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Braveheart

Braveheart

 

 

Braveheart ou Cœur vaillant au Québec (Braveheart) est un film américain produit, réalisé et interprété par Mel Gibson, sorti en 1995.

Il raconte de manière romancée la vie de William Wallace, héros et symbole de l'indépendance écossaise, qui à la fin du xiiie siècle, affronta, à la tête des clans écossais unis, les troupes du roi Édouard Ier d'Angleterre qui tentait d'envahir l'Écosse. Le film a remporté cinq oscars à la 68e cérémonie, dont ceux du meilleur film et du meilleur réalisateur. Cependant, le film contient de nombreuses erreurs historiques, principalement liées au fait que le film est inspiré d'un poème épique du xve siècle lui-même critiqué pour sa partialité historique : The Wallace.

  Résumé

À la fin du xiiie siècle (1280), Édouard Ier d'Angleterre, surnommé Longshanks (« aux longues jambes ») mais aussi The Hammer of Scots par les Anglais, occupe une bonne partie du Sud de l'Écosse. Son oppression conduit à la mort du père et du frère du jeune William Wallace. Des années plus tard, après que Wallace a été élevé à l'étranger par son oncle, les Écossais continuent de vivre sous les lois cruelles d'Édouard Ier. Wallace revient dans son village natal avec l'intention de vivre comme paysan et d'éviter de s'impliquer dans les troubles qui agitent le pays. Il retrouve son amie et amour d'enfance, Murron MacClannough, à laquelle il montre le chardon, soigneusement préservé, qu'elle lui avait donné quand ils étaient enfants. Les deux jeunes gens se marient en secret afin d'éviter le décret du noctis primae (droit de la « première nuit ») que le roi a énoncé. Plus tard, quand un soldat anglais brutalise Murron et tente de la violer, Wallace vole à son secours. Il l'aide à monter à cheval pour qu'elle s'échappe pendant qu'il retient les soldats. Mais elle est finalement capturée et le shérif lui coupe la gorge en public, en proclamant : « une attaque contre les soldats du roi est pareille à une attaque contre le roi lui-même ». En représailles, Wallace, bientôt rejoint par les villageois, massacre la garnison anglaise et tranche la gorge du shérif à l'endroit même où celui-ci a tué Murron, et avec le même poignard. Ainsi débute la quête de Wallace pour l'indépendance de l'Écosse.

Quand Édouard Ier apprend la nouvelle de la rébellion de Wallace, il charge son fils, le premier prince de Galles de l'Histoire, également prénommé Édouard, d'y mettre fin. Le prince Édouard est marié à Isabelle de France mais la délaisse car il est homosexuel. Pendant ce temps, Wallace et ses troupes multiplient les coups d'éclat et de nouvelles forces se joignent à lui au fur et à mesure que sa renommée grandit. Wallace inflige une cuisante défaite à l'armée anglaise envoyée contre lui lors de la bataille de Stirling. Il met ensuite à sac la cité d'York. Wallace cherche également à obtenir le soutien de Robert Bruce, solide prétendant au trône d'Écosse, mais celui-ci, malgré son admiration pour Wallace, est très influencé par son père, lépreux, qui le presse de soutenir Wallace officiellement tout en restant secrètement proche des Anglais.

Devant l'ampleur que prend la rébellion, Édouard Ier envoie la princesse Isabelle négocier la paix avec Wallace. Celui-ci refuse l'or, les titres et les terres qui lui sont offerts en échange de sa soumission et fait forte impression sur Isabelle, qui s'attendait à rencontrer un barbare assoiffé de sang et non un homme cultivé. Plus tard, apprenant qu'Édouard Ier prépare une attaque surprise contre Wallace, Isabelle envoie sa servante le prévenir du danger. Wallace tente d'unir les nobles écossais contre les Anglais mais, sur le champ de bataille de Falkirk, il est trahi par les nobles Lochlan et Mornay. Les Écossais sont vaincus et Wallace découvre que Robert Bruce était dans l'état-major anglais. Il refuse néanmoins de le tuer et Bruce, saisi de remords, lui permet d'échapper à la capture. Wallace tue ensuite Lochlan et Mornay en représailles et mène désormais une guérilla contre les Anglais. Édouard Ier fait tendre une embuscade à Wallace par ses tueurs, mais prévenu à nouveau par Isabelle, il déjoue le piège et fait brûler vifs les tueurs anglais. Il retrouve Isabelle qui tombe sous son charme et couche avec lui, découvrant l'amour que son époux Édouard ne lui a pas donné.

Robert Bruce est désormais désireux de joindre ses forces à celles de Wallace mais, lors d'une rencontre organisée entre eux deux, le père de Bruce et d'autres nobles écossais les trahissent. Wallace est capturé et livré aux Anglais alors que Bruce renie son père. Wallace est emmené à Londres et condamné à mort pour haute trahison, tandis qu'Édouard Ier est désormais gravement malade et proche de la fin. Isabelle, venue voir Wallace en prison, lui offre de s'empoisonner pour échapper à la torture mais il refuse. Isabelle apprend au roi, désormais incapable de parler, que l'enfant qu'elle attend, a priori le futur Édouard III d'Angleterre, est de Wallace, et lui promet de mettre un terme à sa lignée. Wallace subit publiquement une terrible torture mais refuse d'implorer la grâce du roi. Au lieu de crier « Pitié » pour que cessent ses tourments, il hurle « Liberté », ce qu'entend le roi d'Angleterre, et les deux personnages meurent en même temps, Wallace décapité à la hache et le roi sur son lit.

Des années plus tard, Robert Bruce refuse de se soumettre à une armée anglaise et, invoquant la mémoire de Wallace, mène les Écossais à une écrasante victoire en 1314 à la bataille de Bannockburn face à Édouard II d'Angleterre, assurant l'indépendance définitive de l'Écosse.

 

Fiche technique

Titre original et français : Braveheart

Titre québécois : Cœur vaillant

Réalisation : Mel Gibson

Scénario : Randall Wallace

Musique : James Horner

Photographie : John Toll

Montage : Steven Rosenblum

Décors : Thomas E. Sanders

Costumes : Charles Knode

Maquillage : Peter Frampton (en)

Son : Andy Nelson

Générique : Kyle Cooper

Sociétés de production : Icon Productions (Mel Gibson et Bruce Davey), The Ladd Company (Alan Ladd Jr.) et B.H. Finance C.V. (Stephen McEveety)

Sociétés de distribution : 20th Century Fox et Paramount Pictures

Budget : 72 000 000 $

Pays d'origine :  États-Unis

Langues originales : essentiellement en anglais, partiellement en français, gaélique écossais et latin

Format : couleurs - 2,35:1 - 35 mm - DTS - Dolby Digital

Genre : historique

Durée :

178 minutes (métrage : 4 750 m)

225 minutes (version longue)

Dates de sortie :

 États-Unis : 18 mai 1995 (Festival de Seattle), 19 mai 1995 (première à Los Angeles), 24 mai 1995 (sortie nationale)

 France : 4 octobre 1995

(fr) Mention CNC : tous publics (visa d'exploitation no 88091 délivré le 8 septembre 1995)

Film déconseillé aux moins de 12 ans à la télévision (CSA), déconseillé aux moins de 10 ans sur Club RTL (Belgique) et RTL9 (Luxembourg).

Film classé Accord Parental sur les premières éditions DVD.

