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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Indira Ampiot, née le 19 septembre 2004 à Basse-Terre, en Guadeloupe, est une reine de beauté française. Elle est élue Miss Guadeloupe 2022 puis Miss France 2023 devenant ainsi la 93e Miss France et la 4e Miss Guadeloupe couronnée.
Biographie
Indira Ampiot naît le 19 septembre 2004. Ses parents sont divorcés. Elle a un grand frère, Brice Ampiot, de quatre ans son aîné. Du côté de son père, elle considère Giulia qui est la fille de sa belle-mère comme sa demi-sœur.
Son grand-père maternel est d'origine indienne, son prénom signifie « beauté » en sanskrit. Elle a également des origines bretonnes et guadeloupéennes.
Son père, Didier Ampiot, a une agence de communication et de marketing.
Sa mère, Béatrice Téjou, travaille à la Sécurité sociale et s'occupe des voyages des agents. Elle a également participé à l'élection de Miss Guadeloupe en 1998, terminant première dauphine, après avoir été Miss Basse-Terre.
Indira Ampiot est la nièce de Frédéric Tejou (en), joueur de football professionnel.
En juillet 2022, elle obtient son baccalauréat avec mention. Elle est passionnée de dessin et de théâtre. Elle n'a pas commencé ses études supérieures mais elle souhaite intégrer une école de communication avec pour objectif de se spécialiser dans la communication publicitaire visuelle et dans le design
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Son père, Aimé, Français originaire d'Égypte, est contrôleur du trafic sur le canal de Suez, lors de sa naissance le 1er février 1939, à Ismaïlia en Égypte.
Il porte les prénoms Claude, Antoine, Marie. Il était de tradition chez les François d'appeler les garçons par un prénom commençant par un A, mais Chouffa, sa mère avec son caractère trempé d'italienne a su imposer le prénom de "Claude", Antoine fut donc attribué en deuxième prénom et Marie étant le prénom de la Vierge pour protéger l'enfant.
Sa mère, Lucia alias Chouffa, originaire de Calabre en Italie, s'occupe du foyer familial.
Frère : aucun.
Sœur : une seule (Josette François)
Claude François a aussi deux enfants, Claude Junior alias Coco, et Marc.
Sa famille est expulsée d'Égypte (avec de nombreux Français et Britanniques) lors de la nationalisation du canal de Suez ; il arrive avec ses parents à Marseille en 1956. La famille s'installe à Monaco puis à Nice.
Il apprend le piano, le violon et la batterie.
Il trouve une place de batteur dans un orchestre de quartet de jazz à Monte-Carlo, place que son père refusera tout d'abord car celui-ci souhaitait que son fils soit comptable (réf: Clo-Clo, le film de sa vie)
C'est à l'hiver 1960 qu'il arrive à Paris sur les conseils de Brigitte Bardot et de Sacha Distel avec Janet Woolcoot, qu'il a épousée le 5 novembre 1960 à Monaco.
Mars 1961 : son père décède d'une maladie des poumons, se laissant mourir, persuadé que la France l'a abandonné.
1962 : premier succès avec Belles belles belles.
1963 : Claude François demande à Michel Bourdais, dessinateur à Salut les copains, de réaliser son portrait. Il qualifiera de « merveilleux » ce dessin hyperéaliste qui est devenu par la suite, très célèbre.
1964 : Claude François à l'Olympia
1966 : apparition des Clodettes, ses danseuses.
1967 : il compose avec Jacques Revaux et écrit avec Gilles Thibaut le titre Comme d'habitude, à la suite de sa rupture avec la chanteuse France Gall, qui sera adapté en anglais par Paul Anka (My Way) et repris notamment par Frank Sinatra Elvis Presley et Sid Vicious (mais avec des modifications du texte).
13 mars 1967 : Claude François et Janet Woolcoot divorcent. Elle l'avait quitté au printemps 1962 pour Gilbert Bécaud qu'elle avait rencontré à l'Olympia.
1967 : il fonde sa maison de disques Flèche. Il rencontre Isabelle Forêt qui donne naissance à Claude Junior le 8 juillet 1968 et Marc le 15 novembre 1969. Sa chanson Parce que je t'aime mon enfant est adaptée en anglais et reprise par Elvis Presley, sous le titre My Boy.
14 mars 1970 : malaise pendant un concert à Marseille salle Vallier,
17 mai : accident de voiture sur l'autoroute du sud près d'Orange, un pneu éclate, Claude saura faire par la suite la « publicité » de cette marque de pneu à chaque interview qui suivirent. Son nez est fracturé et les pommettes éclatées. Il devra subir une rhinoplastie.
1972 : Il reprend le journal Podium qui devient rapidement la plus grosse publication pour les jeunes.
Séparation d'avec la mère de ses enfants. Il rencontrera Sofia, une suédoise avec laquelle il restera quatre ans.
1973 : un fan l'agresse lors d'un concert.
1975 : il est une victime collatérale d'un attentat de l'IRA dans son hôtel Hilton de Londres. Il doit la vie à une passante qui prendra la déflagration de plein fouet.
1977 : il découvre que les droits qui lui ont été versés pour les adaptations de My Way, qui est devenu un succès mondial, n'ont pas été calculés correctement. Son dossier lui permet cependant d'obtenir gain de cause vers la fin de l'année. Le 26 juin, il se fait tirer dessus alors qu'il est au volant de sa voiture, en chemin vers son moulin de Dannemois. Il échappe miraculeusement à la mort alors que la course poursuite avec ses agresseurs a duré pendant une dizaine de kilomètres.
Son dernier titre sera Alexandrie Alexandra (composé à l'automne 1977). Claude François meurt le 11 mars 1978, par électrocution dans la salle de bains, boulevard Exelmans à Paris, alors qu'il tentait de redresser une applique en cuivre qui était de travers sur le mur au dessus de la baignoire. Il devait, l'après-midi même (il était déjà en retard) participer à l'émission Rendez-vous de Michel Drucker. Un flash spécial à la radio et à la télévision annonce, à 16 heures, son décès.
15 mars 1978 : son nouveau 45 tours Alexandrie, Alexandra arrive chez les disquaires, jour de ses obsèques qui eurent lieu en l'église d'Auteuil, à Paris.
Il est enterré au cimetière de Dannemois (Essonne) où sa tombe est l'objet de nombreuses visites. Il était propriétaire du moulin du village, aujourd'hui transformé en musée.
Le 11 mars 2000, une place Claude-François est inaugurée à Paris, boulevard Exelmans dans le 16e arrondissement, au pied de son ancien domicile parisien.
En 2005, une rue d'Ismaïlia est également baptisée en son honneur.
La discographie de Claude François comporte un peu plus de 400 titres, (près de 500 chansons avec les versions en public). Il en a commercialisé près de 400, ce qui démontre une volonté de travail hors du commun. La liste du lien ci-dessus concerne environ 380 titres différents commercialisés et un relevé exhaustif des essais et répétition. La discographie étrangère de Claude François comporte des titres en anglais, en italien, en espagnol et même en japonais. Il sortit 278 titres en France et en Français (car les chiffres donnés au-dessus comprennent les versions étrangères).
Il est le sixième plus gros vendeurs de disques en France derrière Johnny Hallyday, Michel Sardou, Jean Jacques Goldman, Celine Dion et Sheila.
On peut déduire de cette discographie certains éléments :
Son attachement à sa première parolière Vline Buggy, et plus tard aux paroliers Gilles Thibaut, Eddy Marnay, Jean-Michel Rivat, Michèle Vendôme, Yves Dessca (qui deviendra producteur de Gloria Gaynor), Jacques Plante, Pierre Delanoë et Didier Barbelivien.
En 1977, il marque sa volonté de donner un sens plus pointu à ses chansons en faisant appel à Étienne Roda-Gil.
Il ne compose et écrit personnellement que très peu de chansons, mais elles sont un indice de ses préoccupations personnelles. Dans la première partie de sa carrière, comme tous les chanteurs français yéyés de l'époque, il va surtout faire des reprises qu'il adapte au public français, les titres anglais originaux n'étant pas distribués ou tout simplement directement cédés à l'exportation pour adaptation.
Si Claude François s'inspire souvent de la Motown, particulièrement du compositeur Lamont Dozier, associé aux frères paroliers-producteurs Brian & Eddie Holland, il fait également appel aux compositeurs français. Ainsi, il fait appel à Patrick Juvet, Alice Dona, Alain Le Govic (plus connu sous le nom d'Alain Chamfort) et Jacques Revaux qui composera Comme d'habitude. Mais c'est surtout Jean-Pierre Bourtayre qui, s'inspirant des sources de la Motown, lui composera ses plus grands succès.
Sa minutie lui fait modifier toutes les partitions et paroles qui lui sont présentées comme pour Comme d'habitude qui s'inspire de sa rupture avec France Gall. Il est l'auteur du titre "Belles belles belles", que Vline Buggy à l'origine avait intitulée "Rien rien rien".
Pour la plupart des chansons, un extrait sonore de 30 secondes est disponible sur le site de D. Vallin ou sur Amazon.
À ce jour (2007), environ 70 millions d'albums ont été vendus.
Albums
1962 : Le nabout twist (sa toute première chanson qui sera peu connue en France) mais dont il dut changer les paroles car certains passages étaient en arabe. On était alors en pleine guerre d'Algérie.
1962 : Belles, Belles, Belles (c'est sa première chanson à succès : il devient une vedette)
1962 : Marche tout droit
1963 : Si j'avais un marteau
1964 : Donna, donna
1964 : J'y pense et puis j'oublie
1965 : Même si tu revenais
1967 : Comme d'habitude (c'est la troisième chanson la plus interprétée dans le monde)
1968 : Eloïse
1969 : J'attendrai
1969 : Un monde de musique
1969 : Tout éclate, tout explose
1969 : Claude François à l'Olympia
1970 : Le monde extraordinaire de Claude François
1970 : Le jouet extraordinaire
1971 : C'est la même chanson
1971 : Tournée été 71
1971 : Il fait beau, il fait bon
1972 : Y'a le printemps qui chante
1972 : Le lundi au soleil
1973 : Je viens dîner ce soir
1973 : Sha la la
1973 : Chanson populaire
1973 : Claude François sur scène
1974 : Le mal aimé
1974 : Le téléphone pleure (c'est son plus grand succès)
1975 : Toi et moi contre le monde entier
1975 : Pourquoi pleurer
1975 : Été 75
1975 : Le chanteur malheureux
1976 : Cette année-là
1976 : À 17 ans
1976 : Pour les jeunes de 8 à 88 ans
1976 : Le vagabond
1977 : Je vais à Rio
1977 : Magnolias for ever
1977 : Toi et le soleil
1978 : Bordeaux rosé
1978 : Alexandrie, Alexandra (c'est sa dernière chanson)
1993 : Hommages
1996 : Le monde extraordinaire de Claude François
1996 : En vrai
1998 : Danse ma vie (Remix)
1998 : Les concerts inédits de musicorama
1998 : Eloïse - 65/69
1998 : Bernadette - 68/75
2003 : J'attendrai
2004 : Comme d'habitude
Filmographie
1977 : Drôles de zèbres, film de Guy Lux
2004 : Podium, film pastiche sur les sosies de Claude François.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Fran%C3%A7ois | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | Musique : Postes (Sommaire) | ||||||||||||||||||||||||||
BIOGRAPHIE | Claude François | ||||||||||||||||||||||||||
Claude François : Belinda | |||||||||||||||||||||||||||
Claude François : Comme d'habitude | |||||||||||||||||||||||||||
Claude François : Dis lui | |||||||||||||||||||||||||||
Claude François : Même si tu revenais | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
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Clémence Botino, née le 22 janvier 1997 à Baie-Mahault, est une reine de beauté française. Elle est élue Miss Guadeloupe 2019 puis Miss France 2020, devenant la 90e Miss France et la 3e Miss Guadeloupe couronnée. Elle se classe neuvième à l'élection de Miss Univers 2021 et va représenter la France au concours Miss Monde 2023.
Biographie
Clémence Botino a des origines indo-caribéennes de sa mère, afro-caribéennes et européennes de son père.
Elle a un frère, Lucas, de deux ans son cadet.
Elle obtient un baccalauréat scientifique avec mention « très bien » en 2014. À l'âge de 17 ans, elle vit pendant une année aux États-Unis et suit des études dans une école internationale située à Miami, pour parfaire son anglais.
Après deux années de classes préparatoires littéraires au lycée Gerville-Réache, elle s'installe à Paris en 2017 pour étudier en troisième année de licence puis en première année de master d'histoire de l'art à la Sorbonne. Elle se spécialise dans l'étude de l'histoire de la mode avec comme ambition, au moment de son élection de Miss France, de devenir conservatrice du patrimoine. Elle prépare dans le cadre de ses études un mémoire dont le sujet est « L'histoire de la mode aux Caraïbes ».
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Amandine Petit, née le 30 septembre 1997 à Caen (France), est une reine de beauté française. Elle est élue Miss Normandie 2020 puis Miss France 2021, lors du centenaire du concours. Elle est la 91e Miss France.
Situation personnelle
Amandine Petit naît à Caen le 30 septembre 1997 et grandit dans la commune de Bourguébus. Elle est la fille cadette de Nathalie Petit, qui travaille à l'office de tourisme de Caen, et de Jean-Luc Petit, surveillant pénitentiaire. Elle a une grande sœur, Pauline, de trois ans son ainée.
Après avoir tenté les concours infirmiers, elle se lance dans un BTS Négociation et relation clients. Après deux ans, elle repasse les concours infirmiers, qu'elle obtient, puis intègre l'IAE de Caen en licence 3.
Ensuite, elle suit un master 2 Management des établissements et structures gérontologiques, toujours à l'IAE de Caen, dans le but d'accéder au poste de direction en EHPAD ou en résidence autonomie.
Au moment de son élection comme Miss France, Amandine Petit est en couple depuis plusieurs années avec un étudiant
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Valérie Marie Christelle Bègue, née le 26 septembre 1985 à Saint-Pierre à La Réunion, est une reine de beauté, comédienne et présentatrice de télévision française. Elle a été élue Miss Réunion 2007, puis Miss France 2008. Elle est la 78e Miss France.
Succédant à Rachel Legrain-Trapani, elle est la deuxième lauréate représentant La Réunion après Monique Uldaric, élue Miss France 1976 à Évry. Toutefois, à la suite d'une controverse sur des photographies parues dans la presse à scandale, elle est remplacée par Laura Tanguy, sa deuxième dauphine, dans toutes les représentations officielles aux côtés de Geneviève de Fontenay, y compris aux élections de Miss Monde et Miss Univers. Malgré cela, elle reste Miss France et participe à diverses actions caritatives relatives notamment à la lutte contre le cancer et contre la mucoviscidose.
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Armand Marie François Pascal Marrast est un journaliste et homme politique français né à Saint-Gaudens (Haute-Garonne) le 5 juin 1801 et mort à Paris le 10 mars 1852. Il milita dans l'opposition libérale sous la Restauration, prit part à la révolution de 1830 et participa au mouvement républicain sous la monarchie de Juillet.
Armand Marrast débute dans l’enseignement comme répétiteur au collège d’Orthez, puis professeur de rhétorique à Saint-Sever. Germain Sarrut le fait nommer maître d’études au collège Louis-le-Grand où il se lia d’amitié avec Pierre Laromiguière, titulaire depuis 1809 de la chaire de philosophie à la Faculté des lettres de Paris, qui le protégea et le fit admettre comme surveillant à l’École normale supérieure.
Docteur ès-lettres à Paris en 1825, avec une thèse de littérature intitulée, Éclaircissements sur cette question : Est-ce aux poètes ou aux prosateurs qu’appartient la gloire d’avoir le plus contribué à former et à perfectionner la langue française ?. Sa thèse latine est intitulée : Dissertatio de veritate.
En août 1827, il est désigné avec Morhéry par l'association « Aide toi, le ciel t'aidera » pour prendre la tête du convoi aux obsèques du député Jacques-Antoine Manuel dont le cortège funèbre est suivi par près de cent mille personnes et représente la première grande protestation publique contre la politique de Charles X. Le lendemain, il est révoqué de son poste de répétiteur et ne peut se présenter à l’agrégation de philosophie.
De 1827 à 1829, il est précepteur du fils aîné du banquier d’origine espagnole Alexandre Aguado (1784-1842), marquis de Las Marismas. Il participe au livret de Guillaume Tell de Gioachino Rossini, écrit par Hippolyte Bis et Étienne de Jouy.
Marrast commence en 1829 des conférences à l’Athénée, et débute comme journaliste à La Tribune des départements, dont il devient le rédacteur en chef. Dès ses premiers articles, il s’impose à l’attention et une attaque contre le ministère lui vaut six mois de prison. Autour de ce journal s'est organisé la « Conspiration La Fayette », organisation paramilitaire d'étudiants et d'ouvriers, commandée par son ami Morhéry et qui joue un rôle important dans le déclenchement de la révolution de 1830, à laquelle Marrast prend une part active.
Sous la monarchie de Juillet, toujours à La Tribune, il s'oppose à la politique de Louis-Philippe. Le 29 janvier 1836, il est condamné à la déportation, et se réfugie en Angleterre. Il en revient en juin 1837, à la faveur de l'amnistie décidée le 8 mai à l’occasion du mariage du duc d'Orléans.
Il devient directeur du National, journal républicain après la mort d'Armand Carrel en 1836. Au moment de l’affaire Pritchard, il publie une série de portraits de députés ayant voté l’indemnité allouée à Pritchard, comme le demandait le ministère, portraits qui eurent un grand succès.
Marrast est un des organisateurs du banquet du 22 février 1848 qui déclencha la révolution de 1848. Il soutient la proclamation de la République et est nommé membre du Gouvernement provisoire.
Le 9 mars, il devient maire de Paris, et s'oppose aux mesures démocratiques. Député à l'Assemblée nationale, il s'associe à la politique de répression qui suivit les Journées de Juin 1848. En juillet 1848, il préside l'Assemblée. Il est l'un des principaux rédacteurs de la Constitution de 1848, en est le rapporteur et la promulgue le 12 novembre 1848 sur la place de la Concorde à Paris.
Il se retire de la vie politique après son échec aux élections à l'Assemblée législative en 1849.
Il meurt le 12 avril 1852, « dans la misère et oublié de tous ».
