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Monde : France

Cathédrale Saint-Louis de Versailles

Publié à 06:56 par dessinsagogo55 Tags : sur france place saint argent fond maison création center centerblog background merci
Cathédrale Saint-Louis de Versailles

 

La cathédrale Saint-Louis de Versailles est une église de style rocaille construite par l'architecte Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne. Elle fut bénie le 25 août 1754, jour de la saint Louis, et choisie comme cathédrale à la création de l'évêché de Versailles en 1802. Elle ne fut consacrée qu'en 1843.

 

Paroisse Notre-Dame et paroisse Saint-Louis

L'église du village de Versailles, avant la construction du château, était dédiée à saint Julien de Brioude. Cette église fut démolie en 1681. Sur son emplacement fut construit le Grand Commun du château. L'église Saint-Julien fut reconstruite dans la ville neuve. Elle eut d'ailleurs une existence éphémère. En 1684, Louis XIV posa la première pierre d'un nouvel édifice : la paroisse Notre-Dame qui donna son nom au quartier.

Les habitants du vieux Versailles, du Parc aux Cerfs et des rues voisines, au nombre d'environ quatre mille cinquante, ne disposaient plus d'aucun lieu de culte. Notre-Dame était loin et son accès difficile, puisqu'il fallait alors traverser la place d'armes pour s'y rendre. Quand, à la fin du XVIIe siècle, cette partie de la ville prit de l'extension, les architectes chargés de dresser les plans ne manquèrent pas de prévoir une église. Dès 1725, on avait bâti à l'angle des rues de Satory et d'Anjou, près du Potager du roi, une chapelle provisoire longue d'une trentaine de mètres, flanquée d'un collatéral et entourée d'un cimetière. On commença à y enterrer au mois d'avril 1727, à y baptiser le 17 mai 1728.

 

Ce n'était qu'une succursale de la paroisse Notre-Dame. Elle était desservie par deux chapelains, prêtres de la Mission, comme ceux de l'église mère. À mesure que le quartier se développait, il fallut songer à lui donner de l'autonomie religieuse. Par décret de Charles Gaspard Guillaume de Vintimille du Luc, archevêque de Paris, en date du 4 juin 1730, la chapelle fut érigée en paroisse sous le patronage de saint Louis.

 

Les habitants durent se contenter de cette chapelle pendant plusieurs années. Ils étaient pourtant de plus en plus nombreux. Enfin, vers 1740, on résolut de bâtir une véritable église. Mais on ne voulut pas changer les habitudes que les paroissiens avaient prises. Il fut donc décidé que le monument serait construit à côté de la chapelle, et presque en vis-à-vis. Il y avait là une vaste place qui paraissait parfaitement convenir à cette destination.

 

Historique de l'édifice

 

Louis XV désigna en mai 1742 Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, petit-fils de l'architecte de Louis XIV, au grand mécontentement d'Ange-Jacques Gabriel, architecte officiel du roi qui espérait recevoir la commande.

 

Les fondations furent entamées en juin 1742. Les entrepreneurs Letellier et Rondel se heurtèrent à un sol spongieux qui nécessita l'établissement de solides fondations à l'aide d'un vaste radier de pierres de taille couvrant toute la surface de l'église. La présence de pilotis est une légende.

 

La première pierre fut solennellement posée par l'archevêque de Paris le 12 juin 1743. Louis XV plaça lui-même dans une cavité creusée à cet effet une médaille d'or et quatre médailles d'argent, puis procéda au scellement de la pierre d'assise.

 

La construction fut lente et l'église ne fut terminée que douze ans plus tard. L'inauguration eut lieu le 24 août 1754, sans la présence de la famille royale car la dauphine, Marie-Josèphe de Saxe, avait accouché la veille d'un fils, futur Louis XVI. L'année suivante, le roi fit don de six cloches qui eurent pour marraines la reine (Marie), la dauphine (Joséphine), et les quatre filles de Louis XV (Adélaïde, Victoire, Sophie et Louise). L'ancienne chapelle fut détruite. Le presbytère mitoyen fut construit en même temps que la chapelle par Robert de Cotte. Ce bâtiment fit office d'évêché du XIXe siècle jusqu'en 1905.

