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Monde : Allemagne

A7V

A7V

 

Le Sturmpanzerwagen A7V (véhicule d'assaut blindé) est un char d'assaut allemand, le seul à avoir été développé et déployé par l'armée allemande au cours de la Première Guerre mondiale. Il ne fut produit qu'à 20 exemplaires, dont le premier fut livré le 1er octobre 1917. Le haut commandement allemand ne croyant pas à l'utilité du char d'assaut, sa fabrication ne fut pas prioritaire ; ainsi, parmi les chars utilisés par l’Allemagne pendant la guerre, les chars britanniques capturés, appelés Beutepanzer, furent plus nombreux que les A7V.

 

Histoire

Contexte

Comme dans les autres nations européennes, des expérimentations sur les véhicules blindés sont réalisées dans l’Empire allemand dès le début des années 1900. Il s’agit toutefois d’initiatives privées, dont aucune n’aboutit, en partie du fait que l’armée impériale ne montre aucun intérêt pour ces véhicules, qu’ils soient à roues ou à chenilles. Ce n’est que lorsque leurs troupes sont confrontées à des automitrailleuses en 1914 que les généraux allemands commencent à réfléchir à la question.

Plusieurs programmes sont lancés, mais l’armée allemande est handicapée par son important retard dans ce domaine. Les premiers prototypes d’automitrailleuses ne sont ainsi testés qu’en mars 1916, seulement quelques mois avant que les Britanniques utilisent pour la première fois le tank Mark I, pendant la bataille de la Somme. L’état-major allemand prend conscience de l’ampleur de la menace, mais la propulsion chenillée est un domaine dans lequel les seules expérimentations allemandes effectuées se limitent à remplacer les roues d’une automitrailleuse par des boggies chenillés.

Développement

Le 30 octobre 1916, la Verkehrstechnische Prüfungskommission (VPK, « commission d’examen des transports motorisés ») organise une grande conférence réunissant les militaires et les représentants de l’industrie automobile et de l’industrie de l’armement afin de discuter des tanks et des moyens d’en produire. Cette conférence est dans l’ensemble un échec : les industriels, qui se sont vu assigner d’autres priorités de production par le plan Hindenburg, se montrent peu pressés de s’encombrer de projets supplémentaires et dont l’issue est incertaine.

Le chef du VPK, le général Friedrich, monte néanmoins au sein de l’Abteilung 7. Verkehrswesen (« 7e département de transport ») un comité composé de représentants de l’industrie automobile dirigé par l’ingénieur Joseph Vollmer. Le comité est chargé en novembre 1916 de développer un véhicule de combat blindé dont le nom de code est A7V, du nom du département. Le travail du comité est néanmoins compliqué par les exigences excessives de l’Oberste Heeresleitung (OHL, « commandement suprême de l’armée de terre »), qui veut que le châssis puisse à la fois servir pour un véhicule de combat et pour un véhicule utilitaire.

Les plans du véhicule sont prêts en décembre 1916, et il alors prévu de terminer le premier prototype en mai 1917 ; mais le VPK n’attend pas celui-ci pour commander cent exemplaires. Ce planning se révèle rapidement trop optimiste alors que l’industrie allemande est déjà fortement en tension et que l’A7V n'est pas considéré comme prioritaire par l’OHL. Dès le 20 janvier 1917, la commande est revue à dix exemplaires ; le projet n’avance que lentement, en raison à la fois de l’absence de ressources allouées et des demandes toujours plus extravagantes de l’OHL. Ainsi, vers la mi-janvier, alors que la construction du prototype est déjà bien avancée, l’état-major exige que le blindage soit augmenté afin de résister au tir des canons de campagne. La masse supplémentaire dépassant les limites du châssis, Joseph Vollmer obtient de n’augmenter la protection qu’à l’avant, avec toutefois pour conséquence de dégrader considérablement les performances et la fiabilité du fait de l’excès de poids sur l’avant.

Le châssis est présenté le 30 avril 1917 au général Friedrich et au ministre de la guerre, Hermann von Stein. Ce dernier déclare que le véhicule lui semble inapte pour mener des offensives du fait de ses difficultés à négocier les virages. Une seconde présentation le 14 mai, devant des membres de l’OHL, se passe mieux, et dix exemplaires supplémentaires sont commandés.

Production

Le programme restant classé en basse priorité, il est difficile d’obtenir les matériaux nécessaires, en particulier les plaques de blindage. Le retard s’accroît encore lorsque Ludendorff exige en septembre que le véhicule reprenne la forme des chars britanniques, ce qui nécessite de concevoir en parallèle un nouveau véhicule. Par conséquent, les premiers châssis ne sont disponibles qu’en septembre 1917 et le premier A7V ne sort des usines qu’à la fin du mois d’octobre. La production accélère ensuite et quarante exemplaires sont disponibles à la fin du mois de novembre.

Afin de faciliter la production, celle-ci est divisée à partir de décembre 1917 entre plusieurs entreprises. À Marienfelde sont produits les châssis chez Brass & Herstett et les moteurs chez Daimler, tandis que les boîtes de vitesses sont fabriquées à Francfort-sur-le-Main par Adlerwerke, les chenilles par Caterpillar-Holt à Budapest et les radiateurs à Oberursel chez le constructeur du même nom. La production du blindage est partagée entre l’usine Krupp d’Essen et celle de Röchling à Dillinger Hütte. L’assemblage final doit être réalisé par Daimler après que les entreprises Büssing AG et Loeb aient refusées de le faire.

