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Monde : France

La première guerre mondiale : 6000 morts par jour

Publié à 19:30 par dessinsagogo55 Tags : center meuse photo sommaire centerblog background sur france monde société merci
La première guerre mondiale : 6000 morts par jour

Ossuaire de Douaumont (Meuse)

 

On peut tout comprendre, tout entendre, mais 6000 morts par jour devient une boucherie
Le bilan humain de la Première Guerre mondiale s'élève à environ 9 millions de morts et environ 8 millions d'invalides, soit environ 6 000 morts par jour. Proportionnellement, en nombre de combattants tués, la France est le pays le plus touché avec 1,4 million de morts et de disparus, soit 10 % de la population active masculine. En comptant les pertes civiles, la Serbie et la Roumanie, qui ont subi occupations militaires et famines, ont été encore plus durement touchées, perdant 6 à 10 % de leur population totale. Les pertes anglaises (colonies comprises) s'élèvent à 1,2 million de tués. Cette saignée s'accompagne d'un déficit des naissances considérable. Le déficit allemand s'élève à 5 436 000, le déficit français à 3 074 000, le déficit russe est le plus élevé et atteint 26 millions. La stagnation démographique française se prolonge, avec un vieillissement de la population qui ne cesse de croître qu'avec le recours à l'immigration. Cette dernière participe à la reconstruction d'un pays dont le Nord est en ruines. Apparaît également le phénomène nouveau des gueules cassées, nom donné aux mutilés de guerre qui survivent grâce aux progrès de la médecine tout en gardant des séquelles physiques graves. L'intégration de ces victimes de guerre en nombre à la société doit alors se faire au moyen de nouvelles lois et d'organismes comme l'Union des blessés de la face. On compte alors en France de 10 000 à 15 000 grands blessés de la face. Au Royaume-Uni, des sculpteurs, comme Francis Derwent Wood, fabriquent des masques pour rendre un aspect humain aux soldats blessés. Les sociétés d'après-guerre vont garder les marques vivantes de la guerre de nombreuses années encore.
 

 

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Fleury-Devant-Douaumont

Fleury-Devant-Douaumont

 



Fleury-devant-Douaumont est une commune française, située dans le département de la Meuse. et la région Lorraine. Le village fut entièrement détruit en 1916 pendant la bataille de Verdun et ne fut pas reconstruit. Depuis, le site de la commune est devenu un lieu de souvenir inhabité.


La commune se trouve dans la forêt de Verdun, à quelques kilomètres au nord-ouest de la ville éponyme.


Avant la Première guerre mondiale. Fleury-devant-Douaumont est un village dont les 422 habitants, en 1913, vivent principalement de l'agriculture céréalière et du travail du bois.
Les principaux conflits qui se sont déroulés dans la région, guerres révolutionnaires et d'empire, guerre de 1870 n'ont pas atteint le village, situé sur des hauteurs boisées. Après 1870, une voie ferrée est construite entre Verdun et Douaumontqui passe par Fleury. Un certain nombre d'ouvrages défensifs voient le jour dans le secteur (l'Empire allemand depuis 1871 s'étend alors sur une partie de la Lorraine, la frontière se situant désormais à une quarantaine de kilomètres à l'est de Fleury) : la redoute de Souville, les forts de Tavane et de Froideterre et plusieurs ouvrages annexes. La commune voit alors passer nombre de soldats et d'ouvriers. En août 1914, les régiments de Verdun passent par Fleury pour se rendre dans la plaine de la Woëvre. Avec la bataille de la Marne, en septembre 1914, le front se fixe à quelques kilomètres au nord-est du village. Durant l'année 1915, il fait partie de la zone fortifiée de Verdun et de nombreux soldats y cantonnent.

Le 21 février 1916 débute la bataille de Verdun. Le village est réveillé par les tirs d'artillerie préparatoires à l'assaut allemand. L'ordre est donné d'évacuer le village, sous la neige. Le 25 février le fort de Douaumont tombe aux mains des Allemands, qui ont désormais une vue sur le village bombardé. Le 7 juin, le fort de Vaux tombe à son tour. La ligne de front passe désormais par la commune et Fleury, entre Souville et Froideterre, devient une position clé qui peut permettre aux Allemands de percer en direction de Verdun. De juin à août, le commandement allemand lance plusieurs offensives sur cette partie du front. En deux mois, le village est pris et repris 16 fois par Français et Allemands. Le 23 juin, les Allemands lancent plusieurs milliers d'obus sur le village, dont certains au gaz, bombardement suivi par une offensive des meilleures troupes impériales, la Garde bavaroise et l'Alpenkorps. Pour tenir la position, le 121e bataillon de chasseurs à pied se sacrifient. Les Français tentent également de contenir l'attaque en engageant leur aviation qui procède à des mitraillages au sol. La 260e brigade a pris la relève et d'âpres combats se déroulent pendant plusieurs jours sur quelques hectares seulement. Le village est pris le 23 par les Allemands, repris le lendemain par les Français et de nouveau le surlendemain par les Allemands.
Le 11 juillet, les Allemands réussissent à prendre la Poudrière, un dépôt de munitions avancé enterré qui était destiné à alimenter les forts environnants. Certains soldats allemands parviennent jusqu'au Centre D, un petit ouvrage de défense terrassée. Ce point marque l'avancée allemande maximale en direction de Verdun.
Du 13 juillet au 5 août, d'intenses combats se déroulent autour du village en ruines. Dans la nuit du 17 au 18 août 1916, le régiment d'infanterie coloniale du Maroc lance un assaut et reprend définitivement le village. Avec les zouaves et les tirailleurs de la 38e division d'infanterie, ils combattaient depuis 10 jours sur le territoire de la commune .
Situé sur le secteur de Verdun, le village disparaît totalement sous l'acharnement des pilonnages des obus français et allemands.

