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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Nicole Belloubet : «Une peine prononcée doit être exécutée»
Nicole Belloubet souhaite avoir « une gamme différenciée d’établissements pour accueillir les détenus ».
La ministre de la Justice, Nicole Belloubet, défend actuellement son projet loi justice, dont un important volet est consacré aux prisons. Confirmée dans ses fonctions, la garde des Sceaux nous a accordé ce mardi sa première interview post-remaniement. Juste avant de se rendre au Sénat et à l’Assemblée nationale pour y défendre son « plan prison ». A la clé : plus de places et un parc immobilier renouvelé. Vous dévoilez l’implantation des 15 000 nouvelles places de prison et la construction de nouvelles prisons. Comment en êtes-vous arrivée à cette cartographie ?
NICOLE BELLOUBET.
Le président de la République s’était engagé à construire 15 000 places supplémentaires. C’est ce que nous allons faire. Elles sont comptabilisées à partir du nombre existant à notre arrivée, soit 60 000, qui passeront donc à 75 000. Nous en livrerons 7 000 d’ici 2022, et nous lancerons le chantier de 8 000 autres, qui seront livrées d’ici 2027.
Le temps de construction d’un établissement pénitentiaire est par définition un temps long. Il faut trouver le terrain, engager une phase de concertation qui n’est pas toujours aisée. Vient ensuite un important travail d’études.
Comment avez-vous tranché ?
Ce plan est d’abord lié à une nouvelle politique des peines. Quand une peine est prononcée, elle doit être exécutée. Il pouvait y avoir jusqu’à aujourd’hui des gens condamnés à deux ans de prison, mais qui finalement ne mettent parfois jamais un pied en détention. A l’inverse, de courtes peines d’emprisonnement sont prononcées alors qu’elles sont désocialisantes. Bien sûr, ce sont les magistrats qui décident in fine, mais nous avons acté qu’au-dessus d’un an, l’incarcération soit réellement effective.
Dans le même temps, nous supprimons les peines de prison en dessous d’un mois, et nous privilégions des peines autonomes et les alternatives - comme les travaux d’intérêts généraux ou le bracelet électronique - pour les peines d’un à six mois. D’après nos études d’impact, cela fera baisser de 8 000 le nombre de détenus. Partant de là, nous avons réalisé des projections de population pénale en anticipant où elle risquait d’être la plus nombreuse. Certains élus en sont déçus, d’autres refusent cette implantation.
Comment les satisfaire ?
Nous souhaitons avoir une gamme différenciée d’établissements pour accueillir les détenus. Cela impacte l’implantation. Quand nous créons une structure d’accompagnement vers la sortie, elle doit être en contact avec des services publics. 2 500 places de ce type sont ainsi programmées. Je ne peux pas les mettre au milieu des champs sans aucune facilité d’accès à ces services. En revanche, un centre de détention pour longue peine peut être un peu plus excentré.
Je respecte par ailleurs les appréhensions de ceux qui s’y opposent. Mais avoir un parc pénitentiaire adapté dans tout le pays, c’est une responsabilité collective.
L’idée, c’est aussi d’adapter le niveau de sécurité au profil des détenus ?
C’est le cas. La gamme d’établissements pénitentiaires doit être aussi complète que possible. Et ce afin que les lieux de détention soient adaptés à la personnalité du condamné, à la nature de la peine, à la capacité de réinsertion, au stade où en est la personne dans son parcours de peine. Notre idée, c’est de ne pas avoir un modèle uniforme de prison. Nous souhaitons développer les régimes dits « de confiance », où certains détenus sélectionnés ont une relative liberté à l’intérieur de leur aile de détention, qui peut être instaurée à côté d’autres ailes au régime classique, plus sécurisées.
Comment faire pour que la prison permette de lutter contre la récidive ?
Cette lutte, c’est notre obsession. Cela passe par plus de travail en prison. Prenez Oermingen, en Alsace. On est dans un petit village, mais facile d’accès. Le taux de chômage du bassin d’emploi est faible. Les entreprises proposent du travail au sein de l’établissement, et 60 % des détenus y ont une activité professionnelle. C’est beaucoup plus qu’ailleurs. En la matière, j’entends lancer une expérimentation, avec deux ou trois établissements où le travail sera au cœur de la construction du projet. Les entreprises investiront dans la formation des détenus. Elles pourront embaucher à terme les personnes qu’elles auront formées. Restent des points noirs… Nous avons un souci concernant la prise en charge des détenus souffrant de pathologies psychiques. Nous n’avons pas suffisamment d’unités dédiées. Mais en construire ne suffit pas. Car il faut des médecins spécialisés, et ils sont trop peu nombreux. Avec la ministre de la Santé, nous travaillons à résoudre cette quadrature du cercle. Un rapport nous sera rendu sur la question en novembre. Un autre problème est celui du logement à l’issue de la peine, et notamment des longues peines. Nous allons travailler plus efficacement à le résoudre, d’autant que certains détenus libérés ne doivent pas retourner dans leur quartier, sous peine de récidiver.
