Statistiques

Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour : 21.06.2024
18121 articles


Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1201)
· A à Z : Sommaire (349)
· Mannequin de charme (955)
· Musique (400)
· Calendrier : Événements (333)
· Monde : France (2683)
· Département : Meuse (285)
· Cinéma : Films à classer (154)
· Calendrier : Naissances (246)
· Mannequin (211)

Rechercher
Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "dessinsagogo55" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Thèmes

afrique air amour annonce art article background base belle bleu blogs cadre

Articles les plus lus

· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)

· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara

Voir plus 

Derniers commentaires

Gaston Garchery

Publié à 12:51 par dessinsagogo55 Tags : film amour mort histoire nuit center

Pascal Vigneron

Pascal Vigneron

Pascal Vigneron, né le 23 juin 1963 à Commercy, dans la Meuse, est un musicien français, à la fois trompettiste, organiste, et chef d'orchestre.

Biographie

Sa généalogie remonte jusqu'en 1841, ou ses ancêtres résidaient dans la commune de Bruley, sur les côtes de Toul. Il a été professeur à l'École normale de musique de Paris de 1999 a 2007 et est l'initiateur et le directeur artistique du Festival Bach de Toul, festival créé en 2010.

Trompette

Héritier de la tradition de l’École française de trompette léguée par ses maîtres Roger Delmotte et Marcel Lagorce il a eu comme objectif de faire connaître cet instrument par le biais d’œuvres originales de Renaissance à nos jours. Pédagogue, musicologue, passionné par l’art et la facture instrumentale, il a été un collaborateur privilégié , et non essayeur, de la Société Henri Selmer pendant 20 ans, dirigée par Patrick Selmer (http://www.selmer.fr) .

Organiste

Il fut élève de Jacques Marichal (organiste à Notre-Dame de Paris). En 2005, après un travail de plus de quatre ans, il édite l'Art de la fugue de Johann Sebastian Bach avec une nouvelle instrumentation, pour cuivres, bois et orgue selon l’ordonnancement de Jacques Chailley. La critique internationale a rendu hommage à cette nouvelle version (The Independant, Midi libre, Télérama).

En tant qu'organiste, il a enregistré en compagnie de Dimitri Vassilakis et de Christine Auger le clavier bien tempéré de Bach. Il a également enregistré en 2008 les Variations Goldberg sur le Grand Orgue Curt Schwenkedel de la Cathédrale de Toul. Il vient de réaliser une nouvelle instrumentation de l'Offrande musicale BWV 1079. Un album consacré au livre d'orgue de Jean-Baptiste Nôtre, organiste de la Cathédrale de Toul va voir prochainement le jour, ainsi qu'un album récital allant de Du Caurroy à Charles Tournemire.

Chef d'orchestre

Pascal Vigneron est le chef d'orchestre de l'Orchestre de chambre du Marais. Il a dirigé le Requiem allemand de Brahms, les grandes œuvres lyriques de Mozart, la Symphonie fantastique d'Hector Berlioz, L'Histoire du soldat de Stravinsky avec en soliste des musiciens tels, Hae Sun Kang, Dimitri Vassilakis, André Isoir, Michel Chapuis, François Castang, Monique Zanetti, Jérôme Correas, Kun Woo Paik, Sergei Edelmann, Sylvie Hue... Il a enregistré les Quatre Saisons d'Antonio Vivaldi avec en violon solo Frédéric Pelassy.

Il a à son actif plus de 28 enregistrements : l'intégrale de l’œuvre avec trompette de Jean Langlais, l'intégrale des chorals de Johann Ludwig Krebs, les concertos de trompette de Haydn, Hummel, Telemann, de nombreuses pièces baroques dont les Concertos pour orgue opus 4 de Haendel avec Michel Chapuis.

Des créations lui sont dédiées : des pièces de Pierre Jansen (Grand Prix symphonique de la Sacem), Antoine Tisné, Pierre-Yves Level, Pierre Lantier.

Il a également enregistré les Paraphrases sur Les Jours de l'Apocalypse d'après les poèmes d'Armel Guerne (Éditions du Zodiaque, 1967), en compagnie de Marie-Christine Barrault. Ils ont d'ailleurs inauguré ensemble la cathédrale Saint-Étienne de Toul le 20 septembre 2008 devant plus de 1 200 personnes.

Autres activités

Pascal Vigneron maitrise les techniques numériques de l'audio et de la vidéo. À ce titre il a été directeur artistique par l'Orchestre national d'Île-de-France sous la direction de Yoel Levi, pour l'intégrale des symphonies de Charles Camille Saint-Saëns. Directeur du Label Quantum classic, il est depuis 2010 le Directeur Artistique du Festival Bach de Toul en Lorraine.

Discographie

Johann Sebastian Bach

L’art de la fugue BWV 1080 pour cuivres, bois et orgue (Ordonnance des Fugues Jacques Chailley - Instrumentation Pascal Vigneron)

Johann Sebatian Bach, Le Clavier Bien Tempéré, vol.I et II, Enregistrement avec les trois instruments requis (orgue, piano, clavecin) accordés au tempérament Werckmeister III avec Dimitri Vassilakis et Christine Auger, enregistrement préfacé de Michel Chapuis et de Gilles Cantagrel

Johann Sebastian Bach, les Variations Goldberg premier enregistrement critique avec les trois instruments à claviers - Pascal Vigneron, orgue, Dimitri Vassilakis, piano et Christine Auger, clavecin.

Johann Sebastian Bach, L'Offrande musicale, Pascal Vigneron, orgue Curt Schwenkedel du Temple de l'Annonciation de Paris

Solistes de l'Orchestre de Chambre du Marais, ensemble de cuivres Pascal Vigneron.

Johann Sebastian Bach, Les Arias pour Mezzo-Soprano et instruments obligés, Pascal Vigneron, Orgue Curt Schwenkedel du Temple de l'Annonciation de Paris, Anne Maugard, Mezzo-Soprano, Vinh Pham, violon, Patricia Nagle, Flûte, Pierre Makareenko, Hautbois.

Johann Sebastian Bach, Les Partitas I-II-III, Pascal Vigneron, orgue Curt Schwenkedel du Temple de l'Annonciation de Paris, de la Cathédrale de Toul et de l'église d'Arques-la-Bataille

Johann Sebastian Bach, Transcriptions pour Bugle et Piano, chorals de préludes, sonates et arias

Johann Sebastian Bach, Les Suites pour Violoncelles, transcrites pour bugle à quatre pistons

Jean-Baptiste Nôtre

Jean-Baptiste Nôtre, Le Livre d'orgue, Premier enregistrement mondial

Antonio Vivaldi

Antonio Vivaldi, Les Quatre Saisons, Frédéric Pelassy, Violon - Orchestre de Chambre du Marais - P.Vigneron

Musique baroque et classique

Georg Friedrich Haendel Concertos pour Orgue et Orchestre, Michel Chapuis, Orgue, Orchestre du Marais, Pascal Vigneron

Les Grands Concertos pour Trompette : Haendel, Telemann, Mozart, Haydn, Hummel avec l'Orchestre de Chambre de Prague

Divers enregistrements avec Orgue avec Pierre Méa, Vincent Warnier, Jacques Amade, Jean-Paul Imbert, Michael Matthes, etc.

