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Escargots géants d'afrique (20cm)

Publié à 21:18 par dessinsagogo55 Tags : afrique
Escargots géants d'afrique (20cm)

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Aneka

Publié à 20:43 par dessinsagogo55 Tags : bande blog center tube sommaire rose centerblog sur merci france fond musique blogs you
Aneka

 

 


Aneka, de son vrai nom Mary Sandeman, est une chanteuse britannique, née le 20 novembre 1954 en Écosse. Elle est principalement connue pour son tube Japanese Boy, sorti en 1981.


Japanese Boy


Originaire du Perthshire, chanteuse traditionnelle gaélique et celtique, Mary Sandeman a déjà une carrière dans le Scottish Fiddle Orchestra en tant que mezzo-soprano dès les années 1980.
En 1981, l'auteur-compositeur Bob Heatlie et le producteur Neil Ross l'approchent pour lui présenter une maquette de chanson pop aux sonorités exotiques. Amusée, Mary Sandeman accepte de l'interpréter bien que ce ne soit pas son registre habituel. Immédiatement, ils lui expliquent alors qu'elle doit absolument changer de nom pour correspondre à la chanson, s'emparent de l'annuaire téléphonique d'Édimbourg, et y trouvent le nom d'Aneka.
Elle enregistre un album éponyme produit par Neil Ross d'où sont tirés 4 singles Japanese boy, Little Lady , Ohh Shoby doo doo lang et I was free. Bobby Heatlie écrit les chansons de cet album. L'album est un succès en Angleterre, en Belgique, en Suède, en Suisse ainsi qu'en Allemagne et en France. Si les 45 tours Japanese boy et Little Lady sont des succès, l'album ainsi que les 45 tours suivants restent discrets sur le territoire français. Les deux premiers 45 tours édités en 1981 Japanese boy et Little Lady se retrouvent sur l'album. Pour ces deux premiers singles, deux Maxi-45 tours ont été pressés. Leurs faces B, Ae fond kiss et Chasing dreams ne seront pas repris sur l'album.
Un nouveau single sort en février 1982, Ohh Shooby doo doo lang, troisième extrait de l'album.
La même année est édité également Alister Mc Coll, un titre inédit de l'album que l'on retrouve sur le CD bootleg. La face B est un extrait de l'album I was free.
Ultérieurement, le 45 tours est réédité, cette fois avec I was free en face A, et Alister Mc Coll en face B. Toujours aucune information sur un éventuel Maxi-45 tours.
En 1983, deux 45 tours paraissent. Heart to beat et Rose, Rose I love you. Deux titres inédits de l'album, tout comme leurs faces B respectives Starshine et My Johnny (Kneels and kisses me).
En 2002, son tube Japanese Boy connait un certain revival en étant incorporé dans la bande son du jeu vidéo à succès Grand Theft Auto: Vice City. En 2005, l'émission britannique Bring Back... One Hit Wonders de Justin Lee Collins lui propose de participer mais Aneka refuse6.
Elle vit toujours en Écosse, à Ardeonaig dans le Perthshire, où elle est toujours chanteuse de folk.

Discographie

Album

1981 : Aneka


Singles

1981 : Japanese Boy
1981 : Little Lady
1982 : Ooh Shooby Doo Doo Lang
1982 : I Was Free
1983 : Heart to Beat
1984 : Rose, Rose, I Love You

 

 

 
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Actualité française : 1960

Actualité française : 1960

 

Actualité française

 

  janvier
01/01/60 entrée en vigueur du nouveau franc égal à 100 anciens francs.
01/01/60 47 supermarchés et hypermarchés.
01/01/60 indépendance du Cameroun.
03/01/60 démission de 11 des 14 membres du Conseil général de Saint-Pierre-et-Miquelon et du sénateur Henri Claireaux en raison des difficultés économiques créées par l'entrée en vigueur du nouveau franc français.
04/01/60 Création du Service d'action civique (SAC).
04/01/60 Décès d'Albert Camus
13/01/60 démission d'Antoine Pinay, Ministre des finances et des affaires économiques. Wilfrid Baumgartner, jusque-là gouverneur de la Banque de France, lui succède.
24/01/60 1er février : semaine des barricades à Alger

