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Monde : France

Chauffeurs de la Drôme

Publié à 19:00 par dessinsagogo55 Tags : center france centerblog sur presse enfants mort nuit film merci
Chauffeurs de la Drôme

 

 

Les chauffeurs de la Drôme étaient des bandits qui terrorisaient les habitants de la campagne autour de Valence et de Romans-sur-Isère, dans le département de la Drôme, entre 1905 et 1908.

Notamment, les crimes ont conduit Georges Clemenceau à créer les fameuses Brigades du Tigre.

La méthode utilisée était de s'introduire la nuit dans des maisons et de brûler les pieds de leurs habitants sur les braises de la cheminée, d'où le nom de « chauffeurs », pour faire révéler l'endroit où les économies étaient cachées. Les malfaiteurs auraient tué dix-huit personnes.

Agissant la nuit, les « chauffeurs » reprenaient leurs activités professionnelles, de cordonnier ou de maçon, le jour. Cela leur permet d'éviter d'être repérés pendant plusieurs années. Leurs méfaits faisaient la une du Petit Journal.

 

Démasqués, Octave-Louis David, trente-six ans, cordonnier à Tournon, Pierre-Augustin-Louis Berruyer, du même âge, cordonnier à Romans, et Urbain-Célestin Liottard, quarante-six ans, manœuvre dans la même ville, sont arrêtés par le commissaire Floch, dirigeant la brigade mobile de Lyon. Un quatrième larron, Jean Lamarque, échappe dans un premier temps à la justice. La plupart des crimes auraient été préparés au domicile de Berruyer, no 26 rue Pêcherie à Romans, avec l'aide de trois autres complices : Noémie Nirette surnommée la « Poule noire », Hippolyte Caleu dit « Bel-Œil », et Romanin Finet.

Jugés, les trois principaux instigateurs sont condamnés à mort par les assises de la Drôme le 10 juillet 1909 et sont guillotinés en public le matin du 22 septembre 1909, à l'intersection de la rue Amblard et de l'avenue de Chabeuil, face à l'entrée de la prison de Valence, devant une foule dense (jusqu'à 2 000 personnes selon certains témoignages), par le bourreau Anatole Deibler.

L'exécution des « chauffeurs » sera celle qui fera l'objet du plus grand nombre de photographies en dépit des instructions formelles du ministère de la justice. Plusieurs de ces clichés seront publiés sous forme de cartes postales, qui connaîtront un grand succès. Il semblerait qu'à l'occasion, un film ait même été tourné, des articles de presse de l'époque annonçant sa projection dans une salle de Valence.

Les dépouilles des suppliciés sont enterrées en dehors du mur de clôture du cimetière de la ville. Au moment de son exécution, David, qui venait de marcher dans une flaque de boue, aurait plaisanté : « Je vais m'enrhumer » puis, en direction de la foule, il aurait crié : « Salut mes enfants, salut ! ».

Condamné à mort par contumace, Lamarque est arrêté le 1er avril 1910. Il voit sa peine confirmée par les assises de la Drôme, mais est finalement gracié par le président Armand Fallières, qui était contre la peine de mort mais avait été poussé par l'opinion publique à ne pas gracier les trois autres. Lamarque purge une peine de travaux forcés à perpétuité au Bagne de Cayenne, où il terminera ses jours.

 

 



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La Semaine de Suzette

Publié à 18:58 par dessinsagogo55 Tags : center histoire france rose centerblog sur merci
La Semaine de Suzette

 

 

La Semaine de Suzette est un hebdomadaire destiné aux fillettes et jeunes filles issues de familles aisées, publié en France du 2 février 1905 au 25 août 1960 par les éditions Gautier-Languereau (Henri Gautier jusqu'en 1918). Il contenait des textes illustrés, des récits édifiants, des conseils pratiques et quelques bandes dessinées.

Il est célèbre pour avoir introduit dès son premier numéro le personnage de Bécassine, créé par le dessinateur Joseph Porphyre Pinchon et la rédactrice-en-chef de la revue Jacqueline Rivière. D'autres auteurs de talent, tels Étienne Le Rallic ou Edmond-François Calvo, ont collaboré à La Semaine de Suzette.

Les numéros invendus étaient rassemblés en albums reliés, semestriels jusqu'en 1950, ensuite quadrimestriels, puis trimestriels. Des livres reprenant chacun une histoire complète ayant paru dans la revue sont publiés sous le titre Bibliothèque de Suzette de 1919 à 1958.

 

Illustrateurs

La Semaine de Suzette est particulièrement célèbre pour ses illustrateurs dont :

Jack Abeillé

Édith Follet

René Follet

Guydo

Manon Iessel

Maggie Salcedo

Henri de Sta

Joseph Porphyre Pinchon

Calvo

Étienne Le Rallic

Noël Gloesner

Marguerite Chabay

Rose Maury

Louis Leynia de la Jarrige

Et ses pages ont accueilli les premiers travaux de dessinateurs plus inattendus tels que Julio Ribera ou Georges Pichard

 

 



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Solex : Historique

Solex : Historique

 

 

 

En 1905, création par Maurice Goudard et Marcel Mennesson d'une société à leur nom qui fabrique des radiateurs centrifuges, puis des carburateurs et starters pour automobiles.

 

En 1906, premiers grands succès de l'entreprise, qui gagne l'appel d'offres lancé par la Compagnie générale des omnibus, ce qui représente quatre cents autobus à équiper de carburateurs centrifuges, et donnera la notoriété nécessaire au groupe.

 

Le 14 juin 1910, dépôt de la marque Solex, marque de « pièces détachées et accessoires pour automobiles et motocycles, tels que : bougies d'allumage, carburateurs, radiateurs ».

 

En 1916, Marcel Mennesson fait une demande de brevet pour une bicyclette peu gourmande en énergie avec un moteur auxiliaire à explosion à loger au centre de la roue arrière ; ce brevet lui sera accordé le 31 décembre 1917.

 

En 1918, un second brevet est déposé ; il sera délivré en mai 1919 pour un deux-roues complet consistant en : un cadre composé d'un tube unique de large section allant de la selle à la colonne de direction en passant par le repose-pied, ainsi qu'une suspension avant par fourche pendulaire. Ces brevets ne seront jamais suivis d'une mise en production.

 

En 1940, Marcel Mennesson fait réaliser un prototype de l'engin avec moteur à explosion situé sur l'avant. Les caractéristiques sont celles du futur Solex : cylindrée de 45 cm3 (38 mm d'alésage et 40 mm de course), une transmission par galet, le cylindre décalé par rapport à l'axe de la roue et le carburateur à niveau constant alimenté par une pompe à membrane avec retour du surplus de carburant vers le réservoir. En décembre 1940, ce moteur est installé sur un vélo d'homme Alcyon à grandes roues de 700, couleur noir à filets blanc et rouge, c'est donc le premier modèle de VéloSoleX.