Histoire opérationnelle

Organisation

Les premières unités d’A7V sont mises en place avec la création le 29 septembre 1917 de deux Sturmpanzerkraftwagen Abteilungen (« détachement de véhicules blindés d’assaut »), rattachés à la branche du transport motorisé. Deux autres sont créés le 6 novembre, bien que le quatrième, supposé servir de réserve, ne dépassera jamais le stade du papier, faute de chars disponibles. Chaque détachement comprend cinq chars, deux voitures, huit camions, une motocyclette et une cuisine de campagne, pour un total de cent soixante-dix hommes placés sous les ordres d’un capitaine.

À l’inverse des Britanniques, les Allemands n’utilisent pas de tactiques d’armes combinées : les chars et l’infanterie n’évoluent pas ensemble et le commandement préfère même décourager cette pratique afin d’éviter aux soldats d’être touchés par les tirs visant les blindés.

Combat

Le 21 mars 1918 des A7V furent engagés pour la première fois à la bataille de Saint-Quentin. Le 24 avril, trois unités furent engagées à Villers-Bretonneux où elles se heurtèrent à des Mark IV de la British Army dans ce qui fut le premier affrontement entre chars de combat. L'un des véhicules se renversa et fut récupéré par les troupes françaises, ce qui permit d'en connaître les points faibles.

Le 15 juillet 1918, sept A7V participèrent à une attaque contre les lignes françaises, sans pertes. Le 8 octobre suivant enfin, onze A7V se heurtèrent aux Mark IV du 12e bataillon britannique.

Le 21 octobre, les trois unités de A7V ainsi que les unités blindés composées de chars de prise (Beutepanzer) furent transférées en Allemagne, à Erbenheim, où elles furent dissoutes le 17 novembre.

  Caractéristiques

Motricité

 

Ne pouvant produire le moteur de 200 hp prévu à l’origine, les Allemands se rabbatirent sur l’assemblage de deux moteurs Daimler 165-204 à quatre cylindres développant 100 hp chacun. L’ensemble moteur est installé dans un compartiment fermé au milieu du véhicule, mais les radiateurs nécessaires au refroidissement par eau se trouvent dans le compartiment de l’équipage. Deux réservoirs de 250 l chacun permettent de les alimenter avec un mélange d’essence et de benzène.

L’energie transite par une boîte de vitesses Adler à trois rapports avant de parvenir au train de roulement. Celui-ci, à l’instar du Saint-Chamond français, est basé sur le modèle Holt et compte de chaque côté trois bogies amortis par une suspension Caterpillar à ressorts hélicoïdaux. Chaque bogie comporte trois galets de roulement et deux galets de retour guidant les chenilles de quarante-huit maillons.

Protection

La qualité du blindage de l’A7V souffre considérablement de la faible priorité accordé au programme dans l’attribution des matériaux. L’acier de qualité balistique restant réservé à la production navale, le blindage du char doit être construit à partir de plaques en acier doux initialement destinées à la production de chaudières de locomotives. Le blindage résiste par conséquent mal aux projectiles : les plaques se fracturent et des fragments dangereux de métal se détachent de la face intérieure lors des impacts.

Armement

Armement principal

À l’origine, il est prévu de doter l’A7V de deux canons automatique Becker TuF de 20 mm. Il apparaît toutefois rapidement que ces canons ne sont pas suffisants pour pouvoir affronter d’autres chars. Ne disposant pas dans leur arsenal de canons adaptés en quantité suffisante, les Allemands se tournent vers le matériel qu’ils ont capturé et en particulier le canon Cockerill-Nordenfelt de 57 mm L/26,3 pris dans les forts belges. Cette arme est une copie d’une pièce pratiquement identique produite par l’entreprise Maxim-Nordenfelt (en), celle-ci équipant l’armée russe. Bien que la majorité des A7V soient équipés de la version Cockerill, certains reçoivent ainsi la version Maxim à la place.

Ce canon est utilisé avec trois types d’obus : explosif, perforant et à mitraille. L’obus explosif est le Sprenggranate mit Kopfzunder (« obus explosif avec fusée de nez »), qui comprend une charge de 0,16 kg de TNT pour une masse totale de 2,75 kg. La fusée est un modèle permettant de régler un retard et qui est légèrement différent de celles employées par l’artillerie afin de faciliter son réglage dans les confins d’un véhicule en mouvement. L’obus perforant est le KrGr 16 mit Panzerkopf, qui est en fait un simple obus explosif KrGr 15 sur lequel a été vissé une tête en acier pour améliorer la pénétration. L’obus de 3,1 kg comprend ainsi une charge explosive assez importante de 0,12 kg d’amatol. Certains de ces obus disposent également d’une charge à base de phosphore rouge, d’arsenic et de paraffine afin de générer davantage de fumée et pouvoir régler plus facilement le tir. Enfin le canon peut tirer des boîtes à mitraille comprenant cent-quatre-vingt-cinq billes de plomb de 16,2 g chacune pour un total de 3,6 kg.

