Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
18.01.2025
18552 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1052)
· A à Z : Sommaire (343)
· Mannequin de charme (914)
· Musique (392)
· Monde : France (3060)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (213)
· Cinéma : Films à classer (153)
· Calendrier : Naissances (246)
· Monde : Etats Unis (1108)
air amour annonce art article background base belle blogs cadre center centerblog
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Retour à : Mannequin de charme : Sommaire |
Retour à : |
Retour à : |
Retour à : SOMMAIRE |
Direct sur la rubrique : Mannequin de charme |
Comment ça marche ??? Aide |
Actu de dessinsagogo55 |
Mise à jour : |
Retour à : Mannequin de charme : Sommaire |
Retour à : |
Retour à : |
Retour à : SOMMAIRE |
Direct sur la rubrique : Mannequin de charme |
Comment ça marche ??? Aide |
Actu de dessinsagogo55 |
Mise à jour : |
Retour à : Mannequin de charme : Sommaire |
Retour à : |
Retour à : |
Retour à : SOMMAIRE |
Direct sur la rubrique : Mannequin de charme |
Comment ça marche ??? Aide |
Actu de dessinsagogo55 |
Mise à jour : |
Le Cinéorama est un procédé de projection cinématographique sur un écran circulaire balayé par dix projecteurs synchronisés.
Le procédé fut mis au point par le Français Raoul Grimoin-Sanson, breveté en 1897 et présenté à l’occasion de l’exposition universelle de 1900 à Paris. Mais il attira une telle foule qu’il dut être interrompu au bout de trois jours d’exploitation pour des raisons de sécurité.
Contrairement à une légende solidement établie, il n'y a sans doute jamais eu de projection publique, mais des descriptions imaginaires dans la presse de l'époque et les brochures publicitaires. Le 18 août de la même année, la Société française du Cinéorama fut mise en liquidation judiciaire.
Le Cinéorama, qu'il ait fonctionné ou non, reste par sa conception le premier des procédés de cinéma projetant des images à 360°. L'historien Jean-Jacques Meusy a fait la lumière sur cette belle légende, que des générations successives d'historiens du cinéma ont pris pour argent comptant.
Il fut le premier des procédés de cinéma circulaires : polyvision, cinemiracle, thrillerama, wonderama, circarama, circlorama, quadravision.
|
Expansion de l'image à la projection
Le CinemaScope est un procédé de prise de vues et de projection qui consiste à anamorphoser (comprimer) l'image à la prise de vue, pour la désanamorphoser à la projection. Ce rapport de compression est de 2. Le CinemaScope ne désigne pas directement le format d'image, mais un procédé d'anamorphose de l'image, qui peut être utilisé en 35 mm comme en 16 mm, avec des ratios d'image différents.
C'est la Society of Motion Picture and Television Engineers (SMPTE) qui définit les normes de la fenêtre de projection de ce qu'on appelle le scope : CinemaScope 35 mm avec son optique. Le scope a aujourd'hui un ratio de 2,39:1.
C'est une image qui est comprimée lors du tournage puis étirée lors de la projection pour ne plus être déformée et retrouver son format panoramique.
Grâce à un objectif déformant (anamorphose), l'image est comprimée dans le sens horizontal lors de la prise de vue sur film classique ; à la projection, elle est étirée dans les mêmes proportions, ce qui permet de retrouver une image panoramique.
Le dispositif optique est basé sur celui de l'Hypergonar, inventé en 1926 par le Français Henri Chrétien. Il s'agit principalement d'une lentille cylindrique placée devant l'objectif primaire, sphérique.
Ce n'est qu'en 1953 que la 20th Century Fox conclut un accord avec l'inventeur du procédé, Henri Chrétien et présenta la même année le premier film en CinemaScope La Tunique (The Robe) d'Henry Koster. C'était en réalité le second film tourné selon ce procédé, le premier étant Comment épouser un millionnaire, longtemps après le film expérimental de Claude Autant-Lara de 1928 Construire un feu. Pour des raisons commerciales, il est sorti après La Tunique. La première projection publique a eu lieu le 16 septembre 1953. Le premier dessin animé utilisant ce procédé est le court métrage de Disney Les Instruments de musique (Toot Whistle Plunk and Boom, 1953), suivi ensuite par le long métrage d'animation La Belle et le Clochard (1955). Au sujet du film L'Infernale Poursuite (1956), le réalisateur Francis D. Lyon explique qu'il a apprécié ce nouveau format « plus facile pour la mise en scène et plus économique en réduisant les installations principalement pour les tournages en extérieur. »
Le premier film français en CinemaScope est Nouveaux Horizons de Marcel Ichac (1953), diffusé en avant-programme de La Tunique et qui tire mieux parti, par sa recherche de l'effet de profondeur via le travelling, des avantages du CinemaScope. La revue La Recherche explique ; « L'impression de profondeur disparaît dès lors que la caméra est statique ». Marcel Ichac, qui avait assisté aux États-Unis à la projection de This is Cinerama, avait tenu compte de cette particularité lorsqu'il avait tourné Nouveaux horizons. Le compte rendu de la projection de son film devant la Commission supérieure technique de l'image et du son (CST) indiquait en effet ; « Les membres de la CST ont pu constater lors de la projection que M. Ichac avait parfaitement compris pour ce premier film l'utilisation qui peut être faite du procédé du Professeur Chrétien et qu'il a su donner aux spectateurs ce pseudo-relief obtenu par la répétition des travelling avant, travelling arrière et latéral ; les spectateurs ont en effet eu une forte impression de plans détachés, impression qui a disparu avec la projection de La Tunique (...) Beaucoup de critiques qui avaient assisté en décembre 1953 à la projection des deux films avaient remarqué en effet que La Tunique était beaucoup moins convaincant de ce point de vue. »
En 1955, lors du tours du Mans, l’Angleterre a utilisé le CinémaScope.
