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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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un fœtus découvert dans la rue à Ezanville

Publié à 17:17 par fandeloup Tags : travail femme
un fœtus découvert dans la rue à Ezanville

Val d'Oise : un fœtus découvert dans la rue à Ezanville

C’est une habitante de la rue de la Fidélité à Ezanville (Val d'Oise) qui a fait la macabre découverte.

Ce mardi matin, en se rendant à son travail, cette femme a trouvé un fœtus d’environ 5 mois sur la voie publique.

Elle a immédiatement alerté les autorités. Un périmètre de sécurité a alors été déployé dans cette rue.

 Quasiment au même moment, une femme, qui arrivait sur son lieu de travail à la clinique d’Ezanville, a alerté son entourage qu’elle venait de faire une fausse couche.

Celle-ci a été conduite à l’hôpital pour recevoir des soins. «Il s’agit d’un triste accident», précise Yves Jannier, le procureur de la République de Pontoise. Les circonstances dans lesquelles les faits se sont déroulés ne sont pas encore connues.

lettre

Publié à 07:44 par fandeloup
lettre

Lettre du Bâtonnier d'Epinal au président de la République

un jeune homme de 19 ans avoue

Publié à 15:53 par fandeloup Tags : homme chez nature animaux
un jeune homme de 19 ans avoue

Vosges : un jeune homme de 19 ans avoue le viol de plusieurs chevreuils.

 « J’ai eu une pulsion »

Bastien G., 19 ans, a avoué aujourd’hui le viol de onze chevreuils depuis le début du mois d’octobre invoquant une « pulsion » pour expliquer ses actes.

En garde à vue depuis vendredi matin, le suspect devrait être mis en examen ce lundi pour « sévices graves de nature sexuelle » commis sur des animaux sauvages.

Un garçon gentil, toujours prêt à aider L’arrestation a suscité une vive émotion dans le département. Originaire de Remiremont dans les Vosges, le jeune homme s’était installé à La Bresse (88) chez sa grand-mère suite au divorce de ses parents.

« Bastien a beaucoup souffert de cette séparation. C’est un garçon discret, toujours prêt à aider » nous confie Jeannine V, sa grand-mère âgée de 91 ans.

Choquée, elle ne comprend pas ce qui a poussé son petit-fils à commettre de tels actes. « Il a toujours aimé les animaux. Il est inscrit dans un lycée agricole et veut devenir éleveur de chèvres.»

Vendredi, le jeune homme a été confondu par des tests ADN. Depuis le mois d’octobre, des chasseurs avaient remarqué le comportement inhabituel de plusieurs chevreuils lors de parties de chasse sur les hauteurs de La Bresse.

Alertés, l’Office National des Forêts avait organisé la captation de plusieurs bêtes pour procéder à des examens complémentaires. Les chevreuils portaient tous les stigmates de violences sexuelles. Des prélèvements avaient été effectués et mémorisés dans le fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG).

Les empreintes génétiques ont matché

Une fois le profil ADN entré dans les fichiers, il a « matché », c’est-à-dire qu’il a correspondu avec les traces relevés sur une autre scène de crime datant de 2011 : le viol de plusieurs poules dans une ferme de Remiremont (88).

A l’époque, Bastien avait été arrêté en flagrant délit, une poule à la main, et des prélèvements avaient été réalisés par les forces de l’ordre. Selon une source proche du dossier, le jeune homme avait l’habitude de se promener sur les hauteurs de La Bresse, secteur qu’il connaissait très bien.

« Il n’explique pas vraiment son geste, il évoque une pulsion d’ordre sexuel » a confirmé cette même source. Bastien G. encourt deux ans d’emprisonnement et 30.000 euros d’amende.

grève

Publié à 14:06 par fandeloup Tags : création texte chez fond mode
grève

Dijon : les avocats entrent dans leur deuxième semaine de grève

Pas contents les avocats du barreau de Dijon : ce lundi, ils ont en effet décidé de prolonger leur mouvement d’humeur et de rentrer dans une deuxième semaine de grève. Jusqu’à samedi prochain donc, les gens de loi bouderont les audiences, paralysant un peu plus une justice qui avait déjà beaucoup de retard.

