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Monde : France

Jean Racine

Publié à 02:12 par dessinsagogo55 Tags : sur france amour saint travail maison mort histoire center centerblog merci
Jean Racine

 

Jean Racine, né le 22 décembre 1639 à La Ferté-Milon et mort le 21 avril 1699 à Paris, est un dramaturge et poète français.

 

Issu d'une famille de petits notables de la Ferté-Milon et tôt orphelin, Racine reçoit auprès des « Solitaires » de Port-Royal une éducation littéraire et religieuse rare. Se détournant d'une carrière ecclésiastique, il entreprend, jeune, de faire une carrière des lettres, en privilégiant la poésie et le théâtre tragique. Le succès d’Alexandre le Grand, en 1665, lui confère une solide réputation et lui apporte le soutien du jeune roi Louis XIVAndromaque, en 1667, ouvre une décennie de grandes créations qui voit, à côté d'une unique comédie (Les Plaideurs, 1668), représentées les sept tragédies consacrées par l’historiographie comme ses plus remarquables : Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677). La « tristesse majestueuse » de ces pièces épurées rompant avec l’héroïsme baroque fait la renommée du dramaturge et divise profondément le public français, dont une partie défend la tragédie cornélienne. Le succès populaire, les querelles critiques, l'appui du roi et les faveurs à la cour de Mme de Montespan entraînent une ascension sociale et économique fulgurante de l'auteur : élu à l'Académie française en 1672, anobli en 1674, Racine abandonne en 1677 le « métier de poésie » pour briguer le « glorieux emploi » d'historiographe du roi. Devenu l'un des courtisans proches du Roi-Soleil, il ne délaisse son travail d'historien que pour donner, à la demande de Mme de Maintenon, deux tragédies bibliques aux jeunes filles de Saint-Cyr : Esther (1689) et Athalie (1691), et pour écrire en secret un Abrégé de l'histoire de Port-Royal, retrouvé et publié après sa mort. Le vaste travail historique auquel il consacre la majeure partie de ses vingt dernières années, l'histoire de Louis XIV, disparaît entièrement dans l'incendie de la maison de son successeur, Valincour.

 

L'œuvre de Racine passe pour avoir amené la tragédie classique à son « accomplissement » et son « harmonie ». L'économie du propos, la rigueur de la construction (situation de crise menée à son acmé), la maîtrise de l'alexandrin et la profondeur de l'analyse psychologique ont élevé le corpus racinien au rang de modèle classique. Par son respect strict des unités de temps, de lieu et d'action, Racine refuse la primauté, la densité et l'héroïsme de l'action propres aux tragédies de Pierre Corneille, auquel il est souvent opposé. Il lui préfère un épurement de l'intrigue (parfois extrême, en particulier dans Bérénice) et l'intensité psychologique. Abandonnant le ton glorieux et moral du théâtre du début du xviie siècle, Racine soumet la vertu politique et la raison d'État, chères à Corneille, sous les contingences passionnelles. La passion soumet et détruit ses personnages tout-puissants (rois, empereurs, princesses) qui tentent en vain de lutter contre elle, perdant le sens du devoir jusqu'à la déraison ou la mort. Les passions, parmi lesquelles l'amour prime, sont le fondement du tragique racinien en ce qu'ils sont les instruments du destin. L'amour racinien suit en ordre général la structure du triangle amoureux, inexorable et cruel pour chacun des partis. Le fondement de ce tragique relève à ce titre de la confrontation de la démesure et de la déraison des passions avec l'humilité de la finitude des mortels. Les tragédies de Racine se fondent sur la conjonction de la crainte et de la pitié (les deux émotions fondamentales du théâtre antique) ; la critique a souvent estimé que le dramaturge a ainsi cherché à associer la prédestination janséniste et le fatum antique. Consacré par la critique comme l'un des plus grands auteurs français de tragédies, il est l'un des trois dramaturges majeurs, avec Corneille et Molière, de la période classique en France. Aujourd'hui, il compte parmi les auteurs les plus joués à la Comédie-Française et dans le pays, et figure parmi les grandes références de la littérature universelle

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Racine

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Jeanne Moreau : Filmographie

