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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Claude Chabrol, né le 24 juin 1930 à Paris où il est mort le 12 septembre 2010, est un réalisateur français, également producteur, scénariste, dialoguiste et à l'occasion acteur.
Membre de la génération de la Nouvelle Vague, il est d'abord critique de cinéma, puis producteur, avant de passer à la réalisation. Se signalant par son humour volontiers sarcastique et son érudition cinéphile, il alterne, en plus de cinquante ans de carrière, comédie de mœurs, drames, films noirs, films de genre et adaptations cinématographiques littéraires.
Fils unique de Madeleine, née Delarbre, et Yves Chabrol, il naît malgré les conseils de médecins qui recommandent à sa mère alors enceinte de trois mois d'avorter, les époux Chabrol ayant été trouvés inanimés à la suite d'une asphyxie due à un chauffe-eau défectueux. Grandissant dans l'appartement familial du 14e arrondissement, situé au-dessus de la pharmacie paternelle, il fréquente les salles de cinéma parisiennes à partir de l'âge de 4 ans. Son père, résistant, envoie l'enfant, durant la Seconde Guerre mondiale, dans la maison de famille de sa grand-mère maternelle, à Sardent, dans la Creuse.
Plus tard, devenu célèbre, Claude Chabrol affabule excessivement autour d'évènements survenus durant son séjour de quatre ans à Sardent. En particulier il raconte maintes fois (et finit par croire ?) qu'à l'âge de seulement 11 ans il créa lui-même dans ce village une société civile immobilière, récolta des fonds importants parmi les notables, puis fut projectionniste et programmeur dans la salle de cinéma qu'il improvisa dans un garage désaffecté. En réalité le « Cinéma sardentais » fut créé en 1942 (et animé jusqu'en 1948) par un adulte, Georges Mercier (1910-1975), ingénieur des arts et métiers, passionné entre autres par le cinéma et ses techniques. Pour d'obscures raisons, Chabrol a souvent occulté l'existence et le rôle de cet homme inventif. Après un premier récit flatteur dans son autobiographie Et pourtant je tourne, l'épisode du cinéma sardentais a été relaté dans l'ouvrage de Wilfrid Alexandre La Traversée des apparences. Par la suite Michel Pascal puis François Guérif recueillent des récits plus proches de la réalité. Néanmoins la légende du marmot-cinéaste est encore amplifiée en 2012 dans un album composé par Michel Pascal. En 2013, Daniel Domec met heureusement fin au colportage de cette invention naïve, dans une étude méticuleusement documentée publiée par le conseil général de la Creuse, intitulée À chacun son cinéma : Histoire et petites histoires du cinéma dans la Creuse.
De retour à Paris après la Libération, il fait des études de lettres et de droit (au cours desquelles il côtoie Jean-Marie Le Pen) puis, sous l'influence parentale, et sans conviction, des études de pharmacie, qu'il abandonne après avoir quadruplé sa première année. C'est le cinéma qui lui sourit : il entre à la Fox (en 1955) comme attaché de presse, tout en agissant comme critique de cinéma dès l'aurore de la Nouvelle Vaguefrançaise, aux côtés de François Truffaut et de Jacques Rivette, ses collègues aux Cahiers du cinéma. De 1953à 1957, dans la revue à couverture jaune, fondée par André Bazin et Jacques Doniol-Valcroze, il participe à la défense de la politique des auteurs et publie, en 1957 avec Éric Rohmer, un livre sur Alfred Hitchcock, le maître du suspense et celui qui a su imposer son style au système hollywoodien. Une autre rencontre est, pour la suite, également déterminante : celle du romancier Paul Gégauff, son futur scénariste, dont l'univers l'éloigne de l'éducation bourgeoise reçue, bien qu'il s'en avoue toujours encore marqué de traces profondes, indélébiles.
Il épouse, le 26 juin 1952 Agnès Goute, fille d'un haut fonctionnaire et petite-fille du banquier et caricaturiste Paul Goute. Agnès Goute reçoit en 1957 une donation de son père de 35 millions d'anciens francs, ce qui permet au nouveau cinéaste de financer leur maison de production, Ajym (1956-1961), sigle formé des initiales du prénom de son épouse Agnès et de celles de leurs deux fils, Jean-Yves (né en 1954 et futur architecte) et Matthieu (né en 1956 et futur compositeur de la musique de ses films). Agnès et Claude Chabrol ayant déjà coproduit un court métrage de Jacques Rivette, Le Coup du berger (1956), avec Jean-Claude Brialy. Et, dès la fin de 1957, Claude Chabrol tourne avec ce dernier son premier film, Le Beau Serge à Sardent, puis Les Cousins, sortis en 1959, qui deviennent les premiers longs métrages — « le manifeste inaugural » — de la Nouvelle Vague.
