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Réforme des retraites : Pluie de sous-amendements

Publié à 21:07 par dessinsagogo55 Tags : texte sur center merci gain fond article centerblog
Réforme des retraites : Pluie de sous-amendements

Réforme des retraites : Pluie de sous-amendements, invectives... A l'Assemblée, des débats chaotiques sur le texte

REPORTAGE La guerilla parlementaire se poursuit à l’Assemblée nationale où les députés continuaient, ce jeudi, l’examen du projet de réforme des retraites

Laurent Pietraszewski, le
Laurent Pietraszewski, le — Jacques Witt/SIPA

La réforme des retraites est embourbée à l’Assemblée nationale, où la majorité et les oppositions se livrent une bataille parlementaire sans merci.

Entre attaques procédurières et chahut, voire invectives, l’ambiance est électrique dans l’hémicycle, tandis que l’examen des deux lois est ralenti.

A ce rythme, il semble peu probable que les députés puissent adopter la réforme dans les temps, avant le 6 mars, et le recours au 49.3 se profile.

Plus les séances s’enchaînent, plus le bout du tunnel semble s’éloigner. L’examen chaotique de la réforme des retraites se poursuit à l’ Assemblée nationale depuis ce lundi. Les députés examinent encore l’article premier du texte, instaurant un système « universel » et « par points ». La majorité et les oppositions s’écharpent et rivalisent de trouvailles dans cette bataille législative effrénée. Ce jeudi, dans l’hémicycle, les débats n’ont pas fait exception, avec son florilège d’invectives, de chahut, de suspensions de séances et de rappels du règlement…

Les oppositions, surtout de gauche, se sont saisies de tous les outils à leur disposition pour dénoncer une réforme « injuste » et « impopulaire », tandis que, dans la rue, des manifestants faisaient à nouveau part de leur opposition au texte. La majorité, moins audible, a dénoncé un « sabotage parlementaire », mais elle a été contrainte à reculer sur une mesure prise mercredi pour raccourcir les débats. 20 Minutes vous raconte ce match législatif.

Pluie de sous-amendements

Dès l’étape de la commission spéciale, les députés insoumis avaient opté pour une stratégie de bombardement massif d’amendements, en demandant la modification ou la suppression de chacun des alinéas des deux lois présentées par le gouvernement. En examen public, insoumis et communistes ont adopté une autre technique de guerre parlementaire : ils ont déposé des centaines de sous-amendements sur le premier article, et ils comptent en faire de même pour les suivants. Le principe étant d’amender chaque amendement, le plus souvent en proposant de changer ou d’ajouter un ou plusieurs mots, sans modifier le fond (par exemple remplacer les mots « pas de » par « aucune ») avec, à la clé, la possibilité de multiplier les prises de parole au micro de l’Assemblée. Pour Gilles Le Gendre, président du groupe macroniste à l’Assemblée, c’est « du sabotage parlementaire ».

Pour contrer cette avalanche de sous-amendements, le président de l’Assemblée Richard Ferrand (LREM) avait décidé ce mercredi d’appliquer une règle aux amendements ayant un objectif identique : les supprimer. « Si nous sous-amendons de cette manière, c’est parce que le président Ferrand a délibérément décidé de supprimer 1.184 amendements déposés par les députés communistes, c’est une première sous la Ve République ! », s’est notamment insurgé Fabien Roussel, demandant la réparation de « cette ignominie ».

 
 
Ferrand assouplit ses règles

Il a finalement obtenu gain de cause ce jeudi en début d’après-midi : la présidence de l’Assemblée rétropédale et renonce à supprimer les amendements identiques. « Ça va rajouter du temps de parole aux oppositions », concède Gilles Le Gendre, « mais ça en enlève aux polémiques »

 

Quant à l’opposition de droite, elle attaque également la majorité. « On n’a pas à être pris en otage entre insoumis, qui en rajoutent tout le temps, et LREM », soupire Eric Woerth, agacé. « A texte chaotique, débat chaotique », résume-t-il. Son collègue Patrick Hetzel a accusé la majorité « de saboter l’intégralité de ce débat parlementaire ».

Une majorité silencieuse et « frustrée »

Les députés de la majorité, quant à eux, se sont très peu fait entendre depuis le début de la semaine. « J’ai demandé la parole à 10 h, je l’obtiens à 13 h », s’étonne le MoDem Erwan Balanant. « A ce rythme, le premier amendement déposé par le MoDem sera examiné le 26 mai », soupire Patrick Mignola, chef de file des députés centristes. « Il y a une frustration, car nos députés ont beaucoup travaillé », reconnaît Marie Le Bec, vice-présidente du groupe LREM. « Certains se sont spécialisés sur certains points comme la pénibilité, ou certaines catégories professionnelles mais, pour l’instant, ils sont empêchés de s’exprimer ».

 
 
 

« On ne va pas prendre la parole juste pour le plaisir. Et on ne veut surtout pas participer à l’hystérisation des débats », explique Gilles Le Gendre, qui estime que les groupes insoumis et communistes ont monopolisé chacun 20 % du temps de parole, contre 7 % pour les marcheurs et 7 % pour les élus MoDem. Les députés LREM et MoDem ne se sont toutefois pas privés de chahuter l’opposition à plusieurs reprises.

