Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
18.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Actualité française
1956 | janvier |
02/01/56 | élections législatives. |
Victoire du Front républicain (SFIO, radicaux). Effondrement des républicains sociaux (ex-RPF). Percée et montée du poujadisme avec l'entrée de ce mouvement au Parlement. Jean-Marie Le Pen, élu sous étiquette poujadiste, entre à l'Assemblée nationale comme le plus jeune député. | |
24/01/56 | fin du gouvernement Edgar Faure (2). René Coty propose à Mendès France de former un nouveau gouvernement. Celui-ci refuse et propose Guy Mollet, secrétaire général de la SFIO. |
24/01/56 | décret instituant le Code de la famille et de l'aide sociale. |
25/01/56 | sortie de la Dauphine par Renault . |
L'effectif militaire français déployé en Algérie, initialement très faible (100 000 hommes), va grossir très rapidement sous la présidence de Guy Mollet avec l'appel du Contingent. |
1956 | février |
01/02/56 au 28/02/56 | vague de froid exceptionnelle. Les températures descendent sous les −20 °C dans une grande partie de la France. De gros dégâts se produisent dans les cultures. |
01/02/56 | investiture par 420 voix contre 71 du gouvernement Guy Mollet, le plus long de la IVe République (prend fin le 21 mai 1957). |
06/02/56 | Guy Mollet est accueilli par des tomates lors de sa visite en Algérie (épisode des "tomates d'Alger"). Celui-ci renonce alors à nommer le Général Catroux comme ministre résident, cédant devant la manifestation des Algérois. |
15/02/56 | incidents à l'Assemblée nationale lors de l'invalidation de députés poujadistes. |
25/02/56 | remplacement du général Catroux par Robert Lacoste au poste de ministre résidant en Algérie et instauration du collège unique. |
26/02/56 | arrêt de la Cour de cassation : Nul ne doit être passible de peine qu’à raison de fait personnel. |
28/02/56 | troisième semaine de congés payés; |
28/02/56 | exécution d'Émile Buisson, « ennemi public no 1 ». Né le 19 août 1902 à Paray-le-Monial, on lui reproche 20 meurtres et une centaine de hold-up au cours de sa carrière. Il avait été arrêté par l'inspecteur Roger Borniche. |
1956 | mars |
Une directive du ministère des Finances énonce : « La loi fiscale doit être appliquée. Nous ne pouvons envisager de mesure de clémence tant que se poursuivent les mouvements d'opposition fiscale » alors que les fonctionnaires s'attendent à une recrudescence des incidents lors des contrôles fiscaux ; les petits commerçants de l'UDCA faisant la chasse aux polyvalents. | |
Du pétrole est trouvé à Parentis et du gaz naturel à Lacq. | |
Les protectorats du Maroc et de Tunisie se voient accorder leur indépendance sans combat. | |
01/03/56 | France / Vatican : par une lettre, le pape Pie XII accorde sa bénédiction apostolique et une contribution financière personnelle pour la construction de la basilique souterraine, église Saint-Pie X de Lourdes, le chantier s'ouvre dès le 18 mars. |
08/03/56 | fondation de la Maternité heureuse par Marie-Andrée Lagroua Weill-Hallé et Évelyne Sullerot |
12/03/56 | Le parlement vote par 465 voix contre 49 des pouvoirs spéciaux législatif au gouvernement pour maintenir l'ordre en Algérie. |
12/03/56 | Le Gouvernement Guy Mollet demande et obtient le vote des pouvoirs spéciaux : « Le gouvernement disposera en Algérie des pouvoirs les plus étendus pour prendre toutes les mesures exceptionnelles commandées par les circonstances, en vue du rétablissement de l'ordre, de la protection des personnes et des biens et de la sauvegarde du territoire ». |
12/03/56 | Le président du Conseil, Guy Mollet cosigne avec le ministre de la Défense, Bourgès-Maunoury, celui de la Justice, François Mitterrand, et Robert Lacoste — gouverneur général de l'Algérie — un décret relatif à l'application de la justice militaire en Algérie. Ce décret donne les pleins pouvoirs à l'armée. 250 000 hommes supplémentaires sont envoyés en Algérie afin d'assurer le « quadrillage » de la population que Robert Lacoste réclamait depuis son arrivée en Algérie. |
20/03/56 | la Tunisie et le Maroc accèdent à leur indépendance. Loi cadre Deferre amorçant la décolonisation de l'Afrique noire |
27/03/56 | vote du 2e plan pour la modernisation et l'équipement économique. La comptabilité nationale est utilisé comme base à l'orientation des investissements avec des recommandations applicables à des actions de base : la recherche scientifique, la diffusion des méthodes modernes dans l'agriculture, la spécialisation et l'adaptation des entreprises industrielles, la reconversion de la main-d'œuvre et l'organisation des marchés. Le plan prévoit une poursuite rapide de l'expansion économique. |
1956 | juin |
20/06/56 | emprunt national. |
23/06/56 | adoption de la loi-cadre Defferre qui instaure notamment le suffrage universel direct et le collège unique dans tous les territoires d’outre-mer. |
28/06/56-30/06/56 | 48e congrès national de la SFIO à Lille. |
30/06/56 | loi fiscale créant d'un Fonds national de solidarité visant à financer un revenu minimum pour les personnes âgées. Son coût, estimé à 140 milliards de francs français, est couvert par une majoration des impôts existants pour 110 milliards et par la création d'une Vignette auto (recettes supplémentaires de 32 milliards de francs), ce qui irrite les automobilistes déjà lourdement taxés par la carte grise et par la taxe sur l'essence d'un montant de 233 %. Le gouvernement rompt pour la première fois le principe d’universalité du budget en affectant directement les nouvelles recettes fiscales au financement exclusif du Fonds de solidarité. |
L'abattement sur l'impôt est étendu aux salaires hérités de la guerre, ce qui accroît considérablement les dépenses fiscales de l'Etat. | |
L'impôt sur le revenu est majoré de 10 % (taxe proportionnelle pour les bas revenus, majoration de 10 % de la surtaxe progressive pour les hauts revenus). Les droits de timbre sont majorés de 20 %. La taxe sur les opérations boursières et la taxe sur les alcools augmentent de 50 %. Les droits de succession deviennent imposables suivant un barème de 1 à 5 %. | |
La situation budgétaire du pays devient dramatique devant les engagements sociaux et militaires auxquels doit faire face la IVe République. Prévues à l'origine à 300 milliards de francs, les dépenses militaires du conflit algérien s’élèvent à plus de 600 milliards et en dépit de l’alourdissement de la pression fiscale, le besoin de financement de l'État se creuse. L’ensemble des dépenses militaires représente alors près de 1 400 milliards de francs courants sur un engagement budgétaire total de plus de 4 600 milliards de francs. |
1956 | juillet |
18/07/56-21/07/56 | XIVe congrès du PCF au Havre. |
Parmi les 2 000 000 de jeunes appelés sous les drapeaux pour partir en Algérie, le ministère du travail estime qu'il y a notamment 50 000 ouvriers spécialisés dont l'industrie et le bâtiment vont avoir beaucoup de mal à se passer. Il est envisagé d'augmenter la durée légale du travail pour compenser la pénurie de main d'œuvre si l'exode rural qui pourtant est conforme aux objectifs du troisième Plan de modernisation ne suffit pas à éviter de grosses tensions sur le marché de l'emploi. | |
400 000 hommes déployés en Algérie. |
1956 | août |
02/08/56 | l'alourdissement des dépenses militaires et le dérapage global des dépenses de l'État obligent au recours à de nouveaux prélèvements fiscaux. Majoration de l'impôt sur les sociétés (qui passe à 41,8 %), des droits de succession et de la TVA sur les produits de luxe (qui passe à 35 %). Ces mesures doivent accroître les recettes fiscales de 100 milliards de francs. Émission d'un nouvel emprunt de 150 milliards de francs. |
04/08/56 | le gouvernement crée une taxe sur les automobiles, la vignette, afin de financer les retraites. Elle sera supprimée par Laurent Fabius (2000). Cette taxe est contestée dès sa mise en œuvre à cause de son faible rendement (32 milliards de francs au lieu de 64), de son injustice (frappant tous les véhicules sans exception) et de son incidence économique contestable (chute des ventes de véhicules lors des premières années) |
09/08/56 | loi portant amnistie de certaines infractions commises en Tunisie. |
1956 | septembre |
10/09/56 | Guy Mollet se rend à Londres afin de proposer une union politique entre la France et le Royaume-Uni. |
Emprunt national sur les cours de la bourse, fixé au taux de 5 %, remboursable en 15 ans. | |
19/09/56 | Ouverture du premier Congrès des écrivains et artistes noirs à la Sorbonne |
1956 | novembre |
Maurice Moucheraud Champion olympique de la course par équipes (avec Arnaud Geyre et Michel Vermeulin) | |
07/11/56 | violentes manifestations anticommunistes à Paris pour protester contre l’intervention soviétique en Hongrie. Jean-Paul Sartre rompt avec le parti communiste français. |
21/11/56 | le Comité central du parti communiste approuve l’intervention soviétique en Hongrie. |
29/11/56 | mise en place du rationnement de l'essence. |
1956 | décembre |
03/12/56 | affaire Guy Desnoyers. |
26/12/56 | affaire Vincendon et Henry. |
la difficile lutte de la République française contre le FLN entraîne la mobilisation du contingent en métropole : 221 000 hommes supplémentaires déployés sur le territoire algérien. |
Économie | |
1 franc français de 1956 = 0,01709 euro de 2002 | |
En mai, le ministre de l'économie Paul Ramadier lance « l'emprunt du progrès » indexé sur la production industrielle nationale, avec un taux de base annuel de 5 % sur 15 ans, devant être augmenté de 0,5 % chaque fois que l'indice de la production industrielle gagne 1 %. L'emprunt est couvert en quatre semaines pour un montant de 80 milliards de francs (750 milliards d'euros). | |
La crise économique, couplée à la hausse des dépenses militaires et des investissements publics provoque un important dérapage des dépenses de l'État et du déficit qui passe de 495 à 770 milliards de francs. | |
En octobre, est lancé un autre emprunt national, indexé cette fois sur les cours de la bourse. Il rapporte 320 milliards de francs (2 990 milliards d'euros). | |
3 880 milliards de francs de recettes budgétaires | |
4 650 milliards de francs de dépenses de l'État, dont 30 % affecté à l'armée, 20 % au social, 20 % aux dépenses intérieures (instruction, justice...), 13 % aux investissements, 17 % à la dette |
Société | |
L'hiver est particulièrement rude dans le sud de la France, on mesure des températures allant jusqu'à −30 °C. Seul un tiers des oliviers survivront ; la plupart des moulins à huile ferment. | |
Création du fonds national de solidarité, minimum vieillesse alimenté par la Vignette automobile. | |
Création de l'Examen spécial d'entrée à l'université. | |
Le programme social du gouvernement Mollet accroît de 260 milliards de francs les dépenses de l’État. |
Guerre d'Algérie | |
1 405 milliards de francs, soit 7,5 % du PIB, sont affectées au financement des dépenses militaires dont 43 % est absorbé par le conflit algérien. | |
En l'espace d'un an, les effectifs déployés sur le terrain passe de 100 000 à 250 000 hommes avec l'appel du contingent. | |
Les dépenses militaires ont augmenté de 50 % en 2 ans et représentent 30 % du budget de l'État. | |
L'armée reçoit des pouvoirs spéciaux en Algérie pour lutter contre le terrorisme du FLN. |
La Renault Dauphine est un modèle automobile qui a été fabriqué par Renault dans l'usine de Flins (Yvelines) à partir de mars 1956 jusqu'en 1967.
