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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Nord : un an de prison pour avoir abandonné son bébé dans les toilettes
La jeune maman, âgé de 18 ans, avait paniqué et laissé le nourrisson dans une cuvette de toilettes.
Elle avait reconnu tous les faits. Le tribunal de Valenciennes a condamné une jeune femme après qu'elle ait abandonné son nouveau-né dans les toilettes.
L'affaire sous fond de secret familial avait fait grand bruit dans la région. Une jeune femme de 18 ans a été condamnée mardi à Valenciennes (Nord) à quatre ans de prison dont trois avec sursis pour avoir abandonné son nouveau-né vivant dans une cuvette de toilettes de salle des fêtes le 22 juin 2013.
La jeune femme, poursuivie pour tentative d'homicide volontaire sur mineur de 15 ans, avait expliqué à l'audience avoir agi par crainte d'être «éjectée de la cellule familiale», selon son avocat. «Elle savait qu'elle était enceinte mais cela ne se voyait pas», a-t-il souligné: «Elle n'a jamais osé avouer qu'elle était enceinte».
Le bébé avait survécu par miracle Elle avait été interpellée quelques jours après avoir mis au monde un petit garçon - prénommé depuis Alban - dans les toilettes de la salle des fêtes de Raismes (Nord) où elle participait à la fête de l'école de sa petite soeur.
Le bébé, dont la température corporelle atteignait à peine 26 degrés et qui a survécu, avait été découvert par un employé municipal et hospitalisé. Sa mère avait reconnu les faits.
Le tribunal a ordonné le retrait de l'autorité parentale et a assorti la période de sursis d'une mise à l'épreuve de deux ans, contre trois ans requis par le parquet à l'audience du 7 novembre. Le juge a également prononcé une obligation de soins, de travail ou de formation et d'indemnisation avec une provision de 5000 euros en attendant les résultats d'une expertise de l'enfant.
«Cette décision m'apparaît juste et empreinte d'humanité», a commenté l'avocat de la jeune femme, Me Eric Tiry. «Cette décision va être acceptée par ma cliente qui a compris aujourd'hui la mesure de la gravité de son geste», a-t-il déclaré.
Les prix du gaz vont baisser en février
En France, 7,4 millions de foyers adhèrent aux tarifs réglementés du gaz.
7,4 millions de foyers bénéficieront d’une diminution de leur facture le mois prochain. Mais le montant ne sera pas le même pour tout le monde.
Après une hausse en janvier, les tarifs réglementés du gaz, appliqués par GDF Suez à 7,4 millions de foyers français, diminueront en moyenne de 1,27% (hors taxes) au 1er février, a annoncé lundi la Commission de régulation de l'énergie (CRE).
Pour les foyers se chauffant au gaz, la baisse sera de 1,4%, détaille le gendarme de l'énergie dans un communiqué. Elle sera de 0,5% pour ceux qui n'utilisent le gaz que pour la cuisson, et de 0,9% pour ceux qui en font un double usage cuisson et eau chaude.
"Cette évolution résulte de la baisse des coûts d'approvisionnement du fournisseur (...) et s'inscrit dans un contexte de baisse des prix du gaz sur les marchés de gros depuis le mois d'octobre, conjuguée à la baisse généralisée des indices pétroliers retenus dans la formule tarifaire", a expliqué la CRE.
Baisse de 4% depuis un an Les tarifs réglementés du gaz avaient augmenté de 1,8% en janvier en raison du doublement à cette date de la taxe intérieure sur la consommation de gaz naturel (TICGN) mais, selon la même source, ils ont reculé en moyenne de 4% depuis le mois de janvier 2014.
Ces tarifs consistent en un prix de détail, qui n'inclut pas encore les diverses taxes, mais comprend les coûts d'approvisionnement de GDF Suez (qui propose également des offres à prix de marché, non encadrées par l'Etat).
Ils sont révisés mensuellement. Leur formule de calcul a été modifiée l'été dernier pour renforcer leur indexation sur les prix de marché plutôt que sur l'évolution des cours du pétrole brut.
Environ 7,4 millions de foyers, sur un total de 10,6 millions d'abonnés au gaz, étaient aux tarifs réglementés à la fin du troisième trimestre 2014, tandis que 3,2 millions avaient souscrit des offres à prix libres, dites "de marché", chez GDF Suez ou un fournisseur alternatif.
