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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
Thomas Alva Edison, né le 11 février 1847 à Milan dans l'Ohio et mort le 18 octobre 1931 à West Orange dans le New Jersey, est un inventeur, un scientifique et un industriel américain.
Fondateur de la General Electric, l'une des premières puissances industrielles mondiales, il fut un inventeur prolifique (plus de 1 000 brevets). Pionnier de l'électricité, diffuseur, vulgarisateur, il fut également l'un des principaux inventeurs du cinéma (aux côtés, entre autres, de William Kennedy Laurie Dickson, Émile Reynaud, Louis Lumière, Jules Carpentier) et de l'enregistrement du son. Il est parfois surnommé « le sorcier de Menlo Park », ville du New Jersey rebaptisée « Edison » en son honneur en 1954.
Thomas Alva Edison est le septième et dernier enfant de Samuel Edison (1804-1896), Canadien d'origine néerlandaise, qui dut fuir le Canada pour avoir participé aux rébellions de 1837-1838 et qui fut tour à tour brocanteur, épicier, agent immobilier, charpentier. Sa mère, Nancy Elliot (1810-1871), ancienne institutrice, était également Canadienne mais d'origine écossaise. Le père de Nancy était un héros de la guerre d'indépendance des États-Unis. Thomas Alva Edison est le cadet d'une famille modeste qui le stimule intellectuellement et politiquement.
En 1854, alors qu'il est âgé de 7 ans, sa famille s'installe à Port Huron dans le Michigan où son père obtient un emploi de charpentier. Son professeur, le révérend Engle, le considère comme un hyperactif stupide car il se montre trop curieux, pose trop de questions et n'apprend pas assez rapidement. Après trois mois de cours, il est renvoyé de son établissement scolaire. Aidé par sa mère qui lui donne des cours à la maison, il complète alors sa formation de base en parfait autodidacte, lisant des grands auteurs comme Charles Dickens ou Shakespeare, et dévorant tous les livres de science que sa mère lui apporte, notamment l'ouvrage de physique expérimentale School of Natural Philosophy de Richard Green Parker. Il fréquente assidûment la bibliothèque de Détroit : « Si mes souvenirs sont exacts, je commençai par le premier livre du rayon du bas pour dévorer ensuite tout le reste, l'un après l'autre. Je n'ai pas lu quelques livres ; j'ai lu la bibliothèque entière ».
En 1857, âgé de 10 ans, Thomas possède déjà un vrai petit laboratoire de chimie dans le sous-sol de la maison de ses parents pour développer son intelligence et ses capacités, en reproduisant les expériences de School of Natural Philosophy.
En 1859, âgé de 12 ans, Thomas obtient la concession exclusive de vendeur de journaux, boissons, cigares, cigarettes, bonbons, dans le train de la « Grand Trunk Railway » qui fait l'aller-retour quotidien Port Huron-Detroit, en utilisant ses premières économies pour acheter des produits chimiques à la pharmacie locale. Il en profite pour vendre dans les gares des fruits et légumes. Avec l'argent gagné et l'aide de quatre assistants, il s'achète vers 1862 une presse d'imprimerie d'occasion qu'il installe dans un wagon à bagages pour la rédaction et l'impression (durant les trajets) de son propre mini-journal hebdomadaire le Weekly Herald, premier à paraître à bord d'un train, tiré à 400 exemplaires. Le 6 avril 1862, Edison annonce à ses voyageurs lecteurs, grâce à un ami télégraphiste de Détroit, les nouvelles de la bataille de Shiloh. La même année, il s'intéresse également au télégraphe du train, inventé en 1838 par Samuel Morse. Il est autorisé à aménager son laboratoire de chimie dans son wagon à bagages-imprimerie. Il poursuit ses expériences durant les haltes de 5 heures à Détroit. Une embardée du train renverse un flacon de phosphore et provoque un incendie, ce qui lui vaut son renvoi immédiat avec cependant ses premiers 2 000 dollars de gain commercial, fièrement gagnés.
Âgé de 13 ans, il attrape la scarlatine dont il ressort pratiquement sourd, même si Edison forge sa légende en racontant qu'il eut une surdité partielle de l'oreille gauche après qu'un cheminot l'eut empoigné par les oreilles (autre version qu'il donne : l'eut giflé) alors que son laboratoire de chimie prenait feu. Dès lors, ce handicap influence fortement son caractère, comme il l'explique lui-même : « J'étais exclu de cette forme particulière des relations sociales qu'on appelle le bavardage. Et j'en suis fort heureux... Comme ma surdité me dispensait de participer à ces bavardages, j'avais le temps et la possibilité de réfléchir aux problèmes qui me préoccupaient ». Ce comportement renfermé sur la pensée et la réflexion influence aussi l'orientation de ses recherches. Son désir d'améliorer le sort de l'humanité décuple son avidité pour la lecture, en particulier pour les ouvrages de chimie, d'électricité, de physique et de mécanique. « Ma surdité m'avait appris que presque n'importe quel livre peut être agréable ou instructif ».