En 1918, le village est déclaré « mort pour la France ». C'est l'un des neuf villages détruits lors de la bataille de Verdun. Le relief tourmenté du sol de la commune témoigne encore de l'énorme quantité d'obus reçue.

En 1916, la commune normande appelée Allemagne change son nom en Fleury-sur-Orne en l'honneur du village détruit. Plusieurs villages de Bavière ont une rue nommée Fleury, nom donné en l'honneur des soldats de la Garde bavaroise tombés lors des assauts sur le village.


Bien que détruit et sans habitant, comme les huit autres villages détruits autour de Verdun, la « Nation reconnaissante » a conservé son statut de commune à Fleury après la guerre. Il a donc un maire, nommé par le préfet de la Meuse.

Politique et administration

Bien que détruit et sans habitant, comme les huit autres villages détruits autour de Verdun, la « Nation reconnaissante » a conservé son statut de commune à Fleury après la guerre. Il a donc un maire, nommé par le préfet de la Meuse.

 

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
 
mars 2001 mars 2008 Léon Rodier   Ancien colonel de l'armée de terre,
délégué du Comité national du souvenir de Verdun
mars 2008 En cours Jean-Pierre Laparra    

 

La commune de Fleury-sur-Orne, dans le Calvados, a été baptisée par ses élus en hommage à Fleury-devant-Douaumont, par une décision du conseil municipal du 23 août 1916, validée par le conseil des Ministres le 12 avril 1917. Elle s'appelait auparavant Allemagne.

 

Démographie

Depuis la fin de la Première Guerre mondiale, la commune est inhabitée. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du xxie siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année



1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
221 260 293 289 380 345 369 390 400
                 
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
376 365 350 366 378 334 524 425 433
                 
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
348 361 422 12 90 77 6 - -
                 
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
- 5 5 4 5 - - - -
                 
2017 2020 - - - - - - -
- - - - - - - - -

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)

 

 

Liens externes                                                  
  Fleury-devant-Douaumont — Wikipédia (wikipedia.org)
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
    
   
   
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Douaumont

Publié à 18:48 par dessinsagogo55 Tags : photo center sommaire background monde blogs centerblog prix sur merci coup obstacles
Douaumont

Douaumont est une commune française, située dans le département de la Meuse et la région Lorraine. Elle abrite moins d'une dizaine d'habitants, mais elle est célèbre pour son ossuaire militaire de la Première guerre mondiale.


Le 21 février 1916, le tonnerre des canons marque le début de la bataille de Verdun. Situé sur le secteur de Verdun, le village perdu par les troupes Française le 6 mars 1916 et repris le 24 octobre 1916 disparaitra totalement sous l'acharnement des pilonnages des obus français et allemands.

Ordre du jour du général Nivelle le 25 octobre 1916, remerciant les troupes qui ont repris le fort de Douaumont :
« Officiers, sous-officiers et soldats du groupement Mangin, en quatre heures, dans un assaut magnifique, vous avez enlevé d'un seul coup, à notre puissant ennemi, tout le terrain, hérissé d'obstacles et de forteresses, du Nord-est de Verdun, qu'il avait mis huit mois à vous arracher par lambeaux, au prix d'efforts acharnés et de sacrifices considérables. Vous avez ajouté de nouvelles et éclatantes gloires à celles qui couvrent les drapeaux de Verdun. Au nom de cette armée, je vous remercie. Vous avez bien mérité de la Patrie. »


Le peintre officiel de l'armée: François Flameng réalisa de nombreux croquis et dessins de ces cruels événements qui furent publiés dans la revue : L'Illustration


Le cimetière et l'ossuaire de Douaumont.


Lieux et monuments
Chapelle
Ossuaire
Fort de Douaumont
Tranchée des baïonnettes



Évolution démographique

1962 : 13
1968 : 12
1975 : 8
1982 : 7
1990 : 10
1999 : 6
2006 : 7
2011 : 5

 

 

Liens externes                                                  
  Douaumont — Wikipédia (wikipedia.org)
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Louis Lépine

Publié à 09:29 par dessinsagogo55 Tags : center sur centerblog merci vie france place saint coup presse chez homme mort air demain création cadre
Louis Lépine

 

Louis Lépine, né le 6 août 1846 à Lyon et mort le 9 novembre 1933 à Paris, est un haut-fonctionnaire et homme politique français. Préfet de police de la Seine, il participe à la modernisation de la police française — notamment par la création de police-secours ou l'établissement de la police judiciaire à Paris — il est également à l'origine du concours Lépine et du musée de la préfecture de police.

 

Biographie

Famille et formation

 

Louis Jean-Baptiste Lépine est le fils d'un « teneur de livres » (comptable). Il fait ses études à Lyon, Paris et Heidelberg. Il a un frère ainé, Raphaël Lépine, qui devint par la suite un physiologiste de renom, poursuivant une carrière professionnelle dans le domaine de la médecine expérimentale.

 

Il termine ses études de droit dans le Quartier latin, à Paris, quand éclate la guerre franco-allemande de 1870 au cours de laquelle, en tant qu'engagé volontaire, il s'illustre et est décoré de la médaille militaire.

 

Carrière de préfet

 

À la fin de la guerre, il devient avocat, avant d'entamer une carrière dans l'administration : sous-préfet de Lapalisse, de Montbrison, de Langres et de Fontainebleau, puis préfet de l'Indre (1885-1886), de la Loire, puis de Seine-et-Oise.

 

Alors qu'il est préfet de la Loire, le 6 décembre 1891, un coup de grisou au puits de la manufacture coûte la vie à 62 mineurs et jette la consternation dans Saint-Étienne. Il prend place dans la première benne descendue au secours des victimes et parcourt les galeries incendiées encore empestées d'un air toxique. C'est à cette occasion qu'il reçoit la médaille d'or de sauvetage.