 

En 1764, l'architecte Louis-François Trouard éleva, au-delà du bras gauche du transept, une chapelle, dite « du charnier », parce qu'elle était destinée à recevoir les corps des défunts décédés au château. Elle prit ensuite le nom de chapelle de la Providence. De superbes reliefs furent réalisés par le sculpteur du roi Augustin Pajou, figurant les quatre vertus cardinales à l'extérieur et les quatre docteurs de l'église en médaillons à l'intérieur. Pajou devait ensuite travailler à l'Opéra royal de Versailles.

 

L'église Saint-Louis subit peu de transformations jusqu'à la Révolution, la paroisse royale restant l'église Notre-Dame. Cependant, le 4 mai 1789, quand s'ouvrirent les États généraux de 1789, ce fut à Saint-Louis que se rendit la procession solennelle partie de Notre-Dame, et c'est de la chaire de l'église qu'Anne-Louis-Henri de La Fare, évêque de Nancy, dénonça les abus de la Cour. Plusieurs séances des États généraux se tinrent également à Saint-Louis au cours du mois de juin 1789. Le 22, le serment du Jeu de paume y fut renouvelé.

 

En 1790, Versailles devint siège d'un évêché. Le premier évêque constitutionnel, Jean-Julien Avoine, choisit Notre-Dame pour cathédrale. Par la suite, l'église Saint-Louis fut fermée et la plupart des objets de culte ayant été confisqués, elle fut transformée en temple de l'Abondance. On lui en figura les attributs sur la façade, avec un laboureur peint sur le frontispice.

 

Au rétablissement du culte catholique en 1795, l'évêque constitutionnel Augustin-Jean-Charles Clément fit revenir les prêtres à Saint-Louis. L'église, plus vaste, fut préférée à Notre-Dame et devint cathédrale à la création de l'évêché de Versailles en 1802. Le 3 janvier 1805, le pape Pie VII, venu à Paris pour le sacre de l'empereur Napoléon Ier, fut accueilli par son premier évêque concordataire, Louis Charrier de La Roche.

 

Louis XVIII, qui ambitionnait de revenir à Versailles en 1816, tint à donner un éclat particulier à l'église qu'il avait connue dans sa jeunesse. Louis-Philippe, qui assista à un Te Deum chanté en 1837 à la suite de la prise de Constantine, poursuivit cet effort à travers la restauration de la chapelle de la Vierge (vitraux de la manufacture de Sèvres par Achille Devéria (1847-1848), statue par Dominique Molknecht (1846-1847).

 

En 1843, Louis Blanquart de Bailleul consacra la cathédrale qui n’avait été que bénie lors de son inauguration le 25 août 1754, jour de la saint Louis.

 

L'église subit d'assez graves dommages pendant la Révolution. Elle fut restaurée et embellie tout au long du XIXe siècle, jusqu'à la loi de 1905, grâce à ses évêques successifs, à Louis XVIII, Louis-Philippe et jusqu'en 1905 par l'administration des Cultes.

 

Elle a fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques le 30 octobre 1906

 
   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_Saint-Louis_de_Versailles

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René Lisbonne

Publié à 06:21 par dessinsagogo55 Tags : centerblog background sur merci france homme maison mort fille
René Lisbonne

René Johannan Samuel Lisbonne, né à Paris 9e le 6 octobre 1881 et mort au camp de concentration de Natzweiler-Struthof (Bas-Rhin) le 28 juillet 1943, est un éditeur et résistant français.

 

Biographie



Il codirige la maison d'édition de son oncle Félix Alcan, qui porte à partir de 1910 le nom d'Éditions F. Alcan — R. Lisbonne. Avec plus de 20 000 ouvrages en catalogue, elle constitue au début du XXe siècle le principal fonds littéraire français. Un grand nombre d'auteurs majeurs de l'époque y furent publiés dont notamment Henri Bergson, Émile Durkheim et Pierre Janet. C'est l'une des quatre maisons d'édition qui donnent naissance aux Presses universitaires de France, où René Lisbonne est directeur de collection jusqu'en 1940, date à laquelle la loi lui interdit d'exercer parce que juif.