Toujours en 1862, Thomas Edison sauve héroïquement Jimmie MacKenzie, un enfant de trois ans qui était sur le point d'être écrasé par un train. Le père de l'enfant, J.U. MacKenzie, chef de gare à Port Huron, accepte d'apprendre à Thomas, pour le remercier, l'alphabet morse et l'utilisation de son télégraphe. Cette nouvelle compétence-passion lui permet de trouver un emploi de télégraphiste à Memphis. Son directeur remarque qu'Edison lit ou dort pendant son travail, il lui ordonne d'envoyer toutes les demi-heures un message morse pour attester qu'il travaille. Un jour, ce directeur se présente à la cabine de télégraphie pour constater qu'Edison l'a dupé en automatisant le transmetteur.
En 1866, âgé de 19 ans, il emménage à Toronto au Canada et trouve un emploi d'assistant-télégraphiste à la Western Union Company. Son travail consiste à transmettre par télégraphe les messages reçus à chaque heure. Il réalise alors sa première invention : il transforme son télégraphe en « transmetteur-récepteur duplex automatique de code Morse », capable de transmettre sur un même câble deux dépêches en sens inverse, automatiquement sans intervention humaine, et dépose ainsi son premier brevet. Continuant ses expériences pendant son travail, il laisse échapper de l'acide sulfurique d'une batterie au plomb, acide qui traverse le plancher et atterrit dans le bureau du directeur de la compagnie qui le licencie sur le champ. Puis, il devient opérateur télégraphiste, itinérant de ville en ville dans tout l'Est des États-Unis.
En 1868, âgé de 21 ans, expert en télégraphie, Thomas est embauché comme opérateur-télégraphiste de nuit à la Western Union Company de Boston et travaille en parallèle sur plusieurs projets d'inventions dont une machine de comptage automatique de vote qui n'est pas retenue par le Congrès des États-Unis car jugée trop rapide… Il en déduit un de ses futurs grands principes de base : « Never invent something that people don't want » (ne jamais inventer quelque chose dont les gens ne veulent pas).
En 1869, il tente sa chance à New York, où il trouve une chambre de bonne dans les sous-sols de la chaufferie de la Bourse de New York à Wall Street. Il dort à côté du téléscripteur qui transmet les cours de l'or sur les marchés financiers, et étudie cette machine de près. Il aide un jour le télégraphiste de la Western Union à résoudre une panne importante et se voit proposer une confortable place d'assistant de l'ingénieur en chef de la Western Union de New York, aux appointements de 300 dollars, avec pour mission d'améliorer le téléscripteur de la Bourse de New York. Parallèlement, il étudie à la Cooper Union qui lui permet, grâce à des cours gratuits, d'augmenter ses connaissances en chimie.
En 1874 avec les 40 000 dollars récoltés de son télégraphe multiplexé, il fonde son entreprise industrielle de « Menlo Park », avec des laboratoires de recherche à Newark dans le New Jersey près de New York. Il est précurseur de la recherche industrielle moderne appliquée, avec deux associés et une équipe de 60 chercheurs salariés (au lieu de chercheurs isolés). Il supervise jusqu'à 40 projets en même temps, et se voit accorder un total de 1 093 brevets américains. Thomas Edison vit dans son laboratoire et ne dort que quatre heures. Il dit être capable de travailler 48 heures, voire 72 heures d'affilée.
En 1887, Edison s'installe à West Orange dans le New Jersey près de New York, pour multiplier par neuf la taille de ses laboratoires de recherche, sur un immense complexe industriel comportant 14 bâtiments, dont 6 consacrés à la recherche et au développement, une usine de fabrique d'ampoules, une centrale de production électrique, une bibliothèque et plus de 5 000 employés sur le site.
Lors de la Première Guerre mondiale, Edison conçoit et fait fonctionner des usines chimiques et il est nommé président du comité consultatif de la marine américaine.
En 1930, âgé de 83 ans, il mène encore des tests sur 17 000 plantes pour produire de la gomme synthétique. La même année, il dépose son dernier brevet.
En 1931, à l'âge de 84 ans, alors qu'il poursuit inlassablement ses travaux, il meurt sur son site de West Orange.
Vie de famille
Le 25 décembre 1871, il épouse Mary Stilwell (6 septembre 1855 - 9 août 1884), une des employées de son laboratoire, âgée de quinze ans, qui décède prématurément à l'âge de 28 ans, laissant Thomas veuf avec trois enfants : Marion Estelle Edison (18 février 1872 – 16 avril 1965, à 93 ans), Thomas Alva Edison Jr. (10 janvier 1876 – 25 août 1935, à 59 ans) et William Leslie Edison (26 octobre 1878 – 10 janvier 1935, à 57 ans).