 

En 1946, les premiers VéloSoleX seront vendus en avril, ils sont produits dans une usine avenue de Verdun à Courbevoie à la cadence de quinze machines par jour, et coûtent 13 600 FRF.

 

En 1973, la partie carburateurs est reprise par Matra, elle sera ensuite reprise par Magneti-Marelli (Fiat).

 

En 1974, Renault puis Motobécane reprennent la marque Solex (avec 51 % des parts).

 

En 1983, Motobécane est racheté par Yamaha, et devient MBK.

 

En 1988, la production de Solex en France, à Saint-Quentin (Aisne), s'arrête définitivement.

 

En 1998, le groupe Magneti-Marelli reprend la marque Solex. Il accorde au hongrois Impex une licence d'exploitation, mais cette aventure se terminera par une faillite.

 

En 2004, le groupe Cible, son fondateur Jean-Pierre Bansard et sa présidente Évelyne Renaud-Garabedian rachètent la marque en vue de commercialiser ce qu'il appellera l'« e-Solex », ou Solex électrique, dessiné par Pininfarina et produit en Chine.

 

En 2004, le commerce des anciens VéloSoleX continue de façon active sur le site web de ventes aux enchères eBay ou Le Bon Coin. C'est toujours le cas en 2018.

 

En 2006, commence la commercialisation par le groupe Cible de l'e-Solex (moteur Brushless de 400 W, 35 km/h, autonomie 1 heure 30).

 

En 2009, le groupe Cible lance l'e-Solex 2.0, une version à batterie lithium-polymère

 

En 2010, lancement du VéloSoleX, vélo à assistance électrique pliant

 

En 2011, lancement du Solexity, vélo à assistance électrique avec des grandes roues de 26 pouces.

 

En 2013, la société MGF Easybike, spécialisée dans les vélos à assistance électrique et déjà associée au groupe Cible pour la distribution, rachète la marque Solex et tous les modèles actuels.

 

Le groupe Easybike annonce qu'une partie de la production des vélos à assistance électrique sera relocalisée en France à partir de 2014 dans un nouvel atelier situé à Saint-Lô et confiée à sa filiale Mobiky Tech.

 

En 2017, il est confirmé que l'offre à assistance électrique concerne trois modèles produits en Normandie : l’Infinity, modèle urbain équipé d'une batterie Bosch permettant une autonomie de 60 à 160 kilomètres, le Solex Trekking et le Solex Dirt pour sortir du réseau urbain et routier.

 

La société Mobiky Tech, à qui a été confiée la fabrication, est placée en redressement judiciaire. Le tribunal de commerce de Coutances, en Normandie, a décidé de lui accorder une période d'observation de six mois renouvelables



Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Solex

 
     
     
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Renault Type V

Publié à 18:50 par dessinsagogo55 Tags : center cheval merci sur centerblog
Renault Type V

 

 

La Renault Type V est un modèle d'automobile du constructeur automobile Renault de 1905.

 

Le Type V existe en trois versions (a, b et c).

 

 

Années de production 1905-1909
Moteur et transmission
Énergie essence
Moteur(s) Renault 4 cylindres
Position du moteur avant
Cylindrée 4390 cm3
Puissance maximale 20 ch
Transmission propulsion
Boîte de vitesses Manuelle 3 rapports
Poids et performances
Poids à vide 1400 kg
Vitesse maximale 70 km/h
Châssis - Carrosserie
Freins à tambour
Dimensions
Longueur 3 800 mm
Largeur 1 650 mm
Empattement 3 000 mm

 



Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Renault_Type_V

 

 
     
     
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Les femmes ont accès à l'université

Publié à 18:38 par dessinsagogo55 Tags : nature femmes histoire travail place france merci sur centerblog sport center paris cadre
Les femmes ont accès à l'université

 

 

 

En France, l’entrée des femmes dans l’enseignement supérieur s’amorce en 1861, lorsqu’une Française, Julie-Victoire Daubié, est reçue bachelière à la Faculté des lettres de Lyon, alors que celle de Paris lui avait fermé ses portes. Cependant, l’accès des femmes aux études universitaires se généralise seulement à partir de 1880, année qui est par ailleurs celle où est votée la loi Camille Sée instituant un enseignement secondaire féminin public.

1  Sauf autre indication, toutes les statistiques relatives à l’enseignement supérieur français citée (...)

Jusqu’au tournant du XXe siècle, la présence féminine dans l’ensemble des universités françaises est fort modeste, sans jamais dépasser 3 % de l’effectif global. Mais à partir de la fin de la décennie 1900, cette proportion se rapproche déjà des 10 %. La présence des femmes sur les bancs universitaires devient alors numériquement importante, mais demeure marginale par rapport au nombre global des étudiants. Cette population étudiante féminine est composée en grande partie d’étrangères, venues en France en quête d’une formation universitaire inaccessible dans leur pays ou attirées par le prestige de la métropole culturelle. Si ces étrangères restent majoritaires durant les deux premières décennies de l’ouverture des universités aux femmes, leur proportion recule pourtant au profit des Françaises dès les années 1890. Désormais les étudiantes nationales représentent, selon les années, entre 50 et 68 % des inscriptions féminines à l’échelle du pays. L’académie de Paris, qui compte à elle seule près de la moitié des effectifs féminins de l’enseignement supérieur français, est également la plus fréquentée par les étrangers des deux sexes. Le nombre d’étudiantes françaises y est toutefois, en général, moins élevé que celui des étrangères. Ces dernières forment plus de la moitié du public féminin des facultés de la capitale jusqu’en 1893, et à nouveau à partir de 1900, mais les deux effectifs s’égalisent à la veille des hostilités.

Les autres universités françaises à connaître une forte affluence d’étudiantes sont celles de Montpellier, Nancy et Grenoble. Ces universités de province sont également les plus sollicitées par le public étranger des deux sexes, tout particulièrement en provenance de l’Empire russe, même si sa présence demeure modeste comparée à ce qu’elle est à Paris. Les deux premiers établissements sont avant tout réputés pour leur enseignement de médecine et de sciences, et l’Université de Grenoble attire les étrangers désireux de se perfectionner en langue et civilisation françaises, en leur offrant des formations spécialisées, sanctionnées à partir de 1897 par un certificat d’études françaises. Vers 1910, des certificats semblables sont également dispensés par les facultés des lettres d’autres universités de province, dont Montpellier et Nancy.

