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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Agen : des éleveurs accrochent un veau mort aux grilles de la préfecture
Ils dénoncent le principe de précaution et le zèle de l’administration concernant la tuberculose des animaux. Le territoire du Pays de Serres est dans l’œil du cyclone
Il était 16 heures, ce lundi, quand une dizaine d'agriculteurs, principalement des éleveurs, accompagnée par Serge Bousquet-Cassagne, président de la Chambre d'agriculture, et Patrick Franken, le président de la Coordination rurale 47, ont accroché un veau mort aux grilles de la préfecture de Lot-et-Garonne.
« En soi, nous ne sommes pas contre le principe de précaution, mais il y a des limites à tout. Si vous y ajoutez un peu, sinon beaucoup de zèle de la part de certaines personnes de l'administration, et vous en arrivez à ces choses là. Oui, je sais que ce ne sera pas forcément facile à faire comprendre au public que l'on doit abattre des bêtes, mais quand vous êtes poussés dans vos derniers retranchements. Attention, nous sommes pour la recherche de la tuberculose."
Les agriculteurs dénoncent les incohérences et interdictions qui les frappent. "S'il y a transmission de la tuberculose de l'animal vers l'homme, la maladie ne charge pas. Il n'y a aucun problème de consommation. J'affirme que 99,9% des abattages des animaux sont abusifs », note Serge Bousquet-Cassagne.
il dénonce ce qu'il appelle "la tuberculose administrative. Au final, on va tuer tous les éleveurs." Serge Bousquet-Cassagne, président de la Chambre d'agriculture, faisait partie de cette délégation. Il rappelle qu'il y a un peu moins de dix ans, " 2 ou 3 élevages dans le Lot-et-Garonne ont été touchés par la tuberculose.
Le bétail a été normalement abattu. L'administration cherche depuis la source, la souche de cette maladie. Elle se montre très pointilleuse et tous les ans procède à la prophylaxie via des vaccins, qu'elle nomme abattage diagnostic.
C'est une catastrophe." Les blaireaux porteur du germe «
L'administration asure que ce sont les bêtes sauvages, notamment les blaireaux qui transmettent aux vaches la tuberculose. Avec la Fédération de chasse, nous avons procédé à une battue.
Sur 260 bêtes prélevées, un seul blaireau était porteur du germe. En application au principe de précaution, les éleveurs ont découvert, hier, un arrêté interdisant de sortir les bêtes de l'élevage. Les veaux ne peuvent partir chez l'engraisseur et boivent tout le lait de leur mère.
L'agriculteur est perdant sur tous les tableaux." Le secteur touché, le Pays de Serres, concerne les éleveurs de 22 communes. "Ils n'ont pas d'autres choix que de tuer les veaux et les mâles », relève Serge Bousquet-Cassagne. C'est ce qu'ont déjà commencé à faire plusieurs éleveurs. L'un d'eux, un jeune de Montpzeat d'Agenais, se voit revivre ce qu'il déjà été contraint de faire 2009.
Il avait condamné tout son bétail. Aujourd'hui, il compte 90 têtes.
Il demandait à des adolescentes de se déshabiller devant une webcam
Un trentenaire, qui se faisait passer pour un jeune de 17 à 19 ans sur des forums de discussion pour demander à des adolescentes de se déshabiller devant une webcam, était jugé ce lundi au tribunal correctionnel de Paris.
Le ministère public a requis trois à quatre ans de prison avec sursis à son encontre.
Le parquet a requis lundi trois à quatre ans de prison avec sursis contre un homme qui se faisait passer pour un ado sur des sites de «chat pour demander des exhibitions sexuelles à des jeunes filles.