Afin d’éviter la corrosion les projectiles sont généralement peints en noir. L’obus perforant se distingue par sa tête marron, tandis que l’obus explosif comporte une bande marron au sommet de l’obus et a sa fusée peinte en grise. Afin de permettre l’identification de la munition sans devoir la sortir complétement du casier, la base des douilles en laiton est également peinte. Officiellement, le char emporte cent quatre-vingt obus, mais la plupart du temps les équipages en embarquent bien plus, jusqu’à plus de trois cents dans certains cas. La répartition entre les différents types est variable selon les situations, mais les boîtes à mitraille constituent généralement au moins la moitié du stock, tandis que le reste est partagé à peu près équitablement entre obus explosifs et perforants.

 

Armement secondaire

 

Chaque mitrailleur stocke directement sous son siège ses munitions, à savoir dix boîtes contenant chacune une bande de deux cent cinquante cartouches.

 

Équipage

 

L’équipage est de dix-huit hommes : un chef de char, un conducteur, deux mécaniciens, un tireur et un chargeur pour le canon ainsi que six tireurs et autant de chargeurs pour les mitrailleuses. Le chef de char est généralement un lieutenant, sauf celui responsable de l’ensemble du détachement qui est capitaine. Seul le conducteur est également un officier, les autres postes étant occupés par des rangs subalternes. En plus de l’équipage normal, il est fréquent que les A7V embarquent jusqu’à huit hommes supplémentaires, qui servent à la fois de troupes d’assaut, d’estafettes et de main d’œuvre pour combler les tranchées et dégager les obstacles empêchant le char d’avancer.

Les équipages sont recrutés dans les autres unités sur la base du volontariat, les chef de char, conducteurs et mécaniciens étant le plus souvent issus du transport motorisé, les mitrailleurs de l’infanterie et les opérateurs du canon de l’artillerie.

L’équipage souffre souvent des conditions particulièrement pénibles qui règnent à l’intérieur du véhicule : il y fait sombre, le manque d’aération et la présence du moteur dans le compartiment de l’équipage a pour conséquence un air perpétuellement vicié par les fumées toxiques d’échappement et de la cordite, un bruit insupportable et une température pouvant atteindre 50°C. Afin d’y échapper, les hommes préfèrent généralement marcher à côté du char ou rester sur le toit dès que possible.

  Variantes

A7V-U

 

L’A7V-U, pour Umlaufendeketten (« chenilles périphériques »), trouve son origine dans le souhait formulée en avril 1917 par Ludendorff, qui, ayant entendu dire que les chars britanniques étaient performants en tout-terrain, voulu en copier la forme rhomboïde. Le VPK ne souhaitant pas s’engager dans cette voie, rien n’est entrepris avant que le souhait devienne un ordre le 1er septembre 1917. Le châssis numéro 524 est prélevé sur la production afin de construire un prototype, mais le développement avance lentement et le véhicule, baptisé « Hedi », n’est prêt qu’à la fin du mois de juin 1918. Entretemps, deux cent quarante exemplaires ont été commandés en avril, mais les résultats décevants des essais réalisés pendant l’été mettent fin au programme. Hedi est alors affectée à l’école de conduite de la Garde à Berlin puis est démantelé peu après l’armistice.

 

A7V Gelandwagen

 

Destiné au transport de matériel, le Gelandwagen utilise le même châssis que la version de combat, mais sans blindage et sans armement, remplacés par deux plateformes de part-et-d’autre du moteur. Il partage toutefois avec celle-ci le même manque de mobilité en tout-terrain assorti d’une consommation en carburant importante qui ne lui donnent que peu d’avantages par rapport à un transport plus classique par camion.

 

A7V Flakpanzer

 

Trois châssis ont été utilisés pour expérimenter le concept de défense antiaérienne mobile en 1918. Ces véhicules ont une forme similaire au Gelandwagen, avec un compartiment moteur au centre à l’avant et à l’arrière duquel se trouvent deux plateformes portant chacune un canon Modèle 1902 de 76,2 mm provenant des stocks de pièces prises à l’armée russe. L’affût n’est pas celui d’origine, mais est modifié afin de permettre le pointage à des angles élevés. Le principal inconvénient de ces canons se trouve être leurs munitions : les Allemands n’utilisant pas ce calibre et le tube étant trop fragile pour pouvoir être élargi, l’usage de ces pièces nécessita de produire spécialement des obus adaptés.

 

   
   
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Panther KF51

Publié à 22:40 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur merci place société air
Panther KF51

 

Le Panther KF51 (en allemand : Kettenfahrzeug, véhicule à chenille) est un prototype de char de combat conçu sur les fonds propres de la firme allemande Rheinmetall pour les marchés étrangers. Le char est dévoilé le 13 juin 2022 au salon international de la défense Eurosatory.

 

Caractéristiques techniques

 

Le Panther KF51 reprend une version modifiée du châssis du Leopard 2A4 : le râtelier à obus a été supprimé pour laisser place à un opérateur système prenant place à gauche du conducteur. La tourelle, biplace, est visuellement similaire à la tourelle du char léger Lynx 120 également conçu par Rheinmetall. Les différents rôles au sein du char peuvent être attribués à n'importe quel membre d'équipage grâce aux écrans multifonctions que l'on trouve à chaque poste.