 

Après les émeutes de 1893 au Quartier latin, il est nommé préfet de police de Paris, exerçant son autorité sur le département de la Seine. Il crée cette année-là un service centralisé de collecte des objets trouvés. Attaché aux traditions festives de la police parisienne, il fait partie des donateurs pour la restauration de la Promenade du Bœuf Gras en 1896, en versant 200 francs de sa cassette personnelle.

 

De 1897 à 1898, il effectue une courte parenthèse comme gouverneur général d'Algérie, où il doit faire face aux émeutes anti-juives qui troublent la colonie depuis 1895 et s'accroissent un temps du fait de l'affaire Dreyfus. En 1899, il est rappelé comme préfet de police de la Seine quand Paris connaît les mêmes émeutes.

 

image

Affiche du Concours Lépine de 1910

En 1901, pour lutter contre la crise qui touche les petits fabricants parisiens de jouets et de quincaillerie, il crée un concours-exposition qui deviendra plus tard le concours Lépine.

 

image

Louis Lépine (à gauche) et Georges Clemenceau en 1908.

Durant sa carrière de préfet de police, il met en place la permanence dans les commissariats ; équipe les gardiens de la paix en 1897 d'un bâton blanc et d'un sifflet à roulette ; crée la brigade fluviale ainsi que les brigades cyclistes en 1901 (les hirondelles à moustache avec leur pèlerine) ; fait installer 500 avertisseurs téléphoniques, rouges pour alerter les pompiers, puis d'autres, bruns, pour alerter très rapidement la police dans le cadre des services d'aides aux personnes ; réorganise la circulation en instaurant les passages piétons, les sens uniques et les sens giratoires ; encourage les premiers développements de la police scientifique au sein de la Préfecture de Police ; crée les chiens sauveteurs et réalise un « coup médiatique » en 1908 en créant les « agents Berlitz » (formés à l'École de langues Berlitz, étant chargés de renseigner les touristes, se distinguant de leurs collègues par le port d'un brassard indiquant la langue maîtrisée).

 

En 1909, il crée le musée de la préfecture de police et les collections historiques de la préfecture de police (archives de la police) en utilisant les pièces qu'il avait fait réunir pour l'Exposition universelle de 1900 et qui présentait déjà cette administration au public.

 

C'est sous son autorité que, le 13 juin 1910 pendant la grève chez Sanyas & Popot, l'agent de police Gauthier frappe à la tête l'ébéniste Henri Cler (1862-1910), qui mourra de ses blessures le 21 juin 1910. La mort de ce militant anarchiste provoque, le 26 juin 1910, une manifestation qui vire à l'émeute et que la police réprime dans le sang

Durant la même période, le préfet Lépine, vieillissant (et représenté comme tel par les caricaturistes de presse) et approchant de la retraite, est critiqué par les journaux pour l'insécurité croissante provoquée notamment par les Apaches et la bande à Bonnot. Il parviendra à obtenir une augmentation de son budget de la part du Conseil de Paris afin de créer en 1912 une « Brigade du Chef » (décret du 29 juin 1912), section criminelle de la Sûreté de Paris qui deviendra plus tard, la « brigade spéciale criminelle » , se transformant en 1913 en direction de la Police judiciaire de Paris qui comprend notamment comme service actif de police la célèbre « brigade criminelle ».

 

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Lépine candidat : extrait d'une caricature de L'Humanité du 28 mai 1913 [archive] : « Aujourd'hui, les électeurs de Chialvo [le député ayant laissé un siège vacant] m'appellent. Demain, toute la France m'appellera ».

Après la préfectorale

 

En 1912, il est élu membre de l'Académie des sciences morales et politiques. En 1913, il quitte la préfectorale et se consacre à la rédaction de ses mémoires (Mes souvenirs), qui sont publiés en 1929. Il se porte en mai 1913 candidat à Montbrison au siège de député laissé vacant par la mort de Claude Chialvo. Il choisit en 1914 de se présenter dans la Seine, mais il est battu.

 

Mort

 

Il meurt le 9 novembre 1933, à Paris. Sa tombe est située dans le cimetière municipal des Gonards à Versailles, lieu qui abrita également la dépouille du tueur en série Henri Désiré Landru.

 

 



Liens externes                                                  
  Louis Lépine — Wikipédia (wikipedia.org)  
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Joëlle Ursull

Publié à 02:03 par dessinsagogo55 Tags : center film centerblog sur merci france place saint création blogs
Joëlle Ursull

 

 

Joëlle Ursull, née le 9 novembre 1960 à Pointe-à-Pitre (Guadeloupe), est une chanteuse française.

Avant d'entamer une carrière solo, Joëlle Ursull faisait partie du trio féminin Zouk Machine.

Elle a représenté la France au Concours Eurovision de la chanson 1990, avec White and Black Blues, chanson écrite par Serge Gainsbourg et composée par Georges Augier de Moussac.

 

Biographie

Enfance et début de carrière

 

Née à Pointe-à-Pitre le 9 novembre 1960, Joëlle Ursull vit son enfance à Morne-à-l'Eau. Elle y suivra toute sa scolarité.

 

Joëlle Ursull est élue Miss Morne-à-l'Eau, avant de devenir Miss Guadeloupe en 1979. Elle fait un détour par la télévision dans une sitcom produite par RFO. Elle embrasse par la suite une carrière de mannequin avant d'être choriste au sein du groupe Expérience 7 puis d'intégrer le groupe Zouk Machine. Ses influences musicales sont celles de la Caraïbe : du zouk à la biguine, en passant par le reggae, le ragga, le quadrille, la salsa, le merengue et tant d'autres.

 

La création de Zouk Machine

 

Le groupe Zouk Machine est créé par Guy Houllier et Yves Honoré. Ils font appel à Joëlle Ursull qui est une amie de la famille, Christiane Obydol qui n'est autre que la sœur de Guy Houllier et ce, sous l'œil de Lisette Obydol dite "Mama Zouk", manager du groupe à l'époque.

