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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Atteint de la maladie d'Alzheimer, il meurt d'une pneumonie aiguë, le 30 août 2003 à Los Angeles, à l'âge de quatre-vingt-un ans.
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Marié trois fois – avec Harriet Tendler, Jill Ireland puis Kim Weeks –, il est le père de six enfants
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Charles Bronson devint l'un des « Indiens » les plus célèbres de Hollywood. Robert C. Cumbow dans son ouvrage The Films of Sergio Leone, indique que le physique typé de l'acteur, avec ses cheveux noirs épais, son visage buriné et bronzé, et ses yeux bleu-vert, le destinait naturellement, d'après les conceptions d'Hollywood, à incarner des caractères ethniquement marqués.
Dans le film proindien Bronco apache de Robert Aldrich, Bronson joue un Apache ayant trahi les siens. Il incarne le fameux Captain Jack dans le film de Delmer Daves : L'Aigle solitaire. Il incarne ensuite un chef dans Le Jugement des flèches, de Samuel Fuller. Dans La Bataille de San Sebastian d’Henri Verneuil, il incarne un métis haineux opposé à l'invasion de son territoire. Entretemps, en 1959, dans le film de guerre La Proie des vautours, il incarne un militaire métis qu'un autre soldat primairement raciste ne cesse de taquiner en l'appelant « grand-chef peau-rouge ».
Dans Les Sept Mercenaires il est un tireur d'élite mexicano-irlandais, Bernardo O'Reilly : « Irlandais par mon père, Mexicain par ma mère, moi au milieu » s'y définit-il.
Sergio Leone exploite cette « ambivalence ethnique » pour le rôle de Harmonica, le tueur silencieux d'Il était une fois dans l'Ouest, où le flashback le montre sous les traits d'un jeune latino aux yeux marron. Mais c'est explicitement sous les traits d'un Mexicain à part entière que Charles Bronson apparaît en 1968 dans Pancho Villa, Rodolfo Fierro, lieutenant du célèbre chef révolutionnaire interprété ici par Yul Brynner.
Enfin, en 1972, il incarne un Apache vengeur dans Les Collines de la terreur de Michael Winner. L'année suivante il interprète, dans Chino, un éleveur de chevaux rejeté par sa communauté en raison de ses origines amérindiennes.
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Filmographie
1951 : La marine est dans le lac (You're in the Navy now) (comme Charles Buchinsky)
1951 : Le peuple accuse O'Hara (The people against O'Hara) (comme Charles Buchinsky)
1951 : Dans la gueule du loup (The Mob) (comme Charles Buchinski)
1952 : Je retourne chez maman (The marrying kind) de George Cukor (comme Charles Buchinsky)
1952 : Duel dans la forêt (Red skies of Montana) de Joseph M. Newman (comme Charles Buchinsky)
1952 : Mes six forçats (My Six Convicts) de Hugo Fregonese (comme Charles Buchinsky)
1952 : Courrier diplomatique (Diplomatic Courier) de Henry Hathaway (comme Charles Buchinsky)
1952 : Mademoiselle gagne tout (Pat and Mike) de George Cukor (comme Charles Buchinsky)
1952 : Gosses des bas-fonds (Bloodhounds of Broadway) d'Harmon Jones (comme Charles Buchinsky)
1953 : Le Clown (The Clown) de Robert Z. Leonard (comme Charles Buchinsky)
1953 : L'Homme au masque de cire (House of Wax) d'André de Toth (comme Charles Buchinsky)
1953 : La Belle du Pacifique (Miss Sadie Thompson) de Curtis Bernhardt (comme Charles Buchinsky)
1953 : Chasse au gang (Crime Wave) d'André de Toth (comme Charles Buchinsky)
1953 : Tennessee Champ (Tennessee Champ) de Fred M. Wilcox (comme Charles Buchinsky)
1954 : Le Cavalier traqué (Riding Shotgun) d'André de Toth (comme Charles Buchinsky)
1954 : Bronco apache (Apache) de Robert Aldrich (comme Charles Buchinsky)
1954 : Vera Cruz de Robert Aldrich (comme Charles Buchinsky)
1954 : L'Aigle solitaire (Drum Beat) de Delmer Daves
1955 : Le Pacte des tueurs (Big House U.S.A.) de Howard W. Koch
1955 : Dix Hommes pour l'Enfer (Target Zero) de Harmon Jones
1956 : L'Homme de nulle part (Jubal) de Delmer Daves
1956 : Explosion (Explosion) de Don Weis
1957 : Le Jugement des flèches (Run of the Arrow) de Samuel Fuller
1958 : Syndicat du crime (Gang War) de Gene Fowler Jr
1958 : Confessions d'un tueur (Showdown at Boothill) de Gene Fowler Jr
1958 : Mitraillette Kelly (Machine-Gun Kelly) de Roger Corman
1958 : Dix, rue Frederick (Ten North Frederick) de Philip Dunne
1958 : L'Enfer des humains (When Hell Broke Loose) de Kenneth G. Crane
1959 : La Proie des vautours (Never so Few) de John Sturges
1960 : Les Sept Mercenaires (The Magnificent Seven) de John Sturges
1961 : Le Maître du monde (Master of the World) de William Witney
1961 : Tonnerre apache (A Thunder of Drums) de Joseph M. Newman
1961 : X-15 (X-15) de Richard Donner
1962 : Un direct au cœur (Kid Galahad) de Phil Karlson
1962 : This Rugged Land (This Rugged Land) de Arthur Hiller
1963 : La Grande Évasion (The Great Escape) de John Sturges
1963 : Quatre du Texas (Four for Texas) de Robert Aldrich
1964 : Le Californien (Guns of Diablo) de Boris Sagal
1965 : Le Chevalier des sables (The Sandpiper) de Vincente Minnelli
1965 : La Bataille des Ardennes (Battle of the Bulge) de Ken Annakin
1966 : Propriété interdite (This Property Is Condemned), de Sydney Pollack
1967 : Les Douze Salopards (The Dirty Dozen) de Robert Aldrich
1968 : La Bataille de San Sebastian (Guns for San Sebastian) d'Henri Verneuil
1968 : Pancho Villa (Villa Rides) de Buzz Kulik
1968 : Adieu l'ami (Honor Among Thieves) de Jean Herman
1968 : Il était une fois dans l'Ouest (Once Upon a Time in the West) de Sergio Leone
1969 : L'Ange et le Démon (Twinky) de Richard Donner
1970 : La Cité de la violence (Citta Violenta) de Sergio Sollima
1970 : De la part des copains (Cold Sweat) de Terence Young
1970 : Les Baroudeurs (You can't Win'Em All) de Peter Collinson
1970 : Le Passager de la pluie (Rider On The Rain) de René Clément
1971 : Quelqu'un derrière la porte de Nicolas Gessner
1971 : Soleil rouge (Red Sun) de Terence Young
1972 : Le Solitaire de l'Ouest (Bull of the West) de Paul Stanley et Jerry Hopper
1972 : Les Collines de la terreur (Chato's land) de Michael Winner
1972 : Le Flingueur (The Mechanic) de Michael Winner
1972 : Cosa Nostra (Joe Valachi : I segreti di Cosa Nostra) de Terence Young
1973 : Le Cercle noir (The Stone Killer) de Michael Winner
1974 : Il était une fois deux salopards de Samuel Fuller et Charles S. Dubin
1974 : Chino (Valdez II Mezzosangue) de John Sturges
1974 : Un justicier dans la ville (Death Wish) de Michael Winner
1974 : Mister Majestyk (Mister Majestyk) de Richard Fleischer
1975 : Le Bagarreur (Hard Times - The Street fighter) de Walter Hill
1975 : L'Évadé (Breakout) de Tom Gries
1975 : Le Solitaire de Fort Humboldt (Breakheart Pass) de Tom Gries
1976 : C'est arrivé entre midi et trois heures (From Noon Till Three) de Frank D. Gilroy