Plusieurs récitals de Musique Italienne, Anglaise, Allemande

Johann Ludwig Krebs : Intégrale des chorals pour trompette et orgue (Première Mondiale)

L’Art du Cantus Firmus vol.1&2, Bach, Précurseurs, Contemporains et Élèves

Le grand orgue restauré de la cathédrale de Toul (œuvres de Couperin, Bach, Haydn, Mendelssohn, Giroud, Tournemire, Messiaen, Gigout, Haendel), 2016.

Musique française du xxe et du xxie siècle dont plusieurs créations dédiées

Jacques Chailley, Pierre Jansen, Antoine Tisné, Pierre Yves Level, Marcel Landowsky, Jean Rivier, André Jolivet, Pierre Ancelin (avec orgue)

Jean Aubain, Pierre Lantier, Georges Enesco, Jean Hubeau, Florent Schmitt (avec piano)

Jean Langlais, Intégrale des œuvres pour Trompette et Orgue

Paraphrases sur Les Jours de l'Apocalypse d'après les poèmes d'Armel Guerne en compagnie de Marie-Christine Barrault.

En cours (2009)

L'Anthologie du cornet à pistons, premier volume en 2007, sur vingt volumes prévus (Première mondiale)

Ensemble de cuivres Pascal Vigneron

L'Europe des Cuivres, Bach, Gabrielli, Purcell, Lejeune, ...

 

 

 
Liens externes                                                  
     
     
     
     
     
Notes et références                                                    
    Musique : Sommaire
    Musique : Postes (Sommaire)
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     
 

Actualité française : 1918

Publié à 00:24 par dessinsagogo55 Tags : sur création france société annonce centre saint paris marne mort center centerblog film
Actualité française : 1918

Actualité française

 

  Cartes d’alimentation.
  Création des Chèques postaux.
  La guerre a tué 1 450 000 soldats. La surmortalité civile est de 250 000 environ. Les naissances se sont effondrées, inférieures de 1,4 million à la normale. Au total, la population a diminué de 3 millions. Alfred Sauvy chiffre à 28 milliards-or l’ampleur des destructions matérielles dues à la guerre.
  Les dépenses militaires ont coûté 158,5 milliards de francs au pays, 60,5 ont été financés par la dette
  Les combats qui se déroulent encore sur le territoire national empêchent la tenue des élections législatives du printemps pour renouveler la chambre. Elles sont repoussées au mois de décembre 1919.

 

1918 janvier
08/01/18 le président Wilson annonce son programme de paix en « Quatorze points » : souveraineté de la Belgique, libération de la France, développement autonome des peuples de l'Autriche-Hongrie, création d'une Société des Nations. Il vise à transposer la démocratie libérale à l'échelle internationale et à asseoir l'expansion commerciale sur un ordre international mutuellement consenti.
28/01/18 l’ancien ministre Joseph Caillaux, accusé de défaitisme est arrêté et comparaît devant le Sénat constitué en Haute Cour.
  Janvier : création sous l'impulsion de Émile Marcesche de la première caisse d'allocations familiales.

 

1918 février
14/02/18 le gouvernement français envoie un courrier officiel à Nahum Sokolow dans laquelle il affirme que « l'entente est complète entre les gouvernements français et britanniques en ce qui concerne la question d'un établissement juif en Palestine ». Le 9 mai, c'est au tour du gouvernement italien d'envoyer une lettre à Sokolow, qui parle de la formation « d'un centre national israélite » et mentionne le respect des « droits politiques » des communautés non juives. Le président Wilson ne prend pas position officiellement.

 

1918 mars
  Mars - mai : grèves à Paris et Saint-Étienne.
  Mars - juillet : grande bataille de France.
09/03/18 passage à l'heure d'été pour réaliser des économies d'éclairage.
21/03/18 début de la 2e bataille de Picardie.
23/03/18 Paris est bombardée par les Pariser Kanonen.
26/03/18 le général Foch est nommé commandant-en-chef du front de l'Ouest, avec le titre de généralissime.

 

1918 mai
17/05/18 première expérience d’un service aérien postal entre Nice et la Corse.
27/05/18 bataille de l'Aisne. Offensive allemande du Chemin des Dames (fin le 6 juin). .
28/05/18 contre-offensive alliée en Picardie. La première division américaine enlève le village de Cantigny.
30/05/18 les Allemands atteignent la Marne à Château-Thierry. Neuf obus sont lancés sur Paris.

 

1918 juillet
15/07/18 offensive allemande en Champagne.
18/07/18 seconde bataille de la Marne.

 

1918 août
01/08/18 87 000 soldats déployés au Maroc contre les insurgés.
17/08/18 ligne postale entre Paris et Saint-Nazaire.

 

1918 septembre
15/09/18 libération de Nancy.

 

1918 novembre
09/11/18 mort de Guillaume Apollinaire, écrivain mort de la grippe espagnole.
11/11/18 signature de l'armistice à côté de Rethondes, en forêt de Compiègne.

 

  Économie
  La guerre a engendré d'importantes dépenses militaires, ce qui explique le fort endettement de la France (180 % du PIB).
  Les dépenses budgétées pour la guerre étaient évaluées à 20 milliards de francs (le budget pour 1914 est de 5 milliards) : les dépenses réelles furent de 140 milliards. Seuls 15 % furent couvertes par l'impôt (dont l'impôt sur le revenu voté en 1914 et appliqué en 1916-1917). La part des dépenses publiques dans le PIB est passée de 8,8 % en 1912 à 27,8 % en 1920. On eut d'abord recours à l'augmentation de la masse monétaire : en 1914, il y avait 6 milliards de francs en circulation ; en 1919 : 25,5 milliards. La Banque de France utilisa le stock d'or pour gager les premières dépenses à hauteur de 5 % à 8 % comme il était d'usage. Cependant, l'encaisse-or diminua fortement du fait des transactions interbancaires et internationales. Une autre solution pour couvrir les frais de guerre fut l'emprunt : auprès de la population française sous forme de « bons de la défense » (75 milliards à court terme, mais toujours renouvelés) et 25 milliards en emprunts à long terme.
  La richesse nationale du pays atteint 260 milliards de francs.
  L'inflation atteint 29,3 %.
  Le déficit public atteint le niveau abyssal de 54 milliards de francs (20,5 % du PIB).
  Le chômage reste faible à 4 %.
  Croissance du PIB.

 

  Cinéma
    Film français : 1918

 

Naissances Décès Identité Profession N
  24/08/18 Henriette Moriamé résistante Fr
  09/11/18 Guillaume Apollinaire poète et écrivain Fr
  02/12/18 Edmond Rostand auteur dramatique Fr

 

 

L’affaire Griveaux, révélatrice d’hypocrites

L’affaire Griveaux, révélatrice d’hypocrites

 

ANALYSE
19:05 17.02.2020(mis à jour 21:36 17.02.2020)
Par Maxime Perrotin
 

Hier héraut de la liberté d’expression, aujourd’hui agitateur aux méthodes kagébistes. Pavlenski n’est plus en odeur de sainteté dans la sphère politico-médiatique depuis qu’il a rendu publiques des vidéos à caractère sexuel que Benjamin Griveaux avait envoyées à sa compagne. Retour, non exhaustif, sur un retournement de veste retentissant.

