Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
22.01.2025
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Par Anonyme, le 17.12.2024
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Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
Montage
Sommedieue est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.
Géographie
Situé à une quinzaine de kilomètres de Verdun, Sommedieue est un petit village très vallonné, traversé par la rivière la Dieue, un affluent de la Meuse, qui lui donne son nom : c'est sur le territoire de la commune qu'elle prend sa source. La commune fait partie du parc naturel régional de Lorraine.
Haudainville | Haudainville | |
Dieue-sur-Meuse | Rupt-en-Woëvre | |
Dieue-sur-Meuse | Dieue-sur-Meuse | Rupt-en-Woëvre |
En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-20002. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 972 mm, avec 14,3 jours de précipitations en janvier et 9,9 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bonzée_sapc », sur la commune de Bonzée à 10 km à vol d'oiseau4, est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 783,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,6 °C, atteinte le 24 juillet 2019; la température minimale est de −17,3 °C, atteinte le 7 février 2012.
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Urbanisme
Sommedieue est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Verdun, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 103 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (83,1 %), terres arables (11,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3 %), zones urbanisées (1,7 %), prairies (1,2 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (xviiie siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Toponymie
Le nom de Sommedieue provient du latin Summa, source et du gaulois Deva, divine, attesté en Summa Deuvia en 984.
L'église Saint-Jean-Baptiste.
Histoire
À la source de la Dieue, le site de Sommedieue est occupé dès l'époque gallo-romaine, ainsi qu'en témoignent le mallus gaulois et les vestiges archéologiques découverts. Le village est, au Moyen Âge, situé dans une enclave barroise du Verdunois. La nomination à la cure est confiée par l'évêque de Verdun à l'abbaye Saint-Paul en 1201. Jusqu'à la fin du xviiie siècle, Sommedieue reste une petite agglomération de maisons de bûcherons et de charbonniers ; c'est au xixe siècle que le village entreprend une industrialisation en se dotant d'un moulin, d'une scierie, de tourneries et d'une fabrique de chaises et de meubles. À la fin du xixe siècle, Sommedieue compte environ 300 ouvriers. Nombre de ces activités ont depuis périclité.
Durant la Première Guerre mondiale, en décembre 1914, la ligne de front se situe dans la commune, tenue par le 106e régiment d'infanterie. Le 25 décembre 1914, le 67e régiment d'infanterie attaque les Allemands, en réplique l'artillerie allemande bombarde la commune. « La canonnade s'exalte, rebondit et tressaille, avec des éclats cuivrés, de stridences, des espèces de rires. Elle nous cogne sur les nerfs, nous fait courir dans les reins de grands frissons glacés. On dirait une fanfare puissante et sauvage dont le rythme nous empoigne violemment, nous jette à une frénésie morne où nous nous enfonçons sans pouvoir nous débattre, sans le vouloir, vaincus. »
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
01/03/08 | En cours (au 3 juillet 2020) | Daniel Sanzey Réélu pour le mandat 2020-2026 | Professeur |
Les données manquantes sont à compléter.
Du Lundi au Mardi : de 08h30 à 12h00 de 13h30 à 17h30
Le Mercredi : de 08h30 à 12h00
Du Jeudi au Vendredi : de 08h30 à 12h00 de 13h30 à 17h30
Le Samedi : de 08h30 à 10h00
Population et société
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007.
En 2021, la commune comptait 974 habitants, en augmentation de 2,2 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
615 | 601 | 639 | 738 | 926 | 1024 | 1159 | 1202 | 1172 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
1100 | 1172 | 1260 | 1233 | 1197 | 1308 | 1336 | 1126 | 1287 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
1498 | 1365 | 1418 | 1362 | 1184 | 1232 | 1230 | 871 | 1018 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
1037 | 983 | 879 | 949 | 968 | 980 | 944 | 937 | 947 |
2017 | 2021 | - | - | - | - | - | - | - |
977 | 974 | - | - | - | - | - | - | - |
La nécropole nationale
Culture locale et patrimoine
L'hôtel de ville, dans la salle du conseil : Marianne du peintre Lucien Lantier.
L'église Saint-Jean-Baptiste xviiie siècle.
Les deux maisons de maîtres appelées châteaux avec parc.
Le fort du Rozelier, 1887 - 1890, renforcé en 1904.
L'ouvrage Saint-Symphorien, 1804.
Les belles maisons de xviiie siècle, dont plusieurs datées.
Plusieurs lavoirs du xixe siècle : Saint-Joseph, la Ninade, etc.
Les nombreuses sources dont la plus connue est la Fontaine du Curé.
Le camping municipal au lieu-dit les Épichées.
L'aérodrome communal ouvert à la circulation aérienne publique sur l'ancienne base aérienne américaine du Rozelier.
Le terrain militaire et abri souterrain de munitions.
Dans le Fond d'Hinvaux, vestige d'un chemin de fer militaire pour artillerie lourde sur voie ferrée (ALFV).
La nécropole nationale de 1914-1918.
Jean Berveiller (1904-1976), compositeur, est né à Sommedieue
Croix de guerre 1914-1918 : 11 août 1921.
Charles Baudelaire, né le 9 avril 1821 à Paris et mort dans la même ville le 31 août 1867, est un poète français.
« Dante d'une époque déchue » selon les mots de Barbey d'Aurevilly, « tourné vers le classicisme, nourri de romantisme », à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la « modernité », il occupe une place considérable parmi les poètes français pour un recueil qu'il aura façonné sa vie durant : Les Fleurs du mal, mais aussi pour sa poésie en prose, réunie dans Le spleen de Paris.
Au cœur des débats sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache la poésie de la morale, la proclame tout entière destinée au Beau et non à la Vérité, et laisse le souvenir d'un poète déchiré entre le Ciel et la Terre, entre l'Idéal et la fange, cherchant à faire du Mal un objet de contemplation esthétique ("Tu m'as donné ta boue et j'en ai fait de l'or"). Comme le suggère le titre de son recueil, il a tenté de tisser des liens entre le mal et la beauté, le bonheur fugitif et l'idéal inaccessible (À une Passante), la violence et la volupté (Une martyre), mais aussi entre le poète et son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère ») et même entre les artistes à travers les âges (Les Phares). Outre des poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda), l'horreur (Une charogne) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage) à travers l'exotisme.
Il est aussi un grand critique d'art, avec ses fameux Salons, où il prendra la défense de Delacroix, un théoricien du dandysme et un défenseur de la musique de Wagner, et imprimera définitivement sa marque dans la poésie française.
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Église Saint-Joseph de Cervisy
Stenay (prononcé /stə.nɛ/) est une commune française située dans le département de la Meuse, en Lorraine, dans la région administrative Grand Est.
Ses habitants sont les Stenaisiens.
Géographie
Stenay est situé dans la partie nord de la plaine de la Woëvre et est traversé par la Meuse et par le canal de l'Est. La Wiseppe se jette dans la Meuse à Stenay.
Le bourg de Stenay est en grande partie installé sur la rive droite de la Meuse. Deux grands axes s'y croisent : la route D 947 : Reims (100 km au sud-ouest) - Luxembourg (80 km à l'est) et la route D 964 : Sedan (34 km au nord-ouest) - Verdun (47 km au sud).
Au nord de la ville : faubourg de Cervisy.
Au nord-est de la ville : le château de Bronelle.
Cesse (accès par la D947 puis par la D30) | Martincourt-sur-Meuse (accès par la D964) et Olizy-sur-Chiers (accès par la D13) | Nepvant (accès par la D13) et Brouennes (accès par la D209) |
Laneuville-sur-Meuse (accès par la D947) | Baâlon (accès par la D947) | |
Wiseppe (accès par la D947 puis par la D30) | Saulmory-Villefranche (accès par la D947 puis par la D30) | Mouzay (accès par la D964) |
En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 884 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet3. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mouzay », sur la commune de Mouzay à 4 km à vol d'oiseau, est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 789,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,4 °C, atteinte le 24 juillet 2019; la température minimale est de −15,3 °C, atteinte le 20 décembre 2009
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Urbanisme
Stenay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee. Elle appartient à l'unité urbaine de Stenay, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes et 2 917 habitants en 2021, dont elle est ville-centre. La commune est en outre hors attraction des villes.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,2 %), prairies (29,5 %), forêts (12,7 %), zones urbanisées (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (xviiie siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Toponymie
D'après une tradition peu fondée, on voyait au ve siècle un temple dédié à Saturne (Sadorn), d'où l'on croit que dérive le nom de Stenay.
