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8 mai 1945

Publié à 12:14 par dessinsagogo55 Tags : png article center centerblog sur merci france travail mort femmes nuit annonce cadre message
8 mai 1945

Le 8 mai 1945 est la date, dans le calendrier grégorien, d'au moins deux événements historiques :

la victoire des Alliés sur l'Allemagne nazie et la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe marquée par l'annonce de la capitulation de l'Allemagne. En France, cette date est un jour férié. Ce jour est appelé par les anglophones le « Victory in Europe Day » ou « V-E Day » pour « Jour de la Victoire en Europe » ; le mot Europe est ajouté par les Américains pour le différencier du « Victory over Japan Day » ou « V-J Day » qui correspond au 2 septembre 1945, jour de la signature de la capitulation du Japon ; pour mémoire les pertes humaines pendant la Seconde Guerre mondiale ont été de l’ordre de 50 millions de morts ; dans les pays de l’ancienne Union soviétique, cet événement est célébré le 9 mai sous le nom de Jour de la Victoire ;

les manifestations indépendantistes algériennes réprimées par l'armée française lors des massacres de Sétif, Guelma et Kherrata en Algérie, massacres qui auraient été la cause de 3 000 à 30 000 morts.

 

Capitulation de l'Allemagne

 

 
Signature de la reddition de l'armée allemande à Reims, 7 mai 1945.
 
 
Deux femmes lisant la une du Montreal Daily Star annonçant la capitulation allemande et la fin imminente de la Seconde Guerre mondiale, 7 mai 1945.

L'amiral Dönitz, désigné par Hitler comme son successeur, ainsi que son état-major, ont compris que toute résistance est vaine. Dönitz consacre son énergie à ce que les troupes allemandes se rendent aux Alliés occidentaux et non aux Soviétiques, avant tout pour que les prisonniers allemands soient traités selon les conventions internationales, et non massacrés ou déportés en Sibérie. Aussi souhaite-t-il des capitulations partielles à l'ouest et la poursuite des combats à l'est afin de soustraire à l'emprise de l'Armée rouge autant de troupes que possible et de rapatrier le maximum de population

C'est dans cette intention que Dönitz envoie une première fois, à Reims, au PC avancé du SHAEF d'Eisenhower, l'amiral Hans-Georg von Friedeburg pour tenter de convaincre les Occidentaux de conclure une capitulation séparée. Le général américain l'éconduit, tout en prévenant Staline des tentatives allemandes. Le Royaume-Uni, les États-Unis et l'Union soviétique se sont en effet mis d'accord sur une capitulation totale et inconditionnelle du gouvernement allemand et de l'OKW sur tous les fronts, n'acceptant des redditions ponctuelles que dans le cadre des engagements (unités déposant les armes et se constituant prisonnières) et non dans le cadre d'un traité. Dönitz réitère ses avances le 6 mai en désignant alors le général Jodl, son chef d'état-major, mais ce dernier essuie le même refus. L'intransigeance d'Eisenhower est en effet implacable depuis le 12 avril 1945, date à laquelle il découvre horrifié les charniers d'Ohrdruf, annexe du camp de concentration de Buchenwald qui vient d'être libéré

C'est donc le 7 mai 1945, à h 41, que la reddition de l'armée allemande est signée à Reims dans une salle du Collège technique et moderne (actuel lycée Roosevelt) abritant le Supreme Headquarters Allied Expeditionary Force, par le maréchal allemand Alfred Jodl, en présence des généraux américains Walter B. Smith et Eisenhower, du général français François Sevez et du général soviétique Sousloparov, les combats devant cesser le 8 mai à 23 h 1. L'acte signé est purement militaire.

Ceci provoque la fureur de Staline qui veut que la capitulation de l'Allemagne soit signée dans sa capitale, à Berlin, où les soldats de l'Armée rouge règnent en maîtres. Les journalistes occidentaux répandent rapidement la nouvelle de la capitulation, précipitant ainsi les célébrations. Les combats continuent cependant sur le front de l'Est.

L'exigence de Staline est honorée et une nouvelle signature a lieu le 8 mai, dans la nuit du 8 au 9 mai à h 16 heure russe (23 h 16 heure de l'Ouest), dans une villa de Karlshorst, quartier général du maréchal Georgi Joukov dans la banlieue Est de Berlin (aujourd'hui le musée germano-russe Berlin-Karlshorst). Les représentants de l'URSS, de la Grande-Bretagne, de la France et des États-Unis arrivent peu avant minuit. Après que le maréchal Georgi Joukov eut ouvert la cérémonie, les représentants du Haut commandement allemand, dont le maréchal Wilhelm Keitel, sont invités à signer l'acte de capitulation entrant en vigueur à 23 h 1, heure locale (heure d'Europe centrale), soit le 9 mai à h 1, heure de Moscou. C'est l'amiral Hans-Georg von Friedeburg et le maréchal Keitel qui signèrent l'acte de capitulation.

La reddition a donc lieu le 9 mai 1945 pour les Soviétiques et les pays est-européens alliés. De ce fait les Soviétiques, puis les Russes et leurs alliés est-européens, commémorent cette capitulation le 9 mai, sous le nom de Jour de la Victoire.

Il faudra cependant attendre la capitulation officielle du Japon le 2 septembre 1945 (« V-J Day », pour « Victory over Japan Day », annoncé le 15 août 1945), lorsque le ministre des Affaires étrangères Mamoru Shigemitsu signe les articles de la reddition des forces japonaises sur le pont de l'USS Missouri dans la baie de Tokyo, pour que la Seconde Guerre mondiale prenne fin.

 

En France

Jour férié

 

La loi du 7 mai 1946 prévoit que la commémoration du 8 mai 1945 soit fixée au 8 mai de chaque année, si ce jour est un dimanche, ou le dimanche suivant. Dès cette année et plus nettement dans les années suivantes, c'est-à-dire jusqu'en 1951, la commémoration perd de son importance alors que les associations d'anciens combattants réclament la reconnaissance du 8 mai comme jour férié et chômé. Ces associations organisent ainsi leur propre manifestation. L'adoption de la loi n° 53-225 du 20 mars 1953 clarifie la situation : le 8 Mai est déclaré jour férié (mais non chômé) de commémoration en France. Cela n'empêche pas les cérémonies de revêtir un réel éclat de 1953 à 1958.

Dans une logique de réconciliation avec l'Allemagne, le président Charles de Gaulle supprime le caractère férié de ce jour par le décret du 11 avril 1959 qui fixe la date de la commémoration au deuxième dimanche du mois de mai. Puis le décret du 17 janvier 1968 décide que le 8 mai sera commémoré chaque année, à sa date, en fin de journée.

En 1975, dans cette même logique afin de souligner la volonté des Européens d'organiser en commun leur avenir pacifique, le président Giscard d'Estaing supprime également la commémoration de la victoire alliée de 1945. Cette décision suscite un tollé général de la part des associations d'anciens combattants.

C'est à la demande du président François Mitterrand que cette commémoration et ce jour férié seront rétablis, par la loi n° 81-893 du 2 octobre 1981 qui ajoute cette date à la liste des jours fériés désignés par le code du travail

 

Odonymes

 

Cette date historique de la fin de la guerre est rappelée par de nombreux odonymes : rue du 8-Mai-1945, etc.

 

Massacre de Sétif

Le 8 mai 1945 est aussi la date du début des massacres de Sétif, Guelma et Kherrata, qui sont des répressions sanglantes des émeutes nationalistes survenues en 1945 dans le département de Constantine en Algérie française. Il s'agissait de manifestations qui visaient à réclamer l'indépendance du pays colonisé par la France préalablement prévu par les ces-derniers[Quoi ?] ainsi que la libération du chef du Parti populaire algérien (PPA) Messali Hadj.