 

Joëlle est une des trois membres fondatrices du groupe au côté de Dominique Zorobabel, recrutée en raison de la défaillance de Tanya Saint-Val, qui débute alors l'aventure en solo. Le groupe remporte un franc succès dès la sortie de leur premier album éponyme, permettant ainsi aux chanteuses de se produire sur de nombreuses scènes et plateaux de télévision.

 

En 1988, Joëlle Ursull quitte le groupe pour tenter une carrière de soliste. Elle est alors remplacée par Jane Fostin.

 

La carrière de soliste

 

En 1988, elle propose son tout premier album intitulé Miyel, s'associe alors à l'artiste le gratin du milieu Zouk (Kassav', Frédéric Caracas et Pascal Vallot).

 

Début 1990, Marie-France Brière, qui arrive au service divertissements d'Antenne 2, choisit Joëlle Ursull pour représenter la France au Concours Eurovision de la chanson qui a lieu en mai à Zagreb. Le 5 mai 1990, Joëlle Ursull représente la France au 35e Concours Eurovision de la chanson. Avec son timbre voilé, elle y interprète le titre White and Black Blues, écrit par Serge Gainsbourg et composé par Georges Augier de Moussac. Lors de son passage sur scène, deux danseurs se produisent autour d'elle et tapent sur des tam-tam. Au terme du vote final, elle a obtenu 132 points, se classant à la 2e place, ex-æquo avec Liam Reilly, le chanteur représentant l'Irlande avec la chanson Somewhere in Europe. Joëlle a obtenu six douze points (Finlande, Islande, Norvège, Pays-Bas, Suisse et Yougoslavie). La victoire revient à l'Italien Toto Cutugno et la chanson, Insieme : 1992.

 

La même année, Joëlle Ursull sort son second album solo intitulé Black French.

 

En 1993, elle sort son troisième album Comme dans un film aux sonorités très blues.

 

Devenue mère, elle se consacre pendant dix ans à l'éducation de ses deux filles. Entretemps, elle prend part à de nombreux projets musicaux, signant ainsi un single en hommage aux Mères & Pères en duo avec Jacques D'Arbaud, un duo sur l'album du comique guadeloupéen Pat, un autre en 1999 avec l'artiste de reggae Djamatik.

 

En 2003, elle offre à ses fans de la première heure un single intitulé Babydoo.

De 2004 à 2006, elle participe à de nombreux plateaux de télévision dans les Caraïbes et à Paris.

 

 
Liens externes                                                  
  Joëlle Ursull — Wikipédia (wikipedia.org)
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
    Joëlle Ursull
   
   
   
   
   
    Joëlle Ursull : White and black blues
   
   
   
   
   
   
   
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Alain Delon

Publié à 00:40 par dessinsagogo55 Tags : center société centerblog sur merci vie histoire blogs
Alain Delon

 

Alain Delon, né le 8 novembre 1935 à Sceaux, est un acteur français. Il est aussi producteur à travers sa société Adel Productions. Il a également réalisé deux films.

 

Sa carrière commence en 1957. Acteur parmi les plus populaires du cinéma français, il joue dans des films qui attirent en salles un total de quelque 135 millions de spectateurs, ce qui fait de lui un champion du box-office au même titre que Louis de Funès et Jean-Paul Belmondo à la même époque. Ayant partagé l'affiche avec de grands acteurs tels que Jean Gabin, Simone Signoret, Romy Schneider ou Lino Ventura, un grand nombre de films dans lesquels il a joué sont devenus des classiques du cinéma, parmi lesquels : Plein SoleilRocco et ses frèresLe GuépardLe SamouraïLa PiscineLe Clan des SiciliensLe Cercle rougeBorsalinoMonsieur Klein ou Notre histoire.

 

Bien qu'il n'ait pas réussi à s'imposer à Hollywood, il dispose d'une renommée internationale, en Europe — en particulier en Italie —, ainsi qu'en Asie, où il a développé des activités entrepreneuriales. Il obtient en 1985 le César du meilleur acteur pour Notre histoire, et une Palme d'honneur lors du festival de Cannes 2019 pour l'ensemble de sa carrière.

 

 
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Notes et références                                                    
   
   
   
    Alain Delon
    Alain Delon : Vie privée et familiale
    Alain Delon : Filmographie
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Alain Delon : Vie privée et familiale

Publié à 00:35 par dessinsagogo55 Tags : enfants chez monde amour vie sur prix livre centerblog center paris couple background histoire amis
Alain Delon : Vie privée et familiale

 

 

Compagnes et enfants

 

De 1959 à 1963, Alain Delon et Romy Schneider ont une histoire d'amour et se fiancent.

 

La chanteuse allemande, Nico, avec qui il a eu une relation, met au monde un fils, Christian Aaron Boulogne dit Ari Boulogne, le 11 août 1962. Même si l'enfant a été élevé par la mère d'Alain Delon et adopté par son beau-père, Alain Delon a toujours nié être son père.

 

Il épouse Francine Canovas (connue sous le nom de Nathalie Delon) le 13 août 1964 à La Ville-aux-Clercs. Leur fils, Anthony, naît le 30 septembre 1964 à Hollywood. En résidence séparée à partir du 19 octobre 1967, le couple divorce le 14 février 1969.

 

Au milieu des années 1960, Alain Delon vit une idylle avec Dalida, bien que les deux soient amis depuis leur première rencontre à Paris, en 1955, alors qu'ils étaient voisins de palier dans un immeuble situé avenue des Champs-Élysées.

 

Durant quinze ans, entre 1968 et 1983, Alain Delon partage la vie de l'actrice Mireille Darc.

 

Il a ensuite une idylle avec l'actrice Anne Parillaud, puis une autre, plus courte, avec Catherine Bleynie (née en 1952), divorcée de Didier Pironi. En mars 1985, il pose avec elle en couverture de Paris Match, ainsi qu'en septembre 1985, en couverture de Ciné Télé Revue, lors de la remise d'un prix.