Le rapport du CinemaScope a varié depuis sa création :
À partir de 1953, le son utilisé étant magnétique, l'image utilisait toute la largeur disponible du négatif. Le rapport était de 2,55:1. Le CinemaScope avec piste optique avait lui, un rapport de 2,35:1.
En 1957, la Society of Motion Picture and Television Engineers (SMPTE) normalise les dimensions de la fenêtre de projection du CinemaScope à 21,31 × 18,16 mm, soit un rapport de 1,1734:1, donc de 2,35:1 après désanamorphose.
En 1970, l'interimage n'étant pas assez grande, la SMPTE revoit les normes et diminue légèrement la hauteur de l'image simplifiant ainsi la précision du cadrage à la projection, les dimensions sont ramenées à 21,29 × 17,78 mm, soit à un rapport de 2,39:1.
En 1993, les dimensions sont encore très légèrement diminuées (20,95 × 17,52 mm) mais le rapport reste à 2,39:1.
Depuis, différents procédés basés sur le même principe sont utilisés, dont les plus connus sont Panavision et Technovision.
Variantes
En 1954, la Paramount crée le procédé VistaVision.
En 1954, développement du procédé économique Superscope, principalement exploité par le studio RKO. Ce procédé est considéré comme l'ancêtre du Super 35.
Le Techniscope est une version économique du Superscope. À la prise de vue l'image est moins haute, le film avance de deux perforations au lieu de quatre.
Dans les années 1960, la Shaw Brothers à Hong Kong invente son propre CinemaScope, baptisé Shawscope.
Dans les années 2000, Arri met au point le procédé Mscope, permettant d'utiliser des objectifs anamorphiques sur une caméra numérique prévue à cet effet, la D21.
|
Tel est pris qui croyait s'en laver les mains... En Espagne, un employé du centre de gestion des déchets d'Olula del Rio (Andalousie), qui avait jeté un réfrigérateur dans la nature, s'est vu rappeler à l'ordre par la police, qui l'a obligé à aller chercher le meuble, rapporte le Diario de Almeria.
L'homme de 24 ans s'était filmé en train de jeter le réfrigérateur, et la vidéo a largement circulé sur les réseaux sociaux ce week-end.
"L'auteur des faits a été identifié", a indiqué lundi sur Twitter la police espagnole, la Guardia Civil. Mais ce n'est pas tout : la police a obligé le jeune homme à aller chercher le meuble dans le fossé et à le remonter - vidéo à l'appui.
Des animations ont déjà été proposées au public, comme celle qui avait lieu en septembre 2017, qui a permis de voir la Suzanne sur les rails.
Une voiture suisse de 1905 pour la Voie Sacrée ferroviaire |
Des animations ont déjà été proposées au public |
Suzanne, dernière poilue meusienne |
Poursuivre sur d'autres communes ou retour au sommaire
Visitez la Meuse
Retour à : Département de la Meuse : Communes (Sommaire)
Retour à : SOMMAIRE
Retour à Rubrique : Monde : Meuse
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | Création | ||||||||||||||||||||||||||
BIOGRAPHIE | |||||||||||||||||||||||||||
X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | |||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
SOMMAIRE
Inventions
Date | INVENTION | Désignarion |
../../.... | Inventions (Sommaire) | Sommaire |
../../.... | Inventeurs français (Sommaire) | Sommaire |
../../.... | Inventions françaises de 1100 à 1699 | Description |
../../.... | Inventions françaises de 1700 à 1799 | Description |
../../.... | Inventions françaises de 1800 à 1899 | Description |
../../.... | Inventions françaises de 1900 à 1949 | Description |
../../.... | Inventions françaises de 1950 à 1999 | Description |
../../.... | Inventions françaises de 2000 à ce jour | Description |
|
La cigarette électronique (ou e-cigarette), aussi appelée vapoteuse, vaporette ou parfois vaporisateur personnel, est un dispositif électronique générant un aérosol destiné à être inhalé. Elle produit une « vapeur » ressemblant visuellement à la fumée produite par la combustion du tabac. Cette vapeur peut être aromatisée — arôme de tabacs blonds, bruns, de fruits, de bonbons, etc. — et contenir ou non de la nicotine.