Qu’arrive-t-il donc à nos confrères français? Où est donc passée leur bienveillance envers Piotr Pavlenski, «l'insoumis qui provoque Poutine», cet «artiste» qui «se mutile pour dénoncer la violence du régime russe» et qui «s'était imposé comme l'une des dernières voix dissidentes en Russie» où il est «persécuté pour ses convictions politiques»? Le ton a bien changé, dans la majorité des rédactions parisiennes, depuis que le réfugié politique russe a touché aux cheveux du candidat LREM à Paris et ex-porte-parole du gouvernement.

 

Emmanuel Macron et Vladímir Poutine (image d'archive)
© SPUTNIK . SERVICE DE PRESSE DU PRÉSIDENT RUSSE
Vidéos de Griveaux: quand le complotisme antirusse atteint le pouvoir français pour faire diversion
 
 
 
Celui qui était hier l’invité des plateaux du service audiovisuel public français, où l’on faisait la promotion de son livre, voit aujourd’hui son pedigree placardé dans ces mêmes médias, à commencer par les motifs de son arrestation vendredi 14 février, dans la foulée du retrait de Benjamin Griveaux de la course à l’investiture à la mairie de Paris, pour des violences commises lors du réveillon. Au-delà de l’étonnante réactivité des forces de l’ordre et du fait qu’aucun lien n’est ouvertement fait entre son arrestation le jour même de la chute du candidat macroniste pour une affaire remontant à plus d’un mois et demi, remarquons que lorsque Piotr Pavlenski avait été accusé de violences sexuelles en Russie, provoquant sa fuite à Paris et sa demande d’asile, les médias français s’étaient empressés à sa conférence de presse où il avait pu livrer sa version des faits, accusant le pouvoir russe de fomenter une «machination pour le décrédibiliser».

 

Des médias qui se sont par ailleurs montrés réticents quant à la diffusion de cette information forte incriminante pour le candidat. Si le doute était permis quant à la véracité de la source de cette vidéo lorsqu’elle fut mise en ligne et commença à circuler le 13 février, certaines rédactions contactées directement par Piotr Pavlenski n’ont «eu aucune hésitation à ne pas publier», ce qui relevait à leur yeux de la vie privée et qu’il ne s’agissait pas d’un harcèlement sexuel, justifiera une journaliste de Mediapart invitée sur le plateau d’une émission du service public.

«Quelle est la contradiction entre les déclarations de Benjamin Griveaux, défendant sa famille, expliquant qu’il va emmener ses enfants à l’école et ses potentielles pratiques privées?» ajoutera-t-elle.

«Benjamin Griveaux: un père de famille très impliqué aux côtés de sa femme Julia Minkowski», titrait Gala le 27 mars 2019, jour même où le secrétaire d'État chargé des Relations avec le parlement démissionnait pour se lancer dans la course à la mairie de Paris. Le magazine people dépeignait un candidat qui «fait son maximum pour passer du temps avec ses enfants», se confiant sur sa relation avec sa femme, «son roc»… pour autant, celui qui venait tout juste d’être père pour la troisième fois, s’était laissé aller à envoyer des vidéos de lui se masturbant à sa maîtresse. «Il a le droit de faire ce qu’il veut et "les journalistes" n’ont pas à en faire une info!», s’insurgeait une animatrice télé, au tout début de cette affaire.

 

​Réfugié politique en France, la question de la possibilité de le renvoyer en Russie se pose même. Étonnant, venant de ceux qui habituellement sont prompts à s’émouvoir sur des thématiques telles que la déchéance de nationalité pour des terroristes ou l’expulsion de demandeurs d’asile ayant commis des crimes graves.

«Ceux qui dévoient la République, qui la déstabilisent pleinement comme ils l’ont fait, n’ont pas leur place sur le territoire français»,

lance sur le plateau de L’Opinion Sylvain Maillard (LREM) député En marche de Paris, qui «espère une sanction très forte». L’élu de la majorité évoquera même une réforme du droit d’asile, face à l’insistance du journaliste, qui, s’appuyant sur les déclarations d’Emmanuel Macron à la Conférence sur la sécurité de Munich, le cuisinera également sur le possible rôle de «certaines forces obscures» en Russie dans cette affaire.

 

French Government's Spokesperson Benjamin Griveaux attends a press conference in Paris, Wednesday, Jan. 9, 2019.
© AP PHOTO / CHRISTOPHE ENA, POOL
La chute de Griveaux, encore un coup des Russes?
 
 
Expulser Piotr Pavlenski, une ligne déjà défendue par un autre député LREM, venu de la gauche, Bruno Questel, qui appelait dès vendredi 14 février sur le plateau de LCP à le «foutre dans un avion». Pour autant, si on nous rappelle depuis vendredi que participer à la diffusion sur les réseaux sociaux de vidéos telles que celle qui a fait tomber le candidat de la majorité à la mairie de Paris est répréhensible de deux ans d’emprisonnement, journalistes et élus LREM ne sont pas les seuls à lancer l’idée que Benjamin Griveaux ait été victime d’une machination. Gérard Araud, ancien ambassadeur français à Washington, qui s’était fait remarquer par ses écarts à son devoir de réserve lors de l’élection de Donald Trump, et qui tient maintenant une chronique sur France Inter, s’interroge également sur Twitter.

 

Preuves que l’agitation politico-médiatique suscitée par la chute de Benjamin Griveaux fait perdre la boussole à nombre d’observateurs politiques, on remarquera que cet opposant «au régime» de Vladimir Poutine, non content d’être relayé au rang d’«activiste» ou d’«agitateur forcené», est même suspecté aujourd’hui d’accointance avec les services russes.

Des interrogations, parfois particulièrement insistantes, notamment de journalistes, qui laissent apparaître, au-delà d’un deux poids deux mesures, un complotisme à deux vitesses. L’ombre du Kremlin étant, incontestablement, la seule constante chez nos confrères.

Finalement, l’opposant russe, qui entendait «dénoncer l’hypocrisie» du candidat Griveaux, semble par l’enchaînement des événements mettre à nu l’hypocrisie de bien plus… Il faut dire que concernant le tempérament de celui à l’origine de cette affaire qui semble tant embarrasser la majorité qu’une partie des journalistes, ce n’est pas faute d’avoir été prévenu. «Malgré son côté sympathique, Piotr Pavlenski est quand même quelqu'un de spécial», déclarait à l’époque de son arrivée en France la correspondante de France Info à Moscou.