Il se remarie à Mina Miller (1866-1947) en 1886, avec qui il aura trois autres enfants : Madeleine Edison (31 mai 1888–1979), Charles Edison (3 août 1890-1969), 42e gouverneur du New Jersey (1941-1944), et Theodore Miller Edison (10 juillet 1898 – 25 novembre 1992, à 94 ans).
Dans les dernières années de sa vie, il fait la connaissance d'Aimée de Heeren, jeune Brésilienne de grande beauté, à qui il offre de somptueux bijoux.
Travailleur acharné, Edison se concentre tellement sur ses travaux qu'il ne passe que peu de temps auprès de sa famille. Il évite la plupart des situations sociales, d'autant que sa surdité lui évite les bavardages. Sa détermination et son esprit procédurier sont souvent vécus comme tyranniques par ses employés et son entourage
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En 1878
En tout, Thomas Edison dépose de 1868 à 1930, soit pendant 62 ans, 1 093 brevets qui lui sont accordés. De plus, entre 500 et 600 demandes ont été refusées ou abandonnées. Au plus fort de son activité créatrice en 1882, 106 brevets lui sont accordés, dans le domaine de l'électricité ou de la lumière. Sa société emploie plus de 35 000 personnes dans un « empire industriel » qui est fondé sur l'utilisation de l'électricité dans le monde entier.
1866 : un télégraphe « transmetteur-receveur duplex automatique de code morse »
1868 : une machine de comptage automatique de vote (non retenue par le Congrès des États-Unis)
1869 : un télégraphe multiplexé automatique (Stock Ticker)
1874 : un téléscripteur qui imprime à haute-vitesse
1876 : un microphone pour les téléphones sur lesquels le brevet a été déposé par Alexandre Graham Bell peu avant la demande personnelle d'Édison
1877 : le phonographe, premier lecteur commercialisé de cylindres puis de disques
1879 : une lampe à incandescence (amélioration de l'invention de Joseph Swan). Par exemple : dans le commerce une lampe de type E 27 fait référence à Edison, le culot est de 27 mm de diamètre
1879 : l'effet Edison qui est la mise en évidence de l'émission d'électrons redécouverte à partir d'un filament chauffé (prémices de l'électronique à lampes)
1882 : une centrale électrique à courant continu pour 1 200 lampes, distribution en réseau à (très) faible portée et à faible danger pour l'homme
1891 : la première caméra de prise de vues cinématographique, le kinétographe, utilisant d'abord une pellicule au format de 19 mm de large à défilement horizontal et photogrammes circulaires (Dickson Greeting)
1891 : le format 35 mm à défilement vertical et photogrammes rectangulaires, doté de 2 jeux de 4 perforations par photogramme, pour remplacer le format précédent, devenu en 1906 le format standard mondial encore utilisé de nos jours
1893 : le premier studio de production de films, surnommé la Black Maria (le mot anglais film est utilisé dans ce sens la première fois par Edison)
1893 : les « Kinetoscope Parlors » (premières salles où l'on peut visionner des films différents contenus dans des coffres équipés d'un œilleton qui permet de voir en transparence la pellicule animée éclairée par une ampoule, grossie par un jeu de loupes)
1895 : une lampe fluorescente à partir d'un tube à rayon X
1903 : le Home Projecting Kinetoscope (un appareil de projection de films destiné aux amateurs, utilisant une pellicule de 22 mm de large comportant par économie 3 films côte à côte
1915 : un accumulateur nickel-fer alcalin
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Ronald Wilson Reagan /ˈɹɑnəld ˈɹeɪgain ».">ɡən/, né le 6 février 1911 à Tampico (Illinois) et mort le 5 juin 2004 à Los Angeles, est un acteur et homme d'État américain, président des États-Unis du 20 janvier 1981 au 20 janvier 1989.
Élevé à Dixon dans l'Illinois, Reagan effectue ses études à l'Eureka College, dont il sort avec une licence en économie et en sociologie. Il déménage ensuite dans l'Iowa pour travailler en tant qu'animateur de radio, puis en 1937 à Los Angeles, où il commence une carrière d'acteur au cinéma puis à la télévision. Knute Rockne, All American, Crimes sans châtiment et Bedtime for Bonzo figurent parmi ses films les plus notables. Président de la Screen Actors Guild puis porte-parole pour General Electric, il entre en politique.
Initialement membre du Parti démocrate, il s'oriente vers la droite à la fin des années 1950 et rallie le Parti républicain en 1962. Après un discours enthousiaste en faveur de la candidature présidentielle de Barry Goldwater en 1964, il est persuadé de se présenter au poste de gouverneur de Californie ; il y est élu en 1966 et à nouveau en 1970. Il tente en vain d'obtenir la nomination républicaine pour les élections présidentielles de 1968 et de 1976. Il est finalement désigné en 1980 et remporte l'élection présidentielle face au président sortant, le démocrate Jimmy Carter.
