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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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Révélations

Publié à 09:43 par fandeloup Tags : article texte nuit vie homme mort annonce
Révélations

Révélations sur la nuit où Rémi Fraisse est mort

Alors que l'on commence à connaître les circonstances de la mort du jeune manifestant, les autorités sont confrontées à une réflexion sur les moyens utilisés pour maintenir l'ordre.

Des grenades ont été tirées par les forces de l’ordre lors d’altercations avec les manifestants.

Chef d'un groupe de 8 militaires chargé de sécuriser la « zone de vie » du site de Sivens, le maréchal des logis-chef J. a lancé la grenade qui a tué le jeune Rémi Fraisse, le dimanche 26 octobre, à 1 h 50 du matin.

Jusqu'à ce geste fatal, cet homme de 32 ans avait effectué un parcours sans faute au sein de la gendarmerie, qu'il intègre en 2001.

 Il est aujourd'hui « un homme choqué », selon le général Denis Favier, directeur général de la gendarmerie. Soumis au devoir de réserve, J. n'a pas le droit de s'exprimer publiquement sur les faits.

Une enquête judiciaire en cours tente de reconstituer le déroulé de l'opération de maintien de l'ordre. C'est à 2 officiers de police judiciaire, chargés de l'enquête de flagrance que vient d'ouvrir le parquet d'Albi, qu'il détaille, sur procès-verbal, les conditions de son geste. « Un grand nombre de manifestants » « La journée du samedi 25 octobre a attiré un grand nombre de manifestants du fait des venues de personnalités politiques », explique le maréchal des logis J.

Son escadron rejoint la forêt de Sivens « aux alentours de 23 h 50 ». A la tête d'un groupe de 8 militaires, J. s'installe au niveau de la zone de vie. « Par rapport à ma position, les manifestants sont à environ 30 ou 40 m, ils ont allumé des petits feux. » A l'aide de projecteurs et de jumelles à vision nocturne, il estime entre 80 et 100 le nombre de manifestants qui lui font face.

D'autres, qu'il est incapable de quantifier, « progressent en approche de nos positions en longeant la D 132 ». « Petit à petit, la situation se dégrade » Les manifestants « sont provocants dans leurs propos et nous insultent.

On sent que l'atmosphère est lourde. La situation peut dégénérer d'un instant à l'autre », détaille le militaire. La nuit noire est trouée, çà et là, de petits feux, mais « pas suffisamment pour voir l'ensemble des manifestants ». « Petit à petit, la situation se dégrade, poursuit le gradé. Ils jettent des projectiles sur les militaires situés au niveau du portail d'accès. Ils provoquent. Ils harcèlent. Nous avons le sentiment qu'ils cherchent une réponse de notre part. » « Les directives de notre commandement varient » « Dans un premier temps, les directives de notre hiérarchie sont claires, à savoir qu'on maintient notre position sans réplique de notre part », indique le chef de groupe.

Des propos qui corroborent les « consignes d'apaisement » que le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, et le directeur général de la gendarmerie nationale, Denis Favier, assurent avoir données. Mais la tension monte. Et ce qui était clair ne l'est plus. « L'agression des manifestants devient plus intense et violente. Ils se rapprochent de nos positions. Ils sont de plus en plus nombreux. Les directives de notre commandement varient », relate le gendarme J.

Ont-elles été remplacées par des consignes de fermeté ?

Le militaire ne le précise pas. « La situation dégénère » Des grenades lacrymogènes sont tirées. « La situation dégénère, indique le gradé. La pression des manifestants s'accentue. » « Conformément aux ordres », des tirs de flash-balls visent « les individus les plus virulents ».

L'un d'eux, touché, appelle ses compagnons à l'aide.