Jeanne Moreau : Filmographie

Filmographie
Actrice
Années 1940
1949 : Dernier Amour de Jean Stelli : Michèle
Années 1950
1950 : Meurtres ? de Richard Pottier : Martine Annequin
1950 : Pigalle-Saint-Germain-des-Prés d'André Berthomieu : Paquerette
1951 : Avignon, bastion de Provence, court-métrage de Jean Cuenet (rôle ?)
1951 : L'Homme de ma vie de Guy Lefranc : Suzanne Dubreuil, la fille de Madeleine
1952 : Il est minuit, Docteur Schweitzer d'André Haguet : Marie Winter
1952 : Dortoir des grandes d'Henri Decoin : Julie, la serveuse
1953 : Julietta de Marc Allégret : Rosie Facibey
1953 : Touchez pas au grisbi de Jacques Becker : Josy, la petite amie de Riton
1954 : La Reine Margot de Jean Dréville : Marguerite de Valois
1954 : Secrets d'alcôve d'Henri Decoin : Jeanne Plisson dans le sketch Le billet de logement
1954 : Les Intrigantes d'Henri Decoin : Mona Rémi
1955 : Gas-oil de Gilles Grangier : Alice, l'institutrice et compagne de Jean
1955 : Les Hommes en blanc de Ralph Habib : Marianne Déjazet
1955 : M'sieur La Caille d'André Pergament : Fernande, une respectueuse
1956 : Le Salaire du péché de Denys de La Patellière : Angèle Ribot
1956 : Jusqu'au dernier de Pierre Billon : Gina, la danseuse
1957 : Ascenseur pour l'échafaud de Louis Malle, avec ce film qui reçut le prix Louis-Delluc, elle accède au statut de star.
1957 : Les Louves ou Démoniaque de Luis Saslavsky : Agnès Vanaux
1957 : Trois jours à vivre de Gilles Grangier : Jean Fortin
1957 : L'Étrange Monsieur Steve de Raymond Bailly : Florence, la femme de M. Steve
1957 : Échec au porteur de Gilles Grangier : Jacqueline Tourieu
1957 : Le Dos au mur d'Édouard Molinaro : Gloria Decret
1958 : Les Amants de Louis Malle : Jeanne Tournier
1959 : Les Liaisons dangereuses 1960 de Roger Vadim : Juliette Valmont/de Merteuil
1959 : Les Quatre Cents Coups de François Truffaut : la jeune femme au petit chien, apparition
Années 1960
1960 : Cinq femmes marquées (Five Branded Women), (Jovenka e le altre) de Martin Ritt : Ljuba
1960 : Moderato cantabile de Peter Brook : Anne Desbarèdes
1960 : Le Dialogue des Carmélites de Philippe Agostini et Raymond Leopold Bruckberger : Mère Marie de l'incarnation
1961 : La Nuit (La Notte) de Michelangelo Antonioni : Lidia
1961 : Une femme est une femme de Jean-Luc Godard : Une femme au bar, apparition
1962 : Jules et Jim de François Truffaut : Catherine + la chanson Le Tourbillon
1962 : Eva (Eva) de Joseph Losey : Eve Olivier
1962 : Le Procès d'Orson Welles : Mlle Marika Burnstner
1963 : La Baie des Anges de Jacques Demy : Jackie Demaistre
1963 : Le Feu follet de Louis Malle : Jeanne
1963 : Peau de banane de Marcel Ophüls : Cathy
1963 : Les Vainqueurs (The Victors) de Carl Foreman : Une femme française
1964 : Le Journal d'une femme de chambre de Luis Buñuel : Célestine, la femme de chambre
1964 : Le Train (The Train) de John Frankenheimer : Christine
1964 : La Rolls-Royce jaune (The Yellow Rolls-Royce) d'Anthony Asquith : La marquise de Frinton
1964 : Mata Hari de Jean-Louis Richard : Margaretha Geertruida « Grietje » Zelle, dite « Mata Hari », agent d'espionnage
1965 : Viva María! de Louis Malle : Maria 1 + chansons : Ah ! les petites femmes de Paris, Paris, Paris
1965 : Falstaff (Chimes at Midnight) d'Orson Welles : Doll Tearsheet
1966 : Mademoiselle de Tony Richardson : Mademoiselle
1967 : Le Plus Vieux Métier du monde de Philippe de Broca : Mademoiselle Mimi dans le sketch éponyme
1967 : Le Marin de Gibraltar (The Sailor from Gibraltar) de Tony Richardson : Anna
1968 : La mariée était en noir de François Truffaut : Julie Kohler
1968 : Une histoire immortelle (The Immortal Story) d'Orson Welles : Virginie Ducrot
1968 : La Grande Catherine (Great Catherine) de Gordon Flemyng : La grande Catherine
1969 : Le Corps de Diane de Jean-Louis Richard : Diane
Années 1970
1970 : Dead Reckoning - The Deep, Direction Toward Death - Film inachevé d'Orson Welles : Ruth Warriner
1970 : Monte Walsh de William A. Fraker : Martine Bernard
1970 : Le Petit Théâtre de Jean Renoir de Jean Renoir : La chanteuse dans le sketch : Quand l'amour meurt - Film pour la télévision sorti en salles.
1970 : Alex in Wonderland de Paul Mazursky : elle-même
1970 : Henri Langlois - court métrage, documentaire - de Roberto Guerra et Elia Hershon : elle-même
1971 : Comptes à rebours de Roger Pigaut : Madeleine
1971 : The Other Side of the Wind - Film resté inachevé - d'Orson Welles : apparition
1971 : Côté cours, côté champs - court métrage - de Guy Gilles : La femme avec le petit chien
1972 : L'Humeur vagabonde d'Édouard Luntz : Myriam Bingeot
1972 : Chère Louise de Philippe de Broca : Louise
1972 : Absences répétées de Guy Gilles : Apparition + chansons
1973 : Jeanne la Française (Joanna Francesa) de Carlos Diegues : Jeanne, la Française30
1973 : Je t'aime de Pierre Duceppe : Elisa Boussac
1973 : Nathalie Granger de Marguerite Duras : L'autre femme
1974 : Les Valseuses de Bertrand Blier : Jeanne Pirolle
1974 : La Race des seigneurs de Pierre Granier-Deferre : Renée Vibert
1974 : Une légende, une vie : Citizen Welles - documentaire - de Maurice Frydland : Apparition
1975 : Le Jardin qui bascule de Guy Gilles : Maria + musique
1975 : Hu-Man de Jérôme Laperrousaz : Sylviana
1975 : Souvenirs d'en France d'André Téchiné : Berthe
1976 : Lumière de Jeanne Moreau : Sarah + scénario et dialogue.
1976 : Monsieur Klein de Joseph Losey : Florence
1976 : Le Dernier Nabab (The Last Tycoon) d'Elia Kazan : Didi
1976 : Chroniques de France : Jeanne Moreau - court métrage, documentaire - de Renaud de Dancourt : elle-même
Années 1980
1980 : Chansons souvenirs - court métrage - de Robert Salis : apparition
1981 : Au-delà de cette limite votre ticket n'est plus valable (Your ticket is not longer valid) de George Kaczender : Lily Marlène, la tenancière de maison close
1981 : Plein sud de Luc Béraud : Hélène
1982 : Mille milliards de dollars d'Henri Verneuil : Mme Benoit-Lambert
1982 : La Truite de Joseph Losey : Lou
1982 : Querelle (Querelle - Ein Pakt mit dem Teufel, tiré du roman Querelle de Brest) de Rainer Werner Fassbinder : Lysiane
1982 : Der Bauer von Babylon - court métrage, documentaire - de Dieter Schidor : elle-même
1983 : Lillian Gish (A Salute to Lillian Gish) - documentaire inédit en France - de Jeanne Moreau : seulement la réalisation
1983 : Jean-Louis Barrault, un homme de théâtre - documentaire - de Muriel Balasch : elle-même
1985 : François Simon, la présence - documentaire - d'Ana Simon et Louis Mouchet : apparition
1986 : Sauve-toi, Lola de Michel Drach : Marie-Aude Schneider
1986 : Le Paltoquet de Michel Deville : la tenancière
1987 : Le Miraculé de Jean-Pierre Mocky : Sabine dite « La major » + chansons
1987 : Remake d'Ansano Giannarelli : elle-même
1988 : La Nuit de l'océan d'Antoine Perset : Hélène Sauveterre
1989 : Jour après jour d'Alain Attal : Janine Weisman
1989 : Orson Welles, stories from a life in film - documentaire - de Leslie Megahey : apparition
Années 1990
1990 : Nikita de Luc Besson : Armande, une instructrice du centre
1990 : Alberto Express d'Arthur Joffé : la baronne
1990 : La Femme fardée de José Pinheiro : la Doria
1991 : L'Amant de Jean-Jacques Annaud : voix de la narratrice
1991 : La Vieille qui marchait dans la mer de Laurent Heynemann : Lady M
1991 : Jusqu'au bout du monde (Bis an Ende der Welt) de Wim Wenders : Edith Farber
1991 : Le Pas suspendu de la cigogne (To meteoro vima tou pelargou) de Theo Angelopoulos : la femme
1991 : Anna Karamazoff de Roustam Khamdamov : la femme
1992 : Cœur de métisse (Map of the Human Heart) de Vincent Ward : Sœur Bainville
1992 : À demain de Didier Martiny : Tété
1992 : L'Absence (Die Abwesenheit) de Peter Handke : la femme de l'écrivain
1992 : Les Arpenteurs de Montmartre de Boris Eustache : uniquement interprète des chansons
1993 : Je m'appelle Victor de Guy Jacques : Rose
1993 : Un certain jour de juin (A Foreign Field) de Charles Sturridge avec Alec Guinness, Geraldine Chaplin, Lauren Bacall : Angélique TV
1993 : François Truffaut, portraits volés - documentaire - de Serge Toubiana et Michel Pascal : témoignage
1995 : Les Cent et Une Nuits de Simon Cinéma d'Agnès Varda : la première ex-épouse de M. Cinéma
1995 : Par delà les nuages (Al di la delle nuvole) de Michelangelo Antonioni et Wim Wenders : l'amie
1995 : Faire un film, pour moi c'est vivre d'Erica Antonioni : elle-même
1995 : I Love You, I Love You Not de Billy Hopkins avec Claire Danes, Jude Law : Nana
1995 : L'Univers de Jacques Demy - documentaire - d'Agnès Varda : elle-même
1997 : La Propriétaire (The proprietor) d'Ismail Merchant : Adrienne Mark, romancière
1997 : Un amour de sorcière de René Manzor : Eglantine
1997 : Amour et Confusions de Patrick Braoudé : Libra
1998 : À tout jamais (Ever after) d'Andy Tennant : la grande dame
Années 2000
2000 : Lisa de Pierre Grimblat : Lisa, âgée + chanson L'homme d'amour
2000 : Le Manuscrit du prince (Il manoscritto del Principe) de Roberto Andò : Alexandra von Wolff-Stomersee
2000 : Les Femmes de Fassbinder (Fassbinder woman - Fur mich gab's nur noch Fassbinder) - documentaire de Rosa von Praunheim : elle-même
2002 : Cet amour-là de Josée Dayan : Marguerite Duras
2002 : The Will to Resist de James Newton : Johanna 1989
2002 : La Petite Prairie aux bouleaux de Marceline Loridan : elle est uniquement la scénariste du film.
2004 : Akoibon d'Édouard Baer : Mme Paule
2005 : Le Temps qui reste de François Ozon : Laura
2005 : Go West d'Ahmed Imamovic : la journaliste
2006 : Sortie de clown - court métrage - de Nabil Ben Yadir
2006 : Roméo et Juliette d'Yves Desgagnés : Laurence
2007 : Chacun son cinéma : épisode Trois minutes de Théo Angelopoulos : elle-même
2007 : Désengagement d'Amos Gitai : Françoise
2009 : Plus tard tu comprendras d'Amos Gitai : Rivka
2009 : Visage de Tsai Ming-liang : Jeanne
Années 2010
2012 : Gebo et l'ombre de Manoel de Oliveira : Candidinha
2012 : Une Estonienne à Paris de Ilmar Raag : Frida
2015 : Le Talent de mes amis d'Alex Lutz : La grand-mère de Thibault Redinger
Réalisatrice
1976 : Lumière, (également actrice)
1979 : L'Adolescente (réalisation, scénario, adaptation et dialogue)
Télévision
1974 : La Chevauchée sur le lac de Constance de Claude Régy
1975 : Jean Genet, saint, martyr et poète de Guy Gilles
1983 : L'Intoxe de Guy Seligman : Marie-Pierre
1984 : L'Arbre de Jacques Doillon : Camille, la grand-mère
1984 : Huis clos (pièce de Jean-Paul Sartre sur BBC1)
1985 : Vicious circle de Kenneth Ives
1985 : Vivement Truffaut - documentaire - de Claude de Givray : elle-même
1986 : La Mise au point - Le Tiroir secret de Nadine Trintignant : Vivi
1986 : The Last Seance de June Wyndhazm-Davies : Mme Exe
1990 : Ennemonde - Ami Giono de Claude Santelli : Ennemonde Girard
1991 : The Full Wax de (?)
1992 : Le Temps et la Chambre de Patrice Chéreau : voix off
1992 : Injustes noces (Clothes in the Wardrobe) ou (The Summer House) de Waris Hussein : Lili
1995 : Catherine la Grande (en) (Catherine the Great) de Marvin J. Chomsky et John Goldsmith : Elisabeth
1995 : La Belle Époque de Gavin Millar : la narratrice
1997 : Ruby de Peter Orton : elle-même
1999 : Balzac - Tourné en deux époques de 90 min - de Josée Dayan : Charlotte Laure
2000 : Les Misérables de Josée Dayan : Mère Innocente
2001 : Zaïde, un petit air de vengeance de Josée Dayan : Anna Shermann
2002 : Les 13 vies du chat Lelouch - Documentaire - d'Isabelle Clarke : elle est elle-même dans le scopitone de la chanson Où vas-tu Mathilde
2003 : Les Parents terribles de Josée Dayan : Léo
2004 : La Comtesse de Castiglione de Josée Dayan : la princesse Sissi Altière
2005 : Les Rois maudits de Josée Dayan : Mahaut d'Artois dans les épisodes : Le Roi de fer, La Reine étranglée, Les Poisons de la couronne, La Louve de France, Le Lis et le Lion
2007 : Sous les vents de Neptune de Josée Dayan : Josette
2008 : Château en Suède de Josée Dayan : Agathe Falsen
2011 : Bouquet final de Josée Dayan : Marie
2011 : La Mauvaise Rencontre de Josée Dayan : Gaby
2013 : La Collection Jeanne Moreau (5 courts-métrages pour Canal+) de Sandrine Veysset
Doublage
2009 : Kérity la maison des contes de Dominique Monféry : Éléonore
Voix off de documentaires
1959 : Matisse ou le talent du bonheur - court métrage, documentaire - de Marcel Ophuls
1988 : Hôtel Terminus (Klaus Barbie, His Life and Time) - documentaire de Marcel Ophuls
1992 : L'Architecture du chaos de Peter Cohen
1993 : It's All True de Richard Wilson, Myron Meisel, Bill Krohn
Jeu vidéo
2000 : Genesys [archive] - Jeux vidéo pour PC : narratrice
Radio
1953 : Le Hussard sur le toit - adaptation radiophonique - André Bourdil d'après le roman de Jean Giono
1970 (9 septembre) sur France-inter, Radioscopie - Interviewée par Jacques Chancel
2007 sur France Culture pour le Festival d'Avignon : Quartett, reprise des Liaisons dangereuses
2014 sur France Culture : Eva ne dort pas, scénario de Pablo Agüero, Grand prix Sopadin du meilleur scénariste.
Théâtre