1976 : Monsieur St. Ives (St. Ives) de J. Lee Thompson
1977 : Raid sur Entebbe (Raid on Entebbe) de Irvin Kershner
1977 : Le Bison blanc (The White Buffalo) de J. Lee Thompson
1977 : Un espion de trop (Telefon) de Don Siegel
1979 : Avec les compliments de Charlie (Love and Bullets) de Stuart Rosenberg
1980 : Cabo Blanco de J. Lee Thompson
1981 : Chicanos, chasseur de têtes (Borderline) de Jerrold Freedman
1981 : Chasse à mort (Death hunt) de Peter Hunt
1982 : Un justicier dans la ville 2 (Death Wish II) de Michael Winner
1983 : Le Justicier de minuit (Ten To Midnight) de J. Lee Thompson
1984 : L'Enfer de la violence de J. Lee Thompson
1985 : Le Justicier de New York (Death Wish III) de Michael Winner
1986 : La Loi de Murphy de J. Lee Thompson
1987 : Protection rapprochée (Assassination) de Peter Hunt
1987 : Acte de Vengeance (Act of Vengeance) de John Mackenzie
1987 : Le justicier braque les dealers (Death Wish IV) de J. Lee Thompson
1988 : Le Messager de la mort de J. Lee Thompson
1989 : Kinjite, sujets tabous, de J. Lee Thompson
1991 : The Indian Runner de Sean Penn
1993 : La Classe américaine ou Le Grand Détournement
1994 : Le Justicier : L'Ultime Combat (Death Wish V: The Face of Death) d'Allan A. Goldstein
1952 : Bill Backer, USA, saison 1 épisode 1 (Koblen) et épisode 5 (Alpine Assignment) : Un espion tchèque / Wilhelm
1952 : The Red Skelton Show, émission (Fancy Footwork) : Perky
1952 : The Roy Rogers Show, saison 2 épisode 8 (The Knockout) : Willie Killer Conley
1952-1953 : The Doctor, saison 1 épisode 10 (The Guest) et épisode 22 (Take the Odds) : Joe Langan / rôle sans nom
1953 : Chevron Theatre, saison 2 épisode 1 (Island of Stone) et épisode 6 (Adventure in Java) : rôles sans nom
1953 : Schlitz Playhouse of Stars, saison 3 épisode 6 (The Long Shot) : Sergent Roy Smith
1953 : Four Star Playhouse, saison 2 épisode 5 (The Witness) : Frank Dana
1954 : Waterfront, saison 2 épisode 14 (Trestle Point) : Danny Cook alias Bob Hayden
1954-1955 : Treasury Men in Action, saison 5 épisode 10 (The Case of the Escaped Convict), épisode 25 (The Case of the Deadly Dilemma) et épisode 36 (The Case of the Shot in the Dark) : Ollie Blake / Frankie Ames / Vince Sanderson
1954-1956 : Medic, saison 1 épisode 6 (My Brother Joe) et saison 2 épisode 18 (Who Search for Truth) : Docteur John Bircher / Alexis St. Martin
1955 : The Joe Palooka Story, saison 1 épisode 2 (Two Rings for Eddie) et épisode 10 (The Neutral Corner) : Eddie Crane
1955 : Lux Video Theatre, saison 5 épisode 25 (A Bell for Adano) : Sergent Borth
1955 : The Man Behind the Badge, saison 2 épisode 7 (The Case of the Invisible Mark) : Ralph
1955 : The Public Defender, saison 2 épisode 30 (Cornered) : Nobby Bullaid
1955 : Stage 7, saison 1 épisode 4 (Debt of Honor) et épisode 18 (The Time of Day) : Murray Forman / Jerry Donn
1955 : The Pepsi Cola Playhouse, saison 2 épisode 37 (Woman in the Mine) : Joe Krossen
1955 : Luke and the Tenderfoot, saison 1 épisode 2 (The John Wesley Hardin Story) : John Wesley Hardin
1955 : Cavalcade of America, saison 4 épisode 6 (A Chain of Hearts) : John Stanizewski
1956 : Have Camera Will Travel de William A. Seiter (téléfilm) : Reese
1956 : Warner Bros. Presents, saison 1 épisode 28 (Explosion) et épisode 34 (Deep Freeze) : Brodsky / Vic
1956 : Telephone Time, saison 2 épisode 6 (She Sette Her Little Foot) : rôle sans nom
1956 : Wire Service, saison 1 épisode 10 (The Avengers) : Sam Adams
1956-1958 : Gunsmoke, saison 1 épisode 28 (The Killer) et saison 4 épisode 8 (Lost Rifle) : Crego / Ben Tiple
1956 : Crusader, saison 1 episode 3 et 20 : Mike Brod
1957 : Studio 57, saison 3 épisode 15 (Outpost) : Dawson
1957 : The Sheriff of Cochise, saison 1 épisode 18 (Apache Kid) : Zenogalache
1957 : The O. Henry Playhouse, saison 1 épisode 4 (Two Renegades) : Barney O'Keefe
1957 : The Millionaire, saison 3 épisode 25 (Millionaire Jerry Bell) : Jerry Bell
1957 : Hey, Jeannie !, saison 1 épisode 24 (Jeannie the Policewoman) : Rocky Harman
1957 : Those Whiting Girls, saison 2 épisode 3 (Family Skelton) : Martin Carroll
1957 : Richard Diamond, saison 1 épisode 10 (The Pete Rocco Case) : Dan Rocco
1957 : Colt .45 (en), saison 1 épisode 9 (Young Gun) : Danny Gordon
1957 : Suspicion, saison 1 épisode 12 (Doomsday) : Cal
1957 : Studio One, saison 10 épisodes 12 et 13 (No Deadly Medicine: Part 1 and 2) : Cal
1958-1960 : Man with a Camera - saison unique, 29 épisodes : Mike Kovac
1958 : The Court of Last Resort, saison 1 épisode 15 (The Steve Hrdilka Case) : Steve Hrdlika
1958 : M Squad, saison 1 épisode 30 (The Fight) : Eddie Loder
1958 : Sugarfoot, saison 1 épisode 12 (Man Wanted) et épisode 19 (The Bullet and the Cross) : Sandy Randall / Cliff Raven
1958 : The Walter Winchell Files, saison 2 épisode 6 (Fight Night) : Eggers
1958 : Tales of Wells Fargo, saison 3 épisode 6 (Butch Cassidy) : Butch Cassidy
1959 : U.S. Marshal, saison 1 épisode 16 (Pursuit) : Soldat Ravenal
1961 : La Quatrième Dimension (The Twilight Zone) - saison 3, épisode 1 : Deux (Two) : L'homme
1962 : Les Incorruptibles (The Untouchables) - saison 3, épisode 16 : L’Arbre de la mort (The Death Tree) : Janos Colescou
1963-1964 : Les Voyages de Jaimie McPheeters (The Travels of Jaimie McPheeters), saison unique, 13 épisodes : Link Murdock
1965 : Combat ! (Combat): Valesques
1965 : Rawhide (Rawhide) : Del Lingman (Saison 8 épis 10 "Duel at Daybreak", Charles Bronson avec Clint Eastwood)
1965 : La Grande Vallée (The Big Valley), saison 1, épisode 9 : Enterrés vivants (Earthquake !) : Tate
1965 : Le Virginien , saison 4 épisode 8 : Nobility of kings : Justin
1967 : Le Virginien , saison 6 épisode 1 : ( Reckoning (L'Homme qui nous a donné)) : Harge Talbot
1991 : Le Messager de l'espoir (Yes, Virginia, there is a Santa Claus) de Charles Jarrott (téléfilm) : Francis Church
1993 : Le Loup de mer (The Sea Wolf) de Michael Anderson (téléfilm) : Capitaine Wolf Larsen
1993 : Donato père et fille (Donato and Daughter) de Rod Holcomb (téléfilm) : Sergent Mike Donato
1995 : Tel père... tel flic ! (A Family of Cops) de Ted Kotcheff (téléfilm) : Commissaire Paul Fein
1995 : 100 years of the Hollywood Western de Jack Hatey, Jr (Documentaire) : Lui-même
1997 : Le justicier braque la mafia (Family of Cops 2) de David Greene (téléfilm) : Commissaire Paul Fein
1999 : Le justicier reprend les armes, aussi connu sous le titre Preuve contre vérité11, (Family of Cops 3) de Sheldon Larry (téléfilm) : Commissaire Paul Fein
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Les Douze Salopards est une fiction tirée d'un roman ; le romancier E. M. Nathanson (en) affirme toutefois dans un mot d'introduction qu'il a ouï dire que de tels hommes ont existé, mais qu'il n'en a jamais trouvé confirmation dans les archives de l'armée ou du gouvernement américain.
