Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
11.02.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Tiercé en pairle : au 1er de gueules à la lyre d'or, au 2e d'azur au four à chaux ancien d'argent crachant des flammes de gueules, au 3e d'or au rocher isolé d'azur.
Détails
Création de R.A. Louis avec les conseils de la Commission héraldique de l'UCGL. Adopté par la commune en novembre 2014.
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La carrière de Dompcevrin, jadis exploitée pour des fours à chaux, se présente en quatre paliers d'exploitation qui permettent d'observer sur une quarantaine de mètres d'épaisseur une partie stratigraphiquement assez haute de la Formation récifale de Lorraine.
L'ensemble est dominé par des faciès à ciment crayeux très blancs et régulièrement stratifiés. Sur le palier supérieur, on remarquera un faciès riche en coraux, en Diceras (premiers rudistes) et Nérinées. Ce faciès ne doit pas être considéré comme un calcaire construit mais comme un calcaire détritique ; ses éléments présentent les caractères de l'allochtonie (coraux en position renversée, valves dissociées, granoclassement...). Il s'agit sans doute d'un faciès localisé à proximité d'une vraie construction. Dans cette roche, les effets d'une dissolution diagénétique différentielle de l'aragonite des fossiles et bioclastes sont particulièrement bien exprimés et fournissent une grande porosité (="moldic porosity" des auteurs anglais).
Tiré de "Les environnements coralliens de l'oxfordien de Lorraine"
B. Lathuilière, J. Geister, R. Chalot - Livret guide d'excursion du Congrès Lorrraine de l'APBG 1994
Références bibliographiques : Humbert (1971), Hilly et Haguenauer (1979)
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L'église Saint-Symphorien, reconstruite en 1924.
Vent des Forêts, « espace d’art contemporain à ciel ouvert » : la forêt communale de Dompcevrin accueille une vingtaine d’œuvres sur ses sentiers, parmi les 90 visibles sur le territoire. Elles sont à découvrir en parcourant les circuits du Gros Cailloux et des Trois Fontaines.
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005.
En 2016, la commune comptait 315 habitants en diminution de 2,17 % par rapport à 2011 (Meuse : -2,33 %, Francehors Mayotte : +2,44 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
300 | 301 | 334 | 375 | 432 | 407 | 411 | 409 | 399 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
397 | 415 | 406 | 383 | 369 | 363 | 344 | 333 | 313 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
289 | 271 | 385 | 327 | 405 | 502 | 459 | 415 | 448 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2010 | 2015 |
444 | 381 | 343 | 387 | 380 | 362 | 372 | 329 | 318 |
2016 | - | - | - | - | - | - | - | - |
315 | - | - | - | - | - | - | - | - |
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)
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Dompcevrin est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.
Le village est situé sur le CD 34 qui longe la rive gauche de la Meuse entre Saint-Mihiel et Verdun.
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Meuse |
Arrondissement | Commercy |
Canton | Dieue-sur-Meuse |
Intercommunalité | Communauté de communes du Sammiellois |
Maire Mandat | Louis Zwatan 2014-2020 |
Code postal | 55300 |
Code commune | 55159 |
Démographie | |
Gentilé | Dompcevrinois |
Population municipale | 315 hab. |
Densité | 29 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 55′ 58″ nord, 5° 29′ 26″ est |
Altitude | Min. 212 m Max. 358 m |
Superficie | 10,93 km2 |
Liste des maires successifs
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
1912 | 1940 | Arthur Mirouel | AD | Conseiller général du canton de Pierrefitte-sur-Aire (1914-1940) Sénateur (1935-1940) |
01/03/01 | 01/03/08 | Michel Fromont | ||
01/03/08 | En cours (au 17 avril 2014) | Louis Zwatan |
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le fort de Douaumont
Lieux importants
le fort de Douaumont ;
le fort de Vaux ;
le fort de Souville ;
Fleury-Devant-Douaumont (village détruit) ;
la butte de Montfaucon ;
la cote 304 ;
le Mort-Homme (voir Cumières-le-Mort-Homme) ;
le tunnel de Tavannes ;
le bois des Caures.
À visiter
L'ossuaire de Douaumont ;
le Mémorial de Verdun ;
le fort de Douaumont, l'ouvrage de Thiaumont, le fort de Vaux, l'ouvrage de Froideterre et l'ouvrage de La Falouse ;
la citadelle souterraine de Verdun
la tranchée des Baïonnettes ; ;
l'abri des Quatre Cheminées ;
le Centre mondial de la paix ;
la Voie sacrée, reliant le front à Bar-le-Duc ;
Montfaucon ;
la tranchée de Chattancourt.
Témoignages
http://www.lesfrancaisaverdun-1916.fr
Le Capitaine de Gaulle
Un certain nombre d'acteurs célèbres de la Seconde Guerre mondiale ont servi à Verdun, et les témoignages et les récits allemands sur la Seconde Guerre mondiale sur le front de l'Est se réfèrent fréquemment aux souvenirs et à l'expérience de la campagne de Verdun.
