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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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actualités

Sécurité sociale

Publié à 13:36 par fandeloup Tags : sur vie société
Sécurité sociale

Sécurité sociale : les étudiants deviennent des assurés comme les autres

LE PARISIEN

La fin annoncée du régime spécifique pour les étudiants, et leur rattachement au régime général, n’entraîne aucune démarche particulière. A compter de samedi 1er septembre, les étudiants n’ont plus à se soucier de leur inscription auprès de l’assurance maladie obligatoire.

Désormais rattachés automatiquement au régime général de la Sécurité sociale, ils n’auront donc plus à acquitter les 217 euros de cotisation.

La fin du régime spécifique étudiant est programmée pour le 1er septembre 2019 par la loi sur l’orientation et la réussite des étudiants (ORE).

D’ici à cette date, « l’année universitaire 2018-2019 sera une période transitoire », prévient l’Assurance maladie.

Coût de la vie étudiante : «Je vais encore devoir emprunter» Les nouveaux étudiants n’ont aucune démarche particulière à effectuer. Ils continuent automatiquement d’être affiliés à leur régime de protection sociale actuel, le plus souvent celui de leurs parents (régime général, régime agricole ou autres régimes spéciaux).

L’Assurance maladie leur recommande néanmoins les « bons gestes » tels que créer un compte ameli (via le site ameli.fr ou l’application mobile), mettre à jour leurs informations personnelles et envoyer un relevé d’identité bancaire (RIB) à leur caisse primaire d’Assurance maladie pour recevoir ses remboursements. Pour les étudiants qui avaient déjà ce statut l’an passé, l’Assurance maladie rappelle qu’ils restent provisoirement dans leur mutuelle étudiante pour l’année 2018-2019.

« Cette prolongation se fera de manière automatique sans que les étudiants concernés aient à faire une démarche spécifique pour cela », précise-t-elle. Au 1er septembre 2019, ils basculeront automatiquement au régime général et seront rattachés à la Caisse de leur lieu de résidence.

ce qui change au 1er septembre

Publié à 11:02 par fandeloup Tags : place vie france sur base
ce qui change au 1er septembre

Gaz, pesticides, ampoules halogènes : ce qui change au 1er septembre

Les cotisations sociales seront désormais calculées sur la base du calcul de la contribution sociale généralisée (CSG). 

Rentrée oblige, le passage au mois de septembre apporte son lot de changements.

Tarifs du gaz, mutuelle étudiante, calcul des cotisations sociales… Voici ce qui change, à partir du samedi 1er septembre.

 

 

Energie :

les tarifs du gaz par Engie en hausse de 0,9 % Après la douce augmentation du mois d’août, le tarif réglementé de vente du gaz distribué par Engie sera rehaussé d’en moyenne de 0,9 % par rapport au baromètre du mois précédent, selon la Commission de régulation de l’énergie.

L’augmentation sera de 0,3 % pour les utilisateurs de gaz pour la cuisson, 0,5 % pour ceux qui font double usage de cuisson et eau chaude, ainsi que 0,9 % pour les foyers qui se chauffent au gaz.

 

 

Vers la fin des ampoules halogènes

Trop consommatrices d’énergie, les ampoules halogènes vont être interdites à la vente en France et dans toute l’Europe. Les magasins n’ont plus l’autorisation d’en commander, mais peuvent écouler leurs stocks présents, jusqu’à épuisement. Le Bureau européen de l’environnement a calculé que les ampoules halogènes pouvaient consommer jusqu’à 6,3 plus d’énergie que les lampes LED.

Ces dernières devraient donc prendre une place majeure sur le marché, moins gourmandes en énergie, mais surtout, qui disposent d’une durée de vie plus longue.

 

Harmonisation du calcul des cotisations sociales

C’est une mesure souhaitée par Emmanuel Macron. En vertu d’une ordonnance du 12 juin dernier, les cotisations sociales seront désormais calculées sur la base du calcul de la contribution sociale généralisée (CSG).

Objectif : simplifier et harmoniser les différentes assiettes. Cette mesure n’aura aucun effet sur les niveaux de prélèvements sur les assurés et les cotisants.