 

  Distribution

Mel Gibson (VF : Jacques Frantz ; VQ : Hubert Gagnon) : William Wallace
Sophie Marceau (VF : elle-même ; VQ : Violette Chauveau) : Isabelle de France
Patrick McGoohan (VF : Bernard Dhéran ; VQ : Vincent Davy) : Édouard Ier d'Angleterre
Angus Macfadyen (VF : Bernard Lanneau ; VQ : Luis de Cespedes) : Robert le Bruce
Brendan Gleeson (VF : Marc Alfos ; VQ : Benoît Rousseau) : Hamish Campbell
Peter Hanly (VF : Denis Laustriat ; VQ : Jacques Lavallée) : Prince Édouard
Catherine McCormack (VF : Rafaèle Moutier ; VQ : Geneviève De Rocray) : Murron MacClannough
Brian Cox (VF : Benoît Allemane ; VQ : François L'Écuyer) : Argyle Wallace
Sean Lawlor (VF : Michel Fortin ; VQ : Jean-Luc Montminy) : Malcolm Wallace
David O'Hara (VF : Dominique Collignon-Maurin ; VQ : Pierre Auger) : Stephen l'Irlandais
James Cosmo (VF : Michel Vocoret ; VQ : Claude Préfontaine) : Campbell
Ian Bannen (VF : André Falcon ; VQ : François Cartier) : le père lépreux de Robert le Bruce
Tommy Flanagan (VQ : Gilbert Lachance) : Morrison
John Kavanagh (VF : Jean-Claude Balard ; VQ : Jean-Marie Moncelet) : Craig
Alun Armstrong (VF : Michel Barbey ; VQ : Ronald France) : Mornay
Tam White (en) (VF : Benoît Allemane ; VQ : Edgar Fruitier) : MacGregor
John Murtagh (VF : Michel Ruhl ; VQ : Alain Clavier) : Lochlan
Sean McGinley (en) (VF : Georges Berthomieu ; VQ : Mario Desmarais) : MacClannough
Rupert Vansittart : lord Bottoms
James Robinson (VF : Donald Reignoux) : William Wallace jeune
Mhairi Calvey : Murron MacClannough jeune
Gerard McSorley (VF : Bernard Woringer ; VQ : Jean Brousseau) : Cheltham
Peter Mullan : vétéran

Conception et production

Genèse et développement

Le scénario de Braveheart se base principalement sur The Actes and Deidis of the Illustre and Vallyeant Campioun Schir William Wallace, un poème épique de Harry l'Aveugle, auteur du xve siècle. Face aux critiques, le scénariste Randall Wallace s'est défendu ainsi : « Est-ce que Blind Harry a raison ? Je ne sais pas. Je sais que cela parlait à mon cœur et c'est ce qui m'importait

 

Icon Productions, la société de production de Mel Gibson, a des difficultés à trouver des investisseurs, même en mettant en avant Mel Gibson comme tête d'affiche du film. Warner Bros. est prêt à apporter des fonds au projet si Mel Gibson accepte de signer pour un nouvel épisode de L'Arme fatale, ce que refuse l'acteur. Paramount Pictures est d'accord pour distribuer le film aux États-Unis et au Canada, à condition que la 20th Century Fox se porte comme partenaire pour les droits internationaux. Le projet de Braveheart prend tellement de temps à Mel Gibson que Luc Besson finit par abandonner l'idée de lui donner le rôle principal du Cinquième Élément, malgré l'accord de l'acteur pour tourner dans ce film. Entretemps, Mel Gibson a fait appel à Terry Gilliam pour diriger Braveheart, mais ce dernier a décliné la proposition et il a donc décidé de le réaliser lui-même.

 

Tournage

Durant le tournage, l'équipe passe six semaines en Écosse alors que les principales scènes de bataille sont tournées en Irlande, avec la participation de membres de la réserve de l'armée irlandaise, auxquels il a été accordé exceptionnellement le droit de se faire pousser la barbe. Pour minorer les coûts, Mel Gibson utilise les mêmes figurants pour jouer les soldats des deux camps. Le nombre de figurants monte jusqu'à 1 600 pour certaines scènes. Mel Gibson a par la suite adouci les scènes de bataille pour éviter que le film soit classé NC-17 par la MPAA.

Les séquences d'intérieur furent filmées dans les studios Ardmore, et de nombreuses scènes ont été tournées au château du Roi Jean à Limerick, qui fut déjà utilisé pour des scènes de Au-delà de la gloire de Samuel Fuller. Les scènes concernant le quartier général de Wallace sont elles tournées au glen Nevis. La ville fortifiée d'York est en fait le château de Trim, dans le comté de Meath en Irlande

Mel Gibson a dit s'être inspiré des grandes épopées cinématographiques qu'il aimait dans son enfance, comme Spartacus de Stanley Kubrick ou Les Grands Espaces de William Wyler. Dans le making-of du DVD, il raconte qu'il a beaucoup appris de George Miller et Peter Weir, deux réalisateurs qui l'ont dirigé au début de sa carrière. L'atmosphère celtique du film est en partie expliquée par les origines irlandaises de Mel Gibson.

 

Musique

La musique originale de Braveheart est composée et dirigée par James Horner, et interprétée par l'Orchestre symphonique de Londres. La bande originale est éditée en 1995 par le label Decca, puis un autre album, intitulé More Music from Braveheart et édité en 1997, également par Decca, proposait d'autres extraits et comportait des dialogues du film.

 

Accueil

Accueil critique

Braveheart recueille 77 % de critiques positives, avec une note moyenne de 7,1/10 et sur la base de 77 critiques collectées, sur le site internet Rotten Tomatoes. Il obtient un score de 68/100, sur la base de 20 critiques, sur Metacritic. En 2008, le magazine Empire l'a classé à la 320e place dans sa liste des 500 meilleurs films de tous les temps.

En France, le site Allociné propose une note moyenne de 2,65 à partir de l'interprétation de critiques provenant de 5 titres de presse

 

Box-office

Braveheart a rapporté au total 210 409 945 $ au box-office mondial (dont 75 609 945 $ aux États-Unis), se classant ainsi au treizième rang des plus grands succès cinématographiques de 1995. En France, il a réalisé 1 231 534 entrées. Il est actuellement le 696e plus grand succès de l'histoire du cinéma et le 12e plus grand succès mondial de l'année 1995

 

Controverses

Braveheart a créé la polémique à cause de son caractère extrêmement violent. Mel Gibson a eu des démêlés avec des organismes de protection des animaux qui ont cru que les chevaux utilisés dans les violentes scènes de combat étaient réels, alors qu'ils étaient en réalité faux.

Le film fut également pointé du doigt pour ses invraisemblances historiques :

 

La véritable bataille de Stirling a pour élément principal un pont. Ce pont n'apparaît pas dans le film. La bataille telle qu'elle apparaît présente plus de ressemblances avec celle de Bannockburn, citée à la fin du film.

William Wallace n'a jamais rencontré Isabelle. En 1305, année de la mort de Wallace, elle n'était pas encore mariée à Édouard II d'Angleterre (les noces n'ont lieu que trois ans plus tard) et elle n'était âgée que de 13 ans.

Aucun Écossais ne portait de kilt à l'époque, en effet c'est un vêtement plus tardif, datant du xvie siècle.

La révolte des Écossais aurait, d’après le film, débuté à la suite de la pratique du droit de cuissage par les seigneurs anglais. Dans la piste audio des commentaires du film, Mel Gibson dit qu'il a inventé cette pratique qu'il a dénommée : prima nocte. En réalité, il n'existe aucune preuve que cette pratique ait existé au Moyen Âge.