En tant que chef de l'État américain, Reagan met en place une politique de l'offre, surnommée Reaganomics, qui repose essentiellement sur un contrôle de la monnaie, visant à réduire l'inflation, et sur une réduction des dépenses fédérales non liées à la défense. Au cours de son premier mandat, il subit la crise américaine de 1982, échappe à une tentative d'assassinat, adopte une ligne dure face aux syndicats et ordonne l'invasion de la Grenade. Il est réélu à une écrasante majorité en 1984.
Son second mandat présidentiel est principalement marqué par les affaires étrangères comme la fin de la Guerre froide, le bombardement de la Libye en 1986 et la révélation de l'affaire Iran-Contra. Décrivant publiquement l'Union soviétique comme un « Empire du mal », il soutient les mouvements anticommunistes dans le monde entier et renonce à la politique de détente en augmentant massivement les dépenses militaires et en relançant une course aux armements avec l'Union soviétique. Reagan négocie néanmoins avec le dirigeant soviétique, Mikhaïl Gorbatchev, pour réduire les arsenaux nucléaires par l'intermédiaire du traité INF.
En 1994, cinq ans après la fin de sa présidence, il révèle qu'il est atteint de la maladie d'Alzheimer. Il meurt dix ans plus tard, à l'âge de 93 ans. Il est crédité de la renaissance idéologique de la droite américaine.
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George Herbert Walker Bush /d͡ʒɔɹd͡ʒ ˈhɝbɚt wɔkɚ bʊʃ/, né le 12 juin 1924 à Milton (Massachusetts) et mort le 30 novembre 2018 à Houston (Texas), est un homme d'État américain. Membre du Parti républicain, il est vice-président des États-Unis de 1981 à 1989 et président du pays de 1989 à 1993.
Élu à la Chambre des représentants des États-Unis pour le Texas en 1966, il est nommé ambassadeur américain aux Nations unies en 1971 par le président Richard Nixon. Il est par la suite chef de liaison en Chine populaire, puis est promu directeur de la CIA en 1976.
Il se présente aux primaires présidentielles du Parti républicain américain de 1980, où il est battu par Ronald Reagan. Mais celui-ci le prend comme colistier aux élections présidentielles de 1980 et 1984, ce qui permet à George Bush d'être vice-président des États-Unis de 1981 à 1989.
Après avoir défait le démocrate Michael Dukakis à l'élection présidentielle de 1988, il succède à Ronald Reagan à la présidence. Son mandat est marqué par son implication en matière de politique étrangère — principalement avec la guerre du Golfe — et par une mauvaise situation économique. Candidat à sa réélection lors de l'élection présidentielle de 1992, il est battu par Bill Clinton.
Patriarche de la famille Bush, il voit son fils George W. Bush devenir en 2001 président des États-Unis.
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William Jefferson Clinton (de son nom de naissance William Jefferson Blythe III), dit Bill Clinton [bɪl ˈklɪntən], né le 19 août 1946 à Hope (Arkansas), est un juriste et homme d'État américain, 42e président des États-Unis en fonction de 1993 à 2001.
Membre du Parti démocrate, il est procureur général d'État en Arkansas de 1977 à 1979 puis gouverneur de 1979 à 1981 ainsi que de 1983 à 1992. Il est marié avec Hillary Rodham, future secrétaire d'État des États-Unis, en 1975, qu'il avait rencontrée pendant ses études à Yale.
Son mandat à la Maison-Blanche est marqué par la plus longue période d'expansion économique en temps de paix de l'histoire moderne américaine, par la ratification de l'ALENA (Accord de libre échange nord-américain), par l'intervention de l'armée américaine en Haïti, par les accords d'Oslo, par l'intervention des troupes de l'OTAN dans les guerres de Yougoslavie, par le premier attentat contre le World Trade Center à New York (1993) et par les attentats contre les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie. Il est aussi ponctué d'un certain nombre d'affaires comme le scandale du Whitewater et celui de l'affaire Lewinsky, qui lui vaut d'être l'objet devant le Congrès d'une procédure d'impeachment qui n'aboutit pas. Symbole des Nouveaux démocrates, il est ouvert à la déréglementation dans les secteurs de l'agriculture et des télécommunications. Sa présidence s'est déroulée avec un Congrès dominé par les démocrates puis les républicains à partir de 1995.
Le 19 mai 2009, il est nommé émissaire spécial de l'ONU pour Haïti par le secrétaire général Ban Ki-moon. Depuis 1997, il dirige en outre la Fondation Clinton.
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John Fitzgerald Kennedy /d͡ʒɑn fɪtsˈd͡ʒɛɹəld ˈkɛnədi/, dit Jack Kennedy, communément appelé John Kennedy et par ses initiales JFK, né le 29 mai 1917 à Brookline (Massachusetts) et mort assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas (Texas), est un homme d'État américain, 35e président des États-Unis. Entré en fonction le 20 janvier 1961, il est, à 43 ans, le plus jeune président élu des États-Unis, et également le plus jeune président à mourir, moins de trois ans après son entrée à la Maison-Blanche, à l'âge de 46 ans. En outre, il est le premier président américain de religion catholique.