 

 

Le député socialiste Boris Vallaud brandit le règlement de l'Assemblée nationale. Le député socialiste Boris Vallaud brandit le règlement de l'Assemblée nationale. - Jacques Witt/SIPA Invectives et brouhaha

Autre conséquence de ces débats sans fin, les tensions se sont multipliées. Dans le brouhaha, les députés de gauche ont multiplié les rappels au règlement, dénonçant avoir été molestés ou photographiés dans l’hémicycle, en violation des règles de l’Assemblée nationale. Une vive dispute a éclaté entre l’insoumise Clémentine Autain et l’UDI Meyer Habib, après qu’il a  insultée sa collègue dans un tweet.

 
 
 

Dans une telle atmosphère, les questions de fond n’ont pas trouvé beaucoup de réponses ce jeudi. « Quel sera le taux de remplacement ? » demande le député communiste Pierre Dharréville à Laurent Pietraszewski, secrétaire d’Etat chargé de la réforme des retraites. Mais cette interrogation sur le futur montant des pensions reste sans réponse.

Le temps file, les amendements défilent, mais les parlementaires en sont toujours à examiner l’article premier, sur les 65 que comporte la loi ordinaire. Ce qui fait dire, du bout des lèvres, à certains élus de la majorité, que l’article 49-3 de la Constitution pourrait être dégainé. « Je pense que nous finirons en 49-3 mais ce sera plutôt un 3-49, ce sera la faute de l’opposition », dit le MoDem Patrick Mignola. Le calendrier prévoit que les débats se poursuivent tous les jours, week-ends inclus, jusqu’au 6 mars.

 

 

 

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Traitées de «petites connes», des députées répondent à Habib

Publié à 20:01 par dessinsagogo55 Tags : article center centerblog sur femmes art
Traitées de «petites connes», des députées répondent à Habib
Traitées de «petites connes», des députées répondent à Meyer Habib à l’Assemblée
 
 
 
Un vif échange a opposé le député UDI à des élues de gauche, à la suite d’un de ses tweets les qualifiant de «petites connes».
 
Le 20 février 2020 à 17h42

L'ambiance était électrique, ce jeudi à l'Assemblée nationale. Alors que l'examen du projet de réforme des retraites est quasiment bloqué, un vif échange a opposé Clémentine Autain à Meyer Habib, à la suite d'un tweet du député UDI qualifiant de « petites connes » des élues de gauche, notamment des Insoumises.

Ce tweet avait été rédigé après la chorégraphie effectuée lundi dernier par plusieurs élues devant le Palais Bourbon pour protester contre le projet de réforme des retraites. Intitulée « À cause de Macron » et adaptée de la chanson « À cause des garçons », cette danse a été popularisée dans les cortèges contre la réforme des retraites.

La prestation des élues Insoumises a beaucoup circulé sur les réseaux sociaux, mais elle a déplu à Meyer Hadid. « #ACauseDesPetitesConnes. Après la tête #Macron sur une pique, parodie de lynchage @EmmanuelMacron […] @EstherBenbassa @Clem_Autain @ElsaFaucillon indignes de porter l'écharpe », a-t-il tweeté deux jours plus tard.

 

 
Vidéo intégrée
 
 
 
 
« Sexiste et insultant »

Ce jeudi, les députées concernées ont elles-mêmes réagi à ce tweet dans l'hémicycle. Marie-George Buffet (PCF) a dénoncé les « propos vulgaires » d'un député qui n'accepte « pas que des femmes se lèvent pour dire ce qu'elles pensent ».

Meyer Habib a alors réitéré ses propos devant les députés de l'Assemblée : « Toutes les limites ont été franchies. […] C'est pour ça que j'ai tweeté À cause des petites connes, c'est marrant. C'est scandaleux ce que vous faites ! Vous attisez la haine », a-t-il répondu.

 

 
Vidéo intégrée
 

Clémentine Autain, également visée par le tweet, s'est alors exprimée à son tour. « Traiter les parlementaires de petites connes est à la fois sexiste et insultant. Oui, nous avons chanté, nous avons dansé, nous avons parodié, nous avons contesté. C'est un droit fondamental », a-t-elle déclaré. Finalement, le député Insoumis Adrien Quatennens a également pris la parole pour exiger des excuses de la part de Meyer Habib et demander une suspension de séance. Si l'élu du Nord a obtenu cette suspension, le député UDI n'a en revanche pas présenté d'excuses.

 

https://www.youtube.com/watch?v=bIa-Ncb2KgM 

 

 

La chorégraphie anti-Macron qui scandalise LREM

 

 

 

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Affaire Griveaux : Macron raille en privé

Publié à 19:28 par dessinsagogo55 Tags : france monde mode center image centerblog article sur vie homme merci
Affaire Griveaux : Macron raille en privé
Affaire Griveaux : Macron raille en privé “une improbable carrière de cinéaste”
Par 
Auteur
valeursactuelles.com
 
/ Mercredi 19 février 2020 à 19:4827
 

En découvrant le scandale des vidéos intimes de Benjamin Griveaux, le chef de l’Etat n’aurait pas été tendre avec l’ancien candidat LREM à la mairie de Paris.