À la différence de la fumée produite par une cigarette traditionnelle, cette « vapeur » n'est pas du tabac brûlé. Elle contient néanmoins des particules et substances cancérogènes ou toxiques mais en quantité plus faibles que la cigarette (ou la pipe). Elle est souvent présentée comme une alternative moins nocive au tabac ou comme un substitut pour le sevrage tabagique mais l'OMS et des agences nationales comme l'Agence nationale de santé publique (France) ont conclu à partir des études disponibles que le potentiel du vapotage comme outil d'aide au sevrage tabagisme « n'[était] pas clair ».
Terminologie
Le dispositif est communément désigné par « cigarette électronique » ou « e-cigarette » ou « e-cig », car, dans ses formes les plus démocratisées, il rappelle la forme et l'usage de la véritable cigarette, et simule sa fumée. Le terme « électronique » (ou le préfixe « e-») est un élément de marketing inventé en 2005 pour des dispositifs qui ne comportaient à l'époque pas d'éléments électroniques, ni microprocesseur. Fin 2013, la plupart des dispositifs sont électroniques, d'une complexité allant de simples mécanismes de protection à des modèles sophistiqués, avec variateur de tension ou de puissance, contrôle de la température de la résistance, décompte des bouffées, écran, communication avec ordinateur, etc.
Une cigarette électronique dont l'e-liquide contient de la nicotine peut aussi être appelé « système électronique d'administration de nicotine » ou SEAN
Quand elles ont la forme d'un cigare ou d'une pipe, elles peuvent alors aussi être nommées « cigare électronique » ou « pipe électronique ». Toutefois elles peuvent prendre des formes plus originales.
Les utilisateurs de cigarettes électroniques préfèrent souvent le terme « vapoter » (dérivé du mot « vapeur ») au lieu de « fumer » et se désignent non plus comme des fumeurs mais comme des « vapoteurs ». De même, afin d'éviter l'assimilation aux produits du tabac, les vapoteurs nomment l'appareil « vapoteuse ».
Les termes « cigarette électronique », « vapoter » et « vapoteur/vapoteuse » ont été inclus dans l'édition 2015 du Petit Larousse et du Petit Robert.
Historique
Le concept d'une cigarette électronique est élaboré par Herbert A. Gilbert en 1963, avec un brevet déposé en 1965 présentant le schéma d'une cigarette électronique « remplaçant le tabac et le papier par de l'air chauffé et aromatisé ». Gilbert fut approché par des sociétés souhaitant fabriquer cette cigarette, mais son invention ne fut jamais commercialisée.
Le premier dispositif rendu public destiné à simuler l'utilisation d'une vraie cigarette a été réalisé en 2003 par Hon Lik, un ancien pharmacien et ingénieur chinois qui a déposé en 2005 un brevet pour une « cigarette sans fumée à pulvérisation électronique ». Toutefois, ce premier dispositif exploite alors la technologie de nébulisation par ultrason. Hon Lik s'est ensuite associé à la société Golden Dragon Holdings pour commercialiser sa cigarette électronique en Chine en 2004. En novembre 2007, la Golden Dragon Holdings a changé le nom de l'entreprise en Ruyan (如烟), qui signifie « comme une cigarette » en chinois. Le nom change de nouveau en août 2010 en Dragonite International Limited.
La technologie de vaporisation par résistance chauffante, seule technologie commercialisée pour les cigarettes électroniques actuellement, a été inventée et brevetée vers 2009 par le chinois David Yunqiang Xiu (修运强) avec son « Electronic Nicotine Delivery System (ENDS) »
Les cigarettes électroniques sont pour la plupart fabriquées en Chine, dans diverses usines des villes de Shenzhen et Hong Kong. Les revendeurs du monde entier sélectionnent leurs produits via des intermédiaires sur place et se font livrer les kits tout prêts, ou achètent les divers éléments et font eux-mêmes le conditionnement des kits. Certains gros revendeurs louent des ateliers au sein des usines de production ou possèdent des ateliers de montage sur place. Il existe également des modèles développés et fabriqués en petites séries en Europe et en Amérique.
Les entreprises historiques du tabac se sont progressivement intéressées au marché de niche de la cigarette électronique et chaque acteur majeur du tabac propose maintenant sa cigarette électronique.
|