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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
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Ossuaire de Douaumont
Nom | Commune | Nombre de personnes inhumées |
Nécropole nationale d'Amblemy | Ambly-sur-Meuse | 111 |
Nécropole nationale de Marbotte | Apremont-la-Forêt | 2656 |
Nécropole nationale d'Avocourt | Avocourt | 1896 |
Nécropole nationale de Bar-le-Duc | Bar-le-Duc | 3194 |
Nécropole nationale de Belleray | Belleray | 1326 |
Nécropole nationale de Mont-sous-les-Côtes | (Mont-Villers) Bonzée | 77 |
Nécropole nationale de Brandeville | Brandeville | 506 |
Nécropole nationale de Bras-sur-Meuse | Bras-sur-Meuse | 6537 |
Nécropole nationale de Brieulles-sur-Meuse | Brieulles-sur-Meuse | 2572 |
Nécropole nationale de Buzy | Buzy-Darmont | 2330 |
Nécropole nationale de Chattancourt | Chattancourt | 1727 |
Nécropole nationale de Commercy | Commercy | 2132 |
Nécropole nationale de Dieue | Dieue-sur-Meuse | 310 |
Nécropole nationale du Bois de Béthelainville | Dombasle-en-Argonne | 1095 |
Ossuaire de Douaumont | Douaumont-Vaux | 130 000 Allemands et Français |
Nécropole nationale de Dugny-sur-Meuse | Dugny-sur-Meuse | 1971 |
Nécropole nationale d'Esnes-en-Argonne | Esnes-en-Argonne | 6861 |
Nécropole nationale de Fleury-devant-Douaumont | Fleury-Devant-Douaumont | 16140 |
Nécropole nationale d'Haudainville | Haudainville | 210 |
Nécropole nationale de La Forestière | Lachalade | 2005 |
Nécropole nationale de Lacroix-sur-Meuse | Lacroix-sur-Meuse | 969 |
Nécropole nationale de Landrecourt-Lempire | Landrecourt-Lempire | 1962 |
Nécropole nationale du Trottoir | Les Éparges | 2906 |
Nécropole nationale des Islettes | Les Islettes | 2226 |
Nécropole nationale de Fontaine-Routhon | Les Souhesmes-Rampont | 1068 |
Nécropole nationale de Brocourt-en-Argonne | Récicourt | 471 |
Nécropole nationale de Rembercourt-Sommaisne | Rembercourt-Sommaisne | 10493 |
Nécropole nationale de Revigny-sur-Ornain | Revigny-sur-Ornain | 1315 |
Nécropole nationale de Rupt-en-Woëvre | Rupt-en-Woëvre | 170 |
Nécropole nationale de Vaux-Racine | Saint-Mihiel | 3419 |
Nécropole nationale de Saint-Remy-la-Calonne | Saint-Remy-la-Calonne | 166 |
Nécropole nationale de Senoncourt-les-Maujouy | Senoncourt-les-Maujouy | 531 |
Nécropole nationale de Sommedieue | Sommedieue | 164 |
Nécropole nationale de Trésauvaux | Trésauvaux | 655 |
Nécropole nationale de Troyon | Troyon | 150 |
Nécropole nationale de Vadelaincourt | Vadelaincourt | 1727 |
Nécropole nationale de Vauquois | Vauquois | 438 |
Nécropole nationale de Bevaux | Verdun | 3592 |
Nécropole nationale du Faubourg-Pavé | Verdun | 5516 |
Nécropole nationale de Glorieux | Verdun | 4246 |
Nécropole nationale de Ville-sur-Cousances | Ville-sur-Cousances | 918 |
En France, une nécropole nationale est un cimetière militaire appartenant à l’État français
Il existe en France 265 nécropoles nationales où reposent 740 000 corps de soldats, dont 240 000 en ossuaires Sur l'ensemble des dépouilles des soldats, 88 % sont celles de combattants de la Première guerre mondiale
Les nécropoles nationales ont été créées par la loi du 29 décembre 1915 pour regrouper les corps des combattants « morts pour la France » avec des sépultures perpétuelles. Ces nécropoles sont la propriété de l’État français qui en assure la garde et l'entretien. Ces deux missions sont confiées au secrétariat d’État chargé des anciens combattants.
