Unis sont le pays qui en consomme le plus, suivi de la France avec 1 chewing-gum par jour et par habitant en moyenne. L'INSEE liste les chewing-gums dans sa liste des principales quantités consommées par les ménages.

 

Marché

 

Le groupe Mars ayant racheté en 2008 la Wm. Wrigley Jr. Company est devenu le leader du marché avec des marques comme Freedent, Airwaves, Orbit. Cadbury est le deuxième acteur mondial sur ce segment avec les marques Hollywood, Trident ou Clorets. À eux deux, ils possèdent 16 des 20 marques les plus vendues et contrôlent les deux tiers du marché mondial. Entre 1998 et 2009, le marché mondial a doublé pour se situer à 23,2 milliards de dollars américains.

En 1999, le marché du chewing-gum représentait approximativement 560 000 tonnes de chewing-gum vendues donnant 5 milliards de dollars avec 374 milliards de chewing-gum vendus

 

Avantages et inconvénients

Effets sur la santé ou associé

 

La consommation de chewing-gum peut être mortelle chez l'enfant de moins de trois ans, car jusqu'à cet âge tout ce qui est avalé peut obstruer la trachée au lieu d'être conduit dans les voies digestives.

Une légende urbaine affirme qu'il ne faut pas l'avaler mais selon les stomatologistes, ne contenant aucun effet nutritif, la gomme ne colle pas aux parois du tube digestif, est ramollie par la salive et est simplement évacuée par l'organisme.

Par ailleurs, la mastication favorise les ballonnements et évite la production de caries grâce à la sécrétion salivaire. L'effet du chewing-gum sur la reprise précoce du transit digestif a été démontré dans le cadre de la récupération rapide après chirurgie du côlon. Les chewing-gums sans sucre ont, en cas de consommation excessive, des effets laxatifs. Ces effets sont dus à la présence d'un édulcorant particulier, le sorbitol. Le xylitol réduit cet effet.

Par ailleurs, les chewing-gums sans sucres ne peuvent pas donner de caries mais n'ont pas non plus d'effet protecteur mais la salive créée par la mastication va favoriser l'hygiène dentaire et il peut être utile de mâcher du chewing-gum après manger si il est impossible de se brosser les dents. A l'inverse, les chewing-gum contenant du sucre sont déconseillés car ils peuvent provoquer des caries

Des études ont montré que le chewing-gum peut améliorer l'humeur de celui qui en consomme. Il peut aussi être utilisé pour combattre la mauvaise haleine.

La mastication de chewing-gums est déconseillée chez les personnes possédant de nombreux amalgames dentaires contenant du mercure. D'après une étude réalisée sur deux ans, les sujets possédant ce type d'amalgame avaient des concentrations cinq fois plus élevé de mercure sanguin en moyenne, et cette concentration était étroitement corrélée au nombre d'amalgames dentaires

Les chewing-gum contenant de la nicotine ont prouvé leur efficacité en tant que substitut nicotinique pour réduire voire arrêter la consommation de tabac chez les fumeurs, cependant, leur usage doit être strictement conforme aux instructions données

 

Effets sur l'environnement urbain

 

 
Des gommes à mâcher sur un trottoir à Reykjavik en 2008.
 

Les villes du monde voient leurs trottoirs et autres couloirs de métro constellés de chewing-gums usagés (dont la biodégradabilité atteint 5 ans) jetés par des consommateurs, un chewing-gum collé et piétiné est difficile à enlever. Cependant, des machines spécifiques de nettoiement des sols permettant d'éliminer les chewing-gums collés sont apparues depuis 2010. Celles-ci fonctionnent grâce à la vapeur saturée. Au Royaume-Uni, le marché du chewing-gum estimé à 400 millions d’euros par an nécessite un budget de 200 millions d’euros pour le nettoyage.

Certains pays jugeant ce fait comme disgracieux, comme Singapour qui en interdit l'importation et la vente depuis 1992 (excepté les chewing-gums à effets thérapeutiques), réglementent sévèrement la consommation de gomme à mâcher.

D'autres pays sont indifférents à cet état des choses ou le relativisent.