Il divorce en 1964 et convole en secondes noces le 4 décembre 1964 avec l'actrice Stéphane Audran (née Colette Dacheville), qu'il connaît depuis 1958 et qui est la mère de son troisième fils, Thomas (né en 1963, futur acteur). Avec elle, il poursuit une fructueuse coopération, jusque très au-delà de leur séparation en 1980. Durant cette période, il se fait spécialiste de l'analyse féroce de la bourgeoisie française, dont l'apparent conformisme sert de couvercle à un bouillonnement de vices et de haines. Que ce soit sur le registre de la comédie grinçante ou du polar, souvent de concert avec le romancier scénariste Paul Gégauff, il ne cesse d'en traquer l'hypocrisie, les coups bas et la bêtise, avec une délectation rare et jubilatoire, à laquelle participent activement ses acteurs fétiches : Stéphane Audran, Michel Bouquet, Jean Yanne. Il dresse ainsi le portrait de la France des années 1970 dans La Femme infidèle, Le Boucher, Juste avant la nuit, Les Biches.
En 1983, il se marie en troisièmes noces, avec Aurore Pajot (aussi dite « Aurore Paquiss » ou « Maistre », puis Chabrol), qui est sa scripte sur pratiquement tous ses films depuis Les Biches (1968). La fille de celle-ci et de l'acteur François Maistre, Cécile Maistre (née en 1967), est son assistante sur de nombreux films. Il donne régulièrement des rôles à son fils cadet Thomas, tandis qu'un autre fils, Matthieu, est compositeur de la musique de ses films à partir du milieu des années 1980. Des quatre enfants de la famille recomposée, Claude Chabrol n'a donc que son fils aîné, Jean-Yves, architecte, qui ne travaille pas sur ses films.
À la fin de la décennie, il effectue un tournant en optant pour des sujets plus éclectiques dans lesquels son inspiration s'émousse parfois, il l'avoue. Mais sa rencontre en 1978 avec la jeune Isabelle Huppert, qu'il contribue à révéler, est décisive. Violette Nozière, l'empoisonneuse parricide qui fit scandale dans les années 1930, ajoute une dimension supplémentaire à la galerie de monstres jusqu'ici filmés par Chabrol (il avait déjà adapté un autre fait divers sanglant dans Landru avec Charles Denner). En même temps, il entame avec l'actrice un duo redoutablement efficace, qui touchera tant les rives de la comédie policière (Rien ne va plus) que celles de l'adaptation littéraire (Madame Bovary), du film politique (L'Ivresse du pouvoir), ou du fait divers sanglant (La Cérémonie), adaptée du roman A Judgment in Stone (L'Analphabète) de Ruth Rendell.
Sur un registre plus léger, il aura également entre-temps fait jouer Jean Poiret dans le rôle-titre de Inspecteur Lavardin ainsi que dans Poulet au vinaigre, de la même manière qu'il revient régulièrement au « polar provincial », par des films tels que Au cœur du mensonge ou La Demoiselle d'honneur. Dans un registre fantastique inattendu, il réalise en 1976 Alice ou la Dernière Fugue, avec Sylvia Kristel, un genre qu'il n'abordera qu'à cette unique occasion.
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Filmographie
1958 : Le Beau Serge
(Voile d'argent au Festival de Locarno, en 1958, et prix Jean-Vigo en 1959)
1959 : Les Cousins
(Ours d'or du Festival de Berlin)
1959 : À double tour
1960 : Les Bonnes Femmes
1961 : Les Godelureaux
1962 : Les Sept Péchés capitaux
(segment L'Avarice avec J.-C. Brialy)
1962 : L'Œil du Malin
1963 : Ophélia
1963 : Landru
1964 : L'Homme qui vendit la tour Eiffel
(segment dans Les Plus Belles Escroqueries du monde)
1964 : Le Tigre aime la chair fraîche
1965 : Paris vu par... (segment La Muette)
1965 : Marie-Chantal contre docteur Kha
1965 : Le Tigre se parfume à la dynamite
1966 : La Ligne de démarcation
1967 : Le Scandale
1967 : La Route de Corinthe
1968 : Les Biches
1969 : La Femme infidèle
1969 : Que la bête meure
1970 : Le Boucher
1970 : La Rupture
1971 : Juste avant la nuit
1971 : La Décade prodigieuse
1972 : Docteur Popaul
1973 : Les Noces rouges
1974 : Nada
1975 : Une partie de plaisir
1975 : Les Innocents aux mains sales
1976 : Les Magiciens
1976 : Folies bourgeoises
1977 : Alice ou la Dernière Fugue
1978 : Les Liens de sang
1978 : Violette Nozière
1980 : Le Cheval d'orgueil