1947 au premier Festival d'Avignon :
La Tragédie du roi Richard II de William Shakespeare, mise en scène Jean Vilar : une suivante de la reine
L'Histoire de Tobie et de Sara de Paul Claudel, mise en scène Maurice Cazeneuve : La Vigne
La Terrasse de midi de Maurice Clavel, mise en scène Jean Vilar : Madeleine, rôle pour lequel un critique mentionna « sa jeune grâce déjà colorée de passion latente »
1947 : Le Lever du soleil de François Porché et Simone Le Bargy, mise en scène Simone Le Bargy, Comédie-Française Salle Luxembourg : Hortense Mancini
1947 : Un mois à la campagne de Ivan Tourgueniev, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : Vera Alexandrovna
1947 : Athalie de Racine, mise en scène Georges Le Roy, Comédie-Française : Joas
1948 : Le Mariage de Figaro de Beaumarchais, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : Chérubin
1948 : Les Mal-aimés de François Mauriac, mise en scène Jean-Louis Barrault, Comédie-Française Salle Luxembourg : Rose
1948 : L'Épreuve de Marivaux, mise en scène Julien Bertheau, Comédie-Française Salle Luxembourg : Angélique
1948 : L'Anglais tel qu'on le parle de Tristan Bernard, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française Salle Luxembourg : Betty
1948 : Les Espagnols au Danemark de Prosper Mérimée, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : un personnage du Ballet
1948 : Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand, mise en scène Pierre Dux, Comédie-Française Salle Luxembourg : un page
1948 : La Peine capitale de Claude-André Puget, mise en scène Julien Bertheau, Comédie-Française Salle Luxembourg : Rafaela
1948 : L'Occasion de Prosper Mérimée, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : Doña Maria
1949 : Les Temps difficiles d'Édouard Bourdet, mise en scène Pierre Dux, Comédie-Française Salle Luxembourg : Anne-Marie
1949 : L'Avare de Molière, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : Mariane
1949 : Le Roi de Gaston Armand de Caillavet, Robert de Flers et Emmanuel Arène, mise en scène Jacques Charon, Comédie-Française Salle Luxembourg : Suzette Bourdier
1949 : On ne badine pas avec l'amour de Marivaux, mise en scène Julien Bertheau, Comédie-Française : Camille
1950 : Othello de William Shakespeare, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : Bianca
1950 : L'Impromptu de Versailles de Molière, mise en scène Pierre Dux, Comédie-Française : Mademoiselle Molière
1950 : Poil de carotte de Jules Renard, Comédie-Française, Gala de bienfaisance : Poil de carotte
1950 : Les Sincères de Marivaux, mise en scène Véra Korène, Comédie-Française : Lisette
1950 : Le Chant du berceau de Gregorio et Maria Martínez Sierra, mise en scène Georges Le Roy, Comédie-Française Salle Luxembourg : Thérèse
1950 : Le Conte d'hiver de William Shakespeare, mise en scène Julien Bertheau, Comédie-Française : Perdita
1950 : À quoi rêvent les jeunes filles d'Alfred de Musset, mise en scène Charles Granval, Comédie-Française : Ninon
1950 : Les Caves du Vatican d'André Gide, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : Carola Venitequa la petite prostituée
1951 : Tartuffe de Molière, mise en scène Fernand Ledoux, Comédie-Française : Mariane
1951 : La Paix chez soi de Georges Courteline, Théâtre des Célestins : Valentine
1951 : Le Dindon de Georges Feydeau, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : Clara
1951 : Le Médecin malgré lui de Molière, tournée : Martine
1951 : Le Bourgeois gentilhomme de Molière, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : Lucile
1951 : La Double Inconstance de Marivaux, mise en scène Jacques Charon, Comédie-Française : Silvia
1951 au Festival d'Avignon :
Le Cid de Corneille, mise en scène Jean Vilar, TNP : L'Infante
Le Prince de Hombourg d'Heinrich von Kleist, mise en scène Jean Vilar, TNP : Nathalie d'Orange
1952 : Nucléa d'Henri Pichette, mise en scène Gérard Philipe et Jean Vilar, TNP, Théâtre de Chaillot : Yllen
1952 au Festival d'Avignon :
Lorenzaccio d'Alfred de Musset, mise en scène Gérard Philipe, TNP : 2e bourgeoise
Le Prince de Hombourg d'Heinrich von Kleist, mise en scène Jean Vilar, TNP : Nathalie d'Orange
1952 : La Nouvelle Mandragore de Jean Vauthier, mise en scène Gérard Philipe, TNP, Théâtre de Chaillot : Lucrèce
1953 : L'Heure éblouissante d'Anna Bonacci, mise en scène Fernand Ledoux, Théâtre Antoine : Géraldine
1954 : La Machine infernale de Jean Cocteau, mise en scène Jean Cocteau, avec Jean Marais, Théâtre des Bouffes-Parisiens : Sphinx
1955 : Pygmalion de George Bernard Shaw, mise en scène Jean Marais, Théâtre des Bouffes-Parisiens : Eliza Doolittle
1956 : La Machine infernale de Jean Cocteau, mise en scène Jean Cocteau, Festival de Baalbek : Sphinx
1956 : La Chatte sur un toit brûlant de Tennessee Williams dans la première mise en scène en France de Peter Brook, Théâtre Antoine : Maggie
1958 : La Bonne Soupe de Félicien Marceau, mise en scène André Barsacq, Théâtre du Gymnase : Marie-Paule
1974 : La Chevauchée sur le lac de Constance de Peter Handke, mise en scène Claude Régy, Espace Pierre Cardin : Henny Porten
1976 : Lulu de Frank Wedekind, mise en scène Claude Régy, Théâtre de l'Athénée-Louis-Jouvet : Lulu
1980 : L'Intoxe de Françoise Dorin, mise en scène Jean-Laurent Cochet, Théâtre des Variétés : Marie-Pierre
1985 : The Night of the iguana de Tennessee Williams, mise en scène Arthur Sherman, Baltimore : Hannah Jelkes
1986 : Le Récit de la servante Zerline d'Hermann Broch, mise en scène Klaus Michael Grüber, Théâtre des Bouffes du Nord
1987 : Le Récit de la servante Zerline d'Hermann Broch, mise en scène Klaus Michael Grüber, Théâtre de l'Atelier, tournée française et internationale
1988 : Le Récit de la servante Zerline d'Hermann Broch, mise en scène Klaus Michael Grüber, Théâtre Mogador
1989 : La Célestine de Fernando de Rojas, mise en scène Antoine Vitez, Festival d'Avignon, Comédie-Française au Théâtre national de l'Odéon, Théâtre de Barcelone : La Célestine
2000 : Un trait de l’esprit de Margaret Edson, mise en scène Jeanne Moreau, Théâtre Vidy-Lausanne, Théâtre de Chaillot
2007 : Quartett d'Heiner Müller, lecture avec Sami Frey, Festival d'Avignon
2008 : Quartett d'Heiner Müller, lecture avec Sami Frey, Théâtre de la Madeleine
2009 : La Guerre des fils de lumière contre les fils des ténèbres d'après La Guerre des Juifs de Flavius Josèphe, mise en scène Amos Gitaï, Festival d'Avignon, Odéon-Théâtre de l'Europe
2010 : Efratia Gitaï : Correspondance 1929-1994, lecture, Odéon-Théâtre de l'Europe
2010 : Le Condamné à mort de Jean Genet, Théâtre de l'Odéon
2011 : Le Condamné à mort de Jean Genet, Salle Pleyel, Festival d'Avignon
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Discographie
Albums

1963 : Chante 12 chansons de Cyrus Bassiak

1966 : Chante 12 nouvelles chansons de Cyrus Bassiak

1967 : Les Chansons de Clarisse

1969 : Jeanne chante Jeanne

1981 : Chante Norge

2010 : Le Condamné à mort

Bandes originales
1962 : Le Tourbillon : pour Jules et Jim de François Truffaut
1964 : Embrasse-moi : pour Peau de banane de Marcel Ophüls
1975 : India Song : pour le film éponyme de Marguerite Duras
1982 : Each Man Kills the Thing He Loves pour Querelle de Rainer Werner Fassbinder
Participation
Récitante sur un enregistrement de 1994 où elle est accompagnée par Jean-Marc Luisada au piano : Poulenc : l'Histoire de Babar ; Satie : Sports et Divertissements...
2009 - Que tu es impatiente, sur l'album On n'est pas là pour se faire engueuler ! hommage à Boris Vian.
2009 - Lit la chanson Lettre au ministre présente sur l'album Les bronzés font du ch'ti du groupe Ministère des affaires populaires.

 

Liens externes                                                  
   
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Jeanne Moreau

Jeanne Moreau



Jeanne Moreau est une actrice, chanteuse et réalisatrice française, née le  23 janvier1928 à Paris en France. Sa filmographie exigeante compte de grands noms du cinéma européen, parmi lesquels Luis Buñuel, Theo Angelopoulos, Wim Wenders, Rainer Werner Fassbinder, Michelangelo Antonioni, Joseph Losey ou encore François Truffaut. Elle est la première femme élue à l'Académie des beaux-arts de l'Institut de France (en 2000 au fauteuil créé en 1998 dans la section Création artistique pour le cinéma et l'audiovisuel).