Même l’appel du dossier Adoma qui doit débuter mardi à Chaumont, est menacé par cette action. Un mouvement qui devrait par ailleurs prendre une dimension plus visible pour le grand public dès cette semaine, les avocats envisageant en effet des actions « diversifiées » pour mieux se faire entendre.

Rappelons que les avocats contestent le projet de loi Macron. « Le texte bouleverse les principes de notre profession, il remet en cause notre indépendance, notre déontologie, qui est notre colonne vertébrale » dénonçait dans nos colonnes le bâtonnier Touraille.

La loi, dans sa rédaction actuelle, prévoit notamment la création d’un statut d’avocat d’entreprise. « Cet avocat aura un lien de subordination avec son employeur, dès lors, il ne sera pas indépendant. »

Elle veut également ouvrir les cabinets d’avocats à des capitaux extérieurs – pour l’instant, c’est interdit, le capital ne peut être détenu que par des avocats, soumis à une déontologie stricte. « Cela veut dire que l’on considère que le droit est un produit comme un autre, soumis aux lois du marché » regrettait encore Emmanuel Touraille.

Dijon : discours de combat pour les avocats..

Notre profession se bat pour sa survie, son honneur, sa dignité.  Devant un parterre de confrères arborant tous un autocollant « en grève » sur leur robe, le bâtonnier Emmanuel Touraille a délivré un discours de combat à l’occasion de l’audience solennelle de rentrée, hier soir.

Et il a été applaudi debout. Preuve que les avocats sont particulièrement inquiets du projet de loi Macron contre lesquels ils se sont élevés depuis lundi.

Les avocats sont des hommes de mots et en connaissent parfaitement la portée. Lorsque le bâtonnier Touraille évoque « le cauchemar » du droit transformé en marchandise ou « la monstrueuse attaque contre le secret professionnel », il choisit ses mots – même si, en bon pénaliste, il est sans doute moins rond et policé qu’un fiscaliste, par exemple.

Les audiences solennelles sont toujours l’occasion d’évoquer les grands principes et les tracasseries du moment mais cette fois, on a senti un basculement. Emmanuel Touraille a d’ailleurs indiqué avoir convoqué une nouvelle assemblée générale, lundi soir, pour étudier la poursuite du mouvement de grève.

Les magistrats – qui eux, ont applaudi assis – en ont pris aussi pour leur GRADE. Le bâtonnier reproche à l’institution judiciaire de ne pas toujours être « le protecteur de l’indépendance » de l’avocat. Et de citer la récente perquisition chez l’ancien bâtonnier d’Amiens. Mais c’est dans le combat pour les libertés – et la leur est fondamentale d’abord pour les nôtres -, au fond, que les avocats se transcendent.

« Un avocat doit avoir le goût de l’irrespect et de l’inconfort », a rappelé Emmanuel Touraille. Un goût que semble partager la jeune secrétaire du stage, Claire de Vogüé. La secrétaire est désignée par ses pairs parmi les avocats qui ont prêté serment dans l’année, après des épreuves d’éloquence.

À l’invitation de son bâtonnier, Claire de Vogüé a aussi donné à son discours, sur le mode distancié et humoristique qui sied à l’exercice, un fond grave. Grave car les jeunes avocats sont, eux aussi, déjà inquiets pour leur avenir.

des policiers abattent un enfant de 12 ans

Publié à 09:58 par fandeloup Tags : enfants mort jeux air
des policiers abattent un enfant de 12 ans

Cleveland : des policiers abattent un enfant de 12 ans portant une arme factice

Tamir Rice, un garçon de 12 ans en possession d'un pistolet à billes ressemblant à une arme réelle a été tué par des policiers dans une aire de jeux à Cleveland.

Alors que la tension est toujours palpable à Ferguson (Missouri), aux Etats-Unis, où la justice doit décider ce lundi si oui ou non elle poursuit le policier qui a tué Michael Brown en août dernier, un autre drame s'est noué, dans l'Ohio cette fois, à Cleveland.

Les deux agents sont intervenus samedi après-midi dans un espace extérieur dédié aux enfants après des signalements par téléphone au sujet d'un mineur armé d'un pistolet et prenant des passants en joue, selon un communiqué de la division de la police de Cleveland chargée d'enquêter sur l'usage de la force létale.

Les deux policiers arrivés sur place auraient demandé à l'enfant de lever les mains en l'air mais il aurait «abaissé les mains vers sa taille pour attraper son pistolet», selon le communiqué de la police. Une version qui n'avait pas pu dimanche être corroborée par d'autres témoignages.

Les policiers ont alors tiré deux fois et atteint le garçon au moins une fois au niveau de l'estomac. Tamir Rice a été transporté à l'hôpital MetroHealth où il a subi une intervention chirurgicale.

Il est resté dans un état critique jusqu'à son décès constaté tôt dimanche. Sa mort a été confirmée par le porte-parole de l'hôpital Jonas Rosenblum plus tard dans la journée.

Une élue démocrate va proposer une loi pour distinguer les armes factices des vraies. Après les coups de feu, les policiers ont réalisé que «l'arme en possession du suspect de 12 ans était une réplique de pistolet de type airsoft (à billes) ressemblant à un pistolet semi-automatique, avec l'indicateur de sécurité orange enlevé», selon la police.

L'un des agents a moins d'un an d'expérience, et l'autre plus de dix ans, a indiqué le président d'un syndicat de policiers aux médias locaux. Les deux fonctionnaires impliqués ont été placés en congé administratif.

L'un d'eux a été traité à l'hôpital de Fairview pour une blessure à la cheville. Selon un enregistrement téléphonique, la personne ayant appelé la police avait pourtant dit que l'arme était à son avis «probablement fausse».

Mais cette information, pour une raison qui reste à déterminer, n'aurait pas été relayée aux agents envoyés sur les lieux. L'Ohio a été le théâtre d'un incident similaire en août, quand des policiers répondant à un appel d'urgence ont abattu un noir, John Crawford, dans un supermarché alors qu'il transportait un pistolet en jouet, en vente sur place.

Face à ces deux morts, Alicia Reece, une membre démocrate de la Chambre des représentants pour l'Ohio a annoncé dimanche qu'elle allait présenter un projet de loi exigeant que tous les armes factices et à air comprimé vendues dans l'Etat soient de couleur vive ou munies de bandes fluorescentes.

«Ce projet de loi ne est qu'un petit pas dans la lutte contre cette tragédie et doit aider à prévenir de futures drames», a-t-elle expliqué. Une proposition qui fait déjà polémique. Certains détracteurs pensent en effet qu'il suffirait alors aux véritables criminels de maquiller leurs armes létales en pistolets factices pour tromper la police.

1600 pandas en papier mâché

Publié à 08:20 par fandeloup Tags : message animal pensée papier artiste création
1600 pandas en papier mâché

1600 pandas en papier mâché envahissent la ville de Hong Kong pour défendre leur brutale disparition

Paulo, un artiste francais, a mis en place 1600 pandas en papier mâché dans les rues de Hong Kong. En accord avec la WWF, cette jolie opération vise à sensibiliser les passants à la disparition tragique de cet animal.

L’artiste français Paulo Grangeon, en accord avec la WWF, le PMQ et le studio de création AllRightsReserved s’est lancé dans un projet artistique nommé 1600 pandas.

Reproduits en papier mâché, ces pandas représentent chacun des pandas encore vivants sur notre planète. Le projet, qui s’est déjà étendu dans plusieurs villes telles que Paris ou Rome, vise à sensibiliser les gens sur cet animal en voie de disparition

Nous avons adoré découvrir cette opération ! Elle est très bien pensée. Les dangers auxquels sont exposés les pandas deviennent plus concrets et semblent plus proches de nous.

En tout cas nous avons réellement été touchés par le message de Paulo.

Et vous, pensez-vous que communiquer de cette façon sur la protection de l’environnement soit plus efficace que les campagnes publicitaires ?

La fin de la défense prud’homale par les avocats

Publié à 19:26 par fandeloup Tags : mort travail annonce cadre nature cadeau art création
La fin de la défense prud’homale par les avocats

Donner la mort, quand cela est prémédité, c’est un assassinat:

La fin de la défense prud’homale par les avocats Par Leila Hamzaoui et Caroline Luche-Rocchia

?Donner la mort, quand cela est prémédité, c’est un assassinat: La fin de la défense prud’homale par les avocats Depuis deux ans, les attaques contre les avocats et leurs activités se multiplient…

Et la division de nos institutions offre un boulevard aux gouvernements successifs pour dépouiller notre profession

En juin 2012, sur la base d’un accord national interprofessionnel qui lui sert de pare-feu, le gouvernement a offert sur un plateau aux experts-comptables, l’assistance des syndicats de salariés dans la négociation des accords collectifs sur l’emploi :exercice du droit à titre principal, mission naturelle de l’avocat.

L’UJA de Paris a tout tenté mais n’a rien pu faire. Quelques mois plus tard, la loi ALUR avait accordé aux notaires et aux experts-comptables, les cessions de parts de SCI : mission naturelle de l’avocat. Par un véritable coup de force, le CNB était parvenu à faire annuler cette mesure scélérate.

Le cadre est posé… Mort aux avocats ! Arrive le projet de loi Macron… et ses énormités contre lesquels nous sommes vent debout. Il y a aussi ses méthodes… la réforme à marche forcée, la non concertation, l’omnipotence par ordonnance, rien que des pratiques très habituelles pour lui nous direz vous…

Mais qui a vu l’attaque en règle contre les avocats tout à la fin du projet de loi après la réglementation des tarifs des péages, l’externalisation du passage du permis poids lourds et autres dispositions diverses ?

Pour ne pas la manquer, il ne fallait pas écouter que Macron. Parce que Rebsamen et Taubira s’y sont mis… et ils ont tout donné. Cela commence par une déclaration du 6 novembre de Rebsamen… qui  annonce la création «d’un véritable statut » de défenseur syndical.

Avec pour objectif : la « garantie » au salarié d’une « défense de qualité ». Prenez ça dans les dents… La défense des salariés est de mauvaise qualité… La faute à qui hein ?!

Encore les avocats… Vraiment quelle sale engeance ! Et cela empire dans le communiqué de presse commun de Rebsamen et Taubira qui reprennent l’argument d’offrir (enfin) une défense de qualité au salarié.

Et ils ont la solution pour régler le problème de lenteur de la justice prud’homale La Garde des Sceaux a annoncé que la réforme mettrait en place « des garanties procédurales de nature à améliorer le traitement des litiges, notamment par l’instauration d’un calendrier DEprocédure évitant les manœuvres dilatoires, des pouvoirs renforcés pour le bureau de conciliation, et un accès plus rapide à la formation comprenant un juge départiteur sous certaines conditions ».

Car c’est bien connu, la lenteur de la justice prud’homale est due aux manœuvres dilatoires de ceux qui assurent une défense de mauvaise qualité… les avocats…

Et la lenteur de la justice n’est pas un problème de moyens de la justice qui s’appauvrit sans cesse…c’est un problème d’avocats…

Alors substituons-leur des défenseurs syndicaux ! Un peu facile non ? Faire un cadeau aux centrales syndicales salariées en leur offrant sur un plateau la défense prud’homale et se dispenser, par la même occasion, de financer l’AJ sur les procédures prud’homales. Parce que la réalité est aussi celle-là…

L’avocat assure une défense de qualité et participe au bon fonctionnement de la justice. Mais il demande l’AJ quand son client peut en bénéficier. Pas le défenseur syndical… Qui ne demande pas d’honoraires non plus et se rémunère uniquement sur l’article 700. Cet OPNI (objet plaidant non identifié) apparaît subrepticement dans la dernière mouture du projet de loi Macron (et non dans le projet sur la réforme de la justice prud’homale), avec une estocade en trois coups…

 

1 / Véritable statut du défenseur syndical pour la représentation devant les CPH

 

2°/ Représentation obligatoire devant la Cour d’appel en matière prud’homale (projet d’article L.1461-1 nouveau du Code du Travail)

 

3°/ « ART. – L. 1453-4 : Le défenseur syndical exerce DES fonctions d’assistance ou de représentation devant les conseils de prud’hommes et les cours d’appel en matière prud’homale.

Le défenseur syndical peut donc représenter un salarié devant la Cour d’appel en représentation obligatoire. Cette réforme assassine purement et simplement la représentation prud’homale par les avocats.

Comment avoir encore un client quand son concurrent ne facture pas ? Taubira l’avait dit que nous paierions notre refus de financer l’AJ sur nos propres deniers… Elle n’aura pas attendu. Et elle envisage déjà d’ouvrir le RPVA aux défenseurs syndicaux…

Le gouvernement adore quand ses plans se déroulent sans accrocs… alors cette partie de réforme a été intégrée subrepticement au projet Macron… De là à y voir une intention malveillante à l’égard des avocats, il n’y a qu’un pas… qui est franchi !

C’est intolérable. ?Donner la mort, quand cela est prémédité, c’est un assassinat: La fin de la défense prud’homale par les avocats N’écoutez pas ceux qui vous disent que ce projet est inéluctable et qu’il faut aller dans le sens du gouvernement. Rien ne justifie que nous cautionnons ces réformes assassines et DES conditions indignes qui portent atteinte à notre profession.

Nous devons tous nous rassembler derrière le CNB, seule institution qui représente la Profession et seule à dénoncer les méthodes non démocratiques du gouvernement. Le mardi 25 novembre, votez pour un CNB fort et représentatif. Votez UJA de PARIS.

Et le mercredi 10 décembre, Parisiens, avec l’UJA de Paris, faisons une démonstration de notre détermination et de notre UNITÉ, soyons tous présents au Rassemblement à l’appel du CNB

Amiante

Publié à 14:06 par fandeloup Tags : texte vie france article cadre lecture exposition
Amiante

Amiante : 13 000 anciens écoliers d'Aulnay-sous-Bois sont recherchés

Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), le 8 juillet 2009.

Pendant les travaux de dépollution du site du Comptoir des minéraux et matières premières, une dalle de béton avait été coulée dans la cour pour empêcher la dispersion de poussières d’amiante.

 En moins d'un mois, la lettre type a été envoyée à 3 500 personnes et autant à leur médecin, dans toute la France. On ne peut qu'imaginer la réaction des destinataires.

De la surprise, d'abord, à la lecture des premières lignes : « Vous avez été scolarisé entre 1938 et 1975 dans un des trois groupes scolaires. Les qualités d'un chercheur en biologie selon Sylvain.Gisèle, victime de l'usine-poison .. situés à proximité du Comptoir des minéraux et matières premières (CMMP) à Aulnay. »

De l'inquiétude, ensuite, car il est question d'amiante et DE possibles pathologies pulmonaires.

Suivent des conseils : se tourner vers son médecin ou appeler la cellule d'information dédiée. Le courrier, signé par le directeur de l'agence régionale de santé (ARS) d'Ile-de-France, devrait être adressé à 13 000 personnes d'ici la fin de l'année.

Le dispositif est inédit en France. Pour la première fois, on cherche les victimes potentielles d'une exposition à l'amiante hors d'un cadre professionnel.

L'opération, financée par l'Agence régionale de santé (ARS) à hauteur de 200 000 € — sans participation du CMMP —, vise les élèves qui allaient en classe dans le quartier quand l'usine broyait de l'amiante. Pour les retrouver, il a fallu croiser les vieux registres scolaires avec les fichiers de la Sécurité sociale.

L'objectif ?