1982 : Les Fantômes du chapelier
1984 : Le Sang des autres
1985 : Poulet au vinaigre
1986 : Inspecteur Lavardin
1987 : Masques
1988 : Le Cri du hibou
1988 : Une affaire de femmes
1990 : Jours tranquilles à Clichy
1990 : Docteur M
1991 : Madame Bovary
1992 : Betty
1993 : L'Œil de Vichy
(une sélection des actualités du régime de Vichy)
1994 : L'Enfer
1995 : La Cérémonie
1997 : Rien ne va plus
1999 : Au cœur du mensonge
2000 : Merci pour le chocolat (prix Louis-Delluc)
2002 : La Fleur du mal
2004 : La Demoiselle d'honneur
2006 : L'Ivresse du pouvoir
2007 : La Fille coupée en deux
2009 : Bellamy
Il a réalisé 26 fictions pour la télévision
1973 : Le Père (série Réalité-Fiction de Jean Frapat- Service de la recherche de ORTF) | 1980 : Le Tramway fantôme (série Fantômas) |
1974 : Le Banc de la désolation (série Nouvelles de Henry James) | 1980 : L'Échafaud magique (série Fantômas) |
1974 : Nul n'est parfait (série Histoires insolites) | 1981 : Le Système du docteur Goudron et du professeur Plume |
1974 : Monsieur Bébé (série Histoires insolites) | 1981 : Les Affinités électives |
1974 : Les Gens de l'été (série Histoires insolites) | 1982 : La Danse de mort |
1974 : Une invitation à la chasse (série Histoires insolites) | 1982 : M. le maudit |
1976 : De Grey, un récit romanesque (série Nouvelles de Henry James) | 1988 : L'Escargot noir (série Les Dossiers de l'inspecteur Lavardin) |
1978 : Monsieur Saint-Saëns (série Il était un musicien) | 1989 : Maux croisés |
1978 : 2 + 2 = 4 (série Madame le juge) | 2001 : Les Redoutables |
1979 : La Boucle d'oreille (série Histoires insolites) | 2007 : La Parure (série Chez Maupassant) |
1979 : Monsieur Liszt (série Il était un musicien) | 2008 : Le Petit Fût (série Chez Maupassant) |
1979 : Monsieur Prokofiev (série Il était un musicien) | 2009 : Le Petit Vieux des Batignolles (série Au siècle de Maupassant) |
1979 : Jeunesse et Spiritualité Cyprien Katsaris (7 juillet 1979) | 2009 : Le Fauteuil hanté (série Au siècle de Maupassant) |
1959 : Les Jeux de l'amour de Philippe de Broca
1960 : Saint-Tropez Blues de Marcel Moussy
1961 : Les Menteurs d'Edmond T. Gréville
1961 : Les Sept Péchés capitaux, sketch « L'Avarice » + (réalisation)
1961 : L'Œil du Malin (+ réalisation)
1962 : Les Ennemis d'Édouard Molinaro
1963 : Les Durs à cuire de Jack Pinoteau
1965 : Paris vu par..., sketch « La Muette » (+ réalisation)
1965 : Marie-Chantal contre le Docteur Kha (+ réalisation)
1965 : Le Tigre se parfume à la dynamite (+ réalisation)
1965 : Brigitte et Brigitte de Luc Moullet
1967 : La Route de Corinthe (+ réalisation)
1968 : Les Biches (+ réalisation)
1968 : La Femme écarlate de Jean Valère
1970 : Sortie de secours de Roger Kahane
1970 : Aussi loin que l'amour de Frédéric Rossif
1972 : The Other Side of the Wind d'Orson Welles(inachevé)
1972 : Un meurtre est un meurtre d'Étienne Périer
1973 : Le Permis de conduire de Jean Girault
1976 : Folies bourgeoises (+ réalisation)
1977 : L'Animal de Claude Zidi
1981 : Les Folies d'Élodie d'André Génovès
1982 : Les Voleurs de la nuit de Samuel Fuller
1983 : Polar de Jacques Bral
1985 : Suivez mon regard de Jean Curtelin
1986 : Je hais les acteurs de Gérard Krawczyk
1986 : Sale Destin de Sylvain Madigan
1987 : Jeux d'artifices de Virginie Thévenet
1987 : L'Été en pente douce de Gérard Krawczyk
1987 : Alouette je te plumerai de Pierre Zucca
1988 : Sueurs froides (série télévisée) : le présentateur
1992 : Sam suffit de Virginie Thévenet
1996 : Le Fils de Gascogne de Pascal Aubier
2002 : La Deuxième Vérité de Philippe Monnier : Julien Lecoeur, un médecin
2005 : Lucifer et moi de Jean-Jacques Grand-Jouan
2006 : Avida de Benoît Delépine et Gustave Kervern
2010 : Gainsbourg, vie héroïque de Joann Sfar : le producteur
2010 : Le Jour des corneilles (voix) de Jean Christophe Dessaint
1969 : Et crac de Jean Douchet
1974 : La Bonne Nouvelle d'André Weinfeld
1984 : Homicide by night de Gérard Krawczyk
2001 : Tu devrais faire du cinéma de Michel Vereecken
2009 : À bicyclette de Jean Douchet
Chabrol avait, au début de sa carrière, produit des films avec sa société Ajym Films