Il ne s’est pas publiquement exprimé sur l’Affaire Griveaux. Mais en coulisses, Emmanuel Macron n’aurait pas manqué de commenter le retrait de l’ancien porte-parole du gouvernement après le scandale de ses vidéos intimes. Comme le révèle Le Canard enchainé ce mercredi 19 juin, la première réaction du chef de l’état fut l’exaspération. « Mais quelle connerie ! Comment a-t-il pu faire ça ? Il y a des choses qu’on ne peut plus faire quand on est publiquement exposé », a lancé en privé le président de la République.

« Griveaux est un con »

Et d’ajouter : « Et certainement pas de commencer une improbable carrière de cinéaste. » Si, en public, de nombreux acteurs de la vie politique ont dénoncé les agissements de Piotr Pavlenski, l’activiste russe à l’origine du scandale, certains ont en revanche accablé Benjamin Griveaux. « Quand on est un homme politique, à l’époque des réseaux sociaux, on fait gaffe. Le mec qui fait pas gaffe, c’est un con, et Griveaux est un con », a ainsi lancé le cofondateur de Libération Serge July sur LCI. Pour rappel, Benjamin Griveaux a déposé plainte pour « atteinte à l’intimité de la vie privée ». A la suite de cette plainte, le parquet de Paris a saisi d’une enquête la brigade de répression de la délinquance contre la personne. Piotr Pavlenski et sa compagne Alexandra de Taddeo ont été mis en examen.

 

 

 

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Lawrence Tesler est mort

Publié à 12:18 par dessinsagogo55 Tags : photo article google divers center centerblog merci sur monde chez travail mort centre annonce texte
Lawrence Tesler est mort
Lawrence Tesler, inventeur de la célèbre commande informatique « copier-coller », est mort

Xerox a annoncé mercredi la mort de ce diplômé de l’université de Stanford, dans la Silicon Valley, à l’origine également du « trouver-remplacer » et de bien d’autres commandes.

Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 10h39, mis à jour à 11h17

 

La très populaire commande informatique dite du « copier-coller », entrée dans les mœurs grâce à Apple qui l’avait installée sur l’ordinateur Lisa en 1983 et sur le Macintosh l’année suivante, vient de perdre son inventeur.

« Votre journée de travail est plus facile grâce à ses idées révolutionnaires. Larry s’est éteint lundi, veuillez vous joindre à nous pour honorer sa mémoire ». C’est par cette annonce postée sur son compte Twitter mercredi 19 février que Xerox a fait part de la disparition, lundi, de Lawrence « Larry » Tesler. Né à New York en 1945, il avait fait une partie de sa carrière chez le fabricant d’imprimantes américain. « L’ancien chercheur de Xerox avait inventé le  “couper/copier” et “coller” , le “trouver et remplacer” et bien d’autres commandes », a précisé Xerox.

Ce diplômé de l’université de Stanford, dans la Silicon Valley, en Californie, était spécialisé dans les interactions entre les humains et les machines. Il avait notamment travaillé pour Amazon, Apple, Yahoo et le centre de recherche de Xerox à Palo Alto.

Dix-sept ans chez Apple

La capacité à « couper » et « coller » un morceau de texte sans passer par de nombreuses étapes compliquées aurait été inspirée par une technique antérieure à l’ère numérique, qui consistait à couper des portions de phrases imprimées et à les fixer ailleurs avec du ruban adhésif. Le cofondateur d’Apple, Steve Jobs, avait débauché Lawrence Tesler de chez Xerox en 1980. L’ingénieur y a passé dix-sept ans, accédant à la position de chef scientifique.

 

Il a ensuite créé une start-up d’éducation et a effectué des missions de travail sur l’expérience-utilisateur chez Amazon et Yahoo. Larry Tesler « combinait sa formation en science de l’informatique avec une contre-culture selon laquelle les ordinateurs devraient être pour tout le monde », a réagi le musée de l’histoire informatique de la Silicon Valley (Computer History Museum).

 

 

 

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Compte à rebours ; Gif dessinsagogo55

Publié à 07:07 par dessinsagogo55
Compte à rebours ; Gif dessinsagogo55

Compte à rebours

Actualité française : 1929

Publié à 23:47 par dessinsagogo55 Tags : center sur france centerblog
Actualité française : 1929

Actualité française

 

1929 mars
31/03/29 plan Young sur les réparations. Réduction des dommages de guerre dus par l’Allemagne.

 

1929 juillet
17/07/29 répression anticommuniste : la police perquisitionne à L'Humanité et au siège du parti.
27/07/29 démission du Président du Conseil Raymond Poincaré pour des raisons de santé.
29/07/29 Aristide Briand Président du Conseil

 

1929 septembre
19/09/29 conformément au plan Young, les troupes françaises commencent à évacuer la Rhénanie.