2  De 4 254 pour l’année scolaire record 1913-1914, ce nombre redescend à 2 646 l’année suivante, chu (...)

Le déclenchement de la guerre en 1914 amènera un accroissement spectaculaire de la proportion des femmes : en l’espace d’une année, elle passera de 9 à 24 % de la population étudiante pour l’ensemble des universités. Toutefois, ce changement ne sera pas dû à un afflux d’étudiantes, dont le nombre baissera en valeur absolue, mais à la baisse des effectifs masculins, qui diminueront soudain des trois quarts

Ainsi, avant la Grande Guerre, la France n’est devancée, pour le nombre d’étudiantes, que par la Suisse, pays pionnier de l’introduction de la mixité universitaire (1867), où les effectifs féminins forment près d’un quart des inscriptions dès le début du siècle. La nature même du paysage universitaire suisse nous fournit des explications de cette ouverture à un public nouveau. Au tournant du XXe siècle, l’offre universitaire y dépasse largement la demande nationale d’enseignement supérieur : un pays de 3 315 000 habitants se voit en effet doté d’un réseau de sept établissements. En raison de cette inadéquation, les universités suisses de l’époque ne peuvent se développer autrement qu’en inscrivant l’égalité d’admission dans leurs règlements afin d’attirer une clientèle étrangère des deux sexes – politique d’autant moins risquée que les restrictions appliquées aux étrangers pour l’exercice des professions libérales en Suisse limitent la concurrence qu’ils pourraient exercer sur le marché du travail. Les universités belges, à la féminisation précoce, mais faible, et les universités allemandes, progressivement ouvertes aux étudiantes régulières à partir de 1900, suivent avec un certain retard. Tout cela place la France au deuxième rang des pays européens pour le nombre de femmes scolarisées dans l’enseignement supérieur avant 1914. C’est sur ce premier demi-siècle de présence des femmes dans l’enseignement supérieur en France qu’est centré le présent état des lieux, qui vise à situer l’historiographie française dans le cadre international.

 
 
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Europe 1

Europe 1

 

 

Europe 1 ( anciennement Europe N°1 ) est une radio privée française généraliste de catégorie E du groupe Lagardère Active créée au premier trimestre 1955 par Charles Michelson et Louis Merlin.

L'origine de la station date de l'immédiat après-guerre, en 1945, lorsque Charles Michelson, qui en 1939 avait obtenu une concession pour exploiter une radio à Tanger, et dont le projet avait été annulé, reçut en compensation la concession des ondes courtes de la principauté de Monaco qu'il transforma en autorisation d'établir une station de télévision dans la principauté (TMC Monte Carlo). Il créa alors la société Image et Son, société de droit monégasque dont l'objectif initial semble avoir été à un réseau de stations de télévision privée en France.

Localisation de la Sarre En 1952 le monopole de la télévision et de la radiodiffusion en Sarre fut attribué à M. Michelson et à sa société (à l'époque, la Sarre, à l'est du Luxembourg, administrée par la France était indépendante de la République fédérale d'Allemagne). Michelson projette alors de constituer Télé-Sarre ainsi qu'une radio « périphérique », échappant au monopole français de la radiodiffusion.

Pour concevoir les programmes de la nouvelle station baptisée Europe n°1, Michelson recrute Louis Merlin, artisan du succès de Radio Luxembourg. Il débauche également Pierre Sabbagh le créateur du journal télévisé français pour diriger la rédaction. Europe n°1 s'installe au « 26 bis rue François Ier » à Paris, dans les anciens studios de Voice of America.

La première émission expérimentale eut lieu le 1er janvier 1955 à 6h30 et dut s'interrompre 30 minutes plus tard car elle perturbait d'autres émetteurs. Durant les jours suivants, Europe n°1 changea plusieurs fois de fréquence brouillant les émissions d'autres stations européennes qui protestèrent (Ainsi, le 8 janvier, c'est par exemple Radio Luxembourg qui fut parasitée et qui, bien qu'elle-même ne bénéficiât d'aucune autorisation, protesta vigoureusement).

Ce n'est finalement que le 3 avril 1955 qu'Europe n°1, reprenant l'ancienne fréquence de Radio Paris, se fixa sur 1647 m grandes ondes (183 kHz), depuis l'émetteur situé sur le plateau du Felsberg, près de Sarrelouis (Saarlouis) en Sarre.

En septembre 1955, Sylvain Floirat fut appelé par le gouvernement français pour reprendre la société Europe n° 1, qui, après la faillite de Michelson, consécutive aux premières difficultés de la station, n'était plus viable financièrement. Il en devint propriétaire en juillet 1956. La régie publicitaire Régie n°1 est créée en 1960.

À partir de 1959, l'État prend le contrôle d'une partie du capital de la société par l'intermédiaire de la Sofirad.

La naissance de la station, coïncida avec l'apparition de trois inventions qui eurent une grande influence sur son style : le nagra (magnétophone portable qui donnait une plus grande souplesse d'intervention aux reporters), le transistor qui favorisa l'écoute individuelle de la radio (en particulier celle des jeunes), et le disque microsillon.

Maurice Siegel modifia sensiblement le style des journaux parlés, permettant à Europe n°1 d'acquérir une bonne réputation dans le domaine de l'information.

Parmi les premières émissions à succès d'Europe n°1, on compte « Pour ceux qui aiment le jazz » (1955), le « café de l'Europe » (1955), « Signé Furax » (1956), « Vous êtes formidables » (1956), « Salut les copains » (1959), « La Coupe des reporters » (1959)

En 1968 Europe n° 1 surnommée par certains « Radio Barricades » fut accusé par les autorités de donner une version trop favorable aux manifestants des événements de mai 68. Le ministre de l'Intérieur estimant que les reportages en direct des radios périphériques (dont Europe n°1) créaient un danger pour l'ordre public, interdit l'usage des voitures émettrices durant quelques jours. Sur ordre de Matignon, le ministre de l'Intérieur fait également couper les fréquences des stations périphériques pour contrer la diffusion en direct des manifestations. Plusieurs journalistes jugés trop engagés furent licenciés l'année suivante.

En 1974, le nouveau président de la République Valéry Giscard d'Estaing et son Premier ministre Jacques Chirac accusant la radio de « persifler » poussèrent le directeur Maurice Siegel et plusieurs autres dirigeants à la démission. Jean-Luc Lagardère prit alors en main la société assisté d'Étienne Mougeotte, directeur d'antenne. À partir de 1976 la radio parvient en tête des audiences d'abord devant RTL puis France Inter.

Après l'élection de François Mitterrand en 1981, Étienne Mougeotte est amené à démissionner. La gauche met en place la nouvelle direction et s'immisce dans les choix éditoriaux de la radio. Les radios privées désormais autorisées sur la bande FM captent une partie de l'audience d'Europe 1 qui amorce alors son déclin. Philippe Gildas prend la tête de la direction de l'antenne. Sont créés le Top 50 et de nouvelles émissions insolentes, comme celle animée par Coluche. Cependant les radios généralistes voient fondre leurs audiences face aux radios FM et face aux actualités télévisées de plus en plus efficaces.