 

Il rencontre en 1987 Rosalie van Breemen, un mannequin néerlandais, sur le tournage du vidéo-clip de sa chanson Comme au cinéma. Il a avec elle deux enfants : Anouchka, née le 25 novembre 1990, et Alain-Fabien, né le 18 mars 1994. Ils se séparent en 2001, après quatorze ans d'union.

 

En 2001, dans son livre de souvenirs, L'amour n'oublie jamais, paru chez Jean-Jacques Pauvert, le photographe Christian Aaron Boulogne, fils du mannequin, actrice et chanteuse allemande Nico affirme être le fils caché et non reconnu d'Alain Delon.

 

Interrogé sur sa vie privée en 2018, Alain Delon confie ne pas avoir trouvé sa compagne, précisant : « Je ne dis pas qu'il n'y a pas de candidates. Mais aucune pour le moment ne me convient pour finir ma vie. »

 

 

 
Liens externes                                                  
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Notes et références                                                    
   
   
   
    Alain Delon
    Alain Delon : Vie privée et familiale
    Alain Delon : Filmographie
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Alain Delon : Filmographie

Alain Delon : Filmographie

 

Cinéma

 


1949 – Le rapt Court-métrage
1957 – Quand la femme s'en mêle d'Yves Allégret : Jo.
1957 – Sois belle et tais-toi de Marc Allégret : Loulou.
1958 – Christine de Pierre Gaspard-Huit : Franz Lobheiner.
1959 – Faibles femmes de Michel Boisrond : Julien Fenal.
1959 – Le Chemin des écoliers de Michel Boisrond : Antoine Michaud.
1960 - Plein soleil de René Clément : Tom Ripley/Philippe Greenleaf.
1960 - Rocco et ses frères (Rocco e i suoi fratelli) de Luchino Visconti : Rocco Parondi.
1961 - Quelle joie de vivre (Che gioia vivere) de René Clément : Ulysse Cecconato.
1961 - Les Amours célèbres un film à sketches inspiré des bandes dessinées de Paul Gordeaux, réalisé par Michel Boisrond (sketch « Agnès Bernauer » avecBrigitte Bardot) : le duc Albert de Bavière.
1962 - L'Éclipse (L'eclisse) de Michelangelo Antonioni : Piero.
1962 - Le Diable et les Dix Commandements (5e commandement - « Tes père et mère honoreras ») de Julien Duvivier : Pierre Messager.
1962 - L'Échiquier de Dieu de Christian-Jaque, inachevé.
1963 - Carambolages de Marcel Bluwal : M. Lambert.
1963 - Mélodie en sous-sol d'Henri Verneuil : Francis Verlot.
1963 - Le Guépard (Il gattopardo) de Luchino Visconti : Tancredi.
1964 - La Tulipe noire de Christian-Jaque : Guillaume et Julien de Saint-Preux.
1964 - L'Insoumis d'Alain Cavalier : Thomas Vlassenroot.
1964 - Les Félins de René Clément : Marc.
1964 - La Rolls-Royce jaune (The Yellow Rolls-Royce) d'Anthony Asquith : Stefano
1964 - L'Amour à la mer de Guy Gilles : Alain Delon « l'Acteur dans le film du cinéma » (participation amicale).
1965 - Les Tueurs de San Francisco (Once a Thief) de Ralph Nelson : Eddie Pedak.
1966 - Paris brûle-t-il ? de René Clément : Jacques Chaban-Delmas.
1966 - Texas, nous voilà (Texas Across the River) de Michael Gordon : Don Andrea Baldazar dit Baldy.
1966 - Les Centurions (Lost Command) de Mark Robson : Philippe Esclavier.
1966 - Les Aventuriers de Robert Enrico : Manu Borelli.
1967 - Diaboliquement vôtre de Julien Duvivier : Georges Campo.
1967 - Le Samouraï de Jean-Pierre Melville : Jef Costello.
1968 - Adieu l'ami de Jean Herman : Dino Barran.
1968 - La Motocyclette (Girl on a Motorcycle) de Jack Cardiff : Daniel.
1968 - Ho ! de Robert Enrico : L'homme à l'aéroport
1968 - La Piscine de Jacques Deray : Jean-Paul Leroy.
1968 - Histoires extraordinaires (sketch « William Wilson ») de Louis Malle : William Wilson / son jumeau.
1969 - Jeff de Jean Herman : Laurent.
1969 - Madly (il piacere dell'uomo) de Roger Kahane : Julien Dandieu.
1969 - Le Clan des Siciliens d'Henri Verneuil : Roger Sartet.
1970 - Doucement les basses de Jacques Deray : Simon Médieu.
1970 - Borsalino de Jacques Deray : Roch Siffredi.
1970 - Le Cercle rouge de Jean-Pierre Melville : Corey.
1970 - Crepa Padrone de Piero Schivazappa : film inachevé.
1971 - Soleil rouge de Terence Young : Gotch.
1971 - Fantasia chez les ploucs de Gérard Pirès : apparition.
1971 - L'Assassinat de Trotsky de Joseph Losey : Frank Jackson.
1971 - La Veuve Couderc de Pierre Granier-Deferre : Jean Lavigne.
1972 - Un flic de Jean-Pierre Melville : commissaire Edouard Coleman.
1972 - Le Professeur (La prima notte di quiete) de Valerio Zurlini : Daniele Dominici.
1972 - Il était une fois un flic de Georges Lautner : l'homme qui sonne à la porte (apparition, non crédité).
1972 - Traitement de choc d'Alain Jessua : docteur Devilers.
1973 - Les Grands Fusils (Big Guns) de Duccio Tessari : Tony Arzenta.
1973 - Scorpio de Michael Winner : Jean Laurier, dit 'Scorpio'.
1973 - Les Granges brûlées de Jean Chapot : le juge Pierre Larcher.
1973 - La Race des seigneurs de Pierre Granier-Deferre : Julien Dandieu
1973 - Deux Hommes dans la ville de José Giovanni : Gino Strabliggi.
1974 - Borsalino & Co de Jacques Deray : Roch Siffredi.
1974 - Les Seins de glace de Georges Lautner : Marc Rilson.
1975 - Zorro de Duccio Tessari : Don Diego de la Vega/Zorro.
1975 - Flic Story de Jacques Deray : Roger Borniche.
1975 - Le Gitan de José Giovanni : Hugo Sennart dit Le Gitan.
1976 - Armaguedon d'Alain Jessua : le docteur Michel Ambroise.
1976 - Khenchela city de Claude Elbaz (père de Vincent Elbaz) : le jeune garçon.
1976 - Comme un boomerang de José Giovanni : Jacques Batkin.
1976 - Monsieur Klein de Joseph Losey : Robert Klein.
1977 - Le Gang de Jacques Deray : Robert dit « Le dingue ».
1977 - L'Homme pressé d'Edouard Molinaro : Pierre Niox.
1977 - Mort d'un pourri de Georges Lautner : Xavier Maréchal dit Xav.
1978 - Attention, les enfants regardent de Serge Leroy : l'homme.
1979 - Airport 80 Concorde (Airport '79, the Concorde) de David Lowell Rich : capitaine Paul Metrand.
1979 - Le Toubib de Pierre Granier-Deferre : Jean-Marie Desprée.
1980 - Téhéran 43, nid d'espions d'Alexandre Alov, Vladimir Naoumov : Inspecteur Foche.
1980 - Trois hommes à abattre de Jacques Deray : Michel Gerfaut.
1981 - Pour la peau d'un flic d'Alain Delon : Choucas.
1982 - Le Choc de Robin Davis : Martin Terrier/Christian.
1983 - Le Battant d'Alain Delon : Jacques Darnay.
1984 - Un amour de Swann de Volker Schlöndorff : le baron de Charlus.
1984 - Notre histoire de Bertrand Blier : Robert Avranches.
1985 - Parole de flic de José Pinheiro : Daniel Pratt.
1986 - Le Passage de René Manzor, musique :Jean-Félix Lalanne : Jean Diaz.
1988 - Ne réveillez pas un flic qui dort de José Pinheiro : commissaire divisionnaire Eugène Grindel.
1990 - Dancing Machine de Gilles Béhat : Alan Wolf.
1990 - Nouvelle Vague de Jean-Luc Godard : Lui, Roger Lennox et Richard Lennox.
1992 - Le Retour de Casanova d'Edouard Niermans : Giacomo Casanova.
1993 - Un crime de Jacques Deray : Maître Charles Dunand.
1994 - L'Ours en peluche de Jacques Deray : Jean Rivière.
1995 - Les Cent et Une Nuits de Simon Cinéma d'Agnès Varda : Alain Delon, en visite.
1997 - Le Jour et la nuit de Bernard-Henri Lévy : Alexandre.
1998 - Une chance sur deux de Patrice Leconte : Julien Vignal.
2000 - Les Acteurs de Bertrand Blier : lui-même.
2008 - Astérix aux Jeux Olympiques de Frédéric Forestier et Thomas Langmann : Jules César.
2010 - Le Guépard version remasterisée

