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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Une infirmière révèle les 5 plus grands regrets que les gens font sur leur lit de mort ! De véritables leçons de vie, bouleversant...
Pendant plusieurs années, j’ai travaillé dans le département des soins palliatifs à l’hôpital. C’est difficile à dire, mais la plupart de mes patients étaient amenés à mourir en peu de temps, un destin souvent dû à des maladies incurables.
En partageant avec eux les 3 à 12 dernières semaines de leurs vies, j’ai vécu des moments inoubliables. Quand on leur demande s’ils ont quelconques regrets, ou s’ils auraient fait certaines choses différemment, plusieurs thèmes reviennent souvent. Voici les 5 plus entendus :
1. “J’aurai aimé avoir le courage de vivre ma vie comme je l’entendais, et non comme les autres voulaient qu’elle soit”. C’est un des plus grands regrets formulés. Quand chaque patient regarde son passé, il se rend compte que beaucoup de ses rêves n’ont pas été exaucés. C’est malheureux, mais la plupart des gens n’ont même pas réalisé la moitié de leurs rêves de gamin et doivent partir tout en sachant que c’est à cause des choix qu’ils ont fait, ou pas fait. Il est vraiment important de vivre ses rêves tant qu’on le peut. La santé vous offre une liberté dont très peu sont conscients. Après, c’est trop tard.
2. “J’aurai aimé ne pas travailler si dur”. Ce regret provient de tous les patients homme que j’ai rencontré. En général il fait référence à leurs enfants qu’ils n’ont pas réellement vu grandir et la relation avec leur partenaire dont ils n’ont pas assez profité. Les femmes aussi parlent de ce regret, mais comme la plupart étaient assez âgées elles avaient plutôt été femmes au foyer, et ont donc pu profiter de leur descendance. Pour éviter de regretter ces choix, il faut donc absolument préserver un espace de vie sain et choisir un travail qui peut aller avec une vie de famille épanouie.
3. “J’aurai aimé avoir le courage d’exprimer mes sentiments”. Un tas de gens cachent leur sentiments afin d’éviter le conflit.
Résultat ? Leur existence est minime à leurs yeux et ils ne deviendront jamais qui ils auraient vraiment pu être. En conséquence, ils développent souvent des maladies liées au stress ou à l’anxiété, comme des ulcères par exemple. En étant honnête et en disant ce que vous pensez, soit vous rendez vos relations plus saines, soit vous écartez les plus médiocres. Dans tous les cas, vous sortez gagnants.
4. “J’aurai aimé RESTER en contact avec certains amis”. Très fréquemment, jusqu’à leurs dernières semaines de vie, les patients ne réalisent pas vraiment l’importance qu’on les amis de longue date. Une majorité d’entre eux ont perdu de vue des gens qui finalement comptaient énormément. Ils ont eu beaucoup de regrets en ne donnant pas à certaines amitiés le temps et les efforts qu’elles méritaient. Selon le métier qu’on exerce, il est facile de se laisser dépasser et de mettre les relations amicales en stand-by. Pourtant, en fin de vie, ce qu’il vous reste, ce n’est rien d’autres que vos souvenirs, vos amis et vos amours.
5. “J’aurai aimé me laisser le droit d’être heureux”. Étonnement, celui-ci est très commun. La grande majorité des gens ne réalisent que peu de temps avant de mourir que le bonheur, c’est un choix ! Au fil des années, la peur du changement a finit par les convaincre qu’ils étaient heureux comme ça, mais ils se contentaient en fait du minimum. Par moment, ils avaient envie de tout plaquer et de ne faire que ce qui leur plaisaient, mais ils n’ont jamais osé, n'ont jamais franchi le pas. Aujourd’hui, ils le regrettent amèrement.
Sur votre lit de mort, ce que les autres pensent de vous ne vous effleure même pas l’esprit. Les choses qui comptent sont celles qui vous ont apporté de la joie, du bonheur ou de l’amour.