 

Son père est le gérant de la brasserie de La Cloche d'or, au coin de la rue Fontaine, à Paris, tandis que sa mère, anglaise, a été danseuse. Après avoir passé une partie de son enfance à Vichy, elle achève ses études secondaires à Paris et commence à suivre, à l'insu de ses parents, les cours de théâtre de Denis d'Inès, alors doyen de la Comédie-Française. Elle entre six mois plus tard au Conservatoire de Paris.

 

En 1949, elle épouse le réalisateur Jean-Louis Richard avec lequel elle a un fils, Jérôme Duvon. Elle divorce en 1951. Cette même année, Orson Welles la remarque. Elle se remarie avec Teodoro Rubanis en 1966 et divorce un an plus tard, s'établissant avec le réalisateur britannique Tony Richardson.
En 1977, après un troisième mariage avec le réalisateur américain William Friedkin (la relation ne durera que deux ans), elle part vivre à New York et découvre le livre Solstice de Joyce Carol Oates, une histoire d'amitié entre deux femmes. Jeanne Moreau veut en faire son troisième film, après Lumière et L'Adolescente. Elle écrit le scénario avec l'auteur du livre, mais les Studios Walt Disney, qui sont contactés comme producteurs éventuels, refusent finalement, considérant qu'il s'agit d'une histoire déguisée de lesbiennes, du fait, dans le scénario, de la relation ambiguë entre les deux femmes.

 

Liens externes                                                  
   
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Louis de Funès

Publié à 06:50 par dessinsagogo55 Tags : center sommaire merci centerblog sur france saint monde mort divers film
Louis de Funès

 

Louis de Funès est un acteur français né le 31 juillet 1914 à Courbevoie et mort le 27 janvier 1983 à Nantes.

 

Ayant joué dans près de cent cinquante films, il est l'un des acteurs comiques les plus célèbres du cinéma français de la seconde moitié du xxe siècle et réalise les meilleurs résultats du cinéma français, des années 1960 au début des années 1980. Il réalise également les meilleures audiences télévisées. Très peu récompensé, il reçoit toutefois un César d'honneur pour l'ensemble de sa carrière en 1980.

 

Après presque vingt ans sur les planches ainsi que devant les caméras dans de nombreux seconds rôles, il impose son personnage de Français moyen impulsif, râleur, au franc-parler parfois dévastateur, aux verbigérations et mimiques parfois muettes. C'est dans les années 1950 qu'il se fait connaître tardivement du public avec La Traversée de Paris (1956), ses premiers rôles principaux et le triomphe au théâtre d'Oscar. Dans les deux décennies qui suivent, on le retrouve dans une suite de succès populaires, parmi lesquels : Pouic-Pouic (1963), Le Gendarme de Saint-Tropez (1964) et ses cinq suites, la trilogie Fantomas (1964 à 1967), Le Corniaud (1965), Le Grand Restaurant et La Grande Vadrouille (1966), Oscar et Les Grandes Vacances (1967), Le Petit Baigneur (1968), Hibernatus (1969), Jo et La Folie des grandeurs (1971), Les Aventures de Rabbi Jacob (1973), L'Aile ou la Cuisse (1976), La Zizanie (1978) et La Soupe aux choux (1981). Il a également participé à l'écriture de quelques scénarios de ses films et signé la réalisation de L'Avare avec Jean Girault en 1980.

 

Outre la France, les films de Louis de Funès ont connu un grand succès dans divers pays européens, et notamment en Russie, du temps de l'URSS. Sa popularité ne s'étendra que très peu dans le monde anglo-saxon, à l'exception du succès outre-Atlantique du film Les Aventures de Rabbi Jacob, nommé pour un Golden Globe en 1975. Le souvenir de l'acteur est entretenu par deux musées : le musée Louis-de-Funès à Saint-Raphaël et le musée de la Gendarmerie et du Cinéma, dans l'ancienne gendarmerie de Saint-Tropez.

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_de_Fun%C3%A8s

Notes et références                                                    
   
   
   
    Louis de Funès : Courts métrages
    Louis de Funès : Doublage, Post-synchronisation
    Louis de Funès : Filmographie
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Louis de Funès : Doublage, Post-synchronisation

Publié à 06:38 par dessinsagogo55 Tags : sommaire film center centerblog sur merci amour homme femme
Louis de Funès : Doublage, Post-synchronisation

 

1950 : Sa majesté Monsieur Dupont "Prima comunione" de Alessandro Blasetti - il double la voix du photographe Petrazelli -
1950 : Je suis de la revue "Botta e riposta" de Mario Soldati - il double la voix de l'acteur Nino Tarento, dans le rôle du coursier à vélo -
1950 : Pour l'amour du ciel "E' più facile che un camello" de Luigi Zampa - il double la voix de Nicolas, le cordonnier -
1953 : L'homme des vallées perdues (Shane) de George Stevens - il double la voix de Elisha Cook Jr, dans le rôle de Franck "Stonewall" Torrey -
1953 : Les Rats du désert "The desert rats" de Robert Wise - Il double la voix de quelques soldats, dont l'acteur Charles Davis, dans le rôle de Pate -
1954 : L'homme aux millions "The million pound note" de Ronald Neame
1954 : Pain, amour et jalousie "Pane amore e gelosia" de Luigi Comencini - il double la voix du gendarme dactylo -
1954 : L'Or de Naples "l'oro di Napoli" de Vittorio De Sica - il double la voix de Don Saverio Petrillo, interprété par Totò
1956 : Marqué par la haine "Somebody up there likes me" de Robert Wise - il double la voix de Irving Cohen, manager de boxe, interprété par l'acteur Everett Sloane -
1956 : Les piliers du ciel (Pillars of the sky) de George Marshall
1957 : La femme modèle (Designing woman) de Vincente Minnelli - il double la voix de Sam Levene dans le rôle de Ned Hammerstein -
1957 : La loi du seigneur (Friendly persuasion) de William Wyler - il double la voix de Franck Jenks, dans le rôle d'un bâteleur, joueur de bonneteau -
1960 : Un de la réserve "Un militare e mezzo" de Stenoc - il double la voix de Renate Rascel, dans le rôle de Nicola Carietti -
1961 : Le Jugement dernier "Il giudizio universale" de Vittorio De Sica - il double la voix de Renate Rascel, dans le rôle de Copolla

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_de_Fun%C3%A8s

Notes et références                                                    
   
   
   
    Louis de Funès : Courts métrages
    Louis de Funès : Doublage, Post-synchronisation
    Louis de Funès : Filmographie
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Louis de Funès : Filmographie

Louis de Funès : Filmographie

 

Filmographie
Louis de Funès a tourné dans 138 films.


1945 : La Tentation de Barbizon, de Jean Stelli : Le portier du cabaret « Le Paradis »
1946 : Dernier Refuge, de Marc Maurette : L'employé du wagon-restaurant
1947 : Six heures à perdre, d'Alex Joffé et Jean Lévitte : Le chauffeur de Son Excellence Léopold de Witt
1947 : Antoine et Antoinette, de Jacques Becker : Émile, le garçon épicier et un invité à la noce
1947 : Le Château de la dernière chance, de Jean-Paul Paulin : "Un client" dans une scène avec N. Nattier et J. Marchat
1948 : Croisière pour l'inconnu, de Pierre Montazel : Le cuistot du yacht
1949 : Du Guesclin, de Bernard de Latour : L'astrologue, un personnage de la cour, un mendiant...
1949 : Rendez-vous avec la chance, de Emil-Edwin Reinert : Le garçon de café
1949 : Je n'aime que toi, de Pierre Montazel : Le pianiste de l'orchestre à la répétition
1949 : Mission à Tanger, d'André Hunebelle : Le général espagnol
1949 : Vient de paraître, de Jacques Houssin : Figurant
1949 : Au revoir monsieur Grock, de Pierre Billon : Une figuration en spectateur
1949 : Adémaï au poteau-frontière, de Paul Colline : Une figuration en soldat
1949 : Mon ami Sainfoin, de Marc-Gilbert Sauvajon : Le guide
1949 : Millionnaires d'un jour, d'André Hunebelle : L'avocat de Philippe
1949 : Pas de week-end pour notre amour, de Pierre Montazel : Constantin, le domestique du baron de Valirman
1949 : Un certain monsieur, d'Yves Ciampi : Thomas Boudebœuf, le journaliste à « L'avenir Sauveterrois »
1949 : Le Jugement de Dieu, de Raymond Bernard : L'homme qui se fait arracher une dent chez le barbier et un envoyé du bourgmestre
1950 : Quai de Grenelle, de Emil-Edwin Reinert : Le quincaillier qui vend des bandes et de la poudre anti-serpents
1950 : Le Roi du bla bla bla, de Maurice Labro : Gino, un gangster
1950 : Boniface somnambule, de Maurice Labro : Anatole, le mari soupçonneux du « Grand Hôtel »
1950 : La Rue sans loi, de Claude Dolbert et Marcel Gibaud : Hippolyte, le professeur de musique
1950 : L'Amant de paille, de Gilles Grangier : Bruno, le psychiatre
1950 : Folie douce, de Jean-Paul Paulin : Surement coupé au montage
1950 : Bibi Fricotin, de Marcel Blistène : Le pêcheur maître-nageur
1950 : Pour l'amour du ciel (E piu facile che un camello), de Luigi Zampa : Louis de Funès double la voix de "Nicolas, le cordonnier"
1950 : Sa majesté Monsieur Dupont (Prima comunione), d'Alessandro Blasetti : Le prêtre
1951 : Knock, de Guy Lefranc : Le malade qui a perdu cent grammes
1951 : La Rose rouge, de Marcello Pagliero : Manito, le poète qui mange les verres
1951 : Sans laisser d'adresse, de Jean-Paul Le Chanois : Un futur papa dans la salle d'attente
1951 : La vie est un jeu, de Raymond Leboursier : figurant
1951 : La Passante, d'Henri Calef : L'éclusier
1951 : La Poison, de Sacha Guitry : André Chevillard, un habitant de Rémonville
1951 : Pas de vacances pour Monsieur le Maire, de Maurice Labro : Le conseiller
1951 : Le Dindon, de Claude Barma : Le gérant
1951 : Ma femme est formidable, d'André Hunebelle : Le skieur qui cherche une chambre d'hôtel
1951 : Les loups chassent la nuit, de Bernard Borderie : Le barman servant un porto
1951 : Le Voyage en Amérique, d'Henri Lavorel : L'employé d'Air France
1952 : Les Sept Péchés capitaux - sketch La Paresse, de Jean Dréville : M. Gaston Martin, le rouspéteur français
1952 : Ils étaient cinq, de Jack Pinoteau : Albert, le régisseur
1952 : Les Dents longues, de Daniel Gélin : L'employé du laboratoire photo
1952 : Agence matrimoniale, de Jean-Paul Le Chanois : Monsieur Charles
1952 : La Fugue de Monsieur Perle, de Pierre Gaspard-Huit : Le fou qui pêche dans un lavabo
1952 : Week-end à Paris, de Gordon Parry : Célestin, le chauffeur de taxi
1952 : Elle et moi, de Guy Lefranc : Le garçon de café qui embrasse Juliette
1952 : Je l'ai été trois fois, de Sacha Guitry : L'interprète et le secrétaire du sultan de Hammanlif
1952 : Monsieur Taxi, d'André Hunebelle : Le peintre de la place du Tertre qui voit « rouge »
1952 : Monsieur Leguignon Lampiste, de Maurice Labro : Un habitant du quartier
1952 : Moineaux de Paris, de Maurice Cloche : Le docteur
1952 : L'amour n'est pas un péché, de Claude Cariven : Mr Cottin, l'homme au chien, membre de l'U.R.A.F
1952 : La Putain respectueuse, de Charles Brabant et Marcello Pagliero : Un client du night-club
1952 : La Tournée des grands ducs, d'André Pellenc, terminé par Norbert Carbonnaux : Le directeur de l'hôtel
1952 : Tambour battant, de Georges Combret : un maître d' arme
1952 : Le Sorcier blanc, de Claude Lalande : Rôle (?)
1953 : Les Compagnes de la nuit, de Ralph Habib : Un client attablé
1953 : La Vie d'un honnête homme, de Sacha Guitry : Émile, le valet de chambre des Ménard-Lacoste
1953 : L'Étrange Désir de monsieur Bard, de Géza von Radványi : M. Chanteau, l'homme aux « bonnes idées »
1953 : Dortoir des grandes, d'Henri Decoin : M. Triboudot, le photographe de Mérémont
1953 : Au diable la vertu, de Jean Laviron : Mr Lorette, le greffier du juge d'instruction
1953 : Légère et court vêtue, de Jean Laviron : Paul Duvernois, le prétendu détective
1953 : Capitaine Pantoufle, de Guy Lefranc : Mr Rachoux, le directeur de la banque
1953 : Le Secret d'Hélène Marimon, d'Henri Calef : Mr Ravan, le jardinier
1953 : Faites-moi confiance, de Gilles Grangier : Tumlatum
1953 : Mon frangin du Sénégal, de Guy Lacourt : Le docteur
1954 : Poisson d'avril, de Gilles Grangier : Le garde-pêche
1954 : Ah ! les belles bacchantes, de Jean Loubignac : Michel Lebœuf le commissaire et divers rôles dans les sketchs
1954 : Le Blé en herbe, de Claude Autant-Lara : Le projectionniste ambulant
1954 : Le Chevalier de la nuit, de Robert Darène : Adrien Péréduray, le tailleur
1954 : Les Corsaires du bois de Boulogne, de Norbert Carbonnaux : Le commissaire de police qui ne dit mot
1954 : Escalier de service - sketch Les Grimaldi, de Carlo Rim : Césare Grimaldi, le père, artiste italien
1954 : Les hommes ne pensent qu'à ça, d'Yves Robert : Célosso, le mari espagnol de la comtesse russe
1954 : Huis Clos, de Jacqueline Audry : Il n'apparait pas dans le visionnage du film. Rôle coupé (?)
1954 : Les Intrigantes, d'Henri Decoin : M. Marcange, l'auteur de la pièce
1954 : Mam'zelle Nitouche, d'Yves Allégret : Pétrot, un maréchal des logis
1954 : Le Mouton à cinq pattes, d'Henri Verneuil : M. Pilate, responsable des pompes funèbres
1954 : Papa, maman, la bonne et moi, de Jean-Paul Le Chanois : Mr Calomel, le voisin bricoleur des Langlois
1954 : Les pépées font la loi, de Raoul André : Jeannot « la bonne affaire », le barman du « Lotus »
1954 : La Reine Margot, de Jean Dréville : René, le savant alchimiste de Catherine de Médicis
1954 : Scènes de ménage, d'André Berthomieu : M. Boulingrin, le mari d'Ernestine
1954 : Tourments, de Jacques Daniel-Norman : Eddy Gorlier, le détective privé
1955 : Napoléon, de Sacha Guitry : Laurent Passementier, un soldat
1955 : Ingrid - Die Geschichte eines Fotomodells, de Géza von Radványi : D'Arrigio, modeschöpfer
1955 : Les Impures, de Pierre Chevalier : Il n'apparait pas dans le visionnage du film. Rôle coupé (?)
1955 : L'Impossible Monsieur Pipelet, d'André Hunebelle : L'oncle Robert, le frère de Germaine et mari de Mathilde
1955 : Les Hussards, d'Alex Joffé : Luigi, le sacristain
1955 : Si Paris nous était conté, de Sacha Guitry : Antoine Allègre
1955 : Frou-Frou, d'Augusto Genina : Le colonel Cousinet-Duval, un protecteur de « Frou Frou »
1955 : Mädchen ohne Grenzen, de Géza von Radványi : Rôle (?)
1956 : La Traversée de Paris, de Claude Autant-Lara : Mr Jambier, l'épicier
1956 : La Bande à papa, de Guy Lefranc : L'inspecteur principal Victor, Eugène Merlerin
1956 : Bonjour sourire, de Claude Sautet : Mr Bonœil
1956 : La Famille Anodin, feuilleton en 8 épisodes de 45 minutes, d'André Leroux, Marcel Bluwal, Arnaud Desjardin : Rôle (?)
1956 : Bébés à gogo, de Paul Mesnier : Célestin Ratier, le représentant des industries de l'enfance
1956 : La Loi des rues, de Ralph Habib : Paulo les Chiens
1956 : Courte Tête, de Norbert Carbonnaux : Le père Graziani, le « faux » religieux, Prosper, le « faux » garçon d'écurie, le « faux » colonel Luc de La Frapinière
1956 : Papa, maman, ma femme et moi, de Jean-Paul Le Chanois : Mr Calomel
1957 : Comme un cheveu sur la soupe, de Maurice Regamey : Pierre Cousin, compositeur malheureux
1958 : Taxi, Roulotte et Corrida, d'André Hunebelle : Maurice Berger, chauffeur de taxi en vacances
1958 : Ni vu... Ni connu..., d'Yves Robert : Léon Blaireau, le braconnier de Montpaillard
1958 : La Vie à deux, de Clément Duhour : Maître Stéphane, le notaire
1959 : Fripouillard et Cie (I Tartassati), de Steno : Hector « Ettore » Curto, conseiller fiscal
1959 : Un coup fumant ou Toto à Madrid (Totò, Eva e il pennello proibito), de Steno : Le professeur Francisco Montiel, l'expert en tableaux
1959 : Mon pote le gitan, de François Gir : Monsieur Védrines, l'éditeur
Louis de Funès tourna également de rares publicités cinématographiques durant cette décennie, comme en 1954 Bridge avec Louis de Funès et Jean Carmet , pour la brillantine lustrale Cadoricin (prod. Jean Mineur).
1960 : Certains l'aiment froide, de Jean Bastia : Ange Galopin, le créancier qui veut récupérer l'argent
1960 : Les Tortillards, de Jean Bastia : Émile Durand, créateur de la bombe insecticide « Cicéron »
1961 : Candide ou l'Optimisme du XXe siècle, de Norbert Carbonnaux : l'homme de la Gestapo
1961 : Le Capitaine Fracasse, de Pierre Gaspard-Huit : Scapin, un comédien de la troupe
1961 : La Belle Américaine, de Robert Dhéry : les frères Viralot, l'un commissaire de police et l'autre chef du personnel de la société
1961 : Dans l'eau qui fait des bulles - Le Garde-Champêtre mène l'enquête de Maurice Delbez - : Paul Ernzer, le pêcheur qui retire le cadavre
1962 : La Vendetta, de Jean Chérasse : Amoretti, le bandit d'honneur et père d'Antonia
1962 : Le crime ne paie pas un film à sketches inspiré des bandes dessinées de Paul Gordeaux,, de Gérard Oury - sketch L'homme de l'avenue: le barman du « Blue Bar »
1962 : Un clair de lune à Maubeuge, de Jean Chérasse : rôle (parfois cité, mais n'apparait ni à l'écran, ni au générique)
1962 : Le Gentleman d'Epsom, de Gilles Grangier : Gaspard Ripeux, restaurateur et turfiste
1962 : Nous irons à Deauville, de Francis Rigaud : le vacancier énervé au volant
1962 : Le Diable et les Dix Commandements - sketch Tu ne déroberas point, de Julien Duvivier : Antoine Vaillant, l'escroc
1963 : Les Veinards - sketch Le Gros Lot, de Jack Pinoteau : Antoine Beaurepaire, heureux gagnant de la loterie
1963 : Pouic-Pouic, de Jean Girault : Léonard Monestier, riche homme d'affaires
1963 : Carambolages, de Marcel Bluwal : Norbert Charolais, P.D.G, de l'agence de publicité « 321 »
1964 : Faites sauter la banque !, de Jean Girault : Victor Garnier, propriétaire du magasin « Chasse et Pêche »
1964 : Des pissenlits par la racine, de Georges Lautner : Jacques, le cousin de Jérôme, dit Jockey Jack, petit truand
1964 :  Le Gendarme de Saint-Tropezde Jean Girault : le maréchal des logis-chef Ludovic Cruchot
1964 : Fantômas d'André Hunebelle : le commissaire de police Paul Juve
1964 : Une souris chez les hommes ou Un Drôle de caïd, de Jacques Poitrenaud : Marcel Ravelais, cambrioleur à la petite semaine
1965 : Le Corniaud, de Gérard Oury : Léopold Saroyan, directeur d'import-export
1965 : Fantômas se déchaîne d'André Hunebelle : le commissaire de police Paul Juve
1965 : Le Gendarme à New York, de Jean Girault : le maréchal des logis-chef Ludovic Cruchot
1965 : Les Bons Vivants ou Un Grand Seigneur, de Gilles Grangier et Georges Lautner : Léon, Louis, Marie Haudepin, président de l'amicale de judo « L'Athlétic club »
1966 : La Grande Vadrouille de Gérard Oury : Stanislas Lefort, chef d'orchestre
1966 : Le Grand Restaurant, de Jacques Besnard : Monsieur Septime, patron d'un grand restaurant parisien
1967 : Fantômas contre Scotland Yard, d'André Hunebelle : le commissaire de police Paul Juve
1967 : Les Grandes Vacances, de Jean Girault : Mr Charles Bosquier, directeur de l'institut privé
1967 : Oscar, d'Édouard Molinaro (Louis de Funès est scénariste) : Mr Bertrand Barnier, riche homme d'affaires
1968 : Le Petit Baigneur, de Robert Dhéry : Louis-Philippe Fourchaume, directeur des chantiers-navals
1968 : Le Tatoué, de Denys de La Patellière : Félicien Mézeray, homme d'affaires et vendeur de tableaux
1968 : Le gendarme se marie, de Jean Girault : le maréchal des logis-chef Ludovic Cruchot
1969 : Hibernatus, d'Édouard Molinaro (Louis de Funès est scénariste) : Hubert Barrère de Tartas, important industriel
1970 : L'Homme orchestre, de Serge Korber : Mr Édouard, alias Evan Evans, impresario et maître de ballet d'une troupe de danseuses
1970 : Le Gendarme en balade, de Jean Girault : le maréchal des logis-chef Ludovic Cruchot
1970 : Sur un arbre perché, de Serge Korber : Henri Roubier, industriel, promoteur auto-routier
1971 :  La folie des grandeurs, de Gérard Oury : Don Salluste, ministre de Sa Majesté le roi d'Espagne
1971 : Jo, de Jean Girault : Antoine Brisebard, auteur de romans policiers
1973 : Les Aventures de Rabbi Jacob, de Gérard Oury : Victor Pivert, riche entrepreneur
1976 : L'aile ou la cuisse, de Claude Zidi : Charles Duchemin, directeur du guide touristique
1978 : La Zizanie, de Claude Zidi : Guillaume Daubray-Lacaze, petit industriel et maire
1979 : Le Gendarme et les Extra-terrestres, de Jean Girault : Le maréchal des Logis-chef Ludovic Cruchot
1980 : L'Avare, de Jean Girault et Louis de Funès : Harpagon, le père avare
1981 : La Soupe aux choux (film), de Jean Girault (Louis de Funès est scénariste) : Claude Ratinier dit Le Glaude, paysan sabotier du hameau Les Gourdiflots
1982 : Le Gendarme et les Gendarmettes, de Jean Girault et Tony Aboyantz : le maréchal des logis-chef Ludovic Cruchot