 

Agriculture : fin des pesticides néonicotinoïdes…

Après des années de controverses, les pesticides néonicotinoïdes seront désormais bannis en France. Utilisés par les agriculteurs pour débarrasser les cultures de chenilles, cochenilles, ou bien pucerons, ils sont responsables du déclin de la population d’abeilles en France.

 

Exit les mutuelles étudiants

Les étudiants ne sont pas en reste niveau changement. Ceux qui se lancent dans les études supérieures en ce mois de septembre n’auront plus à se soucier de leur inscription auprès de l’assurance maladie obligatoire. Ils seront rattachés au régime général automatiquement, et n’auront, par conséquent, plus à s’acquitter des 217 euros de cotisation.

Aquarius

Publié à 17:29 par fandeloup Tags : société france enfants sur femmes cadre rouge solidarité
Aquarius

Aquarius : 59 réfugiés sont arrivés en France

 L'Aquarius à son entrée dans le port de Malte le 15 août dernier.

La France veut démontrer l’efficacité du mécanisme européen de prise en charge. Cinquante-neuf réfugiés de l’Aquarius et d’un autre navire humanitaire qui avaient accosté à Malte mi-août sont arrivés jeudi en France.

Partis de La Valette en début de matinée par un vol charter affrété par la France, ils ont atterri vers 11 heures à l’aéroport de Roissy Charles-de-Gaulle. Fatigués mais souriants, avec pour seul bagage un sac à dos rouge, les réfugiés, parmi lesquels douze femmes seules et une famille de cinq enfants, ont immédiatement été répartis dans des bus.

Le groupe comprend « 16 Soudanais, 25 Erythréens, 10 Somaliens, ainsi que quelques Camerounais, Ivoiriens et Nigérians », a détaillé Didier Leschi, directeur général de l’Ofii (Office français de l’immigration et de l’intégration), venu les accueillir à l’aéroport. Ces nouveaux arrivants devraient ensuite gagner des centres d’accueil « en Bourgogne, Franche-Comté et dans le Grand Est », où le statut de réfugié leur sera rapidement délivré, au terme d’une procédure « accélérée », a précisé Didier Leschi.

Qui finance l’Aquarius, le navire de l’ONG SOS Méditerranée ?

Avant de quitter Malte, les 59 réfugiés avaient été entendus par des fonctionnaires de l’Office français de protection des réfugiés et des apatrides (Ofpra), afin de s’assurer qu’ils correspondaient bien aux critères de l’asile. L’Aquarius avait accosté à Malte le 16 août après avoir erré plusieurs jours en Méditerranée avec 141 migrants épuisés à son bord.

La veille, 114 migrants étaient arrivés sur l’île à bord d’un autre bateau, et la France s’était engagée à accueillir 60 réfugiés sur ce total. Au total, cinq pays se sont engagés à se répartir des réfugiés de ces deux navires. Le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb souligne dans un communiqué que « la France est toutefois le premier Etat membre de l’UE à mettre en œuvre son engagement ».

« La France est à nouveau à l’initiative, conformément à nos valeurs et à l’exigence de solidarité pour faire face au défi migratoire de façon coordonnée et concertée au niveau européen, malgré la crise politique actuelle », a-t-il commenté. Gérard Collomb rappelle néanmoins que « les réponses au cas par cas aux débarquements de ces dernières semaines ne sont pas satisfaisantes : une solution pérenne est indispensable à l’échelle européenne ».

« L’idée est d’illustrer le mécanisme des centres contrôlés » défendu par la France , avec « un système de prise en charge des réfugiés à l’arrivée dans les ports du sud de l’Europe », explique Pascal Brice, le directeur général de l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides). Avec cette opération, la cinquième depuis juin, la France veut faire la preuve de l’efficacité du « mécanisme européen pérenne » qu’elle défend dans la crise européenne autour de l’accueil des migrants. Ce sont déjà 260 personnes qui ont été accueillies par la France dans ce cadre. La crise a débuté mi-juin lorsque le ministre italien de l’Intérieur, Matteo Salvini, avait refusé de laisser accoster l’Aquarius, qui avait erré pendant une semaine avant que le port espagnol de Valence accepte de laisser les migrants débarquer.

heure

Publié à 16:02 par fandeloup Tags : hiver sur
heure

Fin du changement d'heure : après le oui des Européens, l'UE va se prononcer

Les Européens étaient invités à se prononcer jusqu'au 16 août sur une éventuelle suppression du changement d'heure à l'échelle européenne. La Commission européenne va proposer ce vendredi la disparition dans l’UE du changement d’heure en hiver et en été, à la suite d'une consultation de plusieurs millions de citoyens européens, a annoncé son président Jean-Claude Juncker.

«Nous allons décider cela aujourd’hui» au sein de l’exéctif européen, déclaré Jean-Claude Juncker à la chaîne de télévision allemande ZDF, indiquant que l’idée serait de rester en permanence à l’heure d’été. Respecter le choix des citoyens

«Nous avons réalisé une consultation publique» sur le sujet entre début juillet et mi-août, «des millions de personnes ont répondu et sont d’avis qu’à l’avenir c’est l’heure d’été qui devrait être tout le temps la règle, et nous allons réaliser cela», a ajouté le président de la Commission.

«Lorsque l’on consulte les citoyens sur quelque chose il convient aussi ensuite de faire ce qu’ils souhaitent», a-t-il ajouté. La décision finale devra toutefois être prise par le Parlement européen, qui dans le passé s’était déjà dit plutôt favorable à la fin du changement d’heure, et aux États de l’Union européenne. Le changement entre heure d’été et d’hiver, introduit en Europe à l’origine pour réaliser des économies d’énergie, suscite une controverse permanente depuis des années. Ses détracteurs mettent en avant notamment les perturbations physiologiques que cela entraînerait.

emploi

Publié à 16:39 par fandeloup Tags : solidarité sur travail internet voyage place
emploi

Demandeurs d’emploi: c’est parti pour le contrôle et les sanctions renforcés

 Pôle emploi vient de publier un premier bilan de « l’accompagnement personnalisé des demandeurs d’emploi ».

Il s’agit en fait du contrôle renforcé prévu par la loi « pour la liberté de choisir son avenir professionnel » !

A l’heure où une nouvelle négociation sur l’assurance chômage est sur le feu, Pôle emploi publie une synthèse du contrôle de recherche d’emploi que la loi a prévu de renforcé en 2019 (ça a déjà commencé) en portant le nombre de contrôleurs de 200 actuellement à 1 000 en 2020 : « un métier porteur » selon Pôle emploi (Le Canard Enchaîné de ce jour).

Ainsi la synthèse de Pôle emploi sur le contrôle des demandeurs d’emploi, nous apprend :

1.- actuellement 215 agents contrôleurs (1 000 en 2020) réalisent en moyenne 12 000 contrôles par mois,

2.- 71% des demandeurs d’emploi contrôlés « s’avèrent être à la recherche d’emploi »,

3.- 17% de demandeurs d’emploi contrôlés « ont été remobilisés dans la recherche d’emploi suite à un entretien personnalisé »,

4.- 12% des demandeurs d’emploi contrôlés « ont été radiés de l’assurance chômage pour insuffisance de recherche d’emploi ».

Ce pourcentage se répartit ainsi : 8% de demandeurs d’emploi indemnisables par l’assurance chômage, 15% indemnisés par le régime de solidarité et 19% non indemnisés.