 

 

Liens externes                                                  
   
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
    MISE A JOUR : 2024
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
 

 

 

 

Mise à jour affaires sous Emmanuel Macron

Publié à 00:25 par dessinsagogo55 Tags : france sur center centerblog monde
Mise à jour affaires sous Emmanuel Macron

Mise à jour affaires

 

#Bayrou

#Ferrand

#Sarnez

#MohammedSaou

#Penicaud

#Personne

#Vignon

#Drahi

#OPetit

#ElGuerrab

#Belloubet

#Hulot

#Darmanin

#Kohler

#Logerot

#Benalla

#Nyssen

#Emelien

#LeGendre

#Strzoda

#FDeRugy

#MustaphaLaabid

#Castaner

#Solere

#Griveaux

 

 

 

Liens externes                                                  
   
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
    MISE A JOUR : 2024
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
 

 

 

Dom Pérignon

Dom Pérignon

 

Pierre Pérignon, dit dom Pérignon, né à Sainte-Menehould en décembre 1638 ou janvier 1639 et mort dans l'abbaye Saint-Pierre d'Hautvillers le 24 septembre 1715, est un moine bénédictin qui, selon la légende, a importé de Limoux la méthode de la prise de mousse du vin dite méthode champenoise — il est de ce fait considéré comme l'inventeur du champagne. Presque exactement contemporain de Louis XIV, il n'était ni vigneron ni alchimiste. Au monastère d'Hautvillers, près d'Épernay, il assurait le contrôle des vignes et des pressoirs de l'abbaye. Son apport à la méthode était d'assortir avant de les pressurer des raisins de diverses origines

 

Biographie

 

Pierre Pérignon naît en décembre 1638 ou janvier 1639, à Sainte-Menehould dans une famille aisée de sept enfants : son père Pierre Pérignon a la charge du greffe de la Prévôté, sa mère Marguerite Le Roy meurt sept mois après sa naissance, son père se remariant trois ans plus tard avec Catherine Beuvillon, veuve d'un marchand de la ville. Son père et un de ses oncles paternels possèdent des vignes où il a peut-être participé aux vendanges et aux soins des ceps. Si sa date de naissance reste imprécise, son acte de baptême est daté du 5 janvier 1639. Il grandit à Sainte-Menehould avant de devenir enfant de chœur à l'abbaye bénédictine de Moiremont. Admis en octobre 1652 au collège des jésuites de Châlons-en-Champagne, il entre en 1656 au monastère bénédictin de la congrégation de Saint-Vanne et Saint-Hydulphe à Verdun où il prononce ses vœux de moine en 1658 et, fidèle à la règle de saint Benoît, il alterne travail manuel, lecture et prière, acquérant au passage de solides connaissances philosophiques et théologiques. En 1666 ou 1667, il est ordonné prêtre.

 

En 1668, alors âgé de trente ans, il rejoint l'abbaye Saint-Pierre d'Hautvillers où, jusqu'à sa mort en 1715, il y tient la charge de procureur (cellérier-intendant), une charge de la plus haute importance à une époque où les monastères possèdent de vastes domaines d'où ils tirent toutes sortes de produits destinés à la vente. Et qui, surtout, lui donne la haute main sur les vignes et les pressoirs de l'abbaye. Selon la légende, Dom Pérignon, lors d'un pèlerinage à l'abbaye de Saint-Hilaire (bénédictine) découvre la méthode de vinification des vins effervescents de Limoux. Il revient dans son abbaye Saint-Pierre d'Hautvillers et expérimente la méthode sur les vins du vignoble de Champagne. Il enseigne sa technique au savant bénédictin Thierry Ruinart venu lui rendre visite en 1669.

 

Il est enterré devant le chœur de l'église abbatiale de Hautvillers, aux côtés du prieur Dom Royer

 

 
Pierre tombale de Dom Pérignon dans l'église d'Hautvillers.

Travaux

En ce dernier tiers du xviie siècle, l'abbaye Saint-Pierre d'Hautvillers ne jouit guère d'un grand prestige. L'établissement ne compte alors plus qu'une poignée de moines qui tentent de tirer parti des domaines de l'abbaye, pas ou peu exploités. Quant aux celliers, aux caves et aux pressoirs, ils sont à moitié en ruine. Le jeune cellérier s'attache à tout remettre en état afin de redonner à l'abbaye les moyens qui lui font tant défaut, et de restaurer le lustre de la petite communauté religieuse. Dans ce pays de vieille tradition viticole, l'exploitation des vignes dépendant du monastère et le commerce du vin constituent un bon moyen d'y parvenir. Attestée dès 1668, la première innovation de dom Pérignon consiste à assortir systématiquement, avant même de les pressurer, les raisins de diverses origines. Se procurer les grappes ne pose pas de difficultés au jeune moine, car la dîme fait obligation aux vignerons locaux de livrer au monastère une part de leur récolte. Dom Pérignon a ainsi à sa disposition un choix de raisins venus de terroirs très divers dont il fait le mélange lui-même afin d'en harmoniser les qualités et d'en faire oublier les défauts. « C'est la connaissance du bon effet que produisent les raisins de trois ou quatre vignes de différentes qualités qui a porté à la perfection les fameux vins de Sillery, d'Ay et d'Hautvillers. Le père Pérignon, religieux bénédictin d'Hautvillers, est le premier qui se soit appliqué avec succès à assortir ainsi les raisins des différentes vignes » écrit en 1763 l'abbé Noël-Antoine Pluche.

 

Œnologue avant l'heure, dom Pérignon apporte un soin particulier aux vendanges et au choix des raisins, ne laissant à personne d'autre la permission de les goûter. « Le père Pérignon ne goûtait pas les raisins aux vignes quoiqu'il y allât tous les jours à l'approche de la maturité », témoigne le frère Pierre, élève et successeur du « père » du champagne. « Mais il se faisait apporter des raisins des vignes qu'il destinait à composer la première cuvée. Il n'en faisait la dégustation que le lendemain à jeun, après leur avoir fait passer la nuit à l'air sur sa fenêtre, jugeant du goût selon les années. Non seulement il composait les cuvées selon ce goût, mais encore selon la disposition, les années précoces, tardives, froides, pluvieuses, et selon les vignes bien ou médiocrement fournies de feuilles. Tous ces événements lui servaient de règles pour la composition de ses cuvées si distinguées. » Avec dom Pérignon, l'assemblage de crus et de cépages tend vers une science.

 

Le champagne acquiert ainsi une qualité qu'il n'avait pas jusqu'ici et qui fera beaucoup pour sa réputation.

 

Mythe de la découverte de la méthode champenoise

 

 
« La Champagne - Dom Pérignon découvrant la mousse », carte postale d’un tableau d'Armand Guery.
 

La légende veut que dom Pérignon ait, le premier, découvert la méthode contrôlée pour faire mousser le vin de Champagne en bouteille. À l'époque, les bouteilles étaient bouchées avec des chevilles de bois garnies d'étoupe imbibée d'huile. À la recherche d'un procédé plus propre et plus esthétique, dom Pérignon aurait eu l'idée de couler de la cire d'abeille dans le goulot des bouteilles, leur assurant ainsi une parfaite herméticité ; mais au bout de quelques semaines, la plupart des bouteilles auraient explosé, incapables de résister à la pression. En fait le sucre contenu dans la cire, en tombant dans la bouteille provoquait une seconde fermentation, transformant l'acide malique en acide lactique plus carbonique. Un heureux hasard aurait ainsi permis à dom Pérignon de découvrir la fermentation en bouteille. La « méthode champenoise » ou, plus simplement le champagne, serait ainsi née.