 

1929 octobre
19/10/29 les 154 membres du comité central du PCF sont inculpés pour complot contre la sécurité de l’État.
22/10/29 chute du gouvernement Briand.
29/10/29 « krach de 1929 » à Wall Street
31/10/29 vote d'un programme baptisé « politique de prospérité » pour stimuler le développement économique de la France, soutenir le marché de l’emploi et accroître la demande. 5 milliards de francs sont alloués au projet , financés par le déficit budgétaire. 1,7 milliard de francs alloués à l’agriculture (pour 1,7 milliard), 1,8 milliard à l’industrie , 1,4 milliard à la santé et l’enseignement. 3,5 milliards de francs sont également alloués aux colonies.
  Ce plan de grands travaux a permis la construction d’infrastructures (ports, chemins de fer, routes), l’électrification des campagnes, la construction du barrage de Kembs et du grand canal d’Alsace, mais aussi l’édification de la ligne Maginot.

 

1929 novembre
02/11/29 André Tardieu Président du Conseil.

 

1929 décembre
29/12/29 augmentation des déductions forfaitaires et du plafond des réductions d’impôt pour charges de famille.

 

    Yvette Labrousse : Miss France 1930
    Madeleine Mourgues : Miss France 1930

 

 

  Économie
  La richesse nationale se porte à 425 milliards de francs.
  1 US dollar = 0,25 franc français.
  Retour de l'inflation à 6,1 %.
  Programme de travaux publics de Tardieu.
  Limitation de l’augmentation des loyers à 150 % du loyer de 1914.
  Le budget reste excédentaire à 3 % du PIB (12,8 milliards de francs).
  Croissance du PIB à 8,7 %.
  1 % de la population active est au chômage.
  Dette stable à 85 % du PIB.

 

 

Naissances Décès Identité Profession N
8 février 1929   Claude Rich acteur fr
24 septembre 1929   Henri Laisné cheminot fr
  1929 Ferdinand Foch   fr
  1929 Georges Clemenceau   fr

 

 

 

 

 

La chorégraphie anti-Macron qui scandalise LREM

La chorégraphie anti-Macron qui scandalise LREM
La chorégraphie anti-Macron qui scandalise LREM
Par 
Auteur
/ Mardi 18 février 2020 à 14:0717
 
 

A la fin de cette performance, en première ligne de laquelle on aperçoit les élues LFI Clémentine Autain et Manon Aubry, un homme a l’effigie d’Emmanuel Macron se fait symboliquement lyncher par les participants. 

Tous les procédés sont bons pour les opposants à la réforme des retraites. Depuis plusieurs semaines, les manifestants ont trouvé un nouveau moyen d’attirer l’attention sur leur mécontentement : en dansant. Mais la dernière performance des anti-réforme n’est pas au goût de la Macronie, rapporte notamment le HuffPost. En cause ? Un simulacre de lynchage du président de la République. 

Parodie de lynchage effectuée par des élues de la République

Initiée par l’association altermondialiste Attac, la chorégraphie met en scène plusieurs dizaines de femmes, foulard rouge dans les cheveux, vêtues d’un bleu de travail et gantées de jaune, sur le modèle de Rosie la riveteuse, icône américaine des femmes travailleuses. Sur l’air de « A caus’des garçons », de Laurence Heller et Hélène Bérard (popularisée en 2007 par la chanteuse Yelle), les manifestantes chantent « A cause de Macron », en effectuant des pas de danse plus ou moins bien coordonnés. En première ligne, on aperçoit les députées LFI et PCF Clémentine Autain et Elsa Faucillon, la sénatrice EELV Esther Benbassa et l’eurodéputée insoumise Manon Aubry. Et c’est la présence de ces élues de la République qui a fait tiquer le camp macroniste. En effet, à la fin de la chorégraphie, toutes les femmes se réunissent autour d’un homme portant un masque à l’effigie du président de la République, et s’emploient à une parodie de lynchage. 

 
 
« Une occasion unique de porter un bleu de travail pour certaines »

Un « spectacle indigne » pour le porte-parole de LREM Jean-Baptiste Moreau. « Le ridicule ne tue pas et heureusement… Une occasion unique de porter un bleu de travail pour certaines », dénonce le député de la Creuse sur Twitter, estimant que les élues de la République participant à cette performance « n’hésitent pas à ridiculiser l’écharpe bleu blanc rouge », qu’Esther Benbassa porte à ce moment.

 

« 30 ans de mandats politique cumulés pour les quatre élues. Mais combien d’années dans une entreprise privée ? Combien d’années dans une usine ? », s’insurge, de son côté, le député de Maine-et-Loire Denis Masséglia. « Les salariés de nos usines méritent mieux que des personnes qui parlent comme un livre d’une société qui n’est plus celle du fordisme », ajoute-t-il. 

 

 
 

https://www.youtube.com/watch?v=bIa-Ncb2KgM

 

 

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Olivier Faure accuse Christophe Castaner d’avoir commis...

Olivier Faure accuse Christophe Castaner d’avoir commis...
Olivier Faure accuse Christophe Castaner d’avoir commis « une faute grave » en l’attaquant sur sa vie privée

Mercredi matin, le ministre de l’intérieur a mis en cause le patron des socialistes en revenant sur l’affaire de la vidéo à caractère sexuel de Benjamin Griveaux. M. Faure a réagi lors d’une conférence de presse mercredi après-midi.