Paul B., 30 ans, comparaissait devant le tribunal correctionnel de Paris pour «corruption de mineurs» après avoir ainsi lié connaissance avec une dizaine de jeunes adolescentes, âgées de 12 à 15 ans, sur des sites de discussions en ligne normalement réservés aux ados. Sur le même sujet Condamné à 18 ans de prison, le pédophile fait appel Saint-Etienne : un pédiatre suspecté de pédo-pornographie mis en examen Saint-Etienne : un pédiatre suspecté de pédo-pornographie mis en examen
Il se faisait passer pour un ado sur le Web Il s'inscrivait sous le nom de «Colin», âgé de 17 à 19 ans. Orientant rapidement la conversation vers le sexe, en général en demandant à ses correspondantes si elles étaient vierges, il se proposait de leur servir de «guide» pour découvrir la sexualité. Ce qui se traduisait par des masturbations de sa part devant une WEBCAM et des demandes d'exhibitions, auxquelles plusieurs se sont prêtées.
L'homme, sans emploi et habitant toujours chez ses parents, avait été interpellé dans le cadre d'une autre affaire, où il est mis en examen pour complicité de viol pédophile. C'est en épluchant ses ordinateurs que les enquêteurs avaient retrouvé trace de ces conversations, ainsi que des images pédopornographiques, pour la plupart effacées, qui lui valaient également d'être poursuivi.
Il a affirmé à la barre avoir agi par un sentiment de «vengeance», pour «réparer la perversion dont j'avais été victime» après avoir appris que sa petite amie de longue date l'avait trompé avec son meilleur ami. «J'étais devenu asocial», enfermé dans sa chambre avec pour seul horizon internet, a-t-il expliqué, assurant ne pas se sentir pour autant «pédophile».
Le jugement sera rendu en mars
Mais le procureur, affirmant qu'il «aurait pu y avoir plus de victimes» et relevant «plusieurs années» de téléchargement d'images pédopornographiques, a requis «trois à quatre années» de prison assorties d'un sursis avec mise à l'épreuve ou suivi socio-judiciaire, avec notamment une obligation de soins et l'interdiction d'exercer une activité en relation avec des mineurs.
La défense a plaidé la relaxe, Me Rémi Lorrain dénonçant dans le dossier «un melting pot désagréable» et la difficulté de qualifier les faits. Son confrère Pierre-Philippe Boutron a lui évoqué «une vérité difficile à entendre, (...) combien les victimes sont consentantes», plusieurs acceptant d'évoquer avec leur interlocuteur, qui se présente «à visage découvert» sur la webcam, la possibilité d'avoir des relations sexuelles.
«Il n'y a pas d'un côté l'horrible pervers et de l'autre les petites naïves», a-t-il estimé, relevant que «les propos obscènes ne suffisent pas» à caractériser la corruption de mineur. Le tribunal rendra sa décision le 23 mars.
En raison d'ubuesques règles administratives, des centaines de citoyens nés et vivant au Canada, dont des amérindiens, n'ont pas d'existence officielle.
Don Chapman (ici en 2010 avec sa femme et sa fille, à Vancouver) s'est battu durant quarante-cinq ans avant d'obtenir la citoyenneté.
Il soutient aujourd'hui des compatriotes au sein de l'organisme Lost Canadians.
- Qu'importe les feuilles d'érable ornant les pierres tombales de divers cimetières d'Europe, le Canada n'a perdu aucun de ses ressortissants au cours des deux guerres mondiales. Du moins pas officiellement. Car la citoyenneté canadienne n'existait pas avant l'entrée en vigueur du Citizenship Act, le 1er janvier 1947.
Les personnes décédées avant cette date n'étaient donc pas vraiment canadiennes. Un vide juridique dont le Parlement devrait s'emparer d'ici au 29 janvier.
Voilà qui devrait résoudre le problème des morts... mais pas celui des vivants. Car des « Canadiens » nés après 1947 peinent également à faire reconnaître leur nationalité.
A l'origine, le Citizenship Act excluait l'accès à la citoyenneté dans douze cas précis : si une personne était mineure lorsque son père était devenu citoyen d'un autre pays ; si elle était née dans un pays étranger et n'était pas au Canada pour son vingt-quatrième anniversaire ; si sa mère avait épousé un non-Canadien avant 1947, indépendamment du fait que la personne soit née dans le pays ou même que sa famille y ait toujours vécu ; si elle était née dans un hôpital situé sur le territoire américain...