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_de_Fun%C3%A8s

Notes et références                                                    
   
   
   
    Louis de Funès : Courts métrages
    Louis de Funès : Doublage, Post-synchronisation
    Louis de Funès : Filmographie
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Louis de Funès : Courts métrages

Publié à 06:20 par dessinsagogo55 Tags : artiste actualité center sommaire centerblog sur merci amour chez femme art film
Louis de Funès : Courts métrages

 

1951 : Station mondaine, court métrage documentaire, fiction de 12mn de Marcel Gibaud : Rôle : Adam chassé du paradis ou Il assure le commentaire de ce film
1951 : Les Joueurs, court métrage de Claude Barma : Piotr Petrovitch Spotniev, un des joueurs de cartes
1951 : Un amour de parapluie, court métrage de Jean Laviron : Rôle (?)
1951 : Boîte à vendre, court métrage de Claude-André Lalande : Un artiste
1951 : Champions Juniors, court métrage de Pierre Blondy : Le père autoritaire
1951 : 90 degrés à l'ombre, court métrage de Norbert Carbonnaux : Rôle (?)
1952 : Le Huitième Art et la Manière, court métrage de Maurice Regamey - Un fan de radio
1953 : Le Rire, court métrage de Maurice Regamey : Un conférencier
1953 : Visite au salon des arts ménagers, court métrage du journal actualitéfiction de 4mn 18 réalisation anonyme où l'on voit De Funès dans le rôle de M. Dupont qui reste chez lui, pendant que sa femme se rend au salon des arts ménagers.
1954 : Maurice Chevalier et le recensement, court métrage du journal actualité fiction de 1mn 30 réalisation anonyme, où l'on voit De Funès dans le rôle de l'agent recenseur posant des questions à Maurice Chevalier.
1966 : Maurice Chevalier, court-métrage documentaire de 7 minutes de Mirea Alexandresco : Louis de Funès interviewe Maurice Chevalier à son domicil

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_de_Fun%C3%A8s

Notes et références                                                    
   
   
   
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    Louis de Funès : Doublage, Post-synchronisation
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Michel Sardou

Publié à 15:30 par dessinsagogo55 Tags : sur place monde coup chez musique société femmes center centerblog merci
Michel Sardou

 

 

Michel Sardou [miʃɛl saʁdcoup ».">u] est un chanteur et comédien français, né le 26 janvier 1947 à Paris.

 

Fils des comédiens Fernand et Jackie Sardou, et petit-fils de Valentin Sardou, Michel Sardou est le descendant d'une tradition familiale dans le monde du spectacle depuis le milieu du xixe siècle. Auteur ou co-auteur de nombreux succès, il figure parmi les chanteurs français les plus populaires.

 

Après des débuts difficiles chez Barclay Records, il connaît un début de notoriété, en 1967, avec Les Ricains, d'autant que la censure qui frappe la chanson attire l'attention sur lui. Ce n'est cependant qu'au début des années 1970 que sa carrière connaît un véritable second départ. Il enchaîne alors les succès et devient en quelques années l'un des artistes les plus appréciés du public. Si à partir des années 1990, les tubes se font moins nombreux, sa popularité demeure intacte et il établit souvent des records de fréquentation lors de ses tournées et concerts parisiens. Depuis la fin des années 2000, il accorde une place de plus en plus importante à ses activités de comédien de théâtre.

 

Bien qu'il récuse le terme de « chanteur engagé », les nombreux regards qu'il porte sur la société au travers de ses chansons ont divisé la classe médiatique et les commentateurs à de multiples reprises, déclenchant plusieurs controverses dans les années 1970 et s'attirant les foudres de nombreuses associations, notamment du Mouvement de libération des femmes.

 

Michel Sardou a enregistré, en cinquante cinq ans de carrière, 26 albums studio et 18 albums live, réunissant un total de plus de 350 chansons, et reçu cinq Victoires de la musique. Il a vendu plus de 100 millions de disques, ce qui le classe parmi les plus grands vendeurs de disques français.

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Sardou

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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François Ier

François Ier

 

François Ier (né sous le nom de François d’Angoulême le 12 septembre 1494 à Cognac et mort le 31 mars 1547 à Rambouillet) est sacré roi de France le 25 janvier 1515 dans la cathédrale de Reims. Il règne jusqu’à sa mort en 1547. Fils de Charles d'Orléans et de Louise de Savoie, il appartient à la branche de Valois-Angoulême de la dynastie capétienne.

François Ier est considéré comme le roi emblématique de la période de la Renaissance française. Son règne permet un développement important des arts et des lettres en France. Sur le plan militaire et politique, le règne de François Ier est ponctué de guerres et d’importants faits diplomatiques.

Il possède un puissant rival en la personne de Charles Quint et doit compter sur les intérêts diplomatiques du roi Henri VIII d'Angleterre, toujours désireux de se placer en allié de l’un ou l’autre camp. François Ier enregistre succès et défaites mais interdit à son ennemi impérial de concrétiser ses rêves, dont la réalisation toucherait l’intégrité du royaume. L'antagonisme des deux souverains catholiques entraîne de lourdes conséquences pour l’Occident chrétien : il facilite la diffusion de la Réforme naissante et surtout permet à l'Empire ottoman de s'installer aux portes de Vienne en s'emparant de la quasi-totalité du royaume de Hongrie.