 Aux yeux du militaire, la situation est critique. « Je prends la décision de jeter une grenade offensive », explique-t-il. « Je préviens les manifestants de mon intention. » Entre les manifestants et lui, un grillage. « Je suis obligé de la jeter par-dessus. » « Je la dégoupille, il fait noir mais je connais leur position. »

Il assure « éviter de l'envoyer sur les manifestants eux-mêmes », mais précise : « Ils bougent beaucoup. » La grenade explose. « Deux de mes camarades me disent qu'ils ont vu quelqu'un tomber. »

Les manifestants qui accompagnaient Rémi, eux, « sont tous partis au moment de l'explosion ». Au bout de « cinq à dix minutes », le commandant d'unité annonce la mort du jeune homme.

Coup de frein sur les dépenses

Publié à 20:16 par fandeloup Tags : cadeaux enfants internet jeux loisirs livre livres
Coup de frein sur les dépenses

Coup de frein sur les dépenses de Noël

Pour Noël, les français devraient diminuer les dépenses.Jusqu'à présent, les dépenses de Noël étaient en quelque sorte sanctuarisées par les ménages.

Pour la première fois à cause de la crise, selon une étude du cabinet spécialisé Deloitte, les français devraient se serrer la ceinture.

Pour un couple avec deux enfants, le budget moyen sera de 518 euros, soit une baisse significative de 4,3% par rapport à l'an passé.

Tous les postes de dépenses seront rognés même si les Français restent très attachés à ce moment de fêtes.

«En priorité des intentions d’achats des français arrivent lescadeaux à destination de leurs enfants et de leur conjoint malgré un léger retrait du budget total des cadeaux de 2,7% à 303 euros.

Les économies porteront principalement sur les sorties et les loisirs (48€ soit -17.7%) et plus à la marge sur les repas (168€ en baisse de 3,3%)», explique cette étude auprès de 17 000 consommateurs dans 17 pays.

Au-dessus de la moyenne européenne Néanmoins, ce budget reste au dessus de la moyenne européenne (488 euros) avec une diminution beaucoup moins marquée qu'en Grèce, en Espagne, en Italie ou au Portugal où les baisses sont de l'ordre de 6%.

Pour les enfants, le critère éducatif est déterminant dans le choix des cadeaux du Père Noël. Les cadeaux les plus offerts devraient être les jeux de construction, les jeux éducatifs et les livres.

Pour les adolescents, le top 3 reste identique à Noël 2013 : les jeux vidéo, l’argent et les livres. Pour les adultes, pour la première fois depuis 17 ans, le livre arrive en première position des cadeaux souhaîtés et offrerts.

Acheter malin Selon Deloitte, les français vont aussi chercher à dépenser malin. Pour trouver les meilleures promotions, «ils prévoient de rechercher en priorité leurs cadeaux en grandes surfaces plutôt que sur internet afin d’accéder aux meilleures offres des distributeurs.

Pour les dépenses alimentaires, les hypermarchés sont mêmefortement plébiscités pour 80% des consommateurs. En revanche, les achats en ligne seront, eux, pour la première fois, en recul cette année par rapport à l'an dernier.

Cette année, les ménages devraient être un peu plus attentistes dans la réalisation de leurs achats.

Fin novembre, ils seront 43% à avoir réalisé la majorité de leurs achats contre 47% l’an passé.

Ces achats seront reportés essentiellement sur les derniers jours avant les fêtes.

Au total, 57% des achats seront réalisés en décembre (39% sur la première quinzaine contre 34 % en 2013 et 18% sur la deuxième contre 15%).

Un chasseur tire sur la championne

Publié à 18:58 par fandeloup Tags : belle france
Un chasseur tire sur la championne

Un chasseur tire sur la championne d'Autriche, qu'il confond avec... un lièvre

Christine Koschier, triple championne d'Autriche de cyclisme sur route, a connu une mésaventure pour le moins rarissime.

En plein échauffement avant une épreuve de contre-la-montre à Colloreda, en Italie, l'athlète de 40 ans a été la cible d'un chasseur local, qui l'aurait confondue avec... un lièvre (selon ses déclarations faites à la police).

"Dans un premier temps, j'ai cru à une crevaison, mais dans la foulée, j'ai ressenti une douleur vive et j'ai chuté", raconte-t-elle.