 

 
Liens externes                                                  
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Notes et références                                                    
   
   
   
    Alain Delon
    Alain Delon : Vie privée et familiale
    Alain Delon : Filmographie
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Jean Marais

Publié à 00:04 par dessinsagogo55 Tags : center vie centerblog sur merci amour saint chez femme mort annonce blogs enfant film
Jean Marais

 

Jean Alfred Villain-Marais, dit Jean Marais, né le 11 décembre 1913 à Cherbourg (Manche) et mort le 8 novembre 1998 à Cannes (Alpes-Maritimes), est un acteur français. Actif au théâtre comme au cinéma, il fut également metteur en scène, écrivain, peintre, sculpteur, potier et réalisait la plupart de ses cascades. Il reçut en 1993 un César d'honneur.

 

Jean Alfred Villain-Marais est officiellement le fils d'Alfred Villain-Marais (1882-1959) et d'Aline Marie Louise Vassord (1887-1973), selon l'extrait de l'acte de naissance n°756/163, ville de Cherbourg.

 

Biographe de l’acteur, Sandro Cassati précise que la mère de Jean, d’origine alsacienne, fut recueillie par sa tante et prit le nom d’Henriette Bezon, nom officiel qu’elle utilisa pour son mariage en 1906, à Neuilly-sur-Seine.

 

Jean Marais n'a que cinq ans lorsque sa mère, décide de quitter son mari, de retour de guerre, qui exerce la profession de vétérinaire à Cherbourg. Elle part vivre en région parisienne avec ses deux fils (Henri et Jean), en banlieue ouest : au Vésinet, puis à Chatou. Comme elle est souvent absente, le petit Jean lui écrit alors des lettres d'amour mais c'est sa tante Joséphine qui inscrit l'adresse sur l'enveloppe. Il comprendra plus tard le secret de sa mère : kleptomane, elle effectuait des séjours en prison. Se faisant appeler Morel, elle adopte le prénom d'Henriette puis de Rosalie. La relation mère-fils complexe, passionnée et intense, va se faire plus forte encore du fait de l’absence du père. Jean Marais ne le reverra que près de quarante ans plus tard ; sa mère lui avouera alors que son vrai père était en fait son parrain, présenté comme étant son oncle, Eugène Houdaille. Version par la suite contredite par un ami médecin de son père, le docteur Hervé.