1956 : Le Coup du berger de Jacques Rivette
1958 : Véronique et son cancre de Eric Rohmer
1958 : Un Américain de Alain Cavalier
1959 : Le Beau Serge de Claude Chabrol
1959 : Les Cousins de Claude Chabrol
1960 : Les Jeux de l'amour de Philippe de Broca
1961 : Le Farceur de Philippe de Broca
1961 : Paris nous appartient de Jacques Rivette
1962 : Le Signe du Lion de Éric Rohmer
1964 : La Ligne droite de Jacques Gaillard
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Oscar-Claude Monet (14 novembre 1840 à Paris - 5 décembre 1926 à Giverny), dit Claude Monet, est un artiste-peintre français lié au mouvement impressionniste, peintre de paysages et de portraits
Claude Monet est né à Paris le 14 novembre 1840 au 45, rue Laffitte dans le 9e arrondissement. Il est le second fils d'Adolphe et Louise-Justine Monet, née Aubrée après Léon (1836-1917). Baptisé sous le nom d'Oscar-Claude à Notre-Dame de Lorette, il est appelé Oscar par ses parents1. Il aime à dire plus tard qu'il est un vrai Parisien comme ses grands-parents et ses parents, tous quatre nés à Paris. La famille, grands-parents paternels compris, s'installe au Havre en Normandie vers 1845, l'année de ses cinq ans. C'est probablement un déménagement décidé sous l'influence de sa tante Marie-Jeanne Lecadre, épouse d'un commerçant havrais qui accueille son beau-frère dans sa maison. Son père y tenait un commerce d'articles coloniaux.
Le jeune Oscar n'est pas un élève très appliqué selon ses propres dires, mais il apparaît dans les annales du collège havrais qu'il fréquente comme « une excellente nature très sympathique à ses condisciples ». De manière précoce, il développe un goût pour le dessin et il suit avec intérêt le cours d'Ochard, un ancien élève de David. Ses premiers dessins sont des caricatures (appelées « portraits-charges ») de personnages (professeurs, hommes politiques) dont Monet « enguirlande la marge de ses livres... en déformant le plus possible la face ou le profil de ses maîtres » selon ses propres termes. Il fait déjà des croquis de bateau et des paysages en « plein air » sur le motif.
En 1857, sa mère décède et il abandonne ses études. Sa tante Lecadre l'accueille et l'encourage à continuer le dessin. Il vend ses caricatures signées O. Monet chez un commerçant spécialisé dans le matériel pour peintres, où expose également Eugène Boudin, ancien associé du propriétaire. C'est là qu'il va faire sa connaissance, déterminante pour sa carrière artistique : « Si je suis devenu un peintre, c'est à Eugène Boudin que je le dois ». Il conseille aussi à son jeune comparse à quitter Le Havre pour Paris dans le but d'y prendre des cours et d'y rencontrer d'autres artistes.
En 1861 et 1862, Monet sert dans l'armée en Algérie. Sa tante hâvraise, Mme Lecadre, accepte de l'en faire sortir s'il prend des cours d'art à l'université. Il quitte donc l'armée, mais n'aime pas les styles traditionnels de peinture enseignés à l'académie. En 1862, il se lie d'amitié avec Johan Barthold Jongkind et retrouve Eugène Boudin, lors de son séjour à Sainte-Adresse et à la ferme Saint-Siméon à Honfleur. De sa période honfleuraise en compagnie de ces deux peintres, Monet conservera un attachement et ils auront une influence essentielle dans la genèse de son art.
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Claude de France, née le 12 novembre 1547 à Fontainebleau et décédée le 21 février 1575 à Nancy, est la fille d'Henri II, roi de France, et de Catherine de Médicis ainsi que duchesse de Lorraine et de Bar par son mariage avec le duc Charles III, duc de Lorraine et de Bar (État indépendant du royaume de France).
Claude est la deuxième fille du roi de France Henri II et de son épouse d'origine franco-italienne Catherine de Médicis. Elle est née au château de Fontainebleau le 12 novembre 1547 et est baptisée dans la religion catholique. Elle reçoit pour parrains, l'ensemble des députés suisses et pour marraines, Antoinette de Bourbon, duchesse de Guise et sa grand-tante Marguerite d'Angoulême, reine de Navarre et sœur de son grand-père François Ier. Elle porte le prénom de sa grand-mère paternelle, la reine Claude.