Ils ont été ainsi près d'un million, piégés dans les limbes de l'administration fédérale jusqu'à ce que la loi soit modifiée en 2008. Si la plupart ont depuis été régularisés, des centaines de citoyens sont encore laissés de côté.
On les appelle les Canadiens perdus.
45 ANS POUR SE VOIR RECONNAÎTRE LA CITOYENNETÉ
Don Chapman fut longtemps l'un d'eux. Il a mis quarante-cinq ans à se voir reconnaître la citoyenneté. A la tête de l'association Lost Canadians, il se bat sans relâche pour ces hommes et ces femmes, qui, le plus souvent détenteurs de papiers en règle, ont été déchus de leur nationalité.
« Généralement, ces individus ignorent qu'ils ne sont plus canadiens jusqu'au moment où ils émettent des demandes de pensions ou ont besoin de soins médicaux », explique Don Chapman. « Nous venons de l'un des pays les plus développés au monde, mais ici la citoyenneté est au mieux un privilège que l'on accorde selon des critères discutables, au pire une arme politique. »
Parmi les Canadiens perdus se trouvent de nombreux Amérindiens, comme Donovan McGlaughlin. Ce père de famille de 61 ans réside au Canada depuis plus de quarante ans.
Chaque jour, il craint d'entendre les services d'immigration frapper à la porte de son pavillon de Dawson City (Yukon) pour l'expulser du territoire. Au mois de décembre,
Jouant son va-tout, il a déposé une demande d'asile auprès du gouvernement fédéral. Une requête faite par des milliers de personnes avant lui...
A ceci près que c'est l'accueil de son propre pays que lui sollicite. Il est né au Canada d'un père amérindien originaire des Etats-Unis et d'une mère issue de la première nation canadienne. Pourtant, aux yeux de la loi, Donovan McGlaughlin n'existe pas. Son cauchemar administratif a commencé au début des années 1970. Alors âgé d'une vingtaine d'années et revenu au Canada après des années hors du pays, il entame les démarches pour obtenir des papiers d'identité.
Problème : il ne dispose d'aucun Certificat de naissance. Ses parents ont, en effet, choisi d'écrire les premiers chapitres de son histoire à la marge de la société. « Enfants, ils ont été envoyés dans des écoles résidentielles. Ils y ont nourri une incroyable défiance à l'encontre d'Ottawa. Ils ne pouvaient plus faire confiance au système », raconte-t-il.
Ces établissements mis en place par le gouvernement fédéral et l'Eglise avaient pour ambition de favoriser l'assimilation des jeunes Amérindiens. « L'expression utilisée pour résumer leur objectif c'est : "Tuer l'Indien dans l'homme" », rappelle Coll Thrush, professeur d'histoire à l'université de Colombie-Britannique qui a travaillé sur ce thème. Aux mauvaises conditions de vie s'ajoutaient de nombreux sévices.
La crainte de voir leur fils condamné au même parcours qu'eux a poussé les parents de Donovan McGlaughlin à ne pas déclarer sa naissance.
« NOUS ALLONS VOUS RENVOYER AUX ETATS-UNIS »
En 2008, le premier ministre conservateur, Stephen Harper, a officiellement présenté les excuses du Canada. Des militants pour les droits des Amérindiens ont obtenu des dédommagements pour cette violence institutionnalisée.
« Le sens commun voudrait qu'une forme de compassion et de compréhension ait émergé de cette reconnaissance des zones troubles de notre histoire, mais ça n'a pas été le cas », souligne Donovan McGlaughlin. Pendant un temps, ce dernier a accepté sa situation, vivant de petits boulots payés au noir et vagabondant.
Désormais installé avec sa compagne et ses enfants, il fait de son combat une question de principe. Face à l'attentisme bureaucratique, il décide au début des années 2000 de prouver qu'il a résidé au Canada depuis au moins huit ans, soit bien plus que les trois années normalement exigées. En 2008, il se rend même à la police pour livrer toutes les informations nécessaires afin de montrer qu'il n'est pas un criminel en cavale.
« On m'a invité à faire toutes ces démarches et je me vois ensuite rétorquer : "Ce n'est pas suffisant, il nous faut votre certificat de naissance." Dès le départ, ils savaient que je n'en possédais pas. » Les éléments fournis ont été utilisés contre lui. « Votre père était américain, nous allons donc vous renvoyer aux Etats-Unis », lui déclare en 2010 un officier des services d'immigration.
Aussi indésirable de l'autre côté de la frontière, il réussit à obtenir un sursis à son expulsion. « Notre justice repose sur le principe de présomption d'innocence, pas notre citoyenneté », insiste, résigné, Donovan McGlaughlin. Ironie du sort, au terme de cette procédure en 2011, il a reçu une lettre du fisc canadien l'exhortant à payer ses impôts. « Je m'en suis réjoui, sauf qu'on ne m'a pas donné les documents nécessaires pour me permettre de travailler. Je suis donc assez canadien pour l'une de nos administrations mais pas pour une autre. »
Des étudiants américains ont mis au point un abri portatif pour SDF, à la croisée entre le sac de couchage et la tente. Une innovation qui pourrait amoindrir le nombre de décès causés par le froid.
Le sac de couchage dispose d'une capsule isolante.L
En France, depuis le début de l'hiver, au moins six personnes sont mortes à cause du froid. Pour les sans-abris, les places en hébergement d'urgence ne sont pas toujours accessibles et dormir dans la rue s'impose souvent comme une solution par dépit. À l'avenir, une innovation pourrait améliorer leur quotidien.
Des étudiants de l'Institut de l'innovation de l'université Carnegie Mellon, à Pittsburgh, ont élaboré un abri portatif dans le cadre d'un concours organisé ce mois-ci.
Le but pour les deux équipes en compétition : trouver de nouvelles solutions économiquement réalisables pour venir en aide aux sans-abris. Leurs travaux se sont portés sur des logements temporaires qui pourraient, à terme, être adoptés par les villes.
Un matériau utilisé pour les couvertures de survie L'équipe arrivée en seconde position a donc imaginé un refuge à porter sur l'épaule, le "Satellite Shelter" (abri-satellite).
Ce sac de couchage se transforme en tente grâce à une sorte de capsule rabattable. Composé d'un matériau à base de polyester abordable, utilisé notamment pour les couvertures de survie, il est complètement isolant, imperméable et ventilé.
Par ailleurs, des roues et des sangles facilitent son transport. "Nous voulions nous assurer qu'il était léger et durable, de sorte qu'il soit facile à déplacer", a déclaré l'un des membres de l'équipe dans une vidéo introduisant le concept. L'équipe gagnante, quant à elle, a conçu une structure close et fixe, panneau
De l'autre côté de l'Atlantique, des bons samaritains accrochent des écharpes en laine au détour des rues, pour aider les sans-abris à résister au froid de l'hiver.
Des écharpes dispersées dans les rues pour aider les sans-abris
À Edmonton ou Winnipeg, au Canada, ou encore à Wilmington, en Caroline du Nord, les arbres et grilles de bâtiments paraissent avoir attrapé froid.
Des écharpes en laine ont en effet recouvert une partie des villes. Des petits mots accrochés à chaque vêtement explicitent cette situation inattendue : "Je ne suis pas perdu. Si vous êtes bloqué dans le froid, s'il-vous-plaît, prenez cette écharpe pour avoir chaud !" ou "Si vous avez besoin de rester au chaud, prenez-la. C'est à vous.
Ayez chaud et faites quelque chose pour aider quelqu'un aujourd'hui, si vous pouvez".
Servir la communauté
Les auteurs de ces notes sont des membres de l'association Scarves in the Port City, qui collectent des écharpes pour les SDF pendant l'hiver, avant de les mettre à disposition dans la rue.
"Notre mission est de promouvoir la gentillesse et de servir notre communauté", est-il indiqué sur leur page Facebook. L'initiative a été expérimentée lors d'une tempête de neige, plus tôt cet hiver. Chacun s'est alors mobilisé en envoyant ses tricots.
La générosité de la population a poussé les membres à poursuivre cette mission pour le reste de l'année, tout en souhaitant apporter "des idées, de l'inspiration et de l'encouragement afin de donner aux autres". Propagation du mouvement Mission en partie réussie pour Scarves in the Port City, puisque un second mouvement s'est créé, inspiré par leurs actions.