Il laisse son empreinte dans l'histoire des États-Unis par sa gestion de la crise des missiles de Cuba, son autorisation du débarquement de la baie des Cochons, son engagement pour le traité d'interdiction partielle des essais nucléaires, le programme Apollo dans le cadre de la course à l'espace, son opposition à la construction du mur de Berlin, sa politique d'égalité des sexes et son assassinat. Ses prises de position en faveur de l'accord général sur les tarifs douaniers et le commerce lui valent d'être respecté jusque chez les républicains, et le mouvement afro-américain des droits civiques — qu'il soutient, voulant mieux intégrer les minorités dans la société — qui prend place durant sa présidence annonce la déségrégation.
En campagne pour sa réélection, il circule dans Dallas le 22 novembre 1963 à bord d'un véhicule découvert devant un nombreux public et alors qu'il traverse Dealey Plaza, des coups de feu l'atteignent mortellement. Les circonstances de son assassinat par Lee Harvey Oswald, seul coupable reconnu, ont donné lieu à de nombreuses enquêtes, ouvrages écrits et filmés, interprétations et théories du complot au fil des décennies ayant suivi son assassinat.
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M60 Patton IV
Le char M60 Patton est le tout premier char de combat américain. Développé à partir du char M48 A2, il fut massivement utilisé durant la guerre froide par les États-Unis et leurs alliés (en particulier ceux de l'OTAN) et reste encore largement utilisé aujourd'hui, bien qu'il ait été remplacé aux États-Unis par le M1 Abrams.
Étudié à partir de 1956, il le M60 équipa les unités de l'US Army en Europe à partir de décembre 1960 sous l'appellation 105 mm Gun Full Tracked Combat Tank (l'appellation 105mm gun main battle tank M60 ne fut jamais standardisée). Ce fut le dernier d'une lignée de chars dénommés Patton commencée avec le char M46
À partir du mois d'octobre 1962, l'United States Army recevait les premiers M60A1, possédant, entre autres, une nouvelle tourelle, plus profilée à la protection balistique renforcée. Objet de multiples améliorations, la dernière version, M60A3, mise en service en 1978, a été produite jusqu'en 1983. Toutes variantes confondues, environ 15 000 exemplaires ont été construits, avec un pic à 1 240 unités par an.
Son châssis a servi de base à plusieurs véhicules, notamment pour le génie.
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William Frederick Cody dit Buffalo Bill (né le 26 février 1846 à Le Claire dans le territoire de l'Iowa - mort le 10 janvier 1917 à Denver dans le Colorado) est une figure mythique de la conquête de l'Ouest. Il fut notamment chasseur de bisons et dirigea une troupe théâtrale populaire
Son père, Isaac Cody, est originaire de la région de Toronto au Canada, tandis que sa mère Mary Ann Bonsell Laycock est native du New Jersey, non loin de Philadelphie.
En 1853, Isaac Cody vend sa propriété du comté de Scott dans l'Iowa pour 2 000 $ et la famille déménage à Fort Leavenworth dans le Kansas. Antiesclavagiste notoire, Isaac est blessé par ses adversaires après un discours lors des événements qui précèdent la guerre de Sécession. Il finit par en mourir en 1857.
Le jeune William Frederick Cody est soldat pendant la guerre. Après une vie aventureuse, commencée à quatorze ans, où il participe aux guerres indiennes en tant qu’éclaireur et au développement du Pony Express, il entre dans la légende grâce à l’écrivain Ned Buntline (en) qui raconte ses aventures. Son nom en langue indienne sioux était « Pahaska » (traduction : cheveux longs)
Son surnom provient du fait qu’il fournissait en viande de bison (buffalo en anglais) les employés des chemins de fer Kansas Pacific Railway et qu’il gagna un duel contre Bill Comstock en tuant 69 bisons contre 48 en une journée. Ils furent juste abattus pour le prestige des chasseurs.
Les bisons consommés, par ailleurs, ne furent dépecés que de leurs flancs n'étant pas en contact avec le sol, évitant ainsi aux chasseurs de se fatiguer à les retourner
De 1882 à 1912, il organise et dirige un spectacle populaire : le Buffalo Bill’s Wild West Show. Une tournée le conduit lui et sa troupe dans toute l’Amérique du Nord et en Europe. En 1889, il passe en France par Paris, Lyon et Marseille et rencontre à cette occasion la peintre Rosa Bonheur qui fera son portrait. Sitting Bull participe au Wild West Show en 1885 aux États-Unis et au Canada mais n’est pas autorisé à se rendre en Europe.