Par Sylvia Zappi Publié aujourd’hui à 12h34, mis à jour à 16h22

 

Oliver Faure a décidé de convoquer une conférence de presse pour réagir à la saillie de Christophe Castaner sur France Inter mercredi 19 février. « L’affaire est trop grave », fait-on remarquer au cabinet du premier secrétaire du Parti socialiste (PS). Le député de Seine-et-Marne estime qu’une attaque sur la vie privée d’un opposant mérite une riposte et veut ainsi rappeler solennellement quelques principes du débat public.

Lors de la matinale de France Inter, le ministre de l’intérieur avait mis en cause le patron des socialistes en revenant sur l’affaire de la vidéo à caractère sexuel de Benjamin Griveaux : « Les politiques doivent rester des femmes et des hommes, sinon ils se coupent de la réalité. […] J’ai été surpris d’entendre Olivier Faure à votre micro. Je le connais bien à titre personnel depuis longtemps, je l’ai accompagné dans ses divorces et ses séparations. J’ai été étonné de ses leçons de morale », a-t-il lancé.

 

Sur cette même matinale, lundi, M. Faure, avait déclaré à propos de la vidéo de l’ancien candidat à la mairie de Paris :

« Quand vous êtes un homme ou une femme publique, un décideur public, un ministre, vous devez prendre toutes les précautions d’usage pour ne jamais être à la portée des maîtres-chanteurs. »

Le propos a visiblement déplu au ministre de l’intérieur qui a décidé de riposter en évoquant lui-même la vie privée de M. Faure.

« Une ligne rouge a été franchie »

« Ce matin, une ligne rouge a été franchie. Le fait pour un ministre de l’intérieur de chercher à intimider l’un des dirigeants de l’opposition en ayant recours à des insinuations relevant de sa vie privée est une atteinte au fondement de la démocratie », a réagi M. Faure lors d’une conférence de presse organisée mercredi après-midi, à l’Assemblée. Pour le patron du PS, M. Castaner « a commis une faute grave ». Il estime que son attaque radiophonique « n’est pas une affaire personnelle, c’est une question de principes » et en appelle au président de la République « garant de nos institutions, [pour] convoquer le ministre de l’intérieur dans les meilleurs délais et en tirer les conséquences ».

 

« Délation », « bassesse »… De nombreuses personnalités de tous bords politiques ont également critiqué les propos de Christophe Castaner, mercredi. « Amateur en tant que ministre ? Mais professionnel de l’attaque minable. Ces propos déshonorent leur auteur et le mettent au niveau de ceux qu’il prétend combattre dans cette pathétique affaire », a cinglé le patron des sénateurs socialistes Patrick Kanner. 

« Ministre de l’intérieur de la cour de recréation. Franchement, on savait que ça ne volait pas très haut, mais là on atteint un niveau… », a tweeté Raphaël Glucksmann, député européen élu apparenté PS. « On savait que c’était un mauvais ministre, c’est aussi un mauvais pote ! Et puis sur la morale d’un autre siècle », a enchaîné Elsa Faucillon, députée du Parti communiste français (PCF) des Hauts-de-Seine. « De quel droit le ministre de l’intérieur dévoile-t-il la vie privée d’Olivier Faure ? LRM peut réclamer l’anonymat sur les réseaux sociaux, son ministre est une vraie balance ! », a affirmé de son côté Fabien Roussel, secrétaire national du PCF.

 

A droite également, la saillie a choqué : « Olivier Faure a rappelé une évidence : Benjamin Griveaux a manqué de prudence et a commis une faute. En attaquant Olivier Faure sur sa vie privée, Christophe Castaner fait la preuve de la bassesse dont est capable ce pouvoir qui dégrade chaque jour davantage le climat politique », a réagi Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat.

« Ni menace ni attaque personnelle »

La phrase du ministre de l’intérieur a fait grincer des dents jusqu’au sein du gouvernement. « Ce n’est pas bien de dire les choses comme cela, encore moins lorsque vous êtes ministre de l’intérieur », estime un ministre qui considère qu’« on ne peut pas dénoncer l’utilisation d’informations privées contre Benjamin Griveaux et faire la même chose contre Olivier Faure ».

Face à cette avalanche de critiques, M. Castaner a réagi lui-même dans la journée sur Twitter dans un message adressé à Olivier Faure : « Cher @faureolivier, il n’y avait ni menace ni attaque personnelle dans mon propos. Nous nous connaissons depuis assez longtemps pour savoir l’un et l’autre que la vie n’est pas linéaire. Et nous y avons quelquefois fait face ensemble. »

MM. Castaner et Faure se connaissent bien. Avec Benoît Hamon, ils ont tous deux fait leurs classes chez les jeunes rocardiens et sont restés longtemps proches au sein du PS – membres des mêmes courants et partageant la même approche sociale-démocrate. Jusqu’à ce que le maire de Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence) rompe avec le PS et rejoigne le mouvement En marche ! d’Emmanuel Macron avant la présidentielle de 2017.

Depuis, la rancœur s’est installée. Christophe Castaner avait été dans le viseur de M. Faure après son escapade filmée en boîte de nuit au soir d’une mobilisation des « gilets jaunes », en mars 2019. « Quand on est ministre de l’intérieur, on est 24 heures sur 24 au service de la République. Imaginez qu’à l’heure où il était en boîte de nuit, il y ait eu un attentat. Imaginez qu’on l’ait retrouvé à moitié saoul. Il y a quand même une dignité à assumer jour et nuit », avait-il déclaré.