Le secrétariat d’État aux anciens combattants assure également l'entretien de sept cimetières militaires étrangers situés en France.
Cet article recense les cimetières militaires français ayant le statut de nécropole nationale.
La loi du 29 décembre 1915 institua la création, par l'État français, de nécropoles nationales regroupant les corps des combattants « morts pour la France » auprès de l'endroit où ils sont tombés. Les sépultures perpétuelles y sont entretenues aux frais de l’État qu'elles soient individuelles ou collectives (ossuaires). Une loi autorisa, cependant, en juillet 1920, la restitution des corps aux familles qui en faisaient la demande ; ce fut le cas pour environ 30 % des corps identifiés (environ 250 000).
La création de ces nécropoles se fit au nom de considérations à la fois pratiques et idéologiques de la part des États mais aussi des états-majors. D'une part, ces regroupements permettaient d'éviter la dispersion des tombes sur des terres utiles (sols agricoles, reconstruction des villages détruits notamment lors de la Seconde Guerre mondiale) ; ils permettaient également d'éviter le transfert de centaines de milliers de corps, facilitant l'entretien des tombes. D'autre part, les nécropoles nationales correspondaient, comme pour chaque nation combattante, à l'idée que les liens de cette nation s'étaient substitués à ceux de la famille, l'État assurant ainsi une égalité de traitement des tombes et une permanence du souvenir.
Cette prise en charge par la Nation se heurta au désir des familles d'exhumer et rapatrier les restes de soldats dans le caveau familial des cimetières communaux mais le gouvernement interdit cette pratique par souci d'hygiène, d'économie et pour ne pas mettre en danger l’intégrité et l'identité des cadavres. Ce débat sur la démobilisation des morts partagea d'ailleurs l'ensemble des sociétés belligérantes. En France, il donna lieu à un trafic des cercueils. À l'issue de la Première Guerre mondiale, des familles, bravant l'interdiction, entreprirent par elles-mêmes ou en faisant appel à des « mercantis de la mort » (entrepreneurs locaux ou « maisons » de pompes funèbres parisiennes, voire des escrocs), de violer les sépultures militaires et ramener clandestinement les corps. Le succès du roman Au revoir là-haut a d'ailleurs rendu visible l'ampleur de ce phénomène. L'édification massive de monuments aux morts après le conflit répondit d'ailleurs à l'absence de corps, proposant des symboles capables d'opérer sur l'ensemble du territoire national, qui offraient un double rôle de commémoration et de deuil collectif en même temps qu'ils contribuaient à l'élaboration d'une symbolique républicaine.
Les plans des cimetières militaires français ont été tracés par des techniciens du Ministère des Pensions selon les directives de la circulaire ministérielle du 24 février 1927. La production en série, à faible coût, a été le principe directeur choisi, négligeant la recherche esthétique.
En 1928, fut adoptée une disposition-type pour toutes les nécropoles nationales : le drapeau tricolore devait être le point central de la composition, les tombes devaient être alignées en rangées, reconstituant l’alignement d’une armée. Des rosiers rouges furent plantées au pied des tombes individuelles.
La composition paysagère est souvent très sobre, les tombes et ossuaires sont répartis sur un terrain engazonné, parfois arboré et agrémenté de massifs de fleurs.
Les tombes individuelles furent matérialisées par quatre types d'emblèmes différents :
croix latine ;
stèle musulmane rectangulaire avec le sommet en forme d'arc outrepassé brisé, sur laquelle est gravé, en haut, un croissant de lune enserrant une étoile à cinq branches, avec en dessous une inscription en arabe : « hadhâ qabr al-mahrûm » (ceci est la tombe du rappelé à Dieu). Lorsque le nombre de morts musulmans était important, les tombes furent regroupées en carrés spécifiques ;
stèle israélite avec gravée l’étoile de David, encadrée de deux lettres en hébreu, acronyme de « ici est enterré » ;
stèle pour les autres confessions ou les non-croyants. La France est le seul pays à permettre l'édification de stèle particulière pour les non-croyants.
Sur chaque tombe, une plaque fut apposée permettant l'identification du corps enseveli avec la mention « mort pour la France ». Aucun aménagement particulier permettant de distinguer une sépulture parmi les autres n'était autorisé.