Le 3 avril 1986, la Sofirad vend à Jean-Luc Lagardère et à sa société Hachette sa participation de 34,9 % dans Europe 1. La radio est ainsi complètement privatisée.

En 1995, Europe 1, passe de la seconde position à la cinquième position des stations les plus écoutées, avec moins de 10 % d'audience. Jérôme Bellay, le créateur de France Info, devient directeur général de l'antenne en 1996.

Dès janvier 1997 Europe 1 change de format : la musique est retirée de l'antenne, l'émission F.M. en stéréophonie est supprimée et la diffusion se fait en voie monaurale, la station adopte le format de « news & talk ». Le célèbre carillon marquant les heures de la station est "modernisé". La musique, le divertissement et les jeux sont supprimés des programmes et la part belle est faite aux actualités et à l'interactivité avec les auditeurs.

En juin 2004, Europe 1 comptait 192 fréquences à travers la France.

Le 8 avril 2005, Arnaud Lagardère, Président-directeur général de Lagardère Active, pôle audiovisuel du groupe Lagardère, nomme Jean-Pierre Elkabbach directeur général de l'antenne d'Europe 1, en remplacement de Jérôme Bellay, et administrateur de Lagardère Active Broadcast.

La rentrée 2005/2006 est marquée par un nouveau logo, un nouveau slogan ("Parlons-nous!") et un nouvel habillage sonore. Légère modification du fameux carillon, emblème de la station.

Le 18 juin 2008, Alexandre Bompard, directeur des sports de Canal+ depuis 2005, devient président de la station, à la place de Jean Pierre Elkabbach. Ce dernier, qui conserve son interview quotidienne ainsi que son interview dominicale sur Europe 1, prend la tête de Lagardère News, le nouveau pôle de coordination des médias du groupe Lagardère. La nouvelle équipe menée par Alexandre Bompard modifie considérablement l'équipe, dont la rédaction : en tout la moité de l'équipe est modifiée

Les émissions phares de l'antenne sont On va s'gêner animé par Laurent Ruquier, Europe Sport par Alexandre Delpérier et Alexandre Ruiz et Le grand direct de Jean-Marc Morandini.

Depuis le départ de Jérôme Bellay, la station subit une érosion de son audience. Lors de la dernière vague Médiamétrie (avril-juin 2007), Europe 1 voit sa part d'audience chuter de 9,5% à 8,9%. Avec 4,6 millions d'auditeurs, la radio du groupe Lagardère prend ainsi la 6e place. Europe 1 a perdu 270 000 auditeurs sur un an (- 5,6%). Parallèlement, plusieurs grands journalistes quittent la radio (Stéphane Soumier, Yves Calvi, Christophe Delay, Vincent Parizot, Nicolas Charbonneau, Donat-Vidal-Revel...). Des départs qui n'ont pas êté compensés à la rentrée 2007-2008.

 

Logo Europe 1 de 1965 à 1975.

Logo Europe 1 de 1975 à 1989.

Logo Europe 1 de 1989 à 2001.

Logo Europe 1 de 2001 à 2005

Logo Europe 1 depuis 2005.

Logo Europe 1 de 1955 à 1965.

Capital d'Europe 1

100 % Lagardère Active

La société n'est plus côtée à la Bourse de Paris

Émissions disparues

Arrêt sur infos

Arthur et les Pirates

Pour ceux qui aiment le Jazz

Signé Furax

Salut les Copains

Top 50

Bonjour Monsieur Le Maire

Crime Story, les rendez-vous d'Alfred Hitchcock racontés par Serge Sauvion (page consultée le 27 août 2007) http://archives.emissions.ca/artisan_4194.html

Le Match Du Lundi (présenté par Eugène Saccomano, puis par Pierre-Louis Basse)

Campus

Le Club de la Presse

La Coupe des reporters

Ma vie a son secret

La Pyramide numéro 1

Gilbert Bécaud, son piano et vous

Interpol

Seul contre tous

Les tyrans sont parmi nous (feuilleton)

La Coupe des meneurs de jeu

Le Visiteur du soir

La Coupe des chansonniers (ensemble de ces huit émissions écrites et réalisées par Pierre Laforet entre la naissance de la station et 1960). Pierre Laforet fit en outre ériger une pyramide à Neuilly, pyramide qui devait abriter des documents destinés aux générations futures. Elle fut détruite mais demeure la première pyramide « parisienne » dans laquelle défilèrent toutes les célébrités (relaté dans L'histoire et ses méthodes, collection La Pléiade).

Concerto pour Transistors (1972 - 1986) consacrée à la musique classique, produite et présentée par Eric Lipmann.

le Sweepstake animé par Jacques Rouland

Les Roucasseries animé par Jean Roucas

Bienvenue au Club: débat consacré au football, animé par Pierre-Louis Basse, le lundi soir, 20h-22h30

Paroles d'accusés: émission judiciaire le samedi de 16h à 17h.

À l'air libre présenté par Guillaume Durand

Les enfants d'Europe 1: émission du dimanche de 16h à 17h consacrée à l'histoire de la station de radio sous forme d'entretien entre le présentateur et un invité, avec diffusion d' archives sonores présentée par Marc Tronchon.

Comprendre (9H30 à 11h00 quotidien) émission culturelle d'1h30 animée par Jacques Pradel du lundi au vendredi matin

Quand j'étais petit animée par Nathalie Saint-Cricq le samedi de 16h à 17h

Label Vie émission sur la découverte le samedi de 14h à 16h, animée par Marc Menant

Double Appel émission culturelle le samedi de 17h à 18h, animée par Constance Chaillet et Mazarine Pingeot

Europe 1 Infos animé par Jean-Michel Dhuez de 5h à 7h du lundi au vendredi avec Franck Ferrand

Europe 1 Matin animé par Marc-Olivier Fogiel du lundi au vendredi entre 7h et 9h30.

L'interview de Jean-Pierre Elkabbach, avec Jean-Pierre Elkabbach et un invité politique à 8h20 de lundi au vendredi.

La Revue de Presque du lundi au vendredi, Nicolas Canteloup et Julie à 8h40.

Y en aura pour tout le monde ! du lundi au vendredi 9h10-9h30 avec Marc-Olivier Fogiel.

Europe 1 Découvertes du lundi au vendredi 9h30-11h00 avec Michel Drucker.

Le grand direct : émission de 11h à 14h animée par Jean-Marc Morandini comprenant: 1h d'infos sur les médias de 11h à 12h, un grand journal à 12h puis des réactions, débats: un Grand Chat à 12h45 qui met en scène une personne présente dans l'actualité et qui répond à Jean-Marc Morandini ainsi qu'aux auditeurs. A 13h15, édito de Frédéric Bonnaud et à 13h20 le Grand Débat avec deux personnalités ayant des opinions differentes qui débattent sur un thème d'actualité. A partir de 13h45 Libre antenne. Le vendredi à partir de 13h45, la rubrique Médiateur avec Roland Perez

Café Crimes : de lundi au vendredi 14h-15h présenté par Jacques Pradel.