 

Armement

Principal

 

Le Panther KF51 est armé d'un canon de 130 mm à âme lisse Rh-130 L52. Le canon est recouvert d'un carénage hexagonal partant du masque jusqu'à la hauteur de l'évacuateur de fumée. Ce carénage a un rôle de dissipateur thermique pour l'évacuateur de fumée.

Rheinmetall ayant perdu son savoir-faire en matière de système de chargement automatique (le dernier en date remonte à la fin des années 1960 sur le KPz-70), la société allemande s'est tournée vers un modèle existant conçu par un pays, non divulgué, situé en Asie du Sud. Non satisfait des délais retardant le transfert de technologie, Rheinmetall s'est tourné, à la mi-2017, vers une de ses filiales suisse ; Rheinmetall Air Defence (anciennement Oerlikon Contraves) qui a conçu de 2018 à 2019 un chargement automatique pour les munitions de 130 mm.

 

Le système de chargement automatique du Panther KF51 présenté à Eurosatory 2022 ne comprend qu'un unique barillet rotatif d'une contenance de dix obus, il est installé dans la partie droite de la nuque de la tourelle. Un deuxième barillet peut remplacer le module de mission (contenant les munitions rôdeuses) situé à gauche, faisant alors passer à vingt le nombre de munitions de 130 mm prêtes à l'emploi.

 

Dix obus supplémentaires de 130 mm peuvent être transportés à l'extérieur du char, ils sont alors montés à l'arrière de la caisse à la manière de bidons de carburant largables comme jadis. Cette disposition fut présentée sur l'AMX-40.

 

La partie gauche de la nuque de la tourelle peut renfermer un module de mission contenant un lanceur érectile quadruple pouvant déployer des munitions rôdeuses HERO 120. Conçues par la société israélienne UVision Air (en), ces munitions rôdeuses peuvent évoluer pendant 60 minutes sur le champ de bataille jusqu'à une distance de 60 km ; elles contiennent chacune une charge militaire de 4,5 kg.

 

Secondaire

 

Une mitrailleuse lourde M2 de 12,7 mm vient compléter l'armement principal ; elle est approvisionnée par une bande de 250 cartouches. Par rapport au 7,62, le calibre .50 possède une allonge supérieure et permet de traiter des blindés légers.

 

Un tourelleau téléopéré Natter 7.62 mm est installé tout à l'arrière de la nuque de la tourelle, il est armé d'une mitrailleuse MG5 A1 avec une importante dotation de (2 500 cartouches). Le viseur est stabilisé en site et en gisement, et intègre une caméra thermique SAPHIR ainsi qu'un télémètre laser. Le Natter est spécialement optimisé pour lutter contre les drones : la mitrailleuse peut être pointée en site jusqu'à un angle de 85° et le viseur intègre un système de suivi automatique des cibles.

 

Deux lanceurs verticaux de drones BärDrones sont montés près des lance-pots fumigènes. Ces petits drones ont une autonomie allant jusqu'à 30 minutes et contiennent chacun une charge militaire de 200 g.

 

Protection

Active

 

Les bords de la caisse et de la tourelle du Panther KF51 intègrent un système de protection active de type "hardkill" dénommé StrikeShield. Ce système représente la troisième génération du système AMAP-ADS développé par Rheinmetall, et il est capable de neutraliser des missiles antichars ainsi que des obus-flèche de gros calibre.

 

La protection contre les missiles antichars à attaque en survol ou plongeante sera assurée également par un système de protection active TAPS (Top Attack Protection System) de type "hardkill" conçu également par Rheinmetall.

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Panther_KF51

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Magirus-Deutz Jupiter

Publié à 18:18 par dessinsagogo55 Tags : sur histoire air création center centerblog merci
Magirus-Deutz Jupiter

Le Magirus-Deutz Jupiter est un camion de la gamme lourde "Rundhauber" du constructeur allemand Magirus-Deutz d'Ulm construit entre 1955 et 1967. Chaque modèle dont le PTAC varie de 3,5 à 40 tonnes est désigné par un nom de planète.

 

Cette nouvelle gamme de camions, baptisée "Rundhauber", est équipée de l'ancienne cabine à capot rond qui va être progressivement remplacée à partir de 1964 par une cabine à capot carré en même temps qu'une nouvelle désignation des modèles par un code numérique fonction du tonnage et non de la puissance du moteur. Excepté sur les châssis benne, la cabine peut sur option être rallongée avec une couchette.

La gamme "Rundhauber" se compose de 6 modèles :

Sirius - P.T.A.C. de 9,5 tonnes,

Mercur - P.T.A.C. de 9,5 à 12,0 t,

Saturn - version 4x2 : P.T.A.C. de 12,0 à 15,0 t, P.T.R.A. 29,0 t - version 6x4 : P.T.A.C. de 22,0 t, P.T.R.A. 35,0 t,

Jupiter - versions 4x2 et 4x4 P.T.A.C. de 14,8 t à 17,0 t, P.T.R.A. 35,0 t - version 6x4 et 6x6 P.T.A.C. de 22,0 t, P.T.R.A. 35,0 / 39,0 t,

Pluton - P.T.A.C. de 19,0 t, P.T.R.A. 40,0 t,

Uranus 6x6 - P.T.A.C. de 26,0 t, Tracteur Maxi-code pour convois exceptionnels et porte-chars.