Florence Cassez réclame 36 millions de dollars au Mexique
Florence Cassez, emprisonnée plus de 7 ans au Mexique et libérée il y a deux ans par la Cour suprême, a entamé une action en justice pour obtenir des dommages et intérêts d'un montant de 36 millions de dollars (32 millions d'euros).
Son avocat mexicain, Me José Patiño Hurtado, a indiqué sur radio MVS que cette action en justice, entamée vendredi, visait l'ex-président mexicain Felipe Calderon (2006-2012), son ancien secrétaire particulier, l'actuel sénateur Roberto Gil, ainsi que les anciens ministres de la Sécurité publique, Genaro Garcia Luna, et de la Justice, Daniel Cabeza de Vaca.
«Nous présentons une plainte pour dommage moral envers Florence Cassez, atteinte à ses sentiments, à sa réputation et à son honneur. Ils ont tué sa vie», a dit l'avocat.
Il a estimé que l'ancien président Calderon, comme les autres personnalités visées, «était en charge et n'a pas empêché que soit commis l'illicite» contre Florence Cassez.
L'affaire avait provoqué une crise diplomatique entre la France et le Mexique La plainte vise aussi la chaîne mexicaine Televisa et l'un de ses présentateurs vedettes, Carlos Loret de Mola, accusés d'avoir présenté comme une arrestation en direct une mise en scène de la police.
Florence Cassez, actuellement âgée de 40 ans, avait été arrêtée le 8 décembre 2005 en compagnie de son ex-compagnon mexicain, Israel Vallarta, sur une route du sud de Mexico. Le lendemain matin à l'aube, la police avait organisé devant les caméras de télévision, une simulation de l'arrestation dans un ranch où avaient été libérés trois otages présumés.
Condamnée à 60 ans de prison pour enlèvements, Florence Cassez a été libérée le 23 janvier 2013, la Cour suprême ayant jugé que n'avaient pas été respectées les conditions d'un procès équitable, avec, au départ, une «mise en scène contraire à la réalité».
L'affaire, qui avait provoqué en 2011 une crise diplomatique entre la France et le Mexique, avait été mise en avant par l'ex-président Calderon comme emblématique de sa lutte contre la criminalité.
Paris : les voleuses à l’étouffée écopent de 9 ans de prison
Sur cette image extraite d’une caméra de vidéosurveillance, on distingue les deux jeunes femmes en train de dépouiller une vieille dame, à terre.
Elles n’hésitaient pas à faire preuve d’une rare violence, sur des personnes particulièrement vulnérables, avant de les dépouiller de leurs bijoux et de leur argent.
Deux jeunes femmes ont été condamnées à 9 ans de prison, ce mercredi 21 janvier, par la cour d’appel de Paris après avoir été reconnues coupables de quinze vols par étranglement sur des retraitées domiciliées dans la capitale et en Ile-de-France.
Des faits commis à l’été 2012.
A l’issue de leur procès, les deux agresseures, Dina Demnati, 25 ans et Nabila Oulad-Zemmouri, 27 ans, de nationalité espagnole et marocaine, ont été reconduites dans leur cellule des prisons de Fresnes (Val-de-Marne) et de Fleury-Mérogis (Essonne).
Les deux jeunes femmes ont vu leur peine assortie d’une période de sûreté des deux tiers et d’une interdiction définitive du territoire français. Seize agressions durant l'été 2012
Ces deux jeunes femmes, placées en foyer à leur adolescence puis tombées dans la prostitution, avaient été condamnées, en première instance, il y a quelques mois, pour cette même série de faits à 7 ans de prison. Elles avaient décidé de faire appel de cette peine.
Elles devront désormais purger deux années supplémentaires de détention. Au cours de l’été 2012, en l’espace de trois semaines, quinze retraitées — dont douze, âgées de 71 à 91 ans — ainsi qu’un homme de 86 ans avaient été ciblés par ce duo très déterminé, au comportement de prédateur.
Après avoir littéralement étranglé leur victime pour lui faire perdre connaissance, elles lui dérobaient ses biens, puis prenaient la fuite. «Une d’entre elles maîtrisait parfaitement la technique pour déclencher l’évanouissement d’une personne par asphyxie en lui enserrant le cou avec un bras, à la manière des commandos, relate un proche de l’affaire.
