Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
11.02.2025
18683 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (959)
· A à Z : Sommaire (304)
· Mannequin de charme (914)
· Musique (371)
· Monde : France (3307)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (213)
· Cinéma : Films à classer (151)
· Calendrier : Naissances (246)
· Monde : Etats Unis (1156)
air amour annonce art article background base belle blogs cadre center centerblog
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Pot de confiture de groseilles de Bar-le-Duc.
Un restaurant de Bar-le-Duc est cité au Guide Michelin 2015 et détient deux toques au Gault et Millau.
La spécialité gastronomique de Bar-le-Duc est la confiture de groseillesépépinées à la plume d'oie, surnommée « caviar de Bar ». La première mention de cette recette date de 1344, et sa renommée va rapidement s'étendre dans les milieux bourgeois et aristocratiques. La reine d'Écosse Marie Stuart compare cette confiture à « un rayon de soleil dans un pot ». Alfred Hitchcock ne descendrait que dans des hôtels qui en proposent au petit-déjeuner. Le président de la République Raymond Poincaré l'introduit sur les tables du palais de l'Élysée. Le Premier ministre britannique Winston Churchill et l'écrivain Victor Hugo en raffolent. Aujourd'hui, cette confiture est exportée à travers le monde entier, de New York à Tokyo.
Depuis 2008, les communes de l'ancienne communauté de communes de Bar-le-Duc ont entrepris une démarche de valorisation du groseillier, considéré comme une plante identitaire du territoire. Chaque commune a donc choisi et planté une variété de groseilliers différente. Bar-le-Duc a opté pour le groseillier à fleurs « London Market ».
Bar-le-Duc se trouve dans l'aire géographique de la production du lait et de la fabrication du fromage de brie de Meaux (AOC et AOP). En 2015, trois fromageries meusiennes fabriquent 70 % de la production française de brie de Meaux. La commune se trouve également dans les périmètres d'Indication géographique protégée (IGP) de la mirabelle de Lorraine, de la volaille de la Champagne, et de la Bergamote de Nancy.
Meuse | ||||||||||||||||
Département de la Meuse : Communes | ||||||||||||||||
A | B | C | D | E | F | G | H | I J K | L | M | N O | P Q | R | S | T U | V W X |
Visitez la Meuse
|
Le brie de Meaux est un fromage au lait cru dont l'appellation d'origine est préservée commercialement via une AOC depuis 1980. Son aire de production s'étend des plaines briardes jusqu'à la Meuse. Son appellation vient de la région de la Brie et de la commune de Meaux en France.
Sa meilleure période de consommation s'étend de juillet à mars.
Description
Brie de Meaux.
C'est un fromage à base de lait de vache, cru à pâte molle à croûte fleurie, d'un poids moyen de 2,8 kg pour un diamètre de 36 à 37 cm. Sa croûte est fine, d'un blanc duveteux et parsemée de taches rouges. Sa pâte est couleur jaune paille, onctueuse et souple mais non coulante.
Histoire
Le brie de Meaux serait originaire de l'abbaye Notre-Dame-de-Jouarre. En 1793, François Joachim Esnue-Lavallée fit son éloge : « Le Brie, aimé par les riches et les pauvres, prêchait l'égalité avant qu'on ne l'ait jamais imaginée possible ».
Ce fromage aurait été sacré « roi des fromages » par Talleyrand lors du congrès de Vienne dont le banquet de clôture eut lieu le 9 juin 1815. Auparavant Talleyrand prétendit qu'aucun fromage ne valait le Brie. Metternich, agacé de ne pas voir son « Bleu de Bavière » reconnu comme le meilleur décida d'organiser pour le banquet final du Congrès une dégustation des cinquante-deux fromages régionaux que représentaient les participants des différents pays en présence. À la fin de la dégustation, ce fut le Prince Metternich, lui-même, qui proclama le Brie « Prince des fromages et premier des desserts ».
À l'origine, le fromage était produit uniquement dans la région autour de Meaux, mais à partir de 1953 le territoire de production voué au commerce s'étend vers l'est jusqu'à la Meuse. L'appellation d'origine contrôlée (AOC) est obtenue le 18 août 1980. En 2015, les fromageries meusiennes de Cousances-lès-Triconville, Raival et Biencourt-sur-Orge, situées dans l'aire géographique de la production du lait et de sa transformation en fromage de brie de Meaux (AOC et AOP) fabriquent 70 % de la production française de ce fromage.
Consommation
Sa pâte jaune paille faite à cœur révèle un goût de noisette et une légère odeur de fermentation. Plus il est affiné, plus il est corsé. De nombreux vins (rouges ou blancs) peuvent accompagner le brie de Meaux : bourgogne, côtes du Rhône, saint-émilion, pomerol, pinot-noir d'Alsace, voire champagne... Certains conseillent plutôt le cidre, de préférence de la même région.
Il entre également dans la confection de nombreuses spécialités culinaires de la région de la Brie : les galettes briardes, les bouchées à la reine au brie de Meaux...
Production du lait et transformation en fromage
Boîte de brie de Meaux, Société Rouzaire.
Le brie de Meaux est fabriqué avec du lait cru. Il faut environ 25 litres de lait pour un fromage de 3,5 kg. Le lait fermente en cuve durant 16 heures, puis est mis en bassine avec de la présure pour être caillé (le caillage dure une heure). Il est ensuite coupé en petits cubes avec un tranche-caillé. Enfin, il est moulé à la main par fines couches successives à l'aide d'une « pelle à brie », sorte de grande écumoire. La température de la pièce dans laquelle est effectué le moulage doit être portée à 33 °C durant 4 heures, afin de faire évacuer le lactosérum, puis à 24 °C durant six heures et enfin à 19 °C. L'égouttage s'effectue sur des nattes de roseaux. Le lendemain, les fromages sont démoulés puis salés au sel sec : ils restent alors dans la salle de salage durant deux jours. Ensuite, les fromages sont mis dans une salle à 12 °C dans laquelle ils vont commencer à s'affiner. Leur couleur blanche commencera à apparaître. Au bout d'une semaine, les fromages seront mis dans un autre réfrigérateur à 7 °C. Il faut attendre encore 3 semaines au minimum mais les bries n'atteignent leur complète maturité qu'au bout de 6 à 8 semaines. Pendant toute la période d'affinage, les fromages sont retournés régulièrement à la main.
Le temps de fabrication du brie de Meaux est de 2 mois en tout.
Le territoire de production du brie de Meaux est limité aux départements de Seine-et-Marne, du Loiret, de la Meuse, de l'Aube, de la Marne, de la Haute-Marne et de l'Yonne. La Meuse représente à elle seule plus de 70 % de la production de lait pour ce brie, et de nombreuses fabriques également.
Communes du département de l'Aube : toutes les communes des cantons d'Arcis-sur-Aube, Chavanges et Ramerupt, toutes les communes de l'arrondissement de Nogent-sur-Seine et les communes de Bétignicourt, Blignicourt, Courcelles-sur-Voire, Lassicourt, Lesmont, Molins-sur-Aube, Rances, Rosnay-l'Hôpital, Saint-Christophe-Dodinicourt, Soulaines-Dhuys et Yèvres-le-Petit.
Communes du département du Loiret : toutes les communes des cantons de Château-Renard, Courtenay et Ferrières-en-Gâtinais.
Communes du département de la Marne : toutes les communes des cantons d'Anglure, Châtillon-sur-Marne, Dormans, Esternay , Montmirail, Montmort-Lucy, Saint-Remy-en-Bouzemont-Saint-Genest-et-Isson, Sézanne et les communes de Bréban, Chapelaine, Corbeil, Humbauville, Saint-Martin-d'Ablois, Saint-Ouen-Domprot, Saint-Utin, Sompuis et Somsois.
Communes du département de la Haute-Marne : toutes les communes des cantons de Chevillon, Montier-en-Der, Poissons, Saint-Dizier-Centre, Saint-Dizier-Nord-Est, Saint-Dizier-Sud-Est,Saint-Dizier-Ouest, Wassy.
Communes du département de la Meuse : totalement les cantons de Ancerville, Bar-le-Duc, Canton de Clermont-en-Argonne, Ligny-en-Barrois, Montiers-sur-Saulx, Pierrefitte-sur-Aire, Revigny-sur-Ornain, Seuil-d'Argonne, Vaubecourt, Vavincourt ; partiellement les cantons Commercy, Saint-Mihiel, Souilly, Verdun, Void-Vacon et les communes de Bonnet, Saint-Joire et Tréveray.
Communes du département de Seine-et-Marne : toutes les communes.
Communes du département de l'Yonne : toutes les communes des cantons de Chéroy et de Pont-sur-Yonne et les communes de Nailly, Piffonds, Saint-Martin-du-Tertre et Vinneuf.
Chiffres de production
6 173 tonnes en 2013 (-17,6 % depuis 2000) par 7 fabricants-affineurs, 3 affineurs et 8 laiteries industrielles fournies en lait par 443 producteurs. En 2021, la production s'établit à 6 849 tonnes.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Brie_de_Meaux | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | |||||||||||||||||||||||||||
BIOGRAPHIE | |||||||||||||||||||||||||||
Meuse (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2025 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
L'Hôtel de Florainville est un bâtiment situé à Bar-le-Duc, en France. Il sert de Cour d'Assise au département de la Meuse.
Localisation
L'édifice est situé dans le département français de la Meuse, sur la place saint-Pierre de Bar-le-Duc.
Historique
Le bâtiment était à son origine construit au xviie siècle pour la famille de Florainville et il fut ensuite le siège de la municipalité en 1794 qui y logeait ensuite son musée. Il devint ensuite le siège du tribunal de grande instance avant d'être celui de la cour d'Assise. L'hôtel est partiellement classé au titre des monuments historiques pour ces toitures et façades sur rue.
Il fut le lieu de réception de la future reine Marie Antoinette d'Autriche lors de son voyage depuis la frontière vers le Roi.
Architecture
Il est en pierre de Savonnières comme la majorité des hôtels de la place avec un toit d'ardoises à quatre pans. Sur la place sa façade est sur trois étages, chacun ayant son style particulier, un étage à l'attique avec des fenêtres cintrées sous le toit. Des balcons, avec garde corps en fer forgé, sur consoles avec cinq grandes fenêtres au premier et des fenêtres à meneaux du rez-de-chaussée où arrivent un grand escalier à double révolution.
Les blasons de France, du duc de Bar (d'azur semé de croisettes recroisetées au pied fiché d'or aux deux bars adossés du même brochant sur le tout) et de sa capitale (d'argent aux trois pensées tigées et feuillées au naturel) sont surmontés par la devise GESTA SONNANT ("Les hauts faits résonnent").
Sur la façade rue Cim est gravée l'inscription "Celuy qui n'aura voulu quand il aura pu ne pourra peut-estre pas quand il voudra ; 1640"
Meuse | ||||||||||||||||
Département de la Meuse : Communes | ||||||||||||||||
A | B | C | D | E | F | G | H | I J K | L | M | N O | P Q | R | S | T U | V W X |
Visitez la Meuse
|
Le palais de justice de Bar-le-Duc est situé dans l'hôtel de Florainville, en Ville Haute.
La commune relève du tribunal d'instance, de grande instance, de commerce et du conseil de prud'hommes de Bar-le-Duc. Elle est rattachée à la cour d'appel, au tribunal administratif et à la cour administrative d'appel de Nancy. Elle dépend également du tribunal pour enfants de Verdun et de la cour d'assises de la Meuse située à Bar-le-Duc
Meuse | ||||||||||||||||
Département de la Meuse : Communes | ||||||||||||||||
A | B | C | D | E | F | G | H | I J K | L | M | N O | P Q | R | S | T U | V W X |
Visitez la Meuse
|
Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, communément appelé Talleyrand, né le 2 février 1754 à Paris où il est mort le 17 mai 1838, est un homme d'Église, un homme d'État et un diplomate français, actif du règne de Louis XVI à celui de Louis-Philippe, particulièrement pendant les périodes de la Révolution, de l'Empire et de la Restauration.