Les ossuaires sont matérialisés, le plus souvent par une stèle portant une dédicace. Le plus important ossuaire de France est celui de Douaumont qui rassemble 130 000 corps de soldats inconnus français et allemands. C'est un imposant monument de forme allongée surmonté d'une lanterne des morts.
La plus vaste nécropole nationale de France est la Nécropole nationale de Notre-Dame-de-Lorette dans le Pas-de-Calais ; sur près de 13 ha, 40 058 corps de militaires français y reposent dans des tombes individuelles et dans huit ossuaires. Dans ce cimetière, ont été construites une lanterne des morts et une chapelle. Cependant, d'une manière générale (sauf cas particuliers), les nécropoles nationales, en France, ne comportent pas de constructions monumentales.
Répartition des nécropoles nationales par département
Nom du département | Numéro de département | Nombre de nécropoles | Nombre de corps |
Aisne | 2 | 26 | 86355 |
Ardennes | 8 | 7 | 14394 |
Bouches-du-Rhône | 13 | 1 | 11487 |
Charente | 16 | 1 | 2027 |
Charente-Maritime | 17 | 1 | 330 |
Corse-du-Sud | 2A | 1 | 242 |
Haute-Corse | 2B | 1 | 48 |
Doubs | 25 | 1 | 2163 |
Drôme | 26 | 1 | 17 |
Gironde | 33 | 1 | 928 |
Loiret | 45 | 2 | 3563 |
Marne | 51 | 34 | 176193 |
Meurthe-et-Moselle | 54 | 23 | 46891 |
Meuse | 55 | 40 | 100532 |
Morbihan | 56 | 1 | 2106 |
Moselle | 57 | 17 | 36862 |
Nord | 59 | 5 | 8123 |
Oise | 60 | 15 | 30103 |
Orne | 61 | 1 | 19 |
Pas-de-Calais | 62 | 4 | 53575 |
Bas-Rhin | 67 | 10 | 11084 |
Haut-Rhin | 68 | 15 | 22790 |
Rhône | 69 | 2 | 6543 |
Haute-Savoie | 74 | 1 | 105 |
Seine-et-Marne | 77 | 5 | 2415 |
Somme | 80 | 22 | 68813 |
Var | 83 | 3 | 2336 |
Vosges | 88 | 10 | 15350 |
Territoire de Belfort | 90 | 2 | 1086 |
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LE 28/08/2019 À 05:03
MIS À JOUR LE 28/08/2019 À 06:41
MEUSE
Le soldat meusien de la Grande Guerre identifié par son ADN
Le squelette de Charles Lavocat, porté disparu au début de la Grande Guerre, avait été découvert par des fouilles à Spincourt (55).
La science a tranché, l’ADN a parlé. Les résultats du test ont garanti l’identité du squelette découvert à l’occasion de fouilles archéologiques. Denis Lavocat, un habitant du village de Behonne près de Bar-le-Duc (Meuse), et ses deux frères, Gilbert, l’aîné, et Daniel, le plus jeune, ont retrouvé leur grand-père… 105 ans plus tard !
Le fruit du hasard. Au départ, il y a le projet de construction d’un lotissement à Spincourt, village meusien à la limite avec la Meurthe-et-Moselle. Classiquement, un sondage archéo est réalisé par l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) en 2017 avant le lancement des travaux. Si l’on s’attendait plutôt à repérer des vestiges protohistoriques, c’est un cimetière provisoire de regroupement datant de 1919 qui est découvert. Il y a là quarante « cercueils », plus exactement des boîtes en bois bien conservées, qui soit contiennent des ossements de corps jamais transférés à la nécropole de Pierrepont (54) soit sont vides.
Mais dans l’un, on trouve le squelette entier, enterré avec sa baïonnette. Le trou au niveau du crâne indique qu’il a pris une balle en pleine tête. Il y a surtout avec une plaque militaire d’identité au nom de Charles Lavocat. Presque âgé de 30 ans et cultivateur à Behonne avant le déclenchement des hostilités, ce soldat du 154e régiment d’infanterie, rappelé avant le début de la Grande Guerre, a été porté disparu lors de combats dans le secteur de Spincourt le 22 août 1914 durant la Bataille des frontières.
