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11.02.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Le Kronprinz supplie Falkenhayn d’attaquer la rive gauche pour faire taire les canons français. Les Allemands attaquent autour du Mort-Homme, du côté de la rive gauche, du bois des Bourrus, du bois de Cumière et du bois des Corbeaux. Puis ils attaquent sur la rive droite autour du fort de Vaux, de la côte du Poivre, etc. Ce sont à chaque fois des boucheries pour les deux camps. En ces lieux, tant du côté français qu'allemand, ces hommes ont fait preuve tout à la fois de courage, de désespoir, de sacrifice et d’abnégation.
Sur ces positions, les armées françaises et allemandes sont impitoyablement usées et saignées à blanc. Nombreuses sont les unités qui doivent être entièrement reconstituées à plusieurs reprises ou qui disparaissent.
Le 6 mars 1916, les Allemands pilonnent et attaquent le Mort-Homme sur la rive gauche. Mais le feu français les arrête. Cette « bataille dans la bataille » va durer jusqu’au 15 mars. Au cours de ces 10 jours, le secteur est transformé en désert. Les combattants des deux bords y connaissent toutes les souffrances.
Simultanément, le 7 mars, les Allemands lancent une offensive sur la rive droite, à partir de Douaumont. Cette partie du front fut le secteur le plus durement touché de la bataille. Le fort de Souville (aujourd'hui totalement en ruine), l'ouvrage de Thiaumont (totalement rayé du paysage), l'ouvrage de Froideterre (qui a bien résisté, bien que les différents organes du fort ne soient pas reliés par des souterrains) permirent à l'armée française de s'accrocher sur la dernière position haute dominant la ville de Verdun. Le village de Fleury-devant-Douaumont fut le théâtre de combats particulièrement intenses, il fut pris et repris seize fois. Mais les Allemands n'iront pas plus loin. Ce village, qui fait aujourd'hui partie des six communes mortes pour la France (qui ont un maire, mais n'ont plus d'habitants), a représenté l'avance extrême de l'armée allemande devant Verdun.
Le saillant de Verdun se transforme en une innommable boucherie où la sauvagerie l’emporte sur toute sorte de compassion.
Le fer, le feu et la boue forment la triade infernale composant la vie du « poilu », mais aussi celle du « Feldgrau » allemand.
Pétain réclame des renforts à Joffre. Mais ce dernier privilégie sa future offensive sur la Somme. Cela fait dire à Pétain « Le GQG me donne plus de mal que les Boches ».
La 11e division bavaroise investit, le 20 mars, la cote 304 qui couvrait de son feu le Mort-Homme. Malgré ces succès, l’offensive générale allemande sur les deux rives de la Meuse est arrêtée par les Français. « Les assauts furieux des armées du Kronprinz ont partout été brisés. Courage… on les aura ! » dira Pétain.
Au début de la bataille les effectifs français étaient de 150 000 hommes. En avril, ils s'élèvent à 525 000 hommes. Cette concentration humaine sur une si faible surface pourrait expliquer dans une certaine mesure le bain de sang que constitue Verdun. Cependant, les Allemands étant arrêtés, Joffre veut quelqu’un de plus offensif pour diriger la bataille. Le 1er mai 1916, il nomme Pétain chef du groupe d’armées Centre et le général Nivelle à Verdun
Ce dernier charge le général Mangin de reprendre le fort de Douaumont. La bataille s’engage par six jours de pilonnage du fort par les Français. L’infanterie prend pied sur le fort le 22 mai, mais en est chassée le 24.
Durant ce temps, 10 000 Français tombent pour garder la cote 304 où les Allemands sont accrochés sur les pentes.
L’artillerie, pièce maîtresse de ce champ de bataille, est toujours en faveur du côté allemand avec 2 200 pièces à ce moment-là pour 1 800 pièces côté français. On dirait que Verdun agit comme catalyseur. Les belligérants ne semblent plus pouvoir renoncer et sont condamnés à investir de plus en plus de forces sur ce champ de bataille qui a déjà tant coûté.