Pour fêter la fin des hostilités et la victoire des Alliés sur les forces de l'Axe, des défilés sont organisés le 8 mai, y compris en Algérie, alors département français. L'émeute de Sétif n'est pas due à l'indignation provoquée parmi les manifestants par la mort du porte-drapeau Saâl Bouzid mais à une véritable insurrection armée qui a fait 23 morts et 80 blessés européens à Sétif dont le régisseur du marché Gaston Gourlier tué 2 heures avant le début de la manifestation (Vétillard) et d'autres par armes à feu dans les minutes qui ont suivi les altercations entre forces de l'ordre et manifestants. Les forces de l'ordre interviennent et ramènent le calme en moins de 2 heures : 35 manifestants sont tués, des dizaines sont blessés.

Au même moment, et dans plusieurs endroits, parfois sans lien évident avec la manifestation de Sétif, d'autres soulèvements ont lieu dans une vingtaine de localités de la région (Périgotville, Chevreul, Kerrata, Lafayette, Sillègue, El Ouricia…) : on recense 145 morts le soir du 11 mai ainsi qu’environ 415 blessés dans les deux camps.

La répression ne débute que le 9 mai. Elle concerne les communes où les Européens ont été visés. Elle sera démesurée, conduite par l'armée et également par la milice civile de Guelma (Peyroulou, Vétillard). Les effectifs de la police nationale à Sétif ne sont que de 40 hommes. Dans les villages la police et l'armée sont absentes, les gendarmeries ne sont représentées que par 3 ou 4 hommes à Kerrata, Chevreul et Lafayette. Des renforts arrivent du Maroc, de Tunisie et d'Alger : 10 000 hommes sont déployés dans le Constantinois mais seulement 3 700 dans la subdivision de Sétif, la plus vaste (sa surface est l'équivalent de 2 départements métropolitains), le plus montagneuse et la plus touchée.

A Sétif, un policier tire sur un jeune nationaliste et le tue, ce qui déclenche des émeutes dans trois villes : Sétif, Guelma et Kherrata.

Le nombre des victimes algériennes reste sujet à débat. Les autorités françaises de l'époque fixèrent le nombre de tués à 1 165 ; un rapport des services secrets américains à Alger en 1945 notait 17 000 morts et 20 000 blessés ; le gouvernement algérien avance le nombre de 45 000 morts ; alors que selon les historiens français le nombre varie de 6 000 ou 8 000 (Charles-Robert Ageron, Charles-André Julien) à « des milliers de morts ».

Commémorée chaque année en Algérie, la date « a servi de référence et de répétition générale à l'insurrection victorieuse de 1954».

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/8_mai_1945

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Frédéric François : Laisse-Moi Vivre Ma Vie

Publié à 02:28 par dessinsagogo55 Tags : moi vie homme nuit fille center centerblog sur merci
Frédéric François : Laisse-Moi Vivre Ma Vie
 
 
1972
 
 
 
 
 
Paroles
 
Laisse-Moi Vivre Ma Vie,
Non, je ne regrette rien,
Je ne veux plus être celui,
Qui ne connaît que des chagrins,
Laisse-Moi Vivre Ma Vie,
Si tu m'aimes encore un peu,
Fermes ta porte cette nuit,
Ça vaut mieux pour tous les deux.
Comme tu as changé,
Tu n'est plus la petite fille,
Que j'ai tant aimé,
Et que je trouvais si gentille,
Que de temps perdu
Depuis que nous vivons ensembles,
Pourtant au début,
Tu me disais comme on se ressemble.
Laisse-Moi Vivre Ma Vie,
Et redevenir un homme,
Je ne sais plus où j'en suis,
Je ne connais plus personne.
Comme tu as changé,
Tu n'est plus la petite fille,
Que j'ai tant aimé,
Et que je trouvais si gentille,
Que de temps perdu
Depuis que nous vivons ensembles,
Pourtant au début,
Tu me disais comme on se ressemble.
Laisse-Moi Vivre Ma Vie,
Ne me retiens surtout pas,
Si je reste encore une nuit,
Je n'aurais plus confiance en moi.
 
 
Source : Musixmatch
Paroliers : Frederic Francois / R. Marino Atria
 
 
 
 
 
 
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Gilbert Bécaud : Nathalie

Gilbert Bécaud : Nathalie

 

 

Nathalie (Наталья ou Наталия ou НаташаNatalia, Natasha, ou Natacha, en russe slaves) est une chanson d'amour française de 1964, composée, chantée, et un des plus importants succès de Gilbert Bécaud (1927-2001), écrite par le parolier Pierre Delanoë (1918-2006).

 

Histoire

 

En 1964, en pleine période Rock 'n' roll-Twist-Yéyé de la culture américaine, et de guerre froide anticommuniste avec l'URSS, Gilbert Bécaud (« Monsieur 100 000 Volts ») fait une tournée triomphale à Moscou, et connait un succès international retentissant (en particulier en France et à Moscou) avec sa chanson d'amour française culte Nathalie.

« La place Rouge était vide, devant moi marchait Nathalie, il avait un joli nom mon guide, Nathalie »... Il chante son souvenir personnel nostalgique, d'une idylle amoureuse imaginaire de jeunesse, avec une jeune étudiante russe soviétique et guide touristique moscovite, qui lui fait visiter Moscou, et l'accueille dans sa chambre d'étudiante de l'Université de Moscou, où elle lui présente ses amis étudiants et lui sert d'interprète... Il évoque sur fond de musique russe, violon, balalaïka, danse Kazatchok, et Chœurs de l'Armée rouge, un mélange de lieux phares ou imaginaires des cultures russe et française : place Rouge blanche de neige de l'hiver russe, tombeau de Lénine, café Pouchkine, Moscou, plaines d'Ukraine, champagne de France, Champs-Élysées, et fête étudiante empreinte d'âme russe. Il évoque comme événement la révolution d'Octobre qui mit en place l'URSS.

 

 
Gilbert Bécaud (« Monsieur 100 000 Volts ») en 1963.
 

19 ans après leur succès, Bécaud et Delanoë composent leur chanson La Fille de Nathalie de 1983, qui évoque une correspondance entre Bécaud et sa fille étudiante de 18 ans de Leningrad (Saint-Pétersbourg) née de son idylle avec Nathalie 19 ans plus tôt.

 

Genèse

 

Pierre Delanoë raconte :

« J'ai mis un an à le convaincre d'interpréter Nathalie, qui s'appelait d'abord Natacha et vivait un amour impossible dans l'horreur communiste. À chaque fois, il m'envoyait sur les roses. Un jour, il m'a dit : « Invente une image forte ! » J'ai sorti : « La place Rouge était vide, devant moi marchait Nathalie »… Il s'est mis au piano. On a fini dans l'heure… Quand je pense que Vladimir Poutine et Jacques Chirac se sont rencontrés à Moscou au café Pouchkine. »

— Article de Gilles Médioni dans , L'Express du 20 décembre 2011

Delanoë précisa ultérieurement que les premières paroles devaient être « Qu'elle était jolie cette Russe rousse sur la place Rouge ». En 1994, Delanoë déclarait « J'aime la Russie, leur littérature, leur façon de boire et de manger. Par contre, je haïssais les communistes. Je voulais réussir à dégager de cette ambiance l'âme russe »

 

Postérité

 

La chanson est un immense succès, Jean-Pierre Pasqualini explique ainsi que c'est une des premières chansons évoquant la guerre froide, dans un pays plutôt refermé traversant une période trouble (la crise des missiles de Cuba et le limogeage de Khrouchtchev) quand les yéyés étaient fascinés par l'Amérique.

Suite à l'immense succès populaire retentissant de Nathalie, des milliers de Nathalie voient le jour en France.

Le café Pouchkine de la chanson devient célèbre, très recherché en vain par les touristes de Moscou, car purement imaginé pour la chanson. Un café Pouchkine est créé 35 ans plus tard à Moscou, inauguré en 1999 en présence de Gilbert Bécaud, pour l'occasion du bicentenaire de la naissance du célèbre romancier poète russe Alexandre Pouchkine (1799-1837).