Parlons-en de la radiation et des sanctions Le gouvernement envisage de les redéfinir ainsi en 2019 :

– ne pas justifier la recherche effective et répétée d’emploi, sauf pour les demandeurs d’emploi de catégories D et E (en stage, en formation, en arrêt maladie ou dispensés de recherche d’emploi)

– sanction = suspension de l’allocation pendant 1 mois au premier manquement, 2 mois au second manquement, 4 mois au second manquement + privation de droits

– refuser, sans motif légitime, deux offres raisonnables d’emploi = suspension de l’allocation pendant 1 mois au premier manquement, 2 mois au second manquement, 4 mois au second manquement + privation définitive de l’allocation chômage

– refuser, sans motif légitime, toute formation ou d’aide à la recherche d’emploi proposée par les services de Pôle emploi = aucune sanction

– refuser, sans motif légitime, de répondre à toute convocation = 2 semaines de radiation

– refuser, sans motif légitime, de se soumettre à une visite médicale des services médicaux de main-d’œuvre pour vérifier l’aptitude au travail ou à certains types d’emplois = aucune sanction

– faire de fausses déclarations = 6 à 12 mois de radiation (inchangé). Le gouvernement présentera le nouveau barème, après discussion avec les partenaires sociaux.Les conseillers de Pôle emploi auront toute latitude pour appliquer ces sanctions, alors qu’aujourd’hui l’aval du préfet est nécessaire. Les autres mesures envisagées

– Mise en place d’un journal de bord numérique. Actuellement, les inscrits à Pôle emploi doivent, tous les mois, actualiser leur situation en déclarant qu’ils cherchent toujours un travail, sans être obligés de détailler leur recherche d’emploi. Dès janvier 2019, les demandeurs d’emploi devront tenir un carnet de bord numérique dans lequel ils renseigneront chaque mois leurs actes de recherche. Cet outil permettra de préparer les entretiens avec les conseillers afin de les orienter vers l’action plutôt que vers le diagnostic », explique Muriel Pénicaud.

– Dernier mot au gouvernement.

La réforme de l’assurance chômage mettra en œuvre l’engagement présidentiel visant à donner à l’État un rôle accru dans le pilotage du régime. En amont des négociations, un document de cadrage sera transmis aux partenaires sociaux, précisant la trajectoire financière à respecter et fixant, des objectifs pour l’évolution des règles de l’Assurance chômage.

« Si la convention négociée manque à ces principes, l’État pourra définir par décret les paramètres du régime », précise le gouvernement. Et les demandeurs d’emploi dans tout ça ? Rappelons que s’ils ont des obligations de plus en plus renforcées et surveillées, ils ont aussi des droits notamment sur les offres raisonnables d’emploi. C’est de saison, tout demandeur d’emploi peut partir en vacances ou en voyage jusqu’à 35 jours par an (samedis et dimanches inclus). Il doit au préalable informer Pôle emploi par internet espace personnel ou par téléphone au 39 49 s’il part plus de 7 jours. Ne pas oublier, s’il y a lieu, de prévenir son conseiller Pôle emploi pour reporter l’entretien prévu… et de régulariser sa situation par internet aux dates prévues chaque mois.

honteux

Publié à 14:02 par fandeloup Tags : chez moi sur femme nuit bébé
honteux

Elle fait une fausse couche, l’hôpital de Besançon la renvoie chez elle : « Vous n’avez qu’à le mettre à la poubelle »

Le 17 août dernier, une jeune femme enceinte de trois mois se rend aux urgences gynéco-obstétricales de Besançon après s’être réveillée, en sang, dans son lit. Plus tôt dans la nuit, de fortes douleurs abdominales l’avaient réveillée. Après plus de trois heures d’attente, elle et son compagnon sont pris en charge par une interne qui pratique une échographie.

Le diagnostic est sans appel : la future maman est victime d’une fausse couche, le fœtus est décédé dans son utérus.

Après s’être vue prescrire des antidouleurs, sans plus d’informations sur la cause de son état, la jeune femme est renvoyée chez elle.

 « Le personnel m’a précisé que je pouvais rentrer chez moi et que le fœtus sortirait tout seul petit à petit », raconte Magdalena Cocatrix au quotidien L’Est Républicain ce 26 août 2018.

À peine arrivée à son domicile, elle s’enferme dans la salle de bain et expulse le fœtus. « J’ai recueilli mon bébé dans les mains. Il mesurait environ 7 cm et était entier, formé. J’ai encore poussé 20 minutes pour rejeter le placenta. J’avais peur d’une infection et d’une hémorragie massive », explique-t-elle au journal.