Les recherches menées par sa femme Clothilde n’ont rien donné. « Elle ne s’est jamais remariée », raconte Denis Lavocat, fils de Marcel, unique enfant du couple, né en 1912. Charles Lavocat a reçu la médaille militaire à titre posthume, ainsi que la croix de guerre avec étoile de bronze.
Après la médiatisation des fouilles archéologiques qui ont examiné les sépultures exhumées, son frère Daniel a bien téléphoné pour savoir si justement l’aïeul ne s’y trouverait pas. Mais il a fallu attendre cet été pour que l’histoire rebondisse. « On a reçu le 28 juin un coup de téléphone de Frédéric Adam (le responsable du chantier de fouilles) pour nous prévenir que l’on avait peut-être identifié le grand-père », raconte Denis Lavocat.
« Une semaine avant, on en parlait encore, on se disait que c’était dommage de ne pas savoir », ajoute Annie, son épouse. Le couple apprend que le corps serait resté quelques semaines dans un champ de blé avant d’être enterré.
Pour avoir la certitude qu’il s’agit bien de Charles Lavocat, il est proposé aux descendants de se soumettre à une expertise ADN, grâce à un prélèvement de salive, ce qu’ils acceptent. Denis Lavocat : « Un technicien est venu de Marseille, et une dame de Paris. Le jour ? Chez nous le 9 juillet, on s’en souvient bien, il y avait le passage du Tour de France à Bar-le-Duc. Ils sont restés une bonne partie de l’après-midi. »
Ce qui constituait un espoir très fort a été confirmé début août. Et maintenant ? On a demandé à la famille Lavocat où elle voulait placer le corps du grand-père, soit dans le caveau familial à Behonne, soit au cimetière militaire de Bar-le-Duc, soit à la nécropole de Pierrepont. Cette dernière option a été choisie unanimement : « On préfère le laisser avec ses camarades, ses compagnons d’armes », explique Annie Lavocat. « On attend de savoir quand aura lieu l’inhumation. » La cérémonie pourrait se dérouler en septembre ou octobre, a-t-il été avancé.
Denis Lavocat, qui conserve précieusement la médaille de tireur d’élite de son « pépère », garde aussi un fascicule remis par l’Inrap avec des photos et un plan du site où la tombe se situait depuis plus d’un siècle. « Ça fait plaisir d’avoir ça. »
« On préfère le laisser avec ses camarades »
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LE 27/08/2019 À 05:03
MIS À JOUR LE 27/08/2019 À 06:53
La commune n’héritera pas de l’ex 135
La société EGIS a réalisé une étude concernant les ouvrages d’arts, celle-ci sera en discussion en septembre. Concernant la RN 135, elle sera probablement reprise par le département. Enfin, des travaux débuteront début 2020 par le déplacement des réseaux, notamment de gaz.
Titulaire de la maîtrise d’œuvre du contournement de Velaines, la société EGIS a réalisé une étude sur le positionnement des ouvrages d’art dans la traversée communale. Il reste à déterminer le rétablissement des voies et l’implantation des chemins de desserte situés le long de la déviation.
Le maillage présenté par EGIS propose neuf tronçons mais celui-ci doit être confronté à ce qui a été amorcé dans le plan d’aménagement foncier. Afin de déterminer la proposition la plus favorable, une superposition des deux projets est programmée en septembre au siège du département.
Cependant, cette trame révèle quelques lacunes, notamment le passage faunique qui se trouve très éloigné des zones de fréquentation des sangliers.
Sur le plan administratif, une réunion du conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques a permis de valider le projet donnant ainsi l’autorisation au préfet de publier l’arrêté.
Quant à l’actuelle RN 135, elle sera en principe reprise par le département selon des règles qui restent à définir notamment sur l’état du revêtement et la présence d’amiante dans la chaussée.
« En principe, la commune n’héritera pas de l’ex 135. Par contre une réflexion doit être menée sur le devenir et l’aménagement de la traversée du village en présentant un schéma d’ensemble qui sera pris en compte lors de la réalisation des travaux. En bref, il faut dessiner ce que Velaines sera dans cinq ans » indique le maire.
Début novembre, l’état signifiera aux agriculteurs et ex-propriétaires qu’ils devront cesser toute exploitation. Les travaux planifiés jusqu’en 2024 commenceront début 2020 par le déplacement des réseaux gaz, électricité, téléphone, fibre, etc.