Et si c'était ça le bonheur ? animé par Faustine Bollaert du lundi au vendredi de 15h à 16h.

On va s'gêner: émission satirique de Laurent Ruquier du lundi au vendredi. 16h 18h

Europe 1 Soir présenté par Marie Drucker et Patrick Cohen du lundi au vendredi 18h-20h.

Europe 1 Foot du lundi au jeudi de 20h à 21h30 animé par Alexandre Delpérier

Club Sports Europe 1 du lundi au jeudi de 20h à 21h30 animé par Alexandre Delpérier

Le multiplex de football, le vendredi 20h-23h animé par Alexandre Ruiz

Le journal de la nuit du lundi au vendredi 22h30-23h avec Pascal Bertholot

De 23h à 1h La nuit est à vous Emission avec Caroline Dublanche du lundi au jeudi.

Europe 1 week-end les samedi et dimanche de 6h à 9h présenté par Jacky Gallois

C'est arrivé hier le samedi de 9h à 10h et C'est arrivé demain le dimanche de 9h à 10h émission consacrée à l'actualité de la semaine, animée par Dominique Souchier

Médiapolis : rapports entre médias et politique, par Michel Field et Olivier Duhamel le samedi de 10h à 11h

Le Grand rendez vous de 10h à 11h, le dimanche animé par Jean-Pierre Elkabbach et Patrick Cohen.

Regarde les hommes changer le samedi de 11h à 12h par Frédéric Taddei.

De 11h à midi le dimanche, une émission qui n'a jamais le même nom présentée par Laurent Baffie et Julie.

Faites comme chez vous le samedi et le dimanche de 12h à 14h par Pierre-Louis Basse.

On connaît la musique le dimanche de 14h à 15h par Thierry Lecamp

Les Grands Directs du Sport, le samedi 14h-23h et le dimanche 15h-23h présenté par Alexandre Ruiz.

On connaît la musique: émission musicale de Thierry Lecamp vendredi, samedi, de 23h à 1h du matin. Le dimanche On connait la musique, live de 23h30 à 00h, l'émission est consacrée au jazz.

Avant les années 1990

Journalistes

Georges Altschuler, Pierre Andro, André Arnaud, Raymond Aron, Alexandre Balou, Philippe Bauchard, Jean Bedel, Christian Bernadac, Jean-Pierre Berthet, Julien Besançon, Pierre Bonte, Pierre Bouteiller, Robert Bré, Maurice Bruzek, Laurent Cabrol, Gérard Carreyrou, Richard Caron, Bernard Chabbert, Robert Chapatte, Fernand Choisel, Maurice Ciantar, Guy Claisse, Lucien Combelle (Monsieur Larousse), Roger Couderc, Jean-Claude Dejey, Olivier de Rincquesen, Albert Ducrocq, André Dumas, Benoît Duquesne, Albert Duroy, Georges Fillioud, Charles Finaltéry, Jacques Forestier, François Gerbaud, Philippe Gildas, Jean Gorini, Claude Guillaumin, André Harris, Marcel Haedrich, Marc Hillel, François Jeanin, André Julien, Philippe Labro, Pierre Laforet, Bernard Lalane, Paul Lefevre, Jean Legastellois, Maurice Lemay, Georges Leroy, Ivan Levaï, Olivier Mazerolle, Jacques Médecin, Ralph Messac, Pierre Meuthey, Michel Moineau, Etienne Mougeotte, Robert Namias, Louis-Roland Neil, Jacques Paoli, Jean Pichon, Raphaël Pinto, Frédéric Pottecher, Edouard Sablier, Eugène Saccomano, Maurice Siegel, Albert Simon, Claude Terrien, Guy Thomas, Emile Toulouse, Edmond Zucchelli.

Meneurs de jeu et animateurs

Christian Barbier, Annik Beauchamps, Pierre Bellemare, Maurice Biraud, Francis Blanche, Jacques Brel, Michel Cogoni, Coluche, Yves Bigot, François Diwo, Michel Drucker, Roger Duquesne, Frédérique Evin, Denise Fabre, Daniel Filipacchi, Micheline Francey, Jean-Pierre Foucault, Maurice Gardett, Jean-Bernard Hebey, Hubert, Harold Kay, Jean-Loup Lafont, Michel Lancelot, Alexandre Lichan, Eric Lipmann, Jean-François Mansart, Robert Marcy, Jacques Martin, Maryse, Jean-Claude Meunier, Christian Morin, Lucien Morisse, Anne Perez, Jacky Gallois, François Perrier, Jacques Rouland, Jean-Paul Rouland, Gonzague Saint Bris, Henri Salvador, Pierre Sisser, Madame Soleil, Patrick Topaloff, Guy Vial, Vony, Robert Willar, Jean Yanne.

Polyvalents

Viviane Blassel, François Jouffa, Jacques Ourevitch, Franck Ténot. Chef d'antenne : Jean Machet.

Producteurs

Jacques Antoine

Animateurs phares (années 1990-2000)

Par ordre alphabétique : Jean Amadou, Julie Andrieu, Arthur, Laurent Baffie,Christian Barbier, Murielle Barrel, Yves Bigot, Jacques Barsamian, Laurence Boccolini, Jérôme Bonaldi, Jean-Claude Brialy, Denis Brogniart, Pascal Brunner, Laurent Cabrol, Thierry Calvet, Patrice Carmouze, Géraldine Carré, Pascale-Lafitte Certa, Constance Chaillet, Alexandra Dayan, Christophe Dechavanne, Philip de la Croix, Jean-Luc Delarue, Alexandre Delpérier, Yves Derisbourg, Olivier Doran, Michel Drucker, Caroline Dublanche, Fanfan, Michel Field, Franck Ferrand, Marc-Olivier Fogiel, Claude Fournier, Jacky Gallois, Jean Garreto, Laurent Gerra, Isabelle Giordano, Lucianne Gordon, Didier Gustin, Gérard Holtz, Princesse Jade, Christian Jeanpierre, François Jouffa, Laurent Joulin, Julie, Julia Martin, Yann Kulig, Hervé Kérivel, Eric Lacoeuilhe, Jean-Yves Lafesse, Max Lafontaine, Sophie Larmoyer, Jean-Claude Laval, Yves Lecoq, Thierry Lecamp, Christian Ledan, Laurent Luyat, Bernard Lenoir, Maryse, Catherine Muller, Christophe Nicolas, Marc Menant, Jean-Marc Morandini, Isabelle Morizet, Les Nuls, Michel Pacaud, Laurent Pellé, Isabelle Pelletier, Mazarine Pingeot, Jacques Pradel, Pierre Rance, Françoise Rivière, Jean Roucas, Laurent Ruquier, Alexandre Ruiz, Nathalie Saint-Cricq, Serge Sauvion, Daniel Schick, Frédéric Taddeï, Cécile Teysseire, Marc Toesca, Gilbert Tordjman, Caroline Tresca, Marc Tronchon, Patrick Verbeke, Véronique, Karl Zéro...