À Seattle, le Gum Wall est une portion de mur entièrement recouverte de chewing-gum usagés, et est devenu une attraction touristique de la ville.

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Chewing-gum

   
   
   
   
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Hypothèses de construction des pyramides égyptiennes

Hypothèses de construction des pyramides égyptiennes

Hypothèses de construction des pyramides égyptiennes à base de pierres moulées

 

 

L'hypothèse selon laquelle des pierres moulées ont été utilisées pour certaines parties de la construction des pyramides égyptiennes est soutenue depuis 1978 notamment par l'ingénieur chimiste Joseph Davidovits. Elle suggère que les blocs de pierre des pyramides d'Égypte n'auraient pas été taillés, mais moulés, à la manière du béton.

Cette hypothèse n'est pas validée par les égyptologues, qui font remarquer que la provenance des pierres constituant les pyramides et les techniques de taille sont parfaitement renseignées. Par ailleurs, les quantités nécessaires en matériaux (chaux...) dépassent largement les capacités historique de production du pays (essentiellement par manque absolu de bois).

 
 

Théorie remettant en cause la taille

Théorie de Joseph Davidovits

 

Selon Joseph Davidovits, le calcaire argileux, naturellement présent sur les lieux de la construction, a été désagrégé dans l'eau, puis mélangé à un liant essentiellement constitué de natron et de chaux. Ce mélange, versé sur place dans des moules, se serait alors solidifié pour former une pierre réagglomérée, aussi solide qu'une pierre naturelle. Joseph Davidovits et son équipe ont procédé à des expériences de moulage de pierres en grandeur nature qui ont montré la faisabilité de la méthode

Cette théorie tente d'apporter des réponses aux difficultés liées au transport, au levage, ou à l'ajustement très serré des blocs, ainsi qu'à d'autres questions réputées insolubles, comme la fabrication de statues et de vases de pierre dure aux formes fines et à l'aspect de surface soigné, qui semblent impossibles à réaliser par des méthodes de taille, surtout à une époque où l'outillage était de pierre et de cuivre.

La revue scientifique Journal of the American Ceramic Society a publié, le 30 novembre 2006, les résultats d’une recherche effectuée sur des pierres des pyramides d’Égypte à l'aide de microscope optique et spectroscopie par résonance magnétique nucléaire. Elle met en évidence que les échantillons contiennent des micro-constituants avec des quantités appréciables de silicium en combinaison avec des éléments, tels que le calcium et le magnésium, dans des rapports qui n'existent dans aucune des sources potentielles de calcaire et sous des formes inconnues dans les pierres naturelles2. Cependant, Dipayan Jana, un pétrographe, a fait une présentation à l'ICMA (International Cement Microscopy Association) en 2007 et a publié un article qu'il conclut ainsi : « Nous sommes loin d'accepter même ne serait-ce que l'infime éventualité d'une origine humaine des pierres des pyramides ».

Une autre analyse publiée en 2011 conclut : « On a comparé les spectres de résonance RMN 29Si, 27Al et 43Ca d’une pierre de revêtement extérieur de la pyramide rhomboïdale à Dahchour, Égypte, avec deux carrières de pierre calcaire de la région. Les résultats de la RMN suggèrent que les pierres des revêtements sont constituées par des grains de calcaire provenant des carrières de Tura, cimentés par un gel amorphe de silicate de calcium artificiellement fabriqué par l’homme, peut-être par addition de silice, comme la terre de diatomée originaire du Fayoum  ».

Une étude, publiée en 2012 dans la revue Europhysics News, par une équipe de deux scientifiques slovaque et égyptien, mesurant le paléomagnétisme, de la grande pyramide de Khéops, du plateau de Gizeh, montrerait qu'elle serait construite en pierre taillées, additionnées de pierres moulées. Elle conclut que certaines pierres sont artificielles du fait de l'orientation nord-sud des moments magnétiques (production in situ par la technique du béton geopolymère) et d'autres sont naturelles.

 

Théorie de la pyramide reconstituée

 

De son côté, Joël Bertho, spécialiste des moulages et de la transformation des matériaux, propose depuis 2001 sa propre théorie sur la pyramide en pierre reconstituée.