 

 

  mars
03/03/60 voyage d’inspection de trois jours en Algérie du général de Gaulle. Au cours de cette « tournée des popotes », il déclare que la question algérienne ne pourra être réglée qu’après la victoire des armées françaises.
07/03/60 lancement de l'hebdomadaire Télé 7 jours.
18/03/60 refus du général de Gaulle de convoquer la session extraordinaire du Parlement demandée par la majorité des députés.
20/03/60 Jacques Foccart est nommé secrétaire général pour la Communauté française.
23/03/60 visite en France de Nikita Khrouchtchev.

 

  mai
11/05/60 mise à flot du paquebot France, à Saint-Nazaire (Pays de la Loire).
   

 

  décembre
09/12/60 voyage du président Charles de Gaulle en Algérie, marquée par des émeutes sanglantes causant la mort de 127 personnes.
27/12/60 la France procède à son troisième tir nucléaire; "Gerboise rouge", à Reggane au Sahara.
31/12/60 Brigitte Barazer de Lannurien est élue Miss France 1960

 

Culture

 

Film français : 1960

Droit

En chiffres

 

Dossier

 

 

 

 

 

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Mise à jour :21/11/2019



France paquebot (Sommaire)

Publié à 13:55 par dessinsagogo55 Tags : sommaire france centerblog background vie sur
France paquebot (Sommaire)

 SOMMAIRE France (paquebot) 

 

   
1960  
19/11/19 12:32   France (paquebot)
19/11/19 12:44   France (paquebot) : Désarmement
19/11/19 12:54   France (paquebot) : Mutinerie de 1974
19/11/19 13:07   France (paquebot) : Au quai de l'oubli
19/11/19 13:17   France (paquebot) : Rachat et changement de nom
19/11/19 13:37   France (paquebot) : Fin de vie

 

 

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France (paquebot) : Fin de vie

Publié à 13:37 par dessinsagogo55 Tags : center sommaire centerblog sur vie france monde chez société art annonce cadre merci
France (paquebot) : Fin de vie

Un aventurier et amateur d'art, Jacques Dworczak, rachète près de 500 pièces du paquebot en Inde, dont le nez (une partie de l'étrave découpée dans le haut de la proue de l'ancien paquebot, haute de 3,51 mètres et pesant plus de 4 tonnes). Ces pièces sont mises aux enchères chez Artcurial, le 8 et 9 février à Paris. Le nez est acquis pour la somme de 273 000 €, à une société immobilière de Deauville dont le promoteur immobilier, Jean-Pierre Véron, annonce vouloir l'installer dans cette commune, dans l'ensemble « Blue Bay » qu'il commercialise. En attendant de l'y installer, il confie cette pièce à Didier Spade, armateur et entrepreneur du projet du nouveau paquebot France, qui en est le dépositaire de 2009 à 2017 : elle est alors visible sur le quai du port de Grenelle à Paris. Le nez est menacé de diverses saisies-ventes, Jean-Pierre Véron ayant fait l'objet de plusieurs condamnations, dans le cadre de programmes immobiliers. La pièce est finalement acquise aux enchères en mai 2017 pour un montant de 171 600 €, sur préemption du ministère de la Culture, pour le compte de la ville du Havre.

Depuis le 26 septembre 2018, le nez du paquebot a été définitivement installé au Havre, son port d'attache historique, face au siège social du Grand Port Maritime du Havre, après le rachat dans le cadre du droit de préemption par le ministère de la Culture en 2017 et la récupération par la ville du Havre en 2018. Pour l'occasion, la pièce a été décapée et repeinte dans ses couleurs d'origine.