Falkenhayn reprend l’offensive sur la rive droite de la Meuse. Sur un front de six kilomètres, les Allemands sont à quatre contre un. Ils mettent les moyens pour emporter la décision qui tarde depuis si longtemps. À trois kilomètres au sud-est de Douaumont se trouve le fort de Vaux. Il est défendu par une garnison de 600 hommes. L’eau, les vivres et l’artillerie sont en quantité insuffisante. Après une intense préparation d’artillerie, le 1er juin 1916, l’infanterie allemande se lance à l’attaque du fort. Le 2 juin, elle pénètre dans l’enceinte. Toutefois, il faut encore « nettoyer » la place. Les combats se livrent couloir par couloir. Il faut gazer la garnison pour la réduire. Une expédition de secours est anéantie le 6 juin. Finalement, le commandant Raynal, chef de la place, capitule le 7 juin car les réserves d'eau à l'intérieur du fort sont tombées à zéro.
Les Allemands sont tout près de Verdun dont ils peuvent apercevoir les spires de la cathédrale. Falkenhayn croit la victoire à sa portée. Le 18 juin 1916, il fait bombarder le secteur avec des obus au phosgène. Mais les 70 000 Allemands doivent attendre, l’arme à la bretelle, que le gaz se dissipe pour attaquer. Ce temps précieux est mis à profit par les forces françaises pour renforcer la position. Lorsque l’assaut recommence, le 23 juin, il réussit à faire une percée de 6 kilomètres et occuper la crête de Fleury.
Le lundi 21 février 1916 à 4 heures du matin, un obus de 380 mm explose dans la cour du palais épiscopal de Verdun. Ce n'est qu'un réglage de tir, le véritable déluge de feu commençant à 7 h 15 avec un obus de 420 mm. C’est le début de l’opération baptisée Gericht (mot allemand qui signifie tribunal, jugement et, assez fréquemment, lieu d'exécution) par les Allemands et d'une bataille qui va durer dix mois et faire plus de 300 000 morts et 700 000 victimes.
Sur la partie centrale, de long de 15 kilomètres, les Allemands ont installé quarante batteries de 800 canons qui pilonnent les tranchées françaises, sur un front d'environ 30 kilomètres, jusqu'à 16 heures. Au bois des Caures durant cette journée, 80 000 obus tombent en 24 heures. Le bombardement est perçu jusque dans les Vosges, à 150 km.
À 16 heures, le même jour, 60 000 soldats allemands passent à l’attaque sur un front de six kilomètres au bois des Caures, croyant s'attaquer à des troupes à l'agonie, totalement désorganisées mais ils se heurtent à une résistance inattendue. Le 7e corps d'armée (Allemagne) commandé par le général Johann von Zwehl, le 18e corps d'armée (Allemagne)commandé par le général Dedo von Schenck et le 3e corps d'armée (Allemagne) commandé par le général Ewald von Lochow effectuent une progression limitée, aménageant immédiatement le terrain afin de mettre l’artillerie de campagne en batterie. La portée ainsi augmentée, les canons allemands menacent directement les liaisons françaises entre l’arrière et le front.
Les forces françaises sont écrasées par cette pluie d’acier. Le lieutenant-colonel Driant trouve la mort le 22 février dans le bois des Caures. Avec lui, 1 120 hommes tombent. Il n’y aura que 110 rescapés parmi les 56e et 59e bataillon de chasseurs à pied. Sur le reste du secteur, les défenses sont broyées, disloquées, écrasées. En quelques heures, les massifs forestiers disparaissent, remplacés par un décor lunaire. Les massifs de Haumont, de Herbebois et des Caures sont déchiquetés, hachés, nivelés. Derrière le feu roulant, le 7e corps rhénan, le 18e hessois et le 3e brandebourgeois avancent lentement.
Deux millions d’obus — un obus lourd toutes les trois secondes — tombent sur les positions françaises en deux jours.
Le fort de Douaumont, qui n’est défendu que par une soixantaine de territoriaux, est enlevé dans la soirée du 25 février 1916 par le 24e régiment brandebourgeois. Ce succès fut immense pour la propagande allemande et une consternation pour les Français. Par la suite, 19 officiers et 79 sous-officiers et hommes de troupes de cinq compagnies différentes occupent Douaumont qui devient le point central de la défense allemande sur la rive droite de la Meuse. Par cette prise, les Allemands ne se retrouvent plus qu'à 5 km de la ville de Verdun, se rapprochant inexorablement.
Malgré tout, la progression allemande est très fortement ralentie. En effet, la préparation d’artillerie présente des inconvénients pour l’attaquant. Le sol, labouré, devient contraignant, instable, dangereux. Bien souvent, la progression des troupes doit se faire en colonne, en évitant les obstacles.