Au cours de la Première Guerre mondiale, il combat comme officier : il commande en tant que capitaine le 5e Bataillon du 254e R.I. en mai 1916 à Cumières-le-Mort-Homme.



Il est l'un des principaux animateurs avec Edmond Bloch de l'Union patriotique des Français israélites, une association fondée en 1934 .



Au début de la Seconde Guerre mondiale, il sert à nouveau dans l'armée régulière puis il entre en résistance et rejoint le réseau Marco Polo. Il est chargé d'organiser le regroupement et l'acheminement clandestins des Belges et des Hollandais pour rallier les Forces combattantes alliées. Il est arrêté par la Wehrmacht le 19 mars 1943 à Châteauneuf-les-Bains, puis interné au mitard de « La Mal Coiffée » de Moulins-sur-Allier (prison allemande) et à Fresnes. Il est déporté depuis Paris le 11 juillet 1943 à destination du camp de concentration de Natzweiler-Struthof sous statut Nacht und Nebel, matricule 4505. Il meurt sous les morsures des chiens et les coups du gardien SS Franz Ehrmanntraut, que les déportés appelaient le « veneur rouge » parce qu’il lançait contre eux sa meute de chiens et surnommé aussi "Fernandel" par les prisonniers français à cause de sa ressemblance physique avec l'acteur.



René Lisbonne avait épousé en 1911 Marthe Netter, la fille du professeur Arnold Netter et de son épouse Esther Jeanne Lang. Il est le père de l'avocat et juriste Jean Lisbonne (1912-2004).

 

 
   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Lisbonne#:~:

text=Au%20cours%20de%20la%20Premi%C3%A8re,une%

20association%20fond%C3%A9e%20en%201934.

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Pierre Desproges

Publié à 01:00 par dessinsagogo55 Tags : center sur centerblog background merci france monde mort société
Pierre Desproges

 

Pierre Desproges, né le 9 mai 1939 à Pantin et mort le 18 avril 1988 à Neuilly-sur-Seine, est un humoriste français réputé pour son humour noir, son anticonformisme et son sens de l'absurde.

 

Célèbre pour son humour grinçant, mis en valeur par une remarquable aisance littéraire, Pierre Desproges s'est illustré avec des thèmes souvent évités par les autres humoristes de son époque, prenant à contre-pied certaines positions convenues dans la société. Il est notamment considéré comme l'auteur de la maxime suivante : « On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde ».

 

Journaliste à L'Aurore, il débute à la télévision sur TF1 dans l’émission de Jacques Martin, Le Petit Rapporteur. À la radio, il est notamment le procureur fantasque du Tribunal des flagrants délires sur France Inter. Auteur de spectacles, il a aussi présenté l'émission humoristique La Minute nécessaire de monsieur Cyclopède sur FR3.

 

 
   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Desproges

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Adolphe Lalyre

Publié à 10:27 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog image background sur merci saint mode mort société femmes art
Adolphe Lalyre

 

 

Adolphe Lalyre ou La Lyre, pseudonyme d’Adolphe Lalire, né à Rouvres-en-Woëvre en 1848 et mort à Courbevoie en 1933, est un peintre français .

 

Reçu premier à l'École des beaux-arts de Paris en 1875, Adolphe Lalyre expose au Salon des artistes français chaque année entre 1876 et 1929. Débutant avec des compositions religieuses, à l'image de Sainte Cécile martyreSainte Geneviève et Sainte Clotilde, il peint ensuite de nombreuses naïades, lui valant le surnom de « peintre des sirènes », et des nus féminins, sous l'influence de Jean-Jacques Henner.

 

Ayant découvert le Cotentin en 1872, il s'installe à Carteret dans une villa qu'il fait bâtir et qui prend le nom de « château des sirènes ». À la demande du curé de Carteret, il dessine également les vitraux du chœur de l'église Saint-Germain, détruits en 1941.

 

Sociétaire de la Société des artistes français à partir de 1880, il reçoit une médaille à l'Exposition universelle de 1889 et à celle de 1900 à Paris.