Par ailleurs, l'histoire est largement inspirée par l'unité des « Filthy Thirteen (en) » (les « 13 dégueulasses », en français).
La MGM voulait John Wayne pour le rôle principal. Devant la volonté de Robert Aldrich d'engager Lee Marvin, le « Duke » céda la place. Jack Palance refuse quant à lui le rôle de Magott.
Charles Bronson était très mécontent de tourner ce film. Il ne parla presque pas à ses collègues pendant le tournage. George Kennedy devait, lors de la préparation du film, jouer le rôle d'Arthur Maggott, le mémorable psychopathe interprété par Telly Savalas. Ernest Borgnine (acteur fétiche d'Aldrich) incarne un général américain cynique.
Lors du tournage en Angleterre, le château français (construit en dur par les décorateurs du film et par 250 personnes en quatre mois) s'avéra trop dangereux à faire exploser. La façade fut donc détruite et remplacée par une construction plus « utilisable ». En effet, les spectateurs avisés peuvent remarquer que seule l'entrée du manoir explose à la fin du film.
Plus d'un millier de techniciens et d'acteurs participent au tournage qui a lieu, entre autres, dans le village d'Aldery et dans un studio de l'est de Londres durant deux mois. Une centaine de véhicules militaires de la Seconde Guerre mondiale venus de toute l'Europe occidentale sont rassemblés pour le film.
En cours de tournage, l'agent de l'acteur Trini Lopez tenta de renégocier son salaire. Le réalisateur Robert Aldrich décida alors de supprimer purement et simplement la scène de la mort du personnage (qui se déroule ainsi hors-écran).
À l'issue d'un premier montage, on dit à Robert Aldrich qu'il aurait certainement l'Oscar du meilleur réalisateur si seulement il retirait la scène où Jim Brown massacre les soldats allemands, prisonniers dans les caves. Aldrich, bien sûr, refusa. Selon lui, la guerre ne devait jamais être édulcorée. Il dira « War is hell » (« La guerre, c'est l'enfer »).
Distinctions
Oscars 1968 :
Oscar du meilleur montage de son
nomination à l'Oscar du meilleur second rôle masculin pour John Cassavetes.
nomination à l'Oscar du meilleur montage pour Michael Luciano.
Golden Globes 1968 : nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle pour John Cassavetes.
Le film est considéré comme un véritable monument du film de guerre américain, mais est également un remake (nouvelle version) du film L'Invasion secrète (1964) de Roger Corman. Il donnera lui aussi lieu à d'autres piètres remakes.
Le film, bien qu'antimilitariste, a été à l'époque qualifié de film « fasciste » par certains. On retrouve pourtant des thèmes virulents dénonçant l'armée américaine :
le personnage de Wladislaw est très proche de celui de Jack Palance dans Attack (1956) du même Aldrich ;
on entend le major Reisman lancer l'ordre d'exécuter des prisonniers allemands désarmés. Puis, au moment de s'échapper, il ordonne de brûler vifs les ennemis militaires et civils réfugiés dans les caves : « Vous voulez de l'essence... vous êtes sûr ? » lance un de ses coéquipiers. « Pensez à vos camarades morts », répond-il en substance ;
pendant l'entraînement du commando, on assiste à un échange entre le psychiatre et Reisman portant sur la cohésion croissante du groupe des recrues devenant petit à petit des machines à tuer. « Vous êtes solidaires ! » : Reisman fabrique un esprit de corps selon la vieille technique du bouc émissaire : Franko, l'incurable individualiste, fait un temps les frais de sa manipulation ; bientôt, ce seront les Allemands... ;
de même, la sélection de criminels a pu choquer. De tous temps, les délinquants militaires sont versés aux bataillons disciplinaires promis aux missions suicidaires. Le chemin de la rédemption est miné. On remarque d'ailleurs la même idée — moins politique, plus intériorisée — dans La Horde sauvage (1969) de Sam Peckinpah : dans ce western d'anthologie, les héros n'ont aucune raison de vivre, il fallait leur donner une raison de mourir. Ainsi, justement, le western Une raison pour vivre, une raison pour mourir (1972), de Tonino Valerii, s'inspirant vraisemblablement énormément des Douze Salopards, reprend le thème de la mission suicide confiée à des hors-la-loi condamnés à mort. Le mythe de la rédemption revisité par le septième art américain très imprégné de religiosité.
Un seul parmi les douze sort du lot : Pedro Jimenez (Trini Lopez). Mélomane et guitariste, il avait d'après ses dires été condamné à tort. Il meurt précisément, juste avant le déclenchement de l'opération, sans avoir tué le moindre Allemand.
Le commandant Reisman présente son plan d'attaque à ses recrues et le leur fait réciter dans une célèbre séquence. Il tient en 16 points qui donnent (dans la version française) :
Évidemment, rien ne se passe comme prévu
Le film aura inspiré les développeurs du premier volet du jeu vidéo Call of Duty. En effet, dans la campagne solo lors de la mission « Château », des soldats américains attaquent un manoir pour… libérer des prisonniers. Par ailleurs, les décors de la mission font beaucoup penser à ceux du film.
Dans la bande dessinée, il a notamment inspiré un album de la série des Tuniques bleues : Les Cinq Salopards, par Raoul Cauvin et Lambil.
Suites et dérivés
Le film connaîtra trois suites sorties sous forme de téléfilms :
Les Douze Salopards 2 (The Dirty Dozen: Next Mission, 1985), avec Lee Marvin, Ernest Borgnine et Richard Jaeckel ;
Les Douze Salopards : Mission Suicide (The Dirty Dozen: The Deadly Mission, 1987), avec Telly Savalas, Ernest Borgnine et Bo Svenson ;
Les Douze Salopards : Mission fatale (The Dirty Dozen: The Fatal Mission, 1988), avec Telly Savalas et Ernest Borgnine.
Ainsi qu'une série télévisée qui ne dura qu'une seule saison :
Les Douze Salopards (Dirty Dozen: The Series, 1988), avec Ben Murphy, John D'Aquino, Frank Marth, John Slattery et Jon Tenney
Dell Comics édite également la série de comics The Dirty Dozen en octobre 1967
Film américain | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Film espagnol | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Film français | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Film hongkongais | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
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Les Douze Salopards (The Dirty Dozen) est un film de guerre américain réalisé par Robert Aldrich et sorti en 1967. Il s'agit d'une adaptation du roman The Dirty Dozen d'E. M. Nathanson (en), qui s'inspire lui-même de la section Filthy Thirteen (en) de la 101e division aéroportée.
Le film est un succès commercial important. Il remporte par ailleurs l'Oscar du meilleur montage de son. En 2001, l'American Film Institute le classe 65e du classement AFI's 100 Years...100 Thrills des meilleurs thrillers.
Le film connaitra trois suites en téléfilms ainsi qu'une série télévisée.
Synopsis
Pendant la Seconde Guerre mondiale, quelque temps avant le débarquement en Normandie, douze criminels tous condamnés à mort, aux travaux forcés ou à de longues peines de réclusion, se voient proposer une mission suicide qui pourra leur valoir une amnistie : attaquer un château en France, près de Rennes, où se sont installés une trentaine de hauts généraux nazis et en tuer le plus possible.
En Angleterre, les supérieurs du commandant américain John Reisman lui demandent de préparer le terrain en vue du Débarquement. Ils le chargent de mener une opération commando au cours de laquelle son unité infiltrera un château près de Rennes où des officiers nazis viennent se détendre. Leur but est d'en tuer le maximum pour déstabiliser l'état-major allemand. Pour éviter de perdre des soldats de valeur, Reisman devra en sélectionner douze passibles de la peine de mort ou de la réclusion à perpétuité. Ceux qui survivront seront graciés.
John se rend dans une prison militaire et sélectionne Joseph Wladislaw, Robert Jefferson, Victor Franko, Archer Maggot, Vernon Pinkley, Samson Posey, Milo Vladek, Gleen Gilpin, Roscoe Lever, Pedro Jiminez, Seth Sawyer et Tassos Bravos. D'abord réticents, tous acceptent et, avec l'aide du Sergent Bowren et de ses hommes, Reisman commence leur entraînement en pleine campagne. Dès le premier jour, Franko tente de s'échapper du camp mais Wladislaw et Jefferson le ramènent de force, car si l'un d'entre eux venait à fuir, les peines des autres condamnés seraient de suite appliquées. Quelques jours plus tard, Franko entame une mutinerie, cette fois-ci soutenue par tous et leur nécessaire de toilette leur est confisqué, ce qui leur vaut le surnom des "Douze Salopards" (allusion au titre original, The Dirty Dozen, Les Douze « Sales »). Reisman le privait d'eau chaude pour les solidariser dans un combat et former ainsi une unité militaire. En outre, chacun est soumis à des tests psychologiques par le captaine Kinder pour juger de ses capacités. Selon lui, tous sont irrécupérables et n'attendent qu'une occasion pour tuer Reisman. Le plus dangereux étant Maggot, qui fut condamné pour meurtres et viols de plusieurs femmes. Depuis, il se voit comme un envoyé de Dieu chargé de les châtier et n'hésitera pas à tuer les autres prisonniers qu'il voit également comme tels. Qui plus est il est raciste et déclenche au début de l'histoire une bagarre au sein du groupe, en insultant Jefferson.
Sur le point de terminer leur formation, les Salopards doivent s'exercer au saut en parachute. Pour cela, ils se rendent sur une base aérienne du commandant Breed qui voue une haine réciproque à Reisman. Pour garder l'opération secrète, Reisman prétexte un entraînement sous la supervision d'un général en civil mais à leur arrivée, une fanfare militaire les attend. Pinkley est chargé de jouer le rôle du général et, devant l'attitude des « soldats », Breed demande à deux de ses hommes de découvrir ce que lui cache Reisman. Wladislaw est battu dans les toilettes mais reste muet. Posey et Jefferson interviennent et neutralisent à leur tour les agresseurs dans les toilettes. Les prisonniers pensent d'abord qu'il s'agit d'un ordre de Reisman qui souhaite tester leur discretion mais comprennent leur bévue, en voyant Breed et ses hommes - parmi lesquels les deux agresseurs de Wladislaw - débarquer dans leur camp. Reisman s'infiltre, armé d'une mitraillette, et demande aux douze repris de justice de désarmer les intrus. Breed quitte alors le camp, furieux.
Leur entraînement terminé, Reisman laisse les Salopards profiter d'une bonne nuit en invitant des prostitués (cachées aux yeux de Maggot) mais le général Worden et le brigadier Denton le découvrent. Sur le point d'annuler l'opération (et donc d'exécuter les condamnés), Reisman, en colère, leur dit que les prisonniers valent dix fois les hommes de Breed et le major Armbruster suggère qu'ils participent aux manœuvres militaires pour le leur prouver. Les Douze se font passer pour des soldats de Breed et capturent son quartier général sans problème. Breed lui-même est capturé par Wladislaw. Impressionné, Worden ordonne donc le lancement de l'opération.
Reisman, Bowren et les Salopards sont parachutés en France mais Jiminez se casse la nuque en chutant sur sur un arbre pendant le saut. La mission continue et Reisman et Wladislaw (qui parle allemand) se déguisent en officiers pour infiltrer le château grâce à leur « chauffeur » Pinkley. Les « officiers » se rendent au salon tout en ayant permis à Maggot et Jefferson d'entrer, mais Gilpin se bloque la jambe dans le toit en voulant détruire l'antenne radio. L'opération vire au désastre lorsque Maggot surprend une femme (à la recherche de son amant) et l'oblige à crier avant de la tuer, ce qui déclenche l'alarme. Gilpin, toujours bloqué, lance ses grenades sur l'antenne, se tuant dans le processus. Pinkley bloque la sortie et tue les officiers cherchant à fuir avant de trépasser à son tour. À l'étage, Jefferson n'a d'autre choix que de tuer Maggot, devenu fou. Les Allemands se réfugient dans un bunker situé sous le château et Reisman et Wladislaw les piègent de l'intérieur avant de lancer des grenades via les conduits de ventilation qu'ils imbibent d'essence. Malgré une défense acharnée, Posey, Vladek, Gilpin, Lever, Sawyer et Bravos sont tués par les renforts nazis. Jefferson dégoupille les grenades pour détruire le château, qui explose quelques secondes plus tard, mais meurt sous les tirs allemands. Reisman, Bowren, Wladislaw et Franko fuient grâce à un semi-chenillé mais Franko se fait tuer en se réjouissant trop vite de leur victoire.
De retour en Angleterre, Wladislaw est gracié et les autres Salopards remerciés pour le sens du devoir.
Fiche technique
Titre : Les Douze Salopards
Titre original : The Dirty Dozen
Réalisation : Robert Aldrich
Scénario : Nunnally Johnson et Lukas Heller (en), d'après le roman éponyme de E. M. Nathanson (en) paru en 1965
Musique : Frank De Vol
Photographie : Edward Scaife
Montage : Michael Luciano
Production : Kenneth Hyman (en)
Sociétés de production : Metro-Goldwyn-Mayer, MKH et Seven Arts Productions
Société de distribution : Metro-Goldwyn-Mayer
Pays de production : États-Unis
Langue originale : anglais
Format : couleurs (Metrocolor) - 1,75:1 - 35mm - stéréo
Genre : action et guerre
Durée : 143 minutes
Dates de sortie :
États-Unis : 15 juin 1967
France : 27 septembre 1967
Distribution
Lee Marvin (VF : René Arrieu) : le commandant John Reisman
Ernest Borgnine (VF : André Valmy) : le général Sam Worden
Charles Bronson (VF : Marcel Bozzuffi) : Joseph T. Wladislaw
Jim Brown (VF : Sady Rebbot) : Robert T. Jefferson
John Cassavetes (VF : Jacques Thébault) : Victor P. Franko
Richard Jaeckel (VF : Jacques Richard) : le sergent Clyde Bowren
George Kennedy (VF : Claude D'Yd) : le major Max Armbruster
Trini Lopez (VF : Claude Mercutio) : Pedro Jimenez
Ralph Meeker (VF : Michel Gudin) : le capitaine Stuart Kinder
Robert Ryan (VF : Jacques Berthier) : le colonel Everett Dasher-Breed
Telly Savalas (VF : Jacques Marin) : Archer (Arthur en VF) J. Maggott
Donald Sutherland (VF : Jacques Balutin) : Vernon L. Pinkley
Clint Walker (VF : Henri Gillabert) : Samson Posey
Robert Webber (VF : Roland Ménard) : le général Denton
Tom Busby : Milo Vladek
Ben Carruthers : Glenn Gilpin
Stuart Cooper : Roscoe Lever
Colin Maitland : Seth K. Sawyer
Al Mancini (VF : Henri Gillabert) : Tassos R. Bravos
Robert Phillips (VF : Bernard Musson) : le caporal Carl Morgan
George Roubicek : Arthur James Gardner
Thick Wilson : l'aide de camp du général Worden
Dora Reisser : la femme de l'officier allemand
John Hollis : l'adjudant allemand au château (non crédité)
Film américain | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Film espagnol | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Film français | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Film hongkongais | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
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Filmographie
1951 : La marine est dans le lac (You're in the Navy Now) d'Henry Hathaway et Lewis Seiler : le radio
1951 : Teresa de Fred Zinnemann : un G.I.
1952 : Courrier diplomatique (Diplomatic Courier) d'Henry Hathaway : le sergent de la Police Militaire
1952 : Cinq mariages à l'essai (We're Not Married!) d'Edmund Goulding : Pinky
1952 : Duel sans merci (The Duel at Silver Creek), de Don Siegel : "Tinhorn" Burgess
1952 : Le Relais de l'or maudit (Hangman's Knot), de Roy Huggins : Rolph Bainter
1952 : Eight Iron Men d'Edward Dmytryk : le sergent Joe Mooney
1953 : L'Expédition du Fort King (Seminole), de Budd Boetticher : le sergent Magruder
1953 : Down Among the Sheltering Palms, d'Edmund Goulding : le soldat Snively
1953 : La Brigade glorieuse (The Glory Brigade), de Robert D. Webb : le caporal Bowman
1953 : Les Massacreurs du Kansas (The Stranger Wore a Gun) d'André de Toth : Dan Kurth
1953 : Règlement de comptes (The Big Heat) de Fritz Lang : Vince Stone
1953 : Bataille sans merci (Gun Fury) de Raoul Walsh : Blinky
1953 : L'Équipée sauvage (The Wild One) de László Benedek : Chino
1954 : Gorilla at Large de Harmon Jones : Shaughnessy
1954 : Ouragan sur le Caine (The Caine Mutiny) d'Edward Dmytryk : le quartier-maître "Meatball"
1954 : Le Raid (The Raid) d'Hugo Fregonese : le lieutenant Keating
1955 : Un homme est passé (Bad Day at Black Rock) de John Sturges : Hector David
1955 : Les Inconnus dans la ville (Violent Saturday) de Richard Fleischer : Dill
1955 : Pour que vivent les hommes (Not as a Stranger) de Stanley Kramer : Brundage
1955 : A Life in the Balance (it)d'Harry Horner et Rafael Portillo : le tueur
1955 : Le Gang du blues (Pete Kelly's Blues) de Jack Webb : Al Gannaway
1955 : La Peur au ventre (I Died a Thousand Times) de Stuart Heisler : Babe Kossuck
1955 : Shack Out on 101 (en) d'Edward Dein : Slob / Mr. Gregory
1956 : Sept hommes à abattre (Seven men from now) de Budd Boetticher : Bill Masters
1956 : Attaque (Attack !) de Robert Aldrich : le lieutenant-colonel Clyde Bartlett
1956 : Les Piliers du ciel (Pillars of the Sky) de George Marshall : le sergent Lloyd Carracart
1956 : Le Supplice des aveux (The Rack) d'Arnold Laven : le capitaine John R. Miller
1957 : L'Arbre de vie (Raintree County) d'Edward Dmytryk : Orville 'Flash' Perkins
1958 : The Missouri Traveler de Jerry Hopper : Tobias Brown
1961 : Les Comancheros (The Comancheros) de Michael Curtiz : Tully Crow
1962 : L'Homme qui tua Liberty Valance (The Man Who Shot Liberty Valance) de John Ford : Liberty Valance
1963 : La Taverne de l'Irlandais (Donovan's Reef) de John Ford : Thomas Aloysius « Boats » Gilhooley
1964 : À bout portant (The Killers) de Don Siegel : Charlie Strom
1965 : Cat Ballou d'Elliot Silverstein : Shelleen/Strawn
1965 : La Nef des fous (Ship of Fools) de Stanley Kramer : Bill Tenny
1966 : Les Professionnels (The Professionals) de Richard Brooks : Henry "Rico" Fardane
1967 : Les Douze Salopards (The Dirty Dozen) de Robert Aldrich : le major John Reisman
1967 : Le Point de non-retour (Point Blank) de John Boorman : Walker
1968 : Duel dans le Pacifique (Hell in the Pacific) de John Boorman : le pilote américain
1969 : La Kermesse de l'ouest (Paint Your Wagon) de Joshua Logan : Ben Rumson
1970 : Monte Walsh de William A. Fraker : Monte Walsh
1972 : Les Indésirables (Pocket Money) de Stuart Rosenberg : Leonard
1972 : Carnage (Prime Cut) de Michael Ritchie : Nick Devlin
1973 : L'Empereur du Nord (Emperor of the North Pole) de Robert Aldrich : A-N° 1
1973 : The Iceman Cometh de John Frankenheimer : Theodore 'Hickey' Hickman
1974 : Du sang dans la poussière (The Spikes Gang), de Richard Fleischer : Harry Spikes
1974 : L'Homme du clan (The Klansman), de Terence Young : le sheriff Track Bascomb
1976 : Un cow-boy en colère (The Great Scout & Cathouse Thursday) de Don Taylor : Sam Longwood
1976 : Parole d'homme (Shout at the Devil) de Peter R. Hunt : le colonel Flynn O'Flynn
1979 : Avalanche Express de Mark Robson : le colonel Harry Wargrave
1980 : Au-delà de la gloire (The Big Red One) de Samuel Fuller : le sergent
1981 : Chasse à mort (Death Hunt) de Peter R. Hunt : le sergent Edgar Millen
1983 : Gorky Park de Michael Apted : Jack Osborne
1984 : Canicule d'Yves Boisset : Jimmy Cobb
1985 : Les Douze salopards 2 (The Dirty Dozen: The Next Mission) d'Andrew V. McLaglen (TV) : le major John Reisman
1986 : Delta Force (The Delta Force) de Menahem Golan : le colonel Nick Alexander
Séries télévisées
1950 : Escape de Willys Cooper (anthologie), saison unique, épisode 6 "Whappernocker Song"
1950 : Suspense (anthologie), saison 2, épisode 28 "The Parcel" : Barrow
1950 : The Big Story de Paul H. Hedrick (anthologie), saison 1, épisode 15 "Eugene Travis, Memphis Tennessee Reporter"
1950 : Treasury Men in Action (anthologie), saison 1, épisode 3 "The Case of the Deadly Fish"
1951 : The Web (anthologie), saison 1, épisode 52 "No Escape"
1952 : Badge 714 (Dragnet) de Jack Webb, saison 1, épisode 5 "The Big Cast" : Henry Ross
1952 : Rebound de Bernard Girard (anthologie), saison 1, épisode 4 "The Mine" : Bull
1952 : Fireside Theatre (anthologie), saison 4, épisode 32 "Sound in the Night"
1952 : Rebound de Bernard Girard (anthologie), saison 1, épisode 15 "The Witness" : le sergent Krone
1962 : Le Virginien (saison 1 épisode 9) (It Tolls For Thee) : Un bandit
1961 : The Twilight Zone de Rod Serling, saison 3, épisode 7 "The Grave" : Connie
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La vie privée de l'artiste fait l’objet de nombreuses discussions autour de son enfance et de la relation qu'il entretenait avec son père. Devenus adultes, Michael Jackson, ses frères et sœurs déclarent avoir été malmenés physiquement et psychologiquement par leur père, Joe Jackson. En 2003, ce dernier admet avoir parfois battu ses enfants. Ces traumatismes pourraient être la cause de problèmes de santé survenus au cours de la vie de Michael Jackson.
Au début de sa carrière, Michael Jackson aurait demandé la main de l'actrice Brooke Shields, qui aurait décliné ses avances. Sa première relation notable fut, selon lui, avec l'actrice Tatum O'Neal ; mais il ne s'estimait « pas prêt à assumer la relation que [la jeune femme] souhaitait », et ils se seraient séparés en 1979. Il aurait eu également une relation avec la danseuse Tatiana Thumbtzen, au cours du Bad World Tour, avant qu'elle ne soit renvoyée par les producteurs pour avoir embrassé Michael sur scène.
Le 26 mai 1994, Michael Jackson se marie avec Lisa Marie Presley.
Le 26 mai 1994, Michael Jackson se marie avec Lisa-Marie Presley, la fille d'Elvis Presley, au cours d'une cérémonie privée en République dominicaine. Ils s'étaient rencontrés pour la première fois en 1975 lors d'une représentation à Las Vegas, puis se sont rencontrés de nouveau en 1993 lors d'un dîner organisé par l'artiste Brett Livingston-Stone à son domicile, et sont ensuite restés en contact par téléphone. Lisa Marie Presley est un soutien affectif important et se préoccupe de la santé de Michael Jackson pendant la période où des accusations de pédophilie sont portées contre lui. Elle expliquera : « Je pense qu’il n’a rien fait de mal et qu'il a été accusé à tort, et oui, j'ai commencé à tomber amoureuse de lui. Je tenais à le sauver. Je sentais que je pouvais le faire. ». Elle pourrait avoir persuadé son compagnon de régler à l'amiable le scandale lié aux allégations, comme les assurances de Michael Jackson le réclamaient également. Vers l’automne 1993, par téléphone, Michael Jackson propose à Lisa Marie Presley de se marier, disant : « Si je te demandais de te marier avec moi, serais-tu d’accord ? ».