Contre toute attente, les Allemands trouvent une opposition à leur progression. Chose incroyable, dans des positions françaises disparues, des survivants surgissent. Des poignées d’hommes, souvent sans officiers, s’arment et ripostent, à l’endroit où ils se trouvent. Une mitrailleuse suffit à bloquer une colonne ou la tête d’un régiment. Les combattants français, dans un piteux état, résistent avec acharnement et parviennent à ralentir ou à bloquer l’avance des troupes allemandes.
Un semblant de front est reconstitué. Les 270 pièces d’artillerie françaises tentent de rendre coup pour coup. Deux divisions françaises sont envoyées rapidement en renfort, le 24 février 1916, sur ce qui reste du front. Avec les survivants du bombardement, elles arrêtent la progression des troupes allemandes. Joffre fait appeler en urgence le général de Castelnau à qui il donne les pleins pouvoirs afin d'éviter la rupture des lignes françaises et une éventuelle retraite des troupes en catastrophe. Le général donne l’ordre le 24 février de résister sur la rive droite de la Meuse, du côté du fort de Douaumont, au nord de Verdun. La progression des troupes allemandes est ainsi stoppée grâce aux renforts demandés par Castelnau jusqu'au lendemain, jour de la prise du fort de Douaumont.
C’est la fin de la première phase de la bataille de Verdun. Manifestement, les objectifs de Falkenhayn ne sont pas atteints. Un front trop limité, un terrain impraticable et la hargne du soldat français semblent avoir eu raison du plan allemand.
Général allemand Falkenhayn
Le général allemand Falkenhayn choisit donc Verdun pour sa vulnérabilité et aussi du fait qu’il n’aura pas à déplacer beaucoup de troupes. Comptant sur la supériorité allemande en artillerie lourde, il va employer la méthode du Trommelfeuer (roulement de tambour) : les canons ne tirent pas par salves mais en feu à volonté, ce qui effectue un pilonnage continu. La préparation d’artillerie devrait permettre de détruire les défenses du terrain à conquérir. Au départ l'opération est appelée Jugement, prévue pour le 10 février, mais reportée pour cause de mauvais temps.
Les Allemands rassemblent face à Verdun quelque 1 225 pièces d’artillerie de tous calibres dont 542 obusiers lourds. En moyenne, on peut compter un obusier rapide de 210 mm tous les 150 m. Ils déploient 13 obusiers Krupp de 420 mm, 17 obusiers Škoda de 305 mm, 2 pièces de marine de 380 mm et les munitions en conséquence, environ 2 500 000 obus. Falkenhayn masse 72 bataillons d’infanterie dans des abris enterrés (Stollen) et ne prévoit que d'attaquer les forts de la rive droite de la Meuse alors que le général von Knobelsdorf, initiateur de l'opération « Gericht », avait insisté sur l'importance d'une attaque générale sur les deux rives pour « obtenir la forte impression morale désirée »
Sur les vingt divisions affectées à l'opération, dix sont prévues pour la bataille proprement dite, les dix autres étant réservées pour une éventuelle bataille décisive sur un autre secteur dégarni en conséquence.
Tous ces préparatifs ne peuvent échapper à l’attention des défenseurs de Verdun qui ne manquent pas de rapporter le renseignement aux plus hautes instances militaires. Ainsi le lieutenant-colonel Driant, commandant des 56e et 59e bataillons de chasseurs, profite de sa qualité de parlementaire, membre de la commission de la défense nationale, pour attirer l’attention du commandement sur le secteur
Joffre envoie un détachement du génie, mais il est bien tard. Le général Herr, chef de la région fortifiée de Verdun, dit lui-même « chaque fois que je demande des renforts d’artillerie, le GQG répond en me retirant deux batteries ! »
Depuis la mi-janvier, les préparatifs allemands sont confirmés par le 2e bureau (service de renseignement militaire français), par la reconnaissance aérienne qui prend des photographies inquiétantes et par des déserteurs alsaciens-lorrains. Joffre reste sourd à ces renseignements.
L'hôtel de ville.
Les monuments aux morts de Clermont-en-Argonne, Auzéville en Argonne, Jubécourt, Parois et Vraincourt.
Monument aux déportés martyrs de 1944 à Clermont-en-Argonne.