La vie est faite de choix, de vos choix ! Choisissez consciemment, choisissez sagement, choisissez honnêtement. Bref, choisissez le bonheur !
ls se marient aux soins intensifs en présence de leur bébé!
Ce couple de jeunes américains a vécu un drame. Loin de se laisser abattre, ils ont choisi de se marier dans un lieu hors du commun : l’hôpital, en présence de leur nouveau-né.
Kristi Warriner et Justin Nelson, un couple originaire du Texas aux États-Unis, attendaient deux petits jumeaux, qu'ils avaient choisi de prénommer Colt et JJ.
Malheureusement, la grossesse s’est compliquée, et Colt est décédé in utero. Pour sauver JJ, Kristi a dû accoucher à seulement 25 semaines de grossesse, c'était le 2 septembre dernier.
Depuis, le petit garçon, atteint d’une maladie du poumon, se bat pour sa vie entouré par l’équipe des soins intensifs, comme le relate la chaine ABC.
Malgré ces coups durs, le couple et leur fille aînée Warriner, âgée de 8 ans, ne désespèrent pas.
Comme JJ ne pourra pas quitter l’hôpital de si tôt, ils ont décidé de venir à lui en en se mariant en sa présence. Ainsi, le couple a célébré son amour devant leur bébé, au sein même du service des soins intensifs.
Cette belle cérémonie a pu se réaliser en ce mardi 11 novembre, à la grande joie de la famille ! Le petit bout’chou a même eu le droit à son adorable costume, pendant que les infirmières émues ont assisté à cette incroyable cérémonie.
De quoi apporter un peu de bonheur à cette belle famille !Ce geste est aussi un hommage à tous les parents qui ont perdu un bébé prématuré.
Les courageux parents ont déclaré : « Notre mission est aussi de faire savoir aux autres parents, qui sont ou ont été dans cette situation, que nous sommes là. Malheureusement, tout le monde pourrait être un jour à notre place Ainsi, nous leur montrons qu’ils ne sont pas seuls. »
Poincy : il tue un cycliste et s’enfuit, la selle du vélo incrustée dans le pare-choc
Un terrible accident mortel s'est produit, mercredi à 20 h 40 sur l’avenue de Meaux, à Poincy.
Un cycliste de 38 ans qui habite le secteur a été percuté par une voiture dont le conducteur a pris la fuite. Suite au choc, la victime est décédée dans l'ambulance des pompiers venus lui porter secours. Alors qu'ils étaient sur place pour faire les ultimes constatations, les policiers, ont vu arriver un couple.
Une toque de vin et beaucoup de saveurs ! L’homme et la femme leur ont déclaré que l'auteur de l'accident était très certainement leur propre fils. Les policiers se sont rendus à l'adresse indiquée et ont trouvé dans la cour, le véhicule correspondant aux débris retrouvés sur les llieux de l’accident.
Impossible pour le fuyard de nier les faits : la selle de vélo du cycliste tué était encore incrustée dans le pare-choc de sa voiture. Quelques minutes auparavant, de retour chez ses parents où il vit, cet habitant de Chambry âgé de 30 ans leur avait déclaré : «J'ai eu un accident. J'ai percuté quelqu'un.»
Effectivement, en regardant la voiture accidentée, le père et la mère du conducteur n'ont eu aucun doute. Ils ont aussitôt alerté la police. Après son arrestation, l'automobiliste avait encore 1,56 g d'alcool par litre de sang et était positif aux stupéfiants. Le conducteur est déjà connu des services de police et de justice pour des faits de conduite sous l'emprise de l'alcool.
Il a été placé dans la soirée en garde à vue au commissariat de police de Meaux.
Couches sales, réveil brutal, anxiolytiques... En gériatrie, j'ai vu des maltraitances
Les personnes âgées d'au moins 65 ans représentaient près de 17,5% de la population française en 2013
Il y a quelques années, j’ai été atteint d’une tumeur au cerveau. Pendant un an, j’ai donc passé mon temps dans différents milieux hospitaliers. Je me suis toujours senti accompagné par le personnel au point de développer une certaine admiration pour ces gens.
Guéri, ma vie a pris un tout nouveau sens : ils m’avaient aidé, j’avais moi aussi envie de servir à quelque chose. C’est pourquoi j’ai décidé de me réorienter pour devenir aide-soignant. J’avais arrêté mes études à l’école d’infirmière en deuxième année. Je suis donc devenu aide-soignant en intérim dans la région du Sud-Ouest, en particulier dans les services de gériatrie.
Pendant deux ans, j’ai enchaîné les missions de quelques jours seulement, changeant régulièrement de lieux de travail. C’était difficile, mais le plus dur a été de voir comment les patients étaient traités.
Des protections hygiéniques non changées
J’ai assez vite été témoin de maltraitances. Au début, je pensais que je manquais de clairvoyance, que je m’imaginais des choses. Puis, j’ai réalisé qu’il y avait bien quelques disfonctionements. Pas dans tous les hôpitaux, mais dans un grand nombre.
Au service gériatrie, le personnel de jour doit normalement faire une dernière ronde en fin de journée pour s’assurer que tout va bien. En poste de nuit, il m’est arrivé plusieurs fois de constater que les protections hygiéniques n’avaient pas été changées en fin de journée.
Les pensionnaires étaient restés près de six heures dans leur urine, voire davantage. Certes, la plupart de ces patients réagissent peu ou pas du tout, mais cela ne justifie en rien qu’on ne s’occupe pas d’eux. En les voyant, j’avais toujours une pensée pour mes grands-parents.
Jamais je n’aurais accepté de les voir traiter ainsi. Des pensionnaires "gavés" de médocs La plupart des patients étaient traités comme de simples corps. Tous les pensionnaires étaient systématiquement "gavés" de traitements comme des diurétiques, laxatifs, anxiolytiques, en plus de leurs traitements spécifiques.
En découvrant la masse de produits qu’on leur donnait, j’ai demandé quelques explications aux infirmières. Elles me répondaient simplement que "c’était comme ça". Quand je soulevais l’idée d’en parler au médecin, elles me faisaient comprendre que j’avais plutôt intérêt à me taire car il n’aurait pas apprécié. Je me disais que je n’avais pas suffisamment de poids pour en parler, car je ne suis jamais resté très longtemps dans le même hôpital.
Faire les toilettes à 7 heures du matin J’ai aussi été témoin de toilettes à faire en quinze minutes, à partir de 7h du matin, avec réveil brutal des pensionnaires. Ils étaient priés de se réveiller qu’ils le veuillent ou non.
Mais je crois que ce qui m’a le plus choqué, c’est la salle à manger. Tout le monde y était mélangé. Je voyais des pensionnaires souffrant de démences diverses côtoyer des personnes âgées tout à fait conscientes, avec la violence psychologique que cela entraîne. Parfois, les patients se trompaient de chambre et on les retrouvait dormant dans le lit d’autres pensionnaires.
Cela ne choquait personne, mais moi, je ne comprenais pas. Pourquoi ne séparions-nous pas les personnes âgées autonomes et celle qui n’avaient plus toute leur tête ? Et puis, j’ai eu finalement ma réponse : il n’y avait pas assez de places. J'ai prévenu ma boîte d'intérim Quand j’essayais d’évoquer ces problèmes avec le personnel, je sentais qu’il ne voulait pas en parler.
J’ai parfois eu l’impression que cela faisait aussi partie d’une routine, que la relation soignant-patient s’était déshumanisée, peut-être à cause de la réduction des heures. J’ai par la suite signalé à ma boîte d’intérim les endroits où j’avais observé des maltraitances et dans lesquels je ne voulais plus travailler.
Ils étaient au courant. Si eux voulaient envoyer des travailleurs, soit, mais il fallait qu’ils se passent de moi. Après ce signalement, j’ai constaté qu’on m’appelait nettement moins souvent. J’ai essayé de conserver des relations avec les personnes âgées, mais cela était de plus en plus difficile.
Finalement, j’ai décidé de quitter ce métier. Trop de négligences Loin de moi l’envie de généraliser ces disfonctionnements, mais je pense qu’avec le recul, 20% de ce que j’ai pu voir relève de la maltraitance. Je ne me permets pas de juger les gens qui travaillent en gériatrie car c’est un milieu difficile dans lequel il n’existe pas de guérison, le but primordial et essentiel de la médecine.
Cependant, je trouve que l’on néglige trop souvent l’humanité que l’on peut trouver dans le regard et la mémoire d’un ancien.
Propos recueillis par Louise Auvitu
Pontoise : deux adolescents agressent une passante «pour rigoler»
Des policiers qui patrouillaient non loin du lieu de l'agression ont très vite interpellé les deux ados violents.
Les deux ados sont tout juste âgés de 14 et 15 ans. Un âge qui ne les a pas empêchés de s’attaquer à une passante de 67 ans à Pontoise (Val-d'Oise) et de commettre une véritable tentative d’extorsion avant d’exercer des violences.
«C’était pour rigoler» auraient aussi avancé les deux mineurs aux policiers chargés de l’enquête. La recherche en chimie, une école de la patience !
Les faits se sont produits mardi en début d’après-midi. Il est environ 14 heures, rue Saint-Jean, lorsque les ados accostent la passante qui habite la commune.
Ils lui réclament son argent et son téléphone portable. Malgré les menaces, la victime n’entend pas céder. Mais l’un des deux jeunes lui porte un coup au niveau des genoux et la fait chuter au sol. Des policiers présents à proximité vont réussir à arrêter rapidement les deux agresseurs.
Devant les enquêteurs de la sûreté urbaine de Cergy, seul l’un des deux a reconnu avoir porté un coup, unique, à la passante. Une victime à qui le médecin de l’unité médico-judiciaire a délivré six jours d’incapacité. Selon elle, plusieurs coups ont été portés.
Déjà connus pour des faits de violence, les deux adolescents originaires de Cergy et de Pontoise ont été déférés ce mercredi devant un magistrat du parquet des mineurs.
Matinée de présence et d’écoute pour les maîtres en situation d’exclusion et leur chien Dans le cadre du projet CAIR (Centre d’accueil et d’Initiatives pour la Réinsertion du maître et son chien), nous avons organisé une rencontre avec ceux qui en sont les bénéficiaires chez l’un de nos partenaires, le Foyer de jour Princet Ozanam, afin de faire le point sur la situation actuelle des propriétaires et de leur chien en situation d’exclusion sur Reims.
L’hiver approchant, des couvertures et paniers ont été proposés ainsi que des gamelles, laisses, colliers et jouets pour satisfaire les maîtres et leur compagnon d’infortune.
Certains d’entre eux vivant en squat ou dans la rue sous des toiles de tente, nous avons souhaité apporter à ces binômes des couvertures qui ne seront pas de trop pour affronter les températures négatives du Nord et de l’Est de la France.
Dans la bonne humeur, ont été évoqués tant les besoins en soins vétérinaires pour certains chiens que des séances d’éducation canine pour d’autres.
Ces échanges autour de l’animal ont permis d’établir une nouvelle fois un état des lieux des problématiques liées à la vie dans la rue et de souligner l’importance et l’urgence de mettre en place notre centre d’accueil visant à faciliter les démarches de chacun, travailleur social comme bénéficiaire, au sein du processus d’accompagnement social.
Bas salaires : une «prime d'activité» remplacera en 2016 PPE et RSA activité
Le gouvernement va mettre en place à partir du 1er janvier 2016 «une prime d'activité» réservée aux bas salaires, qui remplacera la prime pour l'emploi (PPE) et le RSA activité, jugés peu efficaces. Les modalités précises de cette prime restent à définir avec les parlementaires et les partenaires sociaux.