Grigny : 4 mois de prison avec sursis pour une éducation à coups de ceinturon
Le couple a été jugé par le tribunal correctionnel ce mercredi.
Une mère et son compagnon, installés à Grigny, ont écopé de 4 mois de prison avec sursis, ce mercredi, pour avoir élevé leur enfant « récalcitrant » à coups de ceinturon.
De ses 6 ans à ses 11 ans, ce mineur a été fouetté aussi par des câbles électriques ou étranglé.
Les câbles du chargeur de portable et ceux de la manette de la console Xbox volaient régulièrement sur les cuisses et les bras de l’enfant. Les coups de ceinturon pleuvaient au moindre écart.
Myrthel et Alexandrine, âgés d’une trentaine d’années, les parents, ont été condamnés à 4 mois de prison avec sursis, ce mercredi par le tribunal correctionnel d’Evry pour des maltraitances régulières sur l’enfant de cette dernière.
La jeune victime a vécu un calvaire de l’entrée en CP, à l’âge de 6 ans en 2011, jusqu’à ce que la garde leur soit retirée en février 2018, lorsque des traces ont été découvertes.
Ce jour-là, Alexandrine avait étranglé son fils au point de lui planter ses ongles profondément dans le cou, lui laissant des marques et valant à l’enfant 3 jours d’ITT (Incapacité totale de travail ). Le garçon a d’abord refusé de reconnaître l’évidence. Mais il a fini par avouer face aux policiers ce qu’il subissait au quotidien.
« Comment t’a-t-on frappé », lui demande l’enquêteur. La victime répond sobrement : « Fort. » « Il est dur. Il me rigole au nez » Suivie par les services sociaux, la maman avait toujours refusé le placement de son fils. « Ce n’était pas une solution, précise-t-elle. Mais il est dur. Il me rigole au nez. Même à l’école, souvent ils m’ont appelé car ils n’arrivaient pas à le canaliser. »
Son concubin, le beau-père de la victime, reconnaît lui aussi tous les coups. « Je le prévenais, je le menaçais, et il finissait par me dire que je parlais beaucoup, alors je l’ai fouetté, giflé, souffle cet homme drapé dans des vêtements rastas. Mais il fallait le frapper. »
En CP, l’enfant a en effet déjà effectué un doigt d’honneur à sa maîtresse puis lui a fait le signe qu’il allait la tuer. « On n’est pas devant un coup isolé ou un pétage de plombs, mais bien des violences habituelles note la procureure. Les parents prennent des objets pour faire mal et blesser, on n’est pas dans un devoir de correction. »
La victime, placée en foyer ne veut aujourd’hui plus revoir sa mère qui, à la barre du tribunal finit par craquer et pleurer, rappelant qu’elle a eu ce premier enfant lorsqu’elle n’avait que 17 ans, avec un homme plus âgé.
« Mes parents ont menacé le père de mon enfant de déposer plainte contre lui et du coup se sont accaparé mon enfant, ne me permettant pas de l’élever… »
Les deux adultes devront aussi dédommager la victime de 6 000 € au titre du préjudice moral.
Hausse de 1,8% des salaires des non-cadres en 2018, la plus forte depuis cinq ans
Pour la première fois depuis 2014, la hausse des salaires des non-cadres est supérieure à celle du Smic
En moyenne, la rémunération salariée non-cadre est de 1 607 euros brut par mois. Portés par la croissance et la pénurie de certaines compétences, les salaires des non-cadres ont augmenté de 1,8 % au premier semestre 2018 contre 0,9 % un an plus tôt.
Une hausse qui intervient alors que l’inflation en France en septembre a progressé de 2, 2 %. Selon ce baromètre du Randstad, il s’agit de la plus forte progression depuis 2013.
Désormais, la rémunération moyenne d’un non-cadre atteint 1 607 euros brut contre 1 579 euros il y a un an. Pour la première fois depuis 2014, la hausse des salaires des non-cadres est supérieure à celle du Smic (+ 1,2 %) alors que les deux étaient jusque-là strictement corrélées.
Dans le détail, les ouvriers non-qualifiés, qui présentent le niveau de salaire moyen le plus bas à 1 575 euros enregistrent la seconde plus forte hausse (+ 1,9 %).
Les ouvriers qualifiés se situent dans la norme (+ 1,8 % à 1 628 euros) alors que les employés sont ceux qui bénéficient le moins de la tendance haussière (+ 1,4 % à 1 588 euros).
Cette progression des salaires est aussi différente selon les secteurs : avec une hausse de 2,2 % dans l’industrie à 1 612 euros, une progression de 1,5 % dans la construction à 1 616 euros et + 1,4 % dans les services à 1 577 euros. Selon l’Insee, la France comptait en 2017 environ 19,8 millions de salariés non-cadres, soit 80,1 % de la population active salariée.
Cela regroupe 5,6 millions d’ouvriers (qualifiés et non-qualifiés), 7,3 millions d’employés et 6,9 millions de professions intermédiaires. