Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
11.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Taillancourt est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.
Géographie
Taillancourt est située au sud-est du département de la Meuse. Limitrophe des Vosges au sud et de la Meurthe-et-Moselle à l'Est, elle a pour axe la Vallée de la Meuse. On l’appelle aussi « la Vallée des Couleurs ».
Maxey-sur-Vaise | Champougny | Champougny |
Montbras | Champougny | |
Montbras | Montbras | Burey-la-Côte |
En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 884 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet1. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 19 km à vol d'oiseau, est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le 25 juillet 2019; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le 12 janvier 1987.
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Urbanisme
Taillancourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee. La commune est en outre hors attraction des villes.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,4 %), terres arables (22,3 %), prairies (7,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,3 %), zones urbanisées (2,5 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (xviiie siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Toponymie
Tallincuria deviendra Taillancourt, et se prononcera en patois Tayocoû ; les habitants sont appelés les Taille-culs. Tallancourt en 1327 pourrait provenir du nom d'un homme germanique, ou encore viendrait du latin statio (arrêt de poste impériale) et cortis (domaine).
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Histoire
Le plus ancien seigneur connu est Pierre de Taillancourt (1175), sa famille possédait une maison forte aujourd’hui disparue.
En 1574, de nombreuses familles détiennent une partie de la seigneurie de Taillancourt, dont Claude 1er de Verrières, écuyer, seigneur d'Amanty. Ses droits dérivent sans doute de son mariage avec Jeanne Le Bégat.
Nous comptons également, parmi les seigneurs de Taillancourt au XVIe siècle, Jean-Ambroise de Malabarbe et Louis 1er de Vigneulles.
Le 31 août 1581, Jean-Ambroise de Malabarbe, époux d'Elisabeth le Bégat, cède ses propres droits dans la seigneurie de Taillancourt à son beau-frère Claude en échange d'une partie de la seigneurie de Maxey-sur-Vaise.
La famille de Verrière accroît donc ses droits sur Taillancourt.
Claude II de Verrières, fils du précédent, est qualifié de seigneur de Taillancourt le 14 mai 1596, lors de son mariage avec Louise des Salles. Après rachat du château féodal de Montbras et de ses dépendances à Louis 1er de Vigneulles, il devient également seigneur de Montbras.
Par extinction de la ligne masculine de la famille de Verrières, les seigneuries en partie de Montbras, Amanty et Taillancourt entrent en possession de la famille de Sommyèvre, par Jacqueline de Verrières, dont la fille Catherine de Méry épouse Simon de Sommyèvre, seigneur de Juilly et chevalier de l'Ordre du roi.
En 1724, Gaspard de Sommyèvre est encore seigneur en partie de Taillancourt.
Jadis diocèse de Toul, bailliage de Chaumont, prévôté de Vaucouleurs et de la Champagne (donc de France).
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Politique et administration
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
1995 | En cours (au 29 mai 2020) | François Mazelin Réélu pour le mandat 2020-2026 |
Adresse
2 place du Gué-de-Chermont
Téléphone : 03 29 90 86 34
Email: commtaillancourt@wanadoo.fr
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004.
En 2021, la commune comptait 123 habitants, en diminution de 8,21 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
486 | 510 | 493 | 492 | 477 | 498 | 496 | 462 | 437 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
394 | 374 | 376 | 387 | 352 | 322 | 288 | 275 | 242 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
240 | 240 | 216 | 194 | 179 | 167 | 180 | 149 | 154 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
129 | 108 | 115 | 96 | 98 | 121 | 131 | 132 | 145 |
2014 | 2019 | 2021 | - | - | - | - | - | - |
136 | 124 | 123 | - | - | - | - | - | - |
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L’église Saint-Gengoult
Culture locale et patrimoine
Un lavoir construit dans la seconde moitié du xviiie siècle (Second Empire) et restauré en 1853. Bâtiment de plan allongé, précédé d'un porche en pierre de taille. Il est couvert d'un toit « à impériale » couvert de « tuiles violons ».
Un pont de pierre et poutrelles d'acier datant du XIXe siècle enjambe un bras de la Meuse.