Issu d'une famille de haute noblesse, mais souffrant d'un pied bot, il est orienté vers une carrière ecclésiastique en vue de prendre la succession de son oncle, archevêque de Reims. Ordonné prêtre en 1779, il est nommé en 1788 évêque d'Autun. Sous la Révolution, il adhère d'abord à la Constitution civile du clergé (1790), puis renonce à la prêtrise pour mener une vie laïque.
Talleyrand occupe des postes de pouvoir sous la plupart des régimes qui se succèdent en France : sous l'Ancien Régime, il est agent général du clergé (1780) ; en 1789, il se fait élire député du clergé aux États généraux, est un moment président de l'Assemblée nationale constituante en 1790 et est à l'origine de la Constitution civile du clergé ; en 1792-1793, il est ambassadeur de France au Royaume-Uni ; sous le Directoire, il est ministre des Relations extérieures et le reste sous le Consulat et l'Empire ; en 1814, il est président du gouvernement provisoire ; sous la Restauration, il est ambassadeur, ministre des Affaires étrangères et président du Conseil des ministres ; enfin, sous la monarchie de Juillet, il est ambassadeur.
Il assiste aux couronnements de Louis XVI en 1775, de Napoléon Ier en 1804 et de Charles X en 1825.
Il intervient fréquemment dans les questions économiques et financières, pour lesquelles son acte le plus fameux est la proposition de nationalisation des biens du clergé en 1789. Toutefois, sa renommée provient surtout de sa carrière diplomatique exceptionnelle, dont l'apogée est le congrès de Vienne. Homme des Lumières, libéral convaincu, tant du point de vue politique et institutionnel que social et économique, Talleyrand théorise et cherche à appliquer un « équilibre européen » entre les grandes puissances.
Réputé pour sa conversation, son esprit et son intelligence, il mène une vie entre l'Ancien Régime et le xixe siècle. Surnommé le « diable boiteux » et décrit comme un traître cynique plein de vices et de corruption ou au contraire comme un dirigeant pragmatique et visionnaire, soucieux d'harmonie et de raison, admiré ou détesté par ses contemporains, il suscite de nombreuses études historiques et artistiques.
|
Jacques Cartier, né vers 1491 à Saint-Malo alors dans le duché de Bretagne où il meurt le 1er septembre 1557, est un navigateur et explorateur breton puis français. Mandaté par le roi de France François Ier, il atteint en 1534 le golfe du Saint-Laurent et explore les territoires alentour, auxquels il donne le nom de « Canada », tiré du mot iroquoien kanata (« village »). Il y effectue un second voyage en 1535-1536 et un troisième en 1541-1542.
Auteur de cartes aujourd'hui perdues et de Relations, récits de ses voyages, Jacques Cartier est le premier Européen à décrire et nommer cette région et ses habitants, à une époque où les Espagnols sont déjà installés dans les îles Caraïbes, au Mexique et en Amérique centrale, et commencent la conquête du Pérou.
|
En 1923, Albert Londres se rend en Guyane où il visite le bagne aux Îles du Salut, à Cayenne et à Saint-Laurent-du-Maroni. Décrivant les horreurs de ce qu'il voit, son reportage suscite de vives réactions dans l'opinion mais aussi au sein des autorités.
« Il faut vous dire que nous nous trompons en France. Quand quelqu'un – de notre connaissance parfois – est envoyé aux travaux forcés, on dit : il va à Cayenne. Le bagne n'est plus à Cayenne, mais à Saint-Laurent-du-Maroni d'abord et aux îles du Salut ensuite. Je demande, en passant, que l'on débaptise ces îles. Ce n'est pas le salut, là-bas, mais le châtiment. La loi nous permet de couper la tête des assassins, non de nous la payer.
Cayenne est bien cependant la capitale du bagne. (...) Enfin, me voici au camp ; là, c'est le bagne. Le bagne n'est pas une machine à châtiment bien définie, réglée, invariable. C'est une usine à malheur qui travaille sans plan ni matrice. On y chercherait vainement le gabarit qui sert à façonner le forçat. Elle les broie, c'est tout, et les morceaux vont où ils peuvent. »
— Au bagne (1923), chapitre À terre, pages 35-37.