 

Inspiré par la mode de l'époque de l'Art nouveau et du symbolisme, par les mythes revisités par Offenbach, il peint les femmes fatales, « rousses opulentes aux croupes prometteuses », à la « beauté laiteuse ». Pour Gérald Schurr et Pierre Cabanne, il « peint avec fougue et une hâte excessive des groupes de nudités en mouvement dont les lourdeurs d'écriture ou de pâte sont parfois contestables ».

 

Critique d'art, il publie en 1910 Le Nu féminin à travers les âges.

Il meurt à Courbevoie où se situait son atelier.

 
   
   
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Adolphe_Lalyre
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Citroën DS Mille-Pattes Michelin (1972)

Publié à 03:10 par dessinsagogo55 Tags : center image centre centerblog sur base merci france sport
Citroën DS Mille-Pattes Michelin (1972)

Michelin est une entreprise qui a l’innovation dans ses gènes, le fabriquant clermontois de pneumatiques ne cesse de tester de nouvelles solutions, quelque soit le domaine dans lequel il est présent. Et justement, le pneumatique de poids-lourds lui pose soucis pour tester les pneumatiques à haute vitesse, la solution : une voiture hors du commun, la DS « mille-pattes »… 

 

En inventant le pneu démontable pour bicyclette au début des années 1890, Michelin ne savait alors pas qu’il allait devenir un important acteur de l’automobile en France. En dupliquant le pneumatique à l’automobile alors naissante, Michelin devenait le premier acteur à engager en compétition une voiture sur pneumatiques en 1895. Plus tard, les pneus Michelin aident la Jamais contente à passer le mur des 100km/h ! Puis dans les années 1930, Michelin prend possession de Citroën et lance le projet TPV qui donna naissance à la 2CV en 1949, la même année, le pneu radial inventé par Michelin était commercialisé et révolutionnait le marché !

 

Michelin était une marque en quête d’innovation, pour cela, l’entreprise construit en 1965 un important complexe au nord de Clermont-Ferrand comportant un circuit et diverses pistes d’essais pour tester les pneumatiques dans toutes les conditions possibles et imaginables : pistes rapides, routes accidentées, virages, routes mouillées… Michelin se dote par la même occasion d’un impressionnant parc automobile de test, de la simple 2CV jusqu’aux voitures de sport parmi les plus prestigieuses comme une Porsche 904 !

 

Mais Michelin ne se cantonne pas qu’aux pneumatiques de voitures, l’entreprise est également présente sur le secteur du poids-lourds, pour tester ces pneumatiques en condition et à haute vitesse, Michelin se rend rapidement à l’évidence qu’il faut construire des prototypes spécifiques. Ainsi, Michelin construit sur la base d’un camion Willème un véhicule profilé avec une cabine de DS, lequel est capable de rouler au delà des 150km/h. Après quelques années de service, Michelin souhaite désormais réaliser un véhicule laboratoire et part d’une page blanche pour concevoir la DS Mille-Patte.

 

La conception de cette voiture laboratoire débute au début des années 1970, avec un cahier des charges qui met en avant la vitesse pour rouler à plus de 150km/h. Pour cela, Michelin conçoit un châssis spécifique qui accueille dans sa partie arrière deux moteurs V8 Chevrolet de 5,7 litres et développant 200Cv chacun. Les deux moteurs ne sont pas de trop car le prototype sera tout sauf léger car pour accueillir un pneumatique de poids lourd en son centre et l’ensemble des machines pour les tests, le châssis mesure 7,5 mètres de long pour 2,45 mètres de large !

 

Ce prototype est recouvert d’une carrosserie extrapolée de la DS Break, qui fut choisi pour son côté aérodynamique. Et pour répartir le poids de la voiture, pesant 9.150kg, il se dote de dix roues sans compter  le pneu de poids lourd en test. Ce pneumatique pouvait d’ailleurs se relever pour opposer moins de résistance quand la voiture essayait d’atteindre sa vitesse de pointe, et s’abaisser pour être en contact avec la route lors des phases de tests, qui pouvaient se faire jusqu’à 180km/h, la vitesse maximale enregistrée par la voiture. Et tests oblige, ce pneu était sous carénage pour éviter tout dommage à l’intérieur du prototype en cas d’explosion du pneu.