Sur le plan intérieur, son règne coïncide avec l'accélération de la diffusion des idées de la Réforme. La constitution de ce qui deviendra sous les Bourbons la monarchie absolue et les besoins financiers liés à la guerre et au développement des arts induisent la nécessité de contrôler et optimiser la gestion de l'État et du territoire. François Ier introduit une série de réformes touchant à l'administration du pouvoir et en particulier à l'amélioration du rendement de l'impôt, réformes mises en œuvre et poursuivies sous le règne de son successeur Henri II.

  Enfance

Naissance et famille

 

 
François, comte d'Angoulême.
 

François Ier naît le 12 septembre 1494 au château de Cognac en Angoumois. Son prénom lui vient du nom de saint François de Paule. Il est le fils de Charles d'Orléans (1459-1496), comte d'Angoulême, et de la princesse Louise de Savoie (1476-1531), le petit-fils de Jean d'Orléans (oncle du futur roi Louis XII), comte d'Angoulême (1399-1467), et de Marguerite de Rohan (-1496), l'arrière-petit-fils du duc Louis Ier d'Orléans (frère cadet du roi Charles VI), et de la fille du duc de Milan Valentine Visconti. Il descend directement du roi Charles V par la branche cadette de Valois, dite d'Angoulême.

François appartenant à la branche cadette de la maison royale de Valois, n'est pas destiné à régner. En 1496, son père meurt et sa mère, Louise de Savoie, veuve à dix-neuf ans, se consacre à l'éducation de ses deux enfants. Le testament du défunt lui en confie la tutelle, mais le futur roi Louis XII estime qu'elle n'a pas la majorité requise pour l'assumer seule et décide de partager cette tutelle. François devient comte d'Angoulême à la mort de son père. Il est âgé de 2 ans.

 

Éducation

 

Faute d’héritier mâle (aucun des fils qu'il a eus avec son épouse Anne de Bretagne n'a survécu plus de quelques jours), Louis XII fait venir en avril 1498 à la cour, François d'Angoulême, âgé de 4 ans, son petit cousin au 4e degré, accompagné de sa sœur aînée, âgée de 6 ans, Marguerite, future Marguerite de Navarre, grand-mère d'Henri IV, et de leur mère, Louise de Savoie. François devenu comte d'Angoulême à la mort de son père, Louis XII le fait duc de Valois en 1499. Il est l'héritier présomptif de la couronne, en qualité d'aîné de la maison de Valois dans l'ordre de primogéniture, en vertu de la loi salique.

 

Héritier du trône

 

C’est dans le château d'Amboise et sur les bords de la Loire que François grandit. Louise doit composer avec le maréchal de Gié, gouverneur du jeune comte d'Angoulême et commandant du château d'Amboise qui exerce un grand pouvoir sur ses enfants. Se forme alors la « Trinité d'Amboise » composée de la mère et des deux enfants, François se trouvant, au sein de ce trio soudé, adoré par les deux femmes, comme le relate le Journal de Louise. Dès l'âge de 4 ans, François est élevé pour devenir rapidement roi de France, chose qui sera faite lorsqu'il aura 20 ans, en ayant épousé la fille du roi, héritière de la Bretagne et de l'Italie, quand il avait 19 ans, il règne également sur le domaine personnel du roi qui était initialement destiné à l'Empereur.

Le jeune François d'Angoulême s’entoure de compagnons qui demeurent influents dans sa vie adulte tels Anne de Montmorency, Marin de Montchenu (1494-1546), Philippe de Brion et Robert de La Marck, seigneur de Sedan, à qui on doit une description de leurs jeux et exercices physiques en alternance avec l'apprentissage des humanités. Le 25 janvier 1502, François fait une chute de cheval et se retrouve dans un état critique. Sa mère en tombe malade et ne vit que pour la guérison de celui qu’elle appelle son « César ». Il a comme précepteurs Artus de Gouffier et François Desmoulins de Rochefort, nommé plus tard grand aumônier du roi. Le 31 mai 1505 par testament, Louis XII montre sa volonté de marier sa fille Claude et François d'Angoulême, la cérémonie de fiançailles a lieu le 21 mai 1506 dans le château de Plessis-lèz-Tours, clôturant la session des états généraux de Tours. Dès lors, François s'installe au château de Blois

François gouverne le comté d'Angoulême lorsqu'il devient majeur en 1512. Avant cette date, c'est sa mère Louise de Savoie qui le gérait depuis la mort de son mari Charles d'Orléans en 1496. Ils y effectuent de fréquents séjours. Lorsque François devient roi en 1515, Louise gouverne à nouveau le comté d'Angoulême devenu duché, jusqu'à sa mort en 1531

 

Roi de France

Accession au trône

 

En janvier 1512, Anne de Bretagne, très affaiblie par une dizaine de couches en une vingtaine d'années, accouche à nouveau d'un fils mort-né. Louis XII va alors se résoudre à traiter François en prince héritier, le fait entrer au Conseil du Roi et le nomme commandant en chef de l'armée de Guyenne le 12 octobre 1512.

 

Quand François accède au trône en 1515, il a 20 ans et la réputation d’être un humaniste. Il est sacré à la cathédrale de Reims le 25 janvier 1515, date retenue à cause de sa guérison jugée miraculeuse survenue treize ans plus tôt le même jour que la conversion de Paul. Il choisit de reprendre pour emblème celui de ses aïeux, la salamandre. Son entrée royale dans Paris le 15 février 1515 (rite politique majeur au cours duquel il accorde des grâces), donne le ton de son règne. Vêtu d’un costume en toile d’argent incrusté de joyaux, il fait cabrer son cheval et jette des pièces de monnaie à la foule. Il participe avec fougue et éclat à un pas d'armes (joute à cheval avec lances selon un scénario élaboré). Alors que ses deux prédécesseurs Charles VIII et Louis XII ont consacré beaucoup de temps à l’Italie sans saisir le mouvement artistique et culturel qui s’y développait, ils ont néanmoins planté le décor qui permet l’épanouissement ultérieur de la Renaissance en France.

 

 
Écu d'or au soleil François Ier.
 

Le contact entre les cultures italienne et française pendant la longue période des campagnes d’Italie introduit de nouvelles idées en France au moment où François reçoit son éducation. Nombre de ses précepteurs, notamment François Demoulin, son professeur de latin (langue que François assimilera avec beaucoup de peine), l’Italien Giovanni Francesco Conti et Christophe de Longueil, inculquent au jeune François un enseignement très inspiré de la pensée italienne. La mère de François s’intéresse également de près à l’art de la Renaissance et transmet cette passion à son fils qui, durant son règne, maîtrise la langue italienne à la perfection. Vers 1519-1520, François Demoulin réalise ainsi pour lui des Commentaires de la guerre gallique, une adaptation des Commentaires sur la Guerre des Gaules dans lequel il imagine un dialogue entre le jeune roi et Jules César lui racontant ses campagnes militaires. On ne peut affirmer que François ait reçu une éducation humaniste ; en revanche, plus que tout autre de ses prédécesseurs, il a bénéficié d'une éducation qui le sensibilise à ce mouvement intellectuel.

 

Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Ier_(roi_de_France)
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Clara Morgane

Clara Morgane

 

Emmanuelle Munos, dite Clara Morgane, née le 25 janvier 1981 à Marseille, est une animatrice de télévision, chanteuse et mannequin française. Elle commence sa carrière en tant qu'actrice pornographique (de 2000 à 2004).

 

Biographie

Mannequinat (1993-1999)

 

Clara Morgane, de son vrai nom Emmanuelle Munos, pose pour la première fois devant l'objectif à l'âge de douze ans pour l’agence de mannequins Houra. Développant un penchant pour l'exhibitionnisme, elle s'initie au naturisme avec son petit ami, à partir de 1997.

 

Actrice pornographique (2000-2002)

 

La future Clara Morgane quitte Marseille pour Paris en 2000 et décide de se lancer dans l’industrie du film pour adulte afin de « se trouver ». Elle définira cet état d’esprit comme une sorte de crise d’adolescence sur le tard et voit le cinéma « X » comme un moyen de s’émanciper de l’éducation rigoriste de ses parents. Elle tourne une première fois dans un film amateur au Cap d'Agde avec son petit ami de l'époque : c'est à l'occasion de cette vidéo, dans laquelle ils apparaissent sous les noms de « Vickie et Marco », que le jeune couple est remarqué pour la première fois. Leur rencontre avec le réalisateur Fred Coppula leur donne l'occasion de tourner dans des films X professionnels, produits par le studio Blue One. Emmanuelle prend alors le pseudonyme de Clara Morgane, tandis que son petit ami devient connu sous celui de Greg Centauro.

 

Clara Morgane se définit davantage comme une exhibitionniste que comme une véritable actrice pornographique. Elle tourne la quasi-totalité de ses scènes hétérosexuelles avec son compagnon Greg Centauro, à l'exception de deux scènes tournées avec l'acteur Ian Scott dans les films La Cambrioleuse et La Candidate. Elle participe également à des téléfilms érotiques produits par M6. En 2002, elle est Penthouse Pet du mois de mai de l'édition américaine du magazine Penthouse et devient la première Française à faire la une de la presse spécialisée internationale (Penthouse USPlayboy, etc.). Elle cesse d'interpréter des scènes pornographiques au bout de deux ans, en 2002. En 2003, elle apparaît dans un dernier film X, La Menteuse, où elle n'a cependant pas de scène hard, et s'essaie à la réalisation avec le film Luxure, dans lequel elle ne joue pas. Après s'être séparée de Greg Centauro, elle est la compagne de Fred Coppula pendant trois ans, de 2003 à 2006. Une autobiographie est publiée sur sa carrière d’actrice en 2003 : Sex Star.