Et le récit se poursuit :
« On me conduisit dans les locaux. D'abord je fis un pas en arrière. C'est la nouveauté du fait qui me suffoquait. Je n'avais encore jamais vu d'hommes en cage par cinquantaine.
Ils se préparaient pour leur nuit. Cela grouillait dans le local. De cinq heures du soir à cinq heures du matin ils sont libres – dans leur cage. »
— Au bagne (1923), chapitre À terre, pages 39-40.
Albert Londres dénonce aussi un fait que l'on ignore souvent : le « doublage ».
« Quand un homme est condamné de cinq à sept ans de travaux forcés, cette peine achevée, il doit rester un même nombre d'années en Guyane. S'il est condamné à plus de sept ans, c'est la résidence perpétuelle. Combien de jurés savent cela ? [...] »
— Au bagne (1923), chapitre Chez Bel-ami, page 43.
Et ici, voici la formule :
« Le bagne commence à la libération. Tant qu'ils sont en cours de peine, on les nourrit (mal), on les couche (mal), on les habille (mal). Brillant minimum quand on regarde la suite. Leurs cinq ou sept ans achevés, on les met à la porte du camp. »
— Au bagne (1923), chapitre Chez Bel-ami, page 44.
Son livre est une galerie de portraits : Hespel, Bel-Ami, Ullmo, Duez, Eugène Dieudonné, Roussenq, Marcheras... les bagnards sont des hommes ! – même si dans ce lieu, ils tendent à devenir des animaux. En 1924, il poursuit ses enquêtes sur les travaux forcés et se rend en Afrique du Nord où des bagnes militaires accueillent les condamnés des conseils de guerre qui n'en finissent pas d'expier leur très grande faute (publication de Dante n'avait rien vu).
|
Henri II de Navarre, ou Henri d'Albret, Henri Ier d'Albret, Henri Ier de Foix, né le 18 avril 1503 à Sangüesa (Navarre) et mort le 25 mai 1555 à Hagetmau, est roi de Navarre, vicomte de Béarn et comte de Foix de 1517 à 1555, seigneur d'Albret de 1522 à 1555. Il occupe aussi les fonctions de gouverneur de Guyenne et d'amiral de Guyenne à partir de 1528.
Marié avec Marguerite de Valois-Angoulême en 1527, il est le beau-frère de François Ier, le père de Jeanne d'Albret et le grand-père d'Henri IV (Henri III de Navarre).
|
La Renault Frégate est une berline grande routière de la marque Renault, présentée à la presse au Palais de Chaillot à Paris le 30 novembre 1950 par Pierre Lefaucheux, administrateur général de la Régie Renault, avant d'être officiellement lancée au Salon de l'auto de 1951.
La Frégate a été produite en France à Billancourt (Hauts-de-Seine) puis à l'usine Renault de Flins (Yvelines) nouvellement créée.
Historique et caractéristiques
Il s'agit d'une berline tricorps avec moteur avant et transmission aux roues arrière qui avait pour ambition de concurrencer la Citroën Traction Avant, sur le marché depuis une quinzaine d'années.
Conçue hâtivement après l'abandon du projet 108 à moteur arrière à la fin de l'année 1949, la Frégate a traîné de nombreux défauts au début de sa carrière. Malgré des lignes élégantes et fluides, elle doit se contenter d'un moteur à 4 cylindres en ligne à longue course (85 × 88 mm) d'une cylindrée de 1 996 cm3 (type 668) ne développant qu'une puissance de 60 ch, pour un poids annoncé de 1 230 kg.
Grâce au changement de vitesse au volant et au plancher plat, l'habitacle était très vaste, avec deux banquettes pouvant accueillir six personnes, et un coffre volumineux.
Elle disposait d'une excellente tenue de route grâce à ses quatre roues indépendantes et d'un excellent freinage grâce aux freins Bendix à commande hydraulique. Seule la direction, assez lourde, et la boîte de vitesses (type 277), au maniement assez dur, venaient noircir le tableau.