En 1995, le couple apparaît dénudé dans le clip You Are Not Alone, s’embrassant et se câlinant, l’un des rares moments où leur affection a pu être observée par le public. Ils s’expriment à ce sujet dans un prime time présenté par Diane Sawyer, où ils affirment être un couple parfaitement normal et sexuellement actif. Au mois d'octobre 2010, Lisa Marie Presley accorde une entrevue à Oprah Winfrey, où elle confirme sa romance avec le chanteur, et réitère que Michael Jackson a subi de fausses accusations par le passé. Elle déclare également qu'ils sont restés amis ; cette information est confirmée par le principal biographe de la star, J. Randy Taraborrelli.
Michael Jackson rencontre Debbie Rowe quand il est diagnostiqué du vitiligo en 1981 ; elle est l'infirmière de son dermatologue Arnold Klein.
Le 14 novembre 1996, ils se marient lors d'une cérémonie civile dans la suite présidentielle du chanteur à l'hôtel Sheraton On The Park à Sydney, en Australie (ville d'origine de la mère de Debbie Rowe), seulement deux heures avant le début de la tournée mondiale HIStory World Tour qui débute par deux concerts dans cette ville les 14 et 16 novembre.
Ils ont un premier fils, Michael Joseph Jackson, Jr., né le 13 février 1997, et une fille, Paris Jackson, née le 3 avril 1998, tous les deux nés à Los Angeles. Ils divorcent à l'amiable le 8 octobre 1999. Debbie Rowe déclarera laisser en « cadeau » (après un accord de plusieurs millions de dollars) les deux enfants à la garde exclusive de Michael Jackson, abandonnant ses droits parentaux. En décembre 2005, elle saisit un tribunal familial pour récupérer ses droits parentaux, son ex-mari lui ayant refusé des droits de visite. Depuis, Debbie Rowe a définitivement abandonné ses droits parentaux moyennant une somme d'argent restée confidentielle.
Debbie Rowe et Michael Jackson ont eu durant leurs trois années de mariage deux enfants : Michael Joseph Jackson, Jr., dit « Prince », et Paris Jackson, conçus par insémination artificielle dont le sperme n'est pas celui du chanteur. Plus tard, Michael Jackson fait appel à une mère porteuse dont l'identité est inconnue, afin de concevoir son enfant par fécondation in vitro. C'est ainsi que Prince Michael Jackson II, dit « Blanket », voit le jour le 21 février 2002, il est le seul enfant biologique de Michael Jackson.
Au mois de novembre 2002, le chanteur se rend à Berlin pour y recevoir une récompense. Il réside à l'hôtel Adlon devant lequel de nombreux admirateurs se rassemblent. Afin de leur présenter son fils depuis le balcon de sa chambre, Michael Jackson le suspend quelques secondes au-dessus du vide, ce qui déclenche de vives polémiques dans la presse. Quelques jours plus tard, après la diffusion des images de l'incident, il déclare que c'était une « terrible erreur » et présente ses excuses dans un communiqué écrit. Dans le reportage Living with Michael Jackson en février 2003, il commente l'incident en déclarant avoir tenu fermement l'enfant, assurant qu'il ne l'aurait pas mis volontairement en danger et que les médias avaient eu tort de le juger irresponsable.
Lors de leurs apparitions publiques, les visages de Prince, Paris Jackson et « Blanket » sont dissimulés par des masques ou des voiles afin de préserver leur identité. Debbie Rowe déclara que c'était son idée, en raison des nombreuses menaces de mort anonymes que la famille recevait et de possibles tentatives d'enlèvement.
Le 3 août 2009, un peu plus d'un mois après la mort du chanteur, la justice américaine accorde la garde définitive des enfants à Katherine Jackson, la mère de Michael Jackson. Ainsi la justice respecte le souhait du défunt, qui aurait voulu que ses enfants soient élevés par leur grand-mère. En cas d'impossibilité de prise en charge de la part de Katherine Jackson, il avait désigné Diana Ross comme tutrice légale, ne mentionnant pas Debbie Rowe.
Michael Jackson souffre dans sa jeunesse de son apparence physique. Il en témoigne dans Living with Michael Jackson. Raillé par son père, il est complexé par son nez et développe une acné sévère durant son adolescence.
À partir des années 1980, ses changements physiques interrogent la presse people. En 1981, entre ses albums Off the Wall (1979) et Thriller (1982), il apparaît avec des cheveux bouclés et décrêpés, abandonnant ainsi sa coupe afro. Son nez semble modifié et continue de changer par la suite. Il aurait subi sa première rhinoplastie en 1979, à 21 ans. Ce changement physique pourrait s'expliquer par son souhait de ne pas ressembler à son père.
En 1998, Steven Hoefflin, chirurgien esthétique et médecin personnel du chanteur depuis la fin des années 1970, lui pratique une nouvelle rhinoplastie et le met en garde des dangers d'une intervention supplémentaire. Au début de l’année 2001, Michael Jackson en subit cependant une nouvelle. Le 14 novembre 2002, lors d'un procès l'opposant au producteur allemand Marcel Avram, le chanteur apparaît avec le nez recouvert d'un pansement, ce qui amène Steven Hoefflin à publier un communiqué de presse dans lequel il indique ne plus avoir pratiqué d'intervention sur Michael Jackson depuis 1998.
Durant la décennie 1980, il est diagnostiqué d'un vitiligo, une dépigmentation de la peau. Le rapport d'autopsie de 2009 confirme qu’il souffrait d'un vitiligo depuis plus de 20 ans et indique une « dépigmentation focale de la peau », c'est-à-dire une dépigmentation partielle de sa peau sur son corps avec cinq zones touchées. Des sources mentionnent qu’il utilisait une crème à base d'hydroquinone. Arnold Klein, son dermatologue de 1984 à sa mort, confie lui avoir recommandé de se débarrasser des régions foncées restantes sur son corps. Michael Jackson reconnaît en 1993, dans une entrevue avec Oprah Winfrey, se faire blanchir la peau et explique utiliser du maquillage pour créer une couleur de peau homogène au fil de l'évolution de la maladie. Il déclare : « Qu'en est-il des millions de personnes qui s'assoient au soleil à la plage pour bronzer et devenir autre que ce qu'elles sont ? Personne ne dit rien à ce sujet. ». Cependant, le chanteur affirme être fier d'être Afro-Américain.
Au fur et à mesure de sa carrière, il adopte un style androgyne. Il apparaît en public avec des vêtements à manches longues, des lunettes noires, portant un fédora, un masque, un parapluie (pour protéger sa peau du soleil) et son fameux gant en paillettes à la main gauche. Ces accessoires lui créent une image.
Jusqu'à sa mort, il conserve une personnalité enfantine et une voix fluette. Sa passion pour l’univers des contes de fées et son envie de vivre dans un monde enfantin lui avaient d'ailleurs valu le surnom de Bambi.
Son rapport d’autopsie révèle que l'artiste avait des tatouages permanents autour des yeux, des lèvres et les sourcils. Le devant de son crâne était tatoué pour camoufler un début de calvitie, qu'il cachait également sous une perruque. Son corps comportait aussi des cicatrices, notamment en raison de ses nombreuses opérations de chirurgie esthétique (derrière les oreilles, sur le côté de chaque narine et à la base du cou). L'autopsie n'a pas confirmé ni réfuté l’hypothèse selon laquelle il était atteint d'un lupus.
Dans les années 1980 et 1990, les revenus annuels de Michael Jackson sont estimés à 50 millions de dollars et en 2003, la somme totale perçue au cours de sa carrière est évaluée à 2 milliards de dollars. Une grande partie de cette fortune repose cependant sur les parts qu'il possède dans le catalogue de Sony / ATV Music Publishing, comportant plus de quatre mille chansons.