Enfin, le film a été qualifié d'anglophobe 

 

Version Longue

Une version longue a été réalisée avec une scène principalement allongée de la torture de William Wallace, censée représenter la sentence médiévale hanged, drawn and quartered et montrer toutes les tortures que cet homme avait endurées.

 

Distinctions

Le 25 mars 1996, Braveheart a remporté cinq oscars sur dix nominations. Parmi les autres récompenses obtenues par le film, les plus importantes sont trois BAFTA Awards et un Golden Globe.

 

Autour du film

Braveheart a suscité un intérêt considérable pour l'Écosse et l'histoire écossaise, non seulement à travers le monde, mais aussi en Écosse elle-même. Les fans viennent de partout dans le monde pour voir les endroits en Écosse, où William Wallace s'est battu pour la liberté écossaise, et aussi pour voir les lieux de tournage en Écosse et en Irlande. Une convention Braveheart s'est tenue en 1997 à Stirling le jour suivant le vote de la dévolution écossaise et en présence de 200 délégués du monde entier, dont l'auteur Randall Wallace, Wallace Seoras du Clan Wallace, l'historien écossais David Ross et Bláithín FitzGerald d'Irlande qui ont donné des conférences sur divers aspects du film. Plusieurs des acteurs y ont également assisté, dont James Robinson (William jeune), Andrew Weir (Hamish Jeune), Julie Austin (la jeune mariée) et Mhairi Calvey (Murron jeune). Le film est considéré par Lin Anderson (en), auteur de Braveheart: From Hollywood to Holyrood, comme ayant joué un rôle significatif en affectant le paysage politique écossais du milieu vers la fin des années 1990.

 

Dans le milieu de la musique apparentée au genre punk hardcore ou metalcore, où le public anime un pogo très violent, l'une des phases (souvent amenées par le chanteur du groupe se produisant sur scène) s'appelle le « braveheart » (ou mur de la mort — wall of death — ou encore le war). Il s'agit, dans la fosse, de séparer le public en deux : une partie à gauche de la scène, l'autre à droite, et au moment d'un top départ (souvent donné par le chanteur depuis la scène), les deux parties se ruent l'une sur l'autre avec violence. Cette appellation vient de la scène du film où les deux armées opposées se ruent l'une sur l'autre lors d'une bataille.

 

« Suite »

En 2019, Angus Macfadyen reprend son rôle de Robert the Bruce dans Robert the Bruce de Richard Gray.

 

 

   
   
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Henry Kissinger

Publié à 10:22 par dessinsagogo55 Tags : center merci centerblog prix sur histoire
Henry Kissinger

 

 

Henry Kissinger, né Heinz Alfred Kissinger le 27 mai 1923 à Fürth en Allemagne, est un diplomate américain, politologue et consultant en géopolitique.

 

Allemand de naissance, de confession juive, il émigre aux États-Unis en 1938 pour fuir les persécutions nazies et est naturalisé en 1943. Interprète pour les services secrets américains durant la Seconde Guerre mondiale en Europe, il devient pour une courte période administrateur de la ville de Krefeld.

 

De retour aux États-Unis en 1946, il étudie à Harvard avant de se lancer en politique. D'abord conseiller à la sécurité nationale américaine, il devient secrétaire d'État du gouvernement républicain de Richard Nixon, poste qu'il occupe ensuite sous Gerald Ford. Promoteur de la Realpolitik, il joue un rôle important dans la diplomatie américaine au cours de la guerre froide de 1968 à 1977, en étant notamment, en 1973, l'un des artisans de la signature des accords de paix de Paris. Il inspire la politique de la Détente avec l’Union soviétique et joue un rôle crucial dans le rapprochement avec la Chine à partir de 1971.

 

Kissinger reçoit le prix Nobel de la paix en 1973 pour son action dans la résolution de la guerre du Viêt Nam. Ce prix est notamment marqué par la démission de deux membres du comité, en guise de protestation. Figure médiatique, souvent décrit comme brillant, il reste un personnage controversé, sa politique étrangère lui crée de nombreuses inimitiés, aussi bien du côté de la gauche pacifiste, que de certaines associations humanitaires et de la droite anticommuniste.

 

Il est fondateur de Kissinger Associates et en assure la présidence. Entreprise de conseil en relations internationales, elle a pour clients des firmes multinationales qu'elle assiste dans leurs négociations de contrats commerciaux avec des États. Il a par ailleurs écrit une douzaine d'ouvrages sur l'histoire diplomatique et les relations internationales.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Henry_Kissinger

 
     
     
     
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Omar Bradley

Publié à 17:02 par dessinsagogo55 Tags : centerblog center mort sur merci
Omar Bradley

 

 

Omar Nelson Bradley, né le 12 février 1893 à Clark (Missouri) et mort le 8 avril 1981 à New York, est un militaire américain. Il a été l'un des principaux chefs de l'armée américaine sur les théâtres nord-africain et européen au cours de la Seconde Guerre mondiale. Il commandait le navire amiral USS Augusta au large d'Omaha Beach pendant l'opération Overlord. Il a été élevé au grade de General of the Army — « cinq étoiles » — et a été le premier chef d'État-Major inter-armes des États-Unis du 16 août 1949 au 15 août 1953.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Omar_Bradley

 
     
     
     
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Kenny Rogers

Publié à 12:18 par dessinsagogo55 Tags : femmes center film fille centerblog sur merci vie enfants musique femme mort rose
Kenny Rogers

Kenneth Donald Rogers dit Kenny Rogers, né le 21 août 1938 à Houston (Texas) et mort le 20 mars 2020 à Sandy Springs (Géorgie), est un acteur, chanteur de musique country et compositeur américain.

 

Famille

 

Kenny Rogers est le quatrième des sept enfants de Floyd Rogers et de sa femme Lucille, respectivement charpentier et infirmière. D'après les registres de naissances de l'État du Texas, son deuxième prénom est Ray et il est en effet parfois appelé "Kenneth Ray Rogers" dans les génériques des films auxquels il participe.

 

Carrière

 

Sa carrière commence pendant les années 1950, quand Kenny Rogers enregistre plusieurs chansons avec un groupe de doo-wop appelé The Scholars. Il n'est pas le chanteur principal, et le groupe s'arrête après deux singles quand le leader décide de faire une carrière solo.

 

Resté seul, Kenny Rogers lance son propre single That Crazy Feeling (1958) et connaît un petit succès. Il rejoint The Bobby Doyle Trio, groupe de jazz avec lequel il joue dans des clubs et enregistre avec Columbia Records. Le groupe se sépare en 1965 et le single jazz que Rogers enregistre l'année suivante pour Mercury Records est un échec. Rogers travaille en tant que producteur, auteur et musicien pour d'autres artistes, dont les chanteurs country Mickey Gilley et Eddy Arnold. En 1966, il rejoint les New Christy Minstrels en tant que chanteur et contrebassiste.

 

Le succès du groupe n'étant pas celui sur lequel il compte, Kenny Rogers quitte le groupe, entraînant avec lui trois autres membres : Mike Settle, Terry Williams et Thelma Camacho. Ensemble, ils créent First Edition en 1967, qui devient "Kenny Rogers and The First Edition", et accumulent les succès dans les classements de ventes de musique pop et country avec, entre autres, Somethings BurningRuby, Don't Take Your Love to TownReuben James et Just Dropped In (To See What Condition My Condition Was In). Pendant cette période, Rogers présente tous les aspects du hippie : long cheveux bruns, boucle d'oreille et lunettes de soleil rose. Rétrospectivement surnommé "Hippie Kenny", Rogers a un style vocal beaucoup plus doux à cette époque que celui qu'il aura plus tard.