Cette méthode est connue sous le nom de vol à l’étouffé. La plus jeune se glissait derrière les victimes alors qu’elles se trouvaient dans le hall de leur immeuble. Sa complice, elle, arrachait les bijoux et dérobait l’argent de ces retraitées qui avaient été préablablement repérées dans la rue».
Une alliance arrachée avec les dents Ces deux jeunes femmes avaient finalement été arrêtées quelques semaines après les faits en Espagne, où elles étaient déjà recherchées pour une série d’agressions similaires à Barcelone.
Leur première agression remonte au 29 juillet 2012. Ce jour-là, vers 16 h 45, Geneviève*, 81 ans regagne son immeuble situé dans le XVIe arrondissement de Paris. Alors qu’elle se trouve dans le hall, elle voit surgir deux jeunes filles. L’une la saisit aussitôt au niveau du cou avant de lui compresser le larynx.
La retraitée perd connaissance. A son réveil, sa chaîne, son bracelet, ses alliances en or, ainsi que sa montre et son sac à main ont disparu. Le même scénario se reproduit ensuite pratiquement tous les deux jours dans de nombreux arrondissements de la capitale, mais aussi à Versailles (Yvelines), Puteaux, Montrouge (Hauts-de-Seine), Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne) et Argenteuil (Val-d’Oise). Le 15 août 2012, vers 21 heures, c’est une retraitée de 91 ans qui est victime de cet insatiable duo.
Le lendemain, c’est au tour d’une quinquagénaire, accompagnée d’un bébé de 8 mois, de subir les assauts des deux prédatrices. Le 17 août 2012 encore, un homme de 86 ans est dévalisé. « Devant la difficulté à lui enlever une alliance, une des deux suspectes n’avait pas hésité à lui arracher avec les dents, confie un enquêteur.
Au cours d’un des vols, les deux filles avaient été filmées, par des caméras de vidéosurveillance, grimées en infirmière en train de suivre une de leurs victimes dans la rue».
Orly : réunion extraordinaire après la mort d’une employée d’Air France
Une salariée de la Direction générale des services informatiques (DGSI) d’Air France, située sur la plateforme aéroportuaire d’Orly, est décédée lundi après-midi, sur son lieu de travail.
Selon nos informations, elle serait tombée du 5e étage du bâtiment «Astrolab» où sont installés les services informatiques.
Du côté du syndicat Sud-Aérien, on estime qu’il est «difficile» de ne pas pencher pour la thèse du suicide, évoquant la «souffrance» au sein d’Air France ces derniers temps.
Ce mardi matin, un comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) extraordinaire se tenait dans le service impacté. Dans un communiqué interne, Air France affirme qu’une «enquete est en cours pour déterminer les causes de cette tragédie».
Une cellule psychologique aurait été mise en place «pour venir en aide à ses collègues ainsi qu’aux personnels d’Air France».
Le 25 juin dernier, une agent de piste avait déjà tenté de mettre fin à ses jours. Dans un courrier adressé à ses collègues une semaine après, l’employée avait justifié son geste par des problèmes avec sa hiérarchie, des conditions de travail devenues «insupportables».
Combs-la-Ville : 48 heures de cauchemar après un cambriolage violent
Une femme de 42 ans a vécu deux jours de calvaire après un cambriolage à Combs-la-Ville (Seine-et-Marne).
Les jambes lacérées à l’arme blanche, le visage tuméfié, en état de choc…
Les pompiers ont porté secours à une habitante de 42 ans chez elle à Combs-la-Ville (Seine-et-Marne), samedi, vers 10 heures, rue Thérèse-Delapierre.
Cette femme venait enfin de réussir à attraper un téléphone pour appeler la police après avoir passé deux jours dans son appartement, incapable de se relever après avoir été violemment agressée par trois cambrioleurs qui l’avaient enfermée dans sa salle de bains.
Jeudi, en fin d’après-midi, la victime rentre chez elle après avoir fait des courses. Elle tombe alors sur des cambrioleurs, qui la frappent au visage, sur le corps, lui lacèrent les jambes et les chevilles avec une arme blanche. Des blessures superficielles mais bien réelles en attestent.
Puis ils l’enferment dans sa salle de bains et terminent leur cambriolage. Sauf que la femme est malade, touchée notamment par une atrophie des muscles qui l’empêche de se déplacer facilement. La suite est encore floue pour l’instant.
La quadragénaire serait restée chez elle durant deux jours, incapable de se relever pour appeler les secours. Elle dit avoir dormi la plupart du temps avant, enfin, de parvenir à atteindre un téléphone et composer le 17 samedi matin.