En août 1985, il acquiert pour 47,5 millions de dollars ce catalogue qui inclut des chansons des Beatles, d'Elvis Presley ainsi que ses propres chansons. En 1995, Michael Jackson vend la moitié de ses parts à Sony pour 90 millions de dollars. En 2006, ce catalogue, qui génère 80 millions de dollars par an, est estimé à un milliard de dollars. En 2016, plusieurs années après la mort de Michael Jackson, la société de gestion du patrimoine du chanteur décédé vendra la deuxième moitié des parts du catalogue Sony / ATV Music Publishing à Sony (qui en deviendra alors propriétaire à 100%) pour 750 millions de dollars.
À la suite du procès de 2005 concernant une accusation d'abus sexuel sur mineur, Michael Jackson aurait reçu un soutien financier du cheikh Abdullah bin Hamad bin Isa Al Khalifa (en), deuxième fils du roi de Bahreïn, prenant notamment à son compte les frais de justice de 2,2 millions de dollars (1,8 million d'euros). Le prince aurait ensuite avancé 7 millions de dollars en échange de l'engagement du chanteur à publier des disques, à écrire une autobiographie et à jouer dans une comédie musicale. L'entreprise de Jackson contestant cette entente, le cheikh réclame devant la Haute Cour de Justice de Londres le remboursement de la somme. Le 23 novembre 2008, un accord à l'amiable est conclu entre les deux parties.
En 2007, la fortune de Michael est estimée à 236,6 millions de dollars, soit 168,25 millions d'euros, selon une déclaration de l'Associated Press. Des journalistes estiment ses dettes à plus de 300 millions de dollars. À cette époque, la valeur du ranch de Neverland est estimée à 33 millions de dollars. Michael détient également 20 millions de dollars d'antiquités, de voitures, de pièces de collections et autres biens. Neverland devait être vendu aux enchères le 19 mars 2008, pour couvrir une dette de 24,5 millions de dollars, mais le fonds d'investissement américain Colony Capital lève finalement l'hypothèque. Le ranch est finalement vendu pour 35 millions de dollars au début de novembre 2008 et reprend son nom d'origine Sycamore Valley Ranch.
Malgré une fortune considérable, Michael Jackson emprunte plus de 200 millions de dollars afin de maintenir son train de vie personnel, que les journalistes estiment à 30 millions de dollars par an. Il emprunte principalement cet argent à Sony, utilisant comme gage les 50 % de Sony / ATV Music Publishing qu'il possède.
En 2009, son testament provoque la surprise et révèle une situation financière plutôt avantageuse : son patrimoine personnel étant estimé à 500 millions de dollars à l'époque de sa rédaction, vaut désormais un milliard de dollars, notamment grâce aux droits détenus sur le catalogue musical Sony / ATV Music Publishing.
À la suite de son décès, les deux gérants de l'empire financier de Michael Jackson ont signé en deux mois pour plus de 80 millions de dollars d'accords commerciaux et cent millions de dollars de revenus supplémentaires à la fin de l'année 2009. Un contrat de 15 millions de dollars est conclu avec Universal pour la commercialisation de produits dérivés, et l'exploitation du ranch de Neverland serait à l'étude. En mars 2010, les héritiers de Jackson parviennent à un accord avec Sony Music : un contrat de 250 millions de dollars est signé, ce qui représente un record absolu pour un artiste disparu. Cette somme permet à ses héritiers de régler les dettes et de relancer l'empire érigé par la superstar. Le 21 avril 2010, une entente est conclue entre la succession de Michael Jackson et le Cirque du Soleil, afin de préparer une tournée de spectacles en hommage au chanteur disparu, ainsi qu'un spectacle permanent à Las Vegas en 2012. La production estimée à 80 millions de dollars sera la plus élaborée et dispendieuse de toute l'histoire du Cirque. MGM Mirage prévoit aussi la création d'une boîte de nuit à Las Vegas aux couleurs du Roi de la pop.
En juin 2010, Billboard estime que Michael Jackson a généré au moins un milliard de dollars de chiffre d'affaires dans l'année suivant son décès. Fin 2010, selon un classement établi par le magazine Forbes, Michael Jackson serait la personnalité décédée la plus rentable, ayant généré pas moins de 275 millions de dollars de revenus depuis sa mort. Il dépasse ainsi Elvis Presley, situé à la seconde place avec 60 millions de dollars générés par an, suivi par l'auteur J. R. R. Tolkien qui continue de générer environ 50 millions de dollars par an
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Le 25 juin 2009, Michael Jackson se trouve dans sa maison d'Holmby Hills, un quartier de Los Angeles, lorsqu'il perd connaissance peu avant midi. Les secours paramédicaux du Los Angeles Fire Department arrivent rapidement sur place, et constatent que son médecin personnel, le docteur Conrad Murray, est déjà en train de procéder à une réanimation cardiopulmonaire. Transporté au Ronald Reagan UCLA Medical Center, Michael Jackson est officiellement déclaré mort à 14 h 26, heure locale, malgré plus d'une heure de tentatives de réanimation. Sa mort est annoncée officiellement à la presse américaine quelques minutes plus tard par son frère aîné Jermaine Jackson ; à 14 h 44, le site Web TMZ est le premier média à relayer l'information, confirmée à 14 h 51 sur le site du Los Angeles Times ; s'ensuit un pic de trafic Internet d'une intensité exceptionnelle, provoquant l'arrêt momentané de plusieurs sites majeurs pour cause de surcharge. Une première autopsie médico-légale est pratiquée, puis quelques jours plus tard une seconde est réalisée à la demande de la famille, dans un cadre privé, le père de l'artiste ayant des doutes sur les causes de sa mort.
Au fur et à mesure de l'enquête, les accusations se portent sur son médecin personnel, Conrad Murray, criblé de dettes, qui lui aurait injecté du Propofol, un anesthésique, et du Lorazépam, un sédatif, en doses excessives et sans la surveillance requise. Les médecins légistes parlent alors d'« homicide accidentel » lié aux médicaments. Selon l'institut médico-légal, ces deux médicaments seraient à l'origine de la mort du chanteur, mais l'autopsie aurait révélé la présence d'autres médicaments : Midazolam, Diazépam, Lidocaïne et éphédrine, soit une combinaison de calmants et de stimulants. Le rapport de l'autopsie pratiquée au bureau du médecin légiste de Los Angeles par les docteurs Sathyavagiswaran et Rogers, que s'est procuré l'Associated Press, fait apparaître que Michael Jackson était en bonne santé. Il souffrait d'arthrite au bas de la colonne vertébrale et dans les mains et d'une inflammation des poumons, ce qui est assez courant chez un quinquagénaire. Son cœur, ses reins et ses autres organes étaient en bon état, et son poids, certes dans la moyenne basse, n'avait rien d'anormal.
Le 21 novembre 2009, la police de Los Angeles communique à la presse de nouvelles informations prouvant la culpabilité du docteur Murray dans la mort du chanteur. Pour sa défense, celui-ci a émis l'hypothèse d'un suicide de l'artiste, qui, soumis à une trop forte pression et ne se sentant pas en mesure d'assurer la série de concerts annoncée, aurait préféré mettre fin à ses jours ; cela lui sera vivement reproché à la lecture du verdict. Le 7 novembre 2011, Murray sera reconnu coupable d'homicide involontaire par la cour supérieure de Los Angeles et condamné à quatre ans de prison ; il a été libéré le 28 octobre 2013, en raison de la surpopulation carcérale.
Le 2 juillet 2009, la direction du Staples Center, à Los Angeles, annonce la tenue d'une cérémonie d'hommage, dont les dix-sept mille billets d'accès seront attribués aux demandeurs par tirage au sort. Le lendemain, un million six cent mille personnes auraient participé au tirage au sort effectué par l'huissier Gerard Tillobat, ce qui ferait de Michael Jackson la célébrité défunte dont l'hommage a rassemblé le plus de personnes dans le monde. L'organisation de la cérémonie est confiée à Kenneth Ehrlich (en), le producteur des Grammy Awards. AEG, propriétaire du Staples Center ainsi que des droits sur la tournée avortée de Michael Jackson, a autorisé sa retransmission gratuite en mondovision.