Dès 1942, certains officiers allemands notent ainsi que l'Armée rouge est capable de réunir des concentrations d'artillerie « comme on n'en a plus vu depuis la bataille de Douaumont ». Futurs experts du Blitzkrieg, Heinz Guderian et Erich von Manstein ont l'un et l'autre servi à Verdun, le premier à l'état-major de la 5e armée, où il était officier de renseignement adjoint, le second au sein de l'état-major de Gallwitz.
Vingt-deux ans avant de diriger la 6e armée allemande à Stalingrad, ce Verdun de la Volga, Friedrich Paulus a vécu la véritable bataille, en 1916, il était Oberleutnant au 2e régiment de chasseurs prussiens, et il a participé à la bataille de Fleury au mois de juin. Gouverneur de Paris en 1942, le général Carl-Heinrich von Stülpnagel commandait un bataillon à Verdun. Membre de la conspiration qui tenta de tuer Hitler en juillet 1944, il tenta de se suicider près du Mort-Homme, mais ne parvint qu'à s'éborgner. Il fut pendu quelques semaines plus tard.
L'un des meilleurs généraux de Hitler, le général Hans von Kluge, qui commandait le groupe d'armée B, et participa lui aussi au complot, avait été artilleur à Verdun en 1917. Démis de ses fonctions sur le front de Normandie, il fut convoqué à Berlin. Pressentant une arrestation, il se suicide en chemin, peu avant Verdun, entre Clermont-en-Argonne et Dombasle-en-Argonne.
Le chef d'état-major de Hitler, le Generaloberst Wilhelm Keitel, servait à l'état-major du 10e corps de réserve, sur la rive droite de la Meuse, pendant l'été 1916. Citons encore, parmi les autres participants allemands à la bataille, le chef de la SA, Ernst Röhm, et son adjoint, Rudolf Hess.
Côté français, outre le maréchal Pétain lui-même, on relève parmi les noms des vétérans français, celui de son futur protégé, puis adversaire, Charles de Gaulle. Le 2 mars 1916, le 33e régiment d'infanterie où il sert est attaqué et décimé, anéanti par l'ennemi en défendant le village de Douaumont, près de Verdun. Sa compagnie est mise à mal au cours de ce combat et les survivants sont encerclés. Tentant alors une percée, De Gaulle est obligé par la violence du combat à sauter dans un trou d'obus pour se protéger, mais des Allemands le suivent et le blessent d'un coup de baïonnette à la cuisse gauche. Capturé par les troupes allemandes, il est soigné et interné. Cette disparition au front lui vaut d'être cité à l'ordre de l'armée.
En 1966, année du cinquantenaire de la bataille, il devait déclarer : « La gloire que le maréchal Pétain avait acquise à Verdun ne saurait être ni contestée ni méconnue par la patrie »
L'amiral Darlan (1881-1942), commandant de la flotte française et vice-président du Conseil du gouvernement de Vichy, était, quant à lui, lieutenant en 1916 ; il servait au sein d'une batterie d'artillerie navale déployée à Verdun.
Le général Raoul Salan (1899-1984), qui participa au débarquement de Provence et participera à la libération de l'Alsace y gagnant le grade de général de Brigade, connu pour avoir mené le putsch des généraux en avril 1961 à Alger, passa également par Verdun en 1918. Engagé volontaire à 18 ans en 1917, il participa comme chef de section d'une compagnie aux combats dans la région de Verdun (Saint-Mihiel, Les Éparges, fort de Bois-Bourru, côte de l’Oie, Cumières-le-Mort-Homme) et fut cité à l’ordre de la brigade.
Enfin Jean de Lattre de Tassigny (1889-1952, maréchal à titre posthume) fut capitaine au 93e régiment d'infanterie en 1916 et se battit à Verdun pendant seize mois. En 1945, ses troupes arrêteront, en Allemagne occupée, l'ancien Kronprinz, Guillaume de Prusse, qui avait commandé ses troupes à Verdun.
Le colonel Adrien Henry (1888-1963), résistant pendant la Seconde Guerre mondiale, l'un des soldats les plus décorés de France, a été blessé, prisonnier et évadé en mai 1916 (avec le 361e RI).
L'écrivain et député de Nancy Émile Driant est mort à Verdun le 22 février 1916.
La résistance des combattants français à Verdun est relatée dans le monde entier. La petite ville meusienne, surtout connue pour le traité de Verdun signé en 843, acquiert une réputation mondiale. Cette victoire défensive est considérée par les combattants comme la victoire de toute l'armée française, dont la plus grande partie du contingent a participé aux combats. Sur les 95 divisions de l'armée française, 70 y ont participé. « Verdun, j'y étais ! » affirment, avec un mélange de fierté et d'horreur rétrospective, les poilus qui en sont revenus. Pour la nation tout entière, Verdun devient le symbole du courage et de l'abnégation.