Journalistes phares (années 1990-2000)

Par ordre alphabétique : Alain Acco, Amandine Alexandre, Elizabeth Assayag, Sylvain Attal, Philippe Aubert, Jean-Philippe Balasse, Jean-Charles Banoun, Astrid Bard, Pierre-Louis Basse, Brigitte Béjean, Patrice Belin, Claude Bellet, Guillaume Biet, Christian Boner, Bérangère Bonte, Wendy Bouchard, Jean-Luc Boujon, Catherine Boullay, Corrine Boulloud, Thierry Bourgeon, Ariane Bouissou, Dominique Bressot, Christophe Brun, Jean-Bernard Cadier, Yves Calvi, Bernard Chabbert, François Clémenceau, Jean-Yves Chaperon, Nicolas Charbonneau, Christophe Charles, Pascale Clark, Patrick Cohen, Caroline Corvaisier, Pierre de Cossette, Stéphanie Coudurier, François Coulon, Antoine Cormery, Nicolas Corne, Bruno Cras, Charles Dantzig, Jean-Claude Dejey, Mathieu Delahousse, Christophe Delay, Francis Demoz, Marcel Desailly, Jean-Yves Dhermain, Jean-Michel Dhuez, Jérôme Dorville, Marie Drucker, Alain Duhamel, André Dumas, Benoît Duquesne, Guillaume Durand, Valérie Durier, Olivier De Rincquesen, Jean-Pierre Elkabbach, Luc Evrard, Nicolas Fauroux, Emmanuel Faux, Fabiola Flex, Hélène Fontanaud, Marielle Fournier, Thierry Fréret, Jean Fritsch, Gérard Fusil, Thierry Geffrotin, Jean-René Godart, Bibiane Godefroye, Yaël Goosz, Lionel Gougelot, Damien Gourlet, Michel Grossiord,Laurent Guimier, Marc Guiraud, Erik Israëlewicz, Jean-François Kahn, Hélène Kohl, François Clauss, Jean-Jacques Lachaud, Jean-Karl Lambert, Benoit Laporte, Sophie Larmoyer, Hélène Le Gall, Fabienne Le Moal, Esther Leneman, Aude Leroy, Catherine Marguerite, Marie Marquet, Elizabeth Martichoux, Patrick Meneyrol, Marc Messier, Gabriel Milesi, Michel Moineau, Cyril de la Morinerie, Fabien Namias, Catherine Nay, Catherine Nivez, Stéphane Paoli, Marie Peyraube, Céline Pigalle, Stéphane Place, Christian Prudhomme, Jean-François Rabilloud, Emmanuel Renard, Karim Rissouli, Eugène Saccomano, Virginie Salmen, Oliver Samain, Diane Shenouda, Noémie Schulz, Raphaëlle Shapira, Dominique Souchier, Stéphane Soumier, Maxime Switek, Mélanie Taravant, Axel de Tarlé, Yann Théroux, Patrice Thomas, Jean-Noël Tournier, Marc Tronchot, Pierre de Vilno,Benjamin Vincent, Martial You, Hélène Zelany, Edmond Zucchelli.

 



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Bouteille en plastique

Publié à 17:59 par dessinsagogo55 Tags : gif center centerblog sur merci société nature
Bouteille en plastique

 

 

Une bouteille en plastique est un emballage destiné à contenir, protéger et transporter des liquides. Le plastique offre une très grande commodité d'élaboration (fabrication de la bouteille dans l'usine d'embouteillage, pas de transport de bouteille vide comme pour le verre) et son poids, jusqu'à dix fois plus faible que le verre, réduit énormément le rejet de CO2 dans le transport des liquides

 

Les premières bouteilles en plastique sont apparues dans les années 1960, elles étaient en PVC et utilisées pour les produits alimentaires et ménagers.
Elles sont fabriquées par le procédé de moulage par soufflage. Elles nécessitent un quart de leur volume en pétrole pour être produites, distribuées, puis recyclées 

 
 

Le premier brevet français de la bouteille en plastique a été déposé le 13 mars 1963 par la société Elco-Lesieur.

 

Le plastique est néfaste pour l'environnement, s'il n'est pas traité comme n'importe quel déchet d'emballage, d'appareil électrique ou autre, peut se révéler dangereux pour la faune marine. S'il est jeté dans la nature, il finit dans les océans où il va se fragmenter et alimenter les vortex de déchets rencontrés dans tous les océans de la planète. De façon plus écologique de nouvelles bouteilles en plastique biodégradables sont maintenant fabriquées par quelques industriels.

 

 



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Bouteille_en_plastique  
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Autocuiseur

Publié à 02:47 par dessinsagogo55 Tags : png belgique photo histoire centerblog prix sur bonne merci france fond société
Autocuiseur

 

L’autocuiseur, appelé également « Cocotte-minute » (marque déposée, propriété de la société SEB), est un ustensile de cuisine constitué d'un récipient en métal épais hermétiquement clos par un couvercle équipé d'une valve de dépressurisation. Il permet de cuire les aliments sous haute pression.

 

Il est également appelé marmite à pression ou casserole à pression en Belgique, ainsi que marmite à vapeur, mais également « Duromatic » (marque déposée, propriété de la société Kuhn Rikon (de)) en Suisse et « Presto » au Québec, (marque déposée par la société National Presto Industries).

 

Les aliments sont cuits sous pression directement dans la marmite ou à la vapeur dans un panier métallique.

 

Principe

 

Le point d'ébullition de l'eau dépendant de la pression atmosphérique, l'augmentation de pression permet de faire monter la température de cuisson plus haut que 100 °C (jusqu'à 118 °C). Une soupape relâche la vapeur dès que la pression absolue dépasse 1,8 bar. On diminue alors l'intensité du feu et on commence le décompte du temps de cuisson. Il existe plusieurs systèmes de fermeture du couvercle : étrier, baïonnette, bouton-poussoir et couvercle rentrant.

 

Histoire

 

En 1679, Denis Papin met au point une marmite en fer très épais, munie d'une soupape de sécurité et d'un couvercle à pression bloqué par une traverse à vis. Il l'appelle Digesteur. On la désigne aussi sous le nom de « marmite de Papin », terme maintenant utilisé par extension pour désigner tout type d'autocuiseur.