Affolé, son compagnon rappelle alors les urgences en décrivant la situation, implorant la visite d’un médecin. « La personne au bout du fil m’a dit que l’hôpital n’en ferait rien et que nous n’avions qu’à le mettre à la poubelle ! », se remémore ce dernier.

C’est finalement chez son médecin généraliste, qui les reçoit alors en urgence, que le couple obtiendra l’aide et les vérifications médicales espérées.

Sollicitée par L’Est Républicain, la direction de l’hôpital de Besançon dit regretter ne pas avoir reçu « directement » le « témoignage douloureux » et invite la patiente à « prendre contact avec la direction de l’établissement dès qu’elle le souhaitera. »

L’établissement précise par ailleurs que « dès le 17 août, un rendez-vous avait été donné à Mme Cocatrix pour une consultation de suivi ce jeudi 23 août, consultation à laquelle elle s’est présentée ».

Pacifique Sud

Publié à 18:01 par fandeloup Tags : sur
Pacifique Sud

Le Pacifique Sud a de nouveau tremblé faille dans le récif autour de la Nouvelle-Calédonie

La ceinture de feu a la tremblote depuis plusieurs jours. Un séisme a secoué l'Indonésie il y a quelques jours et désormais c’est au large de la Nouvelle-Calédonie, des îles Fidji et du Vanuatu que la terre hoquette.

De magnitude 7,1, ce nouveau séisme nourrit la production de trains de vagues de 30 cm à 1 mètre de haut sans pour autant déclencher d’alerte tsunami. Si la terre tremble tant dans cette région, c’est que ces îles sont situées à la jonction de plaques tectoniques.

Rigides, ces morceaux de lithosphère flottent et se déplacent sur une couche inférieure et ductile du manteau terrestre. Au point de contact, les plaques plongent l’une sous l’autre, s’éloignent ou se rapprochent en s’entrechoquant. Au point de jonction naissent des montagnes, des volcans ou des îles comme ici, dans le Pacifique.

chasse

Publié à 09:37 par fandeloup Tags : rouge place oiseaux prix animaux nature france sur
chasse

Réforme du permis de chasse : quelles conséquences pour l’environnement ?

Les chasseurs ont obtenu la division par deux du prix du permis de chasse national.

 La réunion lundi entre Emmanuel Macron et les chasseurs a "achevé de convaincre" Nicolas Hulot de démissionner. La réforme sur la table présente en effet des risques pour la biodiversité.

ON DÉCRYPTE

Les chasseurs ont-ils eu raison de Nicolas Hulot ?

A entendre les explications de l’ex-ministre de la Transition écologique, après sa démission surprise mardi matin, c’est une réunion avec des représentants des chasseurs qui a joué le rôle de la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Organisée à l’Élysée par Emmanuel Macron, cette rencontre a débouché sur un accord favorable aux chasseurs et déjà critiqué par les défenseurs de l’environnement. Une réforme en apparence anodine mais aux conséquences pourtant très concrètes.

 

 

Un million de chasseurs en France "Anecdotique mais symptomatique" : voilà comment Nicolas Hulot a lui-même décrit, au micro de France Inter, cette réunion avec les chasseurs. "Un élément a achevé de me convaincre que ça ne fonctionne pas comme ça le devrait" et a finalement poussé le militant écologiste à démissionner du gouvernement avec fracas : "J’ai découvert la présence d’un lobbyiste qui n’était pas invité à cette réunion. C’est symptomatique de la présence des lobbys dans les cercles du pouvoir". Nicolas Hulot fait ici référence à Thierry Coste, représentant de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), puissant lobby qui a obtenu lundi de nouveaux avantages pour les 1,1 million de détenteurs du permis de chasse.

Emmanuel Macron, qui a plusieurs fois exprimé son soutien à la pratique de la chasse, a donné lundi son accord à la baisse du permis national de 400 à 200 euros. Le permis national, contrairement au permis départemental, permet de chasser sur tout le territoire. Il n'est possédé que par environ 10% du million de Français qui pratiquent la chasse chaque année, selon la FNC. Cette baisse, qui n'est pas une surprise dans la mesure où le président avait déjà donné en février son feu vert à une réflexion sur le sujet, n'est pas nécessairement une préoccupation majeure pour les défenseurs de l'environnement.