Elle est élevée aux côtés de sa sœur aînée Élisabeth de France, future reine d'Espagne, et de Marie Stuart, reine d'Écosse, qui épouse plus tard son frère François. Elle épouse en 1559 alors qu'elle est âgée de onze ans, le duc de Lorraine et de Bar, Charles III, duc de Lorraine et de Bar, fils du duc François Ier et de Christine de Danemark, elle-même nièce de Charles Quint.
Cette princesse fort discrète quittait souvent Nancy, la capitale de Lorraine pour vivre avec son époux au côté de sa mère qui l'appréciait beaucoup. Elle est présente à la cour de France durant les événements de la conjuration d'Amboise (1560) et du massacre de la Saint-Barthélemy (1572). De son côté, Catherine de Médicis s'est déplacée en Lorraine à plusieurs reprises. En 1563, elle assiste au baptême de Henri, son premier petit-fils.
Claude meurt à Nancy le 21 février 1575. Elle fut très regrettée par sa mère qui prit en charge l'éducation de sa fille Christine.
Claude épousa Charles III de Lorraine à onze ans et est morte en couches à vingt-sept ans. Elle mit au monde neuf enfants, dont sept survécurent à l'âge adulte.
Henri II (1563 † 1624), duc de Lorraine et de Bar,
Christine (1565 † 1637), mariée en 1587 à Ferdinand Ier de Médicis, grand-duc de Toscane (1549 † 1609). Elle vécut à la cour après la mort de sa mère aux côtés de sa grand-mère Catherine de Médicis,
Charles (1567 † 1607), cardinal de Lorraine, évêque de Metz (1578-1607), et de Strasbourg (1604-1607),
Antoinette de Lorraine (1568 † 1610), mariée en 1599 à Jean-Guillaume de Clèves (1562 † 1609), duc de Juliers et de Berg,
Anne (1569 † 1576),
François, comte de Vaudémont (1572 † 1632), duc de Lorraine et de Bar,
Catherine (1573 † 1648), abbesse de Remiremont ,
Élisabeth (1574 † 1635), mariée en 1599 à Maximilien Ier (1573 † 1651), électeur de Bavière, sans postérité,
Claude (1575 † 1576).
Dans le roman La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette, c'est lors des fiançailles de Mlle Claude de France, seconde fille du roi, et du duc de Lorraine, que Mme de Clèves rencontre pour la première fois M. de Nemours. Mme de La Fayette décrit ainsi la première rencontre des deux protagonistes : "Quand ils commencèrent à danser, il s'éleva dans la salle un murmure de louange. Le roi et les reines se souvinrent qu'ils ne s'étaient jamais vus, et trouvèrent quelque chose de les voir danser ensemble sans se connaître."
Claude apparaît dans la série Reign. Elle est jouée par Rose Williams.
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Henri II dit le Bon (en allemand Heinrich II. der Gute) et Henri V comme duc de Bar, né à Nancy le 8 novembre 1563, mort à Nancy le 31 juillet 1624, fut marquis de Pont-à-Mousson, puis duc de Lorraine et de Bar de 1608 à 1624. Il était fils aîné du duc Charles III et de Claude de France, et à ce titre prince héréditaire de Lorraine (c'est-à-dire héritier du duché).
Fils du duc de Lorraine et donc proche parent des Guise, les guerres de religion empêchèrent qu'il soit élevé à la Cour de France comme son père et son grand-père. Il n'avait pas non plus été préparé à la gestion du duché, son père préférant s'en remettre à son propre frère, le cardinal Charles de Lorraine, évêque de Metz. Henri participa aux combats des guerres de religion, du côté catholique. Petit-fils de Henri II de France, il fut prétendant au trône de France lors des états généraux de 1593.
Titré marquis de Pont (Pont-à-Mousson), il épousa en 1599 Catherine de Bourbon, sœur de Henri IV de France pour sceller le traité de Saint-Germain-en-Laye, mais le mariage ne fut pas heureux : profondément catholique, il était marié à une calviniste convaincue qui, déjà trop âgée, ne put donner de descendance à son époux.
Veuf en 1604, il se remaria en 1606 avec une toute jeune nièce de la reine de France, Marie de Médicis, Marguerite de Gonzague, dont il eut deux filles mais pas d'héritier mâle.
Il devint duc en 1608 à l'âge de quarante-cinq ans et, sans réelle expérience politique, tomba sous l'influence de favoris dont le plus connu est Louis d'Ancerville, fils du cardinal de Guise. Il s'affirma ardent défenseur de la Contre-Réforme et prit plusieurs édits ordonnant aux protestants de quitter la Lorraine. Il accorda pourtant une certaine liberté à ceux résidant à Lixheim devenue lorraine.
Il acquit L'Annonciation du Caravage, qui se trouve toujours à Nancy, au musée des beaux-arts.