 

Le « vin de Champagne », dont l'appellation s'établit entre le début et le milieu du xviie siècle est d'abord un vin tranquille blanc, mais surtout clairet, dit œil-de-perdrix, c'est-à-dire rouge clair, tel que le vin d'Ay situé, en face d'Épernay, au pied des coteaux bordant la Marne, d'où les pourvoyeurs approvisionnaient certains souverains dés le xvie siècle en vin dit de Rivière (de Marne). L'appellation vins de Montagne (de Reims) apparait quant à elle au milieu du xviie siècle, lorsqu'on commence à produire là aussi des « vins gris », c'est-à-dire des vins blancs faits à partir de raisins noirs, à l’imitation de ceux de Rivière, où l'on avait privilégié, comme à Ay et Pierry, l'usage des seuls cépages morillon noir ou taconné, correspondant respectivement aux pinot noir et meunier, ainsi que celui du pressoir champenois, selon des modalités propres à éclaircir le vin. Le vin de Champagne devient alors le vin préféré de Louis XIV ; tandis que des vins de Montagne, comme ceux de Sillery, où le cépage Fromenteau est utilisé pour le vin gris, Mailly et Verzenay, sont promus à Versailles par leur propriétaire, la famille Brulart de Sillery et acquièrent une grande renommée jusqu'à la fin du xviiie siècle, au même titre que les vins de Rivière les plus réputés.

 

Le vin commence à être mis en bouteille en verre dans les années 1660 et vers 1670 en Champagne, afin d'assurer une meilleure conservation des arômes, avec un tirage effectué avant la fin de la première fermentation, grâce à l'invention de la bouteille de vin résistante par les Anglais, qui découvrent parallèlement le bouchon de liège en usage en Espagne et au Portugal, substitué à l'archaïque « broquelet » ou « clavelot » de bois maintenu au goulot par une ficelle de chanvre et le sulfitage des barriques pratiqué par les Hollandais. Mais il devient, en contrepartie, naturellement pétillant, surtout pour les champagnes peu alcoolisés, peu colorés et dont le tirage est fait à l'équinoxe de printemps, particularité que favorisa également le petit âge glaciaire.

 

Ce caractère effervescent cause beaucoup de soucis aux vignerons, à tel point qu’il est surnommé « vin du diable » ou « saute-bouchon » à cause des bouteilles qui explosent ou des bouchons qui sautent sous la pression. Pour ces raisons, si les Anglais n’avaient pas été conquis par ce vin pétillant, le champagne n'aurait peut-être pas connu le même destin, car à cette époque les Anglais achetaient aux Champenois des tonneaux de vin en vrac, qu'ils se chargeaient également de mettre eux-mêmes en bouteilles. Ils avaient aussi observé que la meilleure époque pour provoquer la prise de mousse était le printemps, et rajoutent du sucre de canne issu de leurs colonies des Caraïbes pour développer cette prise de mousse, comme l'atteste un mémoire sur la fabrication des vins mousseux adressé le 17 décembre 1662 à la Royal Society par le naturaliste britannique Christopher Merrett.

 

Dom Pérignon améliore la qualité du vin mais lutte justement contre la prise de mousse qui peut alors entraîner un défaut de fabrication, à cause de l'utilisation de la bouteille en verre dans les années 1660. En 1670, à l'occasion, selon la légende, d'un pèlerinage à l'abbaye bénédictine de Saint-Hilaire en Languedoc, il découvre la « méthode ancestrale » de vinification des vins effervescents de Limoux, due à une mise en bouteille avant la fin de la fermentation, qui existe depuis plus d'un siècle. Revenu dans son abbaye d'Hautvillers, dom Pérignon aurait fait volte-face et expérimenté la méthode sur les vins du vignoble champenois pour répondre à la nouvelle mode de la Cour de France de Louis XIV qui s'était entichée des crus pétillants. Pour maîtriser ce « vin du diable », il préconise l'emploi du bouchon de liège, maintenu sur la bouteille par une ficelle de chanvre imprégnée d'huile, ce qui permet au vin de garder sa fraîcheur et sa mousse. De plus, il aurait fait renforcer la bouteille en adoptant un verre plus épais, pour éviter qu'elle n'explose. Malgré les efforts du moine pour éviter cela, l'effervescence du vin reste empirique et peu contrôlée, jusqu'aux recherches de Louis Pasteur sur la fermentation au milieu du xixe siècle.

 

Par ailleurs, à l'époque de dom Pérignon, le vin effervescent ne peut exister qu'en bouteille bouchée ; tandis qu'avec la loi promulguée en 1691 qui impose la vente en tonneaux pour prévenir de multiples fraudes, seule la vente en fûts est autorisée, jusqu'à l'arrêt du Conseil royal du 25 mai 1728 sous Louis XV permettant le transport du vin en paniers de cinquante ou de cent bouteilles. Néanmoins, cela n'interdit pas une mise en bouteille pour une consommation personnelle et dans son Épître « La Chasse à M. de Rosières » écrit le 14 septembre 1692, Charles Perrault atteste de l'existence à cette date de « pétillant vin de Champagne ». Une autre légende prête alors à Dom Pérignon ces propos lorsqu'il goûte son premier vin qui aurait ensuite été fabriqué vers 1697 selon la méthode champenoise : « Venez mes frères, je bois des étoiles » mais l'apparition de cette citation apocryphe n'est attestée qu'à la fin du XIXe siècle sur de la publicité de champagne.

 

Dom Pérignon n'est donc pas à l'origine de l'usage de la seconde fermentation effervescente du champagne : au contraire, il a toujours cherché à réduire les conséquences de ce défaut du « vin du diable » qui engendre des pertes considérables, sa réussite reposant sur l'élaboration et la commercialisation de vins tranquilles de « la Montagne » et de « la Rivière ». Le processus d'élaboration du champagne effervescent a été une œuvre collective et de longue haleine, où dom Pérignon a joué un rôle majeur, mais essentiellement dans le développement de l'art de l'assemblage. Au début du XVIIIe siècle, le champagne tel que nous le connaissons aujourd'hui fait en tout cas le bonheur des tables aristocratiques et royales (telles celles de Pierre de Montesquiou d'Artagnan, l'un des principaux acheteurs), les seules à pouvoir s'offrir le précieux breuvage.

 

D'autres légendes lui sont associées, comme celles d'être l'origine des caves champenoises ou de la flûte à champagne.

 

C'est l'un des successeurs de dom Pérignon à l'abbaye d'Hautvillers, le procureur Dom Jean-Baptiste Grossard qui, dans une lettre en date du 25 octobre 1821 adressée à M. d'Herbes, maire-adjoint d'Aÿ, fait naître la légende de Dom Pérignon « père du champagne », ce qui accroît le prestige et la vente des vins de sa communauté religieuse

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Dom_P%C3%A9rignon

 
     
     
     
Notes et références                                                    
    Monde : France 1638
   
   
    4 août : Événements
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

Jean Baptiste Denis

Publié à 23:45 par dessinsagogo55 Tags : article png mort sur center centerblog merci
Jean Baptiste Denis

Jean-Baptiste Denis est un médecin français, né en 1643 et mort en 1704.