À ce jour, les sondages géothermiques sont achevés permettant l'ouverture aux sondages archéologiques début novembre.
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La liste des mémoriaux et cimetières militaires du département de la Meuse répertorie les cimetières militaires, les mémoriaux ainsi que les stèles, plaques commémoratives et autres monuments qui honorent la mémoire des morts aux combats, des victimes de bombardements ou d’exactions de l'ennemi ainsi que celle de personnels de santé, de chefs militaires ou politiques pendant :
Bar-le-Duc :
lieu-dit « La Fédération » : monument aux cinq jeunes résistants fusillés, le 28 août 1944
borne commémorative : « En reconnaissance à la 3e Armée américaine qui libéra Bar-Le-Duc le 31 août 1944 »
stèle « Hommage aux victimes des persécutions racistes et antisémites »
Esnes-en-Argonne :
monument au 23e Régiment d'infanterie coloniale, au 3e Régiment d'artillerie coloniale, et au colonel Crosson
mémorial de 76 I.D.
Lachalade :
Forêt de Lachalade (près du cimetière militaire de La Forestière), stèle à la mémoire d'un équipage de la R.A.F. tombé en 1943
cimetière communal : tombes militaires
Verdun : Monument de la Voie Sacrée et de la Voie de la Liberté
Guerres coloniales
Verdun : monument aux anciens d'Indochine de la Meuse
Saint-Mihiel : mémorial départemental aux morts pour la France en Afrique du Nord 1952-1962
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La liste des mémoriaux et cimetières militaires du département de la Meuse répertorie les cimetières militaires, les mémoriaux ainsi que les stèles, plaques commémoratives et autres monuments qui honorent la mémoire des morts aux combats, des victimes de bombardements ou d’exactions de l'ennemi ainsi que celle de personnels de santé, de chefs militaires ou politiques pendant :
Abaucourt-Hautecourt : cimetière militaire allemand d'Hautecourt
Amel-sur-l'Étang : cimetière militaire allemand
cimetière militaire allemand
cimetière militaire allemand du Bochet
Bouligny : cimetière militaire allemand
Brieulles-sur-Meuse : cimetière militaire allemand de Brieulles-sur-Meuse
Cheppy : cimetière militaire allemand de Cheppy
Consenvoye : cimetière militaire allemand de Consenvoye
Damvillers : cimetière militaire allemand
Dannevoux : cimetière militaire allemand
Douaumont : Fort de Douaumont
Dun-sur-Meuse: cimetière militaire allemand
Épinonville : cimetière militaire allemand
Harville : cimetière militaire allemand
Liny-devant-Dun : cimetière militaire allemand
Lissey : cimetière militaire allemand
Maizeray : cimetière militaire allemand
Mangiennes : cimetière militaire allemand
Merles-sur-Loison : cimetière militaire allemand
Montmédy : cimetière militaire allemand
Nantillois : cimetière militaire allemand
Peuvillers : cimetière militaire allemand
Rembercourt-Sommaisne : cimetière militaire allemand
Romagne-sous-les-Côtes : cimetière militaire allemand
Romagne-sous-Montfaucon : cimetière militaire allemand
Saint-Maurice-sous-les-Côtes : cimetière militaire allemand
Saint-Mihiel :
cimetière militaire allemand de Gobessart
monument allemand, « le lion bavarois »
Troyon : cimetière militaire allemand
Vaux-lès-Palameix : monument au 4e régiment d'infanterie bavarois
Viéville-sous-les-Côtes : cimetière militaire allemand
Ville-devant-Chaumont : cimetière militaire allemand
Montsec : Butte de Montsec
Montfaucon-d'Argonne : monument américain de Montfaucon
Romagne-sous-Montfaucon : cimetière américain de Romagne-sous-Montfaucon
Ambly-sur-Meuse : Nécropole nationale
Apremont-la-Forêt : Nécropole nationale de Marbotte
Avocourt : Nécropole nationale d'Avocourt
Bar-le-Duc : Nécropole nationale (Bar-le-Duc)
Beaumont-en-Verdunois :
Bois des Caures : monument aux chasseurs des 56e et 59e bataillons de chasseurs à pied
Belleray : Nécropole nationale
Bonzée : Nécropole nationale de Mont-sous-les-Côtes, Mont-Villers
Brandeville : Nécropole nationale
Bras-sur-Meuse : Nécropole nationale de Bras-sur-Meuse
Brieulles-sur-Meuse : Nécropole nationale
Buzy-Darmont :Nécropole nationale de Buzy
Chattancourt : Nécropole nationale
Combres-sous-les-Côtes :
monument du Point X, « Les Eparges 1914-1918 »
monument à la mémoire des morts de la 12e DI, au point C ;
Commercy : Nécropole nationale
Cumières-le-Mort-Homme :
chapelle Saint-Remi et enclos du souvenir
monument à la 69e division d'infanterie, « Ils n'ont pas passé »
Dieue-sur-Meuse : Nécropole nationale de Dieue
Dombasle-en-Argonne : Nécropole nationale du Bois de Béthelainville
Douaumont : Tranchée des Baïonnettes
Dugny-sur-Meuse : Nécropole nationale
Les Éparges :
nécropole nationale du Trottoir ;
Monument au 106e régiment d'infanterie ;
monument au 302e régiment d'infanterie : une simple stèle entourée de pavés ;
statue-buste de Maurice Genevoix.