Se conformer à la loi Kouchner stipulant que « toute personne a le droit d'être informée sur son état de santé ». Les destinataires, âgés aujourd'hui de 40 à 80 ans environ, ne seront pas recontactés par la suite. Ils sont libres de pratiquer des examens et de se manifester ou non auprès de la cellule d'information qui n'a reçu que cinq appels pour le moment.

C'est bien ce qui inquiète les associations qui plaident pour un suivi bien plus rigoureux et en appellent à la ministre de la Santé, Marisol Touraine. Les associations dénoncent un dispositif au rabais

En vingt ans, le Collectif des riverains et victimes du CMMP a recensé à lui seul 120 cas de malades contaminés par l'amiante. « Parfois, c'étaient des gens partis d'Aulnay depuis des années qui nous appelaient parce qu'ils avaient lu un article dans le journal », explique son porte-parole, Gérard Voide.

Pendant des années, le collectif a réclamé la mise en place d'un dispositif de RECHERCHE des victimes potentielles. Elles seraient 40 000, selon un rapport de 2012.

Le dispositif de l'ARS ne convainc pas Gérard Voide : « Cela ne suffit pas. Il fallait prévoir des relances. On attend de nouveaux cas jusqu'en 2025 ! » Annie Thébaud-Mony, chercheuse et porte-parole de l'association Ban Asbestos, également très impliquée sur ce dossier, dénonce un dispositif au rabais : « On a l'impression qu'on craint de retrouver trop de victimes pouvant prétendre à une indemnisation. »

Elle plaide pour un « véritable suivi tout au long de la vie.  C'était le moyen de faire le bilan sanitaire de cette affaire ». Mais les listings des anciens écoliers ne pourront être réutilisés. « Cela a été établi avec la Cnil (NDLR : Commission nationale de l'informatique et des libertés), qui autorise l'utilisation de ces adresses pour l'envoi d'un seul courrier », justifie une porte-parole de l'ARS.

Lammily, la "Barbie normale"

Publié à 19:49 par fandeloup Tags : image blog vie monde homme bonne enfants société belle fille femmes soi artiste pouvoir
Lammily, la "Barbie normale"

Lammily, la "Barbie normale" qui cassent les codes

Depuis quelques jours, Lammily, une « vraie » poupée avec des proportions normales a vu le jour.

Un jouet bien différent des Barbies, créé pour donner une image réelle du corps des femmes.

Maquillage, taille fine, longues jambes…

Voici quelques-uns des critères majeurs des poupées standards. Parmi ces dernières, la plus célèbre reste Barbie. Un objet qui a traversé les générations sans que son apparence physique ne soit remise en question, bien qu’il montre quelque chose loin de la réalité.

Si beaucoup ont rêvé d’une poupée conforme aux femmes« normales », aujourd’hui, c’est chose faite. Nickolay Lamm a créé Lammily. Cette dernière représente une jeune fille américaine DE 19 ans avec des proportions réelles.

Avec celle-ci, l’inventeur a voulu stopper la propagation de standards irréalistes de beauté. Pour cela, il est allé encore plus loin en créant quelques stickers à coller sur le jouet pour pouvoir le personnaliser au mieux.

Mais attention, toujours en gardant cet aspect pragmatique. C’est comme cela qu’aujourd’hui, Lammily peut avoir de l’acné, de la cellulite, des bleus, des tatouages et plus encore.

Un long projet Pour réaliser Lammily, Nickolay Lamm, jeune artiste américain, a lancé une plateforme de crowdfunding, un financement participatif, en mars dernier.

Le but : récolter 95 000 dollars pour que sa « vraie Barbie » voie le jour et soit mise en vente. En un mois, il avait déjà récolté 500 000 dollars. Rien que ça !

Avec cet objet, le créateur a voulu entamer une véritable croisade contre les "normes" de la société: « Lammily représente l’idée d’être honnête avec soi-même dans un monde qui nous convainc de poursuivre des fantasmes inaccessibles », a-t-il expliqué sur son blog.