Monument de la Réconciliation Franco-Allemande à Clermont-en-Argonne.
Monument aux morts de Jubécourt.
Monument aux morts de Parois.
Plusieurs éléments du patrimoine ont été distingués par les Monuments historiques. L'église de Clermont-en-Argonne a été classée en 1908, le plateau Sainte-Anne l'a été en 1922. Le colombier situé quartier d'Auzéville a été inscrit en 1997
L'écart de Vraincourt compte deux monuments historiques inscrits :
l'ancienne motte castrale de Vraincourt, datant du XIe siècle, inscrite par arrêté du 22 novembre 1990 (propriété privée) ;
la maison à pans de bois, datant des XVIe et XVIIIe siècles, inscrite par arrêté du 20 juillet 1990 (propriété privée), située 15 route de Paris.
L'église Saint-Didier de Clermont-en-Argonne XVe siècle, XVIe siècle, XVIIe siècle et XXe siècle. Dans l'église une « Mise au tombeau » de la fin du XVIe siècle, attribuée à Ligier Richier, le cénotaphe d'Hubert de Villez-d'Alamont, sculpté par Stephan Buxin (1909-1996) dans les années 1960-1976, et des orgues de 1935 de la maison Théodore Jacquot & Fils. Elle est classée monument historique en 1908.
L'église Saint-Gorgon de Auzéville-en-Argonne XIIe siècle.
L'église Saint-Michel de Jubécourt XVIe siècle.
L'église Saint-Vannes de Parois, construite en 1843.
L'église Saint-Rémi de Vraincourt XIIe siècle, restaurée en 1878 puis en 1918.
La chapelle Sainte-Anne sur le Plateau de Sainte-Anne, la chapelle occupe l'emplacement de l'ancienne chapelle castrale alors dédiée à saint Oricle. Elle est reconstruite en 1338 par Henri IV, comte de Bar, et une fondation y est dédiée à sainte- Anne par la comtesse douairière Yolande. En partie détruite après la prise du château par Louis XIV, elle est restaurée en 1809. Endommagée en 1914/1918, elle est reconstruite en 1920.
La chapelle de l'ancienne faïencerie, vers 1700.
La chapelle du centre social des Islettes, sur le ban de Clermont-en-Argonne.
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004.
En 2016, la commune comptait 1 491 habitants en diminution de 4,85 % par rapport à 2011 (Meuse : -2,33 %, Francehors Mayotte : +2,44 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
1572 | 1598 | 1561 | 1349 | 1446 | 1451 | 1424 | 1498 | 1403 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
1315 | 1330 | 1304 | 1303 | 1303 | 1283 | 1389 | 1346 | 1265 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
1145 | 1123 | 1066 | 767 | 968 | 868 | 1019 | 1064 | 1054 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2009 | 2014 |
911 | 1080 | 1605 | 1778 | 1794 | 1767 | 1642 | 1570 | 1514 |
2016 | - | - | - | - | - | - | - | - |
1491 | - | - | - | - | - | - | - | - |
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)
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Clermont-en-Argonne est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.
« Le mont lumineux ».
Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Clermont-sur-Meuse.
Histoire
Seigneurie de la Maison de Gourcy durant l'Ancien Régime.
Citadelle barroise, en 1654, un siège est mené par l’armée française commandée d’abord par Clerville, Vauban y participe et prend le relais, ayant réparé la place l’année précédente.
Chef lieu du comté du même nom qui fut cédé à Louis XIV par le duc Charles IV de Lorraine et fut donné par le roi à son cousin le grand Condé qui le transmit à ses descendants puis le titre passa à la Maison d'Orléans en 1830, à la mort du dernier des Condé.
Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.
La rafle de Clermont-en-Argonne
Le 29 juillet 1944, une fusillade opposait des maquisards à des Allemands au cœur de Clermont-en-Argonne. Le lendemain, le bourg était cerné par des troupes allemandes, cent douze hommes - dont certains de passage - étaient arrêtés et cent d’entre eux étaient déportés ; vingt-huit seulement reviendront des camps.
Fusion de communes
Le 1er janvier 1973, Clermont-en-Argonne fusionne avec Auzéville-en-Argonne sous le régime de la fusion-association. Le 1er juillet 1973, Clermont-en-Argonne fusionne avec deux autres communes : Jubécourt et Parois, sous le même régime
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Des animations ont déjà été proposées au public, comme celle qui avait lieu en septembre 2017, qui a permis de voir la Suzanne sur les rails.