 

Parmi les premiers autocuiseurs commercialisés le Dampftopf (pot à vapeur) était vendu en Alsace en 1898 par la société De Dietrich. Réalisé en fonte, il comportait une soupape de sécurité et une soupape de décompression. Il ne connut cependant pas le succès car il ne correspondait pas aux besoins des ménagères de l'époque, pour lesquelles la rapidité de la cuisson n'était pas une préoccupation première. Un exemplaire est exposé au Musée du fer de Reichshoffen.

 

L'« Auto-Thermos » des Ateliers de Boulogne, présenté au Salon des arts ménagers de 1926, remporte la médaille d'or du concours Lépine et connaît un certain succès au cours des années trente, mais son prix élevé et son maniement délicat empêchent, en dépit des affiches de Paul Mohr et du soutien publicitaire de Joséphine Baker, une large diffusion si bien que l'entreprise, fournisseur de laboratoires, fermera en 1968. En Allemagne un autocuiseur moderne est commercialisé sous la marque Sicomatic par la société Silit (de). Aux États-Unis, la National Pressure Cooker Company lance son poêlon à vapeur à la Foire internationale de New York de 1939. Sa cuisson diététique le fait adopter par des millions de ménagères américaines. Cette compagnie dépose par la suite plusieurs brevets d'autocuiseurs à vapeur.

 

En 1948, Roland Devedjian (1901-1974), père de Patrick Devedjian (1944-2020) , invente des autocuiseurs en fonte d'aluminium et fermeture à baïonnette, commercialisés sous le nom de Cocotte-minute, mais sa société fait faillite : elle est finalement rachetée par le Groupe SEB, qui produisait des autocuiseurs moins chers, en aluminium embouti. En 1952, Georges Lavergne, ancien président du Concours Lépine, invente un modèle de grande capacité (300 litres) acheté par la marine française pour ses sous-marins militaires.

 

En Suisse dans les années 1940, Jacques Kuhn (de) développe, grâce à l'ingénieur Zurichois Max Zeller, un autocuiseur doté d'une soupape sophistiquée évitant les risques d’explosion. En 1949, un brevet est déposé par Zeller sur son autocuiseur. En 1949, l'autocuiseur Duromatic est lancé par l'entreprise Kuhn Rikon (de), et il acquiert une position dominante sur le marché. En 2007, plus de dix millions de Duromatic ont été vendus.

 

En Autriche dans les années cinquante, la société Gruber & Kaja met sur le marché un autocuiseur appelé Kelomat (de). Ce nom deviendra synonyme d'autocuiseur dans ce pays. En janvier 1953 en France, Frédéric Lescure lance la « Super-Cocotte SEB » qui connaît un grand succès, supplantant rapidement la vingtaine d'autres modèles en fonte d'aluminium présentés par les sociétés concurrentes : la Super-Cocotte, en aluminium embouti, plus léger, mais beaucoup plus solide, s'avère plus sûre. En 1960, elle est vendue à 500 000 exemplaires.

 

En 1986, SEB lance le modèle Sensor, cocotte en inox équipée d'une poignée longue et de plusieurs niveaux de température de cuisson. En 1994, son modèle Clipso est équipé d'une soupape silencieuse et d'un système d’ouverture-fermeture à une seule main.

 

Sécurité

 

 
Aperçu du fonctionnement de la soupape (règle de Trouton).
 

De nombreux accidents, ayant provoqué de graves brûlures, ont été causés par l'ouverture d'anciens modèles d'autocuiseurs restés sous pression après obstruction de la soupape. Les autocuiseurs modernes sont pourvus de mécanismes de sécurité qui empêchent l'ouverture du couvercle tant que le récipient reste sous pression.

 

Usage

 

En France l'utilisation classique de l'autocuiseur se présente classiquement sous 2 modes :

 

Une cuisson directe dans le fond de la cuve pour des recettes de type viandes en sauce, soupes, ou plats traditionnels.

 

Une cuisson dans le panier vapeur pour la cuisson vapeur de légumes

 

La cuisson vapeur en autocuiseur permet une bonne rétention des vitamines par rapport à d'autres modes de cuissons tels que la cuisson vapeur sans pression, et la cuisson a l'eau.

 

L'autocuiseur permet de réduire considérablement les temps de cuissons.

 

Contrairement à une cuisson plus longue en marmite traditionnelle, l'autocuiseur, avec une température montant jusqu'à 118 °C en fonction des marques et des modèles, garde les sels minéraux, utilise moins de matière grasse, mais, selon le Larousse gastronomique : « les viandes ont tendance à être plus fades et plus molles et les ingrédients mélangent indistinctement les saveurs. »

 

L'autocuiseur est utilisé par les alpinistes pour compenser la diminution du point d'ébullition de l'eau quand l'altitude augmente, ce qui rend plus longue la cuisson des aliments à la pression atmosphérique du lieu

 

 
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Autocuiseur  
     
     
     
Notes et références                                                    
   
    Denis Papin
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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La Voisin

La Voisin

 

Catherine Deshayes, dite la Voisin (Paris, vers 1640 – Paris, 22 février 1680), est une tueuse en série (empoisonneuse) française, prétendue sorcière, mêlée à l'affaire des poisons.

 

Biographie

 

Née d'un milieu très modeste, La Voisin est mariée très jeune à un bijoutier de Paris, le sieur Antoine Montvoisin qui lui donna une fille Marie-Marguerite, et de qui elle devint vite veuve.

 

Entre-temps, elle amasse une fortune considérable avec ses activités de chiromancienne et de vente de poisons. Très connue par ses contemporains (principalement des femmes) dans ces domaines, elle est suspectée d'être à la tête d'un réseau d'environ 100 empoisonneurs qui sévirent pour le compte de la haute société à la fin du xviie siècle, ce qui la fit mêler à l'« affaire des poisons ». Elle est également connue pour sa pratique d'avortements, illégaux et sévèrement punis à l'époque.

 

Messes noires

 

La véracité historique des messes noires impliquant Mme de Montespan, décrites ci-dessous, est fortement sujette à caution, les documents issus des procès menés dans le cadre de l'affaire des poisons ayant été volontairement détruits sur ordre du roi.

 

La Voisin se serait livrée à la pratique de messes noires. Selon elle, la célèbre Mme de Montespan lui demanda d'en organiser une pour qu'elle puisse revenir dans les faveurs du roi en éliminant sa rivale, Mlle de Fontanges, La Voisin accepta et fit appel à l'abbé Étienne Guibourg pour l'aider.

 

Pour plus de résultats, la messe devait être récitée trois fois.

 

 
La Voisin et le prêtre Étienne Guibourg en train de célébrer une messe noire pour Madame de Montespan (allongée sur l'autel). Gravure de 1895 par Henry de Malvost.
 