La gamme a connu 2 séries, très semblables au niveau mécanique, châssis et motorisations, mais avec deux cabines très différentes. La 1ère série disposait de l'ancienne cabine très ronde des modèles lancés à partir de 1950 tandis que le seconde série bénéficia d'une cabine plus moderne très carrée.

Histoire

À cette époque, tous les constructeurs de poids lourds fabriquaient des véhicules destinés exclusivement à leur marché national. Les capacités de production étaient souvent inférieurs aux volumes de ventes, les temps d'attente souvent longs, les exportations étaient rares et difficiles car chaque pays imposant ses propres normes, il fallait fabriquer des modèles adaptés, pour un volume de vente limité. Ce n'est qu'avec la signature du Traité de Rome le 25 mars 1957 et la création du Marché Commun avec la libre circulation des marchandises, opérationnelle à partir de 1968, que les exportations vont connaître leur essor. Auparavant, les constructeurs les plus réputés ayant des modèles recherchés, pouvaient disposer d'accords avec des constructeurs étrangers qui voulaient fabriquer sous licence certains de leurs modèles comme par exemple Fiat V.I. et OM dont les modèles étaient fabriqués par Austro-FIAT en Autriche jusqu'en 1945, puis Steyr entre 1950 et 1970, Zastava Kamioni en Yougoslavie à partir de 1953 jusqu'en 2000, Bussing en Allemagne jusqu'en 1970, Saurer en Suisse entre 1960 et 1980, avant de créer ses propres filiales de fabrication dans d'autres pays.

 

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, en 1948, dès que les alliés l'ont autorisé, Magirus-Deutz a présenté à Ulm, une nouvelle génération de camions à capot, la série "Eckhauber" (1re génération) avec la même cabine à capot carré que les modèles d'avant guerre mais un nouveau moteur diesel refroidi par air F4L514, comprenant les modèles S.3000 (4x2), A.3000 (4x4), S.3500 & A.3500, dont la charge utile était de 3,5 tonnes. (NDR : en Allemagne, tous les constructeurs utilisaient les mêmes appellations : S pour les versions 4x2, A pour les 4x4 et O pour les autobus). Ensuite,

   
   
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Magirus-Deutz_Jupiter
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Bismarck

Publié à 15:04 par dessinsagogo55 Tags : sur mer france center centerblog merci monde blogs
Bismarck

 

 

Le Bismarck est un cuirassé allemand mis en service en août 1940.

 

Construit par le chantier naval Blohm & Voss de Hambourg entre juillet 1936 et février 1939, il est le premier cuirassé de la classe Bismarck. Construit pour la Kriegsmarine sous le Troisième Reich, il est, avec son navire-jumeau le Tirpitz, le plus grand navire de guerre utilisé par l'Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale.

 

Il porte le nom du chancelier allemand Otto von Bismarck, qui fut l'un des architectes de l'unification allemande au xixe siècle.

 

En mai 1941, il quitte la mer Baltique pour participer à l'opération Rheinübung où il doit, accompagné du croiseur lourd Prinz Eugen, attaquer les convois alliés entre l'Amérique du Nord et le Royaume-Uni.

 

Durant leur trajet vers l'Atlantique nord, les deux navires sont repérés et la Royal Navy tente de les intercepter. Lors de la bataille du détroit de Danemark le 24 mai, le Bismarck détruit le croiseur de bataille Hood — un des plus puissants navires de guerre britanniques — et oblige le cuirassé Prince of Wales à se replier. Ayant été touché et perdant du combustible, le Bismarck met le cap vers la France occupée pour y être réparé tandis que le Prinz Eugen poursuit sa mission.

 

Après la destruction du Hood, la Royal Navy mobilise des dizaines de navires pour intercepter le cuirassé avant qu'il ne puisse rejoindre une zone sous la protection de l'aviation et des sous-marins allemands. Le 26 mai, le Bismarck est attaqué par des Fairey Swordfish du porte-avions Ark Royal équipés de torpilles, l'une d'entre elles rendant inopérant son gouvernail. Dans l'impossibilité de manœuvrer, il est rattrapé le lendemain par les cuirassés Rodney et King George V, neutralisé par un intense bombardement des britanniques et coule après avoir été sabordé par son équipage ; seuls 114 marins et un chat survécurent sur un effectif de plus de 2 200 membres d'équipage.

 

Son épave est localisée en juin 1989 par l'océanographe américain Robert Ballard à 650 kilomètres au large de la côte française, à presque 4 800 mètres de profondeur.