Cette fin est à mettre en parallèle avec la transformation du Queen Mary en musée flottant à Long Beach (Californie) et celle du Queen Elizabeth 2 en hôtel de luxe, à Dubaï.

 



Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/France_(paquebot)

 
     
     
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    France (paquebot) : Mutinerie de 1974
    France (paquebot) : Au quai de l'oubli
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    France (paquebot) : Fin de vie
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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France (paquebot) : Rachat et changement de nom

France (paquebot) : Rachat et changement de nom

 

 

Finalement, le France est racheté le 24 octobre 1977 par Akram Ojjeh, riche homme d'affaires saoudien, pour 80 millions de francs. S'il dit l'avoir fait pour « le protéger des ferrailleurs », le France ne navigue toujours pas. L'armateur norvégien Knut Ulstein Kloster, propriétaire de la société Norwegian Caribbean Line (NCL), négocie alors avec Akram Ojjeh et lui rachète le navire le 25 juin 1979, pour 77 millions de francs. L'armateur annonce que le paquebot va être renommé Norway et qu'il naviguera, mais dans une configuration pouvant accueillir plus de passagers et avec un équipage réduit et « bon marché ».

Malgré diverses propositions, les chantiers navals du Havre ne remportent pas l'offre pour la transformation du navire ; le départ du Norway est annoncé pour le 15 août 1979 à destination de Bremerhaven, en Allemagne. Après plus de quatre ans à quai, le navire est devenu un symbole pour une ville en crise : une grève générale transforme Le Havre en ville morte. Les Havrais manifestent ce jour-là, bloquent l'écluse François Ier pour retenir le remorqueur Abeille Provence, soutenus par l'équipage, solidaire du mouvement. Les contestataires sont délogés par les CRS pendant la nuit, mais les remorqueurs ne sortent pas. La situation s'envenime même politiquement et l'armateur fait intervenir deux remorqueurs néerlandais pour que le navire appareille le 17 août. Un coup de vent oblige le Norway à rester une nuit de plus.

Il quitte Le Havre et la France, le lendemain matin, 18 août 1979, remorqué par l’Abeille Provence. L'émotion est forte dans la foule qui observe silencieusement le départ et est également traduite par l'absence de réponse des remorqueurs aux trois coups de sirène traditionnels du paquebot. Dans son voyage tout au long des côtes françaises, un public nombreux le regarde passer.

Le 22 août 1979, le Norway arrive à Bremerhaven et entre en cale sèche aux chantiers Hapag-Lloyd, pour des travaux de transformation qui dureront 32 semaines. L'appareil propulsif avant est retiré, l'arrière est entièrement automatisé ; les hélices avant sont également retirées : la vitesse de croisière est ramenée à 16−18 nœuds et la consommation à 228 tonnes de fioul par jour. Trois propulseurs d'étrave sont installés ainsi que deux propulseurs transversaux arrière, afin de pouvoir se passer de remorqueurs. Les ponts arrière sont agrandis, une discothèque et un casino sont ajoutés.

L'architecte naval danois Tage Wandborg revoit l'aménagement intérieur : seules quelques cabines, la bibliothèque, la salle de jeux des enfants, le salon de coiffure ainsi que le restaurant Versailles subsistent de l'ancien France. À l'extérieur, le Norway est repeint en bleu. Il appareille enfin le 15 avril 1980 pour des essais en mer et arrive le 2 mai à Oslo, en Norvège, pour une escale de présentation (visite par le roi Olav V et grand feu d'artifice). Il rejoint ensuite Southampton, en Angleterre, pour effectuer sa première traversée transatlantique sous son nouveau nom. Durant ce voyage, une émission en direct est réalisée par la télévision française. Mais à Southampton, alors que certaines cabines ne sont toujours pas terminées, une inondation survient à bord, provoquant l'annulation de la croisière inaugurale. Réparé, le Norway rejoint Miami, en Floride, son nouveau port d'attache américain. Au cours des années suivantes, il effectue des croisières d'une semaine dans les Caraïbes, embarquant 1 890 passagers pour 790 membres d'équipage.

En avril 1982, le Norway revient à Bremerhaven pour d'autres transformations : remplacement des hélices par deux nouvelles à quatre pales, ancre d'embossage, rénovation de 650 cabines et installation du téléphone par satellite. En septembre 1987, la propulsion est modernisée et le théâtre est rénové ; de nouvelles cabines sont installées en plus d'une boutique et des salles de conférence. La même année, les lois norvégiennes changeant, le navire passe sous pavillon des Bahamas, un pavillon de complaisance, afin, entre autres, de pouvoir embaucher des marins de pays où la main-d'œuvre est peu chère. Employés civils et marins de 25 nationalités différentes valent au Norway d'obtenir le pavillon de l'ONU.

À deux reprises, le Norway est symboliquement rebaptisé France pour deux croisières « à la française », embarquant entre autres de célèbres cuisiniers français, dont Paul Bocuse, Joël Robuchon, Troisgros, Guy Legay, Guy Savoy, Gaston Lenôtre, Léa Linster et Ginette Delaive-Lenoir. La première de ces croisières, du 1er au 10 décembre 1989, remporte un franc succès, mais la seconde, l'année suivante, sera plus mitigée.

 

Du 3 septembre au 3 octobre 1990, le Norway revient une nouvelle fois à Bremerhaven pour des transformations plus visibles de l'extérieur : deux ponts préfabriqués sont ajoutés au-dessus des anciens afin d'abriter 124 cabines de luxe, les cheminées sont dessoudées puis remises en place sur les nouveaux ponts, l'arrière du pont embarcations est redessiné. Le navire peut désormais accueillir 2 560 passagers et 950 membres d'équipage.

Le 10 septembre 1996, le Norway revient au Havre depuis New York, après 17 ans d'absence. Le lendemain, il entre en cale sèche dans la forme King Georges V à Southampton pour les dernières transformations : modernisation de cabines, transformation de magasins et des cheminées qui n'évacuent plus la fumée par les ailerons mais par une tuyauterie verticale plus efficace.

Le Norway désarmé à Bremerhaven en juillet 2004.

Le paquebot est fortement endommagé lors de l'explosion de l'une des quatre chaudières à Miami, le 25 mai 2003, causant la mort de plusieurs marins. Remorqué, il part de Floride le 4 juillet 2003, en direction de Bremerhaven, où il arrive le 24 juillet 2003, pour la réparation du système de propulsion. Son état général reste très bon, mais il a déjà 41 ans de service. Au cours de l'hiver 2003, une tempête s'abat sur la mer du Nord et fait chavirer le dernier-né de la compagnie NCL, le Pride of America. La compagnie décide la réparation de celui-ci, alors en construction, ce qui anéantit tout espoir de revoir le Norway naviguer. Il reste amarré, jusqu'au 23 mai 2005, au Kaiserhafen III (le quai de l'Empereur) de Bremerhaven, qu'il quitte avec l'aide de cinq remorqueurs. Sorti du port, le paquebot est pris en charge par le remorqueur De Da. Il arrive le 10 août 2005 au large de Port Kelang, un grand port à environ 100 km à l'ouest de Kuala Lumpur en Malaisie occidentale, où il attend son sort. Revendu à un ferrailleur indien, Sanjay Mehta, il change de nom pour Blue Lady fin janvier 2006.

Le 16 février 2006, le gouvernement bangladais interdit le démantèlement au Bangladesh du navire qui contient de l'amiante. La veille, la décision du Conseil d'État français obligeait Paris à rapatrier le Clemenceau qui devait être aussi démoli en Inde. Le 2 août 2006, la Cour suprême de l'Inde autorise finalement le démantèlement en Inde du paquebot, et le 14 août 2006, le Blue Lady est amarré devant la plage d'Alang pour y être démoli.

Attendue en mars 2007, puis repoussée au 13 mai 2007, une décision de la Cour suprême indienne a autorisé PriyaBlue, le démolisseur qui a racheté le bateau, à commencer le pompage de l’huile et du fioul se trouvant à bord, sous le contrôle d’experts de l’État de Gujarat. Cette opération rend inéluctable son démantèlement sur place car le navire, échoué pendant presque un an sur une plage d'Alang, est devenu hors d'état de naviguer, malgré deux projets de reprise, dont l'un proposait sa transformation en hôtel-casino, près de Honfleur. Le 11 septembre 2007, la Cour suprême indienne donne son feu vert au démantèlement du navire. Entièrement pillé lors de son passage en Malaisie, son démantèlement intégral nécessite près de deux ans.

 



Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/France_(paquebot)

 
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
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France (paquebot) : Au quai de l'oubli

Publié à 13:07 par dessinsagogo55 Tags : société maison jeux france vie merci sur centerblog nuit center sommaire monde loisirs centre
France (paquebot) : Au quai de l'oubli

 

 

Le 19 décembre 1974, le France est remorqué, depuis le quai Joannès-Couvert, jusqu'au canal central dans la zone industrielle du Havre, par quatre remorqueurs. Le navire est amarré près des complexes pétrochimiques et va rester à cet endroit pendant quatre ans et demi, endroit qui est alors surnommé le « quai de l'oubli » ou le « quai de la honte ». Le commandant Pettré débarque le 21 décembre, et seuls quarante hommes restent à bord pour maintenir la chaudière en activité, afin de produire le minimum de chauffage et d'éclairage nécessaire. Cet abandon signifie aussi la fin des traversées transatlantiques pour la ville du Havre et de nombreuses suppressions d'emplois, malgré les promesses de réemploi de la CGM. 2 500 emplois sont directement supprimés par le désarmement du France, quelques milliers d'autres sont menacés indirectement.

L'entretien, le gardiennage et les frais de port du navire coûtant encore 200 000 francs par mois, la dernière chaudière est arrêtée le 29 avril 1975. Six hommes restent à bord pour la veille, pendant que l'électricité vient de la terre. Le France ne sortira du « quai de l'oubli » qu'une seule fois pendant ces quatre années, le 6 mai 1975, alors qu'une tempête casse ses amarres et le met en travers du chenal. Il revient à plusieurs reprises en tête de l'actualité : lorsque Michel Sardou écrit et interprète la chanson Le France, dont 500 000 exemplaires sont vendus en deux semaines et près de 1 000 000 écoulés au total ; ou lorsque, le 17 octobre 1975, une cinquantaine de grévistes d'Atochimie montent à bord pour déployer leurs banderoles ; d'autres grèves et manifestations utilisent le France comme symbole. Cinq ou six jours par an, des visites sont organisées, avec 50 à 60000 visiteurs ; le quai de l'oubli devient un but de promenade : le France devient un symbole d'une ville et d'un pays en crise .

Diverses propositions plus ou moins fantaisistes de réutilisation du navire apparaissent : ainsi Michel Crépeau, maire de La Rochelle, propose de l'amarrer entre l'île de Ré et La Pallice, pour en faire une maison de retraite pour marins ; un chirurgien parisien propose de le convertir en navire-hôpital au large du Liban, alors en pleine guerre civile ; une suggestion d'école hôtelière itinérante apparaît même. Des propositions plus sérieuses consistent en la revente du navire à une société de loisirs pour être reconverti en navire de croisière ou en hôtel flottant. Le musicien et patron de boîte de nuit marseillais Marcel Rossi crée un comité de sauvegarde du paquebot qui vise à le transformer en centre de loisirs flottant et en casino, amarré face au port de l'Estaque à Marseille. Le projet le plus sérieux vient de la ville de Montréal, pour les Jeux olympiques d'été de 1976, mais il échoue. En novembre 1976, le France est mis quelques semaines en cale sèche, pour le débarrasser des algues et coquillages accrochés sur sa coque, puis il revient à son quai.

 



Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/France_(paquebot)

 
     
     
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France (paquebot) : Mutinerie de 1974

Publié à 12:54 par dessinsagogo55 Tags : france vie merci mer sur centerblog center sommaire monde voyage loisirs saint place
France (paquebot) : Mutinerie de 1974

 

 

Le mercredi 11 septembre 1974, le France approche du Havre au retour de New York. À 21 h 6, une délégation de 50 à 60 hommes d'équipage arrive à la passerelle du navire, où se trouve le commandant Christian Pettré. La délégation est emmenée par Marcel Raulin, un cabinier, président du comité intersyndical du bord, et comprend les secrétaires des fédérations syndicales ainsi que plusieurs délégués de l'équipage, du comité central d'entreprise et du comité d'établissement du Havre. Si un mouvement social et une mutinerie étaient attendus, la modalité de la mutinerie, en mer, surprend. Une action d'ampleur était prévue, mais à l'issue du dernier voyage : il semble qu'un noyau d'une centaine de salariés plus décidés aient anticipé l'action. Les rivalités entre CFDT et CGT, ainsi que les différences d'avenir entre équipage, reclassé sur d'autres navires de la CGM, et personnel de cabine, assuré d'être licencié, sont des facteurs qui ont joué. Les Renseignements généraux savaient qu'une action des marins se préparait, sans en connaître la date ; des représentants syndicaux étaient montés à Southampton sans qu'une réunion générale ait été organisée ; les garçons de service en restauration avaient gardé leur tenue noire au lieu de l'habituelle blanche, « en signe de deuil ».

Les ordres donnés à la salle des machines sont contradictoires, mais la vitesse est réduite en quelques minutes ; des sonneries d'alarme se déclenchent dans les compartiments machines ; le bateau du pilote L'Alexandre ne peut accoster. D'autres mutins pénètrent dans les machines. Marcel Raulin ordonne au commandant de diriger le France vers l'entrée du port et de mouiller entre les bouées 9 et 12 afin de bloquer son entrée, tout en annonçant aux passagers l'opération en cours. Celle-ci avait pour nom de code « Amenez les oranges ». C'est la première fois qu'une mutinerie de cette ampleur a lieu sur un bateau à l'entrée du port,(Le Provence avait déjà été immobilisé pendant 48 heures, mais à quai, en décembre 1965, pour protester contre la vente du navire. Cinq cents passagers étaient à bord).

À 23 h 50, le commandant s'adresse aux passagers pour les rassurer ; la délégation confirme à minuit qu'elle ne s'opposera pas à leur débarquement. La passerelle et la salle des machines sont évacuées. À h 10 le 12 septembre, le ferry Viking III de Thoresen Ferries accoste le France et les passagers y montent par une coupée. Les remorqueurs Abeille 26Abeille 27 et Abeille 28 transbordent les bagages à terre. Le débarquement des 1 266 passagers est achevé à 16 h 15, sans incident. Alors que le ferry s'éloigne, les passagers massés sur sa plage arrière entonnent Ce n'est qu'un au revoir, puis crient « Vive le France ! ».

La grève se poursuit. Sont restés à bord les 964 membres de l'équipage et du personnel de cabine. Les marins grévistes forment un « gouvernement de bord ou de crise » (Raulin en est le « Premier ministre ») ; ils impriment un journal quotidien, Le (la) France en rade, et tiennent un « conseil des ministres » chaque matin . Les officiers refusent de s'associer au mouvement. Les mutins se rendent compte que le commandant a mouillé le navire en dehors du chenal, afin que les navires arrivant au port du Havre puissent toujours passer, dans un souci de sécurité.