En 1905 lors d'une tournée qui a lieu dans plus de cent villes françaises, le spectacle connaît un important succès à Paris ; le peintre Maximilien Luce (1858-1941) consacre une série au cirque de Buffalo Bill qui se produit à l'Hippodrome, au bas de la rue Caulaincourt ; le cow-boy habite alors à l'hôtel Terrass. La cavalerie de sa troupe participe, de façon remarquée, au grand cortège du Carnaval de Paris, sorti pour la Mi-Carême. Le spectacle sera présenté au pied de la tour Eiffel et attirera trois millions de spectateurs.
C’était un spectacle étonnant pour l’époque, destiné à recréer l’atmosphère de l’Ouest américain dans toute son authenticité. Les scènes de la vie des pionniers illustraient des thèmes tels que la chasse au bison, le Pony Express, l’attaque d’une diligence et de la cabane d’un pionnier par les Indiens, la présence de vrais Indiens constituant le clou du spectacle.
Pour des millions d’Américains et d’Européens commença alors le grand mythe du Far West qui ne s’éteindra plus et que le cinéma, avec ses figures mythiques des géants de l’Ouest, contribuera à développer.
Buffalo Bill a été une des personnes de son époque les plus photographiées. Il est une des rares personnes ayant reçu la Medal of Honor.
Son plus célèbre cheval est un cheval blanc nommé Isham.
Le chapeau stetson, le bandana et la chemise du cow-boy ont été popularisés par Buffalo Bill alors que tous les cow-boys n'en portaient pas. La majorité d'entre eux portaient un sombrero, moins chaud et beaucoup moins cher que le stetson.
Les grandes coiffes amérindiennes faites de dizaines de plumes n'étaient utilisées que dans quelques tribus et seulement lors de grandes et rares occasions. La plupart du temps, les Amérindiens ne portaient que des coiffes de quelques plumes. C'est le spectacle de Buffalo Bill qui a fait entrer les grandes coiffes dans l'imaginaire collectif.
La ville de Cody
La ville de Cody au nord-ouest du Wyoming, proche du parc national de Yellowstone a été fondée par Buffalo Bill Cody.
Il y construisit en 1904 un lodge nommé Pahaska Tepee pour y accueillir les visiteurs du parc. En 2011, ce lodge reçoit des touristes tout au long de l'année, le lodge ancien existe toujours mais ne se visite pas.
La légende de Buffalo Bill constitue un atout touristique. Un rodéo a lieu chaque soir de l'été. Un musée, le Buffalo Bill Historical Center, présente les Indiens des plaines, la faune et la flore de la région, des peintres américains, des armes à feu et une des cinq sections du musée est entièrement consacrée à l'histoire de Buffalo Bill et sa famille avec notamment une collection de souvenirs du mondialement célèbre Wild West Show. C'est le plus grand espace culturel entre Minneapolis et la côte Ouest.
Filmographie
Le premier film montrant des Indiens d'Amérique est un film pour kinétoscope datant de 1894 et montre des Indiens du Buffalo Bill’s Wild West Show exécutant une danse. Le premier film montrant un cow-boy est également pour kinétoscope et de 1894 et ce cow-boy est également acteur au Buffalo Bill’s Wild West, il exécute un rodéo.
1897 : Buffalo Bill and Escort
1898 : Indian War Council
1900 : Buffalo Bill's Wild West Show
1900 : Buffalo Bill's Wild West Parade
1900 : Buffalo Bill's Show Parade
1900 : Buffalo Bill's Wild West Parade
1901 : Buffalo Bill's Wild West Parade
1902 : Buffalo Bill's Wild West Show
1903 : Buffalo Bill's Parade
1910 : Buffalo Bill's Wild West and Pawnee Bill's Far East
1914 : The Adventures of Buffalo Bill
1909 : Les Aventures de Buffalo Bill
1914 : The Adventures of Buffalo Bill
1914 : The Indian Wars
Inspirations
Un spectacle équestre permanent est donné en l’honneur des exploits de cet as de la gâchette depuis 1992 dans le Disney Village de Disneyland Paris. La troupe de ce spectacle participa au cortège du Carnaval de Paris, en 1999.
Le personnage de Buffalo Bill a été incarné dans au moins 47 films de cinéma.
1894 : Buffalo Bill
1917 : The Adventures of Buffalo Bill
1926 : Fighting with Buffalo Bill de Ray Taylor
1931 : Battling with Buffalo Bill de Ray Taylor
1936 : Une aventure de Buffalo Bill (The Plainsman) de Cecil B. de Mille
1944 : Buffalo Bill de William A. Wellman, avec Joel McCrea et Maureen O'Hara
1947 : Buffalo Bill Rides Again, Le Retour de Buffalo Bill de Bernard B. Ray
1952 : Buffalo Bill in Tomahawk Territory de Bernard B. Ray
1953 : Le Triomphe de Buffalo Bill (Pony Express) de Jerry Hopper, sous les traits de Charlton Heston
1965 : Buffalo Bill, le héros du Far West (Buffalo Bill, l'eroe del far west) de Mario Costa
1966 : The Plainsman, Les Fusils du Far-West de David Lowell Rich
1974 : Touche pas à la femme blanche de Marco Ferreri
1976 : Buffalo Bill et les Indiens (Buffalo Bill and the Indians, or Sitting Bull's History Lesson) de Robert Altman
2004 : Hidalgo de J. K. Simmons
Dans l'épisode "Pour l'Amour de Blanche" de la saison 9 de la petite Maison dans la prairie, Isaiah Edwards recueille un Orang Outan après avoir rencontré un étrange individu du nom de Buffalo Bill qui décèdera peu de temps après.