 

Quand le groupe se sépare en 1976, Kenny Rogers lance sa carrière solo. Ses compositions deviennent rapidement plus policées, chantées avec une voix parfois rauque mais toujours mélodieuse qui attire le public pop tout comme les fans de country. Plus de 60 chansons enregistrées par Kenny Rogers ont atteint le top 40 des meilleures ventes US (dont 25 se sont placées en no 1 des ventes) et 50 de ses albums se sont classés dans les meilleures ventes. Ses compositions ont aussi été utilisées dans de nombreuses bandes originales de films tels que ConvoyUrban Cowboy et The Big Lebowski.

 

Sorti en novembre 1978, l'album The Gambler se vend entre 30 et 35 millions d'exemplaires, ce qui représente un quart de ses ventes totales d'albums

.

Kenneth Rogers chante également dans le célèbre morceau We Are the World.

 

Il sort en 1980 ce qui reste un des plus grands succès de sa carrière : Lady (en).

 

Il meurt le 20 mars 2020 à son domicile de Sandy Springs en Géorgie, de causes naturelles, et est inhumé au cimetière d'Oakland à Atlanta

 

Vie privée

 

Marié cinq fois, sa quatrième femme était l'actrice Marianne Gordon Rogers. Puis, jusqu'à sa mort, il vécut avec Wanda Miller. Il a une fille et quatre fils, dont des jumeaux nés en 2003.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Kenny_Rogers

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
    Kenny Rogers
   
   
   
   
   
   
    Kenny Rogers : Coward of the country
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Joe Dassin

Publié à 19:24 par dessinsagogo55 Tags : center musique centerblog sur merci france monde fleur mort
Joe Dassin

 

 

Joseph Ira Dassin, dit Joe Dassin, né le 5 novembre 1938 à New York (États-Unis) et mort le 20 août  1980 à Papeete (Polynésie française), est un chanteur, compositeur et écrivain américano-français

 

En seize ans de carrière (1964-1980), il a connu de nombreux succès en France et dans la francophonie, mais aussi, en chantant dans d'autres langues que le français, en Russie, en Finlande, en Grèce, et en Allemagne. Au total, Joe Dassin a vendu plus de 50 millions de disques dans le monde dont près de 17 millions en France (10 millions de 45T et 7 millions d'albums).

 

 
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Joe_Dassin  
     
     
     
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Jerry Lewis

Jerry Lewis

Joseph Levitc, dit Jerry Lewis, est un humoriste, acteur, producteur et réalisateur de cinéma américain, né le 16 mars 1926 à Newark (New Jersey) et mort le 20 août 2017 à Las Vegas (Nevada).

 
 

Biographie

Premières années et duo humoristique avec Dean Martin

 

 
Dean Martin et Jerry Lewis en 1955.
 

Né de parents russes juifs, fils de Daniel Levitch, acteur de spectacles de variétés, il monte sur scène avec eux à l'âge de 5 ans, provoquant l'hilarité du public. Cependant, il est élevé par sa grand-mère et souffre de l'absence de ses parents, continuellement en tournée. À 15 ans, il crée un numéro de pantomime dans lequel il parodie des artistes à la mode, ce qui lui vaut un succès réel mais modeste.

 

Danny Lewis de son nom d'artiste, Jerry Lewis se fait connaître en formant le duo comique Martin and Lewis avec le chanteur Dean Martin. Ils se démarquent de la majorité des comiques des années 1940 en jouant surtout sur l'interaction entre deux comiques, plutôt que de réciter des sketches planifiés. À la fin des années 1940, ils sont nationalement connus, d'abord pour leurs représentations dans les boîtes de nuit, puis en tant que vedettes de cinéma (Parachutiste malgré luiAmours, délices et golf, etc.). Ils embrayent sur la production de films pour la télévision et se séparent en 1956.

 

Succès cinématographique en solo

 

Jerry Lewis, alors en solo, joue dans le film Le Délinquant involontaire (The Delicate Delinquent) en 1957. Il est ensuite tête d'affiche de cinq autres films, avant d'écrire, jouer, produire et réaliser lui-même Le Dingue du palace (The Bellboy) en 1960. Il est le pionnier de la régie vidéo (Video assist), en utilisant une caméra vidéo sur le plateau en même temps qu'il filme, pour pouvoir visualiser immédiatement le résultat. Cette technique devient un standard dans l'industrie.

 

Il réalise plusieurs autres films, dont Le Tombeur de ces dames (The Ladies Man) 1961, Le Zinzin d'Hollywood (The Errand Boy) 1961 et le fameux Docteur Jerry et Mister Love (The Nutty Professor) 1963. La popularité de Jerry Lewis décline aux États-Unis à partir de la fin des années 1960 mais il conserve une partie de sa renommée à l'étranger, essentiellement en Europe. Alors que sa popularité baisse aux États-Unis, il est particulièrement soutenu en France par les revues Positif et Les Cahiers du cinéma, et le critique Robert Benayoun contribue grandement à éclairer l'importance de ses films.

 

Mauvaise chute et déclin

 

En mars 1965, à la suite d'une cascade ratée dans un gag où il tomba sur le dos sur un câble métallique, il se blesse deux vertèbres. Il reste paralysé pendant une journée (27 heures exactement). Pour contenir la douleur chronique, il prend des antalgiques pendant des dizaines d'années. Il pense, un moment, au suicide, puis il découvre en 2002 la neurostimulation. Il vivait alors avec des électrodes implantées dans la colonne vertébrale et un dispositif type pacemaker placé dans l'abdomen.

 

En 1966, il organise le Labor Day Telethon For The Muscular Dystrophy Association, œuvre de charité à laquelle il était déjà publiquement associé depuis dix ans.

 

Il ouvre une chaîne de 2 400 salles de cinéma mais ses affaires, autrefois florissantes, fluctuent. En 1972, il joue et réalise The Day the Clown Cried, une comédie dont l'action se déroule dans un camp de concentration nazi. À cause d'un imbroglio juridique, le film ne sort pas en salles et partage les quelques personnes à l'avoir visionné. Cet échec le terrasse.

 

Retour au premier plan

 

Après huit ans d'absence cinématographique, Jerry Lewis revient au début des années 1980 dans Au boulot... Jerry ! (Hardly Working), qu'il joue et réalise. Il enchaîne, en 1983, avec un rôle à contre-emploi dans La Valse des pantins (The King of Comedy) de Martin Scorsese, qui est applaudi par la critique.

 

 
 

En 1984, Jack Lang, ministre de la Culture français, lui remet la Légion d'honneur. En 2006, le ministre de la Culture Renaud Donnedieu de Vabres l'élève au rang de commandeur du même ordre.

 

En 1984, il joue dans deux nanars français, Par où t'es rentré ? On t'a pas vu sortir et Retenez-moi... ou je fais un malheur !, à la condition qu'ils ne soient pas diffusés aux États-Unis.

 

Le 6 décembre 1987, il présente le 1er Téléthon en France, diffusé sur Antenne 2.

 

En janvier 1993, on le retrouve dans le long-métrage d'Emir Kusturica Arizona Dream, aux côtés de Johnny Depp, Faye Dunaway et Vincent Gallo.

 

Dernières années

 

En 2006, il interprète le rôle-titre d'un épisode de la série télévisée américaine New York, unité spéciale (Law & Order Special Victims Unit) (saison 8, épisode 4, « Uncle »).

 

En 2008, Jerry Lewis travaille avec Drake Bell dans le film d'animation The Nutty Professor. En mai 2011, Jerry Lewis annonce qu'il présentera son dernier Téléthon contre la dystrophie musculaire, l'acteur étant affaibli par d'importants problèmes de santé, notamment une fibrose pulmonaire.