 

Présentatrice TV (2001-2015)

 

Dès 2001, Clara Morgane devient présentatrice du Journal du Hard sur Canal+, qu’elle anime pendant sept ans jusqu’en 2008. Elle donne ainsi rendez-vous jusqu’à parfois plus de deux millions de téléspectateurs tous les premiers samedis du mois. En 2007, Clara Morgane n’est plus exclusive à Canal + et signe chez NRJ 12 pour animer des émissions sur NRJ 12 aux côtés de Matthieu Delormeau tels que Les 50 Vidéos Stars ou Star et Magie.

 

En 2008, elle quitte Le Journal du hard et Canal+ et devient animatrice exclusivement sur NRJ 12 jusqu’en 2013. Elle y présente 2 éditions de NRJ Poker Star (une à Las Vegas, la seconde aux Caraïbes), les élections de Mister France de 2010 et 2011, les émissions Tellement People, puis Tellement People Investigation (plus de 500 000 téléspectateurs, un record pour la chaîne de la TNT) et enfin Tellement People : la saga, aux côtés de Stéphane Jobert. Lors d’une interview, l’animatrice critique l’omniprésence de la téléréalité sur la chaîne qui l'emploie. Elle apparaît par ailleurs de moins en moins sur cette chaîne, la version recyclée de Sagas rachetée par NRJ 12 à TF1 n’ayant pas su trouver son public. À la suite de deux prime-times décevants, la chaîne a décidé de supprimer définitivement l'émission. En revanche, Le Super Bêtisier, qu’elle coprésente avec Stéphane Jobert depuis 2011, est, lui, un succès. À partir d'octobre 2013, elle est également animatrice sur Discovery Channel pour présenter une émission similaire à Faites entrer l'accusé : Dans la tête du tueur. Longtemps animatrice principale de NRJ 12 avec Matthieu Delormeau, elle est peu à peu écartée de la chaîne jusqu'en décembre 2014 où la chaîne la remercie et la remplace par Anne-Gaëlle Riccio pour la présentation des primes du Grand Bêtisier.

 

 

La même année, elle devient la principale animatrice de Trace Sport Stars où elle anime tous les vendredis soir des soirées à thèmes : en octobre, Scandales VS Stars et en novembre Xtreme VS Stars. Pour décembre, Aymeric de Secret Story 8 la rejoint pour coanimer la série d'émissions de décembre Best VS Worst.

 

Musique (2007-2016)

1er album : DéClaraTions (2007)

 

En plus de son métier de présentatrice télé et de modèle, Clara Morgane décide de se lancer dans la chanson. Côté musique, elle rencontre différents artistes issus de l'univers du rap et du r'n'b afin d’enregistrer son album. Cette même année, le groupe de rock les Showdus sortent un single hommage à son ancienne carrière d’actrice : La Ballade de Clara Morgane. La première chanson est envoyée sur les ondes le 14 février 2007, il s'agit de J'aime, en duo avec le rappeur français Lord Kossity. La chanson est tout d'abord éditée sous le single du nom de Clara Morgane, en partenariat avec la boisson Gini. Le titre est accompagné de deux autres chansons : Altitude et Maternelle. La promotion du single se fait essentiellement dans les boîtes de nuits et dans les Virgin de France. En mai 2007 sort Sexy Girl, son second single, qui se classe à la quatrième place des ventes singles. Le 21 juin, Morgane chante sa chanson à l'occasion de la fête de la musique en direct sur France 2. Son album, DéCLARAtions, dont elle a coécrit tous ses textes, sort le 18 juin. Nous deux, le 3e single extrait de cet album est remixé pour son entrée sur Radio FG par le DJ français Hakimakli. Elle répond oui à l’invitation de Gérard Louvin de se produire sur la scène du Bobino tous les soirs à partir de septembre 2008 jusqu’en décembre de cette même année, la récente chanteuse y interprète deux chansons inédites IL et Même si je sais.

 

2e album : Nuits blanches (2010)

 

Son deuxième album, de style électro-pop cette fois, intitulé Nuits blanches, voit le jour le 29 novembre 2010 (produit par son propre label et distribué par Sony Music). Les singles Le Diable au corpsIl et Good time en sont extraits. Le clip vidéo de IL est réalisé par Martin Fougerol qui réalise un strip-tease à l'envers grâce aux techniques de la caméra Phantom. En mai, Morgane sort son 3e single : Good Time. En outre, le titre Good Time est utilisé pour le générique de À la recherche du grand amour, sur cette même chaîne. Jey Didarko devient son compositeur et DJ dès l’été 2010, moment du lancement du single Le Diable au Corps. La même année, elle tourne dans Haut Perchée, un court métrage qu'elle a coécrit, tourné pour son album Nuits blanches. Il s'agit d'un scénario inquiétant sur le même thème que la campagne « KanCnonCnon » du collectif CFCV à laquelle elle avait participé en mai 2009 : la lutte contre le viol. Ce court-métrage servant également de support visuel à plusieurs de ses chansons tels que VousLe Diable au corpsIlMême Si Je SaisGood Time. Le 25 juin 2011, Morgane se produit à la Gay Pride de Paris et présente devant 50 000 personnes un medley de 15 minutes de ses singles les plus connus : Sexy GirlJ'aimeLe Diable au Corps et Good Time. En septembre 2011 sort un DVD pour accompagner le calendrier 2012 de Morgane réalisé par le photographe Xavier Dollin. Ce CD contient les chansons Vous, le remix IL vs Jey Didarko ainsi que le vidéoclip Mademoiselle X monté à partir d’images du making-of du calendrier. Le 14 février 2012, jour de la Saint-Valentin, Morgane collabore à nouveau avec Jey Didarko qu’elle présente désormais comme son compagnon et lance son nouveau single inédit Je t'adore qui permet aux fans d’apparaître sur le vidéoclip de la chanson grâce à une application de l’hébergeur WAT.TV. Cette chanson est intégrée dans la promotion de son album qu’elle poursuit en boîtes de nuits. Durant la même période et afin de promouvoir son titre, la chanteuse apparaît en vedette invitée dans Hollywood Girls, le nouveau feuilleton de NRJ 12 où elle joue son propre rôle. Grâce à sa présence, la série enregistre un record d'audience : 309 000 téléspectateurs. Peu de temps après, le chanteur Keen'v sort un album contenant une chanson parlant de la chanteuse intitulée Clara et faisant référence à son passé d'actrice de films pour adultes. Durant cet été, elle se marie en Corse, loin des objectifs photographiques des paparazzis, avec son compagnon depuis 3 ans, le producteur et DJ Jey Didarko. Afin de promouvoir son album électro, Clara Morgane a mis en place dès 2010 une tournée des clubs et des salons de la musique électronique avec son mari DJ Jey Didarko où elle s'est retrouvée aux côtés de DJ célèbres comme notamment Bob Sinclar.

 

3e album : So Excited (2014)

 

Elle annonce son retour dans le milieu musical dès 2012 avec la sortie pour fin 2013 d'un troisième album baptisé La Parenthèse amoureuse axé sur des balades romantiques. Reporté à fin 2014, l'album est désormais décrit comme un album concept tournant autour d'un big band jazzy et est rebaptisé So Excited. Il est en lien direct avec son calendrier 2015 Show Girl, dont le visuel est tiré directement des années jazz, les années 1930. L'album est disponible en téléchargement légal le 10 octobre 2014 et la version physique de l'opus, sort le 5 février 2015, agrémentée d'un livret illustrant le disque. Le premier single, I'm So Excited est édité le 15 septembre 2014 et un second single, Ève, est publié en février 2015. Elle crée le Cabaret de Clara Morgane, un cabaret itinérant comprenant de nombreux artistes afin de promouvoir cet album. Les deux derniers singles de l’album sont ‘’Mon Étage’’ et ‘’Ouvre’’, sorti respectivement en septembre 2015 et septembre 2016, en même temps que ses calendriers.

 

Théâtre (2008-2015)

 

En juillet 2008, elle répond à l'invitation du Festival d'Anjou pour une lecture de textes érotiques en compagnie de l'acteur et metteur en scène, Nicolas Briançon. En 2012, Clara Morgane ajoute une nouvelle corde à son arc en consacrant son temps à deux projets de cabarets : une pièce de théâtre à La Pépinière-Théâtre et un spectacle burlesque. Pour la pièce de théâtre, elle collabore à nouveau avec Nicolas Briançon afin de jouer dans la pièce Cabaret Canaille, pièce mélangeant texte et chansons, aux côtés de trois comédiens et un pianiste22. Elle y interprète notamment Les Nuits d'une demoiselle de Colette Renard. La pièce sera jouée tous les jeudis et vendredis jusqu'à la fin de l'année. Enfin, en ce qui concerne le show burlesque, elle intègre la revue BurlesQ du Pink Paradise et se produit aux côtés de Kitten De Ville, Kiki Beguin, Miss Glitter Painkiller et Valentina del Pearls du 4 octobre au 31 décembre 2012. Durant le spectacle, Morgane y interprète une chanson qui est une autre reprise de Serge Gainsbourg : La Javanaise. En 2015, elle devient le rôle principal de l'adaptation théâtrale du film The Full Monty.

 

Le Cabaret de Clara Morgane (depuis 2016)

 

Le 10 mars 2016, elle lance Le Cabaret de Clara Morgane, « plongeant les spectateurs dans l’univers noir et blanc des cabarets des années 1930 mêlant volupté, sensualité, glamour et spectacle ». Depuis, Clara Morgane et sa troupe parcourent les routes de France, Belgique et Suisse pour se produire devant les spectateurs de cabaret.

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Clara_Morgane

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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