La voiture fut conçue par le bureau d'études Renault dans les années 1950 pour épauler la 4CV.
Cette voiture fut la plus vendue en France de 1957 à 1961 et la première voiture européenne fabriquée en Argentine (1960 - 1970). Au Brésil elle a été fabriquée par « Willys Overland do Brasil » de 1959 à 1968. Toutefois, Renault connut un échec lors de sa commercialisation aux États-Unis en négligeant trop la qualité de fabrication, les services après-vente et la disponibilité des pièces détachées
Il s'agit d'une petite berline à 4 portes à moteur arrière placé en porte à faux en arrière de l'essieu, qui fut ainsi nommée car la « reine des ventes » était alors la 4CV. La Dauphine fut conçue par l'ingénieur Fernand Picard et dessinée avec l'aide du styliste italien Ghia, notamment pour l'intégration des 2 entrées d'air pour le refroidissement du moteur, situées en avant des deux ailes arrière juste derrière les portes arrière. La roue de secours est logée derrière un portillon sous le coffre à l'avant.
Plusieurs déclinaisons de série de la Dauphine furent produites :
Une version plus cossue : l'Ondine.
Une version sportive : la Dauphine Gordini.
Un coupé et un cabriolet : les Floride et Caravelle.
Un modèle pour la course (homologué sur la route) : la Dauphine 1093.
Caractéristiques de base (modèle 1956)
Carrosserie acier monocoque autoporteuse.
4 roues indépendantes, roues en acier embouti, pneus de dimension 135×380.
« Moteur Billancourt » 4 cylindres en ligne de 845 cm3, longue course 58 mm × 80 mm de 26 ch DIN.
Bloc moteur en fonte et culasse alu.
Boîte de vitesses à trois rapports : 2e et 3e synchronisées.
Électricité alimentation batterie 6 volts, chauffage à air pulsé.
Freins à tambour à commande hydraulique sur les quatre roues sans assistance.
Vitesse maximale de 111 km/h, consommation d'environ 6,5 litres aux 100 km.
Modèles
Il s'agit de la Dauphine normale (type Mines R1090) :
Évolutions :
Modèles 1956 :
Jantes étoile identiques aux 4CV.
Sièges en drap à rayures.
Monogrammes Renault et Dauphine en aluminium sur les ailes avant.
Mai-juin 1957 : Remplacement des roues étoiles au profit de roues à jante pleine en tôle emboutie, chauffage Sofica à eau chaude et ventilateur électrique remplaçant le modèle à air pulsé et volets.
Modèles 1958 : Suppression de la baguette centrale du capot avant.
Modèles 1959 : Tissus des sièges « scoubidou » chiné.
Modèles 1960 :
Nouvelle suspension Aérostable avec des coussins d'air supplémentaires en butée.
Modèles 1961 :
Clignotants latéraux supprimés et remplacés par deux feux ronds sous les projecteurs. À l'arrière, les clignotants sont intégrés aux feux rouges.
Nouveaux tissus de siège pied-de-poule et simili cuir.
Nouveau cache-radio marqué Dauphine.
Modèles 1963 :
Suppression du monogramme sur les ailes avant.
Monogramme Renault à l'arrière droit.
Suppression de la baguette en aluminium poli sur la trappe de la roue de secours.
Jantes ajourées.
Planche de bord et volant en noir mat.
Moteur poussé à 28ch.DIN pour 115km/h Modèles 1964: Quatre freins a disque
Renault fait appel à Amédée Gordini pour réaliser une version plus performante. Le « Sorcier » fait alors une petite préparation, ainsi naît la Dauphine Gordini (type R1091) en 1957.
La puissance du bloc passe à 33 ch DIN et la vitesse de pointe à 126 km/h grâce à une nouvelle culasse, à l'augmentation du taux de compression ainsi qu'à l'utilisation d'un carburateur de 32 mm, de ressorts de soupapes plus durs et de conduits d'admission-échappement agrandis. Les premières modifications apportées par Amedée Gordini (culasse à sortie verticale) ne seront toutefois pas conservées sur le modèle de série pour des raisons de coût.
La boîte passe à quatre rapports et la caisse est légèrement rabaissée. Les pneus sont de dimension 145x380 au lieu des 135x380 standards.
Le moteur gagnera trois chevaux sur les modèles 1960. La Dauphine Gordini figurera au catalogue de l'été 1957 à 1963 et réapparaîtra en 1965.
La Floride est un dérivé cabriolet à deux portes basé sur la plateforme de la Dauphine Gordini.
Pour les modèles 1961 et 1962, il existe une version mieux présentée (moquette, planche de bord noir mat, volant de type Floride) nommée Ondine. La plupart des améliorations seront ensuite intégrées aux autres modèles. L'Ondine (type R1090A) bénéficie d'une boîte de vitesses à quatre rapports et de sièges avant à dossier inclinable.
La Dauphine 1093 (type R1093) est la version compétition de la Dauphine. Elle a été fabriquée entre novembre 1961 et avril 1963 à 2140 exemplaires en deux séries (En 1961-1962 1650 véhicules et en 1963 490 véhicules) Les deux séries ont été équipées du même moteur Gordini amélioré. Les véhicules de 1962 et 1963 se différencient par des détails de finition (En particulier par la couleur de la carrosserie blanc Réjane en 1962 et blanc-gris Valois en 1963 ainsi que par la couleur de la planche de bord).
Extérieurement, la 1093 se différencie de la Dauphine Gordini par ses projecteurs avant de gros diamètre (180 mm) empruntés à la version USA, ses deux bandes bleues (toile adhésive) collées dans l'axe du véhicule et son sigle 1093 sur le capot arrière ainsi que sur l'aile avant droite pour la série 1962. La planche de bord est en métal de couleur beige anti-reflet pour la version 1962 et noir givré pour la version 1963. Les deux versions possèdent un compte-tours mécanique (entraîné par une prise sur l'allumeur) de marque 'Jaeger' avec zone d'alerte jaune et rouge à partir de 5500 tr/min et 6000 tr/min et un compteur de vitesse (tachymètre) spécifique gradué jusqu'à 180 km/h.
Le moteur des 1093 est le moteur de la Dauphine Gordini dont la puissance a été portée à 49 CV DIN (au lieu de 36 CV). Cette augmentation de puissance a été rendue possible par le montage de pistons à tête bombée (taux de compression augmenté à 9,1), un carburateur double corps Solex inversé type 32 PAIA 3, un arbre à cames spécifique par modification de la phase admission, un travail sur la culasse (diminution de sa hauteur à 93.5 mm et un volume des chambres réduit à 25 cm3 au lieu de 27.3 cm3), les soupapes sont à doubles ressorts et il est monté une tubulure directe d'admission - échappement de marque Autobleu. Pour faire face à cette augmentation de puissance les pignons de distribution sont renforcés ainsi que l'embrayage (Ferodo type PKH 5/2). Le radiateur de refroidissement est à faisceaux de cuivre au lieu d'être en acier. La 1093 était vendue pour une vitesse maximale de 140 km/h.
La 1093 est équipée d'une boite de vitesses spécifique à 4 vitesses (dont 3 synchronisées) dérivant de la boite standard 318 de la Gordini (4e légèrement plus longue).
Le système de freinage est celui d'origine à tambours, mais la tenue à chaud du freinage est améliorée par le montage de tambours avant spécifiques à ailettes de refroidissement.
La suspension est celle des Dauphines exports type « mauvaises routes » mais avec des ressorts plus courts. La suspension 'mauvaises routes' se caractérisait par l'adoption de ressorts de suspension avant à plus fort tarage, une barre de torsion avant de 12 mm au lieu de 8 mm et le montage d'une barre anti-rapprochement du train avant. L'équipement 'mauvaises routes' comprenait également le montage d'une tôle de protection du réservoir de carburant.
La 1093 est la seule Dauphine (hors les versions à embrayage semi-auto « Ferlex » et automatiques « Jaeger ») à avoir été commercialisée en France avec un équipement électrique en 12 volts semblable aux versions exports (USA) au lieu des 6 volts d'origine.
Malgré son caractère très sportif pour « monsieur tout le monde », la 1093 « de série » ne pouvait pas être compétitive sans avoir été préparée. La préparation se résumait à modifier et à polir la mécanique existante car le nouveau règlement sportif en vigueur dès 1960 interdisait toutes augmentations de cylindrée ainsi que les changements de pièces. Ferry s'occupa de nombreuses Dauphine 1093 de compétition qui devenaient des « 1093 améliorées ».
La 1093 est la plus recherchée de toutes les Dauphines. Aujourd'hui, on estime qu'une grosse centaine de 1093 ont survécu dont la moitié sont en état de marche. On ne connait qu'une seule Dauphine 1093 parvenue à ce jour (2016) en parfait état de fonctionnement dans son état d'origine sans avoir été restaurée (Peut-être en existe-t-il d'autres au fond de garages ou de collections privées ?)
