Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
11.02.2025
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Histoire
Sous l'Ancien Régime, la commune appartient au Barrois mouvant.
C'est après une chasse aux loups dans une forêt de Fains où il prend froid, que le duc de Lorraine René II meurt le dimanche 10 décembre 1508, au château de Fains.
En 1850, une portion de la ligne de chemin de fer de Paris à Strasbourg est inaugurée tandis que le Canal de la Marne au Rhin est mis en service peu de temps après ; il comporte une écluse à Véel-les-Sources. Une petite halte ferroviaire a été ouverte le long du canal. Elle est désormais fermée mais le bâtiment voyageurs, une halte "Est" de type A ainsi que la maison de l'éclusier située de l'autre côté des voies existent toujours.
Le 1er janvier 1973, Fains-les-Sources devient Fains-Véel à la suite de sa fusion-association avec Véel
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Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
01/03/01 | 01/03/08 | Charles Egret | ||
01/03/08 | En cours | Patrick Bernard Réélu pour le mandat 2020-2026 |
Adresse
Mairie de Fains-Veel
14 Place de la Mairie
55000 FAINS-VEEL
tel. 03 29 45 07 65
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Population et société
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005.
En 2021, la commune comptait 2 090 habitants, en diminution de 4,44 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
665 | 744 | 739 | 834 | 962 | 855 | 1232 | 1440 | 1847 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
1524 | 1476 | 1643 | 1757 | 1989 | 1985 | 2245 | 2017 | 2075 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
2088 | 1927 | 1854 | 1541 | 1711 | 2005 | 2182 | 1701 | 2110 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
2426 | 2482 | 2588 | 2513 | 2447 | 2290 | 2279 | 2283 | 2255 |
2015 | 2020 | 2021 | - | - | - | - | - | - |
2187 | 2093 | 2090 | - | - | - | - | - | - |
Économie
La commune a de nombreuses ressources :
Arbres fruitiers, pâturages
Aviculture
Laiterie
Hôpital psychiatrique
Port (sur le canal)
Métallurgie, ferronnerie, scierie
Ainsi que deux zones commerciales, l'une située sur la sortie de Bar-le-Duc et l'autre à l'opposé de la commune.
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Chapelle de l'hôpital à Fains-les-Sources.
Culture locale et patrimoine
La commune abrite deux monuments historiques :
L'église Sainte-Catherinede Fains-les-Sources xve siècle, classée par arrêté du 21 mars 1983 ;
L'Église Saint-Martin de Véel xve siècle, de style ogival flamboyant, inscrite par arrêté du 19 octobre 1927.
Chapelle de l'Hôpital, construite en 1856 à Fains, ancien couvent des Tiercelins fondé en 1663.
La commune comporte plus de 38 cavités souterraines, dont 4 de plus de 150 m de développement ou de plus de 25 m de profondeur : le gouffre d'Orient, le gouffre de Fains, le gouffre de l'Abreuvoir et le gouffre des Mobylettes
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L'église Sainte-Catherine est une église catholique située à Fains-Véel, dans le département français de la Meuse en région Grand Est.
Localisation
L'église est située dans le département français de la Meuse, sur sur la place de la Mairie dans le village de Fains-les-Sources, faisant partie de la commune de Fains-Veel.
L’édifice est bâti sur le versant nord d'une colline étroite et escarpée, dominant tout le vieux village et faisant face à l'ouest vers le Mont de Fains. Son alignement semble répondre au lever du soleil le 25 novembre, fête de la Sainte Catherine éponyme. L'église couvre une superficie de 650 mètres carrés. A l'intérieur, sa longueur est de 31,60 m et sa largeur moyenne est de 13,60 m (15,30 m à son point le plus large). L'épaisseur moyenne des parois est de 0,70 m sur les bases.
Historique
L'église Sainte-Catherine de Fains-les-Sources est classée au titre des monuments historiques par arrêté du 21 mars 1983.
L'église telle qu'elle nous apparaît aujourd'hui fut achevée au XVIIe siècle, mais il y a des éléments plus anciens, comme l’indique la date de 1555 inscrite sur la clé de voûte située dans le chœur. On estime que la partie la plus ancienne, la travée au milieu de la grande nef entre la statue de sainte Thérèse et celle de saint Pierre (aujourd'hui retirée) remonte même du XIVe siècle. Cette partie est en effet purement gothique, plus basse, plus longue et moins solide que les autres travées. La construction de l'église actuelle s'étend donc sur plusieurs siècles
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Église Saint-Martin de Véel.