La rue Delle, vers le nord, est composée d'un bel alignement de portes charretières du XVIIIe. On y trouve une maison à la porte piétonne décorée d'un cartouche.
L’église Saint-Gengoult date de 1760. Le chœur et le clocher sont de 1841. Elle a été reconstruite en 1860 à l'emplacement de celle construite au xve siècle.
Trois fontaines datant de 1900.
À 100 mètres du village, château-Hostellerie de l'Isle en Bray à Montbras.
Monuments aux morts, guerre de 1914-1918.
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Daniel Cohn-Bendit, né le 4 avril 1945 à Montauban (Tarn-et-Garonne), est un homme politique germano-français ; actif en politique aussi bien en Allemagne qu'en France, il obtient la nationalité française en 2015.
Né en France de parents allemands militants d'extrême gauche puis antinazis, il fait ses études supérieures en France, à l'université Paris-Nanterre. Militant libertaire, il accède à la notoriété durant le mouvement de mai 68, dont il est l'un des porte-paroles. N'ayant pas à l'époque la nationalité française, il est expulsé en Allemagne par le gouvernement français.
À partir des années 1980, Cohn-Bendit mène une carrière politique en Allemagne comme élu du parti écologiste Alliance 90/Les Verts à Francfort-sur-le-Main. Il devient député européen des Verts allemands en 1994 puis est réélu député européen sur une liste des Verts français en 1999, faisant à cette occasion son retour sur la scène politique française. Lors des élections européennes de 2009, il mène la liste d'Europe Écologie en Île-de-France. Sa liste se place deuxième avec 20,9 % des voix, un record pour le parti. Favorable à la mise en place d'une Europe fédérale, il est coprésident du groupe Verts/ALE au Parlement européen de 2002 à 2014.
Alors qu'il était surnommé « Dany le Rouge » en mai 68, Daniel Cohn-Bendit effectue un virage idéologique, adhérant progressivement au libéralisme économique tout en revendiquant l'étiquette de « libéral-libertaire ».
Il a fait l'objet d'accusations de pédophilie, ou d'apologie de la pédophilie, notamment fondées sur son ouvrage Le Grand Bazar, publié en 1975, mais a toujours rejeté ces accusations et n'a jamais été poursuivi en justice.
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Pierre Bérégovoy , né le 23 décembre 1925 à Déville-lès-Rouen (alors en Seine-Inférieure) et mort le 1er mai 1993 à Nevers (Nièvre), est un homme d'État français. Il est Premier ministre du 2 avril 1992 au 29 mars 1993, sous la présidence de François Mitterrand.
Issu d'un milieu modeste, il commence son engagement politique auprès de Pierre Mendès France avant d'adhérer au Parti socialiste (PS). Après l'élection présidentielle de 1981, il est nommé secrétaire général de la présidence de la République par François Mitterrand.
Tout en étant élu dans la Nièvre, il est successivement ministre des Affaires sociales et de la Solidarité nationale de 1982 à 1984 et ministre de l'Économie et des Finances de 1984 à 1986 puis entre 1988 et 1992, ainsi que ministre de la Défense en 1993.
Nommé Premier ministre par le président Mitterrand en 1992, il est le chef du gouvernement sous la Ve République le plus âgé lors de sa nomination ; ce record est toujours inégalé. Il quitte ses fonctions l'année suivante, en raison de la lourde défaite de la gauche aux élections législatives.
Visé par des soupçons de corruption visant sa personne, il se suicide un mois plus tard
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Édouard Balladur , né le 2 mai 1929 à Izmir (Turquie), est un haut fonctionnaire et homme d'État français. Membre des principaux partis gaullistes successifs, il est Premier ministre du 29 mars 1993 au 17 mai 1995.
Conseiller d'État, il intègre en 1964 le cabinet de Georges Pompidou, alors chef du gouvernement, et participe aux accords de Grenelle dans le cadre de Mai 68. Devenu secrétaire général de la présidence de la République en 1973, il est particulièrement influent en raison de la maladie du président Pompidou, qui meurt l’année suivante.