Le groupe Chase the Chill prône un "yarn-bombing" (bombardement de laine), lancé en Pennsylvanie, puis dans d'autres villes d'Amérique du Nord.
"Les vêtements sont là et si on les veut, on peut les prendre, explique à metronews Wendy Grahl, fondateur. Si vous êtes SDF et qu'il fait -1 degré Celsius, une écharpe est la bienvenue."
En France, depuis trois ans, l'association le Tricot Solidaire sollicite également la mobilisation des fous de l'aiguille pour récolter et redistribuer le maximum de vêtements chauds aux sans-abris.
"Les personnes préfèrent vraiment recevoir des ouvrages tricotés que des bonnets en polaire industriels : cela leur rappelle que des gens pensent à eux malgré tout", indiquent Knit Spirit et Larcenette, les deux fondatrices, sur leur site.
Vous pouvez leur envoyer vos dons douillets jusqu'à la fin du mois de janvier.
Des cours de fellation en Russie ! Des cours de fellation en Russie !
Ce n’est pas sale ! La fellation est une pratique qui demande une certaine maîtrise. Pour maîtriser cet art, un cours vient de voir le jour en Russie pour former les femmes les moins expertes. Pour 85 euros, vous pourrez bénéficier d’une formation intensive en fellation.
Eh oui mesdames, ça s’apprend aussi ce genre de chose. La pratique de la fellation n’est pas quelque chose d’innée. Vous pourrez donc apprendre les rudiments du sexe oral à travers plusieurs exercices. Il faudra juste vous rendre en Russie.
Une experte en fellation vêtue d’une sublime robe bleue vous expliquera toutes les étapes du sexe oral, de la pose du préservatif à la mise en bouche en passant par les caresses.
Les cours sont réalisés à l’aide de sexe en plastique de taille assez conséquente. Certaines participantes devraient être frustrées en ôtant le caleçon de leur conjoint. On apprend également que ces faux sexes sont autocollants, pour pouvoir les fixer sur un miroir et ainsi simuler une fellation à genoux.
En effet on ne pratique pas la fellation de la même manière quand on est assise ou debout. Eh oui, il y a des règles ! Les photos nous apprennent également qu’il faut, à priori, frictionner le sexe de l’homme. On se calme mesdames.
Enfin, les élèves apprennent également à découvrir leur propre sexe avec l’utilisation d’un vagin en plastique. So glamour !
Et comme des images valent mieux qu’un long discours on vous laisse admirer les cours.
Source : hitek.fr
Née sans vagin, elle tombe enceinte après une fellation
Tomber enceinte grâce à une fellation, cela est scientifiquement impossible. Et pourtant !
La revue Sciences et Avenir rapporte un cas clinique très rare : une jeune femme, née sans vagin, a donné naissance à un petit garçon après avoir pratiqué une fellation.
Explications.
C’est une incroyable histoire, pourtant vraie, qui s’est produite au Lesotho, en Afrique, en 1988. Il ne s’agit pas du miracle de la nativité mais d’un étonnant concours de circonstances, expliqué dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology.
Tout d’abord, la jeune femme âgée de 15 ans a été admise à l’hôpital pour une blessure au ventre. Elle avait reçu un coup de couteau lors d’une bagarre entre son nouvel ami et son ex-petit copain. L’arme blanche avait perforé son estomac à deux reprises, ce qui lui a valu une hospitalisation d’une dizaine de jours.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. La jeune femme retourne 9 mois plus tard à l’hôpital pour des douleurs abdominales aiguës et intermittentes. Après quelques examens, les médecins comprennent qu’il s’agit en fait de contractions. L’adolescente est enceinte et accouche par césarienne d’un petit garçon.
Si elle ne s’est doutée de rien pendant 9 mois, malgré un ventre s’arrondissant de plus en plus, c’est qu’elle n’a pas de vagin. En effet, elle présente depuis sa naissance une « aplasie vaginale distale », autrement dit « une absence quasi-totale de vagin par défaut de développement de celui-ci », explique Sciences et Avenir.