Selon lui, d'importants blocs de pierre concaves et convexes s'assemblent parfaitement au millimètre ce qui est quasiment impossible à faire en taillant les pierres, cet argument a convaincu le magazine Science et Vie en décembre 2001 de faire sa une sur « l'hypothèse des fausses pierres ».

 

Validité de ces théories

 

Le monde scientifique ne valide pas ces théories : selon l'égyptologue Rosemarie Klemm et le géologue Dietrich Klemm, auteurs d'une étude publiée en 2010 sur la provenance des pierres des pyramides, ces théories sont des absurdités

 

Jean-Claude Golvin (CNRS) déclare :

« La provenance de toutes les sortes de pierre constituant la pyramide est parfaitement connue, les pierres des assises sont en calcaire siliceux et proviennent de Gizeh même (les carrières sont encore visibles), le parement de calcaire fin vient de Tourah et le granite des chambres funéraire est issu des carrières d'Assouan (certes lointaines). Je ne vois pas pourquoi les Égyptiens se seraient compliqué la tâche en fabriquant de la pierre alors qu'ils en avaient à revendre . »

 

Joël Bertho rétorque qu'il n'a jamais prétendu que toutes les pierres étaient moulées, mais que c'est beaucoup plus facile de mouler une pierre sur place en montant du sable, de l'eau et un liant tiré du Nil que de hisser des blocs de plusieurs tonnes.

 

Bibliographie

Ouvrages critiques

 

Jean-Pierre Adam, Le Passé recomposé : chroniques d'archéologie fantasque, Paris, Seuil, coll. « Science ouverte », octobre 1988, 251 p., 24 cm (ISBN 2-02-010363-X et 978-2-02-010363-3, OCLC 300909680, notice BnF no FRBNF36629359, LCCN 89104078)

(en) Dietrich D. Klemm et Rosemarie Klemm, The Stones of the Pyramids : Provenance of the Building Stones of the Old Kingdom Pyramids of Egypt, Berlin et New York, De Gruyter, 2010

 

Études

 

(en) Igor Túnyi et Ibrahim A. El‐hemaly, « Paleomagnetic investigation of the great Egyptian pyramids », Europhysics News, vol. 43, no 6,‎ novembre 2012, p. 28-33 (ISSN 0531-7479 et 1432-1092, DOI 10.1051/epn/2012604, lire en ligne, consulté le 10 février 2014) :

 

« The paleodirections of three sampling locations (2 from Khafre and 1 from Khufu pyramid) exhibit the common north-south orientation, suggesting that they may have been produced in situ by a concrete technique. (...) Finally, we conclude that even if the concrete technique was used, the pyramids were constructed from a mixture of natural and artificial limestone blocks. »

 

Materials Letters 65 (2011) 350–352
Nuclear Instruments And Methods In Physics Research B,B 226,98-109 (2004) PIXE,PIGE and NMR study oof the masonry of the pyramid of Cheops at Giza, Guy Demortier
Cement and Concrete Research, Vol 18 pp81-90,1988 Microstructure de mortiers provenant de trois pyramides égyptiennes par M. Regourd, J. Kerisel, P. Delitie, B. Haguenauer
(en) I. Liritzisa, C. Siderisb, A. Vafiadoua et J. Mitsisb, « Mineralogical, petrological and radioactivity aspects of some building material from Egyptian Old Kingdom monuments », Journal of Cultural Heritage, vol. 9, no 1,‎ janvier-mars 2008, p. 1-13 (DOI 10.1016/j.culher.2007.03.009)
(en) S. W. Agaiby, M. K. El-Ghamrawy et S. M. Ahmed, « Learning from the Past: The Ancient Egyptians and Geotechnical Engineering », 4th International Seminar on Forensic Geotechnical Engineering, Bangalore,‎ janvier 2013 (DOI 10.13140/RG.2.1.2398.4164)
Journal of the American Ceramic Society 30 novembre 2006, les résultats d’une recherche.

 

Articles de presse

 

L'hypothèse des fausses pierres dans la revue mensuelle Science et Vie, avril 2002.

Pyramides en fausses pierres : ça se confirme ! dans la revue mensuelle Science et Vie, n° 1071, décembre 2006

New York Times 01/12/2006 « Study Says That Egypt's Pyramids May Include Early Use Of Concrete »

« Comment sont construites les pyramides d'Égypte ? », La Croix

Exposition au palais de la découverte où les visiteurs sont invités à construire une pyramide selon diverses méthodes

Historia no 674 février 2003 « Comment a-t-on construit les pyramides ? »

Die Welt, Die Welt 30.11.2006 Pyramiden aus "Beton"-Quadern

Der Spiegel, Der Spiegel 01/12/2006 Ägypter sollen Steine aus Beton gegossen haben

La Libre Belgique à propos d'une théorie de Guy Demortier

 

Ouvrages soutenant l'hypothèse

 

Joseph Davidovits, Ils ont bâti les pyramides, Paris, Jean-Cyrille Godefroy, 2002, 476 p. (ISBN 2-86553-157-0)
Joseph Davidovits, La nouvelle histoire des pyramides, Paris, Jean-Cyrille Godefroy, 2004 (ISBN 2-86553-175-9)
Joseph Davidovits, Bâtir les pyramides sans pierres ni esclaves ? : la science défie les égyptologues, Paris, Jean-Cyrille Godefroy, 2017, 158 p. (ISBN 978-2-86553-288-9)
Joël Bertho, La pyramide reconstituée : les mystères des bâtisseurs égyptiens révélés, Saint-Georges-d'Orques, Unic, 2001, 204 p. (ISBN 2-9517687-0-2)
Recherches Sur La Préparation Que Les Romains Donnoient à la Chaux, écrit par Polycarpe de la Faye en 1777

 

 

Ouvrage abordant l'hypothèse

 

Les pyramides : l'enquête par Eric Guerrier, 2006, éditions Cheminements, 463 p. Voir aussi son livre ultérieur Pyramides ou le principe de l'escalier, 2012, éditions L'Harmattan, où le même auteur propose une autre théorie.

 

Autres mentions

 

En 1720, Paul Lucas, un diplomate de Louis XIV écrit que le revêtement des pyramides serait en ciment et non en pierres

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Hypoth%C3%A8ses_de_construction_

des_pyramides_%C3%A9gyptiennes_%C3%A0_base_de_pierres_moul%C3%A9es

   
   
   
   
Notes et références                                                  
    Le film Grande Pyramide K 2019
    Hypothèses de construction des pyramides égyptiennes
    Monde : Egypte (Sommaire)
   
 
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Traité de Tien-Tsin (1858)

Publié à 08:56 par dessinsagogo55 Tags : gain fond air png google vie prix centerblog sur merci france place argent article création
Traité de Tien-Tsin (1858)

 

 

Le traité de Tientsin, ou traité de Tianjin (chinois simplifié : 天津条约 ; chinois traditionnel : 天津條約 ; pinyin : tiānjīn tiáoyuē), est un traité de paix qui fut signé le 26 juin 1858, clôturant la première phase de la seconde guerre de l'opium (1856-1860). Le Second Empire français, le Royaume-Uni, l'Empire russe et les États-Unis furent les parties concernées. Ce traité permettait l'ouverture de onze nouveaux ports chinois (voir Traité de Nankin) aux étrangers, permettant des délégations étrangères à Pékin, ainsi que l'activité des missionnaires chrétiens et la légalisation de l'importation de l'opium. Il fut ratifié par l'empereur de Chine à la Convention de Pékin en 1860, à la fin de la guerre.

Cet accord fait partie des « Traités inégaux », série de traités imposés militairement par les puissances colonisatrices occidentales aux pays d'Extrême-Orient.