Esnes-en-Argonne :
nécropole nationale d'Esnes-en-Argonne ;
monument de la cote 304 ;
monument du 173e Régiment d'Infanterie
Fleury-devant-Douaumont :
Ossuaire de Douaumont
Nécropole nationale de Douaumont
Haudainville : Nécropole nationale
Les Islettes : Nécropole nationale
Lachalade :
nécropole nationale de La Forestière
ossuaire de la Haute-Chevauchée
Lacroix-sur-Meuse : Nécropole nationale
Landrecourt-Lempire : Nécropole nationale
Nixéville-Blercourt : Monument de la Voie sacrée
Récicourt : Nécropole nationale de Brocourt-en-Argonne
Rembercourt-Sommaisne : Nécropole nationale
Revigny-sur-Ornain : Nécropole nationale
Rupt-en-Woëvre : Nécropole nationale
Saint-Mihiel : Nécropole nationale de Vaux-Racine
Saint-Remy-la-Calonne : Nécropole nationale
Senoncourt-les-Maujouy : Nécropole nationale
Les Souhesmes-Rampont : Nécropole nationale de Fontaine-Routhon
Sommedieue : Nécropole nationale
Stenay : carré militaire du cimetière communal, tombes individuelles de soldats français et ossuaire pour 183 soldats morts en captivité
Trésauvaux : Nécropole nationale
Troyon : Nécropole nationale
Vadelaincourt : Nécropole nationale
Vauquois :
nécropole nationale
Butte de Vauquois : monument « Aux combattants et aux morts du Vauquois »
Verdun :
Nécropole nationale de Bevaux
Nécropole nationale du Faubourg-Pavé
Nécropole nationale de Glorieux
Monument « à la Victoire et aux soldats de Verdun »
Monument de la Hollande amie
Monument de la Voie Sacrée et de la Voie de la Liberté
Ville-sur-Cousances : Nécropole nationale
Lachalade : Monument aux Garibaldiens
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La liste des mémoriaux et cimetières militaires du département de la Meuse répertorie les cimetières militaires, les mémoriaux ainsi que les stèles, plaques commémoratives et autres monuments qui honorent la mémoire des morts aux combats, des victimes de bombardements ou d’exactions de l'ennemi ainsi que celle de personnels de santé, de chefs militaires ou politiques pendant :
la guerre franco-allemande de 1870 ;
Bar-le-Duc :
monument « Aux enfants de la Meuse morts pour la patrie ».
Cimetière municipal : carré allemand et 18 tombes de soldats français.
Beausite
Amblaincourt : croix de 1870 devant l'annexe de la mairie.
Beauzée-sur-Aire : carré militaire de tombes de combattants de 1870.
Damvillers : ossuaire franco-allemand
Haudainville : tombe collective allemande
Luzy-Saint-Martin : cimetière militaire (1870-1871)
Saint-Mihiel : monument aux morts de 1870, se trouvant au bord du pont sur la Meuse, abimé lors de la Première Guerre mondiale et réutilisé pour les troupes de la 40e D.I .
Villers-devant-Dun : cimetière communal, tombes de 2 Français et 20 Allemands (1870-1871).
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