Mais comment alors la jeune femme a-t-elle pu tomber enceinte ?
Sciences et Avenir donne l’explication, rationnelle mais inattendue : avant d’être poignardée, la jeune fille a pratiqué une fellation à son petit ami. « Le sperme, contenu dans l’estomac perforé par l’arme blanche, est passé dans la cavité abdominale où il a ensuite gagné un des deux ovaires.
Les spermatozoïdes ne peuvent survivre dans un environnement à faible pH, mais la salive a un pH élevé et l’estomac, vide, de la patiente n’avait pas un pH acide. Tout ceci a pu contribuer à la survie des gamètes mâles » argumente la revue scientifique.
En 2009, Une chinoise qui a 92ans nommé Huang Yijun a accouché un enfant qu'elle portait depuis plus d'un demi-siècle !
La femme est allé à la hospital se plaignait d'un mal de ventre , mais les médecins se sont vite rendu compte qu'elle portait ce qu'on appelle un Lithopédion , ou la pierre grossesse.
Ce phénomène commence comme une grossesse extra-utérine , incroyable !
elon les Spécialistes Les Lithopedions restent généralement dans le ventre de leur mère pour une moyenne de 22 ans -
Huang Yijun portait son enfant près du triple que la longueur de temps!
ENFANTS PALESTINIENS PRISONNIERS DANS DES CAGES À L’EXTÉRIEUR EN PLEIN HIVER
Enfants Palestiniens prisonniers dans des cages à l’extérieur en plein hiver
Le Comité Israélien contre la Torture vient de révéler un nouveau scandale, après la découverte d’enfants palestiniens gardés dans des enclos en plein air ou des cages, pendant l’hiver.
Ce Comité a publié un rapport prouvant que des enfants soupçonnés de délits mineurs ont été publiquement encagés à l’extérieur, avec des menaces régulières d’actes violents ou sexuels. Une pratique qui peut durer des mois !
Il faut préciser qu’il s’agit exclusivement d’enfants Palestiniens. En effet aucun enfant israélien n’est jamais soumis, comme le sont systématiquement les enfants Palestiniens, aux tribunaux militaires israéliens quelles ques soient les fautes qui leur sont reprochées et ce, sans aucune représentation juridique !
Le bureau du Défenseur Public (AOP) a récemment publié des détails sur une visite particulièrement choquante de ses avocats dans une prison israélienne : « Lors de notre visite à Ramla, qui s’est tenue au cours d’une violente tempête qui a frappé l’Etat, les avocats ont rencontré des détenus qui ont témoigné de ce qu’au milieu de la nuit des dizaines de détenus ont été transférés dans les cages de fer à l’extérieur ». « Il s’avère que cette procédure, en vertu de laquelle les prisonniers attendaient à l’extérieur dans des cages, a duré plusieurs mois et a été confirmée par d’autres fonctionnaires. » Leur rapport fait valoir : « La torture est un moyen d’attaquer les modes de fonctionnement psychologique et social fondamentaux d’un individu » tel que décrit dans le Protocole d’Istanbul.
En outre, « la torture peut avoir un impact sur un enfant directement ou indirectement, soit en le torturant lui-même, soit en le rendant témoin de la torture et de la violence sur des parents ou d’autres membres de la famille proche ". « La majorité des enfants palestiniens détenus sont accusés de jets de pierres et 74% rapportent à cette occasion avoir expérimenté la violence physique lors de l’arrestation, le transfert ou l’interrogatoire."
Le Comité Israélien contre la Torture souligne qu’Israël est le seul pays à poursuivre systématiquement les enfants devant ses tribunaux militaires, et a ajouté qu ’« aucun enfant israélien n’entre jamais en contact avec le système judiciaire militaire ».
Retrouver cette article sur oumma.com
Depuis l'augmentation du nombre de soldats engagés sur le plan Vigipirate, les réservistes sont mis à contribution. Etudiants ou salariés dans le civil, ces militaires occasionnels sont appelés en renfort pour protéger les endroits sensibles, tels que les lieux de cultes, les établissements scolaires ou les zones touristiques.