En 1618, la deuxième Défenestration de Prague entraîna le début de la guerre de Trente Ans. Henri II garda une position neutre et chercha à jouer un rôle d'apaisement auprès des ennemis.
Pour ménager sa succession, Henri voulait léguer le duché à sa fille aînée Nicole qu'il voulait marier à son favori, le baron d'Ancerville. le scandale fut si grand qu'il dut y renoncer.
Un testament de René II, retrouvé fort à propos, spécifiait pourtant que le duché ne pouvait se transmettre qu'en lignée masculine, ce qui favorisait la succession par le frère d'Henri, François, comte de Vaudémont. Après d'âpres négociations, Henri maria Nicole à Charles de Vaudémont, le fils aîné de son frère François, et futur duc Charles IV qui devait alors régner comme « prince consort » du droit de sa femme. Par la suite pourtant Charles ne respecta pas ces dispositions.
À la fin de sa vie, le Saint Empire s'enfonçait dans la guerre de Trente Ans et les duchés étaient confrontés à une période très difficile. Henri II recruta des soldats pour protéger ses duchés des mercenaires qui le traversaient, et renforça les fortifications, ce qui, avec les dons accordés aux favoris, mit à mal les finances ducales.
Son gouvernement débonnaire le fit passer toutefois à la postérité avec le surnom de Bon.
Encore prince héréditaire de Lorraine, il épousa en premières noces en 1599 Catherine de Bourbon (1559 † 1604), fille d'Antoine de Bourbon et de Jeanne d'Albret, et sœur d'Henri IV, roi de France, dont il n'eut pas d'enfants.
Il se remaria en secondes noces en 1606 à Marguerite de Mantoue (1591 † 1632), fille de Vincent Ier, duc de Mantoue, et d'Éléonore de Médicis. Ils eurent :
Nicole de Lorraine (1608 † 1657), mariée en 1621 (séparée en 1635) à Charles de Vaudémont (1604 † 1675), futur Charles IV, duc de Lorraine ;
Claude-Françoise de Lorraine (1612 † 1648), mariée en 1634 au frère de Charles, Nicolas-François de Vaudémont (1609 † 1670), futur Nicolas-François, duc de Lorraine.
Il a également eu d'une ou de plusieurs maîtresses dont le nom ne nous est pas parvenu:
Charles, dit le chevalier de Bar ou encore le chevalier de Lorraine, comte de Briey et seigneur de Darney légitimé le 10 janvier 1605. Chevalier de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem en 1608, commandeur de Xugney/Libdeau, Robécourt/Norroy et Saint-Jean-du-Vieil-Aître en 1630.
Henri de Bainville, abbé de « Saint-Mihiel, Saint Pierre-Mont et de Bouzonville », légitimé également le 10 janvier 1605 († 24 novembre 1626)
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François Clouet, dit Janet est un peintre français, né à Tours avant 1520 et mort le 22 décembre 1572 à Paris.
Il est le fils de Jean Clouet, et, comme son père, travaille au service de la Cour et se distingue dans l’art du portrait.
Biographie
Il est le fils de Jean Clouet, à qui il succède dans la charge de peintre officiel de la Cour dès la mort de ce dernier.
Il a peut-être été élève de Hans Holbein le Jeune
On ne possède guère plus de renseignements sur la vie de François que sur celle de son père ; son acte de décès indique qu'il n'était pas marié et qu'il avait deux filles naturelles. On ne sait rien de ses travaux pour le roi François Ier jusqu'aux obsèques de celui-ci qu'il dût organiser (moulage du masque mortuaire du roi).
Deux tableaux de lui seulement sont signés : le Portrait de Pierre Quth (au musée du Louvre) et la Dame au bain (conservé à la National Gallery of Art, Washington DC).
Néanmoins, il est probable qu'il fut l'auteur des portraits officiels des rois de France qu'on lui attribue généralement, Henri II (musée du château de Versailles, musée des Offices et palais Pitti à Florence), Charles IX (Kunsthistorisches, Vienne), ainsi que d'autres portraits, Claude de Beaune (Louvre), Jeanne d'Albret, Marguerite de France (musée Condé, Chantilly). Ces attributions s'appuient généralement sur les dessins de Clouet, au nombre d'une cinquantaine, conservés au Cabinet des estampes de la Bibliothèque nationale à Paris, au British Museum à Londres et au musée Condé de Chantilly.
Il est fort difficile de distinguer entre la main de François Clouet et celle de certains portraitistes contemporains qui furent sans doute ses auxiliaires. Les collections de portraits étaient alors très à la mode, et Catherine de Médicis les classait et les annotait par familles.
Ce jeu que permettait le dessin était très prisé à la Cour; les personnes moins riches pouvaient le faire avec des gravures plus grossières. Animée par un goût similaire, la reine Victoria collectionnait les photographies des membres des grandes familles. C'est un des aspects les plus significatifs du XVIe siècle que révèlent ces galeries de portraits peints, dessinés ou gravés.
Les dessins de François Clouet et de ses collaborateurs se distinguent toutefois par leur finesse et par leur expressivité de toute une production parfois d'une qualité honorable, mais souvent d'une grande médiocrité.
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Nicolas Paquet est un armateur français né à Ancerville (Meuse) le 8 mars 1831, mort le 12 novembre 1909 à Marseille. Il a créé la Compagnie de navigation Paquet (CNP), devenue Croisières Paquet, vendue ensuite à la Compagnie maritime des chargeurs réunis.
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L’Ancerville (aujourd'hui Minghua) est un paquebot construit pour les lignes Méditerranée—Afrique noire de la Nouvelle Compagnie de Paquebots (NCP) de Nicolas Paquet, une filiale des Chargeurs Réunis.
Une fois revendu aux Chinois en 1973, il a été exploité sur l'océan Indien, puis l'Australie avant de finir (à sec) comme « centre commercial et de loisirs » à Shekou, province de Guangdong, en Chine.
Le nom de ce paquebot vient de la ville d'Ancerville qui a vu naître, en 1831, Nicolas Paquet fondateur des Croisières Paquet.
Ce navire fut construit par les Chantiers de l'Atlantique à Saint-Nazaire en 1962. Ancerville est inauguré le 5 avril 1962 par le général De Gaulle. Le premier voyage du navire s'est effectué le 5 septembre de cette même année vers les îles Canaries.
Exploité par la compagnie Paquet (CNP) entre Marseille et l'Afrique occidentale desservant des villes de la Méditerranée, les îles Canaries et/ou Madère, les côtes du Maroc jusqu'à Dakar avec des rotations assez régulières de 15 jours.
En général, le voyage de Marseille à Dakar durait 5 jours, et le bateau faisait escale à Alicante puis Casablanca allait ensuite à Madère et aux îles Canaries, Tenerife à l'aller et Las Palmas au retour, ensuite de nouveau à Casablanca ; le trajet durait alors 7 jours. Il pouvait faire une escale intermédiaire supplémentaire ou au Maroc (Tanger, Casablanca).
Parfois le trajet se continuait après Dakar vers la Côte d'Ivoire et le Cameroun, aux grandes vacances pour le retour des « culs blancs » (nom des collaborateurs français en Côte d'Ivoire).
En hiver (hiver en Europe), il a effectué épisodiquement des croisières, comme la croisière du nouvel an, ou à destination de Rio de Janeiro au Brésil : carnaval 5 semaines ; en été, croisière en Grèce, Turquie et Yougoslavie.
En 1970 il a fait la une du journal télévisé en effectuant un sauvetage en mer. En juillet 1970, sur la route de Dakar vers Marseille après escale à Las Palmas, il effectua le sauvetage de tous les passagers et hommes d'équipage (500) d'un paquebot italien, le Fulvia qui sombra après un incendie survenu dans la nuit. Les rescapés furent débarqués à Tenerife.
La concurrence de l'avion obligea la compagnie Paquet à se réorienter lentement vers les croisières — elle a disparu depuis — et l'Ancerville est vendu à la Chine en 1973. La vente s'effectua à Malte ; Louis Fabre, officier mécanicien de 1re classe, y représenta la Compagnie.
Il a été remplacé au début des années 1970 par le ferry Massalia, plus petit mais pouvant transporter les passagers et leur véhicule.
Il commença une nouvelle carrière sous le nom de Minghua, repeint en vert (1973), en naviguant entre la mer de Chine et les côtes de l'Afrique de l'Est. Il fut ensuite loué pour être exploité à partir de l'Australie.
Durant la période 1981-1982, il fut exploité par une compagnie australienne à partir de l'Australie.
En 1983 le navire fut mis à quai puis transformé en hôtel flottant, zone commerciale et de loisirs à Shekou (Guangdong), centre de loisir avec (suivant les époques) théâtre, boutiques, cinéma, restaurant, piscine, etc. En 1983, il aurait été alors renommé Shekou sea world par Deng Xiaoping le leader chinois de l'époque.
En 1986, le Minghua apparaîtrait officiellement en tant que navire hôtel. En 1991, la Lloyd's l'efface de ses registres en tant que navire.
Petit à petit l’Ancerville a été ensablé par un travail de terrassement énorme jusqu'à la ligne de flottaison ainsi, venant de bâbord par la terre, on le croirait flottant à quai. Au début des années 1990, le bateau est enterré par son côté bâbord, commence alors le projet d'enterrement total.
En 1998, un incendie grave dans la salle des machines faillit mettre fin à son épopée, l'intérieur fut ravagé mais l'aspect extérieur et la structure ont résisté.