En 1986, il est élu député de Paris et nommé dans la foulée ministre d'État, ministre de l'Économie, des Finances et de la Privatisation dans le premier gouvernement de cohabitation, dirigé par Jacques Chirac jusqu’en 1988. Dans un contexte mondial de révolution conservatrice, il conduit une politique libérale, lançant un programme de privatisations après cinq ans de pouvoir socialiste.
François Mitterrand le nomme Premier ministre à la suite de la large victoire de l'Union pour la France (RPR-UDF) aux élections législatives de 1993, inaugurant la deuxième cohabitation. Candidat à l'élection présidentielle de 1995, soutenu par l'UDF et une partie du RPR, pour lequel Jacques Chirac se présente également, Édouard Balladur est longtemps favori, avant de finir en troisième position avec 18,58 % des voix. Par la suite mis en cause pour des soupçons de financement occulte de sa campagne, il est relaxé par la Cour de justice de la République en 2021.
Il retrouve son siège de député en 1995, envisage de conduire la droite aux élections municipales de 2001 à Paris et préside la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale de 2002 à 2007. Proche de Nicolas Sarkozy, il conduit les travaux de deux comités consultatifs sous la présidence de celui-ci (sur les institutions puis les collectivités locales) et se retire de la vie publique en 2009, tout en restant un conseiller informel de nombreuses personnalités de droite.
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Les Vieux de la vieille est un film réalisé par Gilles Grangier en 1960 et sorti sur les écrans le 2 septembre 1960. C'est une adaptation du roman Les Vieux de la vieille de René Fallet.
Retraité de la SNCF, Baptiste Talon rentre en Vendée dans son village natal de Tioune pour y retrouver deux vieux amis : Jean-Marie Péjat et Blaise Poulossière. Il leur apprend qu’il a décidé d'aller à l'hospice de Gouyette. Jean-Marie Péjat, réparateur de cycles et vieux célibataire, décide de l’accompagner à la suite d'un incident lors d'un bal de la fête aux escargots où il a pris conscience qu'il n'est plus tout jeune. Blaise Poulossière, ancien éleveur de cochons vivant dans sa famille désormais dirigée d’une main de fer par son fils, décide aussi de se joindre à eux.
Et voilà les trois compères partis sur la route avec leur sacs et leur panier de pinard, pour un voyage ponctué de nombreuses péripéties. Mais, une fois à destination, déçus par l’ambiance austère qui règne dans l’hospice dirigé par des sœurs, ils n'ont d'autre projet que de revenir au village. Ayant réussi à fuir Gouyette, ils retournent au village mais sont vertement sermonnés par le maire qui accepte néanmoins leur retour sous condition d'être sages. Combien de temps ces incorrigibles ganaches toujours à l'affût d'une bonne plaisanterie seront-ils sages ?
Fiche technique
Réalisation : Gilles Grangier
Scénario : D'après le roman de René Fallet (éditions Denoël)
Adaptation : René Fallet, Gilles Grangier, Michel Audiard
Dialogues : Michel Audiard
Assistants réalisateurs : Guy Blanc, Joseph Drimal
Directeur de la photo : Louis Page
Caméraman : Henri Tiquet
Assistants opérateurs : Marc Champion, Pierre Charvein
Montage : Paul Cayatte, assisté de L. Marchand-Saurel
Décors : Robert Bouladoux, assisté de Georges Richard et Jean Taillandier
Maquillage : Yvonne Gasperina et Alex S. Ranesky
Son : Jean Rieul, assisté de Marcel Corvaisier et Gabriel Salagnac
Musique : Francis Lemarque et Paul Durand (éditions Paris-Etoile et Mondia-Music)
Script-girl : Martine Guillou
Ensemblier : Fernand Chauviret
Régisseur : Alain Darbon, assisté de Georges Testard
Photographe de plateau : Marcel Dole
Producteur : Jacques Bar
Directeur de production : Jacques Juranville
Sociétés de production : Cité-Films, Cinetel, Silver Films, Terra Film, Fidès (Paris) et Titanus SPA (Rome)
Format : Pellicule 35 mm - 1,65:1 - noir et blanc - son mono
Tirage : Laboratoires Franay L.T.C. (Saint-Cloud)
Durée : 86 minutes
Genre : Comédie
Société de distribution : Cinédis
Visa d'exploitation : 22.879, délivré le 8 juillet 1960
Date de sortie : 2 septembre 1960 aux cinémas Berlitz, Paris, et Pathe Wepler à Paris
Box office : 3.477.455 entrées en France, (10e film de l'année)
Distribution
Jean Gabin : Jean-Marie Péjat, réparateur de vélos
Pierre Fresnay : Baptiste Talon, retraité S.N.C.F.