 

Reprises

 

Nathalie a été reprise en France par Georges Chelon, Patrick Bruel, Yves Duteil, Richard Anthony, Shy'm, Sanseverino et Adamo. Elle a été adaptée dans de nombreuses langues et chantée en finnois par Tapani Pertu, en serbo-croate par Đorđe Marjanović et Vice Vukov, en allemand par Peter Alexander, en suédois par Carli Tornehave, en italien par Nicola Arigliano, etc

 

 
 
Paroles
 
La place Rouge était vide
Devant moi marchait Nathalie
Il avait un joli nom, mon guide
Nathalie
 
La place Rouge était blanche
La neige faisait un tapis
Et je suivais par ce froid dimanche
Nathalie
 
Elle parlait en phrases sobres
De la révolution d'octobre
Je pensais déjà
Qu'après le tombeau de Lénine
On irait au cafe Pouchkine
Boire un chocolat
 
La place Rouge était vide
J'ai pris son bras, elle a souri
Il avait des cheveux blonds, mon guide
Nathalie, Nathalie...
 
Dans sa chambre à l'université
Une bande d'étudiants
L'attendait impatiemment
On a ri, on à beaucoup parlé
Ils voulaient tout savoir
Nathalie traduisait
 
Moscou, les plaines d'Ukraine
Et les Champs-Élysées
On à tout melangé
Et l'on à chanté
 
Et puis ils ont débouché
En riant à l'avance
Du champagne de France
Et l'on à dansé
 
Et quand la chambre fut vide
Tous les amis etaient partis
Je suis resté seul avec mon guide
Nathalie
 
Plus question de phrases sobres
Ni de révolution d'octobre
On n'en était plus là
Fini le tombeau de Lenine
Le chocolat de chez Pouchkine
C'est, c'était loin déjà
 
Que ma vie me semble vide
Mais je sais qu'un jour à Paris
C'est moi qui lui servirai de guide
Nathalie, Nathalie
 
Source : Musixmatch
Paroliers : Gilbert Becaud / Pierre Delanoe
Paroles de Nathalie © Soc. Le Rideau Rouge, S D R M, Universal Music Mgb Songs Obo Ed. Rideau Rouge
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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Véronique Jannot

Véronique Jannot

Véronique Jannot, née le 7 mai 1957 à Annecy (Haute-Savoie), est une actrice et chanteuse française.

 

Biographie

 

Elle débute à la télévision en 1972 dans Le Jeune Fabre de Cécile Aubry, avec Mehdi, et enchaîne au théâtre dans L’École des femmes. Après avoir tourné dans le feuilleton Paul et Virginie, elle joue dans le téléfilm Aurore et Victorien, un premier rôle en costume qui lui permet de monter à cheval pour la première fois à l'écran. Suivront ensuite trois autres feuilletons : Qui j'ose aimer d'Hervé Bazin en 1977, Les Amours sous la Révolution et Léopold le bien-aimé en 1978.

En 1979, le cinéma lui ouvre ses portes : elle joue dans Le Toubib, de Pierre Granier-Deferre, avec Alain Delon.

En 1981, son visage est connu de toute la France : elle interprète Joëlle Mazart, l'assistante sociale de la série Pause café. Grâce à ses records d'audience, Pause café sera suivi 2 ans plus tard de Joëlle Mazart. Second volet, second succès. Après plusieurs films (notamment Tir Groupé avec Gérard Lanvin, Un été d'enfer avec Thierry Lhermitte, et La Dernière Image, Sélection du Festival de Cannes en 1986), elle accepte une nouvelle fois de reprendre sa série fétiche en 1988 : le troisième volet, Pause-café pause-tendresse, bat à nouveau des records d'audience.

Actrice de théâtre, de cinéma et principalement de télévision, elle a aussi enregistré plusieurs succès discographiques.

Elle débute dans la chanson lorsque la production qui s'occupe de la série télévisée Pause café lui demande d'en enregistrer les génériques de début et de fin. Elle signe alors un contrat discographique sur le label Les Trois Oranges Bleues, distribué par Philips, où elle restera jusqu'en 1987. Son premier 45 tours comprend en face A Tous les enfants ont besoin de rêver, générique de fin de la série et en face B On entre dans la vie, générique de début de la série, dont elle écrit les paroles. Prenant goût à la chanson et aussi à l'écriture de textes, elle sort en 1982, le titre J'ai fait l'amour avec la mer, dont elle écrit le texte sur une musique de Pierre Bachelet et qui connaît un grand succès. Après un troisième 45 tours qui se vend moins, elle chante Désir, désir en duo avec Laurent Voulzy (le tube de l'été 1984), puis Si t'as pas compris en 1985 et Ma repentance en 1986 et enfin Aviateur (qui reçoit un disque d'argent en 1988). Ce 45 tours, qui est son premier à sortir chez Carrère, lui permet de poursuivre sa collaboration artistique avec Laurent Voulzy, puisque c'est ce dernier qui signe la musique de la face A du disque Aviateur, sur un texte d'Alain Souchon, mais aussi celle de la face B du disque Chagrin, dont le texte est écrit par Véronique elle-même. Elle participe ensuite au collectif Pour toi Arménie, créé par Charles Aznavour, puis sort le 45 tours Mon héros préféré du générique de la série Pause-café pause-tendresse, suivi du titre rythmé Love me encore en 1989. À la suite d’un différend artistique avec Claude Carrère, elle résilie son contrat avec lui, et laisse à partir de 1990 sa carrière de chanteuse au second plan.

En 1998, elle chante L'Atlantique en duo avec Pierre Bachelet. Durant les années 1980, seules deux compilations des chansons se trouvant sur ses 45 tours sont éditées. Son premier véritable album original, intitulé Tout doux auquel participent Natasha St-Pier, Gérard Lenorman, Henri Salvador, Yannick Noah et Lim, consacré aux enfants ne sort qu'en 2012.

 

 
Véronique Jannot au festival de Cannes 2003.
 

À partir des années 1990, elle enchaîne plusieurs films et téléfilms, dont Madame le Consul (de 1995 à 2001), Charlotte et LéaManègeC'est l'homme de ma vie (qui lui vaudra le 7 d'or de la meilleure comédienne télé en 1998), Docteur Claire Bellac (2001-2003) et Pardon. Elle a aussi joué au théâtre, notamment dans Pleins feux en 1991 avec Line Renaud, et dans Avis de tempête en 2004.

En 2006, elle publie son autobiographie, Trouver le chemin, qui connaît un grand succès en librairie, et tient le rôle principal de la saga de l'été de France 2, Les Secrets du volcan.

En 2009, elle est membre du jury lors du Festival international du film fantastique de Gérardmer 2009.

À l'automne 2011, elle participe à la deuxième saison de l'émission Danse avec les stars sur TF1, aux côtés du danseur Grégoire Lyonnet, et termine sixième de la compétition.

 

Vie privée

 

Alors qu'elle a 22 ans et qu'elle tourne le film Le Toubib, elle est atteinte d'un cancer de l'utérus, ce qui la conduit à recourir à une chimiothérapie qui la rendra stérile. Cela lui rendra le tournage de la deuxième saison de Pause café particulièrement cruel, car le scénario prévoit que dans son couple c'est son compagnon qui de prime abord ne veut pas d'enfant.

Après avoir été la compagne du pilote de Formule 1 Didier Pironi, qui meurt dans une course de bateaux offshore en 1987, elle vécut une dizaine d'années avec Laurent Voulzy

Convertie au bouddhisme, elle milite pour la liberté au Tibet et soutient les enfants tibétains en exil, à travers l’association Graines d'Avenir. Le 29 août 2008, à l'occasion des Jeux olympiques en Chine, elle saute en parachute avec le drapeau du Tibet au-dessus du mont Saint-Michel. En 2011, elle sort une bande dessinée, Tibet, l'espoir dans l'exil, dont les bénéfices sont versés à Graines d'avenir.