Il a également affirmé : « Je veux montrer que la réalité est belle, que la vie est belle et qu’il devrait y avoir une ligne de poupées pour le refléter ».

Si la première Lammily sera disponible à partir du 28 novembre prochain, Nickolay Lamm ne compte pas s’arrêter là. Comme il l’a déclaré sur son blog, il a l’intention de créer plusieurs jouets avec des corps et des ethnies différentes. Cela avant de se lancer dans la fabrication d’un homme.

Une réussite

Si l’arrivée d’une poupée « normale » est vue comme une bonne chose par beaucoup, on ne savait pas vraiment ce que penseraient les véritables intéressés : les enfants et plus particulièrement les petites filles. Une expérience a donc été menée par l’inventeur avec une classe de CE1 aux Etats-Unis.

Un test filmé qu’il a ensuite diffusé sur sa chaîne Youtube. « Elle est belle », « Je l’aime beaucoup », « Elle est très jolie », « Elle n’est pas comme les autres poupées » … Tous ces bambins semblent convaincus.

Bien entendu, la plupart d’entre eux le remarquent : « Elle ressemble à une vraie personne ». A tel point, que certaines des fillettes lui trouve des points communs avec leurs sœurs.

Une chose est sûre, Nickolay Lamm a réussi son coup puisque lorsqu’on leur demande quelle Barbie leur ressemblent le plus entre Lammily et une poupée standard, c’est Lammily qui remporte la partie !

Les hébergements d’urgence n’ouvriront qu’à partir de -5°C

Publié à 18:29 par fandeloup Tags : nuit france rouge texte pouvoir cadre
Les hébergements d’urgence n’ouvriront qu’à partir de -5°C

Les hébergements d’urgence n’ouvriront qu’à partir de -5°C, les associations en colère

Normalement, les centres d’hébergement d’urgence du Nord ouvrent le 1er novembre. Mais cette année, une circulaire nationale stipule que l’ouverture ne peut avoir lieu si la température n’a pas atteint les -5°C.

 Les températures ne sont pas encore tombées en dessous de 0 et pourtant le Samu social reçoit déjà toutes les nuits plusieurs centaines de demandes d’hébergement. Dans son communiqué de presse sur la veille saisonnière, la préfecture du Nord explique que "celle-ci prévoit l'activation du dispositif lors des différentes phases de dégradation climatique, conformément aux orientations nationales".

Or, ces "phases de dégradations climatiques" risquent de laisser à la rue encore pour un certain temps les personnes sans domicile.

Trois niveaux ont été retenus.

Le niveau jaune, le plus BAS, prévoit 482 places de mise à l’abri si la température minimale ressentie est comprise entre -5°C et -10°C.

Le niveau orange, entre -10°C et -18°C, permet d’ouvrir 111 places supplémentaires.

Enfin, le niveau rouge, avec une température minimale ressentie au-delà de -18°C active la réquisition de gymnases et salles des fêtes.

En théorie, le texte prend en compte une température inférieure à -5°C et une situation sous tension. "Cette année, le deuxième critère a été supprimé", déclare, agacé, Eric Delhaye, président du Samu social sur l’arrondissement de Lille au Parisien. "C’est uniquement économique" Pour lui, "si on s’en réfère à l’année dernière, il a fait -4,5°C, cela signifie que l’on n’ouvrira aucune place d’hébergement et que les gens resteront plus qu’un an sans solution sur l’arrondissement de Lille. C’est inacceptable".

Hébergement urgence Lille "C’est uniquement économique, les lieux existent, ils sont mobilisables, ils sont pour la plupart équipés", poursuit M. Delhaye. Pourtant, la direction de la communication de la Préfecture de la région Nord-Pas-de-Calais affirme que la circulaire du ministère du logement a pour priorités, "d’une part la protection des personnes dans le cadre d'une mise à l'abri et d'autre part d'une prise en charge sociale dans les accueils DEjour qui seront renforcés en terme de moyens humains."

Vendredi dernier, le 115 de Lille a reçu plus de 500 appels sans pouvoir donner de solution.