 

Points importants

 

Britanniques, Français et Américains auront le droit d'établir des délégations permanentes à Pékin (cité interdite à beaucoup d'étrangers jusqu'alors) ;

 

Onze ports chinois (voir l'article XI du traité) de plus seront ouverts au commerce étranger (on retrouve Yingkou, Danshui, Hankou et Nankin) ;

 

Les bateaux étrangers (même militaires) pourront naviguer sans contrôle sur le Yangzi Jiang ;

 

Les étrangers pourront voyager dans les régions intérieures de la Chine afin de commercer, envoyer des missionnaires ou tout autre but ;

 

La Chine devra payer une indemnité à l'Angleterre et à la France de 2 millions de Tael d'argent chacun, et une compensation aux marchands anglais de 2 autres millions ;

 

Les lettres et documents officiels entre la Chine et le Royaume-Uni devront exclure pour désigner les sujets de la Couronne britannique et ses officiels le caractère « 夷 » ou « yi » signifiant « barbares » ;

 

Légalisation de l'opium par la Chine, dont l'illégalité n'avait pas été remise en cause par le traité de Nankin.

 

Définitions

 

Le traité de Tientsin, appelé par certains historiens contemporains traité de Tianjin, use parfois de termes ambigus au sens trompeur. Par exemple, les expressions « colonie » et « concession ». La colonie se rapporte à une bande de terre pour laquelle une puissance étrangère possède un bail et qui est composée d'étrangers ainsi que de locaux. Elle est gouvernée localement par des étrangers désignés. La concession se rapporte à un bail à long terme sur un territoire entièrement contrôlé par une autre nation. Il est gouverné par un représentant consulaire.

 

Implication américaine

 

À la suite des puissances européennes, les États-Unis s'orientent vers la création d'un empire colonial avec la création d'une flotte militaire et la mise en place de mesures protectionnistes. Ce nouvel impérialisme amène le pays à tourner ses vues vers le Pacifique et en particulier la Chine. Les États-Unis étaient une des nations signataires du traité chinois et elle a forcé l'ouverture de 23 concessions par le gouvernement chinois. Alors qu'il est souvent noté que l'État américain ne disposait d'aucune colonie en Chine, il partageait néanmoins avec les Anglais certains des territoires obtenus et était invité à prendre une partie de Shanghai ce qu'il a refusé le jugeant trop désavantageux

 

Conséquences

 

Le traité de Tianjin fait partie des traités inégaux, violant la souveraineté territoriale de l'empire des Qing, légalisant le commerce de l'opium, vidant un peu plus les caisses de l'État et aggravant son déficit commercial au profit des Britanniques. Il permit aux missionnaires étrangers de circuler librement dans tout le pays. Ratifié par la convention de Pékin, il conduisit au sac du palais d'été

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Trait%C3%A9_de_Tien-Tsin_(1858)

   
   
   
   
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Focke-Wulf Fw 61

Publié à 08:32 par dessinsagogo55 Tags : center merci centerblog sur monde presse chez sport travail société centre nuit pouvoir
Focke-Wulf Fw 61

Le Focke-Wulf Fw 61 (désigné plus tard Focke-Achgelis Fa 61) était un hélicoptère expérimental construit par Henrich Focke en 1932, qui marqua le début de la carrière d'hélicoptériste de ce dernier. Il s'avéra rapidement que c'était le premier modèle d'hélicoptère entièrement fonctionnel au monde. Il fut réalisé en deux exemplaires dans les années 1935-1936 par la société Focke-Wulf (Focke-Wulf Flugzeugbau AG), fondée en 1923 par Henrich Focke et Georg Wulf.

 

Genèse de sa conception

 

En construisant sous licence des autogires Cierva C.19 et Cierva C.30 et en réalisant des essais peu concluants avec son prototype Fw 186, Henrich Focke comprit en 1932 que leurs défauts ne pourraient être éliminés qu’en réalisant un véritable hélicoptère. En effet, ils manquaient de manœuvrabilité et de stabilité, et l’appareil ne pouvait pas se poser en toute sécurité en cas de panne du moteur ou de rupture de l’arbre de transmission.

Henrich Focke fit tout d’abord de nombreux calculs pour construire des maquettes testées en soufflerie. Puis, il s'inspira pour cela des travaux de l’Espagnol Juan de La Cierva qui travaillait en Grande-Bretagne ainsi que sur ceux de Glauert et de Lock pour améliorer les caractéristiques du rotor.