 

Une "gestion adaptative" qui fait débat

Ces derniers s'inquiètent surtout de la façon dont sera mise en place la nouvelle gestion des espèces chassables. Actuellement, la liste des espèces chassables, qui compte une soixantaine d'oiseaux et de mammifères, de la gélinotte des bois à l'oie cendrée en passant par le blaireau et le sanglier, est figée. Soit on peut chasser une espèce, soit on ne peut pas, il n’y a pas d’entre-deux. La nouvelle "gestion adaptative", dont le principe avait été retenu dans le plan biodiversité présenté en juillet par Nicolas Hulot, instaure un bilan régulier pour chaque espèce. Ce dernier repose sur un renforcement de la collecte des données sur l'état de conservation des espèces et sur les prélèvements des chasseurs. Les 5 couleuvres que Nicolas Hulot a dû avaler :

Lors de la réunion de lundi, la liste des six premières espèces qui seront concernées d'ici la fin de l'année par cette "gestion adaptative" a été annoncée, notamment les oies cendrées, les courlis cendrés et les grands tétras. Concrètement, en fonction de l’évolution de la population et de l’habitat de ces espèces, il pourra être possible d’abattre chaque année un certain nombre d’animaux chassables, au-delà des quotas aujourd’hui autorisés (et inversement, de réduire le quota).

Pour "éclairer" les décisions pour chaque espèce, un conseil scientifique doit être mis en place prochainement. Les chasseurs espèrent ainsi que certaines espèces aujourd'hui protégées, comme les cormorans qui selon eux ont proliféré ces dernières années, pourront être ajoutées à la liste. Une perspective dénoncée par les défenseurs de l'environnement qui voudraient que la nouvelle formule ne concerne que les espèces aujourd'hui chassables mais qu'ils considèrent comme en danger et dont ils voudraient réduire les quotas autorisés.

 

Les associations ne décolèrent pas

"C’est une faute politique grave. En France, on chasse 64 espèces d’oiseaux différentes. La moyenne européenne, c’est 14 espèces seulement. Est-ce qu’on va continuer à dézinguer des animaux qui agonisent ?", réagit le président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) Allain Bougrain-Dubourg, au micro d’Europe 1. "Je rappelle que la tourterelle des bois a perdu 80% de sa population et pourtant, on en abat encore 100.000 chaque année en France. Pour l’alouette des champs, c’est 500.000. Est-ce qu’on va continuer comme ça longtemps ? C’est ça la gestion de la chasse dans notre pays ?", regrette-t-il.

Allain Bougrain-Dubourg réclame notamment que parmi les 64 espèces d’oiseaux chassables, les 20 qui font partie de la liste rouge de l'Union internationale de conservation de la nature soient immédiatement protégées. De son côté, Brigitte Bardot a dénoncé, par le biais de sa fondation, "la soumission aux chasseurs" d’Emmanuel Macron et la "politique suicidaire, inadmissible, du gouvernement qui condamne la biodiversité".

Cette réforme de la chasse (un "cadeau", selon Brigitte Bardot) aurait dû passer sans faire de bruit. Mais la démission de Nicolas Hulot lui donne aujourd’hui une toute autre résonance. Le dossier est loin d’être clos puisque si le chef de l’État a donné son accord sur les premières mesures, l’intégralité de la réforme est encore à l’état d’ébauche.

interdiction

Publié à 08:39 par fandeloup Tags : douceur sur photo chevaux presse bande lecture
interdiction

Quand Macron fait du Jet-Ski dans une zone interdite à la navigation

 Photo exclusive d'Emmanuel Macron le long de la baie de la Palud.

Exclusif. En vacances au fort de Brégançon, le président de la République a enfreint un arrêté de la préfecture maritime de Méditerranée en circulant dans une réserve marine protégée.