 

Jean Marais a un fils adoptif, Serge Ayala (1942-2012, suicide), qui eut une brève carrière de chanteur en 1965-1966. Dans l'émission L'Invité du jeudi présentée par Alain Cances diffusée le 26 avril 1979 sur Antenne 2, Jean Marais conteste cette information et annonce qu'il a reconnu cet enfant. D'abord jockey, Serge Alaya se lance dans la chanson en 1966, avant de jouer aux côtés de Jean Marais dans le film Sept hommes et une garce (1967).

 

Très jeune, Jean va souvent au cinéma entraîné avec sa mère et il tombe en admiration de l’actrice américaine Pearl White pour ses chevauchées fantastiques et ses qualités de cascadeuse. Mais Jean, lui rendant visite plus tard, est très déçu en apprenant par elle-même qu’elle était toujours doublée dans ses films. « En somme, déclara Marais, toute ma carrière est partie de mon admiration pour cette femme qui ne faisait pas ce qu’on voyait à l’écran. » Douglas Fairbanks, le Zorro du cinéma muet et Mary Pickford, pour sa grâce juvénile, sont aussi ses stars préférées.

 

Enfant de chœur, Jean est un élève très médiocre, sauf en récitation et en gymnastique au collège de Saint-Germain-en-Laye, où il devient chef de bande et bagarreur. Mauvaises notes, conduite dissipée, il est renvoyé. Inscrit au collège du Petit-Condorcet, puis interne à Janson-de-Sailly, avant retour à Saint-Germain où il intercepte la lettre d’exclusion de l’établissement. Après un séjour en pensionnat religieux réputé pour sa sévérité, Jean quitte la scolarité en classe de seconde, âgé de seize ans, pour entrer dans la vie active. Il est apprenti chez un fabricant d’appareils de radio, puis à l’usine Pathé de Chatou. C’est dans un atelier de photographie qu’il fait la connaissance d’Henri Manuel, un photographe portraitiste, qui lui donne ses premiers conseils de lecture, car Jean est alors totalement inculte, et l’aide à réaliser ses rêves de théâtre en lui indiquant un cours d’art dramatique à Montmartre. En 1932, Jean quitte la dernière habitation commune avec sa mère, rue des Petits-Hôtels (10e arrondissement de Paris) et part au service militaire âgé de dix-neuf ans.

 

 
Liens externes                                                  
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Notes et références                                                    
   
   
   
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Jean Marais : Filmographie

Publié à 22:32 par dessinsagogo55 Tags : article center centerblog sur merci amour saint musique maison poulain texte blogs
Jean Marais : Filmographie

 

 

Filmographie complète

Théâtre

Comédien

 

1937 : Jules César de William Shakespeare, adaptation Simone Jollivet, mise en scène de Charles Dullin, Théâtre de l'Atelier - élève figurant

1937 : Œdipe-Roi de Jean Cocteau, mise en scène de l'auteur, Théâtre Antoine - le peuple, chœur d’hommes

1937 : Macbeth de William Shakespeare, mise en scène de Julien Berteau, Théâtre de l'Atelier - Malcolm

1937 : Les Chevaliers de la Table ronde de Jean Cocteau, mise en scène de l'auteur, Théâtre de l'Œuvre - double rôle : Galaad et le faux

1938 : Les Parents terribles de Jean Cocteau, mise en scène Alice Cocéa, Théâtre des Ambassadeurs - Michel, le fils

1941 : Britannicus de Racine, mise en scène de Jean Marais, Théâtre des Bouffes-Parisiens - Néron

1941 : Les Huit Cents Mètres d'André Obey mise en scène de Jean-Louis Barrault, Stade Roland-Garros

1941 : La Machine à écrire de Jean Cocteau, mise en scène de l'auteur, Théâtre Hébertot - double rôle : Maxime et Pascal

1942 : L'Avare, mise en scène de Charles Dullin, Théâtre Sarah-Bernhardt - Cléante

1944 : Andromaque de Racine, mise en scène de Jean Marais, Théâtre Édouard VII - Oreste

1946 : Renaud et Armide de Jean Cocteau, mise en scène de l'auteur, Théâtre royal des Galeries de Bruxelles - Renaud

1946 : L'Aigle à deux têtes de Jean Cocteau, mise en scène de Jacques Hébertot, Théâtre Hébertot- Stanislas, l'anarchiste

1949 : Chéri de Colette, mise en scène de Jean Wall, Théâtre de la Madeleine - Fred Peloux dit Chéri

1952-1953 : Britannicus de Racine, mise en scène de Jean Marais, Comédie-Française - Néron

1952 : Mithridate de Racine, mise en scène de Jean Yonnel, Comédie-Française - Xiparès

1952 : Le Portrait surnaturel de Dorian Gray de Jean Cocteau, ballet adapté d'Oscar Wilde et présenté à Barcelone - récitant et auteur du livret

1954 : La Machine infernale de Jean Cocteau, mise en scène de l'auteur, Théâtre des Bouffes-Parisiens, tournée Herbert - Œdipe

1955 : Pygmalion de George Bernard Shaw, mise en scène de Jean Marais, Théâtre des Bouffes-Parisiens - Henry Higgins, le phonéticien

1957 : César et Cléopâtre de George Bernard Shaw, mise en scène de Jean Le Poulain, Théâtre Sarah-Bernhardt - César

1959 : Deux sur la balançoire de William Gibson, mise en scène de Luchino Visconti, Théâtre des Ambassadeurs - Jerry Ryan

1962 : Œdipe-Roi de Jean Cocteau, mise en scène de Louis Erlo, Théâtre antique de Lyon (Fourvière) - Œdipe

1966 : Adorable Julia de Marc-Gilbert Sauvajon d’après Somerset Maugham, mise en scène de Jean-Laurent Cochet, avec Madeleine Robinson puis en 1967 Théâtre des Célestins, tournée Karsenty-Herbert

1968 : Le Disciple du Diable de George Bernard Shaw, adaptation Jean Cocteau, mise en scène de Jean Marais, Théâtre de Paris - Richard Dudgeon