Focke opta pour un concept à deux rotors contrarotatifs assurant une parfaite symétrie des commandes. En 1934, une première maquette équipée d’un moteur deux-temps fournit de premiers résultats prometteurs. Elle est aujourd’hui exposé au Deutsches Museum à Munich. Le 9 février 1935, Focke reçut du ministère de l’aviation (RLM) une commande pour réaliser un prototype désigné officiellement Fw 61 mais que Focke lui-même appela cependant toujours F 61. La commande du deuxième exemplaire fut passée le 19 décembre 1935 par l’ingénieur aéronautique d’état-major (Fl. Hauptstabsing) du RLM Roluf Lucht.

 

Essais en vol

 

Le premier prototype (immatriculé V 1 D-EBVU, n° de fabrication usine 931) était déjà pratiquement terminé et l’ingénieur Ewald Rohlfs (en) qui avait rejoint la société Focke-Wulf le 1er mai 1935, effectua les premiers vols d’essai, l’appareil étant captif, relié au sol par des cordes dans un hall à Hemelingen où Focke avait été banni par les « nouveaux dirigeants » de sa société. Le premier vol entièrement libre n’eut lieu que le 26 juin 1936, car Rohlfs avait dû être rapatrié d’Amérique du Sud grâce à l’insistance de Ernst Udet, où la direction de la société – qui désapprouvait le projet – l’avait envoyé en mission au printemps 1936. Jusqu’au début du mois d’août, les essais avaient suffisamment progressé pour permettre aux services officiels du centre d’essai en vol (‘’Erprobungsstelle’’) de Rechlin de refaire les mêmes essais pour vérifier les performances, tâche qui fut confiée à l’ingénieur Walther Ballerstedt. Celui-ci possédait une certaine expérience du vol sur autogire Cierva C.30. Focke, qui était plus que précautionneux, tint à ce que son premier vol se fasse sur appareil captif. Ballerstedt était enthousiasmé par les qualités de vol de l’appareil, considérant uniquement que la commande de variation de hauteur, commandée par la poignée des gaz et par conséquent par la variation de régime des rotors, était très sensible. Udet, qui avait entre-temps succédé au général Wilhelm Wimmer (de) était enthousiasmé et faisait pression pour présenter l’hélicoptère en public le plus vite possible. Le deuxième prototype (immatriculé V 2 D-EKRA, n° usine 1789) put faire son premier vol au printemps 1937, avec de nouveau Rholfs aux commandes. Le 10 mai 1937, celui-ci réalisa le premier atterrissage en autorotation moteur arrêté.

 

Records

 

Un mois plus tard (les 25 et 26 juin 1937), Rohlfs avait battu sur cet appareil tous les records établis précédemment. Les meilleures performances précédentes avaient été établies par Louis Breguet et son Gyroplane Laboratoire en 1936 avec h 2 min de vol, 44,69 km en circuit fermé, la vitesse de 121 km/h et 158 mètres d'altitude. Le Fw 61 atteignit une altitude de 2 439 m, se maintint en l’air pendant h 20 min 49 s, atteignit une vitesse de 122,55 km/h sur une distance de 20 km et couvrit 80,604 km en circuit fermé.

 

La nouvelle société

 