Touchée à la jambe, au bras et à la hanche, la sportive autrichienne l'a échappé belle. J'ai eu de la chance. Pour le même prix, j'aurais pu être heurtée à la tête ou dans le cou", prolonge-t-elle

Lorsque le chasseur s'est rendu compte de son erreur, il est directement venu au secours de la victime, allongée sur le sol. En 1987, l'Américain Greg Lemond fut également victime d'un terrible accident de chasse, ce qui l'a écarté du cyclisme pour deux ans.

Cela ne l'a pas empêché de revenir et de remporter le Tour de France en 1989.

Il avait découpé son père

Publié à 18:04 par fandeloup Tags : article texte google vie homme chez histoire argent livres
Il avait découpé son père

Il avait découpé son père et fait un meuble télé avec son corps

C'est dans l'un de ces petits immeubles de la ville de Bournemouth, au sud de l'Angleterre, que Nathan Robinson a découpé son père en morceaux avant de ranger sa dépouille dans des boîtes en plastique et d'en faire un meuble télé. C'est dans l'un de ces petits immeubles de la ville de Bournemouth,

Un Anglais de 28 ans comparaît actuellement devant la justice anglaise pour avoir tué et découpé son père dans des circonstances effroyables.

Nathan Robinson, qui fait face aux juges de la Cour de la Couronne (Ndlr : la juridiction britannique qui traite des affaires criminelles les plus graves), reconnaît avoir commis un homicide involontaire, non le meurtre intentionnel pour lequel il est jugé, selon le Telegraph, qui raconte l'histoire.

Le 16 mai 2013, après une dispute sur de l'argent dans l'appartement familial de Bournemouth (Dorset), Nathan Robinson a tué son père, William Spiller, chauffeur de taxi de 48 ans, avec qui il vivait. Puis avec un couteau de bricolage de la marque Stanley et deux petites scies, dont une à métaux, il a «soigneusement» découpé son cadavre malgré une corpulence hors norme : 1,83 m et 158 kilos.

Il a ensuite rangé les morceaux dans de grosses boîtes en plastique d'archivage, qu'il a ensuite empilées pour dessiner un meuble-télé.

C'est le voisin du dessous qui, dans l'après-midi, a remarqué qu'un «liquide rose» tombait en gouttes du plafond de sa salle de bains. Selon le procureur, il s'agissait de sang mélangé à un produit nettoyant, que Robinson était allé acheter après son crime.

Quelques heures avant de voir le sang goutter, ce même voisin assure avoir entendu William Spiller crier chez lui : «Tu crois vraiment que je vais te subventionner toute ma vie ?»

Frappant à la porte de l'appartement pour évoquer cette curieuse fuite, il décrit un Robinson «très calme, tout à fait normal» après son geste fatal.

Le jeune homme lui aurait simplement confié s'être disputé avec son père. Après son effroyable ouvrage, Nathan Robinson a dressé la liste des choses qu'il devait faire, ce qui démontre, sinon la préméditation, du moins une conscience aiguë de son geste : «Payer le loyer, louer du matériel de nettoyage», avait-il noté, de même qu'envoyer des messages avec le téléphone portable de son père pour le faire passer pour vivant.

Il avait ensuite quitté les lieux, prenant la direction de Glasgow (Ecosse) où, avec l'argent dérobé à son père, il avait «passé du bon temps» à «manger, boire et RENCONTRER des gens».

Puis, de retour, il avait vécu dans l'appartement avant de retourner en Ecosse puis d'accompagner sa mère lors d'un «weekend végétarien» à Bristol.

La dépouille de Spiller n'a été retrouvée qu'un mois plus tard, le 17 juin 2013, après qu'un collègue s'est inquiété de ne plus le voir et de ne pas recevoir de réponse à ses messages. La police du Dorset, en arrivant dans l'appartement, a été assaillie par l'odeur et par le nombre de mouches qui pullulaient, mortes et vivantes, dans le couloir.

Les boîtes qui supportaient la télévision étaient pleines, de même qu'un casier dans la chambre à coucher, dans lequel Nathan Robinson avait rangé la tête de son père. Lorsque la police s'est présentée au domicile de sa mère, à Birmingham, le jeune homme l'a accueillie avec étonnement, demandant s'il s'agissait «d'une blague».