Noël-Noël : Blaise Poulossière, éleveur de cochons
Mona Goya: Catherine, la patronne de la ferme
Yvette Etievant : Louise, la patronne du café
André Dalibert : Anselme Poulossière, le fils de Blaise
Yane Barry : Mariette, la petite fille de Blaise
Paul Bisciglia : Jojo, le fiancé de Mariette
Hélène Dieudonné : La supérieure de "Gouyette"
Guy Decomble : Le chauffeur de car
Alexandre Rignault : Le fermier qui reçoit Blaise
Paul Mercey : Le maire du village
Jacques Marin : Le brigadier à vélo (non crédité)
Robert Dalban : Jérôme Ardouin, le fossoyeur
Pierre Collet : Le livreur de boissons
Paul Faivre : Léon, un consommateur au café
Albert Michel : Le fils Bouilland
Charles Bouillaud : Le fils Bleuzet
Gabriel Gobin : Étienne Lesage, l'employé de mairie
Jean Favre-Bertin : M. Piolet, l'instituteur
Bruno Balp : L'ouvrier de la salle communale
Louis Lalanne : L'autre ouvrier de la salle communale
Max Mégy : Gaston, le touriste en voiture
Denise Carvenne : La touriste en voiture
Jean-Pierre Rambal : L'arbitre de football (non crédité)
Édouard Francomme : Un consommateur au café (non crédité)
Lisa Jouvet : La Sœur conduisant la fourgonnette (non créditée)
Yvonne Dany : Une Sœur de l'hospice (non créditée)
Laure Paillette : Une employée de la ferme (non créditée)
René Hell : Un consommateur au café ? (sous réserves, non crédité)
Max Montavon : (sous réserves, non crédité)
Josette Vardier : (sous réserves, non créditée)
Autour du film
C'est le dernier film tourné par Pierre Fresnay, avant qu'il n'arrête sa carrière au cinéma.
À l'époque du tournage, Jean Gabin avait 56 ans, alors que ses 2 partenaires avaient 62 ans (Noël-Noël) et 63 ans (Fresnay). C'est le premier film dans lequel Gabin accepta une transformation physique afin de paraître plus vieux que son âge.
Lieux de tournage : intérieurs au Studio Franstudio à Saint-Maurice (94) ; extérieurs en Vendée : à Apremont (village de Tioune), au château de l'Audardière dans la commune d'Apremont (scène des retrouvailles avec Catherine), à Coëx (scènes de football), à La Chapelle-Palluau (scène du cimetière), à La Chaize-Le-Vicomte (hospice de Gouyette), et aux Sables-d'Olonne.
Deux téléviseurs apparaissent dans le film (un au café de Tioune, l'autre lors du déjeuner à la ferme) alors que la télévision n'est arrivée en Vendée qu'en avril 1960, après le tournage du film qui avait commencé dès l'automne 1959.
Les noms des trois acteurs ne figurent pas au générique en début de film, ils sont remplacés par ceux de leurs personnages : Jean Gabin apparaît en tant que Jean-Marie Péjat, Noël-Noël sous le nom de Blaise Poulossière et Pierre Fresnay en tant que Baptiste Talon
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Jules Massenet est un compositeur français né le 12 mai 1842 à Montaud (aujourd'hui quartier de Saint-Étienne) et mort le 13 août 1912 à Paris. Ses compositions étaient très populaires à la fin du xixe siècle et au début du xxe siècle. Les opéras de Massenet sont connus pour leur beauté mélodique et pour leur représentation des émotions de l'amour et de la passion. Ses œuvres les plus connues incluent les opéras Manon (1884), Werther (1892) et Thaïs (1894). Sa musique continue d'être populaire et est régulièrement jouée dans le monde entier.
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