Les difficultés que lui faisaient les dirigeants de son ancienne société poussèrent Focke à s’en séparer entièrement et à fonder le 27 avril 1937 avec le célèbre pilote de voltige aérienne Gerd Achgelis une nouvelle société appelée Focke-Achgelis & Co GmbH dont les usines Weser Flugzeugbau détenaient aussi des parts. Le suivi technique des deux hélicoptères qui comme tous les nouveaux développements restaient la propriété de l’État, fut transférée à la nouvelle société. Rohlfs ayant décidé de rester chez Focke-Wulf, Focke engagea sur les conseils de Udet l’ingénieur Carl Bode pour poursuivre les essais. Celui-ci avait fait partie de l’équipe gagnante de la compétition Deutschlandflug (de) (tour d’Allemagne) de 1933 en tant que membre d’Akaflieg Hannover et rejoignait désormais Focke-Achgelis après avoir travaillé au centre d’essais en vol de Rechlin et chez Arado. Les deux autres pilotes ayant le plaisir de voler sur cet hélicoptère étaient l’ingénieur Carl Francke (de) du CEV de Rechlin et Hanna Reitsch, qui n’avait cependant pas d’autorisation. Elle faillit même se crasher lors de son premier vol car elle avait sous-estimé les difficultés du pilotage d’un hélicoptère. Elle apprit cependant très rapidement à le maîtriser. Lors d’un vol de Brême à Berlin-Tempelhof (25 octobre 1937), qu’elle dut interrompre deux fois, d’abord en raison d’une surchauffe puis à Stendal pour cause d’intempéries, elle poussa le record de distance en ligne droite à 109 km. Bode battit ce record le 20 juin 1938 en franchissant 230,248 km en ralliant Berlin-Rangsdorf depuis Fassberg. Sur le prototype V 2, il battit aussi le 29 janvier 1939, avec 3 427 mètres, le record d’altitude détenu précédemment par Rohlfs.

À la suite de ces succès, Udet faisait pression pour que la production en série commençât aussitôt. Pour être utile un tel appareil devait cependant pouvoir transporter deux personnes (instructeur plus élève pilote) et surtout une charge utile et il était donc nécessaire de réaliser un appareil biplace avant d’envisager une fabrication en série. En conséquence, on commença le développement d’un successeur biplace appelé Fa 224 Libelle, qui aurait été motorisé avec un moteur Hirth HM 508 (en) de 280 ch (206 kW) ou un moteur Argus As 10 C de 270 ch (198 kW). Le projet ne dépassa cependant pas le stade de la maquette et dut être abandonné au début de la Seconde Guerre mondiale au profit du Fa 223 Drachen qui était également en cours de développement.

 

Présentation dans la Deutschlandhalle

 

 
Le Focke-Wulf FW 61 sur un timbre de 1979.
 

Udet était tellement enthousiasmé par le nouvel appareil qu’il avança une autre idée. Vers la fin de l’année 1937, Berlin préparait une exposition coloniale intitulée « Kisuaheli » qui devait se tenir dans la Deutschlandhalle, salle polyvalente de Berlin. Il obtint que le nouvel hélicoptère fut présenté en vol au cours de la revue prévue pour février 1938. Bode et Hanna Reitsch commencèrent le 10 février les préparatifs pour voler sur le prototype V 2, transporté à Berlin par le train, premiers essais qui se passèrent tout d’abord sans accroc. Mais, le 13 février, un accident eut lieu en présence du secrétaire d’État Erhard Milch. Lors du deuxième vol que Bode effectuait ce jour-là, le cardan droit se brisa par suite de fatigue des matériaux et l’hélicoptère bascula vers la droite. Le rotor percuta le sol en se brisant mais Bode put sortir indemne de l’appareil D-EKRA couché sur le dos. Cet accident aurait dû en lui-même motiver l’interdiction de voler dans une salle archi-comble. Mais tous les scrupules furent balayés. Le prototype V 1 fut transporté à Berlin et remis en état de vol en une nuit et un jour de travail pour la Première qui devait avoir lieu le 19 février. L’immatriculation D-EBVU fut remplacée sur le fuselage par le mot Deutschland (Allemagne). Ainsi, Hanna Reitsch présenta la toute récente réalisation technique de l’aéronautique lors de la Première et ensuite chaque jour, 18 fois au total, sans incident. Udet fut très déçu car le public ne montrait pas un enthousiasme particulier, même si Hanna Reitsch lors de sa descente de l’appareil était chaque fois vivement applaudie. Les raisons de la réaction mitigée des spectateurs étaient faciles à deviner. Il y avait tout d’abord la poussière soulevée par les rotors malgré un nettoyage minutieux du sol et que les spectateurs des premiers rangs (les places les plus chères…) recevaient dans les yeux, et d’autre part le fait que pendant les vols les fenêtres devaient être ouvertes et la ventilation poussée au maximum en plein mois de février. Hanna Reitsch avait en effet constaté lors d’un des derniers vols d’essai qu’elle devait pousser plus que d’habitude le levier de commande des gaz qui permettait de réguler la hauteur. Cette perte de puissance évidente du moteur était due à la qualité de l’air ambiant. Même la presse spécialisée restait réservée face à ce qui avait été annoncé comme un évènement sensationnel. Dans sa revue Flugsport (sport aéronautique), Oskar Ursinus (en) ne lui consacra pas plus d’une ligne et demie... Henrich Focke reçut en octobre 1938 la médaille Lilienthal en or (Goldene Lilienthal-Medaille) et le 12 novembre il fut élevé au grade de docteur honoris causa par l’université technique de Hanovre où il avait étudié.