Elle sera versée chaque mois aux personnes gagnant moins qu'«environ» 1,2 fois le Smic et dont les revenus du ménage ne dépassent pas un certain montant, indique le cabinet de Manuel Valls.
Ce dispositif doit être présenté par le Premier ministre lors du Conseil des ministres jeudi. François Hollande avait annoncé en août la fusion de la PPE et du revenu de solidarité active (RSA activité), deux dispositifs critiqués, mais le futur dispositif restait à dévoiler.
Le montant alloué à cette nouvelle prime sera voisin des sommes jusque-là allouées à la PPE et au RSA activité, c'est-à-dire un peu moins de 4 milliards d'euros par an, selon Matignon.
Contrairement au RSA activité, réservé aux plus de 25 ans (ou moins de 25 ans avec un enfant à charge), la «prime d'activité» bénéficiera aux moins de 25 ans.
Toutefois, son montant pourrait varier pour les jeunes. La mesure, fait valoir Matignon, permet de soutenir un certain nombre de salariés modestes, qui ne bénéficiaient pas de la suppression de la première tranche de l'impôt sur le revenu.
Une loi sera adoptée d'ici fin 2015 pour mettre en place la mesure, qui précisera le nombre de bénéficiaires et les montants détaillés des revenus pour en bénéficier.
La belle histoire du jour : à 17 ans, elle sauve un bébé grâce à son brevet de secourisme
Aux Etats-Unis, Abby, une ado de 17 ans, a sauvé la vie d'un bébé dans un supermarché, grâce aux gestes de premiers secours qu'elle venait d'apprendre au lycée.
Voilà une histoire qui devrait vous convaincre de passer votre brevet de secourisme le plus vite possible.
La semaine dernière, dans un supermarché de la ville de High Ridge, dans le Missouri, une jeune maman s'affole : son bébé, une petite fille de 11 mois, ne respire plus.
Elle tente tant bien que mal de la réanimer, sans succès. C'est alors que la jeune Abby, une lycéenne de 17 ans, qui se trouve elle aussi dans le supermarché, entend l'agitation.
N'écoutant que son courage, elle fonce vers la scène du drame et commence à prodiguer un massage cardiaque au bébé. La jeune femme vient d'apprendre les gestes de premiers secours à l'école.
Mort sans son intervention "La seule pensée qui m'a traversé l'esprit était : 'Et si ça ne fonctionne pas ?' se souvient la jeune femme. J'ai dû la chasser de mon esprit et continuer, parce que je savais que c'est ce que je devais faire".
Et sa volonté paie : quelques minutes plus tard, le bébé recommence à respirer. "Je ne peux pas expliquer à quel point j'étais heureuse", raconte Abby.
Selon les secours, arrivés sur place quelques minutes plus tard, le bébé serait peut-être mort sans son intervention. Il est aujourd'hui en bonne santé. Et si comme Abby, vous ne voulez pas vous retrouver dépourvu face à une telle situation, sachez qu'en France, la Croix Rouge ou les pompiers organisetn régulièrement des sessions de formation.
À BON entendeur...
IL VIVAIT AVEC UN POISSON VIVANT D'1M25 DANS LE VENTRE
Ce Brésilien a vécu avec un poisson, toujours vivant, mesurant 125 centimètres, dans le ventre.
Ce Brésilien se plaignait de maux de ventre, les radios ont révélé un fait incroyable : l'homme vivait avec un poisson dans le ventre.
Un dipneuste, une sorte de poisson osseux long et mince, s'était tout simplement installé dans son ventre. On ne trouve ce genre de poisson vertébré qu'en Amérique du Sud, en Afrique et en Australie.
Hospitalisé en avril dernier, l'homme a décidé de porter plainte contrel'établissement. L'opération de retrait s'était pourtant bien déroulée, mais les chirurgiens et infirmières se sont amusé à filmer la scène et à la diffuser sur les réseaux sociaux.
Le rire des internes et des professionnels, ainsi que les cris des infirmières sont tous enregistrés sur cette vidéo. A la vue des commentaires et du nombre de partages, le Brésilien se retourne contre l'hôpital universitaire de Londrina.