La quadragénaire, très choquée, a été transportée à l’hôpital de Melun où elle se trouvait encore ce lundi. Elle devait être entendue lundi ou mardi par les enquêteurs qui espèrent pouvoir éclairer des zones d’ombre.
Par exemple, la police n’a pas relevé de traces d’effraction et la victime se contredit sur la présence des voleurs avant son arrivée ou une fois chez elle.
Il veut changer de prison alors il assomme un surveillant de Sequedin:
L’homme avait terrorisé le centre-ville de Croix en tirant sur des passants avec une arme automatique, sans faire de victimes heureusement.
Il s’était aussi distingué en lançant une grenade artisanale dans une rame de métro.
Le 26 novembre, un homme de 32 ans tire sur des passants dans le centre-ville de Croix avec un pistolet automatique. L’arme s’est enrayée, il n’y a ni morts ni blessés.
En l’arrêtant, les policiers découvriront que le Roubaisien de 32 ans est déjà recherché pour avoir lancé une grenade (un bricolage contenant des lames de rasoir heureusement sans système de mise à feu) dans une rame de métro à la station Triolo à Villeneuve-d’Ascq. Des faits du 5 septembre qui ont motivé l’arrêt temporaire de la ligne et pour lesquels il sera bientôt jugé. Incarcéré à Sequedin Depuis le 26 novembre, Naïmi Krouchi est en détention provisoire. Il est incarcéré à Sequedin et ne s’y plaît pas.
C’est ce qu’il a expliqué au tribunal où il était jugé vendredi en comparution immédiate. Alors un matin, il a dit à son co-détenu : « Je vais me faire un surveillant pour changer de prison ». Il a mis une grosse boîte de conserve dans une chaussette. Il a guetté pendant deux heures et quand le surveillant a ouvert la porte, il l’a assommé avec sa fronde.
Il a refusé les expertises psychiatriques La procureure Lorène Delsaut relève une personnalité « trouble ».
En défense, Me Éric Cattelin-Denu renchérit en évoquant « un individu pas totalement équilibré ». La justice, qui l’a déjà condamné à dix reprises, notamment pour des violences, peine à en savoir plus sur son état mental.
Deux expertises psychiatriques ont été demandées, à chaque fois Naïmi Krouchi a refusé. Il a été condamné à un an d’emprisonnement. Et devrait changer d’établissement.
Brest : il tente de vendre de la cocaïne à un policier
A l'entrée d'un festival de musique, à Brest, un dealer a essayé de vendre de la cocaïne à un client potentiel qui était... un policier.
Une très mauvaise affaire. Selon le journal «Ouest France», un dealer s'est mépris, samedi soir, en essayant de vendre de la cocaïne à un client potentiel qui était en fait un policier de la Bac (Brigade anti-criminalité).
Agé de 33 ans, l'individu se trouvait aux abords du festival musical Astropolis l'Hiver, à Brest (Finistère) et essayait de démarcher les participants.
Parmi eux, un membre de la Bac. Le policier, constatant le flagrant délit, a alors procédé à l'interpellation.
Le dealer avait 4 grammes de cocaïne sur lui ainsi que la somme de 50 €. Sa drogue a été détruite, son argent saisi et il est convoqué au tribunal en juin.
Dans le sud-ouest de Toulouse, dimanche vers 17 heures, deux jeunes montent à bord d'un car de la ligne 14 Tisseo (Basso Cambo-Marengo SNCF).
Ils demandent au chauffeur un renseignement sur la destination du véhicule. Ils sont immédiatement redescendus mais ont eu le temps de déposer deux bouteilles contenant de l'acide et de l'alumimium à l'intérieur.
Alors que le car circulait entre les stations Lac de la Reynerie et Bellefontaine, le conducteur a entendu soudainement un bruit d'explosion, vu de la fumée blanche et senti une forte odeur d'acide.
«Il y avait alors quelques passagers à bord mais ils se trouvaient dans le fond du bus, il n'y a pas eu de blessé ni de dégâts matériels», a expliqué le gestionnaire du réseau de transports en commun de Toulouse.
Une enquete a été confiée à la sûreté départementale. En attendant, la compagnie a décidé de dévier la ligne pour ne pas passer par ce secteur du quartier sensible du Mirail et le syndicat SUD a déposé une demande de CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail) extraordinaire et n'exclut pas des actions.