Le prototype V 2 (rebaptisé Fa 61) servit ensuite pour des essais jusqu’en 1941, notamment dans le centre de recherches aérodynamiques AVA de Göttingen. Il fut ensuite transféré à Ochsenhausen près de Biberach où la société avait son nouveau siège à la suite des bombardements alliés de Hoykenkamp (en) et est vraisemblablement tombé aux mains des troupes françaises vers la fin de la guerre. Le prototype V 1 par contre, qui était exposé à l’entrée de l’usine de Brême, fut détruit lors d’un bombardement dans la nuit du 3 au 4 juin 1942.

 

Description technique

 

Pour les deux prototypes, le Fw 61 V 1 immatriculé D-EBVU (no 931) puis le Fw 61 V 2 immatriculé D-EKRA (no 1789), Focke avait utilisé un fuselage de Focke-Wulf Fw 44 Stieglitz légèrement modifié. Il n’avait qu’un poste de pilotage ouvert, conservait sa dérive au-dessus de laquelle était fixé un plan horizontal en T relié à la dérive par des étrésillons mais compensable, faisant office de gouverne de profondeur. Il était en outre équipé d’un train avant fixe et de la roulette de queue d’origine. Les roues du train principal possédaient des freins.

La portance était assurée par deux rotors tripales contrarotatifs disposés à l’extrémité de poutres latérales en tubes d’acier soudés. La motorisation consistait en un moteur en étoile à 7 cylindres Bramo 314 E non caréné, fixé dans la pointe avant du fuselage et équipé d’une petite hélice servant uniquement à son refroidissement et non pas à la propulsion. La majeure partie de la puissance motrice était transmise, au travers d'un embrayage et d’un boîtier d'engrenages, à des arbres placés dans les poutres latérales et qui attaquaient les cardans au niveau du moyeu des rotors. Les pales des rotors, de forme trapézoïdale double et dont la corde était maximale au tiers de leur longueur, étaient constituées d'un tube d’acier (longeron) et de nervures en bois dont l’angle de calage diminuait en allant vers l’extrémité pour obtenir un vrillage optimal. Le profil de la pale était déterminé par un bord d’attaque en bois (contreplaqué) alors que la partie arrière était entoilée. Les pales possédaient des articulations de battement et de traînée au niveau du moyeu des rotors. Le pilotage autour de l'axe de roulis s'effectuait en faisant varier différemment l’angle d’incidence collectif de chacun des rotors. Pour assurer le déplacement en translation avant et arrière ainsi que le mouvement de giration (autour de l’axe de lacet), les pales étaient commandées à chaque rotation de manière que l’inclinaison de la poussée résultante génère la force requise.

Les sollicitations du pilote étaient transmises aux pales par le biais de câbles et de poulies placées sous le moyeu de chaque rotor. Un dispositif particulièrement important était celui permettant d’atterrir en toute sécurité même en cas de panne moteur ou de rupture d'un arbre de transmission. Un levier permettait de réduire le pas de toutes les pales et de permettre une descente en autorotation. Cette commande assurait en même temps le décrabotage du moteur. L’atterrissage se faisait ensuite en vol plané. Cette manœuvre une fois entamée n’était cependant pas réversible. Une fois le levier activé, l’atterrissage ne pouvait se faire qu’en autorotation.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Focke-Wulf_Fw_61

   
   
   
   
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