Depuis 2007, elle est également marraine de l'opération Volvic-UNICEF au Niger, dans le but de construire des bornes-fontaines et de scolariser les fillettes.

Son père, Paul Jannot, meurt le 23 décembre 2009

Passionnée d'équitation, elle est en 2014, ambassadrice des Alltech FEI Jeux équestres mondiaux à Caen, en Normandie. Elle y a soutenu en particulier la discipline du Para-Dressage dont elle est la marraine.

En 2014, Elle adopte Migmar, une jeune orpheline tibétaine rencontrée grâce à l'association « Graines d'Avenir », qu'elle a fondée en 2005.

Le 10 octobre 2016, sa mère Colette meurt à plus de 80 ans d'une crise cardiaque, due au choc provoqué par un accident entre son véhicule et un scooter, à Saint-Chéron.

 

Théâtre

 

1973 : L'École des femmes de Molière, mise en scène Richard Vachoux, Comédie de Genève

1974 : De l'influence des rayons gamma sur le comportement des marguerites de Paul Zindel, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre La Bruyère

1977 : Le Météore de Friedrich Dürrenmatt, mise en scène Gabriel Garran, Théâtre de la Commune

1991 : Pleins Feux de Mary Orr, mise en scène Éric Civanyan, Théâtre de la Michodière

1992 : Pleins Feux de Mary Orr, mise en scène Éric Civanyan, Théâtre Antoine, tournée jusqu'en 1993

2004 : Les Monologues du vagin d'Eve Ensler, mise en scène Isabelle Rattier

2004 : Avis de tempête de Dany Laurent, mise en scène Jean-Luc Moreau, Théâtre des Variétés, tournée

2007 : Avec deux ailes de Danielle Mathieu-Bouillon, mise en scène Anne Bourgeois, avec Jean-Michel Dupuis, Productions Artémis Diffusion

2008 : Avec deux ailes de Danielle Mathieu-Bouillon, mise en scène Anne Bourgeois, reprise au Petit Théâtre de Paris

2011 : Personne n'est parfait de Simon Williams, mise en scène Alain Sachs, Théâtre des Bouffes Parisiens avec Jean-Luc Reichmann

2015 : Père et manque de Pascale Lécosse, mise en scène Olivier Macé, tournée

2018 : Inavouable, de Éric Assous, mise en scène Jean-Luc Moreau, La Coupole (Cité Internationale)

  Filmographie

Cinéma

 

1979 : French Postcards de Willard Huyck, avec : Malsy

1979 : Le Toubib de Pierre Granier-Deferre, avec Alain Delon : Harmony

1982 : Tir groupé de Jean-Claude Missiaen, avec Gérard Lanvin : Carine Ferrand

1983 : Les Voleurs de la nuit de Samuel Fuller, avec Bobby Di Cicco : Isabelle

1984 : Le Crime d'Ovide Plouffe de Denys Arcand avec Gabriel Arcand : Marie

1984 : Un été d'enfer de Michael Schock avec Thierry Lhermitte : Elisabeth Leroy

1986 : La Dernière Image de Mohammed Lakhdar-Hamina avec Michel Boujenah : Claire Boyer

1989 : Doux amer de Franck Apprederis avec Niels Arestrup et François Duval : Anne Lambert

 

Télévision

Téléfilms

 

1974 : Au théâtre ce soir : La Grande Roue de Guillaume Hanoteau, Mise en scène : Jacques Mauclair, Réalisation : Georges Folgoas, Théâtre Marigny

1975 : Qui j'ose aimer

1975 : Léopold le bien-aimé

1978 : Les Amours sous la Révolution : 4 dans une prison

1981 : Au théâtre ce soir : Pieds nus dans le parc de Neil Simon, Mise en scène : Pierre Mondy, Réalisation : Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny

1991 : Notre Juliette

1991 : La mort au bout des doigts avec Martin Sheen et Jacques Perrin

1991 : Softwar avec Bernard Le Coq

1991 : Mademoiselle Ardel

1991 : L'héritière, avec Bernard Le Coq, Patachou

1991 : Touch and die de Piernico Solinas, avec Martin Sheen : Catherine

1993 : Les Saigneurs d'Yvan Butler, avec Claude Giraud : Helen

1993 : Le silence du cœur, avec Claude Piéplu

1993 : Le ciel pour témoin, avec Jean Yanne

1994 : Une femme dans la tempête, avec François Dunoyer

1995 : L’enfant des rues de François Luciani, avec Pierre Vaneck

1995 : Charlotte et Léa de Jean-Claude Sussfeld, avec Zabou Breitman : Charlotte

1995 : Loin des yeux, avec Nicole Croisille, Nicole Jamet, Christian Brendel

1996 : Sud lointain, avec Bernard Yerlès, Xavier Deluc

1997 : C'est l'homme de ma vie de Pierre Lary, avec Philippe Caroit, Patrick Catalifo : Martine

1997 : Théo et Marie, avec Catherine Jacob

1998 : Pour mon fils de Michaëla Watteaux, avec Bruno Wolkowitch : Carole Lefèvre

1998 : C'est l'homme de ma vie

1998 : Manège de Charlotte Brändström, avec Jean-Yves Berteloot : Marine Dervin

2002 : La Source des Sarrazins de Denis Malleval, avec Patrick Catalifo : Béatrice de Lagny

2004 : Pardon d'Alain Schwarzstein, avec Guy Marchand

2013 : Le bonheur sinon rien ! de Régis Musset

 

Séries télévisées

 

1972 : Le Jeune Fabre, de Cécile Aubry, avec Medhi

1974 : Paul et Virginie : Virginie

1977 : Aurore et Victorien

1978 : Commissaire Moulin, épisode 11 : Intox

1981 : Pause café de Serge Leroy : Joëlle Mazart

1982 : Joëlle Mazart de Jean-Claude Charnay : Joëlle Mazart

1988 : Pause-café pause-tendresse de Serge Leroy : Joëlle Calvet

1995-2001 : Madame le Consul

1998 : Manège

2001-2003 : Docteur Claire Bellac (3 épisodes) : Claire Bellac

2006 : Les Secrets du volcan : Cristina Mahé

2007 : Commissaire Cordier, épisode 2 saison 3 : Scoop mortel d'Olivier Langlois : Fanny Vissac

2011 : Section de recherches, épisode 5 saison 5 : Sauveteurs : Eve

2014 : RIS police scientifique, épisode 5 saison 9 : La gorgone : Christine

2016 : Camping Paradis, épisode La colo au camping

2018 : Léo Matteï, Brigade des mineurs, saison 6 épisode 5 et 6 : Docteur Fabre

2019 : Philharmonia : Martine Badiou

Depuis 2019 : Demain nous appartient : Anne-Marie Lazzari (épisodes 504 à 624 & 815 à ...)