 

Originellement peinte en blanc, la DS Mille Patte (nommée officiellement DS PLR pour Poids-Lourds Rapide) peut faire office de vecteur publicitaire tout aussi bien pour Michelin que pour Citroën (alors propriété de Michelin, le prototype se voit donc rapidement repeint de couleurs vives, en jaune et orange. Et après une longue carrière sur les pistes de Ladoux, la DS Mille-Patte a pris sa retraite depuis bien longtemps, et heureusement pour nous, Michelin a décidé de conserver ce véhicule, aujourd’hui visible dans son musée de Clermont-Ferrand.

 

 

Liens externes                                                  
 

https://lautomobileancienne.com/citroen-ds-mille-pattes-michelin-1972/

Notes et références                                                    
   
    Citroën DS Mille-Pattes Michelin (1972)
   
   
    Citroën DS Mille-Pattes Michelin (1972)
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Citroën DS Mille-Pattes Michelin (1972)

Publié à 03:06 par dessinsagogo55 Tags : merci sur centerblog
Citroën DS Mille-Pattes Michelin (1972)

 

 

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Armagnac : Dégustation

Publié à 02:12 par dessinsagogo55 Tags : center base centerblog background sur plat vie merci
Armagnac : Dégustation

 



Dégustation d'armagnac.

Les vieux armagnacs se boivent le plus souvent comme digestifs à la fin du repas, purs. Il est conseillé de le déguster à température ambiante, de préférence dans de petits verres (de 6 à 9 cℓ) au col un peu refermé (pour concentrer les arômes) ; même s'il est possible de chauffer le verre dans le creux de la main, parfois en couvrant le verre de l'autre main pour concentrer encore plus le « nez » de l'eau-de-vie. Les différences de terroirs (terrains, assemblage des cépages, façon de distiller et surtout d'élever l'eau-de-vie) entre les trois zones de production de l'armagnac donnent des produits avec des réputations différentes : les bas-armagnacs plutôt fruités (le pruneau), les ténarèzes plus corsés (plutôt les épices et un peu de violette) et les haut-armagnacs plus rustiques. À l'expérience, il est préférable de déguster les eaux-de-vie brunes à une température de 16−17 °C. En effet, plus « chambré », on ressent les effets négatifs de l'alcool. Mettre son nez dans la partie haute du verre lorsque l'on tient celui-ci incliné, on apprécie ainsi plus la finesse et moins l'effet alcool.

Les armagnacs blancs peuvent se boire purs comme tous les eaux-de-vie blanches, ils peuvent être refroidis par un passage au réfrigérateur ou en les servant avec des glaçons (on the rocks) ou ils peuvent être allongés (long drink) d'eau plate ou gazeuse, de soda ou de jus de fruits pour en faire des cocktails.

L'armagnac entre dans la composition d'autres boissons : l'AOC floc de Gascogne est une mistelle (vin de liqueur) fabriquée en mélangeant quatre cinquièmes de moût de raisin avec un cinquième d'armagnac (jeune), en blanc comme en rosé (en fait franchement rouge).

Plusieurs liqueurs sont proposées à base d'armagnac, avec des extraits d'orange (marques « pousse-rapière », « liqueur des mousquetaires », « Grande Josiane » ou « Mousquet », utilisées en cocktail avec du vin mousseux), de vanille (« Esprit d'Armagnac ») ou de la crème (« cassagnac », inspiré des Irish Cream).

Le brûlot d'Armagnac est un flambage d'armagnac blanc dans du sucre. Le « trou gascon » est l'équivalent du trou normand, mais avec de l'armagnac (plus une liqueur ou de la glace au pruneau).

Enfin, les autres usages culinaires des armagnacs sont notamment de servir à parfumer des pâtisseries (le pastis gascon, appelé aussi tourtière ou croustade), en conserverie (les pruneaux à l'armagnac), pour faire flamber un plat (par exemple un salmis de palombe), pour relever une sauce ou pour faire une marinade.