En 2001, le Minghua a été rénové et réexploité.
Il est toujours à Shekou, une banlieue huppée (beaucoup d'expatriés) de Shenzhen en Chine, dans la zone touristique Sea World encerclé par des restaurants et bars animés.
À l'été 2013, le Minghua a été entièrement repeint en blanc et rénové ainsi que la zone alentour.
L’Ancerville a été l'avant-dernier paquebot construit pour la compagnie Paquet. Le dernier étant le Renaissance, dont la silhouette est similaire, mais plus petit ce dernier n'a qu'une cheminée au lieu de deux pour l’Ancerville.
À cette époque, le bateau était emménagé en plusieurs classes suivant le prix, réparties sur plusieurs ponts ; les cabines les plus luxueuses et donc les moins nombreuses étaient au niveau supérieur (Luxe), Pont piscine. Il y avait aussi une zone dortoir, appelée standard, réservée aux passagers peu fortunés, en l'occurrence les travailleurs immigrés africains rentrant pour leurs congés au pays ; voyageant dans des dortoirs situés à l'avant dans la cale, ils pouvaient sortir prendre l'air sur le pont à certaines heures. Il y avait une classe tourisme (seconde) avec bar et boîte de nuit.
Les cabines pouvaient être individuelles ou plus grandes. Dans les plus grandes, les lits étaient doubles ou single ; dans les cabines touriste, les lits étaient superposés avec douches salle de bains entre les cabines. Toutes avaient les gilets de sauvetage individuels.
On y trouvait aussi :
un grand restaurant ; on y prenait le petit-déjeuner ainsi que la collation du milieu d'après-midi en plus des services assurés midi et soir (deux à chaque fois : le premier pour les enfants, le suivant pour les adultes),
un restaurant-grill ouvert généralement le soir (avec un surplus financier pour y dîner), deux grands salons avec bar, un avec orchestre et l'autre discothèque
une bibliothèque, ou salle de bridge,
deux piscines à l'arrière (celle du pont inférieur fut supprimée peu après), une petite à l'avant.
Il avait aussi un chenil (pour chiens et chats), au pied de ses deux grandes cheminées, où les animaux de compagnie avaient leurs cages et pouvaient être promenés, s'ébattre et faire leurs besoins. Un ball-trap, coiffeur, boutique complétait le tout.
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Les habitants sont appelés les Ancervillois ou les Chevreuils
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005.
En 2021, la commune comptait 2 599 habitants, en évolution de −6,17 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
2000 | 2172 | 2332 | 2308 | 2239 | 2211 | 2181 | 2208 | 2233 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
2012 | 2003 | 2177 | 2116 | 2168 | 2037 | 2024 | 1891 | 1872 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
1888 | 1995 | 1997 | 1929 | 1906 | 1776 | 1738 | 1688 | 1982 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
2362 | 2560 | 2716 | 2833 | 2869 | 2726 | 2828 | 2819 | 2770 |
2015 | 2020 | 2021 | - | - | - | - | - | - |
2770 | 2617 | 2599 | - | - | - | - | - | - |
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)
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Les résultats du 2e tour de l'élection présidentielle à Ancerville sont les suivants : Marine Le Pen (Front national) est en tête des suffrages avec 58,91 % des voix. En seconde position, Emmanuel Macron (En Marche!) obtient un score de 41,09 %.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
1793 | 1793 | Jean Robert | ||
1793 | 1806 | Jean-Baptiste Franchot | ||
1806 | 1832 | Charles-François Franchot | ||
1832 | 1836 | Jean-Claude Paqueron | ||
1836 | 1837 | Jean-Baptiste Gillet | ||
1837 | 1848 | Charles-Marie Franchot | ||
1848 | 1874 | Charles-Jules Joli | ||
1874 | 1878 | Claude François | ||
1878 | 1888 | Pierre Petitjean | ||
1888 | 1896 | Hubert Barisien | ||
1896 | 1905 | Paul-Henri Briolat | ||
1905 | 1935 | Charles-Alphonse Barisien | ||
1935 | 1945 | Émile Gonot | ||
1945 | 1953 | Louis-Maurice Bourgeois | ||
1953 | 1969 | Émile Gonot | ||
1969 | 1974 | Jean Bourgeois | Conseiller général du canton d'Ancerville (1973-1974) | |
1974 | 01/03/08 | Yvon Vannerot | DVD | Conseiller général du canton d'Ancerville (1992-2004) |
01/03/08 | En cours (au 6 mai 2020) | Jean-Louis Canova Réélu pour le mandat 2020-2026 | DVD | Conseiller général du canton d'Ancerville (2004-2015) Conseiller départemental du canton d'Ancerville (depuis 2015 |
Mairie - Ancerville
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