Il ne nie pas avoir tué son père à qui il devait un prêt de 36 000 livres sterling mais, devant la Cour de la Couronne, assure qu'il ne jouissait pas de toutes ses capacités mentales au moment des faits, ce qui réduirait sa responsabilité. Les experts sont partagés.

à six ans, il sauve sa famille

Publié à 17:08 par fandeloup Tags : article divers texte nuit enfant actualité
à six ans, il sauve sa famille

Un enfant de six ans a eu le réflexe de réveiller sa mère en pleine nuit alors qu'un incendie avait lieu dans le pavillon familial.

Il n'y a décidément pas d'âge pour adopter les bons réflexes. Un enfant de six ans a probablement sauvé sa famille d'un terrible incendie dans la nuit de lundi à mardi, comme le rapporte l'Union.

C'est en effet le petit garçon qui vit dans une maison avec sa mère et ses deux frères à Monampteuil (Ainsne), qui a réveillé sa maman en pleine nuit pour prévenir cette dernière que l'habitation était en feu.

Un réflexe qui a permis à la mère de famille d'avertir les pompiers. Sans l'intervention de cet enfant de six ans, les conséquences auraient pu être dramatiques. Sa maman avait en effet avalé un somnifère cette nuit là et elle était profondément endormie lorsque le feu s'est déclaré.

Dentiste aux mains sales

Publié à 15:39 par fandeloup Tags : femme article texte mort
Dentiste aux mains sales

Dentiste aux mains sales : dépistage du VIH pour 22 000 patients

Les patients d'un médecin britannique devront subir des tests de dépistage du Sida et des hépatites B et C.

 Des milliers de Britanniques ont été appelés ce mercredi à passer des tests de dépistage du VIH après être passés entre les mains d'un dentiste qui n'a pas respecté les procédures d'hygiène pendant plus de… trente ans !

Le système de santé public NHS estime à 22 000 le nombre de patients à avoir été soignés en 32 ans dans ce cabinet de Nottingham, au centre de l'Angleterre.

Le dentiste, Desmond D'Mello, a été interdit d'exercer pendant un an et demi en juin lorsqu'une vidéo a émergé sur les conditions dans lesquelles il opérait.

Le NHS estime aujourd'hui qu'elles étaient tellement déplorables qu'il a jugé utile d'appeler l'ensemble de ces 22 000 patients à passer des tests sanguins pour dépister le VIH ainsi que les hépatites B et C. Plus de 160 d'entre eux sont considérés comme présentant «des risques sérieux» d'infection.

Le praticien stockait son matériel dans les WC Le dentiste n'est porteur d'aucune de ces maladies selon le NHS, mais le risque est suffisamment important pour vérifier. Desmond D'Mello est notamment accusé de ne pas s'être lavé les mains ou de ne pas avoir changé de gants entre deux patients.

Les enquêteurs ont découvert en juillet dernier que le praticien stockait du matériel médical dans… les toilettes du personnel. Des serpillières et des seaux servant à nettoyer le cabinet étaient aussi entreposés dans les toilettes.

Des informations divulguées par le Daily Telegraph, se révèlent inquiétantes. D'après le journal britannique, la police enquête sur les causes de la mort en août dernier d'une ancienne patiente du dentiste, une jeune femme de 23 ans décédée d'une infection virale.

Des investigations sont également menées pour éclaircir la mort en août 2013 d'une femme de 29 ans.

Mort de Corentin à Metz :

Publié à 14:39 par fandeloup Tags : société photo voyage voyages moi monde chez enfants article femme mort
Mort de Corentin à Metz :

Mort de Corentin à Metz : le chirurgien mis en cause sort du silence

La mort d’un enfant de 11 ans après une opération de l’appendicite qui a viré au drame.

Comment une opération considérée comme « banale» a pu causer de telles complications jusqu’à la mort de l’enfant ? On fait le point.