New York, déjà sous la neige, se prépare à une tempête historique
En fin d'après-midi la neige a commencé à blanchir Manhattan. Bill de Blasio, le maire de la ville, a appelé les habitants à la plus grande prudence pour mardi et mercredi.
Le maire de New York Bill de Blasio a mis en garde contre l'arrivée d'une tempête de neige qui pourrait être selon lui l'une des «plus importantes de l'histoire de cette ville».
Cette tempête accompagnée de vents violents va provoquer d'importantes chutes de neige dans le nord-est des Etats-Unis lundi en fin de journée et mardi, a annoncé la météo nationale qui a émis un avis de blizzard pour New York et Boston, jusqu'à la frontière canadienne.
Le maire Bill de Blasio a appelé la population à sortir le moins possible, et a interdit la circulation de tous les véhicules --sauf véhicules d'urgence-- à partir de 23 heures (5 heures du matin en France mardi), une mesure rarissime.
Selon la météo nationale, la neige pourrait tomber durant la nuit au rythme de 5 à 10 cm par heure, avec une accumulation attendue de 60 cm à New York, voire plus en certains endroits, et des bourrasques de vent de 72 à 88 km/heure.
«La tempête va s'aggraver durant la nuit», a annoncé en fin d'après-midi le gouverneur de l'Etat de New York Andrew Cuomo. Il a annoncé la fermeture du métro, qui fonctionne à New York 24 heures sur 24, à partir de 23 heures pour une durée indéterminée.
M. Cuomo a également annoncé que les trains de banlieue s'arrêteraient aussi à 23 heures, là encore pour une durée indéterminée, et a étendu à tout l'Etat de New York l'interdiction de circuler, sauf pour les véhicules d'urgence.
Les parcs new-yorkais ont fermé à 18 heures. Les écoles resteront closes mardi, a annoncé également le maire. Le siège de l'ONU n'ouvrira pas non plus.
Les spectacles de la célèbre Broadway ont été annulés lundi soir. Mais la Bourse sera ouverte mardi. Le président américain Barack Obama, actuellement en Inde, a été informé de très fortes chutes de neige attendues dans le nord-est des Etats-Unis, à New York et Boston notamment, a indiqué lundi la Maison Blanche.
«Des responsables de la Maison Blanche ont été en contact avec des responsables locaux le long de la côte Est pour s'assurer qu'ils disposaient des ressources nécessaires pour se préparer et réagir immédiatement à la tempête», a déclaré Josh Earnest, porte-parole de l'exécutif américain, lors d'un point de presse à New Delhi où M. Obama effectue une visite de trois jours.
Blizzard au Etats-Unis : transports publics limités à New York «Ce n'est pas une tempête typique», a insisté le maire, «rentrez tôt chez vous», a-t-il ajouté, répétant que le blizzard devrait être «l'un des plus importants de l'histoire de la ville» de 8,4 millions d'habitants. Cette tempête, qui touche une bande de plus de 450 km de longueur, allant de Philadelphie à l'Etat du Maine, devrait s'éloigner progressivement mercredi. Prenant leur maire au mot, beaucoup de New-Yorkais ont quitté tôt le travail.
En milieu d'après-midi, de nombreux embouteillages congestionnaient les rues de la plus grande ville américaine. «Les New-Yorkais doivent se préparer à de possibles pannes d'électricité, dues aux vents violents qui pourraient faire tomber les lignes et les arbres», a aussi averti le gouverneur.
Il a précisé que l'Etat de New York disposait d'au moins 1.806 chasse-neige et de plus de 126.000 tonnes de sel pour lutter contre le mauvais temps. Tous les bus urbains devaient selon lui être équipés de pneus neige ou de chaînes.
Ecoles fermées mardi Les New-Yorkais inquiets avaient dès dimanche dévalisé les supermarchés pour faire des provisions. Beaucoup ont fait de même lundi, patientant parfois dans le froid avant de pouvoir entrer, pour faire des réserves de pain, lait, fruits et légumes. Dans la région de Boston, où de 50 à 76 cm de neige sont attendus, les bourrasques de vent pourraient dépasser 100 km/heure.
Les écoles y seront aussi fermées mardi, selon les autorités et une interdiction de circuler à partir de lundi soir a été imposée dans tout l'Etat du Massachusetts, comme dans l'Etat proche du Connecticut.