 
 
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Actualité française : 1889

Publié à 16:09 par dessinsagogo55 Tags : pouvoir centerblog sur france place création
Actualité française : 1889

Actualité française

1889 janvier
10/01/89 traité signé entre Binger et le roi dioula de Kong Karamoko Oulé Ouattara. La France établit son protectorat sur la Côte d’Ivoire.
27/01/89 le général Boulanger triomphe à Paris lors des élections législatives partielles avec 245 000 voix contre 162 000 au candidat radical modéré et 17 000 au candidat blanquiste. Il fête son succès au restaurant Durand place de la Madeleine quand ses partisans l'invitent à marcher sur l’Élysée pour prendre le pouvoir, mais il refuse et rejoint sa maîtresse Madame de Bonnemains.

 

1889 février
04/02/89 à la suite du refus des chambres d'accorder à la compagnie du canal de Panama une prorogation, celle-ci est dissoute et liquidée4. Plus de 85 000 souscripteurs, en majorité des petits épargnants français, perdent leurs versements et sont ruinés5. Nombre d'entre eux se suicident. Début du scandale de Panama (1889-1893).
13/02/89 rétablissement du scrutin d'arrondissement pour les élections législatives. Les républicains organisent la résistance pour freiner la montée du Boulangisme.
14/02/89 mis en minorité à la Chambre qui vote l'ajournement de la révision constitutionnelle, le gouvernement Charles Floquet doit démissionner.
18/02/89 le général Archinard prend Koundian. Il conquiert les restes de l’empire de El Hadj Omar (Mali) de 1889 à 1892
22/02/89 gouvernement Pierre Tirard (fin le 13 mars 1890).
28/02/89 perquisitions au siège dela Ligue des patriotes 9 place de la Bourse

 

1889 avril
01/04/89 le général Boulanger, menacé de passer en Haute Cour pour trahison, s’enfuit à Bruxelles ; il se suicide en septembre 1891 sur la tombe de sa maîtresse.
04/04/89 l'immunité parlementaire du général Boulanger est levée par la Chambre des députés.
08/04/89 décret instituant le Sénat en Haute Cour pour juger les Boulanistes

 

1889 mai
05/05/89 attentat contre Carnot place Beauvau. Jean-Nicolas Perrin tire une balle à blanc sur le président de la république qui se rend à Versailles.
05/05/89 début de la commémoration à Versailles du centenaire de la Révolution française (centenaire de la réunion des États généraux).
06/05/89 ouverture de l’Exposition universelle de Paris ; Buffalo Bill présente avec succès son Wild West Show. Vente des premières cartes postales illustrées, reproduisant une gravure de Léon-Charles Libonis éditée par le Figaro à 300 000 exemplaires lors de l'Exposition Universelle.
28/05/89 création à Clermont-Ferrand par André et Édouard Michelin de la manufacture de caoutchouc « Michelin et Cie ».

 

1889 juin
25/06/89 fondation du poste de Bangui par les frèrDolisie sur ordre de Savorgnan de Brazza
26/06/89 adoption d’une nouvelle loi sur la nationalité qui renoue avec le droit du sol, après près d'un siècle d'interruption. Elle attribue la nationalité française à tous les individus nés en France, sauf s’ils la refusent dans l’année qui suit leur majorité. Elle permet la naturalisation des étrangers européens nés en Algérie.

 

Naissances Décès Identité Profession N
23 février 1889 19 février 1963 Gaston Garchery acteur fr
4 mars 1889 16 novembre 1962 Jean-Gabriel Domergue peintre et graveur  fr
5 juillet 1889 11 octobre 1963 Jean Cocteau, écrivain, cinéaste et dessinateur fr

 

 

 

 

 

Antoine Balpêtré

Publié à 14:22 par dessinsagogo55 Tags : film femmes sur prix monde saint amour chez belle mode mort dieu nuit fille livre maison center
Antoine Balpêtré

Antoine Balpêtré est un acteur français, né le 3 mai 1898 à Lyon et mort le 29 mars 1963 dans le 5e arrondissement de Paris.

 

Après un Premier Prix au Conservatoire en 1919, il est engagé au Théâtre de l’Odéon avant d’entrer à la Comédie-Française en 1934. Il y enchaine les rôles et est l'interprète de Molière, Pirandello, Hugo, Racine, Edmond Rostand, Shakespeare, Paul Claudel et de bien d'autres auteurs.

Au cinéma, après cinq films tournés dans les années 1930, il figure sous l’Occupation dans quelques-uns des films les plus marquants de l'époque : La Main du diable de Maurice Tourneur (1942), L'assassin habite au 21 (1942) et Le Corbeau de Henri-Georges Clouzot (1943), films produits par la firme allemande Continental. Cela lui vaut d’être emprisonné pendant quelques mois à la Libération et d’être révoqué de la Comédie Française. Ensuite, il apparait notamment dans Justice est faite (1950) et Nous sommes tous des assassins (1952) d’André Cayatte, Le Plaisir de Max Ophüls (1952), Le Rouge et le Noir de Claude Autant-Lara (1954), Katia de Robert Siodmak (1959). Sur scène, il trouve l’un de ses derniers rôles dans La Chatte sur un toit brûlant de Tennessee Williams.