 

En 2009, il reçoit un Oscar d'honneur.

 

L'avant-dernier film où Jerry Lewis apparaît en tant qu'acteur, Max Rose (sorti en 2013), est un drame écrit et réalisé par Daniel Noah, produit par Lawrence Inglee (en). Lewis y joue le rôle d'un vieil homme qui retrouve goût à la vie malgré la disparition de sa femme. Le film est sélectionné au festival de Cannes 2013.

 

Dans son dernier film, Le Casse (The Trust), tourné à l'âge de 90 ans, sorti en 2016, il joue le père vieillissant de Nicolas Cage.

 

Mort

 

Il meurt le 20 août 2017, à l'âge de 91 ans, d'une maladie cardiovasculaire à Las Vegas.

 

Vie privée

 

Première épouse : Patti Palmer (née Esther Calonico), une chanteuse du groupe The Ted Fio Rito Orchestra ; ils se marient le 3 octobre 1944 et divorcent en septembre 1980. Ils ont eu six enfants : Gary Lewis (né le 30 juin 1945, il fait partie du groupe Gary Lewis and the Playboys), Ronald Lewis (adopté en juin 1950), Scott Lewis (né en février 1956), Christopher Lewis (né en octobre 1957), Anthony Lewis (né en octobre 1959), Joseph Lewis (né en janvier 1964, mort d'une surdose de stupéfiants en 2009).

 

Seconde épouse : SanDee Pitnick, une actrice ; ils se marient le 13 février 1983. Ils ont eu un enfant, Danielle Sarah Lewis (adoptée en mars 1992).

 

Il a sept petits-enfants et une arrière-petite-fille.

 

Politique

 

Jerry Lewis s'est défendu de vouloir donner à ses films une dimension politique, même si les critiques français saluent sa critique du consumérisme et de l'American way of life. Il a affirmé que les deux pires catastrophes des dernières décennies avaient été l'assassinat de John Fitzgerald Kennedy et l'élection de Richard Nixon.

 

Le 29 août 1970, il organise avec Frank Sinatra à Richmond, dans l'Indiana, un concert en soutien à la famille de Dan Mitrione, agent du FBI exécuté par les Tupamaros qui avait mis en oeuvre pour la dictature uruguayenne une procédure de torture systématique et est alors présenté aux États Unis comme un héros de l'anticommunisme. En 2017, il déclare que « Trump ferait un bon président car c'est un bon showman »

 

Hommage

 

1984 : Officier de la Légion d'honneur Officier de la Légion d'honneur

2006 : Commandeur de la Légion d'honneur Commandeur de la Légion d'honneur

(11548) Jerrylewis, astéroïde.

 

Filmographie

Comme acteur

 

1949 : How to Smuggle a Hernia Across the Border (court métrage)

1949 : Ma bonne amie Irma (My Friend Irma) : Seymour

1950 : Irma à Hollywood (My Friend Irma Goes West) : Seymour

1950 : Le Soldat récalcitrant (At War with the Army) : Première classe Alvin Korwin

1951 : Bon sang ne peut mentir (That's My Boy) : Junior Jackson

1952 : La Polka des marins (Sailor Beware) : Melvin Jones

1952 : Parachutiste malgré lui (Jumping Jacks) : Hap Smith

1952 : En route vers Bali (Road to Bali) : Femme dans le rêve de Lala (non crédité au générique)

1952 : Le Cabotin et son compère (The Stooge) : Theodore Ted Rogers

1953 : Fais-moi peur (Scared Stiff) : Myron Mertz

1953 : Amour, Délices et Golf (The Caddy) : Harvey Miller, Jr.

1953 : Un galop du diable (Money from Home) : Virgil Yokum

1954 : C'est pas une vie, Jerry (Living It Up) : Homer Flagg

1954 : Le clown est roi (Three ring circus) : Jerome F. Jerry Hotchkiss

1955 : Un pitre au pensionnat (You're Never Too Young) : Wilbur Hoolick

1955 : Artistes et Modèles (Artists and Models) : Eugene Fullstack

1956 : Le Trouillard du far west (Pardners) : Wade Kingsley Jr. / Wade Kingsley Sr.

1956 : Un vrai cinglé de cinéma (Hollywood or Bust) : Malcolm Smith

1957 : Le Délinquant involontaire (The Delicate Delinquent) : Sidney L. Pythias

1957 : P'tite tête de troufion (The Sad Sack) : Meredith C. Bixby

1958 : Trois bébés sur les bras (Rock-a-Bye Baby) : Clayton Poole

1958 : Le Kid en kimono (The Geisha Boy) : Gilbert Wooley

1959 : Tiens bon la barre matelot (Don't Give Up the Ship) : John Paul Steckler I / John Paul Steckler IV / John Paul Steckler VII

1959 : Li'l Abner : Itchy McRabbit (brève apparition)

1960 : Mince de planète (Visit to a Small Planet) : Kreton

1960 : Raymie : Chanteur du générique

1960 : Le Dingue du Palace (The Bellboy) : Stanley / Lui-même

1960 : Cendrillon aux grands pieds (Cinderfella) : Cinderfella

1961 : Le Tombeur de ces dames (The Ladies Man) : Herbert H. Heebert / Mama Heebert

1961 : Le Zinzin d'Hollywood (The Errand Boy) : Morty S. Tashman

1962 : L'Increvable Jerry (It'$ Only Money) : Lester March

1963 : Docteur Jerry et Mister Love (The Nutty Professor) : Professeur Julius Kelp / Buddy Love / Baby Kelp

1963 : Un chef de rayon explosif (Who's Minding the Store?) : Norman Phiffier

1964 : Jerry souffre-douleur (The Patsy) : Stanley Belt / Chanteurs du trio

1964 : Jerry chez les cinoques (The Disorderly Orderly) : Jerome Littlefield

1965 : Les Tontons farceurs (The Family Jewels) : Willard Woodward / James Peyton / Everett Peyton / Julius Peyton / Capitaine Eddie Peyton / Skylock Peyton / « Bugs » Peyton

1965 : Ligne rouge 7000 (Red Line 7000) : Le chauffeur (brève apparition)

1965 : Boeing Boeing : Robert Reed

1966 : Trois sur un sofa (Three on a Couch) : Christopher Pride / Warren / Ringo / Rutherford / Heather

1966 : Batman (épisode le Rat de bibliothèque) : Lui-même

1966 : Tiens bon la rampe, Jerry (Way... Way Out) : Pete Mattemore

1966 : Un monde fou, fou, fou, fou (It's a Mad Mad Mad Mad World) (brève apparition)

1967 : Te casse pas la tête Jerry (Don't Raise the Bridge, Lower the River) : George Lester

1967 : Jerry la grande gueule (The Big Mouth) : Gerald Clamson / Syd Valentine

1968 : Silent Treatment

1969 : Cramponne-toi Jerry (Hook, Line & Sinker) : Peter Ingersoll / Fred Dobbs

1970 : One More Time : Bandleader (voix)