La première fois, Mme de Montespan les rejoignit à Villebouzin dans un châtelet isolé entre Paris et Orléans. Elle se dévêtit et se coucha sur les dalles froides et humides du château, les bras en croix, un cierge dans chaque main, et l’abbé déclama la messe sur son corps, un calice sur son ventre. Puis, Guibourg souleva un nourrisson, lui trancha la gorge et récolta son sang dans le calice. Guibourg et la Voisin récitèrent ces paroles :
« Astaroth, Asmodée, princes d'amour, je vous conjure d'accepter le sacrifice de cet enfant. En échange, je voudrais conserver l'affection du roi, la faveur des princes et des princesses de la cour et la satisfaction de tous mes désirs ».

 

Le deuxième office eut lieu de la même manière, mais dans les ruines d’une cabane retirée en pleine campagne.

 

Le troisième se déroula dans une maison chic de la rue Beauregard, à Paris, la demeure de la Voisin en personne1. On a conservé le témoignage de la fille de la Voisin obtenu sous la torture, qui raconte comment elle aida sa mère à préparer la cérémonie. Elle étendit un matelas sur des sièges, un tabouret à chaque bout. La Voisin avait accroché des tentures sur les fenêtres, rendant la pièce sombre. Elle avait aussi disposé un ou deux chandeliers dans les coins. L’abbé Guibourg portait une chasuble blanche, brodée de pives noires. Mme de Montespan était entrée nue et s’était allongée sur le matelas. On lui mit un napperon sur le ventre, un crucifix et un calice dessus. On raconte aussi que durant ce culte, le sang du nourrisson ne coulait pas car il était né prématurément, et Guibourg avait dû transpercer son cœur pour recueillir un peu de son sang. Mme de Montespan en rapporta un petit peu pour en mettre dans la nourriture du roi.

 

La fin

 

Jugée avec 36 complices, La Voisin raconta lors des interrogatoires qu'elle avait « brûlé dans le four, ou enterré dans son jardin, les corps de plus de 2 500 enfants nés avant terme », fut condamnée à mort et brûlée vive en place de Grève le 22 février 1680. Quant à Mme de Montespan, elle ne fut pas inquiétée, par protection du roi, et continua à fréquenter la Cour.

 

 
La Voisin, ses exploits, ses malheurs, gravure (bibliothèque interuniversitaire de Santé).
 

Témoignage

 

« Je ne vous parlerai que de Madame Voisin ; ce ne fut point mercredi, comme je vous l'avais dit, qu'elle fut brûlée, ce ne fut qu'hier. Elle savait son arrêt dès lundi, chose fort extraordinaire. Le soir elle dit à ses gardes : « Quoi ? Nous ne faisons pas médianoche ? » Elle mangea avec eux à minuit, par fantaisie, car ce n'était point jour maigre ; elle but beaucoup de vin, elle chanta vingt chansons à boire.
À cinq heures on la lia ; et, avec une torche à la main, elle parut dans le tombereau, habillée de blanc : c'est une sorte d'habit pour être brûlée. Elle était fort rouge, et on voyait qu'elle repoussait le confesseur et le crucifix avec violence.
À Notre-Dame, elle ne voulut jamais prononcer l'amende honorable, et devant l'Hôtel-de-Ville elle se défendit autant qu'elle put pour sortir du tombereau : on l'en tira de force, on la mit sur le bûcher, assise et liée avec du fer. On la couvrit de paille. Elle jura beaucoup. Elle repoussa la paille cinq ou six fois ; mais enfin le feu augmenta, et on l'a perdue de vue, et ses cendres sont en l'air actuellement. Voilà la mort de Madame Voisin, célèbre par ses crimes et son impiété. »

— Madame de Sévigné à sa fille, 23 février 1680

 

 

 
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Voisin  
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Donnet-Zédel

Publié à 02:30 par dessinsagogo55 Tags : centerblog france sur base merci société
Donnet-Zédel

 

 

Donnet (à l'origine Donnet-Denhaut) est une entreprise industrielle française du début du XXe siècle.

 

Fondée en 1915 par le Suisse Jérôme Donnet (ancien de Donnet-Lévêque) et François Denhaut, elle s'installe à Neuilly-sur-Seine au 13 boulevard de Levallois.

 

La société fabrique à cette époque une série très réussie d'hydravions de patrouille pour la Marine française. Après la Première Guerre mondiale, en 1919, l'entreprise devient simplement « Donnet » lorsque Denhaut la quitte (remplacé par Maurice Percheron) et oriente alors ses activités uniquement vers l'industrie automobile.

 

 

Jérôme Donnet achète alors les automobiles Zédel (société créée par Ernest Zürcher et Herman Luthi) à Pontarlier et change le nom de l'entreprise en « Donnet-Zédel ». Il produit la Donnet-Zédel CI-6 à moteur 2 120 cm3, sur la base d'un modèle de 1912. Une nouvelle voiture, la Type G à moteur 1 098 cm3, produite dans l'ancienne usine parisienne d'hydravions de l'ile de le Jatte, est présentée en janvier 1924 et son succès fera de Donnet le cinquième producteur d'automobiles de France en 1927, après Renault, Citroën, Peugeot et Mathis, et juste avant Chenard & Walker.

 

En 1926, l'entreprise acquiert l'usine Vinot & Deguingand de Nanterre qui, bien que de taille modeste, offre des possibilités d'extension. Une usine ultra-moderne qui sera inaugurée en 1928 est alors construite sur un terrain de 100 m x 100 m – sur cinq niveaux – et est équipée de 2 chaines de montage à l'américaine. Tous les ateliers existants y sont alors regroupés. Les véhicules sortant de la nouvelle usine portent simplement la marque Donnet. L'usine Zédel de Pontarlier, désuète, et dont les machines ont été transférées à Nanterre, cesse son activité en 1929.

 

Une large gamme de modèles de voitures est produite de la fin des années 1920 et jusqu'au début des années 1930 incluant des modèles luxueux à six cylindres. Mais l'époque faste de l'automobile se termine avec la crise de 1929 qui va plonger l'entreprise dans de graves difficultés financières, et la production cesse définitivement avec la mise en faillite de l'entreprise en décembre 1934. L'usine de Nanterre est rachetée par SIMCA en 1935.

 

La plupart des voitures produites par Zédel, Donnet-Zédel et Donnet ont été mues par des moteurs à quatre cylindres de 7 CV ou 11 CV. Le moteur Zédel avait une cylindrée de 3 168 cm3 et les moteurs Donnet-Zédel de 1 098 cm3 ou 2 120 cm3.

 

Un des meilleurs modèles était un six cylindres 14 CV Donnet de 2 540 cm3 à soupapes latérales.

 



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Donnet-Z%C3%A9del  
     
     
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