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bismarck_(cuirass%C3%A9)

Notes et références                                                    
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DATE   août 1940
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Alfred Jodl

Publié à 08:09 par dessinsagogo55 Tags : mort coupable center centerblog sur merci monde blogs
Alfred Jodl

 

 

Alfred Jodl est un Generaloberst de l'armée allemande, né le 10 mai 1890 à Wurtzbourg et mort exécuté le 16 octobre 1946 à Nuremberg. Il a fait fonction de Chef des Wehrmachtführungsstabes im Oberkommando der Wehrmacht en français : « chef de l'état-major de la conduite des opérations militaires au Haut Commandement de la Wehrmacht », l’OKW, pendant la totalité de la durée de la Seconde guerre mondiale (de septembre 1939 à mai 1945) ; à ce titre, en tant que second du Generalfeldmarschall Keitel, il a pris une part importante dans la planification des opérations militaires allemandes.

 

Jodl a fait partie des vingt-quatre accusés devant le tribunal militaire international de Nuremberg ; jugé coupable des quatre chefs d'accusation le 1er octobre 1946, il a été exécuté par pendaison.

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Alfred_Jodl

Notes et références                                                    
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DATE   
NAISSANCE   10 mai 1890
DECES   16 octobre 1946
MISE A JOUR :   2024
                                                       
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Sophie Scholl

Sophie Scholl

 

Sophie Magdalena Scholl, née le 9 mai 1921 à Forchtenberg (Allemagne) et exécutée le 22 février 1943 (à 21 ans) à Munich, est une résistante allemande au nazisme et l'un des piliers du réseau « La Rose blanche » (Die Weiße Rose) avec son frère Hans.

 

Biographie

 

Comme le reste des jeunes Allemands, elle est embrigadée dans les jeunesses hitlériennes. Elle y ressent très tôt le manque de libertés, en particulier de pensée et de religion. Chrétienne, elle est comme son frère profondément croyante. Après l'Abitur en 1940, elle travaille dans un Kindergarten. Dans les « services du travail » et « service auxiliaire » qu'elle effectue en 1940-41 à Krauchenwies, elle parvient à garder, malgré l'interdiction de posséder des livres, Les Confessions de saint Augustin ; elle garde en mémoire cette phrase : « Tu nous as créés pour que nous allions à Toi, et notre cœur est inquiet, jusqu'à ce qu'il repose en Toi ». Elle entame ensuite des études de biologie et de philosophie en mai 1942 à Munich.

 

Influencée par son éducation protestante, par l'opposition déclarée de son père Robert Scholl au nazisme, et par l’expérience vécue par son frère, militaire étudiant en médecine à Munich, puis infirmier dans les hôpitaux du front de l’Est, qui est témoin de la barbarie de l'armée à l'encontre des juifs et des populations russes, elle prend conscience de la vraie nature du régime nazi. À partir de juin 1942, elle tient des réunions avec son frère Hans et Carl Muth. Elle les aide à imprimer et à diffuser les tracts hostiles au régime nazi et à la guerre. Sophie Scholl les distribue dans la rue, glissant des feuillets sur les voitures en stationnement, dans des cabines téléphoniques, les diffusant à la gare centrale de Munich. Elle effectue quelques voyages à travers le pays pour promouvoir les idées de La Rose blanche auprès d'étudiants sympathisants.

 

Le 18 février 1943, après avoir lancé avec son frère Hans des tracts dans la cour intérieure de l'université de Munich, elle est repérée par le concierge de l'université, Jakob Schmid. Ils sont remis au rectorat où, après plusieurs heures d'interrogatoire par l'inspecteur Robert Mohr, le doyen et le président de l'université, ils sont remis à la Gestapo. Conduite devant le « Volksgerichtshof » (« Tribunal du peuple »), elle est condamnée à mort après un procès mené en trois heures seulement. C'est Roland Freisler lui-même, le chef du Tribunal du peuple, venu spécialement de Berlin, qui annonce la sentence pour faits de « haute trahison, propagande subversive, complicité avec l'ennemi et démoralisation des forces militaires ».

 

Elle est guillotinée le jour même, le 22 février 1943 à Munich, à la prison de Stadelheim par le bourreau Johann Reichhart, et cela malgré la législation allemande qui imposait un délai de 99 jours avant l'exécution d'un condamné. Selon le témoignage des gardiens de la prison, elle fait preuve de beaucoup de courage lors de son exécution. Sa compagne de cellule rapporte un rêve qu’elle a fait la veille de son exécution : « Par un jour ensoleillé je portais un enfant en langes blancs pour le faire baptiser. Le chemin de l’église suivait une montagne escarpée. Toutefois je serrais l’enfant en sécurité dans mes bras. Quand soudain il y eut devant moi une crevasse. J’ai eu juste le temps de déposer l’enfant de l’autre côté avant de tomber dans le précipice ». Sophie Scholl explique le sens de ce rêve : « L’enfant est notre idée, elle s’accomplira malgré les obstacles. Nous pouvions en être les précurseurs, mais nous devions mourir auparavant pour elle. »

 

Elle est ensuite enterrée dans le cimetière proche de la forêt de Perlach, aux côtés de son frère Hans et de Christoph Probst, exécutés le même jour.