Pour leurs vraies premières vacances présidentielles au fort de Brégançon, où une piscine démontable de 10 mètres sur 4 a été installée, les Macron ont aussi profité de la douceur des lieux pour faire des excursions en Jet-Ski et en vedette, faisant ainsi le régal de la presse people, à commencer par Voici puis Closer qui ont publié des « paparazzades » de leurs escapades.

Le savait-il ?

Comme Valeurs actuelles le révèle, le président, accompagné de son entourage, a enfreint un arrêté de la préfecture maritime de Méditerranée. L’arrêté n° 189/2017 détaille « 6 zones interdites à la navigation et au mouillage », parmi lesquelles se trouve la baie de la Palud, une réserve marine protégée, située sur l’île de Port-Cros.

Dans le détail, le mouillage et la circulation de tout bateau à moteur, et bien sûr de Jet-Ski, sont interdits dans la bande littorale des 600 mètres de la baie. La raison de cette fermeté préfectorale, « la nécessité de protéger l’environnement marin et de préserver la biodiversité dans les eaux du parc national de Port-Cros ».

La zone accueille notamment des mérous bruns, espèce faisant l’objet de mesures de protection renforcée. « Cette zone interdite est permanente », rappelle l’arrêté. Or c’est précisément devant la plage de la Palud, dans le périmètre de la réserve, à moins de 600 mètres du rivage, que notre photo exclusive a été prise, où l’on voit le président s’apprêtant à faire des pointes de vitesse à bord d’un Jet-Ski et son entourage à bord d’un bateau à moteur de 150 chevaux. Une seule exception à l’arrêté — qui prévoit des sanctions pénales — est stipulée, « aux navires et embarcations chargés de la surveillance et du secours, ainsi qu’à ceux chargés des missions de police ».

Une possible justification, liée à la protection policière dont le couple présidentiel fait l’objet, qui pourrait se révéler risquée, surtout après l’épisode Benalla.

Une illustration de la divergence de grilles de lecture sur l’écologie entre Emmanuel Macron et Nicolas Hulot, mise en avant par le ministre de l’Écologie au moment de sa démission ?

hausse

Publié à 13:18 par fandeloup Tags : photo base france chez enfants sur mode
hausse

Nette hausse du tarif moyen des "nounous"

3,18 euros/heure/enfant : voilà le tarif moyen pratiqué par les assistantes maternelles.

Du côté des baby-sitters, le tarif net moyen de garde d’enfants s’élève à 9,05 euros de l’heure.

C'est en se basant sur le profil des 92 650 profils d’assistantes maternelles inscrites sur son site que la plateforme Yoopies (1) estime ce mardi que le coût des "nounous" qui gardent les enfants chez elles -mode de garde préféré des Français- "est en réalité bien supérieur au minimum légal : il s’élève en 2018 à 3,18€/heure/enfant", soit +2,58% par rapport à 2017.

Leur salaire minimum légal s’élève en 2018 à 2,78 euros par enfant et par heure, mais elle choisissent généralement de fixer un montant supérieur.

Selon l'étude, trois régions de France sont particulièrement touchées par l'explosion des taux horaire : l’Île-de-France avec une augmentation de +5,3%, l’Occitanie à +4% et la Provence-Alpes-Côte d’Azur à +3,5%. Là encore, les écarts entre régions sont impressionnants : 66 centimes/heure de différence entre la Corse, région la plus chère à 3,68€/heure et la Normandie, région la moins chère à 3,02€/heure.

De fortes disparités entre les régions Concernant les baby-sitters (qui viennent chez vous pour garder les enfants ), qui sont 1,15 million dans la base de données du site, leurs tarifs se stabilisent tout juste au-dessus des 9€ (9,05€, +0,67% par rapport à 2017).

Là encore, les disparités entre régions restent très importantes et l'écart continue de se creuser entre les régions les plus chères et les moins chères : on observe ainsi une différence de 57 centimes par heure entre la Corse, région la plus chère (9,49€) et les Pays de la Loire, région la moins chère (8,92€).

L'année dernière, cet écart n'était "que" de 37 centimes/heure. (1) Première plateforme de garde d’enfants en Europe, basée à Paris et présente dans 10 pays.