1969 : Œdipe-Roi de Jean Cocteau, mise en scène, décors et costumes de Jean Marais, Théâtre de l'Alliance française - Œdipe

1970 : Cyrano de Bergerac de Edmond Rostand, mise en scène de Jacques Ardouin, Théâtre des Célestins, tournée Karsenty-Herbert - Cyrano

1970 : L'Amour masqué de Sacha Guitry et André Messager, mise en scène de Jean-Pierre Grenier, Théâtre du Palais-Royal - Lui

1972 : L'Ange Heurtebise, chorégraphie de Maurice Béjart, texte de Jean Cocteau, musique de Manos Hadjidakis, avec Jorge Donn et Jean Marais, Cirque Royal de bruxelles

1973 : Tartuffe de Molière, mise en scène Jean Meyer, Théâtre des Célestins - Tartuffe

1973 : Le Bossu de Paul Féval, mise en scène de Jacques-Henri Duval, Théâtre des Célestins puis Théâtre Montansier à Versailles - double rôle : Lagardère et le Bossu

1975 : Les Misérables de Paul Achard d'après Victor Hugo, mise en scène Jean Meyer, Théâtre de l'Agora Évry puis en 1976 Théâtre des Célestins à Lyon - Jean Valjean

1977 : Les Parents terribles de Jean Cocteau, mise en scène de Jean Marais, Théâtre Antoine - Georges, le père

1978-1979 : Le Roi Lear de William Shakespeare, mise en scène Yves Gasc, Festival de Vaison-la-Romaine et Théâtre de l'Athénée - le Roi

1979 : L'Alcade de Zalamea de Calderon, mise en scène de Jean Le Poulain, Festival de Vaison-la-Romaine - Pedro Crespo

1980 : Cher menteur de Jerome Kilty, mise en scène de l'auteur avec Edwige Feuillère, Théâtre de l'Athénée - rôle de Georges Bernard Schaw

1980 : reprise en tournée à l'étranger de la pièce Les Parents terribles

1981 : Du vent dans les branches de sassafras de René de Obaldia, mise en scène Jacques Rosny, Théâtre de la Madeleine puis en 1982 Théâtre des Célestins à Lyon - John-Emery Rockefeller

1983 : Cocteau-Marais de Jean Cocteau, mise en scène de Jean Marais & Jean-Luc Tardieu, Théâtre de l'Atelier, Théâtre Renaud-Barrault, tournées Europe francophone, Allemagne, Italie, Canada, Japon

1985 : Le Cid de Corneille, mise en scène de Francis Huster, Théâtre Renaud-Barrault- Don Diègue

1986 : La Maison du lac d'Ernest Thompson, adaptation Pol Quentin, mise en scène de Raymond Gérôme, avec Edwige Feuillère, Théâtre Montparnasse - Tom Murphy

1988 : Bacchus de Jean Cocteau, mise en scène de Jean Marais, Théâtre des Bouffes-Parisiens - le Duc

1989 : Hernani de Victor Hugo, mise en scène de Jean-Luc Tardieu, Maison de la Culture de Loire-Atlantique Nantes - Don Gomez

1989 : La Machine infernale de Jean Cocteau, mise en scène de Jean Marais, Festival d’Anjou, Espace Pierre Cardin - le fantôme de Laïos

1993 : Les Monstres sacrés de Jean Cocteau, mise en scène de Raymond Gérôme, Théâtre des Bouffes-Parisiens avec Michèle Morgan - Florent

1995 : Les Chevaliers de la Table ronde de Jean Cocteau, mise en scène de Nicolas Briançon, Théâtre des Célestins

1997 : L'Arlésienne d'Alphonse Daudet, mise en scène de Roger Louret - Baltazar, le berger

1997 : La Tempête de William Shakespeare, mise en scène de Jean-Luc Revol - spectacle annulé pour cause de maladie de Jean Marais

 

Metteur en scène

 

1941 : Britannicus de Jean Racine, Théâtre des Bouffes-Parisiens (Paris), mise en scène, décors et costumes, rôle de Néron

1944 : Andromaque de Racine, Théâtre Édouard VII (Paris), mise en scène, décors et costumes, rôle d'Oreste

1952 : Britannicus de Racine, Comédie-Française, mise en scène, décors et costumes, rôle de Néron

1955 : Pygmalion de George Bernard Shaw, Théâtre des Bouffes-Parisiens, mise en scène, décors et costumes, rôle du professeur Henry Higgins

1957 : L'Apprenti fakir de Jean Marais, décors et costumes Jean Marais, chorégraphie et mise en scène Georges Reich, paroles Charles Aznavour, musique Jeff Davis, Théâtre de la Porte-Saint-Martin (Paris)

1959 : Un rossignol chantait de Robert Lamoureux, mise en scène et décors, Théâtre des Variétés (Paris)

1968 : Le Disciple du diable de George Bernard Shaw, adaptation Jean Cocteau, Théâtre de Paris, mise en scène, décors et costumes, rôle de Richard Dudgeon

1969 : Œdipe-Roi de Jean Cocteau, Théâtre de l'Alliance française, mise en scène, décors et costumes, rôle de Œdipe

1977 : Les Parents terribles de Jean Cocteau, Théâtre Antoine (Paris), rôle du père

1983 : Cocteau-Marais de Jean Cocteau, mise en scène avec Jean-Luc Tardieu, Théâtre de l'Atelier, théâtre Renaud-Barrault, tournées Europe francophone, Allemagne, Italie, Canada, Japon

1988 : Bacchus de Jean Cocteau, Théâtre des Bouffes-Parisiens, mise en scène, décors et costumes, rôle du duc

1989 : La Machine infernale de Jean Cocteau, Festival d’Anjou, Espace Pierre Cardin (Paris), rôle de Laïos

 

 

 
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Marais
Notes et références                                                    
   
   
   
    Jean Marais
    Jean Marais : Filmographie
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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