 

Postérité

Pendant la période nazie

 

Le 27 juin 1943, Thomas Mann leur rend hommage sur les ondes de la BBC : « Courageux, magnifiques jeunes gens ! Vous ne serez pas morts en vain, vous ne serez pas oubliés. »

 

Héroïne emblématique de la RFA

 

Face à la République démocratique allemande, qui se présentait comme l'héritière de la résistance de milliers de communistes allemands, la République fédérale d'Allemagne, membre fondateur de la CEE et alliée des États-Unis, chercha elle aussi à revendiquer une filiation avec la résistance antinazie. Hans et Sophie Scholl présentaient à cet égard l'avantage d'être passés par les Jeunesses hitlériennes, d'être chrétiens et de ne pas avoir usé de violence. Ils possédaient donc toutes les qualités pour devenir les héros emblématiques de la RFA naissante. La RDA revendiquait elle aussi l'héritage de Hans et Sophie Scholl, et a édité un timbre à leur effigie en 1961.

 

Hommages

 

image

Buste représentant Sophie Scholl.

En Allemagne, de nombreuses écoles portent le nom de Sophie et Hans Scholl. Un prix littéraire, le prix frère et sœur Scholl, a été créé en 1980.

 

Un buste de Sophie Scholl est ajouté le 22 février 2003 au Walhalla (mémorial allemand à Ratisbonne).

 

En France Toulouse, Laval (Mayenne), Saint-Orens-de-Gameville, Saint-Rémy (Saône-et-Loire), Plescop ont une rue Sophie-Scholl. Juvisy-sur-Orge a une rue Sophie-et-Hans-Scholl11. Issy-les-Moulineaux a une école maternelle publique Sophie-Scholl.

 

À Paris, sa mémoire est honorée par le jardin Hans-et-Sophie-Scholl, ouvert en 2020, et par le collège La Rose Blanche.

 

Documents d'archives

 

La chute du mur en 1989 et l'accès aux archives de l'ex-RDA ont permis de découvrir les procès-verbaux des interrogatoires des deux étudiants par la Gestapo. Inge Aicher-Scholl a légué à sa mort ses archives à l'Institut d'histoire de Munich.

 

Filmographie

 

La Rose blanche (Weisse Rose), Michael Verhoeven, Allemagne, 1982.

Les Cinq Derniers Jours (Fünf letzte Tage), Percy Adlon, Allemagne, 1982.

Sophie Scholl : Les Derniers Jours, par Marc Rothemund (Allemagne 2005, France 2006).

Ces femmes qui ont fait l'histoire - Sophie Scholl, documentaire de Christian Twente et Michael Löseke (Allemagne 2013, ZDF, 51 min).

 

Musique

 

Dernière Volonté, La Rose blanche (album Obéir et mourir).

Les Joyaux de la Princesse et Regard Extrême, Die Weiße Rose (album, 1997, label : Les Joyaux de la Princesse).

Louis Philippe, Ballad of Sophie Scholl (album Appointment with Venus, 1986, El Records).

Otto M. Schwarz, The Secret of "The White Rose" (composé en 2013)

Mickey 3D, La rose blanche, 2015 (album Sebolavy, 2016).

 

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Sophie_Scholl

Notes et références                                                    
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BIOGRAPHIE   Sophie Scholl
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
                                                   
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DATE   
NAISSANCE   9 mai 1921
DECES   22 février 1943
MISE A JOUR :   2024
                                                       
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Ludwig van Beethoven

Publié à 07:30 par dessinsagogo55 Tags : center sommaire lecture mort centerblog sur merci musique amitié monde blogs vie saint coup homme art
Ludwig van Beethoven

 

Ludwig van Beethoven (/ludvivan betɔvœn/ ; en allemand : /ˈluːtvɪç fan ˈbeːtˌhoːfn̩/) est un compositeur, pianiste et chef d'orchestre allemand, né à Bonn le 15 ou le 16 décembre 1770 et mort à Vienne le 26 mars 1827 à 56 ans.

 

Dernier grand représentant du classicisme viennois (après Gluck, Haydn et Mozart), Beethoven a préparé l’évolution vers le romantisme en musique et influencé la musique occidentale pendant une grande partie du xixe siècle. Inclassable (« Vous me faites l’impression d’un homme qui a plusieurs têtes, plusieurs cœurs, plusieurs âmes » lui dit Haydn vers 1793), son art s’est exprimé à travers différents genres musicaux, et bien que sa musique symphonique soit la principale source de sa popularité, il a eu un impact également considérable dans l’écriture pianistique et dans la musique de chambre.

 

Surmontant à force de volonté les épreuves d’une vie marquée par la surdité qui le frappe à l'âge de 27 ans, célébrant dans sa musique le triomphe de l’héroïsme et de la joie quand le destin lui imposait l’isolement et la misère, il sera récompensé post mortem par cette affirmation de Romain Rolland : « Il est bien davantage que le premier des musiciens. Il est la force la plus héroïque de l’art moderne ». Expression d’une inaltérable foi en l’homme et d’un optimisme volontaire, affirmation d’un artiste libre et indépendant, l’œuvre de Beethoven a fait de lui une des figures les plus marquantes de l’histoire de la musique.