1970 : Ya, ya, mon général ! (Which Way to the Front?) : Brendan Byers III

1972 : The Day the Clown Cried : Helmut Doork

1980 : Rascal Dazzle : Narrateur

1980 : Au boulot... Jerry ! (Hardly Working) : Bo Hooper

1982 : Slapstick (Of Another Kind) (en) : Wilbur Swain / Caleb Swain

1983 : La Valse des pantins (The King of Comedy) : Jerry Langford

1983 : T'es fou Jerry (Smorgasbord ou Cracking Up) : Warren Nefron / DrPerks

1984 : Par où t'es rentré ? On t'a pas vu sortir : Clovis Blaireau

1984 : Retenez-moi... ou je fais un malheur ! : Jerry Logan

1987 : Fight for Life (TV) : Dr Bernard Abrams

1988 : Un flic dans la mafia (Wiseguy) (série TV) : Eli Sternberg

1989 : Cookie : Arnold Ross

1990 : Super Force (Super Force) (série TV)

1992 : Mr. Saturday Night : Invité

1993 : Arizona Dream : Leo Sweetie

1995 : Les Drôles de Blackpool (Funny bones) : George Fawkes

1995 : Jerry Lewis Stars Across America (TV) : Présentateur

2007 : New York, unité spéciale (saison 8, épisode 4) : Andrew Munch

2008 : The Nutty Professor (en) (TV) : Professeur Julius Kelp / Buddy Love (voix)

2013 : Max Rose de Daniel Noah : Max Rose

2016 : Le Casse d'Alex et Benjamin Brewer : le père de Stone

 

Comme réalisateur

 

1949 : How to Smuggle a Hernia Across the Border

1960 : Le Dingue du Palace (The Bellboy)

1961 : Le Tombeur de ces dames (The Ladies Man)

1961 : Le Zinzin d'Hollywood (The Errand Boy)

1963 : Docteur Jerry et Mister Love (The Nutty Professor)

1964 : Jerry souffre-douleur (The Patsy)

1965 : Les Tontons farceurs (The Family Jewels)

1966 : Trois sur un sofa (Three on a Couch)

1967 : Jerry la grande gueule (The Big Mouth)

1969 : The Bold Ones: The New Doctors (série TV)

1970 : One More Time

1970 : Ya, ya, mon général ! (Which Way to the Front?)

1972 : The Day the Clown Cried

1980 : Au boulot... Jerry ! (Hardly Working)

1983 : T'es fou Jerry (Smorgasbord ou Cracking Up)

 

Comme producteur

 

1957 : Le Délinquant involontaire (The Delicate Delinquent)

1958 : Trois bébés sur les bras (Rock-a-Bye Baby)

1958 : Le Kid en kimono (The Geisha Boy)

1960 : Le Dingue du Palace (The Bellboy)

1960 : Cendrillon aux grands pieds (Cinderfella)

1961 : Le Tombeur de ces dames (The Ladies Man)

1964 : Jerry chez les cinoques (The Disorderly Orderly)

1965 : Les Tontons farceurs (The Family Jewels)

1966 : Trois sur un sofa (Three on a Couch)

1967 : Jerry la grande gueule (The Big Mouth)

1969 : Cramponne-toi Jerry (Hook, Line & Sinker)

1970 : Ya, ya, mon général ! (Which Way to the Front?)

1996 : Le Professeur Foldingue (The Nutty Professor)

2000 : La Famille Foldingue (Nutty Professor II: The Klumps)

 

Comme scénariste

 

1949 : How to Smuggle a Hernia Across the Border

1960 : Le Dingue du Palace (The Bellboy)

1961 : Le Tombeur de ces dames (The Ladies Man)

1961 : Le Zinzin d'Hollywood (The Errand Boy)

1963 : Docteur Jerry et Mister Love (The Nutty Professor)

1964 : Jerry souffre-douleur (The Patsy)

1965 : Les Tontons farceurs (The Family Jewels)

1967 : Jerry la grande gueule (The Big Mouth)

1972 : The Day the Clown Cried

1980 : Au boulot... Jerry ! (Hardly Working)

1983 : T'es fou Jerry (Smorgasbord ou Cracking Up)

 

Comme compositeur

 

1961 : Le Zinzin d'Hollywood (The Errand Boy)

 

Voix françaises

 

Jacques Dynam dans :

  • La Polka des marins
  • Fais-moi peur
  • Amour, délices et golf
  • Un galop du diable
  • C'est pas une vie, Jerry
  • Le clown est roi
  • Un pitre au pensionnat
  • Artistes et Modèles
  • Le Trouillard du Far West
  • Un vrai cinglé de cinéma
  • Le Délinquant involontaire
  • Trois Bébés sur les bras
  • Tiens bon la barre matelot
  • Mince de planète
  • Le Dingue du Palace
  • Cendrillon aux grands pieds
  • Le Zinzin d'Hollywood
  • Le Tombeur de ces dames
  • L'Increvable Jerry
  • Docteur Jerry et Mister Love
  • Un chef de rayon explosif
  • Jerry chez les cinoques
  • Jerry souffre-douleur
  • Boeing Boeing
  • Trois sur un sofa
  • Jerry la grande gueule
  • Cramponne-toi Jerry
  • Ya, ya, mon général !
  • Roger Carel dans :
    • La Valse des pantins
    • Retenez-moi... ou je fais un malheur !
    • Un flic dans la mafia
    • New York, unité spéciale
  • Eddy Rasimi dans :
    • Parachutiste malgré lui
    • Le Kid en kimono
  • William Coryn dans :
    • La Polka des marins
    • Le Kid en kimono
  • Michel Roux dans :
    • Les Tontons farceurs
    • Tiens bon la rampe, Jerry
  • Philippe Ariotti dans :
    • Max Rose
    • Le Casse
et aussi
  • Serge Lhorca dans Batman
  • Francis Lax dans T'es fou Jerry
  • Dominique Paturel dans Par où t'es rentré ? On t'a pas vu sortir
  • Philippe Dumat dans Arizona Dream

  Télévision

 

Jerry Lewis est apparu à de nombreuses reprises à la télévision américaine dès 1950, soit dans des fictions ou des émissions de divertissement comme The Red Skelton Show (1970) ou What's My Line? émission populaire de jeu où il fut l'invité surprise sept fois (1954 avec Dean Martin, 1956 à deux reprises, 1960, 1961, 1962, 1966). Il prête sa voix au professeur John Frink dans l'épisode en version originale Simpson Horror Show XIV de la série Les Simpson. Dans les années 1970, il a également inspiré une série de dessins animés en 17 épisodes de 26 minutes réalisée par Filmation et intitulée Jerry Lewis (Will the Real Jerry Lewis Please Sit Down).

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jerry_Lewis

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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SSC Tuatara

Publié à 14:18 par dessinsagogo55 Tags : png center cheval gain centerblog sur merci monde sport société
SSC Tuatara

 

 

La Tuatara (terme Maori du nom d'un lézard de Nouvelle-Zélande) est une supercar conçue par le constructeur américain SSC North America (anciennement Shelby Super Cars) à partir de 2020, pour succéder à la SSC Ultimate Aero. Elle devait sortir en 2012, mais le projet fut abandonné par la marque, puis relancé en 2018 par Jerod Shelby.

 

 

Présentation

 

La Tuatara est annoncée en 2011 pour remplacer l'Aero, voiture la plus rapide au monde en 2007. Elle reçoit alors un V8 bi-turbo de 5,9 L de cylindrée développé en interne développant 1 350 ch et 1 733 N m de couple, accouplé à une boîte de vitesses robotisée à sept rapports.

 

Après l'abandon du projet et sept ans d'absence, le constructeur, toujours dirigé par Jerod Shelby, présente la SSC Tuatara de pré-série au Pebble Beach Concours d'Elegance en août 2018.

 

Le premier modèle de série de la SSC Tuatara est présenté au salon de Philadelphie le 8 février 2020 avec un nouveau moteur développé par Nelson Racing Engines basé en Californie du Sud.