En 1962, la Dauphine 1093 s'est illustrée au rallye Tour de Corse. Cependant, son lancement tardif et les modifications trop modestes n'ont pas permis une longue carrière sportive. La 1093 reste une voiture attachante qui assure la transition entre les artisanales 4CV 1063 et la R8 Gordini qui révolutionnera la compétition automobile « tourisme de série ».
Pour les modèles 1964 et 1965, la Dauphine Gordini est remplacée par la Dauphine Export (type R1094) à la finition identique au moteur normal de 28 ch DIN et une boîte de vitesses à quatre rapports synchronisés. Comme la nouvelle Dauphine normale (type R1094), elle est équipée des quatre freins à disques de la R8. À partir des modèles 1966, la Dauphine Gordini type R1095 est la seule Dauphine à subsister jusqu'à la suppression de la série fin 1967. Le nom Gordini n'apparaît plus sur la carrosserie.
En France, alors que la présentation officielle de la Dauphine a lieu le 6 mars 1956, quelques exemplaires sont immédiatement envoyés aux USA pour une présentation fin mars 1956 au New York Motor Show et la commercialisation des Dauphine commence pour atteindre 1.700 véhicules en cette première année de lancement.
Ces premières Dauphine sont très proches de leurs sœurs françaises. La finition se veut cependant plus luxueuse, les habitudes de conduite américaines et la législation imposent quelques modifications. On peut ainsi noter : un taux de compression plus élevé 8/1 contre 7.25/1, une tubulure AD-ECH directe Autobleu, une commande des codes-phares au pied, des baguettes décoratives supplémentaires sur la carrosserie, un capitonnage intérieur sur les passages de roue, un tachymètre en miles, un éclairage de la plaque de police renforcé mais surtout l'adoption de phares avant type sealed beam de gros diamètre (7 pouces soit 180 mm). Par contre, sur ces premiers modèles, le circuit électrique demeure en 6 volts. Les pare-chocs, le système de chauffage et le filtre à air restent également similaires aux modèles français.
Ce n'est que l'année suivante en 1957 (présentation officielle le 22 mai 1957 à New York) que la Dauphine s'américanise par l'adoption de pare-chocs renforcés (spécifiques et caractéristiques des modèles USA), de clignotants et feux de position reportés sur l'avant et l'arrière du véhicule (en France à partir de 1960), d'un nouvel éclairage de la plaque de police arrière, d'un filtre à air par bain d'huile renforcé (système compound).
De 1958 à 1959, année ou la vente des Dauphine atteint son apogée aux USA avec 91.073 exemplaires, la Dauphine va continuer son évolution pour mieux satisfaire les conditions d'utilisation américaine. Les modifications les plus notables seront le passage au circuit électrique 12 volts fin 1958, l'adoption en équipement standard d'un chauffage 'grand froid' (extremely cold winter equipment) fin 1959.
Ce n'est donc que fin 1959 que la Dauphine USA aura terminé sa mutation qui lui aura permis de passer d'un modèle européen légèrement modifié à une version vraiment spécifique. Malheureusement, cette mutation s'est avérée trop lente, et l'inadéquation des Dauphine aux conditions climatiques nord-américaines et l'introduction sur le marché de véhicules compacts américains vont entraîner une mévente. Cependant, les Dauphine continuent d'arriver par centaines et sont stockées sur les ports. L'année 1960 marque la prise de conscience du problème américain mais il est trop tard et la Régie Renault est confrontée en France de ce fait à de très graves difficultés. En 1961, des Dauphines seront rapatriées en Europe pour être reconditionnées et mises en vente. Certaines de ces Dauphines auraient servi de base pour la construction de la version compétition R 1093.
A partir de 1960, la Dauphine américaine (à quelques détails près) n’évoluera plus qu'en fonction des modifications apportées aux Dauphine françaises. La version plus luxueuse 'Ondine' sera commercialisée à partir de 1961 aux USA sous le nom de 'DELUXE'.
La Dauphine sera commercialisée aux USA comme en Europe jusqu'en 1967 avec les modèles R 1094 et R 1095.
La version R 1091 Dauphine Gordini « américanisée » sera également exportée aux USA.
Suivant l'exemple de Fiat qui avait créé SEAT en 1950, la Régie Renault signe en 1953 un accord de coopération avec le constructeur espagnol FASA pour assembler dans son usine de Valladolid des Renault 4CV avec des carrosseries fabriquées par la carrosserie Cointra, le moteur par la Sociedad Nueva Montana installée à Santander et les boîtes de vitesses par ISA à Séville
En 1965, grâce à un assouplissement des règles espagnoles, la RNUR prend une participation de 49,9% dans FASA qui est renommée Fasa-Renault.
Au total, la production des modèles Dauphine, Ondine et Gordini, de 1959 à 1967, a atteint un total de 125.912 exemplaires dont :
41.812 Dauphine, produites de 1958 à 1964,
39.179 Ondine produites de 1962 à 1965,
44.861 Gordini produites de 1961 à 1967.
Le constructeur italien Alfa Romeo a fabriqué sous licence la Dauphine de 1959 à 1964. Les voitures, assemblées dans l'usine Alfa Romeo de Portello, près de Milan, possèdent un équipement électrique Magneti-Marelli en 12 volts, des feux spécifiques, quatre freins à disque (1965-1966) et le logo « Alfa Romeo Dauphine »(1959-1966) ou « Ondine Alfa Romeo » (1962-1964). Une Alfa Romeo Ondine fut mise en vente par ArtCurial, lors du salon Rétromobile 2014.
Au total ce sont 71.841 exemplaires Alfa Romeo Dauphine qui ont été produits
La Régie Renault sine en 1959 un accord de coopération avec Industrias Kaiser Argentina - IKA, pour la fabrication sous licence de modèles Renault. La production de la Dauphine débute en juillet 1960 avec l'assemblage de la première Dauphine adaptée aux réseau routier local. Une version plus musclée apparaît en fin d'année, nommée Gordini. Puis viendront la Frégate et l’Ondine. À partir de 1966, la Régie Renault ayant pris une participation majoritaire dans la société, elle sera renommée IKA-Renault.
Production totale de la Dauphine de 1960 à 1970 : 88.335 exemplaires dont 53.643 Dauphine de 1960 à 1966 et 34.566 Gordini de 1960 à 1970.
L'inventeur Français Gérin fabrique une Dauphine équipée du dispositif "roue de sécurité gerin". Le modèle est breveté. Ces Dauphines sont dessinées et assemblées en Bourgogne, Côte d'Or. Il ne subsiste qu'un unique exemplaire.
La Dauphine servira aussi de base à une tentative de voiture électrique, conçue en partenariat avec Linus Pauling. Ce sera un échec à l'époque, du fait de la faiblesse du rapport poids/puissance des batteries au plomb.
Compétition/préparation
La Dauphine est dans les années 1950, 1960 et même 1970, l'une des voitures les plus utilisées en compétition. Elle a permis à de grands pilotes de se faire connaître, comme Larrousse par exemple. Certes, la voiture est familiale, mais grâce à quelques préparateurs, elle a pu être compétitive en course.
Pierre Ferry est un ingénieur, passionné de sport automobile qui court déjà en 4CV à l'époque. Avec l'arrivée de la Dauphine Gordini, il change de monture et en profite pour faire quelques modifications :
arbre à cames spécifique dont le fameux n°12 ;
pipe d'admission de 30 mm de diamètre au lieu de 28 d'origine ;
ressorts de soupapes plus durs ;
pistons de 60 mm de diamètre au lieu de 58 mm.
Ces modifications permettent à la Dauphine d'atteindre une vitesse de 145 km/h au lieu des 126 km/h de la Gordini.
Ferry a même construit pour la Dauphine des moteurs de 1 000 cm3 sur la base du moteur d'origine. La nouvelle puissance de près de 80 ch permettait d'atteindre les 180 km/h. Il a aussi conçu un grand nombre de pièces comme des carters d'huile ou des arbres à cames.
En 2008, l'entreprise Ferry Developpement réalise toujours des préparations automobiles pour la compétition.
Dauphine spéciale à moteur 1063 (voir 4CV 1063) avec une boîte à cinq vitesses : Vainqueur du 1er Tour de Corse en 1956, équipage féminin Gilberte Thirion et Nadège Ferrier (également 2e : Maurice Michy/ Jacques Rambaud) ;
Dauphine spéciale : Vainqueur du Rallye des Tulipes en 1957 ;
Dauphine Gordini : Vainqueur du rallye de Monte-Carlo et du Tour de Corse en 1958, avec pour les deux épreuves l'équipage Jacques Féret et Guy Monraisse (Corse : 2e Claude Storez/Maurice Foulgoc, 3e Jean Guichet/Robin, 4e Jean Vinatier/Roger Masson - Gordini Spéciale) ;
Dauphine spéciale : Vainqueur au Tour de Corse en 1959, pilotée par Pierre Orsini et Jean Canonici ;
Dauphine spéciale : Vainqueur de Liège-Rome-Liège en 1959 ;
Dauphine spéciale : Vainqueur de la Coupe des Alpes en 1959 ;
Dauphine spéciale : Triplé au Rallye de Côte d'Ivoire en 1959;
Dauphine spéciale : Vainqueur du rallye féminin Paris – Saint Raphael en 1961 ;
Dauphine spéciale : Vainqueur du rallye d'automne de La Rochelle en 1961 ;
Dauphine 1093 : Vainqueur au Tour de Corse en 1962, pilotée par Pierre Orsini et Jean Canonicci ;
Dauphine 1093 : Vainqueur du rallye de Grasse Fleurs et Parfums (Rallye Grasse-Alpin) en 1962;
Dauphine 1093 : Championnat de France des rallyes (Tourisme) avec Bernard Consten (et Jaguar Mark 2).
Au cinéma
Bande à part 1964
Le Petit Nicolas
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Bernard Farcy est un acteur français né le 17 mars 1949 à Lyon (Rhône)
Bernard Farcy a étudié au conservatoire de Lyon, Il obtient en première année trois seconds prix : comédie classique, comédie moderne et tragédie. Il quitte le conservatoire de Lyon la deuxième année, pour passer un an à l'école de théâtre de Robert Hossein à Reims.