 
Biographie
 

Après des études de médecine à Montpellier, il s’installe à Paris en 1665. Il devient le médecin de Louis XIV.

 

Il est notamment l’auteur du Discours sur les comètes (1665) et de Lettres (1667-1668), portant sur la transfusion sanguine.

 

Denis est le premier à tenter une transfusion sanguine d’un agneau à un être humain le 15 juin 1667. Il est convaincu que la transfusion pourrait traiter la folie.

 

 


Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Baptiste_Denis

 
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

Jean Picard

Publié à 23:32 par dessinsagogo55 Tags : jeune paris voyage png center photo carte centerblog sur merci france place maison mort
Jean Picard

De g. à d. : Picard ? La Hire ? et Cassini.

 

 

Jean-Felix Picard, dit l'abbé Picard, né le 21 juillet 1620 à La Flèche et mort le 12 octobre 1682 à Paris, est un géodésien et un astronome français.

 

Il est considéré comme le fondateur de la géodésie moderne : en effet, il est le premier à mesurer un arc de un degré de méridien terrestre par triangulation avec des instruments munis de lunettes astronomiques à réticule. Il en déduit le rayon de la Terre, supposée sphérique, avec une exactitude jusqu'à là inégalée. Ses travaux portent aussi sur la recherche d'un étalon de longueur universel et le nivellement pour alimenter en eau les fontaines du château de Versailles.

 

En astronomie, il effectue de nombreuses observations et mesures - sur le terrain, pour la géographie et la future carte de France triangulée dont il sera l'initiateur - et à l'Observatoire, en astronomie pure. Il met en place une nouvelle méthode pour déterminer les coordonnées équatoriales des astres par leur passage au méridien, publie des éphémérides ; à ce titre Picard est considéré comme étant à l'origine du développement de l'astronomie de précision.

 

Accessoirement, il s'intéresse aussi à la gnomonique et à la dioptrique.

 
Biographie
 
 
Le collège Henri IV ; au pied de la porte principale, sur la droite, deux boutiques. L'une a abrité la librairie Picard.
 

Né en 1620 à La Flèche où son père est libraire, il effectue des études dites classiques jusqu'au niveau Philosophie au Collège Henri IV des Jésuites de la ville. Là, il a pu être initié à l'astronomie, en classe de Mathématiques, par le père Jean De Riennes ; après le cycle de Philosophie, il y a peut-être aussi suivi des cours de théologie.

 

En 1645, à 25 ans, on le retrouve installé à Paris. Il y observe, avec Gassendi qu'il seconde, l'éclipse de soleil du 25 août ; ils observeront d'autres évènements astronomiques (éclipses de Lune, occultation de Jupiter par la Lune) dans les années 1646-1647. Gassendi dit de son assistant qu'il est « très studieux et très instruit ». Picard suit aussi les cours de Gassendi au Collège royal.

 

En 1650, il est diplômé maître ès arts de l'Université de Paris, et il est probablement ordonné prêtre la même année ; il sera prieur de Rillé, en Indre-et-Loire, à une trentaine de kilomètres de La Flèche où il est né.

 

En 1652, le huit avril, il est le seul à observer, en France, une éclipse de Soleil, au collège de Navarre, avec un grand sextant (en 1667 Picard avait son sextant personnel ; était-ce le même ?).

 

À cette époque, il semble voyager beaucoup : en France, en Europe : Italie, Allemagne, Hollande ; il apprend le flamand et l'italien. Il se confirme aussi qu'il entame une carrière d'astronome d'observation : observation d'une éclipse partielle de Soleil le 30 mars 1661, observation d'une tache solaire le 13 et 14 août de la même année, nombreuses observations entre 1661 et 1665.

 

En 1663, il est le confident du sulfureux « abbé de Richelieu »; en novembre et décembre de cette même année, on retrouve Picard à Bordeaux, il semble être interdit de séjour à Paris, peut-être à cause de sa fréquentation du jeune abbé de Richelieu. François Bonneau, seigneur du Verdus, à qui l'on doit ces informations écrit à propos du caractère de Jean Picard : « c'est un bel esprit, esprit libre et désabusé et profond dans les sciences ». Dans le même sens, trois ans plus tard, en septembre 1666, en visite à l'académie de physique de Caen, une touche de description de notre personnage « dans son visage mélancolique, a un esprit subtil et pénétrant ». « Abbé de cour », toujours d'après le seigneur du Verdus, Picard perçoit des bénéfices - ceux des prieurés de Rillé et Brion (Maine-et-Loire), et ceux de deux petites chapelles vers la Flèche - qui s'élèvent à environ mille livres « qui lui permettent de vivre bien »..

 

 
Visite fictive de Louis XIV à l'Académie des Sciences

En 1666-1667, c'est la fin de la période obscure de Picard. Il devient l'un des vingt-et-un premiers membres de l'Académie royale des Sciences, peu de temps après sa fondation.

 

En 1667-1668, il travaille avec Adrien Auzout à l'application des lunettes aux instruments pour mesurer les angles et à la mise au point du micromètre à fil mobile. Picard sera le premier à mettre en œuvre ces instruments (quart de cercle mobile, secteur, niveau) qui améliorent de beaucoup l'exactitude des mesures.

 

Le 21 juin 1667, M. Auzout, Buot, Frénicle de Bessy, Picard, Richer vont tracer, sur une pierre, une ligne méridienne à l'emplacement du futur « Uranoscope » ou Observatoire de Paris .

 

En 1668-1669, l'Académie le charge de la mesure de l'arc de méridien entre Paris et Amiens. Ses mesures par triangulation le conduiront à un résultat de ≈ 111,1 km pour un degré de latitude, ce qui donne un rayon terrestre de 6 372 km, le rayon actuellement mesuré étant de 6 371 km.

 

Toujours en 1669, désormais connu, il use de son crédit auprès de Colbert pour attirer en France Jean-Dominique Cassini qui deviendra directeur de l'Observatoire de Paris en 1671.

 

En 1671, Picard part au Danemark faire le relèvement de l'observatoire de Tycho Brahe, sur l'île de Hven. Cette mission géodésique doit permettre de localiser Hven par rapport à Paris, et ainsi, d'exploiter les tables astronomiques de Tycho. Sur place il rencontre l'astronome Rømer avec lequel il va travailler, et il l'invite à l'accompagner lors de son retour à Paris ; ce sera son collaborateur pendant dix ans.


 

De 1672 à 1681, suivant ordre du Roi, il effectue - avec parfois La Hire, et en relation avec Cassini - des observations astronomiques en différents ports et villes du royaume. Les résultats de ces observations serviront à La Hire pour établir la célèbre « carte de France corrigée ».

 

En 1673, il vient s'installer à l'Observatoire, mais il se trouve souvent absent : en plus des coordonnées géographiques des villes de France qu'il détermine, il est occupé par des travaux de nivellement autour du château de Versailles. Néanmoins, il effectue des observations régulières à l'Observatoire, puis dans sa maison située à deux pas, et il travaille sans relâche jusqu'en 1681, date à laquelle il n'est plus trop en état d'exécuter par lui-même les grands projets qu'il avait fait agréer à Colbert.