Une voiture suisse de 1905 pour la Voie Sacrée ferroviaire |
Des animations ont déjà été proposées au public |
Suzanne, dernière poilue meusienne |
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A | Jean-Baptiste Lambry |
Louis Acosta | Jacques Le Bourgeois du Cherray |
Henri Adeline | Jean-Baptiste-Antoine Lefaucheux |
Charles Nicolas d'Anthouard de Vraincourt | Felice Le Monnier |
B | Louis Hector Leroux |
Marcel Baltazard | M |
Louis Beaudonnet | Henry Madin |
Nicolas Beauzée | Éric Martin (football) |
Jacques Nicolas Bellavène | Maurad |
Marylène Bergmann | Mark Meadows |
Michel Blairet | Danielle Mitterrand |
Pierre Blairet | Matthieu Moinaux |
Paul Blondiaux | René Dufaure de Montmirail |
Pierre Bompard | Erika Moulet |
Antonin Boyez | N |
Élisabeth Branly-Tournon | Isabelle Nanty |
Élisabeth Brasseur | Nicolas de Verdun |
Isidore Buvignier | O |
Jean Buvignier | Théophile Onfroy |
Nicolas-Amand Buvignier | Valentin Onfroy |
C | P |
Jean-Joseph Cajot | Jean-Nicolas Pache |
Émilie Cariou | Jean-Joseph Paillet |
Jean-Baptiste Catoire-Moulainville | Jean-Nicolas de Parival |
Félix Chadenet | Benjamin Petre |
Germain Chardin | Gustave Pierre |
Adolphe Charlet | Philippe-Laurent Pons de Verdun |
François de Chevert | Q |
Joseph Christophe | Jean-Baptiste-Maurice Quinault |
Maxime Collignon | R |
Charles Cumberworth | Hervé Revelli |
D | Jean Richard (écrivain) |
César Daly | Robert Richet |
Suzanne Desprès | François Rittiez |
Manuella Dos Reis | Benjamin Rondeau |
Adrien Dubouays de la Bégassière | Paul Louis Antoine de Rosières |
Louis-Émile Durandelle | Anthony Roux (cyclisme) |
E | Jean Victor Rouyer |
Nicole Eisenman | Pierre Charles Rouyer |
F | Edmond-Adolphe Rudaux |
Adrien Falières | Michel Rufin |
Caroline Fiat | S |
Hugues de Flavigny | Pierre de Saint-Mart |
G | André Savard (homme politique) |
Antoine Pierre Gallois | François Schleiter |
Charles Antoine Génin | Joseph-François Soleirol |
Jean-François Gerbillon | Jean-Baptiste Symon de Solémy |
Brigitte Girardin | T |
H | David Terrier |
Jean-Baptiste Charles Hallot | Gérard Terrier |
Emmanuel Hublot | Édouard Thouvenel |
Raymond Humbert | V |
J | René Valet |
André Jacquemin (évêque) | Pierre Vermeren |
Louis Eugène Janvier de La Motte | W |
Camille Juillet | Antoine Watrinelle |
L | |
Tiphaine Lagarde |
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004
En 2016, la commune comptait 167 habitants en augmentation de 1,21 % par rapport à 2011 (Meuse : -2,33 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
644 | 732 | 668 | 750 | 864 | 870 | 933 | 1021 | 1112 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
1086 | 1117 | 1073 | 984 | 1001 | 1001 | 964 | 927 | 933 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
844 | 820 | 807 | 552 | 496 | 351 | 256 | 201 | 253 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2009 | 2014 |
219 | 198 | 175 | 160 | 173 | 154 | 153 | 163 | 163 |
2016 | - | - | - | - | - | - | - | - |
167 |
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)
Futeau |
Futeau : Démographie |
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Futeau est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.
Histoire
Dans son ouvrage L'identité de la France, Fernand Braudel rapporte que « le 14 juillet 1861, des troubles éclataient durant l’après-midi de la fête nationale, pour protester contre la suppression de la vaine pâture. La sécheresse sévissait et le manque d'herbe devenait désastreux. Dans la nuit du 14 au 15, les clôtures des prés ont été enlevées ».
Futeau |
Futeau : Démographie |
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