Ensuite il s'installe à Paris. Il fait une apparition non créditée dans l'émission Temps X. Dans un théâtre de Montparnasse, il crée un spectacle composé de deux pièces très différentes : La fleur à la bouche de Luigi Pirandello et Poivre de Cayenne de René de Obaldia.
Le directeur de casting Dominique Besnehard assiste au spectacle et le présente à Jean-Jacques Beineix ; Bernard Farcy obtient ainsi son premier rôle au cinéma dans La Lune dans le caniveau, réalisé par ce dernier.
Il tient des rôles de personnages parfois inquiétants dans des films comme : Notre histoire de Bertrand Blier avec Alain Delon, Ne réveillez pas un flic qui dort avec Alain Delon et Michel Serrault, Le Solitaire de Jacques Deray avec Jean-Paul Belmondo, Justinien Trouvé ou le Bâtard de Dieu de Christian Fechner, Les Trois Frères (avec Les Inconnus), Le Pacte des loups de Christophe Gans.
Bernard Farcy a tenu des seconds rôles dans plusieurs films ayant réalisé des records d'entrées en France, dont Marche à l'ombre de Michel Blanc, Les Trois Frères de Didier Bourdon et Bernard Campan, Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre d'Alain Chabat, ou Le Pacte des loups de Christophe Gans.
C'est dans un emploi comique que le grand public le remarque tout particulièrement, quand il tient le rôle du chef policier déjanté, le commissaire Gibert, dans le film Taxi et ses quatre suites (bien qu'il soit désormais le maire de Marseille dans le cinquième film).
Dans un tout autre registre, en 2006, il est salué par la critique, par les professionnels et par le public, pour son interprétation du Général de Gaulle, dans Le Grand Charles de Bernard Stora. Bernard Farcy a obtenu pour ce rôle un FIPA d'or d'interprétation masculine au festival international de télévision de Biarritz, ainsi qu'une nomination aux Emmy Awards à New York.
En 2016, il joue un rôle important dans le film La Folle Histoire de Max et Léon.
En 2019, il obtient un petit rôle dans le court-métrage Monstrus Circus de Jordan Inconstant, qui est acclamé par la critique, tout en recevant pour l’instant 11 récompenses et 19 nominations à travers le monde.
De grande taille, il mesure 1,94 m
Filmographie
Cinéma
1983 : La Lune dans le caniveau de Jean-Jacques Beineix
1984 : Notre histoire de Bertrand Blier
1984 : Femmes de personne de Christopher Frank
1984 : Marche à l'ombre de Michel Blanc : Monsieur Christian
1986 : Lien de parenté de Willy Rameau
1986 : Tenue de soirée de Bertrand Blier
1987 : Ne réveillez pas un flic qui dort de José Pinheiro : Latueva
1987 : Le Solitaire de Jacques Deray : Carmoni
1987 : Cœurs croisés de Stéphanie de Mareuil
1988 : Saxo d'Ariel Zeitoun
1988 : La Travestie d'Yves Boisset
1988 : A Soldier's Tale de Larry Parr : André
1991 : Les Équilibristes de Nikos Papatakis
1993 : Justinien Trouvé ou le Bâtard de Dieu de Christian Fechner
1994 : Grosse Fatigue de Michel Blanc
1995 : Les Trois Frères de Didier Bourdon et Bernard Campan : Steven Marchand
1996 : La Divine Poursuite de Michel Deville
1997 : Les Sœurs Soleil de Jeannot Szwarc
1998 : Taxi de Gérard Pirès : commissaire Gibert
2000 : Taxi 2 de Gérard Krawczyk : commissaire Gibert
2001 : Le Pacte des loups de Christophe Gans : L'intendant Lafont
2001 : Les Percutés de Gérard Cuq
2002 : Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre d'Alain Chabat : Barbe-Rouge
2003 : Taxi 3 de Gérard Krawczyk : commissaire Gibert
2003 : People de Fabien Onteniente
2003 : Albert est méchant de Hervé Palud
2004 : Mona lisier (court-métrage) de Clode Hingant
2004 : Le plein des sens (court-métrage) d'Erick Chabot
2004 : Il était une fois dans l'ouest de la Corse (court-métrage) de Laurent Simonpoli
2005 : Iznogoud de Patrick Braoudé : le Sultan Pullmankar
2007 : Taxi 4 de Gérard Krawczyk : commissaire Gibert
2007 : Le Bénévole de Jean-Pierre Mocky : commissaire Trépied
2008 : Nuits cannoises de Christian Vandelet : le producteur de cinéma poursuivi par un scénariste
2009 : Le Vilain d'Albert Dupontel : Inspecteur Eliott
2012 : Le Coq d'Adella Ferkous (film Marocain)
2013 : L'Etoile Bleue de Kamal Kamal (film Marocain)
2014 : Sarah-Juliette de Ahmed El Maanouni (film Marocain)
2016 : La Folle Histoire de Max et Léon de Jonathan Barré et du Palmashow : Célestin
2018 : Taxi 5 de Franck Gastambide : le Maire de Marseille Gérard Gibert
Courts-métrages
2019 : Monstrus Circus de Jordan Inconstant : Lucius
Box-office
Film | Année | Réalisateur | Box-office |
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Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre | 2002 | Alain Chabat | 14 559 509 entrées |
Taxi 2 | 2000 | Gérard Krawczyk | 10 349 454 entrées |
Les Trois frères | 1995 | Didier Bourdon et Bernard Campan | 6 897 098 entrées |
Taxi | 1998 | Gérard Pirès | 6 522 121 entrées |
Marche à l'ombre | 1984 | Michel Blanc | 6 168 425 entrées |
Taxi 3 | 2003 | Gérard Krawczyk | 6 151 691 entrées |
Télévision
1979 : Joséphine ou la comédie des ambitions, de Robert Mazoyer
1979 : Temps X (non crédité)
1983 : Capitaine X, de Bruno Gantillon
1985 : Les Enquêtes du commissaire Maigret, épisode : Le Revolver de Maigret de Jean Brard
1985 : La théorie du 1 %, de Gérard Marx
1985 : Pitié pour les rats de Jacques Ertaud
1986 : Et demain viendra le jour, de Jean-Louis Lorenzi
1989 : La Comtesse de Charny, de Marion Sarraut: rôle de Danton
1992 : Vacances au purgatoire, de Marc Simenon
1994 : Cœur à prendre, de Christian Faure
1995 : Le parasite, de Patrick Dewolf
1995 : Van Loc (1 épisode)
1995 : L'instit, épisode 4-01, Révélation, de Christian Karcher : le médecin
1996 : Les Bœuf-carottes (1 épisode)
1998 : Crimes en série (1 épisode)
1998 : Tapage Nocturne, de Gérard Cuq
1999 : Chère Marianne (1 épisode)
2000 : Le Mystère Parasuram, de Michel Sibra
2006 : Le Grand Charles, de Bernard Stora : Charles de Gaulle
2011 : À la recherche du temps perdu, de Nina Companeez : le duc de Guermantes.
2016 : La Folle Soirée du Palmashow 3
Théâtre
1974 : Tambours dans la nuit, de Bertolt Brecht, mise en scène Bruno Carlucci, Théâtre de la Satyre (Lyon).
1973 : Monsieur Mockinpott de Peter Weiss, mise en scène Bruno Carlucci, Théâtre de la Satyre (Lyon).
1979 : Ruy Blas de Victor Hugo, mise en scène de Jacques Destoop, Comédie-Française.
1980 : La Fleur a la bouche de Luigi Pirandello.
1980 : Poivre de Cayenne de René de Obaldia, mise en scène Maiotte Day.
1999 : Espèces Menacées, de Ray Cooney, mise en scène Éric Civanyan, tournée.
2008 : Oscar de Claude Magnier, mise en scène Philippe Hersen, Théâtre du Gymnase Marie Bell, tournée en 2009.
2010 : Drôle de couple de Neil Simon, mise en scène Anne Bourgeois, Théâtre des Nouveautés, tournée en 2011.
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Les Bœuf-carottes est une série télévisée française en neuf épisodes d'environ 90 à 100 minutes créée par Joël Houssin, réalisée par 7 réalisateurs et diffusée du 21 septembre 1995 à 2001 sur TF1, puis rediffusée sur Direct 8 en 2012 et sur NRJ 12 et Chérie 25 en 2014.
La série relate les enquêtes d'un binôme constitué d'un commissaire divisionnaire et d'un inspecteur de l'Inspection générale des services (IGS), appelée aussi Police des polices ou bœufs-carottes.