2021 : Léo Matteï, Brigade des mineurs, saison 8 : Docteur Fabre

 

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Madrange (années 1980)

Fruit d'or (2007), conçue par Vincent de Brus

Volvic au profit de l'UNICEF 1L=10L

Fruit d'or (2009)

 

Discographie
45 tours

1980 : On entre dans la vie, chanson de la série télévisée Pause café (en face B du générique Tous les enfants ont besoin de rêver)

1982 : J'ai fait l'amour avec la mer (Véronique Jannot/Pierre Bachelet) / Comédie comédie (Véronique Jannot/Jean-Pierre Lang/Pierre Bachelet)

1983 : C'est trop facile de dire je t'aime (Véronique Jannot/Pierre Bachelet/Bernard Levitte) / La première scène (Jean-Pierre Lang /Pierre Bachelet/F. Rolland/Bernard Levitte)

1984 : Désir, désir (parti 1 & 2) et J'étais comme ça : duos avec Laurent Voulzy (Alain Souchon/Laurent Voulzy)

1985 : Desire, desire (version anglaise)

1985 : Si t'as pas compris (Jean-Pierre Lang /Pierre Bachelet) / Vague à l'âme (Véronique Jannot/Pierre Bachelet)

1986 : Ma repentance (Gilles De Loonois/Pierre Bachelet/Bernard Levitte) / Fragile (Véronique Jannot/Michel Jouveaux/Bernard Levitte)

1988 : Mon héros préféré, chanson du générique de Pause-café pause-tendresse (Francis Lai/Pierre Grosz)

1988 : Aviateur (Alain Souchon/Laurent Voulzy) / Chagrin (Véronique Jannot/Laurent Voulzy)

1989 : Love me encore (Véronique Jannot/Michel Jouveaux/Romano Musumarra/Roberto Zanelli) / Reviens me dire (Romano Musumarra/Véronique Jannot/Michel Jouveaux)

 

Maxi 45 tours

 

1984 : Désir, désir, comprend en face A les deux chansons du 45 tours et en face B J'étais comme ça.

 

Albums et compilations

1988 : Aviateur (compilation)

2002 : Le meilleur de Véronique Jannot

2011 ː Best of Collector : Véronique Jannot (Le meilleur des années 80)

2012 : Tout doux..., chansons et comptines pour l'éveil musical des tout-petits (avec la participation de Yannick Noah, Henri Salvador, Natasha St-Pier, Gérard Lenorman, LIM, rappeur auteur de l'un des textes, et Philippe Besombes, compositeur)


Récompenses

 

1988 : Disque d'argent Argent pour le single Aviateur.

1998 : 7 d'or de la Meilleure comédienne dans un téléfilm pour C'est l'homme de ma vie.

 

Bibliographie
Livres

 

Derrière l'image (illustré par Piem), Carrère / Michel Lafon, 1986 (ISBN 2-86804-350-X)

Trouver le chemin, éd. Michel Lafon, 2005 (ISBN 978-2-74990257-9)

Trouver le chemin [archive] en livre audio lu par Véronique Jannot (2010), éd. Livrior

Dakinis, le Féminin de la Sagesse, film documentaire de 92 min écrit et réalisé par Véronique Jannot, coffret DVD et CD, 2010 Skanda Productions

Tibet, l'Espoir dans l'exil, avec le dessinateur Philippe Glogowski, Signe, 2011 (ISBN 978-2-74682627-4)

Au fil de l'autre, voir la vie autrement, éd. Michel Lafon, 2015, (ISBN 978-2749924458)

Préface

 

Hermès Garanger, Lama à 19 ans... Et après ? (éditions Claire Lumière), 2018

 

Prochain album

 

Un album de musique, En quelques mots, avait été annoncé initialement pour l'automne 2010, mais la sortie du double album DVD CD Dakinis, le Féminin de la Sagesse lui a été substituée.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/V%C3%A9ronique_Jannot

 

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7 mai : Décès

Publié à 12:57 par dessinsagogo55 Tags : centerblog prix sur merci saint homme blogs
7 mai : Décès

 

 

Décès

 

Paul Doumer
1932 : Paul Doumer, homme d'État français (° 22 mars 1857).


1989 : Guy Williams, acteur américain, ayant incarné Zorro dans la série télévisée (° 14 janvier 1924).

 

 

Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/7_mai
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7 mai : Naissances

Publié à 12:25 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog maison prix sur merci france homme enfants femme 2010 blogs
7 mai : Naissances

 

 

Naissances



Marie-George Buffet
1949 : Marie-George Buffet, femme politique française, secrétaire du PCF de 2001 à 2010.


1957 : Véronique Jannot, actrice française.

1976 : Sophie Thalmann, miss Lorraine 1997, miss France 1998.

 

 

Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/7_mai
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Siège d'Orléans (1428-1429)

Publié à 11:17 par dessinsagogo55 Tags : center nuit centerblog prix sur cheval merci vie france saint voyage mort fille demain dieu marne
Siège d'Orléans (1428-1429)

 

 

Le siège d’Orléans est un épisode majeur de la guerre de Cent Ans. Les Anglais sont prêts à prendre Orléans, verrou sur la Loire protégeant le sud de la France, mais la ville est sauvée par Jeanne d'Arc, qui renverse le cours de la guerre.

 

Contexte

 

Alors que les Anglais tiennent la moitié nord du royaume de France, le roi Charles VII garde le sud qui lui est resté fidèle. La Loire fait la frontière entre les deux. De rares ponts subsistent : Angers (défendu par son château et appartenant à Yolande d'Anjou), et Orléans (comptant 20 000 habitants et puissamment fortifiée). Pour qu’ils puissent attaquer le dauphin, il faut donc que les Anglais prennent une de ces villes.

 

Déroulement du siège

 

Le siège proprement dit est précédé, au cours de juillet 1428, de la prise par les Anglais de nombreux bourgs beaucerons entre Orléans et Paris, comme Angerville, Toury, Artenay ou Patay. L'encerclement progressif se poursuit en septembre et octobre par la prise de places fortes commandant la traversée de la Loire telles que Meung, Jargeau, Châteauneuf et Sully. Le village d'Olivet, au sud d'Orléans sur la route de Bourges, tombe le 7 octobre. Le 12 octobre 1428, les Orléanais peuvent encore sortir de la ville et assurer sa mise en défense par la démolition d'une arche du pont des Tourelles et du couvent des capucins situé à proximité de son extrémité sud. Le véritable siège commence les 23 et 24 octobre après la prise par les Anglais du « boulevard » et du fort des Tourelles commandant l'accès sud du pont et leur installation dans les ruines du couvent des capucins.

Le soir du 24 octobre, le comte de Salisbury, Thomas Montaigu, vient inspecter la forteresse conquise par ses troupes. En montant à l'une des tours, il reçoit un boulet de canon tiré par les Orléanais depuis la tour Notre-Dame. Touché à la tête, il décède quelques jours après

Entre le 8 novembre et le 29 décembre, les Orléanais commandés par le bailli Raoul de Gaucourt, achèvent la mise en défense de la ville par la démolition de l'ensemble des faubourgs et édifices non protégés par l'enceinte et pouvant servir d'abris aux Anglais. La collégiale Saint-Aignan est ainsi de nouveau abattue, 70 ans après sa première destruction préventive lors des raids anglais de 1358, et seulement huit après sa reconstruction en 1420.

En réponse, les Anglais encerclent la ville d'une série de neuf bastilles. Construites en avril 1429, les fortifications sont denses au nord-ouest, entre la Loire et la route de Paris (sept bastilles), mais quasiment absentes à l'est où l'on ne trouve que deux bastilles situées à plusieurs kilomètres de la ville, à Saint-Loup et à Saint-Jean-le-Blanc. Cette négligence du côté oriental peut être attribué au manque d'effectifs des troupes anglaises.

Le comte de Suffolk, William de la Pole, prend la suite de Salisbury, avant d'être remplacé par John Talbot, comte de Shrewsbury. La garnison anglaise qui occupe les Tourelles est elle-même assiégée par des soldats français. Les Bourguignons qui participaient au siège se retirent à la suite d'une mésentente sur le sort de la ville. Néanmoins à la suite de la désastreuse « journée des Harengs », où les troupes franco-écossaises manquent lamentablement leur offensive sur un convoi de ravitaillement, les troupes françaises sont démoralisées et n'ont plus aucune initiative.

 

L'arrivée de Jeanne

 

Pendant des années, de vagues prophéties avaient circulé en France au sujet d'une jeune fille qui sauverait la France. Beaucoup de ces prophéties prédisaient qu'une jeune fille en armure viendrait des frontières de la Lorraine, où est situé Domrémy, lieu de naissance de Jeanne. En conséquence, quand la nouvelle atteignit les habitants d'Orléans assiégés à propos du voyage de Jeanne pour voir le roi, les attentes et les espoirs étaient grands.