2008 : 1910. Buffalo Bill documentaire, série Mystères d'archives, Arte, première diffusion 10 juillet 2009
2012 : Buffalo Bill et la Conquête de l'Est, Vincent Froehly, Arte, documentaire sur l'histoire du Wild West et le début de l'américanisation de l'Europe
Rosa Bonheur et Buffalo Bill, une amitié admirable, de Natacha Henry, aux éditions Robert Laffont, 2019
Tristesse de la terre : Une histoire de Buffalo Bill Cody d'Éric Vuillard, aux éditions Actes Sud
Dans le roman, Le Silence des agneaux, le tueur en série est surnommé Buffalo Bill
Génération Buffalo Bill: L'Ouest Américain Passionnément par Gérard Crouzier et Gino Tognolli, aux éditions Vent d'Est
La chaîne de restaurants française Buffalo Grill tire son nom d'une paronomase avec Buffalo Bill.
Le Français René Giffey a fait de Buffalo Bill un cow-boy humaniste dans sa série homonyme au long cours publiée de 1946 à 1960.
Dans la série Lucky Luke, Buffalo Bill fait de temps en temps des apparitions, et il y est curieusement représenté comme souffrant de dyslalie .
Dans la série Chick Bill, Buffalo Bill apparaît une fois, représenté en petit trappeur vieillissant, écrivant ses mémoires et ayant quelques problèmes orthographiques.
Dans la série La Jeunesse de Picsou, Buffalo Bill apparait au cours de l'épisode 6 bis, Le Protecteur de Pizen Bluff, représenté en acteur vieillissant et quelque peu dépassé par l'action.
Dans la série Mickey à travers les siècles, Mickey rencontre William Frederick Cody avant même qu'il ne soit surnommé Buffalo Bill. Histoire complète dans le journal de Mickey numéros 1312 à 1326.
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La « guerre contre la pauvreté » est proclamée par le président des États-Unis Lyndon Johnson lors de son discours sur l'état de l'Union du 8 janvier 1964. Johnson reprend alors à son compte l’objectif défini dix ans auparavant par Ida Merriam, une chercheuse qui travaillait depuis 1963 au Bureau des recherches et statistiques (Office of Research and Statistics, ORS) et qui avait commencé sa carrière dans l'Administration de la sécurité sociale créée sous Roosevelt : vaincre la pauvreté au moyen d’une politique nationale résolue.
Johnson propose alors un ensemble de mesures législatives pour lutter contre la pauvreté, qui touchait, selon les estimations, environ 19 % de la population. Le discours sur l'état de l'Union fut suivi du vote, par le Congrès, de l'Economic Opportunity Act, une loi qui établissait le Office of Economic Opportunity (en) (OEO, Bureau des opportunités économiques) afin d'administrer les applications locales des fonds fédéraux ciblant la pauvreté, ainsi que la loi sur la sécurité sociale de 1965 (Social Security Act de 1965) qui crée le Medicare puis le Medicaid.
Cette politique johnsonienne, qui visait à étendre le rôle de l'État fédéral dans ses rôles sociaux, de l'éducation à la sécurité sociale, faisait partie de son programme d'une Grande Société, et poursuivait les objectifs du New Deal de Roosevelt et de ses discours sur les Quatre Libertés.
Après les années 1960, la « guerre contre la pauvreté » perdit de sa popularité, essuyant les critiques croissantes contre l'État-providence, les mesures de dérégulation et des mesures, votées dans les années 1980 et 1990, visant à réduire l'aide fédérale apportée aux pauvres, mesures qui culminent avec le Personal Responsibility and Work Opportunity Reconciliation Act d'août 1996, qui, selon le président Bill Clinton, « met fin à l'assistance telle que nous la connaissons » (« […] this legislation provides an historic opportunity to end welfare as we know it and transform our broken welfare system by promoting the fundamental values of work, responsibility, and family. »).
L'héritage de la guerre contre la pauvreté reste sensible cependant dans l'existence de programmes fédéraux tels que Head Start ou Job Corps.
Une « guerre » ?