Liste des épisodes
Les Bœuf-carottes,
Les Enfants d'abord, réalisation Denis Amar (1995)
Sonia, réal. Peter Kassovitz
Émotions fortes, réal. Pierre Lary (1996)
La manière forte, réal. Josée Dayan
Haute voltige, réal. Claude-Michel Rome
Soupçons, réal. Christian Faure
La fée du logis réal. Michel Vianey
Pour l'amour d'un flic, réal. Christian Faure
Parmi l'élite, réal. Josée Dayan
Distribution
Jean Rochefort : Commissaire Antoine Venturi
Philippe Caroit : Inspecteur David Kaan
Artus de Penguern : Juge Gautray (4 épisodes)
Épisode 1 : Les Enfants d'abord
Natacha Lindinger : Sylvie Kaan
Maxime Leroux : Dampierre
Jean-François Garreaud : Auclert
Épisode 2 : Sonia
Natacha Lindinger : Sylvie Kaan
Julie Debazac : Sonia
Bernard Farcy : Milandre
Astrid Veillon : Nathalie
Diane Bellego : Chantal
Jean-Claude Adelin : Costello
Michel Albertini : Morin
Paul Guers : le receleur
Épisode 3 : Émotions fortes
Valérie Stroh : Sylvie
Florence Geanty : Sylvie Kaan
Olivier Marchal : Boisrond
Fabrice Leroy : un patient
Épisode 4 : La Manière forte
Ingrid Chauvin : Sylvie Kaan
Lorànt Deutsch : Gégé
Manuel Gélin : Thierry Jeunet
Tomer Sisley : Joe
Julie Sarraut : Jane Pointdexter
Mohamed Hamaidi : Kader
Rémy Roubakha : monsieur Froment
Guy Amram : Grasky
Daniel Briquet : Franck
Épisode 5 : Haute Voltige
Julie Du Page : Sylvie Kaan
Marie-France Pisier : Juge Roesch
Michel Creton : Daniel Gaucher
Jean-Louis Foulquier : Ducastel
Épisode 6 : Soupçons
Ingrid Chauvin : Sylvie Kaan
Épisode 7 : La Fée du logis
Julie Du Page : Sylvie Kaan
Delphine Rich : Barbara Chapuis
Gérard Lartigau : Commissaire Breuil
Sylvie Loeillet : Inspecteur Fargeau
Épisode 8 : Pour l'amour d'un flic
Charley Fouquet : Sylvie Kaan
Michel Duchaussoy : Janvier
Épisode 9 : Parmi l'élite
Charley Fouquet : Sylvie Kaan
Ludmila Mikaël : Frédérique Peyret
Jean-Pierre Bouvier : Egmann
Roger Dumas : Jeantet
Jean-Louis Sbille : Gonsard
Babsie Steger : Agnes
La police des polices (ou l'IGS, Inspection Générale des Services)
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Une petite claque. Emmanuel Macron perd 4 points de popularité dans le sondage Ifop pour le Journal du dimanche de cette semaine, passant à 30 % d'opinions favorables et 68 % de mécontents. Le président de la République retrouve ainsi son niveau du mois de juin dernier, après six mois au-dessus des 32 points. Dans le détail, il perd beaucoup de crédit auprès des jeunes (-11 points chez les 18-24 ans en un mois), des professions intermédiaires (-11) et des sympathisants du MoDem (-8).
"Pour la première fois depuis très longtemps, le recul de la popularité d’Emmanuel Macron émane des catégories fortes : les segments qui soutenaient l'action du président de la République", analyse Frédéric Dabi, de l'Ifop. "Il perd 4 points chez les retraités, 6 points chez les cadres supérieurs et profession libérale même si c'est le segment où il est le plus fort. Auprès des ouvriers, il n'est qu'à 17%".
"Tout se passe comme si la polarisation sur la réforme des retraites avait réactivé toute une série de critiques", décrypte le directeur de l'institut de sondage. "Un président qui n’écoute pas, qui est déconnecté des réalités des Français, d’un président qui n'agit pas pour les plus modestes mais pour les premiers de cordées. Comme si cette fin de séquence sociale réforme des retraites avait fait chuter la cote présidentielle."
Edouard Philippe n'est pas épargné. Le Premier ministre perd, lui, 3 points de popularité pour tomber à 33 % d'opinions favorables. Une chute accentuée auprès des jeunes également (-6 chez les 18-24 ans, -5 chez les 25-34 ans) et les employés (-6). La dernière fois que le locataire de Matignon était aussi bas dans les enquêtes d'opinions, c'était au mois d'avril dernier.
Héritage et impact sur la culture populaire
Bruce Lee a marqué toute une génération de créateurs et d'artistes.
Aux États-Unis
Gin Seng, héros de Phantom Force, l'un des derniers comics produits par le « King of Comics » Jack Kirby, est inspiré de Bruce Lee. Les pages dans lesquelles il apparaît sont directement recyclées d'un projet de comic book consacré à Bruce Lee datant des années 1970, mais qui n'a jamais vu le jour.
Une biographie dessinée de Bruce Lee apparaît dans le no 28 du magazine Deadly Hands of Kung Fu (septembre 1976), publié par Marvel Comics. Le scénario est de Martin Sands, et le dessin de Joe Staton et Tony DeZuniga.
En 1995, Malibu Comics publie une série de six comics sous le titre Bruce Lee, une histoire fictive dont le personnage principal n'a que peu de points communs avec Bruce Lee en dehors de la pratique des arts martiaux. Les auteurs de cette BD, Mike Baron (scénariste) et Val Mayerik (en) (dessinateur) avaient préalablement travaillé sur deux séries de BD consacrées à Kato, le personnage qu'interprétait Bruce Lee dans Le Frelon vert.
Dans les comics de Marvel, un personnage nommé Iron Fist est inspiré de Bruce Lee.
•Shang Chi: un autre personnage créé par Marvel, on le surnomme " The master of Kung Fu" en parallèle avec Iron Fist. Ils sont tous deux maîtres spécialisé dans le Fung Fu.
Au Japon
Hokuto No Ken (en France : Ken le Survivant) : le personnage principal de la série est très librement inspiré de Bruce Lee, que ce soit dans son apparence (coupe de cheveux, sourcils noirs, muscles saillants...) ou dans sa voix dans l'animé (notamment ses cris), qui rappellent ceux de Bruce Lee
Détective Conan : le personnage de Masumi Sera est adepte du style de combat de Bruce Lee, qui est le jeet kune do.
Naruto : Rock Lee est un clin d'œil à Bruce Lee et son maître Gaï Maito en est très inspiré.
Shaman King : Lee Pyron est aussi très inspiré de Bruce Lee.
Great Teacher Onizuka : Onizuka porte à un moment un costume identique à celui de Bruce Lee dans Le Jeu de la Mort.
Cowboy Bebop : lors de la session #8, Waltz For Venus, le jeune Rocco Bonnaro est impressionné par le style de combat du héros Spike Spiegel qui n'est autre que le jeet kune do de Bruce Lee. Dans l'épisode 2 (Stray dog strut) de ce même manga), Spike est dans un magasin et impressionne le vendeur avec sa connaissance des arts martiaux, notamment en reconnaissant un Nunchaku modèle « way of the dragon », nom anglais de La Fureur du dragon.
Eyeshield 21 : le personnage Seijuro Shin est un quasi « copié-collé » de Bruce Lee.
En France
Dans l'album Menaces sur l'Empire de la série Les Aventures de Philip et Francis, Philip Mortimer revêt une tenue jaune qui ressemble fortement à celle de Bruce Lee dans Le Jeu de la mort.
Last Action Hero de John McTiernan : Charles Dance dit a Arnold Schwarzenegger « vous ne cassez pas des briques », ce à quoi Arnold Schwarzenegger répond « Non, je laisse ça à Bruce Lee. »
Kill Bill de Quentin Tarantino : Uma Thurman porte une combinaison jaune qui rappelle celle de Bruce Lee dans Le Jeu de la mort.
La Tour Montparnasse infernale : une scène pastiche montre la rencontre entre Kareem Abdul-Jabbar (Ramzy) et Bruce Lee (Bô Gaultier de Kermoal) du film Le Jeu de la mort.
Shaolin Soccer : un des acteurs est le sosie de Bruce Lee, a la même gestuelle et porte comme lui la combinaison jaune et noire du Jeu de la mort.
Once Upon a Time... in Hollywood de Quentin Tarantino : Bruce Lee, interprété par Mike Moh, apparaît dans une scène et affronte Cliff Booth lors d'un combat amical.
Plusieurs jeux vidéo s'inspirent directement du personnage de Bruce Lee :
1984 : Bruce Lee (Atari XL, existe également sur MSX, ZX Spectrum, Amstrad CPC, BBC Micro, C64 et MS-DOS).
1993 : Dragon: The Bruce Lee Story (Super Nintendo, Mega Drive, Atari Jaguar). Ce jeu est directement tiré du film Dragon, l'histoire de Bruce Lee.
2002 : Bruce Lee: Quest of the Dragon (Xbox).
2003 : Bruce Lee: Return of the Legend (Game Boy Advance).
2010 : Bruce Lee Dragon Warrior (ip et Android).
On trouve également des clins d'œil dans :
Pokémon : le pokémon Kicklee est très librement inspiré de Bruce Lee.
Grand Theft Auto: Liberty City Stories : le personnage peut débloquer la combinaison jaune que porte Bruce Lee dans Le Jeu de la mort.
Sleeping Dogs: le personnage peut débloquer la combinaison jaune que porte Bruce Lee dans Le Jeu de la mort.
Urban Rivals : le clan Fang Pi Clang veut donner le pouvoir à un clone de Bruce Lee élevé en secret.
EA Sports UFC : le joueur peut débloquer Bruce Lee en contenu téléchargeable en précommandant le jeu avant sa sortie sur PlayStation 4 et Xbox One.