Accompagnée d'une escorte fournie par Robert de Baudricourt, Jeanne arrive vraisemblablement à Chinon le 23 février 1429 afin d'y rencontrer le roi. Après l'avis positif des clercs de Poitiers à la suite de l'examen théologique de Jeanne, le dauphin accepta ses services le 22 mars. On lui donna une armure, une bannière, un page, et des hérauts.

La première mission de Jeanne était de rejoindre un convoi de ravitaillement qui se rassemblait à Blois, sous le commandement de Jean de Brosse, maréchal de Boussac, et de Gilles de Rais, ravitaillant Orléans. C'est de Blois que Jeanne envoya ses missives célèbres aux commandants anglais qui dirigeaient le siège. Dans ces textes, elle se désigne elle-même comme « La Pucelle ». Elle donnait cet ordre aux Anglais : « Au nom de Dieu », « Retirez-vous, ou je vous ferai partir ».

 

Le convoi de ravitaillement, escorté par environ 500 soldats, quitta Blois le 27 ou le 28 avril, ressemblant à une procession religieuse. Jeanne avait insisté pour que l'approche d'Orléans se fasse par le nord (à travers la Beauce), où les forces anglaises étaient concentrées, dans le but de les attaquer immédiatement. Mais les commandants décidèrent de prendre un détour par le sud (à travers la Sologne) sans en parler à Jeanne. Le convoi atteignit la rive sud de la Loire à Rully (près de Chécy), environ 7 km à l'est de la ville.

Le commandant d'Orléans, Jean de Dunois, dit Dunois ou « le bâtard d'Orléans », vint à leur rencontre après avoir traversé la rivière. Jeanne fut indignée par cette dissimulation et cette perte de temps, et ordonna une attaque immédiate sur Saint-Jean-le-Blanc, le fort anglais le plus proche sur la rive sud. Mais Dunois, soutenu par les autres commandants, protesta. Avec difficulté, son avis prévalut sur celui de Jeanne. La ville devait être ravitaillée avant tout assaut. Le convoi approcha des rives de Port Saint-Loup, en face du fort anglais de Saint-Loup, situé sur la rive nord. Pendant que des unités françaises empêchaient la garnison anglaise de Saint-Loup d'intervenir, une flotte de bateaux venue d'Orléans approcha du convoi pour ramener dans la ville le ravitaillement, Jeanne elle-même et 200 soldats.

L'un des miracles les plus connus de Jeanne fut rapporté comme ayant eu lieu à cet endroit : le vent qui avait amené les bateaux en amont s'inversa brutalement, ce qui leur permit de retourner à Orléans sans dommage sous le couvert de l'obscurité. Jeanne entra triomphalement dans la ville, le 29 avril, autour de 20 heures, ravivant tous les espoirs.

 

La levée du siège

 

 
Entrée de Jeanne d'Arc à Orléans par Jean-Jacques Scherrer (1887)

Durant les deux jours qui suivirent, pour galvaniser les habitants d'Orléans, Jeanne défila périodiquement dans les rues de la ville, distribuant de la nourriture aux gens et leur solde aux soldats de la garnison. Jeanne envoya également des messagers aux garnisons anglaises, exigeant leur départ. Les commandants anglais accueillirent les envoyés de Jeanne par des huées et des injures. Certains menacèrent même de tuer les messagers comme « émissaires d'une sorcière ».

Jeanne participa aux conseils de guerre avec Dunois et les autres commandants français. Le Journal du siège d'Orléans, selon les écrits de Régine Pernoud, rapporte plusieurs discussions enflammées à propos de la semaine à venir, entre Jeanne et Dunois.

Estimant la garnison trop petite pour toute action, Dunois laissa la ville, le 1er mai, sous la responsabilité de La Hire et de Jeanne. Il se rendit personnellement à Blois pour rassembler des renforts. Pendant cet intermède, Jeanne sortit des murs de la ville et inspecta toutes les fortifications anglaises personnellement. Elle fut copieusement injuriée par les défenseurs anglais. C'est lors de cette inspection que le commandant anglais des Tourelles, William Glasdale, l'injuria du haut du fort en la traitant de « putain des Armagnacs ».

Le 3 mai, le convoi de renforts de Dunois quitta Blois pour se diriger vers Orléans. Dans le même temps, d'autres convois de troupes partirent de Montargis et de Gien en direction d'Orléans. Le convoi de Dunois arriva, à travers la Beauce, à la rive nord de la rivière, au matin du 4 mai, parfaitement visible depuis le fort anglais de Saint-Laurent. Les Anglais ne tentèrent rien pour empêcher l'entrée du convoi, le jugeant trop puissant. Jeanne sortit de la ville pour escorter le convoi.

 

L'assaut sur le fort Saint-Loup

 

À midi, le même jour (4 mai 1429), apparemment pour sécuriser l'entrée de plusieurs autres convois de ravitaillement, qui avaient pris l'habituelle voie détournée, par l'est, Dunois lança une attaque sur le fort anglais de Saint-Loup avec les troupes venues de Montargis et de Gien. Jeanne, n'ayant pas été prévenue de l'assaut et faisant une sieste, fut réveillée en sursaut par son page. Elle se précipita avec son étendard

La garnison anglaise de 400 hommes fut submergée par les 1 500 attaquants français. Espérant créer une diversion, le commandant anglais, lord John Talbot, lança une attaque depuis Saint-Pouair, à l'extrémité nord d'Orléans, mais elle fut stoppée par une sortie française. Après quelques heures de combat, Saint-Loup tomba. Il y eut 140 Anglais tués et 40 prisonniers. Certains défenseurs anglais furent capturés dans les ruines d'une église à proximité. Ils eurent la vie sauve à la demande de Jeanne. Apprenant que Saint-Loup était tombé, Talbot cessa son assaut au nord.

 

L'assaut sur le fort des Augustins

 

Le jour suivant, le 5 mai, était le jour de l'Ascension. Jeanne voulait une attaque sur le plus puissant fort anglais, le fort de Saint-Laurent à l'ouest. Mais les commandants français, jugeant que leurs hommes avaient besoin de repos, imposèrent leur point de vue et permirent à leurs troupes d'honorer le jour de fête en paix). Pendant la nuit, au cours d'un conseil de guerre, il fut décidé que la meilleure façon de procéder était de prendre les bastions anglais de la rive sud, là où les Anglais étaient les plus faibles.

L'opération débuta tôt dans la matinée du 6 mai. Les habitants d'Orléans, depuis que Jeanne leur avait redonné espoir, voulaient à tout prix participer à la libération de leur ville. Ils créèrent une milice qui se présenta aux portes pour rejoindre l'armée, mettant les commandants français dans l'embarras. Cependant, Jeanne réussit à les convaincre de laisser la milice se joindre à l'armée régulière. Les Français, avec Jeanne, traversèrent la Loire sur des bateaux et barges, et accostèrent sur l'île Saint-Aignan. Puis, de là, ils arrivèrent à la rive sud par un pont de bateau, sur le tronçon entre le pont et le fort de Saint-Jean-le-Blanc. Le plan consistait à isoler et à attaquer le fort de Saint-Jean-le-Blanc depuis l'ouest. Mais le commandant anglais de la garnison, William Glasdale, avait compris l'intention des Français. Il avait déjà détruit Saint-Jean-le-Blanc, et concentré ses troupes dans l'ensemble central Boulevard-Tourelles-Augustins.