Les comités du souvenir des soldats de Verdun se sont en effet rapidement forgés cette identité spécifique à la bataille. Leur construction unanimiste du discours mémoriel a volontairement omis la critique de la conduite de la guerre ou la vie quotidienne des tranchées. Elle s'est figée sur la figure symbolique du « soldat de Verdun » et adossée à une sainte hiérarchie (héroïsme, sacrifice et patriotisme du soldat, gloire de l'armée française tout entière, depuis les soldats jusqu'au génie des chefs, écorné cependant par les mémoires des officiers de tranchées) dont la bataille forme le sommet « incomparable ». C'est dans cet esprit que sont forgées les légendes patriotiques telles que la tranchée des baïonnettes et le « Debout les morts ! » de Péricard.
Cette forte symbolique a très tôt inspiré la littérature de guerre avec de grands romans de guerre comme Le Feu d'Henri Barbusse, Les Croix de bois de Roland Dorgelès ou Les Hommes de bonne volonté de Jules Romains qui situent leur action à Verdun.
La symbolique guerrière de Verdun a depuis évolué. Le Conseil municipal de la ville se proclame « capitale de la paix » en 1966. Le Mémorial de Verdun inauguré en 1967 perpétue la mémoire des deux côtés. Ce tournant mémoriel se confirme dans les années 1970 et 1980. Théâtre de la réconciliation franco-allemande, la commémoration de Verdun est notamment symbolisée par la poignée de main de François Mitterrand et Helmut Kohl à Douaumont en 1984. Le Centre mondial de la paix inauguré à Verdun en 1994 se veut un lieu de promotion de la paix, des libertés et des droits de l'homme. Ce basculement se poursuit dans la production éditoriale et musicale des décennies suivantes qui voit Verdun reléguer au second plan au profit de batailles comme le Chemin des Dames. Leurs thématiques rejoignent celles de l'historiographie et de l'enseignement scolaire, « glissant du registre de l'héroïsme désuet à celui de la résistance à la guerre ou du moins à son évidente absurdité »
Verdun est même, comme toutes les grandes batailles de la Grande Guerre, l'enjeu de débats historiographiques : le fait qu'il n'y ait pas eu de mutinerie d'envergure à Verdun est expliquée par les historiens comme l'illustration du consentement patriotique ou au contraire de la contrainte.
Décoration
Verdun 1916 est inscrit sur le drapeau des régiments cités lors de cette bataille.
Commémoration
La 310e promotion (mars à octobre 2016) de sous-officiers d'active de l'ENSOA de Saint-Maixent porte le nom de Sous-officiers de Verdun 1916.
La 5e promotion (1965-1966) d’élèves officiers d'active de l’École militaire interarmes (EMIA) de Coëtquidan porte le nom de Cinquantenaire de Verdun.
C'est une guerre de position, les pertes ont été considérables, pour un territoire conquis nul. Après 10 mois d’atroces souffrances pour les deux camps, la bataille aura coûté aux Français 378 000 hommes (62 000 tués, plus de 101 000 disparus et plus de 215 000 blessés, souvent invalides) et aux Allemands 337 000. 53 millions d’obus (30 millions d'obus allemands et 23 millions d'obus français, une estimation parmi d'autres, aucun chiffre officiel n'existant) y ont été tirés, dont un quart au moins n'ont pas explosé (obus défectueux, tombés à plat, etc.) ; 2 millions par les Allemands pour le seul 21 février 1916. Si l'on ramène ce chiffre à la superficie du champ de bataille, on obtient 6 obus par mètre carré. Ainsi, la célèbre cote 304, dont le nom vient de son altitude, 304 mètres, ne fait plus que 297 mètres d'altitude après la bataille et le Mort-Homme a perdu 10 mètres. Les Allemands ont employé à cet effet 2 200 pièces d'artillerie, les Français 1 727 .
Du fait du résultat militaire nul, cette bataille, ramenée à l'échelle du conflit, n'a pas de conséquences fondamentales. Elle reste un symbole de futilité mais la construction mythologique française d'après-guerre, à travers les cérémonies officielles, les défilés militaires, l'historiographie ou la littérature en a fait l'incarnation du sacrifice consenti pour la victoire.
Après la guerre, en France, de nombreuses associations d'anciens combattants évoquèrent un nombre de morts beaucoup plus élevé du côté des pertes françaises, car le nombre de morts de la bataille de Verdun (comme pour les autres batailles du conflit) évolue d'une source à une autre, avec souvent des différences de plusieurs dizaines de milliers de victimes. Aussi, les associations d'anciens combattants français dénonçaient les chiffres des pertes comme « étrangement ressemblantes à celles des Allemands ». Le chiffre de 250 000 morts français (en comptant les disparus) fut retenu par les associations d'anciens combattants français, après les derniers décomptes et estimations des années 1930.