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Dérivation du canal.
René II de Lorraine, duc de Lorraine et de Bar décédé à Fains en 1508.
Jeanne Weber, tueuse en série, décédée à l'asile d'aliénés de Fains en 1918.
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Adrienne Bolland, née le 25 novembre 1895 à Arcueil et morte le 18 mars 1975 à Paris, est une aviatrice et résistante française, célèbre pour avoir été la première femme à effectuer la traversée par avion de la cordillère des Andes.
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Urbain Le Verrier, né à Saint-Lô le 11 mars 1811, mort à Paris le 23 septembre 1877, est un astronome, mathématicien français spécialisé en mécanique céleste et fondateur de la météorologie moderne française. Il est mondialement connu pour avoir découvert la planète Neptune par le calcul le 23 septembre 1846.
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Jeanne Weber, née Moulinet le 7 octobre 1874 à Kérity, aujourd'hui quartier de Paimpol (Côtes-d'Armor), et morte le 5 juillet 1918 à Fains-Véel (Meuse), est une tueuse en série française. Surnommée « l'Ogresse de la Goutte-d'Or », du nom du quartier de Paris où elle commet ses forfaits, elle a étranglé dix enfants, dont les siens. Plusieurs fois acquittée, elle est déclarée irresponsable sur le plan pénal en 1908 et internée. Elle meurt d'une crise de néphrite dans sa cellule dix ans plus tard.
Histoire
Jeanne est née en Bretagne dans un petit village de pêcheurs. Elle quitte la maison familiale pour Paris à l'âge de 14 ans. Elle exerce divers petits boulots jusqu'à son mariage en 1893 avec Jean Weber, un camionneur réputé pour son alcoolisme. Deux de ses enfants sont retrouvés morts, sans explication apparente.
Le 2 mars 1905, Weber garde la progéniture de sa belle-sœur, lorsqu'une des deux enfants, âgée de 18 mois, tombe soudainement malade et meurt. D'étranges contusions sur le cou ne sont pas remarquées par le médecin. Jeanne continue de garder d'autres enfants qui meurent subitement de convulsions ou de morts subites inexpliquées.
Le 25 mars de la même année, elle garde Germaine, âgée de sept ans, qui est la fille de son frère. Celle-ci est alors victime d'une crise subite de « suffocation », accompagnée de marques rouges sur la gorge. L'enfant survit à cet épisode, jusqu'au lendemain, second jour de garde de Weber. La diphtérie aurait emporté l'enfant, mais les marques de strangulation sont une nouvelle fois ignorées.
Le 5 avril 1905, Weber invite deux de ses belles-sœurs à dîner. Elle reste à la maison avec son neveu Maurice âgé de deux ans, alors que les autres femmes sont parties faire des courses. À leur retour, elles trouvent Maurice haletant sur le lit, la gorge tachée d'ecchymoses, et Jeanne debout sur lui avec une expression folle sur son visage. Une plainte est déposée, et le procès de Weber s'ouvre le 29 janvier 1906. Weber est accusée de huit meurtres (dont ses trois enfants, Lucie Alexandre et Poyatos Marcel). Le médecin légiste du parquet de la Seine, le Dr Jules Socquet et le professeur de médecine légale de la faculté de Paris Léon Thoinot, qui se penchent sur l’assassinat par étouffement, concluent à des morts naturelles . Bénéficiant de cet avis et de la défense de son avocat maître Henri-Robert, Jeanne Weber est acquittée le 6 février. Acclamée, présentée par la presse comme une victime, elle bénéficie d'une campagne de réhabilitation.
Libérée, de retour à Paris, Weber est arrêtée pour vagabondage et brièvement incarcérée à l'asile de Nanterre, mais les médecins la libèrent car « saine d'esprit ». Elle s'engage dans la prostitution, se trouve un nouveau conjoint et s'installe dans une auberge de Commercy en 1908. Un peu plus tard, Jeanne est surprise en train d'étrangler le fils de l'aubergiste, Marcel Poirot, dix ans, avec un mouchoir ensanglanté.
Arrêtée, Weber est déclarée folle le 19 décembre 1908 et expédiée à l'asile de Maréville, puis à celui de Fains-Véel (près de Bar-le-Duc) où elle meurt d'une crise de néphrite le 5 juillet 1918.
Postérité
Un épisode des Procès témoins de leur temps diffusé en 1978 sur Antenne 2 fut consacré à Jeanne Weber.
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