Avant que les Français aient pu correctement débarquer sur la rive sud, on rapporte que Jeanne d'Arc aurait lancé une attaque brutale sur le point d'appui du Boulevard. Cet assaut faillit tourner au désastre, car les attaquants étaient exposés aux tirs de flanc des Anglais depuis les Augustins. L'assaut cessa quand des cris retentirent. On entendit que la garnison anglaise du fort de Saint-Privé, plus à l'ouest, avait fait une sortie pour renforcer Glasdale et les prendre en tenaille. La panique s'empara des Français, et ils s'enfuirent du Boulevard vers les rives, emmenant Jeanne avec eux. Voyant la « sorcière » s'enfuir et le « sortilège » être brisé, la garnison de Glasdale sortit pour engager la poursuite. Mais, selon la légende, Jeanne, seule, fit demi-tour, leva son étendard et cria « Ou Nom De » (« Au nom de Dieu »), ce qui aurait été suffisant pour impressionner les Anglais, stopper leur poursuite et les faire revenir au Boulevard. Les troupes françaises en fuite firent demi-tour et se rallièrent à elle.

Les soldats français reprennent l'attaque sur le fort avancé des Augustins. Après de violents combats qui durèrent toute la journée, les Augustins furent finalement pris juste avant la nuit.

Avec les Augustins aux mains des Français, la garnison de Glasdale était bloquée dans l'ensemble Boulevard-Tourelles. Cette même nuit, ce qui restait de la garnison anglaise de Saint-Privé évacua le fort et traversa la rivière pour rejoindre leurs camarades de Saint-Laurent. Glasdale était isolé, mais il pouvait compter sur une garnison anglaise de 700 à 800 hommes, aguerrie et solidement établie dans un puissant bastion.

 

L'assaut sur le fort des Tourelles

 

 

Jeanne avait été blessée au pied lors de l'attaque des Augustins, et retourna à Orléans le soir même pour récupérer. Par conséquent, elle ne put participer au conseil de guerre qui eut lieu dans la soirée. Le lendemain matin, le 7 mai, on lui demanda de ne pas prendre part à l'assaut final sur l'ensemble Boulevard-Tourelles. Elle refusa et se leva pour rejoindre le camp français, sur la rive sud, à la grande joie des habitants d'Orléans12. En la voyant, d'autres habitants se portèrent volontaires, et se mirent à réparer le pont avec des poutres pour permettre une attaque par les deux côtés à la fois. Des pièces d'artillerie furent positionnées sur l'île de Saint-Antoine, et entrèrent en action.

Le gros de la journée passa, marqué par un bombardement inutile et des tentatives de sape des fondements de l'ensemble, avec des mines. Des barges en feu furent lancées vers le fort, sans plus de succès. Le soir approchait. Dunois et les autres commandants avaient décidé de lancer l'assaut final le lendemain. Informée de cette décision, Jeanne demanda son cheval et partit pour un temps de prière silencieuse. Puis elle revint au camp, attrapa une échelle et lança elle-même l'assaut frontal sur le Boulevard lui-même. D'après des témoignages, elle aurait crié aux soldats français : « Tout est vostre, et y entrez ! »

Les soldats français se précipitèrent derrière elle, amenant en masse des échelles dans le Boulevard. Jeanne fut blessée à l'épaule, au début de l'assaut, par un carreau d'arbalète, et fut emmenée à la hâte vers l'arrière. Les rumeurs de sa mort firent remonter le moral des défenseurs anglais et descendre celui des Français. Mais, selon des témoignages, elle retira elle-même la flèche, et, en dépit de sa blessure, réapparut rapidement dans les lignes françaises, donnant un nouvel élan aux attaquants. (Dans son témoignage au procès de réhabilitation, Jean Pasquerel, le confesseur de Jeanne, a déclaré que Jeanne elle-même eut une sorte de prescience de cet événement, indiquant la veille de l'attaque que « demain le sang coulera de mon corps au-dessus de ma poitrine. »)

Les Français repoussèrent les Anglais hors du Boulevard dans le dernier bastion des Tourelles. Mais le pont-levis étant abaissé, le passage était ouvert. Glasdale tomba dans la rivière et périt. Les Français accentuèrent leur pression contre les Tourelles elles-mêmes, des deux côtés, car le pont avait été réparé. Les Tourelles, à moitié en feu, furent finalement prises dans la soirée.

Les pertes anglaises étaient lourdes. En comptant d'autres actions au cours de la journée (notamment l'interception des renforts anglais se précipitant à la rescousse), les Anglais avaient subi près d'un millier de tués et 600 prisonniers. Par ailleurs, 200 prisonniers français furent trouvés dans le fort et libérés.

 

Fin du siège

 

Avec l'ensemble Boulevard-Tourelles pris, les Anglais avaient perdu la rive sud de la Loire. Il n'y avait plus d'intérêt à poursuivre le siège, puisque Orléans pouvait maintenant être facilement ravitaillée. Dans la matinée du 8 mai, les troupes anglaises sur la rive nord, toujours sous le commandement du comte de Suffolk et de lord John Talbot, firent démolir les forts extérieurs et s'assemblèrent en ordre de bataille dans les champs près de Saint-Laurent.

L'armée française, sous le commandement de Dunois, s'aligna devant eux. Le face-à-face dura environ une heure, avant que les Anglais ne se retirèrent pour rejoindre d'autres unités anglaises à Meung, Beaugency et Jargeau. Certains des commandants français proposèrent alors une attaque pour détruire l'armée anglaise démoralisée, immédiatement. Jeanne d'Arc l'a interdit du fait que l'on était un dimanche.

 

Suites

 

Les Anglais ne se considéraient pas comme battus. Bien qu'ils aient subi un revers et des pertes énormes à Orléans même, le périmètre entourant l'Orléanais — Beaugency, Meung, Janville, Jargeau — était encore entre leurs mains. En effet, il était possible pour les Anglais de se réorganiser et de reprendre le siège d'Orléans lui-même peu de temps après, cette fois peut-être avec plus de succès, puisque le pont était maintenant réparé, et donc plus vulnérable à un assaut.

La priorité de Suffolk, ce jour-là (8 mai), était de sauver ce qui restait des troupes anglaises. Les commandants français voulaient également prendre le temps de remettre en état leurs troupes, sauf Jeanne qui voulait tout de suite pousser l'avantage chèrement acquis. Quittant Orléans, elle rencontra le dauphin Charles vers Tours le 13 mai, pour lui faire un rapport de sa victoire. Elle appela immédiatement à une marche au nord-est, en Champagne, vers Reims, ville des sacres, mais les commandants français savaient qu'ils devaient d'abord déloger les Anglais de leurs dangereuses positions sur la Loire.

La campagne de la Loire commença quelques semaines plus tard, après une période de repos et l'arrivée de renforts. L'arrivée de nouveaux volontaires, de nouvelles armes et de vivres galvanisa l'armée française, impatiente de servir sous la bannière de Jeanne. Même le connétable Arthur de Richemont, ostracisé, fut finalement autorisé à participer à la campagne (c'est lui qui, en 1436, reprit Paris aux Anglais). Après une série de sièges brefs et les batailles de Jargeau (12 juin), Meung (14 juin) et Beaugency (16 juin), la Loire était à nouveau aux mains des Français.

Une armée de renforts anglais se précipita de Paris, sous les ordres de John Talbot. Elle fut défaite à la bataille de Patay peu de temps après (18 juin). Ce fut la première victoire significative sur le terrain pour les armes françaises depuis des années. Les commandants anglais, le comte de Suffolk et lord Talbot, furent faits prisonniers au cours de cette campagne. Ce ne fut qu'après toutes ces victoires que le dauphin Charles se sentit suffisamment en sécurité pour accéder à la demande de Jeanne, la marche sur Reims.

Après quelques préparatifs, la marche sur Reims commença à Gien le 29 juin, le dauphin suivant Jeanne et l'armée française à travers le territoire de Champagne, dangereusement occupé par les Bourguignons. Bien qu'Auxerre (1er juillet) fermât ses portes et refusât l'entrée, Saint-Florentin (3 juillet) le fit, après quelque résistance, ainsi que Troyes (11 juillet) et Châlons-sur-Marne (15 juillet). Ils arrivèrent à Reims le lendemain et le dauphin Charles, avec Jeanne à ses côtés, fut finalement sacré roi de France, sous le nom de Charles VII, le 17 juillet 1429.