En juillet 1944, mandaté par Abel Bonnard, il participe à une cérémonie d'hommage à Philippe Henriot, ce qui lui sera reproché à la Libération.

Il a écrit un livre de souvenirs, Comédies chez Molière. Il a pour neveu Jacques Perrin

 

Filmographie

Comme acteur

1933 : La Maison du mystère de Gaston Roudès

1933 : L'Agonie des aigles de Roger Richebé

1935 : Gaspard de Besse d'André Hugon : Cabasse

1939 : Le monde tremblera ou La Révolte des vivants de Richard Pottier

1939 : Le Duel de Pierre Fresnay

1942 : La Main du diable de Maurice Tourneur

1942 : L'assassin habite au 21 de Henri-Georges Clouzot

1942 : Picpus de Richard Pottier

1943 : Le Corbeau de Henri-Georges Clouzot : le docteur Delorme

1946 : Le Visiteur de Jean Dréville

1947 : Paysans noirs de Georges Régnier

1947 : La Figure de proue de Christian Stengel : Le père Morfouage

1948 : Fort de la solitude de Robert Vernay

1949 : Le Paradis des pilotes perdus de Georges Lampin

1949 : Fantômas contre Fantômas de Robert Vernay

1949 : Millionnaires d'un jour d'André Hunebelle : Toubib

1949 : Orage d'été de Jean Gehret

1949 : Suzanne et ses brigands d'Yves Ciampi : Bevardel

1950 : Plus de vacances pour le Bon Dieu de Robert Vernay

1950 : Justice est faite d'André Cayatte : le Président

1950 : Dieu a besoin des hommes de Jean Delannoy : le père Gourvennec

1951 : Le Journal d'un curé de campagne de Robert Bresson : le docteur Delbende

1951 : Bel Amour de François Campaux

1952 : Le Plaisir de Max Ophüls - dans le sketch : "La maison Tellier"

1952 : Nous sommes tous des assassinsd'André Cayatte : Dr Dutoit

1952 : Le Fils de Lagardère (Il figlio di Lagardere) de Fernando Cerchio

1952 : Le Chemin de Damas de Max Glass : Gamaliel

1953 : La neige était sale de Luis Saslavsky : Holtz

1953 : Alerte au Sud de Jean Devaivre : Le juge

1954 : La Rage au corps de Ralph Habib

1954 : Avant le déluge d'André Cayatte : M. Dutoit

1954 : Adam est... Ève de René Gaveau

1954 : Mourez, nous ferons le reste de Christian Stengel

1954 : Le Rouge et le Noir de Claude Autant-Lara : L'abbé Pirard

1954 : La Maison du souvenir (Casa ricordi) de Carmine Gallone

1954 : Femmes libres (Una donna libera) de Vittorio Cottafavi

1955 : Le Dossier noir d'André Cayatte : Dutoit

1955 : Les Vitriers (Il piccolo vetraio) de Giorgio Capitani

1956 : Si Paris nous était conté de Sacha Guitry : Verlaine

1956 : Les Aventures de Till l'espiègle de Gérard Philipe

1957 : Le Cas du docteur Laurent de Jean-Paul Le Chanois

1957 : Les Vampires (I vampiri) de Riccardo Freda

1958 : Arènes joyeuses de Maurice de Canonge

1959 : Ce corps tant désiré de Luis Saslavsky

1959 : Katia de Robert Siodmak : Kilbatchich

1960 : Une fille pour l'été d'Édouard Molinaro

1960 : Les Mains d'Orlac d'Edmond T. Gréville - "à mettre sous réserves"

1960 : Le Président de Henri Verneuil

1960 : L'espionne sera à Nouméa de Georges Péclet

1961 : Le cave se rebiffe de Gilles Grangier : Lucas Malvoisin

1962 : Le Livre de San Michele (Axel Munthe, der Arzt von San Michele) de Giorgio Capitani et Rudolf Jugert : Leblanc

1962 : La Salamandre d'or de Maurice Regamey

1962 : La Chambre ardente de Julien Duvivier : Dr. Hermann

1963 : Mathias Sandorf de Georges Lampin : Bathory

Théâtre

1920 : L'Admirable Crichton de J. M. Barrie, adaptation Alfred Athis, Théâtre Antoine

1923 : La Couronne de carton de Jean Sarment, Théâtre de l'Odéon

1924 : Jésus de Nazareth de Paul Demasy, mise en scène Firmin Gémier, Théâtre de l'Odéon

1924 : Ysabeau de Paul Fort, mise en scène Firmin Gémier, Théâtre de l'Odéon

1926 : Parmi les loups de Georges-Gustave Toudouze, mise en scène Firmin Gémier, Théâtre de l'Odéon

1926 : Le Dernier Empereur de Jean-Richard Bloch, mise en scène Armand Bour, Théâtre de l'Odéon

1928 : Le Jeu de l'amour et de la mort de Romain Rolland, mise en scène Firmin Gémier, Théâtre de l'Odéon

1931 : Le Sauvage de Tristan Bernard, mise en scène Henri Burguet, Théâtre Albert 1er