À terre, les négociations avec les syndicats mettent du temps avant de commencer. Jacques Chirac, alors Premier ministre, rencontre les membres de la compagnie et confirme sa décision avec fermeté : fin de l'exploitation du navire, annulation des voyages suivants. De plus, il organise un blocus du navire par la marine nationale : il semble que le gouvernement ait voulu éviter une expérience autogestionaire semblable à celle de Lip. La compagnie générale transatlantique porte plainte contre les mutins (plainte retirée en décembre, à la fin du mouvement). Un comité de défense du paquebot est créé par André Duroméa et regroupe 31 organisations du Havre ; 40 000 personnes signent une pétition adressée au Président de la République. Des manifestations ont lieu les 12, 20 et 28 en soutien à l'équipage mutiné, mais ne rassemblent pas plus de 3000 personnes. Le gouvernement a cependant d'autres priorités à ce moment précis (prise d'otages à La Haye le 13, attentat à Paris le 15).

Le conflit se durcit : le maire du Havre va retrouver les mutins avec une vedette, malgré le refus du sous-préfet ; une grève générale est lancée dans la marine marchande, les 16 et 17 septembre. Bien suivie le premier jour, elle s'effondre ensuite. Le 18, les voyages restants sont officiellement annulés par la Transat ; une barge pétrolière ravitaille le France le même jour, ce qui laisse penser à un conflit durable. Le problème du ravitaillement en vivres se pose : celui-ci est refusé par la Transat, mais est effectué par un chalutier, le Saint-Joseph, qui tente d'amener 500 kg de tomates, 3 tonnes de pommes de terre et 800 kg de carottes provenant d'organisations diverses (dockers, ouvriers, Secours Populaire, etc.). Le chalutier est alors bloqué, mais une manifestation à la sous-préfecture pousse la Transat à accepter le ravitaillement.

La première personne à quitter le navire est un garçon d'hôtel, Michel Duchemin, qui se jette à l'eau, vite secouru par les bateaux du blocus mis en place autour du bâtiment. Le 23 septembre, un plan est proposé par le ministre de l'Intérieur, Michel Poniatowski pour reconvertir le France en paquebot de loisirs uniquement. Mais le même jour, le vent se lève, obligeant à mouiller une deuxième ancre. Les vents forcissant entre 8 et 10, le navire appareille le 24 septembre au matin et s'éloigne à deux milles au large de Saint-Vaast-la-Hougue, à l'abri de la péninsule du Cotentin ; la baisse des réserves de mazout l'empêche de naviguer plus loin ou de rester dans la rade du Havre. À Saint-Vaast, un patrouilleur de la Marine nationale empêche tout bateau de s'approcher à moins de 100 mètres. Le France est alors isolé et ne peut revenir au Havre, puisque deux bouées ont été mouillées à son ancien emplacement.

Alors que les défections augmentent avec la lassitude et le découragement, les responsables syndicaux rencontrent ceux de la Compagnie Générale Maritime (CGM), le 4 octobre, et trouvent un accord permettant aux marins de regagner Le Havre, après 23 jours de conflit. Le France quitte Saint-Vaast le 9 octobre, avec 540 hommes encore à bord, arrive au Havre quai Joannès-Couvert, où moins de huit cents personnes sont là pour accueillir les mutins.

Un noyau dur de 121 grévistes continuent l'occupation du paquebot jusqu'au 8 décembre. Une fois qu'ils quittent le navire, il est déhalé dans l'arrière-port

 



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France (paquebot) : Désarmement

Publié à 12:44 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog france prix sur merci vie monde argent presse annonce
France (paquebot) : Désarmement

 

 