 



Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Si%C3%A8ge_d%27Orl%C3%A9ans_(1428-1429)

 
 
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Marcel Amont : Le Mexicain

Publié à 22:31 par dessinsagogo55 Tags : center merci centerblog sur moi homme travail air dieu nuit
Marcel Amont : Le Mexicain

 

 
 
 
Paroles
 
Rrrr ay ay ay
Vamos a cantar la cancion d'el mexicano
Con il sombrero
 
Un Mexicain basané
Est allongé sur le sol
Le sombrero sur le nez
En guise, en guise, en guise, en guise, en guise, en guise de parasol
Rrrr ay
 
Il n'est pas loin de midi d'après le soleil
C'est formidable aujourd'hui ce que j'ai sommeil
L'existence est un problème à n'en plus finir
Chaque jour, chaque nuit c'est la même: il vaut mieux dormir
 
Rien que trouver à manger, ce n'est pourtant là qu'un détail
Mais ça suffirait à pousser un homme au travail, ay, ay, ay, ay, ay
J'ai une soif du tonnerre, il faudrait trouver
Un gars pour jouer un verre en trois coups de dés
 
Je ne vois que des fauchés tout autour de moi
Et d'ailleurs ils ont l'air de tricher aussi bien que moi
Et pourtant j'ai le gosier comme du buvard, du buvard
Ça m'arrangerait bougrement s'il pouvait pleuvoir, rrrrr
 
Un Mexicain basané
Est allongé sur le sol
Le sombrero sur le nez
En guise, en guise, en guise, en guise, en guise, en guise, en guise, en guise, en guise de parasol
Ouille, ouille, ouille, ouille, ouille
 
Voici venir Cristobal, mon Dieu qu'il est fier
C'est vrai qu'il n'est général que depuis hier
Quand il aura terminé sa révolution
Nous pourrons continuer tous les deux la conversation
 
Il est mon meilleur ami, j'ai parié sur lui dix pesos
Et s'il est battu je n'ai plus qu'à leur dire adios, a-a-a-a-a-ay
On voit partout des soldats courant dans les rues
Si vous ne vous garez pas ils vous marchent dessus, ay
 
Et le matin quel boucan, sacré non de nom
Ce qu'ils sont agaçants, énervants, avec leurs canons
Ça devrait être interdit un chahut pareil à midi
Quand il y a des gens, sapristi, qui ont tant sommeil, rrrr
 
Un Mexicain basané
Est allongé sur le sol
Le sombrero sur le nez
En guise, en guise, en guise, en guise, en guise, en guise
Que el sombrero
En guise, en guise, en guise, en guise, en guise, en guise
Allez coucher
En guise, en guise, en guise, en guise, en guise, en gui-
-Ui-
-Se de parasol
 
A-ay
 
 
Source : Musixmatch
Paroliers : Jacques Plante / Charles Aznavour
 

https://youtu.be/CyDTvQKUb8c

 

 

 

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Clémence Bringtown : Les rois mages

Publié à 21:27 par dessinsagogo55 Tags : google center bleu centerblog sur merci monde voyage
Clémence Bringtown : Les rois mages

 

 

 

 

Paroles 

 

Comme les Rois Mages en Galilée
Suivaient des yeux l´étoile du Berger
Je te suivrai, où tu iras j´irai
Fidèle comme une ombre jusqu´à destination

Comme les Rois Mages en Galilée
Suivaient des yeux l´étoile du Berger
Comme Christophe Colomb et ses trois caravelles
Ont suivi le soleil avec obstination

Plaise au ciel que j´ouvre mes fenêtres
Le matin au bord d´un étang bleu
Plaise au ciel que rien ne nous arrête
Dans ce monde aventureux

Comme les Rois Mages en Galilée
Suivaient confiants l´étoile du Berger
Mon Amérique, ma lumière biblique
Ma vérité cosmique, c´est de vivre avec toi

Comme les Rois Mages en Galilée
Suivaient des yeux l´étoile du Berger
Je te suivrai, où tu iras j´irai
Fidèle comme une ombre jusqu´à destination

Plaise au ciel que s´ouvrent les nuages
L´éclaircie dévoile le chemin
Plaise au ciel qu´au terme du voyage
Son triomphe soit le mien

Comme les Rois Mages en Galilée
Suivaient confiants l´étoile du Berger
Comme Christophe Colomb et ses trois caravelles
Ont suivi le soleil avec obstination

 
Comme les Rois Mages en Galilée
Suivaient des yeux l´étoile du Berger
Je te suivrai, où tu iras j´irai
Fidèle comme une ombre jusqu´à destination

Comme les Rois Mages en Galilée
Suivaient des yeux l´étoile du Berger
Je te suivrai, où tu iras j´irai
Fidèle comme une ombre jusqu´à destination

Comme les Rois Mages en Galilée
Suivaient des yeux l´étoile du Berger
Je te suivrai, où tu iras j´irai
Fidèle comme une ombre jusqu´à destination

 

 

 

https://youtu.be/8NwZeVLwLfk

 

 

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Paul Doumer

Publié à 20:04 par dessinsagogo55 Tags : center enfants mort centerblog sur merci vie france monde sport homme centre
Paul Doumer

 

Joseph Athanase Doumer, dit Paul Doumer, né le 22 mars 1857 à Aurillac (Cantal) et assassiné le 7 mai 1932 à Paris, est un homme d'État français. Il est président de la République du 13 juin 1931 à sa mort.

 

Issu d'un milieu modeste, il travaille dès l'âge de douze ans, comme coursier puis ouvrier graveur. En parallèle, il obtient une licence en mathématiques et devient enseignant. Il est également journaliste dans l'Aisne et à Paris.

 

Entré en politique comme radical, il s'éloigne de la gauche à partir de la fin des années 1890. Il est plusieurs fois élu député entre 1888 et 1910, alternativement pour l'Aisne et l'Yonne. Partisan du colonialisme, il occupe de 1897 à 1902 la fonction de gouverneur général de l'Indochine française — dont il assainit les finances publiques et où il lance d'importants travaux, notamment le Transindochinois et le chemin de fer du Yunnan.

 

Entre 1895 et 1926, il est ministre des Finances à trois reprises. À ce titre, il porte en 1896 un projet de loi visant à instaurer l'impôt sur le revenu, qui se heurte à l'opposition du Sénat, et cherche invariablement à atteindre l'équilibre budgétaire. Élu président de la Chambre des députés en 1905, il se présente sans succès à l'élection présidentielle de l’année suivante face à Armand Fallières. Battu aux élections législatives de 1910, il se consacre au monde des affaires.

 

Lors de la Grande Guerre — qui coûte la vie à quatre de ses cinq fils —, il dirige le cabinet civil du gouvernement militaire de Paris, puis est nommé ministre d'État et membre du comité de guerre. Ministre des Finances après la victoire de 1918, il adopte une attitude intransigeante sur les réparations de guerre dues par l'Allemagne. Sénateur de la Corse à partir de 1912, il est un temps président de la commission des Finances et devient président du Sénat en 1927.

 

En 1931, se présentant une nouvelle fois à la présidence de la République, il devance au premier tour le républicain-socialiste et pacifiste Aristide Briand puis l’emporte face à Pierre Marraud, grâce notamment au soutien du centre et de la droite. En tant que chef de l'État, Paul Doumer se montre partisan d'un renforcement de la puissance militaire française, appelle à l'unité nationale et critique l'attitude partisane des partis politiques.

 

Moins d'un an après le début de son septennat, alors qu'il inaugure un salon d'écrivains anciens combattants, il est assassiné au moyen d’une arme à feu par Paul Gorgulov, un immigré russe aux motivations confuses qui sera exécuté par la suite.

 

 
 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Doumer

 
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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