1933 : Marc Aurèle de Jean Le Marois, mise en scène Georges Pitoëff, Théâtre de l'Avenue

1933 : Libeleï d'Arthur Schnitzler, mise en scène Georges Pitoëff, Théâtre du Vieux-Colombier

1933 : Les Derniers Masques d'Arthur Schnitzler, mise en scène Georges Pitoëff, Théâtre du Vieux-Colombier

1934 : La Couronne de carton de Jean Sarment, Comédie-Française

1934 : L'Otage de Paul Claudel, mise en scène Émile Fabre, Comédie-Française

1934 : Bérénice de Jean Racine, Comédie-Française : Paulin (20 fois de 1934 à 1944)

1935 : Madame Quinze de Jean Sarment, mise en scène de l'auteur, Comédie-Française

1937 : Les affaires sont les affairesd'Octave Mirbeau, mise en scène Fernand Ledoux, Comédie-Française

1937 : Chacun sa vérité de Luigi Pirandello, mise en scène Charles Dullin, Comédie-Française

1937 : Mithridate de Jean Racine, mise en scène Jean Yonnel, Comédie-Française

1938 : Le Portrait de Carmontelle,Comédie-Française

1938 : Iphigénie de Racine, mise en scène Marie Ventura, Comédie-Française

1938 : Ruy Blas de Victor Hugo, mise en scène Pierre Dux, Comédie-Française

1938 : Tricolore de Pierre Lestringuez, mise en scène Louis Jouvet, Comédie-Française

1938 : Carmosine d'Alfred de Musset, mise en scène Jean Debucourt, Comédie-Française

1938 : Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand, mise en scène Pierre Dux, Comédie-Française

1939 : Les Trois Henry d'André Lang, mise en scène Émile Fabre, Comédie-Française

1939 : L'Amour médecin de Molière, Comédie-Française

1939 : Le Jeu de l'amour et de la mort de Romain Rolland, mise en scène Denis d'Inès, Comédie-Française

1939 : La Belle Aventure de Gaston Arman de Caillavet, Robert de Flers, Étienne Rey, Comédie-Française

1940 : 29 degrés à l'ombre d'Eugène Labiche, mise en scène André Brunot, Comédie-Française

1940 : Le Mariage forcé de Molière, mise en scène Fernand Ledoux, Comédie-Française

1940 : Le Carrosse du Saint-Sacrementde Prosper Mérimée, mise en scène Jacques Copeau, Comédie-Française

1940 : Le Cid de Corneille, mise en scène Jacques Copeau, Comédie-Française

1940 : La Nuit des rois de William Shakespeare, mise en scène Jacques Copeau, Comédie-Française

1941 : Lucrèce Borgia de Victor Hugo, mise en scène Émile Fabre, Comédie-Française

1941 : Noé d'André Obey, mise en scène Pierre Bertin, Comédie-Française

1942 : Gringoire de Théodore de Banville, mise en scène Denis d'Inès, Comédie-Française

1942 : Hamlet de William Shakespeare, mise en scène Charles Granval, Comédie-Française

1942 : La Reine morte d'Henry de Montherlant, mise en scène Pierre Dux, Comédie-Française, Théâtre des Célestins

1943 : Vidocq chez Balzac d'Émile Fabred'après Honoré de Balzac, mise en scène Émile Fabre, Comédie-Française

1943 : Le Chevalier à la mode de Florent Carton Dancourt, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française

1943 : Les Boulingrin de Georges Courteline, Comédie-Française

1943 : Iphigénie à Delphes de Gerhart Hauptmann, mise en scène Pierre Bertin, Comédie-Française

1943 : La Légende du chevalier d'André de Peretti Della Rocca, mise en scène Julien Bertheau, Comédie-Française

1943 : Le Soulier de satin de Paul Claudel, mise en scène Jean-Louis Barrault, Comédie-Française

1944 : Horace de Corneille, mise en scène Mary Marquet, Comédie-Française

1946 : Winterset de Maxwell Anderson, mise en scène André Certes, Théâtre des Carrefours

1947 : Borgia de Herman Closson, mise en scène Claude Sainval, Comédie des Champs-Élysées

1948 : Polyeucte de Pierre Corneille, Théâtre de la Comédie de Lyon

1951 : Le Songe d'une nuit d'été de William Shakespeare, mise en scène Charles Gantillon, Grand théâtre romain de Fourvière

1951 : Vogue la galère de Marcel Aymé, mise en scène Georges Douking, Théâtre de la Madeleine

1952 : Antoine et Cléopâtre de William Shakespeare, mise en scène Jean-Louis Barrault, Théâtre des Célestins

1954 : La Roulotte de Michel Duran, mise en scène Alfred Pasquali, Théâtre Michel

1956 : La Gueule du loup de Stephen Wendt Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène Marc-Gilbert Sauvajon, Théâtre de la Porte-Saint-Martin

1956 : La Chatte sur un toit brûlant de Tennessee Williams, mise en scène Peter Brook, Théâtre Antoine

1958 : La Cathédrale de cendres de Berta Dominguez D., mise en scène Abel Gance, Théâtre de l'Alliance française

1960 : Le Signe de kikota de Roger Ferdinand, mise en scène Fernand Gravey, Théâtre des Nouveautés