Une enquête suit son cours pour découvrir la provenance de la fuite. Le poisson, lui, a été euthanasié après l'opération.
CASINOS EN LIGNE – LA VÉRITÉ ENFIN RÉVÉLÉE !
Helene Larsen, Rédacteur en chef Vous vous êtes déjà demandé quelles sont les vérités derrière les jeux d’argent en ligne ?
Les jeux d’argent en ligne sont apparus à la fin des années 90 et se sont transformés en une industrie valant 40 milliards de dollars.
La plupart des gens ordinaires n’ont aucune idée de la grosseur et du succès de cette industrie et les casinos de plein pied souhaitent que cela reste ainsi afin qu’ils puissent garder des clients.
Voici quelques-unes des vérités derrière les CASINOS EN LIGNE et que les grands casinos ne veulent pas que vous découvriez :
1ère vérité :
Les casinos en ligne sont réglementés
TOUS LES CASINOS EN LIGNE sont réglementés, sous licences et contrôlxés et des instances gouvernantes contrôlent les normes associés avec ces certificats.
Il existe des centaines de casinos en ligne mais seulement quelques entreprises de logiciels de casinos. Ces entreprises sont négociées publiquement sur de nombreuses bourses mondiales, y compris le NASDAQ et le FTSE 100.
De telles entreprises ne vendront jamais leurs logiciels à DES CASINOS non réglementés, sans licences ou non contrôlés de manière régulière.
2e vérité :
Les casinos en ligne sont 100% sécurisés Les casinos en ligne possèdent des technologies de cryptage des données P128-bit SS, ce qui offre les plus hauts standards de sécurité pour les transactions financières électroniques.
Ce que peu de gens savent est que ce niveau de cryptage de ces données est du même niveau que les plus grosses banques et institutions financières du monde.
Les casinos en ligne utilisent les meilleurs dispositifs de sécurité disponibles aujourd’hui !
3e vérité :
Les casinos en ligne offrent plus de chances que les casinos normaux Cette vérité est celle que les casinos de plein pied ne veulent pas que vous sachiez.
La logique est simple. Les casinos en ligne ont moins de frais généraux ce qui leur permet d’augmenter les chances pour les joueurs. Les casinos normaux dépensent des fortunes pour les frais d’entretien (électricité, loyer, salaires des employés, NETTOYAGE, sécurité, etc.).
C’est pourquoi la plupart DES CASINOS en ligne offrent des gains de 95 % ou plus – ce qui était inimaginable auparavant.
4e vérité :
Vous pouvez gagner des millions dans les casinos en ligne ! Les logiciels DE CASINO EN LIGNE proposent des jeux à jackpot progressif avec des montants pouvant atteindre plusieurs millions.
En 2014, un finlandais gagna le plus gros JACKPOT EN LIGNEjamais enregistré : l’incroyable somme de 17 861 813€.
En 2012, un anglais gagna un jackpot de 8 211 488$ en seulement 6 tours de MACHINE À SOUS et en 2009, un chanceux chef d’entreprise de Grèce gagna 6,3 millions d’euros en ne misant que 5€.
Et ce ne sont que quelques exemples des milliers gagnants de jackpot – tout ça sur des sites de jeux d’argent en ligne. Maintenant que vous en savez plus à propos des casinos en ligne, la prochaine fois, au lieu de vous rendre au casino local ou de dépenser votre argent durement gagné pour un voyage Vegas, n’oubliez pas que vous pouvez jouer depuis le confort de votre maison ou de votre bureau, tout en profitant de plus de chances de gagner des millions !
5e vérité :
Les casinos en ligne offrent des bonus aux nouveaux joueurs ! Les joueurs novices et les gros parieurs profitent depuis longtemps de ce genre d’offres. Les nouveaux joueurs DES CASINOS en ligne se voient automatiquement crédités d’une de somme de 22€ en argent réel pour essayer le casino.