Dans diverses sagas de jeux de combat, certains personnages sont inspirés de l'acteur :
Soulcalibur : le personnage de Maxi
Dead or Alive : le personnage de Jann Lee (il y est d'ailleurs dit qu'il pratique le Jeet-Kune-Do)
Tekken : Marshall et Forest Law
Street Fighter : Fei Long, lui aussi star de cinéma
World Heroes, Kim Dragon, lui aussi star de cinéma (chinoise dans le premier opus, mais coréenne dans les suivants, ADK ayant eu peur de poursuite de la part de la famille Lee)
Mortal Kombat : Liu Kang
League of Legends : le champion Lee Sin
Filmographie
1941 : Gum Moon Lui / Golden Gate Girl / Golden Gate Woman / Tears of San Francisco : un bébé qui pleure
1946 : The Birth of Mankind
1948 : Foo Gwai Fau Wan / Wealth is Like a Dream
1949 : Mung Lee Sai Si / Sai See in The Dream : Yam Lee
1949 : Faan Lee Dut / The Story of Fan Li Hua
1950 : Dut Hoi Dip Moon Chi / Blooms and Butterflies
1950 : The Kid (Sai Lo Cheung, Kid Cheung, My Son Ah Cheung) : Kid Cheung
1951 : Yun Chee Chor / Infancy / The Birth of Mankind / The Beginning of a Boy / The Beginning of The Human Being : Ngau Tsai
1953 : Foo Hoy Ming Dung / Haine et Passion / A Son is Born : Ah Sang
1953 : Chee Mu Liu / A Mother's Tears / A Mother Remembers : Ah Leung
1953 : Fu Chee Chor / Blame it on Father / The Bad Boy / Boys on The Street : Big Eye Dog
1953 : Cheen Man Yun Ga / A Myriad Homes / Countless Families : Ah B
1953 : Al Lull Chun Heel / In The Face of Demolition : le fils d'un vendeur de journaux
1955 : Ngoi I / Love I
1955 : Ngoi II / Love II / Carnival
1955 : Gu Sing Lui Huet / An Orphan's Tragedy / Orphan Ah Sam : Wong Fuk-kwan
1955 : Sull Duk Wun Hoy Geen Yuet Ming / The Faithuful Wife : Hung Tsai
1955 : Gu Yee Hung / Orphan Song : Chung-hing
1955 : Yu Lui Jai / We Owe It to Our Children / The More The Merrier : Tam-jai
1956 : Ja Deen Lap Fok / The Wise Guys Who Fool Around / Sweet Time Together : Yeung Siu-lung
1956 : Jo Jee Dong Ngaw Mmga / Too Late For Divorce
1957 : Loy Yu / Thunderstorm : Chow Chung
1957 : Tian Jie Er / Darling Girl : un camarade de classe
1960 : L'Orphelin : Ah Sam
1969 : La Valse des truands (Marlowe) de Paul Bogart : Winslow Wong
1971 : The Big Boss (Tang shan da xiong) de Lo Wei : Cheng Chao-an
1972 : La Fureur de vaincre (Jing wu men) de Lo Wei : Chen Zhen / Chen Jeh
1972 : La Fureur du dragon (Meng long guo jiang) de Bruce Lee : Tang Lung
1973 : Opération Dragon (Enter the Dragon) de Robert Clouse : Lee
1973 : Le Jeu de la mort (The Game of Death) de Robert Clouse : Hai Tien / Billy Lo
1966-1967 : Batman (série télévisée) : Kato
1966-1967 : Le Frelon vert (The Green Hornet) (série télévisée
1967 : L'Homme de fer (Ironside) (série télévisée) : Leon
1969 : Blondie : Mr Yoto
1969 : Cent filles à marier (Here Come the Brides) (série télévisée) : Lin Sun
1971 : Longstreet (série télévisée) : Li Tsung
1971 : The Big Boss
1971 : Longstreet
1972 : La Fureur du dragon
1978 : Le Jeu de la mort
1978 : Le Cercle de fer / La Flûte Silencieuse
1966 : Le Frelon vert
1968 : Matt Helm règle son comte
1969 : La Pluie de printemps
1971 : The Big Boss
1972 : La Fureur de vaincre
1972 : La Fureur du dragon
1973 : Qi Lin Zhang / Fist of Unicorn / The Unicorn Palm
1973 : Opération Dragon
1978 : Le Jeu de la mort
Films sur Bruce Lee
1976 : Bruce Lee & I, de John Law Ma avec Betty Ting Pei et Li Hsiu-hsien dans le rôle de Lee
1993 : Dragon, l'histoire de Bruce Lee de Rob Cohen avec Jason Scott Lee dans le rôle de Bruce Lee.
2008 : La Légende de Bruce Lee (série tv) de Li Wenqi avec Danny Chan Kwok Kwan dans le rôle de Bruce Lee.
2010 : Bruce Lee, naissance d'une légende de Raymond Yip et Mandfred Wong avec Aarif Rahman dans le rôle de Bruce Lee.
2016 : Birth of the Dragon (en) de George Nolfi avec Philip Ng dans le rôle de Bruce Lee.
Documentaires sur Bruce Lee
1973 : Bruce Lee : The Man and The Legend (Bruce Lee : L'homme et sa Légende)
1973 : The Real Bruce Lee / Bruce Lee : The Little Dragon
1977 : Bruce Lee : The Legend (Bruce Lee Story / La Légende de Bruce Lee)
1993 : Bruce Lee : Martial Arts Master
1993 : The Curse of The Dragon (La Malédiction du Dragon)
1993 : Death by Misadventure : The Mysterious Life of Bruce Lee (Bruce Lee : Mort par Accident)
1995 : Bruce Lee's Jeet Kune Do
1996 : Bruce Lee : The Immortal Dragon (Bruce Lee : Le Dragon immortel)
1998 : Bruce Lee : The Intercepting Fist (Bruce Lee : La Fureur des poings)
1998 : Bruce Lee : The Path of The Dragon (Bruce Lee : La Destinée du dragon)
1999 : The Lees : Action Speaks Louder (The Lees : Place à L'action)
2000 : The Unbeatable Bruce Lee / Bruce Lee : Immortal Dragon
2000 : Bruce Lee : A Warrior's Journey (Bruce Lee : Itinéraire d'un combattant / Bruce Lee : Le périple d'un guerrier / Bruce Lee : L'épopée du dragon, version en français parue en 2011)
2009 : How Bruce Lee Changed The World (Bruce Lee : La Légende)
2010 : Bruce Lee : In Pursuit of The Dragon (Bruce Lee : À la poursuite du dragon)
2012 : I Am Bruce Lee
Livres écrits à partir des recherches de Bruce Lee
Chinese Gung-Fu : The Philosophical Art of Self Defense (Le Kung-Fu chinois : une philosophie de la self défense). L'unique ouvrage édité du vivant de l'auteur : Bruce Lee.
Pensées percutantes ou la Sagesse du combattant philosophe, Budo Éditions.
Hommage au dragon éternel, Budo Éditions.
Bruce Lee's Fighting Method 1-4, écrit par Bruce Lee.
The Tao of Jeet Kune Do, écrit par Bruce Lee. (édition Budo L'éveil)
The Art of Expressing the Human Body, à partir de notes de Bruce Lee compilées par John Little. Éditeur : Tuttle Publishing, 1998, , 256 pages. Aperçu sur books.google.gp.
Livres sur Bruce Lee et le jeet kune do
Bruce Lee : The Man Only I Knew (La vie et la mort tragique de Bruce Lee / Bruce Lee, mon mari) - écrit par Linda Lee.
Bruce Lee, My Brother - écrit par Robert Lee.
Absorb What Is Useful - Écrit par Dan Inosanto, sur la pratique du jeet kune do.
Bruce Lee Between Wing Chun and JKD - Écrit par Jesse Glover.
Bruce Lee: Dynamic Becoming - Un livre sur la philosophie de Bruce Lee.
Bruce Lee: Fighting Spirit - Une biographie de Bruce Thomas.
Striking Thoughts - Pensées et citations de Bruce Lee écrit par John Little.
The Tao of Bruce Lee - Écrit par Davis Miller, sur la vie de Bruce Lee.
Bruce Lee: The Art of Expressing the Human Body - Livre orienté sur la préparation physique et l'entraînement de Bruce Lee.
Jeet kune do "Toutes les Techniques de Bruce Lee" - Livre écrit par Salem Assli et publié aux Éditions Chiron.
Opération Dragon - Un essai sur Bruce Lee comme acteur écrit par Bernard Benoliel et publié en 2010 aux Éditions Yellow Now.
Livres écrits en hommage à Bruce Lee
Les trésors de Bruce Lee - Écrit par Shannon Lee.
Bruce Lee : Entre Wing Chun et Jeet Kune Do - Écrit par Jesse Glover, Pierre Hartmann, Christophe Champclaux.
Bruce Lee : L'homme derrière la légende - Écrit par Marcos Ocaña Rizo.
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Bruce Lee, nom de scène de Lee Jun-fan (李振藩), né dans le quartier de Chinatown à San Francisco aux États-Unis le 27 novembre 1940 et mort d'un œdème cérébral à Hong Kong le 20 juillet 1973, est un artiste martial, réalisateur, acteur, producteur (Concord Production Inc.), scénariste sino-américain.
Son père, Lee Hoi Chuen, était une star de l'opéra chinois. Parallèlement à sa carrière d'acteur, Bruce Lee a créé son propre art martial, le jeet kune do. Il est considéré comme le plus grand maître d'arts martiaux dans le cinéma mondial du XXe siècle et il a ouvert la voie à d'autres acteurs asiatiques comme Jackie Chan, Jet Li, Tony Jaa ou occidentaux comme Jean-Claude Van Damme, Steven Seagal, David Carradine, ainsi que Chuck Norris.
Par ses contributions dans le cinéma et la télévision, Bruce Lee incarne pour beaucoup l'homme fort atteignant le sommet de la perfection physique et l'invincibilité au combat à mains nues. Sa notoriété a eu un rôle important dans l'intérêt du grand public occidental pour les arts martiaux chinois. Sa mort prématurée à l'âge de 32 ans a contribué à le faire entrer dans la légende du cinéma et des arts martiaux et, à Hong Kong, elle a donné naissance à toute une mode de films essayant de se vendre comme des films de Bruce Lee : la « Bruceploitation ». En 2014, il est la dixième célébrité décédée ayant généré le plus de revenus
Né Lee Jun Fan (李振藩), son prénom anglo-normand d'origine scandinave, Bruce, lui aurait été donné par une infirmière ou un médecin de l'hôpital chinois de San Francisco (en) où il est né, l'année du dragon, alors que son père Lee Hoi-chuen est en tournée en Californie. Bruce Lee (Li, selon l'orthographe pinyin officielle pour le mandarin, Lee étant en jyutping pour le cantonais) est élevé à Hong Kong, auprès de ses deux frères Peter et Robert (né en 1948), ainsi que ses deux sœurs Agnès et Phoebe. Lee Hoi-chuen, né dans le district de Shunde (Guangdong) était comédien, vedette de l'opéra de Canton, ce qui permet à Bruce d'apparaître dans plusieurs films asiatiques durant son enfance. Sa mère Grace Ho (何愛瑜), avec des origines chinoises et germaniques, est la demi-nièce de Sir Robert Hotung (en), homme d’affaires et philanthrope de Hong Kong.
C'est à l'âge de 13 ans, vers 1953 - 1954 après avoir été initié au tai chi chuan que Bruce Lee commence à étudier un art martial chinois, le Wing Chun, dans l'école du célèbre maître Yip Man, auprès de Wong Shun Leung.
Pour valider sa nationalité américaine et parce que sa mère veut l'éloigner des gangs de rues chinois où son fils se bat régulièrement, il est envoyé à 19 ans aux États-Unis où il entre à l'Edison Technical School, à Seattle. Puis il poursuit des études en théâtre à l'université de Washington. C'est là qu'il rencontre sa future femme, Linda Emery, une jeune étudiante, en lui donnant des cours de kung-fu. Ils se marient à Oakland le 17 août 1964. Bruce et Linda auront deux enfants, Brandon (1965-1993) et Shannon.