En 1965, les recettes dégagées par le navire sont pour la première fois inférieures aux dépenses, ce qui est accentué par les grèves et événements de mai 68 qui entraînent de fortes augmentations de charges. Le Queen Elizabeth 2 entre en service en 1969 et lui mène une rude concurrence. Cette même année, le paquebot-amiral américain United States est désarmé pour non-rentabilité. La dévaluation du dollar en 1973 fait perdre encore plus d'argent à la Compagnie Générale Transatlantique. Les hausses du prix du mazout provoquées par le premier choc pétrolier de 1973, conjuguées avec la baisse des subventions d'État comblant le déficit, aggravent encore la situation, augmentant les rumeurs de désarmement, notamment après le deuxième tour du monde du paquebot. En 1974, le paquebot transatlantique est en effet devenu un moyen de transport déclinant inexorablement depuis plus de dix ans. Le nombre de passagers ne cesse de chuter après un âge d'or dans les années 1950, qui se termine avec l'arrivée des premiers avions à réaction, DC-8 et Boeing 707.

Le suspense continue à propos d'un éventuel désarmement du navire, alors qu'une réunion interministérielle doit se tenir en avril 1974. Mais Georges Pompidou meurt le 2 avril et Valéry Giscard d'Estaing, candidat à la présidence, déclare durant la campagne présidentielle vouloir maintenir le navire en service. Pourtant, la promesse est oubliée après son élection et le nouveau gouvernement de Jacques Chirac décide, le 1er juillet, de mettre fin à la prise en charge du déficit de la Compagnie Générale Transatlantique. Celle-ci annonce, le 8 juillet, que le France doit être désarmé à la fin de la saison, le 25 octobre. Les réactions sont nombreuses : des comités de soutien se forment, des pétitions sont signées, de nombreux articles le défendent dans la presse.

À quai, on peut voir des manifestations de soutien : des passagers occupent le navire à plusieurs reprises, par solidarité avec l'équipage. La Transat annonce tout de même les deux dernières traversées : Le Havre—New York du 11 au 17 octobre, puis New York—Cannes du 18 au 25 octobre. De nombreuses places sont réservées pour ces traversées, même si célébrer la fin du France au champagne est aussi vu comme une provocation.

Le 19 juillet 1974, une manifestation menée par Henri Krasucki, délégué national de la CGT, et par André Duroméa, maire du Havre, entraîne un retard de huit heures à l'appareillage, le France ne partant qu'à 21 h 5.

 

 



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France (paquebot)

Publié à 12:32 par dessinsagogo55 Tags : center sommaire centerblog sur mer merci vie france saint monde homme
France (paquebot)

 

 

Le France (troisième du nom, rebaptisé Norway en 1979, puis Blue Lady en 2006) était un paquebot transatlantique construit aux Chantiers de l'Atlantique, à Saint-Nazaire, où il fut mis à l'eau, le 11 mai 1960, en présence du président de la République française, le général de Gaulle. Avec ses 316 mètres de long, il fut pendant toute sa période d'activité le plus long paquebot (navire à passagers) jamais construit au monde jusqu'au lancement en 2004 du RMS Queen Mary 2, long de 345 m (1 132 ft). Symbole du prestige de la France gaullienne, et de son effondrement dans les années 1970, il était surnommé le « petit frère du Normandie » par les chantiers de l'Atlantique.

Son port d'attache est alors Le Havre, et il est mis en service en janvier 1962, pour le compte de la Compagnie générale transatlantique (CGT). Luxueusement meublé, le paquebot a été décoré par plusieurs peintres de l'École de Paris, notamment par Louis Vuillermoz.

Pendant douze ans, il assure des traversées transatlantiques et quelques croisières autour du monde, jusqu'en septembre 1974. Son désarmement est brutalement décidé avec l'accord du président de la République, Valéry Giscard d'Estaing, pour cause de non-rentabilité, alors qu'il s'était engagé, au cours de sa campagne électorale, à le maintenir en service.

Revendu d'abord à un homme d'affaires saoudien, en 1977, puis à un armateur norvégien en 1979, rebaptisé Norway, il assure alors, après plusieurs transformations, des croisières en mer des Caraïbes. Revendu à un ferrailleur, il est rebaptisé Blue Lady en 2006 et son démantèlement prend fin en 2009 en Inde, sur le chantier d'Alang.

 



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