Anciennes mentions : Sathanagium, Sathonagium (714) ; Astenidum (877) ; Astanid (888) ; Satenaium (xe siècle) ; Sathaniacum (xe siècle) ; Sathinidium (1036) ; Sathanacum (1069) ; Setunia (xie siècle) ; Sathanacum villam (1079) ; Satiniacum, Sathiniacum (1086) ; Sathanaco (1108) ; Sathanacensi (1157) ; Sathaniaco (1159) ; Sathanai (1173) ; Sethenac (1208) ; Settenai (1243) ; Sethenai (1264) ; Sathenay (1276, 1399, 1463, 1483, 1549, 1558, 1585) ; Sathanay (1284) ; Satenay (1399) ; Astenæum (1580) ; Satanagus (1630) ; Satanay, Sthenay (1643) ; Stenay (1793).
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Ancien couvent des Minimes
Histoire
Avant de s'appeler Stenay, la ville porta longtemps le nom de Sathenay. Le héraut Vermandois, dans son armorial des années 1275-1285, signale un chevalier nommé «Lermite de Sathenay», dont le blason est : palé d'argent et de gueules de 6 pièces …
En 1552, dans ses commentaires des "dernières guerres en la Gaule Belgique", François de Rabutin parle aussi de «la ville de Sathenay (autrement par le langage corrompu appelée Astenay)»… "Sathenay où il n'y avait ni artillerie ni munitions, soldats ni garnison aucune pour le roi que les habitants et un capitaine"… Il signale l'importance de son pont sur la Meuse.
1591. Turenne prend par surprise Stenay que Charles III tente vainement de reconquérir lors de deux sièges successifs. Une fois la paix signée (traité de Folembray, 1595), la ville sera restituée aux Lorrains, au début de 1596.
1608-1632. Construction de la citadelle de Stenay, « une des plus belles et des plus régulières de la frontière, » sous le gouvernement de Simon II de Pouilly.
1632. Louis XIII, à Liverdun, contraint le duc Charles IV de Lorraine à signer un traité donnant pour 4 quatre ans Stenay à la France, ainsi que les places fortes, toutes proches, de Dun et Jametz. En fait, la ville restera occupée pour toujours par les Français… avec, comme premier gouverneur, le comte de Lambertye, puis, en 1634, le comte de Charost.
1641. Traité de Saint-Germain : le duc de Lorraine, Charles IV, cède à la France Clermont, Jametz, Dun et Stenay (ces trois dernières villes, situées en lisière d’Argonne, seront données en apanage à Condé en 1648, ainsi que tout le Clermontois).
1654 : 28 juin. Au bout de 32 jours de siège par l’armée française, dirigé par Abraham de Fabert d'Esternay (Vauban y fait ses premières armes, et y sera blessé deux fois 20), Stenay sera reprise par Louis XIV à Condé, révolté de la Fronde.
1659. Par le traité des Pyrénées, Louis XIV redonne à Condé ses titres et ses biens : le Clermontois confisqué retourne au prince, ainsi que Stenay.
Médaille de la bataille de Stenay par Mauger. La bataille qui eut lieu en 1654 fut frappée en médaille seulement en 1702. Description avers : Tête de Louis XIV jeune à droite, au-dessous signature MAVGER F.Description revers : La France debout, la main droite appuyée sur un bouclier fleurdelisé. Devant elle, à genoux, la ville de Stenay, sous les traits d’une femme couronnée de tours et prosternée sur l’écusson de la ville. Avec la légende : URBIUM GALLICARVM AD MOSAM SECURITAS. STENAEVM CAPTUM M.DC.LIIII
"M. de La Moussaye avait acheté la belle terre de Quintin en Bretagne du duc de La Trémoille son beau-frère, dont son fils porta le nom, qui était frère aîné de M. de La Moussaye, lieutenant général et attaché à M. le Prince, dans le parti duquel il mourut gouverneur de Stenay sans avoir été marié." Mémoires de Saint Simon, Tome 2 Chapitre 5, 1697.
Chef-lieu de district de 1790 à 1795, la ville fut conquise par François Sébastien de Croix de Clerfayt en 1792.
Le 11 novembre 1918, elle est la dernière ville reprise par les Alliés lorsque la 89e division d'infanterie américaine du général William M. Wright (en) la délivre quelques heures avant que l'armistice entre en vigueur. Cette division perd 365 hommes en majorité sous le feu de l’artillerie de l'armée impériale allemande. La raison invoquée par Wright pour l'attaque était que « La division était au front depuis très longtemps sans disposer d'installations de lavage convenables, et qu'il s'était avéré que si Stenay était laissé aux mains de l'ennemi, [les] troupes ne pourraient pas profiter des installations qui s'y trouvaient probablement. »
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