C'est à cette époque que Bruce Lee commence à enseigner sérieusement les arts martiaux, en ouvrant une école. Il enseigne à tous ceux qui veulent apprendre son style de kung-fu, qu'il appelle « jun fan gung-fu », basé essentiellement sur le Wing Chun. D'après le témoignage de sa femme, cet enseignement est mal perçu par les autres écoles d'arts martiaux qui jugent que le kung-fu ne doit être enseigné qu'à des Chinois. Selon elle, c'est pour cette raison que Bruce Lee a dû relever un défi : combattre le maître Wong Jack Man ; s'il perdait, il devrait fermer son école. Selon plusieurs sources controversées, Bruce Lee remporte le duel. Toutefois, le maître Wong Jack Man se plaignit que Bruce Lee, en l'absence d'arbitrage, s'était battu de manière non sportive, et proposa cette fois un combat public. Bruce Lee ne donna pas suite Selon Linda, son épouse, Bruce a remporté le combat avec difficulté, ce qui le motiva à réfléchir sur un art martial efficace, qui fit naître dans son esprit un nouveau sport de combat : " le Jeet kune do". Aujourd'hui on connaît le MMA (art martial mixed), le free fight reprenant les mêmes principes que Bruce Lee : utiliser plusieurs arts martiaux ou sports de combats dans un même combat.
Bien que victorieux, le jeune maître est déçu par sa prestation. Il se croyait capable de mettre un adversaire KO en quelques secondes mais le combat a sollicité toute son énergie. C'est cette mésaventure qui va conduire Bruce Lee à remettre en doute l'enseignement traditionnel et à s'intéresser à la musculation. Il créera alors le jeet kune do (« la voie du poing qui intercepte ») utilisant des techniques extérieures au kung-fu. Le Jeet Kune Do visait à être plus pratique, plus fluide et plus rapide que le kung-fu traditionnel mais surtout plus adapté au combat réel, en intégrant des techniques tant de la boxe anglaise, Savate "boxe française", lutte européenne, du judo, du jujitsu, de la boxe thaï, de la self-défense (hapkido, qu'il apprend de Ji Han-Jae) que de l'escrime ou du kali (art de combat philippin auquel il a été initié par son ami Dan Inosanto). Il a également été pensé comme système de renforcement musculaire. Bruce Lee écrit plusieurs livres expliquant ses techniques qu'il qualifie d'auto-défense. Plus tard le jeet kune do (ou JKD) sera intégré au close quarters combat enseigné aux forces spéciales américaines.
Bruce Lee essaye de poursuivre une carrière cinématographique entamée dans l'enfance en Chine, mais l'essentiel de ses revenus vient de l'enseignement.
Début 1970, lors d'un exercice de musculation, il se blesse grièvement au dos. Il s'était déjà blessé plusieurs fois à cet endroit entre 1964 et 1970. L'accident se serait produit dans sa salle d'entraînement alors que, sans s'être préalablement échauffé, il entame une série de « good-morning », un exercice particulièrement éprouvant pour les lombaires, avec une charge d'environ 60 kg — approximativement son propre poids. Le médecin consulté diagnostique une lésion du quatrième nerf sacré. On lui interdit alors de pratiquer toute forme d'exercice. On lui dit même qu'il ne pourra plus jamais pratiquer les arts martiaux comme avant. Il gardera des séquelles douloureuses de cet accident toute sa vie. Il reste alité quelques jours, et pendant six mois il abandonne tout exercice physique et en profite pour mettre par écrit des réflexions et croquis sur sa vision de l'art du combat et sur les relations entre celui-ci et la sagesse orientale. Sa veuve publiera ses écrits sous forme d'un livre, Tao of Jeet Kune Do, en 1975.
En 1964, Bruce Lee fait une démonstration de kung fu durant le tournoi international de karaté de Long Beach, sa performance est filmée par Ed Parker. Quelque temps plus tard, le producteur William Dozier découvre le film grâce à Jay Sebring, célèbre coiffeur de stars. Début 1965, Bruce Lee est contacté pour passer le casting d'un projet qui ne se fera finalement jamais, mais il obtient quand même un rôle, celui de Kato, dans la série télévisée Le Frelon vert (The Green Hornet). N'ayant pas grand impact en Amérique, au bout d'une seule saison, de 1966 à 1967, la série s'arrête, mais la performance de Bruce Lee a tout de même marqué le public, et des stars comme Steve McQueen, James Coburn, Kareem Abdul-Jabbar, ou encore Roman Polanski deviennent ses élèves. Bruce Lee fait trois apparitions en tant que Kato dans trois épisodes de Batman. Par la suite, le cinéma américain acceptant mal les acteurs non blancs, sa carrière stagne rapidement, Bruce est cantonné à de petits rôles secondaires (L'Homme de fer en 1967, Blondie en 1969, Cent filles à marier en 1969, La Valse des truands) et parfois juste chorégraphe des combats (Matt Helm règle son comte, La Pluie de Printemps). Le coup le plus difficile à encaisser, c'est d'être écarté de la série The Warrior (rebaptisé plus tard Kung Fu) alors qu'il en avait écrit le synopsis, et pour le rôle principal on lui préfère un acteur qui connaît très peu les arts martiaux, David Carradine.
En 1970, Bruce subit une grave blessure au dos, provoquée par une surcharge de poids à l'entraînement, il reste immobile durant plus de six mois, il passe beaucoup de son temps à peaufiner sa théorie et sa philosophie des arts martiaux. Après beaucoup d'efforts, Bruce finit par se rétablir, le risque de se trouver quasiment handicapé faisait partie du pronostic médical, mais il gardera tout de même jusqu'à la fin de sa vie des douleurs régulières au dos. Pendant ce temps-là, du côté de l'Asie, la série Le Frelon vert (rebaptisée The Kato Show) est un succès et le producteur Raymond Chow, du studio Golden Harvest, le démarche pour qu'il vienne tourner à Hong Kong, par l'intermédiaire de l'actrice Liu Liang-hua (épouse du réalisateur de la Golden Harvest Lo Wei), qui se rend à Los Angeles pour le rencontrer
En 1971, sa carrière commence vraiment avec Big Boss, qui raconte les malheurs et la vengeance d'immigrés chinois en Thaïlande ayant découvert le trafic de drogue dont est coupable leur employeur. L'acteur avait auparavant refusé une proposition de la Shaw Brothers pour se tourner vers la plus modeste Golden Harvest. Toutefois, le climat de tournage est difficile pour Bruce Lee en raison d'incompatibilité d'humeur avec le réalisateur Lo Wei et seul le succès du film lui fait poursuivre sa carrière hong-kongaise. La même année, Bruce fera un retour rapide en Amérique pour tourner dans la série Longstreet, où il joue le rôle d'un instructeur d'arts martiaux qui entraîne le détective aveugle Mike Longstreet (James Franciscus).
En 1972, Bruce Lee tourne La Fureur de vaincre dans le rôle d'un étudiant chinois qui revient à Shanghai pour venger la mort de son maître (le célèbre Maître Huo) qui, selon lui, s'est fait assassiner par un traître. Ce film a inspiré le célèbre Fist of Legend de Jet Li. La même année, Bruce Lee tourne La Fureur du dragon, premier film asiatique tourné en Europe (en Italie). Il joue le rôle de Tang Lung, un Hongkongais envoyé à Rome pour aider la famille d'un ami victime de racket.
En 1972, dans Le Jeu de la mort, Bruce Lee interprète un champion d'arts martiaux qui doit affronter dans une pagode toute une série d'adversaires, avec un style différent à chaque étage, le dernier étant réservé au jeet kune do, pratiqué dans le film par son élève le basketteur Kareem Abdul-Jabbar. Bruce Lee interrompt le tournage pour se consacrer à la superproduction hollywoodienne de la Warner Bros, le film Opération dragon réalisé par Robert Clouse qui fera de Lee une star internationale... mais malheureusement, il ne verra jamais ce succès car il meurt quelques semaines avant la sortie du film. Cinq ans plus tard, Le Jeu de la mort reprend sans lui ; le scénario est alors modifié et raconte l'histoire de Billy Lo, un acteur célèbre qui se fait menacer de racket par la mafia chinoise. Le film est rafistolé de toutes les manières qui soient (un acteur porte même dans un plan un masque en carton avec la photo de Bruce Lee). Des images des vraies funérailles de Bruce Lee sont utilisées pour la scène des grandes funérailles organisées par Billy Lo. À la fin du film, Bruce Lee réapparaît car il avait tourné trois scènes de combat.
Bruce Lee meurt le 20 juillet 1973 à Hong Kong, dans le studio de sa maîtresse, l'actrice taïwanaise Betty Ting Pei, situé à une rue de la maison de l'acteur. Raymond Chow, cofondateur des studios Golden Harvest, explique que l'acteur a pris un médicament (cachet d'équagésic (en), mélange d’Aspirine et de Méprobamate) contre le mal de tête auquel il était très sensible. Il se déclare également personnellement effondré par la mort de Bruce Lee, un drame qui l'a amené à suspendre la préparation du Jeu de la mort, dernier film de l'acteur.
Après l'autopsie, la cause officielle de sa mort est un œdème cérébral consécutif à une réaction allergique à un analgésique, un cas rare d'hypersensibilité à l'équagésic. Les rumeurs qui suivent sa mort (amplifiées à la suite de la mort de son fils Brandon due à un pistolet chargé accidentellement) évoquent différentes causes et motifs (mafia chinoise et collusions avec Raymond Chow, son producteur de l'époque ; milieu des arts martiaux ; surnaturel ; prise de cannabis)
Deux mois avant sa mort, il avait déjà subi une crise d'épilepsie avec perte de connaissance ; les céphalées qui ont motivé la prise d'analgésique étant souvent présentes avant la rupture d'anévrisme, le médicament en lui-même pourrait ne pas être incriminé ; par ailleurs, l'œdème cérébral est classiquement lié à ces accidents vasculaires cérébraux.
Selon une autre théorie, avancée par le légiste Michael Hunter, Bruce Lee serait mort des suites de l'abus de la cortisone, que Bruce Lee prenait depuis 1970 après s'être blessé au dos au cours d'une séance de musculation.