 

En 1682, le 1er mai, le Roi vient visiter l'Observatoire ; le lendemain, Cassini, Picard et La Hire feront leur rapport à l'Académie. Le Roi semble entièrement satisfait des explications, des instruments et des nouvelles observations... Quelque six mois plus tard, l'abbé mourra, laissant à La Hire le soin de poursuivre l'œuvre commune

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Picard

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

En 2019, les actionnaires n'ont jamais été autant gâtés

Publié à 21:13 par dessinsagogo55 Tags : center photo article mode société centerblog sur merci france monde
En 2019, les actionnaires n'ont jamais été autant gâtés
En 2019, les actionnaires n'ont jamais été autant gâtés, la France toujours championne en Europe 
 
Par AFP  |  17/02/2020, 14:51 
 
 
L'an dernier, les dividendes versés aux actionnaires dans le monde ont atteint un nouveau record : 1.430 milliards de dollars. Si les marchés émergents et le Japon ont tiré la croissance des dividendes à la hausse, l'Asie pacifique hors Japon, l'Europe et le Royaume-Uni ont en revanche été à la traîne par rapport à la moyenne mondiale. Sur le Vieux Continent, la France a été le seul pays à battre son record annuel : +1,3% à 63,9 milliards de dollars.

Les dividendes versés aux actionnaires dans le monde ont atteint en 2019 un nouveau record de 1.430 milliards de dollars (+3,5%), mais leur croissance a marqué le pas et devrait se maintenir au même niveau en 2020, selon un rapport publié lundi.

Le taux de croissance enregistré en 2019 ressort "au plus bas depuis 2016, en raison de la complexité de l'environnement économique mondial" et en particulier de la solidité du dollar, précise l'étude de référence de la société de gestion Janus Henderson Investors.

Sur le seul quatrième trimestre, les dividendes ont progressé de 4,6% pour atteindre le montant record de 291,8 milliards de dollars en dépit d'un ralentissement de la croissance des bénéfices en Amérique du Nord.

Si les marchés émergents et le Japon ont tiré la croissance des dividendes à la hausse l'an passé, l'Asie pacifique hors Japon, l'Europe et le Royaume-Uni ont en revanche été à la traîne par rapport à la moyenne mondiale, constate la société de gestion, l'une des principales dans le monde avec 333,9 milliards d'euros d'actifs sous gestion.

Les dividendes versés aux États-Unis ont augmenté de 4,7% à 490,8 milliards de dollars en 2019, un nouveau record, mais ont chuté en Europe de 2% à 251,4 milliards de dollars.

 

 

2020 : vers une nouvelle année record ?

 

En Europe, la France - principal payeur de dividendes sur le Vieux Continent - a été le seul pays à battre son record annuel (+1,3% à 63,9 milliards de dollars) grâce aux importants dividendes extraordinaires de Natixis et d'Engie.

 

Le Japon a de nouveau enregistré la plus forte croissance des dividendes à l'échelle mondiale (+6,3% à 85,7 milliards de dollars) alors que "dans le reste de l'Asie, le ralentissement de la croissance économique mondiale et l'impact des tensions commerciales ont eu un effet négatif", note Janus Henderson.

Par ailleurs, "le secteur pétrolier est celui qui a généré la plus forte croissance, ses dividendes augmentant d'un dixième, alors que le secteur des télécommunications a vu ses dividendes diminuer".

Pour 2020, Janus Henderson estime que la baisse des dividendes extraordinaires, en raison de la croissance modérée des bénéfices attendue, devrait peser, même si la faiblesse du dollar pourrait être un atout.

Il prévoit une hausse de 3,9% des dividendes totaux, à 1.480 milliards de dollars par rapport à 2019, soit une cinquième année consécutive de record.

 

 

 

Liens externes                                                  
   
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
    MISE A JOUR : 2024
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
 

 

 

James Dormeyer

James Dormeyer

James Dormeyer (à droite) en 1973 en compagnie de Philippe Druilet. 

 

 

 

 

James Dormeyer (11 juillet 1936 à Commercy dans le département de la Meuse en France - ) est un réalisateur canadien de radio, de télévision et de cinéma.

James Dormeyer commence ses études à l'Université de Dijon puis obtient, à l'IDHEC de Paris, son diplôme de fin d’étude en réalisation, prise de vue et montage. Par la suite, il réalise des courts métrages en Afrique (Algérie, Côte d’Ivoire, Niger, Mali, Guinée) et des films publicitaires en Espagne (Estudios Moro, Madrid). En 1965, il s'installe au Canada.

En 1968, la Société Radio-Canada l’engage comme réalisateur. Il œuvre alors dans plusieurs secteurs : variétés, information, émissions pour enfants, émissions dramatiques et musicales. À travers ces diverses expériences, il s’attachera à cerner la spécificité nouvelle du langage de la vidéo, par rapport à la syntaxe déjà connue du langage filmique. À ce sujet, c’est surtout l’extraordinaire pouvoir d’enrichissement collectif offert par la télévision qui nourrit sa recherche. Le but est de rejoindre toujours davantage le grand public, même et surtout à travers des domaines réputés difficiles comme, entre autres, celui de la musique contemporaine.

Menuhin-Prévost, une aventure créatrice lui vaut une mention d’honneur au prestigieux prix Italia 1990. Cette émission de deux heures trente minutes raconte la création, de la composition jusqu'à l’interprétation, d’une œuvre de musique contemporaine, Cantate pour cordes d'André Prévost. En 1993, avec La Suite montréalaise, il commande cinq compositions originales à cinq compositeurs montréalais. Ainsi, il poursuit son projet d’une télévision à la fois éducative, démystificatrice et distrayante, génératrice d’œuvres télévisuelles nouvelles à des heures de grande écoute. Pour cette émission, il se méritera trois Prix Gémeaux : meilleure émission Spéciale des Arts, meilleur montage et meilleur son.

En 2006, il termine son projet le plus ambitieux, Journal d'une création. Dans celui-ci, il raconte, en la filmant presque jour après jour de 1996 à 1998, la composition par André Prévost d’une œuvre symphonique, le Concerto pour violon et orchestre.

Réalisations

1996 à 2006

Journal d'une création, conception, prise de vue et montage d’un document vidéo racontant presque quotidiennement la création par André Prévost de son Concerto pour violon et orchestre dédié à Chantal Juillet et dirigé par Charles Dutoit à l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM).

1996

Invité (le 19 janvier 1996) par la 1996 Conference of International Television Documentary on culture à Taipei, Taïwan, République de Chine, pour présenter La Suite montréalaise

Invité (le 23 octobre 1996) par l’Institut national de l’image et du son (INIS) pour présenter un exposé sur l’esthétique de l’image vidéo.

1995

Une journée dans la vie de Louise Andrée Baril (clip) portrait humoristique en dix minutes d’une journée échevelée de la pianiste, de son lever jusqu’au coucher, dans son bain tourbillon !!!

Un prix pour Yegor (vingt minutes) diffusé à l’émission d’information Le Point : Les émotions d’un jeune virtuose, Yégor Dyachkov, lors du Concours international de violoncelle Max D. Jost à Lausanne et auquel il échouera.

Kenneth Gilbert (clip)Sur l’orgue de l’université McGill, interprétation de deux pièces extraites du Livre d’orgue de Montréal.

Les Saisons de Hayon (57 min 50 s) captation d’un concert donné lors du Festival international de Lanaudière.

1994

Certains cris (27 min 50 s) émission spéciale racontant la dernière journée de travail pour Margie Gillis concevant une chorégraphie originale sur une œuvre d’André Prévost et spectacle final de cette chorégraphie conçue pour la télévision.

Forum 93 (57 min 50 s) émission spéciale sur l’événement Forum-93 qui voit la rencontre de six jeunes compositeurs venus du monde entier dont les œuvres, écrites pour la circonstance, sont répétées et interprétées par le Nouvel ensemble moderne (NEM) sous la direction de Lorraine Vaillancourt.

Yuli Turovsky (clip de 6 min 50 s) évocation par le violoncelliste du drame yougoslave sur des extraits d’une sonate de Kodaly.

Marc-André Hamelin (clip de 3 min 00 s) sur l’esplanade de la Place des Arts de Montréal, le pianiste environné réellement et électroniquement des jeux d’eau qui l’entourent, interprète une sérénade de Strauss-Godowsky.

Denis Brott et Margie Gillis (clip) deux œuvres de Piatigorsky interprétées par le violoncelliste, avec chorégraphie de Margie Gillis sur les toits et sous la verrière du musée des beaux-arts de Montréal.

Événement télévision 94 à Radio-Canada, présentation d’un colloque sur le thème Image et Musique à la télévision.

1993

La Suite montréalaise émission spéciale à l’occasion du 350e anniversaire de la fondation de Montréal.

Prix Gémeaux

meilleure émission Spéciale des Arts

meilleur montage toutes catégories

meilleur son toutes catégories

Plaque de bronze au Colombus International Film and Video Festival 93

Mention spéciale prix Anik 93

Beethovenissimo, conception et réalisation d’une série de neuf émissions de 57 min 50 s portant sur les neuf symphonies de Beethoven

Mention spéciale Prix Anik 93

Angèle, Louise-Andrée, Arthur et les autres… (57 min 50 s) (Un portrait d’Angèle Dubeau, violoniste)

Gilles Tremblay… un univers sonore (57 min 50 s) (Un portrait de ce compositeur canadien)

Vers une étoile, Compostelle II (27 min 50 s), émission spéciale pour une approche visuelle d’une musique contemporaine de Gilles Tremblay

Paris qui dort (57 min 50 s), émission spéciale rendant compte du travail de deux improvisateurs, Michel Donato (contrebasse) et Robert Lepage (clarinette), sur les images du film de René Clair

1988-1990

La flûte enchantée (Opéra de Montréal) captation live

Don Gioanni (Opéra de Montréal) captation live

1987

Menuhin-Prévost, une aventure créatrice (conception et réalisation)

Prix Italia (mention d’honneur)

Rogers Communication Award pour la couverture des Arts

1985-1986

Tristan et Isolde (Opéra de Montréal) captation live

Tosca (Opéra de Montréal) captation live

1984-1985

Année sabbatique, voyage en Union soviétique en rapport avec le projet avorté de Noces de Stravinsky

1983

Le conte de l'Oiseau, conception et réalisation sur un poème symphonique d’André Prévost et Paule Tardif Delorme

Prix Anik

1982

Les Noces de Stravinsky, concept-images qui devait trouver place dans un vaste hommage au compositeur, organisé par WGBH-Boston, du réseau PBS. Le projet ne vit pas le jour en raison des coupures budgétaires du nouveau gouvernement républicain de l’époque, mais le concept fut élaboré au complet et approuvé par le producteur de WGBH

1979-1980

Prévert, Rose ou Bleu ?, conception et réalisation à partir de textes de Jacques Prévert, Prix Anik, Golden «à» Award au Modern Language Film Festival New York 1981, mention d'honneur American Film Festival USA 1982Sélection INPUT 80, Washington

Nous n'irons plus au bois, conception et réalisation à partir de texte de Jacques Prévert et Jules Supervielle (suite de l’émission précédente)

À voix Basse de Gilles Archambault, dramatique pour Les Beaux Dimanches, sélectionné pour le « Prague d’Or »

1975-1978

Dans le cadre d’une série de dramatiques expérimentales intitulée Scénario :

Le Temps devant… de Gilles Archambault (4 épisodes)

La Rose des sables de Roger Fournier (4 épisodes)

Journal en images froides de Marie-Claire Blais (4 épisodes)

1974-1975

La super franco fête (une heure), émission spéciale sur film

La super franco fête, coordonnateur et réalisateur d'une série d'émissions quotidiennes sur cet événement

Participation comme délégué de Radio-Canada à différents colloques de l’UER (l'Union européenne de radio-télévision) sur les programmes pour enfants, à Toronto, Copenhague et Montréal

Connexion, conception et réalisation d’un magazine en direct pour jeunes (série de 39 heures)

1971-1974

TELECHROME (série de trente neuf heures par année) conception et réalisation, création en direct, et par des jeunes en studio, d’images de bandes dessinées, accompagnées de leur texte, suggérées à distance par d’autres jeunes au téléphone sur tout le réseau

1970-1971

Le franbecois, conception et réalisation, série éducative sur la langue française

Femmes d'aujourd'hui, conception et réalisation, deux émissions consacrées aux relations hommes femmes de races différentes

On jour à vivre, conception et réalisation, trois émissions consacrées aux comportements d’enfants en classe de pré-maternelle

1968-1970

À compter du mois d'août 1968, il devient réalisateur à Radio-Canada. Il participe à des émissions hebdomadaires pour enfants, trente-neuf demi-heure par année :

Grujot et Délicat ;

Sol et Gobelet ;

La Ribouldingue.

1965-1968

Durant ces années, il réalise divers documentaires tournés pour Hydro-Québec, réalisation, prises de vues, montage :

Manic 2 ;

Complexe Manicouagan-Outarde ;

Films publicitaires conçus et tournés pour Hydro-Québec et la Société Radio-Canada.

1964-1965

Concepteur et réalisateur de films publicitaires aux Estudios Moro à Madrid, dont un sélectionné pour le Festival du film publicitaire de Cannes 1964

1962-1963

Correspondant des Actualités françaises pour l’Ouest africain (Niger, Côte d’Ivoire, Guinée), images et textes des reportages présentés chaque semaine dans les salles de cinéma de ces pays

Divers : documentaires éducatifs et industriels

Le voyage du président Houphouët-Boigny en Guinée (prises de vues et montage), prix Targa Leone di San Marco (Festival de Venise 1963)

Formation

1956-1959 : formation universitaire et professionnelle à l’Institut des hautes études cinématographiques(IDHEC XIIIème promotion) Paris, diplôme en réalisation, prises de vues et montage)

Stage de fin d’études aux studios Africa à Alger. Au cours de ce stage, conception et réalisation d’une campagne de sécurité sur les forages pétroliers d’Hassi-Messaoud (Algérie) et de Lacq (France).

Prix

Prix « prévention et sécurité » au Festival des films techniques de Rouen (1960)