L'expression de « guerre contre la pauvreté » n'est pas neutre : elle vise à remobiliser les énergies de la nation autour d'un projet commun, ou encore à « dramatiser le contrat social » (Pierre Rosanvallon, 19953). Rappelant en effet comment l'État-Providence s'est historiquement construit à la faveur de crises sociales et d'élan patriotique provoquées par les deux guerres mondiales, et faisant directement allusion aux réformes de Johnson, entre autres, Pierre Rosanvallon cite ainsi Michael Walzer : « Les défenseurs de l'État-providence cherchent à institutionnaliser et à perpétuer le sens de l'entraide qui apparaît dans une crise collective, l'esprit de mutualité qui se manifeste entre citoyens confrontés à une inondation, un ouragan ou même une attaque ennemie. ».
Initiatives majeures
Economic Opportunity Act de 1964 (en) -- 20 août 1964
Social Security Act de 1965 -- 30 juillet 1965 qui crée le Medicare et Medicaid
Le Bureau des opportunités économiques (OEO), fondé en 1964, était l'agence fédérale chargée de l'administration de la plupart des programmes créés sous Johnson, dont les programmes Volunteers in Service to America (VISTA), Job Corps (en), Head Start, aide légale et le Community Action Program. Dirigé successivement par Sargent Shriver, Bertrand Harding et Donald Rumsfeld, le OEO devint rapidement la cible des critiques, à la fois de gauche et de droite, contre le programme de « guerre contre la pauvreté ».
Le projet Head Start, lancé à l'été 1965, ciblait les très jeunes enfants de familles pauvres. Il a été ensuite transféré, en 1969, sous Nixon, à l'Office of Child Development (Bureau du développement de l'enfant), qui dépend du département de la Santé, de l'Éducation et du Bien-être (Department of Health, Education and Welfare, aujourd'hui HHS, département de la Santé et des Services sociaux).
Un second projet, visant les enfants, a été lancé en 1967 : le projet Follow Through a été la plus grande expérience éducative jamais instruite aux États-Unis.
Ces politiques ont permis à plus de deux millions de jeunes d'acquérir les compétences nécessaires à leur indépendance économique. Job Corps continue, aujourd'hui, d'aider 70 000 jeunes par an à travers 122 centres Job Corps dispersés dans le pays. Job Corps permet aussi d'acquérir des diplômes de high school afin de pouvoir entrer à l'université.
Résultats et héritage
Dans la décennie qui suivit le discours sur l'état de l'Union de janvier 1964, les taux de pauvreté décrurent à leur plus bas niveau, 11,1 %. Ils sont restés depuis entre 11 et 15,2 %, alors que la moyenne était auparavant entre 20 et 25 %.
La pauvreté parmi les Américains âgés de 18 à 64 ans n'a baissé que marginalement depuis 1966, de 10,5 % à 10,1 % aujourd'hui. Mais elle a baissé de 23 % (en 1964) à 16,3 % aujourd'hui pour les moins de 18 ans, et de 28,5 % (en 1966) à 10,1 % aujourd'hui pour les plus de 65 ans.
L'OEA a été démantelé par Nixon en 1973, bien que la plupart de ses programmes ont été transférés à d'autres agences fédérales.
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Le 767-300F, la version cargo du 767-300ER, entre en service en 1995 avec UPS Airlines. Le 767-300F peut emporter 24 palettes standards de 2,2 × 3,2 m sur son pont principal et plus de 30 conteneurs LD2 sur le pont inférieur, pour un volume cargo total de 438 m3. L'avion cargo dispose d'une porte cargo et de sortie pour l'équipage sur le pont principal, tandis que le pont inférieur comporte deux portes cargo sur le côté gauche et une sur le côté droit. Une version générale avec un système de manutention de marchandises, une capacité de réfrigération et des aménagements pour l'équipage est livrée à Asiana Airlines le 23 août 1996. En mars 2020, les livraisons de 767-300F affichent 174 appareils et 51 commandes en attente de livraison.
En juillet 2008, All Nippon Airways prend livraison du premier 767-300BCF (Boeing Converted Freighter), un modèle de transport de passagers converti en transport de fret. Le travail de conversion est réalisé à Singapour par ST Aerospace Services, le premier fournisseur qui offre un programme 767-300BCF, et comprend l'ajout d'une porte cargo sur le pont principal, dont le plancher est d'ailleurs renforcé, et un équipement de surveillance du fret pendant le vol. Dès lors, Boeing, Israel Aerospace Industries et Wagner Aeronautical ont également proposé des programmes de conversion d'avions passagers en avions cargo pour les 767-300. En juillet 2019, les compagnies utilisent 254 exemplaires des versions 300F et 300BCF
Liens externes | ||||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Boeing_767#767-300 | ||||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | ||||||||||||||||||||||||||||
·Monde : Etats Unis 1900 à 1999 | ||||||||||||||||||||||||||||
Boeing B-29 Superfortress | ||||||||||||||||||||||||||||
Boeing B-29 Superfortress | ||||||||||||||||||||||||||||
Boeing 307 | ||||||||||||||||||||||||||||
Boeing 767-300F | ||||||||||||||||||||||||||||
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