La Frégate évolua assez peu entre l'année de son lancement et 1955, seule la version dépouillée « Affaires » fut proposée (elle deviendra par la suite « 2 litres », puis « Caravelle »), en parallèle de la version « Amiral » plus richement équipée, les ingénieurs de Renault cherchant surtout à corriger les défauts de jeunesse dont souffrait la voiture en raison de son lancement anticipé. Un boîtier de direction Gemmer remplaça ainsi avantageusement la direction à crémaillère des premiers modèles.
Pour les modèles 1956, la Frégate reçut le nouveau moteur carré « Étendard » (type 671-01 : 88 × 88 mm) de 2 141 cm3, délivrant 77 ch, tandis que Renault lançait une version luxe dénommée « Grand Pavois » ainsi qu'un break du nom de « Domaine » qui remplaçait la Renault Colorale Prairie. L'année 1956 est l'année du principal restylage de la Frégate, avec une nouvelle calandre ovale en remplacement de celle à trois barres des modèles des années précédentes.
Un nouveau pont arrière hypoïde et une nouvelle boîte de vitesses entièrement synchronisée (type 295) firent leur apparition en 1957, avant la présentation de la version Transfluide à boîte de vitesses semi-automatique pour 1958. L'ensemble Transfluide était composé d'un convertisseur de couple et d'une boîte de vitesses (appelée gammes chez Renault), type 293, disposant des rapports ville-voute, montagne et exceptionnel. Le moteur étendard (type 671-03) de la Frégate Transfluide fut poussé à 80 ch grâce à une culasse améliorée : taux de compression augmenté, arbre à cames plus performant, soupapes d'admission de plus grand diamètre.
Une version luxueuse break de la Frégate, la Manoir, équipée de cette transmission, est apparue en 1959, mais sa carrière commerciale ne dépassa pas les dix-huit mois.
Malgré des défauts de jeunesse évidents, sous-motorisée, mais dotée d'un excellent freinage et d'un très grand confort, la Frégate, dotée à partir de 1956 d'un moteur plus robuste, aurait mérité plus d'attention. Malgré toutes ces améliorations et une fiabilité enfin présente, les ventes du haut de gamme de Renault n'étaient pas à la hauteur des attentes, surtout depuis la sortie de la DS 19 de Citroën.
Elle a été utilisée par de nombreux services ministériels et officiels, (et pas seulement la police et la préfectorale) comme voiture de grande liaison pour les officiers généraux ; elle a connu des versions bicolores et de jolis coupés et cabriolets fabriqués à la demande par des carrossiers privés, souvent équipées de roues à rayons Robergel. Elle est très présente dans les films noirs des années 1950.
Une version spéciale carrossée par Ghia, en limousine avec rehausse du pavillon, a été utilisée par la présidence de la République en 1958.
La production de la Frégate cessa en avril 1960 après environ 180 000 exemplaires.
Divers
C'est au volant d'une Frégate que le président de la Régie Renault, Pierre Lefaucheux, s'est accidentellement tué en dérapant sur une plaque de verglas le 11 février 1955.
|
Jean de Luxembourg-Ligny (° ? – † 1373) - Évêque de Mayence.
La Vision de Pierre de Luxembourg.
Pierre de Luxembourg (° 1369 – † 1387) - Né à Ligny-en-Barrois, cardinal d'Avignon.
Joseph Paignat (1723-1807), général des armées de la République, est décédé dans la commune.
Alexandre-Louis de Villeterque (1759 - 1811), écrivain et journaliste né à Ligny-en-Barrois.
Pierre Barrois (° 1774 – † 1860) - Né à Ligny-en-Barrois, général d'Empire ; décédé à Villiers-sur-Orge (Essonne).
Brigitte Bardot, dont le père, Louis Bardot, est originaire de Ligny-en-Barrois.
Mélanie Chasselon, compositrice française, née et morte à Ligny-en-Barrois.
Serge Brunoni (1938-2020), peintre autodidacte ayant vécu au Québec, est né à Ligny-en-Barrois.
Meuse | ||||||||||||||||
Département de la Meuse : Communes | ||||||||||||||||
A | B | C | D | E | F | G | H | I J K | L | M | N O | P Q | R | S | T U | V W X |
Visitez la Meuse
|