Portrait
David d'Angers, Profil, médaillon, bronze, 1848, Musée de la vie romantique, Paris
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Armand_Marrast | |||||||||||||||||||||||||||
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Jean Racine, né le 22 décembre 1639 à La Ferté-Milon et mort le 21 avril 1699 à Paris, est un dramaturge et poète français.
Issu d'une famille de petits notables de la Ferté-Milon et tôt orphelin, Racine reçoit auprès des « Solitaires » de Port-Royal une éducation littéraire et religieuse rare. Se détournant d'une carrière ecclésiastique, il entreprend, jeune, de faire une carrière des lettres, en privilégiant la poésie et le théâtre tragique. Le succès d’Alexandre le Grand, en 1665, lui confère une solide réputation et lui apporte le soutien du jeune roi Louis XIV. Andromaque, en 1667, ouvre une décennie de grandes créations qui voit, à côté d'une unique comédie (Les Plaideurs, 1668), représentées les sept tragédies consacrées par l’historiographie comme ses plus remarquables : Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677). La « tristesse majestueuse » de ces pièces épurées rompant avec l’héroïsme baroque fait la renommée du dramaturge et divise profondément le public français, dont une partie défend la tragédie cornélienne. Le succès populaire, les querelles critiques, l'appui du roi et les faveurs à la cour de Mme de Montespan entraînent une ascension sociale et économique fulgurante de l'auteur : élu à l'Académie française en 1672, anobli en 1674, Racine abandonne en 1677 le « métier de poésie » pour briguer le « glorieux emploi » d'historiographe du roi. Devenu l'un des courtisans proches du Roi-Soleil, il ne délaisse son travail d'historien que pour donner, à la demande de Mme de Maintenon, deux tragédies bibliques aux jeunes filles de Saint-Cyr : Esther (1689) et Athalie (1691), et pour écrire en secret un Abrégé de l'histoire de Port-Royal, retrouvé et publié après sa mort. Le vaste travail historique auquel il consacre la majeure partie de ses vingt dernières années, l'histoire de Louis XIV, disparaît entièrement dans l'incendie de la maison de son successeur, Valincour.
L'œuvre de Racine passe pour avoir amené la tragédie classique à son « accomplissement » et son « harmonie ». L'économie du propos, la rigueur de la construction (situation de crise menée à son acmé), la maîtrise de l'alexandrin et la profondeur de l'analyse psychologique ont élevé le corpus racinien au rang de modèle classique. Par son respect strict des unités de temps, de lieu et d'action, Racine refuse la primauté, la densité et l'héroïsme de l'action propres aux tragédies de Pierre Corneille, auquel il est souvent opposé. Il lui préfère un épurement de l'intrigue (parfois extrême, en particulier dans Bérénice) et l'intensité psychologique. Abandonnant le ton glorieux et moral du théâtre du début du xviie siècle, Racine soumet la vertu politique et la raison d'État, chères à Corneille, sous les contingences passionnelles. La passion soumet et détruit ses personnages tout-puissants (rois, empereurs, princesses) qui tentent en vain de lutter contre elle, perdant le sens du devoir jusqu'à la déraison ou la mort. Les passions, parmi lesquelles l'amour prime, sont le fondement du tragique racinien en ce qu'ils sont les instruments du destin. L'amour racinien suit en ordre général la structure du triangle amoureux, inexorable et cruel pour chacun des partis. Le fondement de ce tragique relève à ce titre de la confrontation de la démesure et de la déraison des passions avec l'humilité de la finitude des mortels. Les tragédies de Racine se fondent sur la conjonction de la crainte et de la pitié (les deux émotions fondamentales du théâtre antique) ; la critique a souvent estimé que le dramaturge a ainsi cherché à associer la prédestination janséniste et le fatum antique. Consacré par la critique comme l'un des plus grands auteurs français de tragédies, il est l'un des trois dramaturges majeurs, avec Corneille et Molière, de la période classique en France. Aujourd'hui, il compte parmi les auteurs les plus joués à la Comédie-Française et dans le pays, et figure parmi les grandes références de la littérature universelle
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Filmographie
Actrice
Années 1940
1949 : Dernier Amour de Jean Stelli : Michèle
Années 1950
1950 : Meurtres ? de Richard Pottier : Martine Annequin
1950 : Pigalle-Saint-Germain-des-Prés d'André Berthomieu : Paquerette
1951 : Avignon, bastion de Provence, court-métrage de Jean Cuenet (rôle ?)
1951 : L'Homme de ma vie de Guy Lefranc : Suzanne Dubreuil, la fille de Madeleine
1952 : Il est minuit, Docteur Schweitzer d'André Haguet : Marie Winter
1952 : Dortoir des grandes d'Henri Decoin : Julie, la serveuse
1953 : Julietta de Marc Allégret : Rosie Facibey
1953 : Touchez pas au grisbi de Jacques Becker : Josy, la petite amie de Riton
1954 : La Reine Margot de Jean Dréville : Marguerite de Valois
1954 : Secrets d'alcôve d'Henri Decoin : Jeanne Plisson dans le sketch Le billet de logement
1954 : Les Intrigantes d'Henri Decoin : Mona Rémi
1955 : Gas-oil de Gilles Grangier : Alice, l'institutrice et compagne de Jean
1955 : Les Hommes en blanc de Ralph Habib : Marianne Déjazet
1955 : M'sieur La Caille d'André Pergament : Fernande, une respectueuse
1956 : Le Salaire du péché de Denys de La Patellière : Angèle Ribot
1956 : Jusqu'au dernier de Pierre Billon : Gina, la danseuse
1957 : Ascenseur pour l'échafaud de Louis Malle, avec ce film qui reçut le prix Louis-Delluc, elle accède au statut de star.