 

Elle est dessinée par Jason Castriota, ancien designer de Pininfarina et Saab, qui a supervisé les Ferrari P4/5 by Pininfarina, Maserati GranTurismo et Ferrari 599 GTB Fiorano, et elle est produite à cent exemplaires à West Richland dans l'État de Washington.

 

Le châssis 001/100 est livré dans une teinte noire aux liserés rouges au Dr Lawrence Caplin (Larry Caplin), fondateur de la Dentrust Optimized Care Solutions, qui possède aussi une SSC Ultimate Aero.

 

Caractéristiques techniques

 

La SSC Tuatara est chaussée de pneus Michelin Pilot Sport Cup 2 245/35YR20 à l’avant et 345/30YR20 à l’arrière.

 

Motorisation

 

La Tuatara est motorisée par un V8 biturbo de 5,9 L développant 1 350 ch lorsqu'il est alimenté à l'essence et 1 750 ch lorsqu'il fonctionne à l'éthanol. Ce gain de puissance s'explique par la surconsommation lorsque le moteur est alimenté avec de l'E85. La vaporisation de l'E85 dans le moteur permet de refroidir la chambre de combustion, donc de réduire les risques de cliquetis et d'augmenter l'avance à allumage. Il est accouplé à une boîte de vitesses automatique CIMA à sept rapports.

 

 

Séries spéciales

 

Striker

V8 biturbo 1750 ch, 100 exemplaires.

Aggressor

V8 biturbo 2200 ch, 10 exemplaires.

 

Record de vitesse

 

Le 10 octobre 2020, la SSC Tuatara bat le record de vitesse détenu par la Bugatti Chiron, avec une vitesse de 508,7 km/h de moyenne sur un aller-retour, et 532,93 km/h en vitesse maximale, aux mains du pilote britannique Oliver Webb. Le record a été établi sur la même route, une portion de la route 160 à Pahrump dans l'État du Nevada aux États-Unis, où la Koenigsegg Agera RS a réalisé son record en 2017 avec 457,49 km/h. Mais ce record est sérieusement remis en doute notamment par le célèbre youtubeur Shmee150 qui accuse l'auto de n'avoir atteint que 450 km/h. Le constructeur SSC se défend en affirmant que le record a été homologué par Dewetron qui s’est appuyé sur plus de quinze satellites. Mais celle-ci dément les propos en expliquant qu'« aucune personne de Dewetron n’était présente lors du test ou n’était associée aux préparations » et « que nous ne pouvons pas garantir la validité des données ». SSC décide alors de retenter sa chance, et après un essai infructueux, le record est établi à 455,3 km/h avec une pointe à 460,4 km/h. Cette fois-ci, le record est certainement réel puisque la firme a fait appel à la société spécialisée Racelogic pour mesurer et valider les vitesses. Par ailleurs, ce record n'est pas définitif puisqu'il a été réalisé sur une distance plus courte, le tarmac du Kennedy Space Center (en Floride), au lieu d'une longue route en ligne droite du Nevada et que la voiture était pilotée par son propriétaire au lieu d'un pilote professionnel.

 

Concept car

 

La SSC Tuatara est préfigurée par le concept car SSC Tuatara concept présenté au Pebble Beach Concours d'Elegance 2011.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/SSC_Tuatara

 
     
     
     
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James Cameron

James Cameron

James Francis Cameron , né le 16 août 1954 à Kapuskasing (Canada) est un réalisateur, scénariste, producteur et explorateur de fonds marins canadien qui habite aux États-Unis. Il a réalisé et écrit les films, Terminator (1984), Aliens, le retour (1986), Abyss (1989), Terminator 2 : Le Jugement dernier (1991), True Lies (1994), Titanic (1997) et Avatar (2009).

 

En 1997, il bat un record avec Titanic, film consacré au naufrage de 1912. Le film est resté pendant onze ans le plus gros succès du box-office mondial et reçoit en 1998 l'Oscar du meilleur film et Cameron remporte la même année l'Oscar du meilleur réalisateur. Le film remporte également neuf autres Oscars. Le budget du film est de quelque 200 millions de dollars.

 

Il bat son propre record en 2009, avec Avatar, film de science-fiction, dont le budget est estimé à près de 400 millions de dollars. Le film bat également Titanic, en tant que plus grand succès du box-office mondial en 2010, et dégage en tout 2,78 milliards de dollars de recettes. Cameron, en tant que producteur et réalisateur de ce film, empoche environ 260 millions de dollars. Devant ce succès phénoménal, Cameron annonce rapidement qu’une trilogie est déjà prévue.

 

Il possède sa propre société de production : Lightstorm Entertainment.

Une étoile porte son nom sur l'Allée des célébrités canadiennes depuis 2008 ainsi que sur le Hollywood Walk of Fame depuis 2009.

 
 

Biographie

Jeunesse

 

James Cameron, fils de Phillip, un ingénieur électricien, et Shirley, une artiste, est né et a passé sa jeunesse au Canada, près des chutes du Niagara. Il a deux frères et deux sœurs. En 1971, il déménage à Brea (Californie), États-Unis, où il sera diplômé de physique à l'université d'État de Californie. Mais ses premiers gagne-pain seront mécanicien et conducteur de camions car il nourrit une tout autre ambition : le cinéma. Son premier court métrage : Xenogenesis, est financé par un consortium de dentistes.

 

Il officie alors comme réalisateur, producteur, coscénariste, monteur, directeur de la photographie, maquettiste et superviseur des effets spéciaux. Cette expérience lui permet de se faire remarquer en 1980 par Roger Corman qui l'engage dans sa compagnie New World Picture.

 

James Cameron travaille alors principalement sur les effets spéciaux avant d'être nommé directeur artistique sur Les Mercenaires de l'espace puis directeur de la photographie et réalisateur de deuxième équipe sur Galaxy of terror. Il travaille également aux effets spéciaux de New York 1997 de John Carpenter.

 

Remarqué, il est nommé réalisateur de Piranha 2 : Les Tueurs volants, une coproduction italo-américaine. Mais ses relations avec le producteur Ovidio G. Assonitis se dégradent, tant et si bien que celui-ci lui retire le contrôle artistique du film. James Cameron tente bien de pénétrer par effraction, la nuit, dans la salle de montage mais ses modifications sont systématiquement écartées par le producteur. Bien qu'étant cocrédité comme réalisateur, il reniera le film (souvent absent de ses filmographies officielles). Comme la plupart de ses œuvres suivantes, il existe deux versions du film, celle du producteur, la plus répandue, et le très rare remontage du réalisateur, exploité autrefois aux États-Unis en vidéo et disque laser.

 

Premiers succès

 

 

 
James Cameron en septembre 1988 .
 

En 1984, sur les cendres de son premier film, Cameron entame l'écriture du scénario de Terminator. Tourné pour 6 millions de dollars, Terminator en rapportera 80. Le film est produit par Gale Anne Hurd, qui devient ensuite sa femme. Mais bien avant cet immense succès, Hollywood l'avait remarqué, et les sollicitations se multiplient. Avant de tourner Terminator, il écrit la première mouture de Rambo 2 : La Mission, réécrit ensuite par Sylvester Stallone.

 

Pour la société de production Brandywine, il écrit Aliens le retour, avant de se voir proposer l'opportunité de le réaliser lui-même, à la suite du succès de Terminator. C'est sur ce tournage, dans les fameux Studios Pinewood en Angleterre, qu'il se mettra à dos les techniciens, les traitant de « syndicalistes fainéants », ceux-ci se vengeant en arborant des tee-shirts « je peux tout supporter : j'ai travaillé avec James Cameron ». Il renverra le premier directeur de la photographie, assurant lui-même la fonction avant qu'un remplaçant n'arrive. Finalement le film est un succès qui le conforte dans sa position de nouveau génie d'Hollywood, et lui permet de monter avec Gale Anne Hurd un nouveau projet, Abyss.