Sa tombe se trouve au cimetière de Lake View à Seattle
Lors de son enterrement, son cercueil est porté par James Coburn, Taky Kimura, Dan Inosanto, Robert Lee (en) et Steve McQueen
Philosophie du jeet kune do
Héritage du wing chun / jeet kune do | |
Sifu de Wing Chun | Yip Man (葉問) |
Autres instructeurs | Sihing Wong Shun Leung (黃惇樑) Ji Han-Jae |
Sparring partner principaux | Toe Dai, Hawkins Cheung (Note : Il était ami avec Bruce Lee à cette époque.) |
Bruce Lee (李小龍) Créateur du Jeet Kune Do | |
Élèves principaux en Jun Fan Gung Fu/Jeet Kune Do | Jesse Glover Steve Golden Dan Inosanto Taky Kimura Jerry Poteet Ted Wong James Yimm Lee Et de nombreux autres ... |
Élèves célèbres en Jun Fan/Jeet Kune Do | Kareem Abdul-Jabbar James Coburn Joe Lewis Roman Polanski Lee Marvin Steve McQueen Chuck Norris Et de nombreux autres ... |
Quoiqu'étant reconnu pour son talent dans les arts martiaux, Bruce Lee a aussi étudié le théâtre et la philosophie à l'University of Washington. Il aimait la lecture et avait une ample collection littéraire. Ses propres livres traitant des arts martiaux, de combat et de leur philosophie sont reconnus pour leur contenu philosophique pertinent non seulement dans le contexte des arts martiaux, mais aussi dans la vie courante. Sa philosophie éclectique reflétait souvent sa philosophie de combat, mais il affirmait fermement que son art martial n'était qu'une métaphore pour sa pensée. Il affirmait que toute connaissance était une forme de connaissance de soi et disait que sa principale façon de l'exprimer était les arts martiaux. Quelques-unes de ses influences sont le taoïsme, Jiddu Krishnamurti et le bouddhisme. Il se déclarait athée. Dans une entrevue accordée en 1972 concernant son affiliation religieuse, il affirma : « Aucune » [none whatsoever] ; et s'il croyait en Dieu, il répondit : « En toute honnêteté, non, pas du tout » [To be perfectly frank, I really do not].
Quelques phrases qui informent sur sa philosophie de combat :
« Faites le vide dans votre esprit, Soyez sans forme, sans contrainte spatiale, comme l'eau. De l'eau dans une tasse prend la forme de la tasse, l'eau dans une bouteille prend la forme de la bouteille ; l'eau dans une théière prend la forme de la théière. L'eau peut elle couler ou s'écraser... Sois l'eau, mon ami ».
« Toute forme de connaissance devient finalement connaissance de soi. »
« N'utilisez que ce qui fonctionne, et puisez-le partout où vous le trouvez. »
« Ne pas nier l'approche classique, simplement par réaction, sinon pour dupliquer le motif, et y rester pris. »
« S'emporter trop facilement vous jouera des tours un jour ou l'autre. »
« Soyez fidèle à vous-même, exprimez-vous, ayez confiance en vous-même, ne cherchez pas chez autrui un modèle de succès à imiter. »
« Non pas l'accumulation au quotidien mais la perte au quotidien. Supprimez le superficiel. »
« Si vous parlez de sport, c'est une chose. Mais quand vous parlez de combat, et c'est le cas, alors vous feriez mieux d'entraîner chaque partie de votre corps » - Bruce Lee
Entre le 27 mai et le 10 juillet 1965, Bruce Lee réalise quatorze séances de musculation au gymnase Hak Keung lors de vacances à Hong Kong. Les fiches d'entraînement détaillant les exercices réalisés et les mensurations prises avant et après la période d'entraînement ont été publiées par Linda Lee en 1989 et commentées par John Little dans The Art of Expressing the Human Body
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Shinobu Nakayama (中山忍, Nakayama Shinobu, née le 18 janvier 1973 à Tokyo, Japon) est une actrice, ex- chanteuse et idole japonaise, ayant débuté en 1988 dans les traces de sa sœur, la célèbre idole Miho Nakayama. Elle sort plusieurs disques jusqu'en 1991, en solo ou avec les groupes d'idoles Rakutenshi et Nanatsuboshi (formé de l'union provisoire de Rakutenshi, Lip's et Rumi Shishido), et se consacre depuis à la comédie. On a pu la voir en occident dans Fist of Legend aux côtés de Jet Li, remake de La fureur de vaincre avec Bruce Lee, et en vedette dans deux films de la série des Gamera en 1995 et 1999.
Discographie
1989.05.01 : Kesshin
1989.12.01 : Niji no Lithograph
1990.08.01 : Hakoirimusume ~Konomama ja irenaiwa~
1991.01.01 : Kyou made soshite Ashita kara
2005.11.30 : Idol Miracle Bible - Nakayama Shinobu (Compilation)
1988.11.02 : Chiisana Kesshin
1989.02.01 : Namida, Tomare!
1989.05.01 : Makenaide Yuki
1989.08.21 : Natsu ni Koisuru Awatenbo
1989.11.01 : Yaketekita Shoujo (Otome)
1990.03.01 : Hikari no Opera
1990.07.01 : Hakoiri Musume no Nageki
1990.12.21 : Romantic
Filmographie
Dokidoki Virgin mô ichido I Love You (Doki Doki ヴァージン もういちど I LOVE YOU) (1990)
Yonigeya hompo 2 (夜逃げ屋本舗2) (1993)
Godzilla vs Mechagodzilla 2 (1993)
Fist of Legend (1994)
Honnin ni negai o (犯人(ホシ)に願いを) (1995)
Gamera 1: The Guardian of the Universe (Gamera: Daikaijū Kuchu Kessen / ガメラ 大怪獣空中決戦) (1995)
Miyazawa Kenji sono ai (宮沢賢治-その愛) (1996)
Ohaka ga nai! (お墓がない!) (1998)
Gamera 3: The Revenge of Iris (1999)
Crossfire (2000)
Sennen no koi - Hikaru Genji monogatari (千年の恋 ひかる源氏物語) (2001)
Koi ni utaeba (恋に唄えば♪) (2002)
Baruto no gakuen (バルトの楽園) (2006)
Ô-oku: The Movie (大奥) (2006)
Nene (TV Tokyo, 2009)
Shikaku Ukeoinin 2 (TV Tokyo, 2008)
Puzzle (TV Asahi, 2008, ep8)
Tsugaru Kaikyo Mystery Koro (Fuji TV, 2008)
Shikaku Ukeoinin (TV Tokyo, 2007)
Hasshu Mawari Kuwayama Jube (TV Asahi, 2007, ep8)
Shichinin no Onna Bengoshi (TV Asahi, 2006, ep3)
Ooku 5 (Fuji TV, 2005)
Division 1 Yuku na! Ryoma (Fuji TV, 2005)
Rikon Bengoshi 2 (Fuji TV, 2005)
Batsu Kare (TBS, 2004)
Okami ni Narimasu! (NHK, 2003)
Kanojotachi no Jidai (Fuji TV, 1999)
Nurse's Station (TBS, 1991)
Déni : "Action de dénier, de refuser de reconnaître la vérité ou la valeur d'une chose." Exemple : Sibeth Ndiaye, porte-parole du gouvernement, interrogée ce vendredi 24 janvier sur BFMTV sur les 61 % de Français (sondage Elabe du 22 janvier) souhaitant qu'Emmanuel Macron retire son projet de réforme des retraites, présenté aujourd'hui en Conseil des ministres.
"Je pense que ça, ça traduit une forme d'exaspération. D'exaspération, d'abord qu'on en parle énormément, qu'il y ait beaucoup de manifestations, qu'il y ait parfois de la violence assez radicale dans certaines manifestations. Je pense que ça traduit de la lassitude, et que les Français ont envie de passer à autre chose", déclare-t-elle. Et voilà comment la porte-parole du gouvernement fait passer la fièvre pour la maladie, l'effet qu'est le mouvement social pour la cause qu'est l'opposition à l'instauration du régime universel de retraite.
Sur sa lancée, Sibeth Ndiaye tient cependant à rassurer l'opinion : malgré les grèves et les manifestations, l'exécutif ne lâchera pas. "Ils ont envie de passer à autre chose, mais moi j'ai envie de leur adresser un message", continue la porte-parole : "Cette réforme, si on la fait, avec les difficultés que ça représente, c'est parce qu'on est profondément convaincu qu'elle est massivement redistributive, et que les gens qui aujourd'hui sont les oubliés de la solidarité nationale, ceux qui sont à temps partiel, ceux qui ont des petites carrières, ce seront les grands gagnants de cette réforme." A condition, bien sûr, qu'ils travaillent plus longtemps.
"UNE DIFFICULTÉ DE COMPRÉHENSION"Parmi les sondés, 61 % seraient donc passés à côté du sens de la réforme ? Cela paraît tout de même un peu gros : "Si elle était si bonne cette réforme des retraites, pourquoi est-ce que les Français la rejetteraient ?", demande ainsi Jean-Jacques Bourdin. "Mais parce qu'il y a une difficulté de compréhension", répond Sibeth Ndiaye du tac au tac. Emmanuel Macron le rappelait pourtant en personne, la semaine dernière, lors de son déplacement à Pau : "Quand on explique et qu'on écoute, généralement, on arrive à comprendre".
Et puis, au fond, les Français ne savent pas ce qu'ils veulent, du moins selon la porte-parole. "A la réforme précédente, quand il y a eu la réforme de Marisol Touraine, dans le quinquennat précédent, les gens ils ont manifesté, ils n'étaient pas du tout contents de la réforme qui était proposée", rappelle-t-elle. Et pour cause : votée en 2014, cette loi mettait en place un allongement de la durée de cotisation jusqu'à 43 ans pour l'obtention d'une retraite à taux plein. "Aujourd'hui, c'est le système qui est produit par cette réforme qui est ardemment défendu, en particulier par des organisations syndicales qui étaient contre", soupire Sibeth Ndiaye.
Peut-être, justement, parce que le projet de loi aggrave encore l'addition pour les actifs, en instaurant un âge de retraite à taux plein (le fameux âge pivot) indépendant de la durée de cotisation. Mais là encore, ce doit être un nouveau problème de compréhension.
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