Le chirurgien mis en cause dans le décès de Corentin, 11 ans et opéré de l’appendicite dans une clinique privée de Metz (Moselle) sort enfin du silence.

Il affirme être en deuil et réserve ses précisions aux enquêteurs. Dix jours après la mort d'un enfant pendant une banale opération de l'appendicite, le chirurgien, contacté par Le Républicain Lorrain (article abonnés), sort du silence.

Alors qu'il fait l'objet d'une interdiction de bloc opératoire depuis l'accident, il dit vivre depuis "reclus", "effondré et anéanti".

 "Je suis en deuil, Monsieur, je pleure, ma femme pleure, mes enfants pleurent. Je suis effondré, anéanti" confie-t-il, par téléphone.

Selon le journaliste qui a effectué cet entretien d’une quinzaine de minutes, le praticien était éprouvé et fatigué. Depuis le drame du samedi 1er novembre, il ne sort plus de chez lui et attend une audition avec les enquêteurs de la Polie judiciaire de Metz chargés des investigations.

Le parquet de Metz a en effet ouvert une information judiciaire contre X pour homicide involontaire. "C’était un accident" "Je vis terré chez moi. Vous savez, c'était un accident. C'est tout ce que je peux vous dire sur les faits pour le moment", ajoute-t-il.

Il dit même ignorer être l'objet d'une interdiction de bloc, "je n'ai rien d'officiel, rien d'écrit sur le sujet" affirme-t-il.

Dans une interview ce lundi, le directeur de la clinique Claude Bernard a en effet assuré qu’il avait interdit l’accès au bloc à ce chirurgien mis en cause.

"Demandez-le aux gens qui me connaissent, ils vous diront, je suis toujours prêt à aider tout le monde. J'opère des gens dans tous les milieux, des gens modestes avec la CMU (couverture maladie universelle).

Je ne trouve pas les mots pour parler de ce qui s'est passé. C'est trop tôt" poursuit-il dans cet entretien. Selon plusieurs sources et d’après le praticien lui-même, le professionnel mis en cause était dans son état normal. Pas d’alcool ou de substances qui pourraient altérer son jugement lors de cette opération dite «banale».

Le chirurgien n'a pas encore expliqué comment s'est déroulé l'opération et dans quelles circonstances Corentin est décédé. Il devrait être entendu ces prochains jours par la police.

un homme suspecté d'avoir jeté son bébé dans la Garonne

Publié à 09:57 par fandeloup Tags : bébé enfant photo homme
un homme suspecté d'avoir jeté son bébé dans la Garonne

Bordeaux : un homme suspecté d'avoir jeté son bébé dans la Garonne

Des plongeurs ont sondé ce mardi soir la Garonne afin de retrouver un enfant qui y aurait été jeté par un homme d'une trentaine d'années.

Un homme d'une trentaine d'années a été arrêté et placé en garde à vue ce mardi soir à Bordeaux (Gironde).

Il est suspecté d'avoir jeté son bébé dans la Garonne, selon Sud Ouest. Dans la soirée, une vingtaine de policiers et pompiers s'activaient au niveau du ponton Jean-Jaurès, sur la rive gauche, en plein centre-ville, pour tenter de retrouver le nourrisson, a recensé le quotidien régional.

Des plongeurs ont sondé le fleuve. A 23 heures, leurs recherches étaient toujours vaines.

La photo ci-dessous, publiée par 20 Minutes Bordeaux, serait le landau du nourrisson. Le parquet a confirmé à l'AFP qu'un homme avait bien été placé en garde à vue dans une enquête criminelle, sans confirmer ni infirmer que cette affaire serait liée à une éventuelle et mystérieuse disparition d'un bébé dans les eaux de la Garonne.

Tant la police que la justice se sont montrées très peu disertes à propos de ce dossier. Interrogé par l'AFP, le secrétaire général du parquet de Bordeaux, Vincent Rouède, a estimé qu'il était «encore beaucoup trop tôt pour communiquer» sur cette affaire.

il asperge d’essence l’entrée d’un appartement

Publié à 17:24 par fandeloup Tags : google homme chez enfants société femme mort
il asperge d’essence l’entrée d’un appartement

Dunkerque : il asperge d’essence l’entrée d’un appartement pour se venger de sa femme infidèle

Si le prévenu avait mis le feu, l’incendie aurait pu être dramatique. Les faits se sont produits au cinquième étage du 115, rue de Douvres, à Malo-les-Bains.