1957 : Les Louves ou Démoniaque de Luis Saslavsky : Agnès Vanaux
1957 : Trois jours à vivre de Gilles Grangier : Jean Fortin
1957 : L'Étrange Monsieur Steve de Raymond Bailly : Florence, la femme de M. Steve
1957 : Échec au porteur de Gilles Grangier : Jacqueline Tourieu
1957 : Le Dos au mur d'Édouard Molinaro : Gloria Decret
1958 : Les Amants de Louis Malle : Jeanne Tournier
1959 : Les Liaisons dangereuses 1960 de Roger Vadim : Juliette Valmont/de Merteuil
1959 : Les Quatre Cents Coups de François Truffaut : la jeune femme au petit chien, apparition
Années 1960
1960 : Cinq femmes marquées (Five Branded Women), (Jovenka e le altre) de Martin Ritt : Ljuba
1960 : Moderato cantabile de Peter Brook : Anne Desbarèdes
1960 : Le Dialogue des Carmélites de Philippe Agostini et Raymond Leopold Bruckberger : Mère Marie de l'incarnation
1961 : La Nuit (La Notte) de Michelangelo Antonioni : Lidia
1961 : Une femme est une femme de Jean-Luc Godard : Une femme au bar, apparition
1962 : Jules et Jim de François Truffaut : Catherine + la chanson Le Tourbillon
1962 : Eva (Eva) de Joseph Losey : Eve Olivier
1962 : Le Procès d'Orson Welles : Mlle Marika Burnstner
1963 : La Baie des Anges de Jacques Demy : Jackie Demaistre
1963 : Le Feu follet de Louis Malle : Jeanne
1963 : Peau de banane de Marcel Ophüls : Cathy
1963 : Les Vainqueurs (The Victors) de Carl Foreman : Une femme française
1964 : Le Journal d'une femme de chambre de Luis Buñuel : Célestine, la femme de chambre
1964 : Le Train (The Train) de John Frankenheimer : Christine
1964 : La Rolls-Royce jaune (The Yellow Rolls-Royce) d'Anthony Asquith : La marquise de Frinton
1964 : Mata Hari de Jean-Louis Richard : Margaretha Geertruida « Grietje » Zelle, dite « Mata Hari », agent d'espionnage
1965 : Viva María! de Louis Malle : Maria 1 + chansons : Ah ! les petites femmes de Paris, Paris, Paris
1965 : Falstaff (Chimes at Midnight) d'Orson Welles : Doll Tearsheet
1966 : Mademoiselle de Tony Richardson : Mademoiselle
1967 : Le Plus Vieux Métier du monde de Philippe de Broca : Mademoiselle Mimi dans le sketch éponyme
1967 : Le Marin de Gibraltar (The Sailor from Gibraltar) de Tony Richardson : Anna
1968 : La mariée était en noir de François Truffaut : Julie Kohler
1968 : Une histoire immortelle (The Immortal Story) d'Orson Welles : Virginie Ducrot
1968 : La Grande Catherine (Great Catherine) de Gordon Flemyng : La grande Catherine
1969 : Le Corps de Diane de Jean-Louis Richard : Diane
Années 1970
1970 : Dead Reckoning - The Deep, Direction Toward Death - Film inachevé d'Orson Welles : Ruth Warriner
1970 : Monte Walsh de William A. Fraker : Martine Bernard
1970 : Le Petit Théâtre de Jean Renoir de Jean Renoir : La chanteuse dans le sketch : Quand l'amour meurt - Film pour la télévision sorti en salles.
1970 : Alex in Wonderland de Paul Mazursky : elle-même
1970 : Henri Langlois - court métrage, documentaire - de Roberto Guerra et Elia Hershon : elle-même
1971 : Comptes à rebours de Roger Pigaut : Madeleine
1971 : The Other Side of the Wind - Film resté inachevé - d'Orson Welles : apparition
1971 : Côté cours, côté champs - court métrage - de Guy Gilles : La femme avec le petit chien
1972 : L'Humeur vagabonde d'Édouard Luntz : Myriam Bingeot
1972 : Chère Louise de Philippe de Broca : Louise
1972 : Absences répétées de Guy Gilles : Apparition + chansons
1973 : Jeanne la Française (Joanna Francesa) de Carlos Diegues : Jeanne, la Française30
1973 : Je t'aime de Pierre Duceppe : Elisa Boussac
1973 : Nathalie Granger de Marguerite Duras : L'autre femme
1974 : Les Valseuses de Bertrand Blier : Jeanne Pirolle
1974 : La Race des seigneurs de Pierre Granier-Deferre : Renée Vibert
1974 : Une légende, une vie : Citizen Welles - documentaire - de Maurice Frydland : Apparition
1975 : Le Jardin qui bascule de Guy Gilles : Maria + musique
1975 : Hu-Man de Jérôme Laperrousaz : Sylviana
1975 : Souvenirs d'en France d'André Téchiné : Berthe
1976 : Lumière de Jeanne Moreau : Sarah + scénario et dialogue.
1976 : Monsieur Klein de Joseph Losey : Florence
1976 : Le Dernier Nabab (The Last Tycoon) d'Elia Kazan : Didi
1976 : Chroniques de France : Jeanne Moreau - court métrage, documentaire - de Renaud de Dancourt : elle-même
Années 1980
1980 : Chansons souvenirs - court métrage - de Robert Salis : apparition
1981 : Au-delà de cette limite votre ticket n'est plus valable (Your ticket is not longer valid) de George Kaczender : Lily Marlène, la tenancière de maison close
1981 : Plein sud de Luc Béraud : Hélène
1982 : Mille milliards de dollars d'Henri Verneuil : Mme Benoit-Lambert
1982 : La Truite de Joseph Losey : Lou
1982 : Querelle (Querelle - Ein Pakt mit dem Teufel, tiré du roman Querelle de Brest) de Rainer Werner Fassbinder : Lysiane
1982 : Der Bauer von Babylon - court métrage, documentaire - de Dieter Schidor : elle-même
1983 : Lillian Gish (A Salute to Lillian Gish) - documentaire inédit en France - de Jeanne Moreau : seulement la réalisation
1983 : Jean-Louis Barrault, un homme de théâtre - documentaire - de Muriel Balasch : elle-même
1985 : François Simon, la présence - documentaire - d'Ana Simon et Louis Mouchet : apparition
1986 : Sauve-toi, Lola de Michel Drach : Marie-Aude Schneider
1986 : Le Paltoquet de Michel Deville : la tenancière
1987 : Le Miraculé de Jean-Pierre Mocky : Sabine dite « La major » + chansons
1987 : Remake d'Ansano Giannarelli : elle-même
1988 : La Nuit de l'océan d'Antoine Perset : Hélène Sauveterre
1989 : Jour après jour d'Alain Attal : Janine Weisman
1989 : Orson Welles, stories from a life in film - documentaire - de Leslie Megahey : apparition
Années 1990
1990 : Nikita de Luc Besson : Armande, une instructrice du centre
1990 : Alberto Express d'Arthur Joffé : la baronne
1990 : La Femme fardée de José Pinheiro : la Doria
1991 : L'Amant de Jean-Jacques Annaud : voix de la narratrice
1991 : La Vieille qui marchait dans la mer de Laurent Heynemann : Lady M
1991 : Jusqu'au bout du monde (Bis an Ende der Welt) de Wim Wenders : Edith Farber
1991 : Le Pas suspendu de la cigogne (To meteoro vima tou pelargou) de Theo Angelopoulos : la femme
1991 : Anna Karamazoff de Roustam Khamdamov : la femme
1992 : Cœur de métisse (Map of the Human Heart) de Vincent Ward : Sœur Bainville
1992 : À demain de Didier Martiny : Tété
1992 : L'Absence (Die Abwesenheit) de Peter Handke : la femme de l'écrivain
1992 : Les Arpenteurs de Montmartre de Boris Eustache : uniquement interprète des chansons
1993 : Je m'appelle Victor de Guy Jacques : Rose
1993 : Un certain jour de juin (A Foreign Field) de Charles Sturridge avec Alec Guinness, Geraldine Chaplin, Lauren Bacall : Angélique TV
1993 : François Truffaut, portraits volés - documentaire - de Serge Toubiana et Michel Pascal : témoignage
1995 : Les Cent et Une Nuits de Simon Cinéma d'Agnès Varda : la première ex-épouse de M. Cinéma
1995 : Par delà les nuages (Al di la delle nuvole) de Michelangelo Antonioni et Wim Wenders : l'amie
1995 : Faire un film, pour moi c'est vivre d'Erica Antonioni : elle-même
1995 : I Love You, I Love You Not de Billy Hopkins avec Claire Danes, Jude Law : Nana
1995 : L'Univers de Jacques Demy - documentaire - d'Agnès Varda : elle-même
1997 : La Propriétaire (The proprietor) d'Ismail Merchant : Adrienne Mark, romancière
1997 : Un amour de sorcière de René Manzor : Eglantine
1997 : Amour et Confusions de Patrick Braoudé : Libra
1998 : À tout jamais (Ever after) d'Andy Tennant : la grande dame
Années 2000
2000 : Lisa de Pierre Grimblat : Lisa, âgée + chanson L'homme d'amour
2000 : Le Manuscrit du prince (Il manoscritto del Principe) de Roberto Andò : Alexandra von Wolff-Stomersee
2000 : Les Femmes de Fassbinder (Fassbinder woman - Fur mich gab's nur noch Fassbinder) - documentaire de Rosa von Praunheim : elle-même
2002 : Cet amour-là de Josée Dayan : Marguerite Duras
2002 : The Will to Resist de James Newton : Johanna 1989
2002 : La Petite Prairie aux bouleaux de Marceline Loridan : elle est uniquement la scénariste du film.
2004 : Akoibon d'Édouard Baer : Mme Paule
2005 : Le Temps qui reste de François Ozon : Laura
2005 : Go West d'Ahmed Imamovic : la journaliste
2006 : Sortie de clown - court métrage - de Nabil Ben Yadir
2006 : Roméo et Juliette d'Yves Desgagnés : Laurence
2007 : Chacun son cinéma : épisode Trois minutes de Théo Angelopoulos : elle-même
2007 : Désengagement d'Amos Gitai : Françoise
2009 : Plus tard tu comprendras d'Amos Gitai : Rivka
2009 : Visage de Tsai Ming-liang : Jeanne
Années 2010
2012 : Gebo et l'ombre de Manoel de Oliveira : Candidinha
2012 : Une Estonienne à Paris de Ilmar Raag : Frida
2015 : Le Talent de mes amis d'Alex Lutz : La grand-mère de Thibault Redinger
Réalisatrice
1976 : Lumière, (également actrice)
1979 : L'Adolescente (réalisation, scénario, adaptation et dialogue)
Télévision
1974 : La Chevauchée sur le lac de Constance de Claude Régy
1975 : Jean Genet, saint, martyr et poète de Guy Gilles
1983 : L'Intoxe de Guy Seligman : Marie-Pierre
1984 : L'Arbre de Jacques Doillon : Camille, la grand-mère
1984 : Huis clos (pièce de Jean-Paul Sartre sur BBC1)
1985 : Vicious circle de Kenneth Ives
1985 : Vivement Truffaut - documentaire - de Claude de Givray : elle-même
1986 : La Mise au point - Le Tiroir secret de Nadine Trintignant : Vivi
1986 : The Last Seance de June Wyndhazm-Davies : Mme Exe
1990 : Ennemonde - Ami Giono de Claude Santelli : Ennemonde Girard
1991 : The Full Wax de (?)
1992 : Le Temps et la Chambre de Patrice Chéreau : voix off
1992 : Injustes noces (Clothes in the Wardrobe) ou (The Summer House) de Waris Hussein : Lili
1995 : Catherine la Grande (en) (Catherine the Great) de Marvin J. Chomsky et John Goldsmith : Elisabeth
1995 : La Belle Époque de Gavin Millar : la narratrice
1997 : Ruby de Peter Orton : elle-même
1999 : Balzac - Tourné en deux époques de 90 min - de Josée Dayan : Charlotte Laure
2000 : Les Misérables de Josée Dayan : Mère Innocente
2001 : Zaïde, un petit air de vengeance de Josée Dayan : Anna Shermann
2002 : Les 13 vies du chat Lelouch - Documentaire - d'Isabelle Clarke : elle est elle-même dans le scopitone de la chanson Où vas-tu Mathilde
2003 : Les Parents terribles de Josée Dayan : Léo
2004 : La Comtesse de Castiglione de Josée Dayan : la princesse Sissi Altière
2005 : Les Rois maudits de Josée Dayan : Mahaut d'Artois dans les épisodes : Le Roi de fer, La Reine étranglée, Les Poisons de la couronne, La Louve de France, Le Lis et le Lion
2007 : Sous les vents de Neptune de Josée Dayan : Josette
2008 : Château en Suède de Josée Dayan : Agathe Falsen
2011 : Bouquet final de Josée Dayan : Marie
2011 : La Mauvaise Rencontre de Josée Dayan : Gaby
2013 : La Collection Jeanne Moreau (5 courts-métrages pour Canal+) de Sandrine Veysset
Doublage
2009 : Kérity la maison des contes de Dominique Monféry : Éléonore
Voix off de documentaires
1959 : Matisse ou le talent du bonheur - court métrage, documentaire - de Marcel Ophuls
1988 : Hôtel Terminus (Klaus Barbie, His Life and Time) - documentaire de Marcel Ophuls
1992 : L'Architecture du chaos de Peter Cohen
1993 : It's All True de Richard Wilson, Myron Meisel, Bill Krohn
Jeu vidéo
2000 : Genesys [archive] - Jeux vidéo pour PC : narratrice
Radio
1953 : Le Hussard sur le toit - adaptation radiophonique - André Bourdil d'après le roman de Jean Giono
1970 (9 septembre) sur France-inter, Radioscopie - Interviewée par Jacques Chancel
2007 sur France Culture pour le Festival d'Avignon : Quartett, reprise des Liaisons dangereuses
2014 sur France Culture : Eva ne dort pas, scénario de Pablo Agüero, Grand prix Sopadin du meilleur scénariste.
Théâtre
1947 au premier Festival d'Avignon :
La Tragédie du roi Richard II de William Shakespeare, mise en scène Jean Vilar : une suivante de la reine
L'Histoire de Tobie et de Sara de Paul Claudel, mise en scène Maurice Cazeneuve : La Vigne
La Terrasse de midi de Maurice Clavel, mise en scène Jean Vilar : Madeleine, rôle pour lequel un critique mentionna « sa jeune grâce déjà colorée de passion latente »
1947 : Le Lever du soleil de François Porché et Simone Le Bargy, mise en scène Simone Le Bargy, Comédie-Française Salle Luxembourg : Hortense Mancini
1947 : Un mois à la campagne de Ivan Tourgueniev, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : Vera Alexandrovna
1947 : Athalie de Racine, mise en scène Georges Le Roy, Comédie-Française : Joas
1948 : Le Mariage de Figaro de Beaumarchais, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : Chérubin
1948 : Les Mal-aimés de François Mauriac, mise en scène Jean-Louis Barrault, Comédie-Française Salle Luxembourg : Rose
1948 : L'Épreuve de Marivaux, mise en scène Julien Bertheau, Comédie-Française Salle Luxembourg : Angélique
1948 : L'Anglais tel qu'on le parle de Tristan Bernard, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française Salle Luxembourg : Betty
1948 : Les Espagnols au Danemark de Prosper Mérimée, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : un personnage du Ballet
1948 : Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand, mise en scène Pierre Dux, Comédie-Française Salle Luxembourg : un page
1948 : La Peine capitale de Claude-André Puget, mise en scène Julien Bertheau, Comédie-Française Salle Luxembourg : Rafaela
1948 : L'Occasion de Prosper Mérimée, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : Doña Maria
1949 : Les Temps difficiles d'Édouard Bourdet, mise en scène Pierre Dux, Comédie-Française Salle Luxembourg : Anne-Marie
1949 : L'Avare de Molière, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : Mariane
1949 : Le Roi de Gaston Armand de Caillavet, Robert de Flers et Emmanuel Arène, mise en scène Jacques Charon, Comédie-Française Salle Luxembourg : Suzette Bourdier
1949 : On ne badine pas avec l'amour de Marivaux, mise en scène Julien Bertheau, Comédie-Française : Camille
1950 : Othello de William Shakespeare, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : Bianca
1950 : L'Impromptu de Versailles de Molière, mise en scène Pierre Dux, Comédie-Française : Mademoiselle Molière
1950 : Poil de carotte de Jules Renard, Comédie-Française, Gala de bienfaisance : Poil de carotte
1950 : Les Sincères de Marivaux, mise en scène Véra Korène, Comédie-Française : Lisette
1950 : Le Chant du berceau de Gregorio et Maria Martínez Sierra, mise en scène Georges Le Roy, Comédie-Française Salle Luxembourg : Thérèse
1950 : Le Conte d'hiver de William Shakespeare, mise en scène Julien Bertheau, Comédie-Française : Perdita
1950 : À quoi rêvent les jeunes filles d'Alfred de Musset, mise en scène Charles Granval, Comédie-Française : Ninon
1950 : Les Caves du Vatican d'André Gide, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : Carola Venitequa la petite prostituée
1951 : Tartuffe de Molière, mise en scène Fernand Ledoux, Comédie-Française : Mariane
1951 : La Paix chez soi de Georges Courteline, Théâtre des Célestins : Valentine
1951 : Le Dindon de Georges Feydeau, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : Clara
1951 : Le Médecin malgré lui de Molière, tournée : Martine
1951 : Le Bourgeois gentilhomme de Molière, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française : Lucile
1951 : La Double Inconstance de Marivaux, mise en scène Jacques Charon, Comédie-Française : Silvia
1951 au Festival d'Avignon :
Le Cid de Corneille, mise en scène Jean Vilar, TNP : L'Infante
Le Prince de Hombourg d'Heinrich von Kleist, mise en scène Jean Vilar, TNP : Nathalie d'Orange
1952 : Nucléa d'Henri Pichette, mise en scène Gérard Philipe et Jean Vilar, TNP, Théâtre de Chaillot : Yllen
1952 au Festival d'Avignon :
Lorenzaccio d'Alfred de Musset, mise en scène Gérard Philipe, TNP : 2e bourgeoise
Le Prince de Hombourg d'Heinrich von Kleist, mise en scène Jean Vilar, TNP : Nathalie d'Orange
1952 : La Nouvelle Mandragore de Jean Vauthier, mise en scène Gérard Philipe, TNP, Théâtre de Chaillot : Lucrèce
1953 : L'Heure éblouissante d'Anna Bonacci, mise en scène Fernand Ledoux, Théâtre Antoine : Géraldine
1954 : La Machine infernale de Jean Cocteau, mise en scène Jean Cocteau, avec Jean Marais, Théâtre des Bouffes-Parisiens : Sphinx
1955 : Pygmalion de George Bernard Shaw, mise en scène Jean Marais, Théâtre des Bouffes-Parisiens : Eliza Doolittle
1956 : La Machine infernale de Jean Cocteau, mise en scène Jean Cocteau, Festival de Baalbek : Sphinx
1956 : La Chatte sur un toit brûlant de Tennessee Williams dans la première mise en scène en France de Peter Brook, Théâtre Antoine : Maggie
1958 : La Bonne Soupe de Félicien Marceau, mise en scène André Barsacq, Théâtre du Gymnase : Marie-Paule
1974 : La Chevauchée sur le lac de Constance de Peter Handke, mise en scène Claude Régy, Espace Pierre Cardin : Henny Porten
1976 : Lulu de Frank Wedekind, mise en scène Claude Régy, Théâtre de l'Athénée-Louis-Jouvet : Lulu
1980 : L'Intoxe de Françoise Dorin, mise en scène Jean-Laurent Cochet, Théâtre des Variétés : Marie-Pierre
1985 : The Night of the iguana de Tennessee Williams, mise en scène Arthur Sherman, Baltimore : Hannah Jelkes
1986 : Le Récit de la servante Zerline d'Hermann Broch, mise en scène Klaus Michael Grüber, Théâtre des Bouffes du Nord
1987 : Le Récit de la servante Zerline d'Hermann Broch, mise en scène Klaus Michael Grüber, Théâtre de l'Atelier, tournée française et internationale
1988 : Le Récit de la servante Zerline d'Hermann Broch, mise en scène Klaus Michael Grüber, Théâtre Mogador
1989 : La Célestine de Fernando de Rojas, mise en scène Antoine Vitez, Festival d'Avignon, Comédie-Française au Théâtre national de l'Odéon, Théâtre de Barcelone : La Célestine
2000 : Un trait de l’esprit de Margaret Edson, mise en scène Jeanne Moreau, Théâtre Vidy-Lausanne, Théâtre de Chaillot
2007 : Quartett d'Heiner Müller, lecture avec Sami Frey, Festival d'Avignon
2008 : Quartett d'Heiner Müller, lecture avec Sami Frey, Théâtre de la Madeleine
2009 : La Guerre des fils de lumière contre les fils des ténèbres d'après La Guerre des Juifs de Flavius Josèphe, mise en scène Amos Gitaï, Festival d'Avignon, Odéon-Théâtre de l'Europe
2010 : Efratia Gitaï : Correspondance 1929-1994, lecture, Odéon-Théâtre de l'Europe
2010 : Le Condamné à mort de Jean Genet, Théâtre de l'Odéon
2011 : Le Condamné à mort de Jean Genet, Salle Pleyel, Festival d'Avignon
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Discographie
Albums
1963 : Chante 12 chansons de Cyrus Bassiak
1966 : Chante 12 nouvelles chansons de Cyrus Bassiak
1967 : Les Chansons de Clarisse
1969 : Jeanne chante Jeanne
1981 : Chante Norge
2010 : Le Condamné à mort
Bandes originales
1962 : Le Tourbillon : pour Jules et Jim de François Truffaut
1964 : Embrasse-moi : pour Peau de banane de Marcel Ophüls
1975 : India Song : pour le film éponyme de Marguerite Duras
1982 : Each Man Kills the Thing He Loves pour Querelle de Rainer Werner Fassbinder
Participation
Récitante sur un enregistrement de 1994 où elle est accompagnée par Jean-Marc Luisada au piano : Poulenc : l'Histoire de Babar ; Satie : Sports et Divertissements...
2009 - Que tu es impatiente, sur l'album On n'est pas là pour se faire engueuler ! hommage à Boris Vian.
2009 - Lit la chanson Lettre au ministre présente sur l'album Les bronzés font du ch'ti du groupe Ministère des affaires populaires.
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Louis de Funès est un acteur français né le 31 juillet 1914 à Courbevoie et mort le 27 janvier 1983 à Nantes.
Ayant joué dans près de cent cinquante films, il est l'un des acteurs comiques les plus célèbres du cinéma français de la seconde moitié du xxe siècle et réalise les meilleurs résultats du cinéma français, des années 1960 au début des années 1980. Il réalise également les meilleures audiences télévisées. Très peu récompensé, il reçoit toutefois un César d'honneur pour l'ensemble de sa carrière en 1980.
Après presque vingt ans sur les planches ainsi que devant les caméras dans de nombreux seconds rôles, il impose son personnage de Français moyen impulsif, râleur, au franc-parler parfois dévastateur, aux verbigérations et mimiques parfois muettes. C'est dans les années 1950 qu'il se fait connaître tardivement du public avec La Traversée de Paris (1956), ses premiers rôles principaux et le triomphe au théâtre d'Oscar. Dans les deux décennies qui suivent, on le retrouve dans une suite de succès populaires, parmi lesquels : Pouic-Pouic (1963), Le Gendarme de Saint-Tropez (1964) et ses cinq suites, la trilogie Fantomas (1964 à 1967), Le Corniaud (1965), Le Grand Restaurant et La Grande Vadrouille (1966), Oscar et Les Grandes Vacances (1967), Le Petit Baigneur (1968), Hibernatus (1969), Jo et La Folie des grandeurs (1971), Les Aventures de Rabbi Jacob (1973), L'Aile ou la Cuisse (1976), La Zizanie (1978) et La Soupe aux choux (1981). Il a également participé à l'écriture de quelques scénarios de ses films et signé la réalisation de L'Avare avec Jean Girault en 1980.
Outre la France, les films de Louis de Funès ont connu un grand succès dans divers pays européens, et notamment en Russie, du temps de l'URSS. Sa popularité ne s'étendra que très peu dans le monde anglo-saxon, à l'exception du succès outre-Atlantique du film Les Aventures de Rabbi Jacob, nommé pour un Golden Globe en 1975. Le souvenir de l'acteur est entretenu par deux musées : le musée Louis-de-Funès à Saint-Raphaël et le musée de la Gendarmerie et du Cinéma, dans l'ancienne gendarmerie de Saint-Tropez.
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