Durant la cérémonie, la ville de Los Angeles est sous haute sécurité, les quartiers autour du Staples Center sont bouclés et plus de 1 400 policiers sont placés en renfort pour l'occasion. Le budget pour assurer la sécurité de la ville est estimé à plus de quatre millions de dollars.
Le 7 juillet 2009, un service funèbre privé se tient à huis clos au Forest Lawn Memorial Park d’Hollywood Hills, un cimetière privé américain du nord de Los Angeles, situé près de Burbank. Il est suivi, le même jour, des funérailles publiques au Staples Center. Retransmises en direct et en mondovision, elles auraient été suivies par un milliard de téléspectateurs. De nombreux artistes, figures politiques et les proches de Michael Jackson se succèdent durant deux heures et demie sur la scène, lui rendant de vibrants hommages à proximité de son cercueil exposé. À l'issue de la cérémonie, Paris Jackson, fille de l'artiste, apparaît pour la première fois à visage découvert, rendant à son tour un émouvant hommage à son père.
Michael Jackson est inhumé le 3 septembre 2009 sur la Holly Terrace du Grand Mausolée (en), au sein d'un autre Forest Lawn Memorial Park, celui de Glendale, lui-aussi au nord de Los Angeles, dans une partie fermée au public de ce cimetière.
À l'annonce de sa mort, de très nombreuses personnes se sont rassemblées spontanément de par le monde pour lui rendre hommage. Les membres de la Chambre des représentants des États-Unis ont observé une minute de silence en son honneur. La vague d'émotion qui a suivi sa mort a également provoqué un phénomène médiatique sans précédent, notamment au travers de l'audience mesurée par Akamai, qui a fait état d'une hausse de la consultation des sites d'information de plus de 50 %, et d'une hausse globale du trafic Internet mondial de 11 %. « Sur Facebook, le nombre de statuts à la minute s'est envolé. […] La fiabilité des sites d'information est tombée de 100 % à 86 %, alors que le temps pour afficher les pages d'accueil doublait […]. Google, submergé de requêtes « michael jackson », a d'abord cru à une attaque de spammeurs. Vendredi 26 juin, le sujet était toujours qualifié de « volcanique », le plus haut niveau d'intérêt dans l'échelle de Google. » Sur le site de musique musicMe, l'écoute des chansons de Michael Jackson a augmenté de 949 % du jour au lendemain. Durant les semaines suivantes, les ventes de disques de la star atteignent un pic inattendu, conduisant à une rupture de stock dans les magasins.
Parallèlement, ses principaux albums et singles reviennent dans les classements et atteignent une nouvelle fois le premier rang. Certains titres du chanteur dépassent même les scores établis lors de leur sortie officielle, par exemple Will You Be There au classement suisse Swiss Singles Chart. Sept semaines après sa mort, plus d’un million et demi d’albums de Michael Jackson ont été vendus en France et plus de dix-huit millions dans le monde entier.
Un de ses gants blancs couvert de brillants est vendu aux enchères, et acquis par le Hard-Rock Hotel de Las Vegas pour un montant de 49 000 $. Un autre de ses gants, qu'il avait acheté trente dollars et qu'il portait en 1983 lors de la cérémonie des vingt-cinq ans de la Motown, au cours de laquelle il a interprété Billie Jean en exécutant pour la première fois son moonwalk, a été vendu aux enchères pour la somme de 325 000 $ à un homme d'affaires chinois.
De nombreux artistes de divers horizons rendent hommage au « Roi de la pop » :
Tracy Chapman interprète I'll Be There lors de son concert à Lille, en France, le lendemain de la mort de l'artiste.
P.Diddy, Usher, Chris Brown, The Game, Boyz II Men, Mario Winans se réunissent cinq jours après sa mort pour enregistrer Better on the Other Side.
Également dans les jours suivants, le rappeur 50 Cent enregistre le titre Where You Are.
Bono, le chanteur du groupe U2 chante Wanna Be Startin' Somethin', et d'autres chansons du « Roi de la pop » à plusieurs reprises sur scène durant les semaines suivant sa mort. Il ajoute alors : « What a waste! » (Quelle perte !)
Madonna, lors de ses concerts du Sticky & Sweet Tour 2009, fait danser un sosie de Michael Jackson sur la musique de Billie Jean et de Wanna Be Starting Somethin' et demande à son public de se lever pour « un des plus grands artistes de tous les temps ». Plus tard dans l'année, Madonna prononce un discours à sa mémoire en ouverture de la cérémonie des MTV VMA 2009.
Lors de son concert au Stade de France en août 2009, Coldplay demande à l'ensemble des personnes du stade d'allumer leur téléphone portable et de les tourner vers la pelouse pour mimer les dalles qui s'éclairent dans le clip de Billie Jean, puis, se déplaçant sur une scène déportée au milieu de la foule, Chris Martin, leader du groupe, chante seul avec sa guitare et fait une reprise acoustique de Billie Jean.
Lors du même événement, Janet Jackson reprend la chanson Scream, qu'elle chantait en duo avec son frère en 1995. Elle reprend également ce titre en 2011 durant sa tournée mondiale Up Close and Personal, tandis que des photos d'elle et Michael enfants apparaissent sur les écrans durant la chanson Together Again.
Britney Spears, durant sa tournée mondiale Circus en 2009, citera Michael avant sa chanson Everytime. Durant l'introduction destinée au danseur et à l'artiste, une danseuse exécute une chorégraphie sur Don't Stop 'Til You Get Enough.
Deux hommages sont rendus à Michael Jackson les 22 et 23 août 2009 à Montréal, au Québec. Après la cérémonie de remise des Jupiters de l'International des feux, le tableau pyrotechnique d'une dizaine de minutes diffusera onze grands succès de Jackson. Le parc a finalement décidé d'en faire un thème et, pour compléter l'hommage, a organisé une soirée de danse à ciel ouvert, mettant l'accent sur la musique des années 1980, dont les plus grands succès de Michael Jackson.
Stevie Wonder lui rend un vibrant hommage lors de sa tournée en reprenant des chansons de la période Motown, comme Never Can Say Good Bye.
Miley Cyrus, lors des Teen Choice Awards 2009, chante une version modifiée de sa nouvelle chanson Party in the USA en hommage à Michael Jackson.
Jamie Foxx lui rend hommage sur la scène des BET Awards 2009.
Mylène Farmer, lors de ses concerts au stade de France en 2009, rend hommage à l'artiste en laissant ses danseurs interpréter les pas de danse emblématiques de Michael Jackson lors d'un interlude intitulé Outro Haka Je m'ennuie.
Beyoncé reprend I Can't Help durant son concert à Philadelphie, et lui dédie sa chanson Halo, tout au long de sa tournée mondiale en 2009.
R. Kelly écrit une chanson pour Michael Jackson, qu'il interprète lors d'un concert au Nokia Theater de Los Angeles à la suite d'un discours
Robbie Williams écrit en 2010 une chanson inspirée par la disparition de Michael Jackson, intitulée Morning Sun.
Céline Dion, Usher, Jennifer Hudson, Carrie Underwood et Smokey Robinson reprennent Earth Song lors des Grammy Awards 2010.
De mars 2011 à janvier 2012, Céline Dion rend un medley hommage à Michael à l'occasion de son spectacle au Caesars Palace, à Las Vegas. Elle y interprète Ben, Man In The Mirror et I just Can't Stop Loving You. La chanteuse canadienne parle également de son admiration pour Michael Jackson et de l'influence qu'il a eu sur sa carrière.
Le chanteur Akon, qui avait chanté sur son album Thriller 25, enregistre en 2011 le titre Cry Out of Joy.
En 2012, un album hommage intitulé Unity: The Latin Tribute to Michael Jackson est mis en production avec des grands noms de la musique latine et de la salsa tels que Michael Stuart, Tito Nieves, India, Obie Bermúdez, Jennifer Peña, Jan Rodríguez (le frère de Luis Fonsi) et Kevin Ceballo. L'album est sorti en 2015.
Demi Lovato, lors de son Demi World Tour (2014), rend hommage à Michael Jackson en interprétant Thriller lors de plusieurs concerts.
Lors de sa tournée À l'infini Tour, en 2014, Tal interprète Wanna Be Startin' Somethin'.
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