Il y a deux semaines, Valery Lasser a été plaqué par sa concubine, qui s’est réfugiée chez son ancien compagnon, avec qui elle n’avait pas tout à fait rompu.

Depuis, Valery la harcèle au téléphone et profère des menaces de mort contre elle, ses parents, ses enfants et son ami. La veille des faits, il avait annoncé qu’il allait tous les brûler. Samedi matin, il a mis ses plans à exécution, pénétrant dans la résidence de ses victimes, rue de Douvres, à Dunkerque.

Au cinquième étage, devant la porte de l’appartement de son « ex » et de l’ami, il vide un bidon d’essence. Un voisin est alerté par l’odeur de carburant. Il regarde dans son œilleton et voit un homme en train d’asperger de l’essence.

Pour le mettre en fuite, il tambourine à la porte de son logement. Valery Lasser quitte le palier, abandonne son bidon au troisième étage. Un autre voisin le voit partir avec le véhicule de la société qui l’embauche, DK Propre.

C’est d’ailleurs avec le badge de la société que le prévenu a pu pénétrer dans la résidence. « Je voulais juste faire peur » Aussitôt les faits découverts, les soupçons se portent sur lui. Les menaces de la veille étant explicites. Lorsque les policiers vont le chercher chez lui, peu après 9 h, il est déjà alcoolisé.

En garde à vue, il reconnaîtra sans difficulté être l’auteur des menaces et de la tentative d’incendie. La question que le tribunal se pose : aurait-il mis le feu s’il n’avait pas été interrompu par le voisin tambourinant à la porte ?

Valery Lasser jure qu’il n’avait pas entendu le voisin et qu’il était parti une fois le bidon d’essence entièrement vidé. « Je voulais juste faire peur », dit-il.

À la barre en comparution immédiate, Valery se lamente : « J’ai pas de chance. C’est la deuxième fois qu’une femme me trompe et me quitte pour un autre.Vous savez, vous rentrez et vous surprenez votre femme avec un autre ».

Sauf que si tous les maris trompés mettaient le feu pour se venger, il faudrait construire de nouvelles casernes. Valery Lasser comparaît en récidive, jugé pour les mêmes faits il y a un an quand sa première femme l’avait plaqué. Il a été condamné à 18 mois de prison dont 12 mois avec sursis et mise à l’épreuve et deux mois supplémentaires au titre de la révocation d’un sursis antérieur. Il n’a pas été incarcéré comme l’avait requis le parquet.

punie par son père, elle meurt ébouillantée

Publié à 16:40 par fandeloup Tags : article mort texte fille enfant
punie par son père, elle meurt ébouillantée

Autriche : punie par son père, elle meurt ébouillantée sous la douche

Un Autrichien qui aurait voulu punir sa fille de deux ans avec une douche froide aurait par erreur infligé une douche bouillante à cette dernière, finalement décédée.

 Une fillette de deux ans, qui avait été placée par son père sous une douche trop chaude pour la punir, est morte des suites de ses brûlures lundi, a annoncé un porte-parole des hôpitaux de Vienne (Autriche).

L'enfant, grièvement brûlée au dos, est morte des suites d'une «défaillance généralisée» de ses organes vitaux après deux semaines d'hospitalisation, a rapporté cette source.

Le père, âgé de 26 ans, a expliqué avoir mis la petite fille sous la douche «pour l'éduquer», et a plaidé l'erreur : il aurait voulu infliger à l'enfant une douche froide.

Selon des informations de presse non confirmées, la température de l'eau, sous laquelle la jeune victime a été placée de force, était de 50 à 70 degrés. Resté en liberté, le père pourrait être inculpé de mauvais traitements sur un mineur ayant entraîné la mort, selon le parquet de Vienne.