 

Pour tourner Abyss, James Cameron se donnera les moyens de ses ambitions : budget hollywoodien, tournage dans une centrale nucléaire en cours de construction noyée par plus de 26 000 m3 d'eau, invention (avec son frère Mike) de caméras révolutionnaires pour filmer sous l'eau, effets spéciaux en images de synthèse dernier cri. Il pousse ses acteurs à bout, dans des conditions de tournage déjà éprouvantes (Ed Harris craquera à plusieurs reprises et Mary Elizabeth Mastrantonio quittera définitivement le plateau après le tournage de la scène de sa résurrection). Pourtant le film ne recevra qu'un accueil mitigé (1989).

 

À cette époque, il a déjà eu deux épouses. La troisième sera Kathryn Bigelow, réalisatrice au style assez violent, dont le goût pour les scènes d'action musclées et les personnages de femmes fortes la rapprochent indéniablement de son mari. Celui-ci produira pour elle Point Break et Strange Days, tout en co-écrivant également ces deux films, bien qu'il ne soit pas crédité à l'écran pour le premier3. Son prochain projet personnel sera Terminator 2 : Le Jugement dernier, suite des aventures de Sarah Connor campée par Linda Hamilton, qui deviendra plus tard sa quatrième épouse. Comme il l'avait prouvé avec ses films précédents, James Cameron est un pionnier des images de synthèse, repoussant toujours plus loin les limites du possible. Terminator 2 n'y fera pas exception. Pour un budget record à l'époque de 100 millions de dollars, cette nouvelle association avec Arnold Schwarzenegger rapportera plus de 500 millions de dollars à travers le monde, tant et si bien que lorsque l'acteur essuie un de ses premiers échecs avec Last Action Hero, c'est tout naturellement qu'il se tournera vers son réalisateur fétiche pour redorer son blason.

 

Après la tentative avortée de monter un film autour du personnage de Spider Man, avec l'autrichien dans le rôle du super-vilain, la troisième collaboration entre les deux hommes sera finalement True Lies, remake de la comédie française La Totale ! de Claude Zidi. Bénéficiant d'un budget bien supérieur, le film de Cameron multiplie les scènes d'actions, dans une ambiance tranchant avec le reste de sa filmographie. Une partie des effets spéciaux numériques est pour la première fois assurée par Digital Domain, compagnie qu'il a fondée en 1993, et qu'il quittera en 1998.

 

1997 : Titanic

 

 
James Cameron en 2010
 

Après une décennie passée à révolutionner les effets spéciaux et à monter des projets toujours plus novateurs, James Cameron n'est toujours pas comblé. Lors de la production d'Abyss, il a accumulé une abondante documentation à propos du destin tragique du Titanic. L'idée a fait son chemin, et il s'attelle à réaliser ce qui s'avèrera être le film de tous les excès. Coproduit par deux studios « frères ennemis », 20th Century Fox et Paramount Pictures, le film, budgété à 150 millions de dollars, en coûtera finalement plus de 200, un nouveau record, soit plus que le prix qu'avait coûté la fabrication du Titanic en son temps, le paquebot étant reconstruit presque à l'identique. De nombreuses rumeurs circuleront sur ce film, notamment qu'il sera un gouffre financier, menant à une faillite certaine les deux studios qui en assurent le financement. James Cameron sera d'ailleurs obligé de sacrifier son salaire de réalisateur et son intéressement aux recettes afin de prouver sa foi dans le projet. Finalement, Titanic devient à sa sortie le plus gros succès de l'histoire du cinéma avec plus de 1,8 milliard de dollars de recettes et le réalisateur en sera largement récompensé, financièrement d'abord, mais aussi par onze oscars dont trois pour lui-même (seuls Ben-Hur et Le Retour du Roi en ont obtenu autant).

 

Par la suite, James Cameron décide d'élargir ses visées avec la série télévisée Dark Angel pour commencer, qu'il produit et dont il réalise l'épisode final, puis avec une série de documentaires : Les Fantômes du Titanic dans lequel il expérimente le tournage en trois dimensions, Expedition: Bismarck sur un autre naufrage célèbre, Aliens of the Deep sur les étranges créatures des fonds sous-marins, et Volcanoes of the Deep Sea. Il fut même question qu'il embarque à bord d'un Soyouz russe à destination de la station Mir, épopée qu'il n'aurait sans doute pas manqué de filmer. En outre, il produira le film Solaris pour Steven Soderbergh, en sa qualité d'expert en science-fiction et en effets spéciaux.

 

En mai 2006 James Cameron revend à la firme d'investissement WyndCrest (dont fait notamment partie le réalisateur Michael Bay) Digital Domain, la compagnie spécialisée dans les effets spéciaux en images de synthèse qu'il avait cofondée avec son collaborateur de longue date Stan Winston. Depuis sa création en 1993, Digital Domain aura notamment contribué à Apollo 13ArmageddonLe Jour d'aprèsI, Robot ou encore L'Étrange Histoire de Benjamin Button, oscar des meilleurs effets spéciaux en 2009.

 

2009 : Le phénomène Avatar

 

 
Cameron au Comic-Con 2009 en train de promouvoir Avatar
 

En 2009, il réalise le nouveau film le plus cher de l'histoire, Avatar, basé sur un scénario qu'il avait écrit au début des années 1990, mais qu'il n'avait pu tourner pour des raisons techniques. En effet, la rumeur de l'époque voulait que ce film nécessite la mise au point de personnages en images de synthèse photoréalistes (le titre sous-entend que ces trompe-l'œil seraient au cœur de l'histoire), chose alors impossible. C'est en découvrant le personnage en synthèse de Gollum du Seigneur des Anneaux de Peter Jackson que Cameron se sent enthousiaste pour réaliser avec des effets spéciaux novateurs Avatar. Le long métrage de 2h42 sort en France le 16 décembre 2009. Douze ans après TitanicAvatar devient le plus gros succès du réalisateur. Il pulvérise aussi son propre record de recettes avec 2 787 965 087 dollars aujourd'hui et prend donc la place de Titanic dans le box office mondial.

 

Fin août 2010, Avatar sera de retour dans les salles de cinéma. En effet, cette "édition spéciale avatar" comprend des scènes supplémentaires, au total neuf minutes complémentaires au film de départ.

 

2012 : Challenger Deep

 

Le 26 mars 2012, à bord du mini sous-marin Deepsea Challenger, James Cameron a exploré en solo plusieurs heures durant, le site le plus profond connu de la croûte terrestre, dans la fosse des Mariannes dans l'océan Pacifique, nommé Challenger Deep. Il a établi un record de profondeur en solitaire, par 10 898 mètres de fond à 7 h 52 heure locale, soit dimanche 25 mars 2012 à 21 h 52 UTC. Toutefois, dès 1960, l'explorateur océanographe suisse Jacques Piccard et le lieutenant américain de la Navy Don Walsh avaient réussi une plongée en bathyscaphe à 10 916 mètres de profondeur.

 

Lors de l'expédition Deepsea Challenge, le réalisateur d'Abyss y a passé plusieurs heures, réalisant des prises d'échantillons et ramenant des images destinés à mieux connaître et comprendre cette zone largement inconnue de la planète.

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/James_Cameron

 
     
     
     
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