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_van_Beethoven

Notes et références                                                    
RUBRIQUE   Monde : Allemagne
BIOGRAPHIE   Ludwig van Beethoven
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
                                                   
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DATE  
NAISSANCE   15 ou le 16 décembre 1770
DECES   26 mars 1827
MISE A JOUR :   2024
                                                       
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Heinrich Müller

Publié à 23:20 par dessinsagogo55 Tags : mort center centerblog sur merci france monde blogs
Heinrich Müller

 

 

Heinrich Müller, surnommé Gestapo Müller, né le 28 avril 1900 à Munich, disparu en mai 1945, est un SS-Gruppenführer, chef du département IV (Amt IV) de l'Office central de la sécurité du Reich, qui regroupait la Gestapo et la police des frontières. Il a joué un rôle majeur dans la planification et la mise en œuvre de la Shoah.

 

En tant que chef de la Gestapo, Müller est étroitement associé à tous les crimes qui ont été planifiés, préparés et organisés par l’Office central de la Sécurité du Reich. Au début du mois de septembre 1939, il donne notamment des instructions pour « le traitement spécial » (Sonderbehandlung), c'est-à-dire l’assassinat des opposants politiques. Le « service aux affaires juives » (Judenreferat) dirigé par Adolf Eichmann, au sein de la Gestapo, est directement sous ses ordres. Müller est responsable de la rédaction des rapports quotidiens (Ereignismeldungen) enregistrant les assassinats commis par les Einsatzgruppen. Il est un des fonctionnaires les plus puissants du régime national-socialiste.

 

Il fait partie des personnalités importantes du régime nazi qui n'ont jamais été capturées ou dont la mort n'a pu être prouvée. Il a été vu pour la dernière fois dans le Führerbunker à Berlin le 1er mai 1945. Son sort à la fin de la guerre reste incertain : mort le 1er ou le 2 mai 1945 ou ayant réussi à fuir hors d'Allemagne.

 

En 2013, un historien allemand affirme que le corps de Müller aurait été enterré à l’été 1945 dans un cimetière juif de Berlin, dans le secteur soviétique.

 

Le surnom de Gestapo Müller permettait de le distinguer d'un autre dignitaire nazi, le juriste et fonctionnaire SS Heinrich Müller (de) portant les mêmes nom et prénom, de surcroît au même grade dans la hiérarchie SS.

 

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Heinrich_M%C3%BCller

Notes et références                                                    
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BIOGRAPHIE  
   
    Seconde guerre mondiale (Sommaire)
    Seconde Guerre mondiale : Allemagne (Sommaire)
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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DATE  
NAISSANCE   28 avril 1900
DECES   ../../1945 (disparu)
MISE A JOUR :   2024
                                                       
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Karl Marx : Engagement

Publié à 04:32 par dessinsagogo55 Tags : center blogs centerblog sur merci monde article création
Karl Marx : Engagement

 

 

Engagement

 

À Berlin, il appartient au cercle des « hégéliens de gauche », dénommés aussi « jeunes hégéliens » (avec Bruno Bauer et d'autres) qui cherchent à tirer des conclusions athées et révolutionnaires de la philosophie de Hegel.

 

L'hégélien de gauche Ludwig Feuerbach s'était lancé dans une critique de la théologie à partir de 1836 et avait commencé à se tourner vers le matérialisme (par opposition à l'idéalisme hégélien). En 1841, cette orientation matérialiste prend le dessus dans sa philosophie (L'essence du christianisme) et se combine avec la dialectique dite idéaliste de Hegel pour lui donner un caractère scientifique et historique saisissant le réel dans la logique de son évolution. Cette position se heurte à la politique du gouvernement prussien qui avait enlevé à Feuerbach sa chaire en 1832, puis lui avait interdit de revenir à l'université en 1836. Pour finir, les mêmes autorités interdisent à Bruno Bauer, autre grande figure de l'hégélianisme de gauche, d'enseigner à Bonn en 1841. Marx, après avoir obtenu son diplôme universitaire, part pour Bonn avec l'espoir d'y devenir professeur. Mais face à cette politique du gouvernement, il abandonne l'idée d'une carrière universitaire.

 

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Karl Marx

 

 

   
   
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ADRESSE(S)EXTERNE(S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DATE  
NAISSANCE   5 mai 1818
DECES   4 mars 1883
MISE A JOUR :   2024
                                                       
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Manfred von Richthofen

Publié à 07:47 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur merci france mort air
Manfred von Richthofen

 

Manfred Albrecht, Freiherr von Richthofen, né le 2 mai 1892 à Breslau et mort le 21 avril 1918 à Vaux-sur-Somme, est un aviateur allemand devenu une légende de l'aviation de la Première Guerre mondiale. À l'époque, il était connu en France sous les surnoms de « Baron rouge » ou de « Diable rouge », mais depuis, le surnom donné par les aviateurs britanniques (« the Red Baron » soit « le Baron rouge ») a fini par s'imposer au point de remplacer en popularité son nom authentique.

 

Avec quatre-vingts victoires confirmées, selon le système de comptage allemand, il est l'as des as de l'aviation allemande de la Première Guerre mondiale. Hauptmann dans la célèbre Jasta 11, sa célébrité est liée à celle de son Fokker Dr.I Triplan peint en rouge vif au lieu des traditionnelles couleurs de camouflage, d'où son surnom. Il a pour frère cadet Lothar von Richthofen, autre pilote chevronné de l'armée de l'air allemande.

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Manfred_von_Richthofen

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