 

 
   
   
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Armagnac (eau-de-vie)

Publié à 01:28 par dessinsagogo55 Tags : divers 2010 merci sur background centerblog vie you france center
Armagnac (eau-de-vie)

 

 

L'armagnac est une eau-de-vie de vin produite dans les départements français du Gers, des Landes et du Lot-et-Garonne, avec des dénominations géographiquement plus restreintes : le bas-armagnac, l'armagnac-ténarèze (ou ténarèze) et le haut-armagnac mention blanche-armagnac (ou armagnac blanc) partage la même aire de production, mais avec un cahier des charges un peu particulier. Toutes ces dénominations doivent leur nom à l'ancienne province d'Armagnac, qui constitue une partie du vignoble du Sud-Ouest.

L'armagnac est produit dès le Moyen Âge, mais sa production massive commence au XVIIe siècle pour connaître son apogée au XIXe siècle. Eauze (en Bas-Armagnac) et Condom (en Ténarèze), toutes deux dans le Gers, en sont les centres historiques et économiques.

La fabrication des armagnacs se fait par distillation de vins blancs secs. Divers produits portent ces appellations, avec des alcools d'âge croissant, cette durée représentant le temps passé en barrique de chêne. Leurs titres alcoométriques sont supérieurs ou égaux à 40 % en volume. En 2010, 2 105 hectares de vignes ont servi à produire de l'armagnac, avec une production cette année-là de 18 900 hectolitres d'alcool pur (soit l'équivalent d'un peu plus de six millions de bouteilles de 70 cℓ).

Les savoir-faire de l'élaboration de l'Armagnac sont inscrits à l'Inventaire du patrimoine culturel immatériel français depuis 2020.

 
   
   
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Armagnac_(eau-de-vie)

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Marcel Carné

Publié à 06:07 par dessinsagogo55 Tags : histoire center centerblog background sur merci france you prix place chez film mort
Marcel Carné

 

 

Marcel Albert Carné est un réalisateur et scénariste français, né le 18 août 1906 dans le 17e arrondissement de Paris et mort le 31 octobre 1996 à Clamart.

Durant les années 1930 et 1940, il marque l'histoire du cinéma français grâce à sa collaboration avec l'écrivain et scénariste Jacques Prévert.

 

Biographie

Enfance

Fils de Marcelin Paul Carné, ébéniste, et de Véronique Marie Françoise Racouët, Marcel Albert Carné naît à Paris le 18 août 1906, dans le quartier des Batignolles (17e arrondissement), chez ses parents, 7 rue des Moines. Sa mère meurt alors qu'il a cinq ans et il est alors élevé par sa grand-mère. Il est très vite attiré par le cinéma : il se rend chaque jeudi à une projection de film, puis de plus en plus souvent, trichant quelquefois pour ne pas avoir à payer le prix de sa place.

 

Son père souhaite qu'il reprenne sa succession et devienne ébéniste, comme lui. Marcel Carné commence donc des cours pour apprendre à tailler le bois. Il les abandonne ensuite même s'ils ne lui déplaisent pas plus que ça. Il suit à la place deux fois par semaine, en cachette, des cours du soir de photographie à l'école des Arts et Métiers, obtenant le diplôme de technicien photographe.

 

Pour payer ses séances de cinéma qui se font de plus en plus nombreuses, il travaille alors dans une banque, puis une épicerie et dans une compagnie d'assurance.

 

 

 
   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Marcel_Carn%C3%A9

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Élisabeth Vigée Le Brun

Élisabeth Vigée Le Brun

 

Élisabeth Vigée Le Brun, aussi appelée Élisabeth Vigée, Élisabeth Le Brun ou Élisabeth Lebrun, née Louise-Élisabeth Vigée le 16 avril 1755 à Paris, et morte dans la même ville le 30 mars 1842, est une artiste peintre française, considérée comme une grande portraitiste de son temps.

Elle a été comparée à Quentin de La Tour ou Jean-Baptiste Greuze.

Son art et sa carrière exceptionnelle en font un témoin privilégié des bouleversements de la fin du XVIIIe siècle, de la Révolution Française et de la Restauration. Fervente royaliste, elle sera successivement peintre de la cour de France, de Marie-Antoinette et de Louis XVI, du Royaume de Naples, de la Cour de l'empereur de Vienne, de l'empereur de Russie et de la Restauration. On lui connaît aussi plusieurs autoportraits, dont deux avec sa fille.

 
   
   
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lisabeth_Vig%C3%A9e_Le_Brun
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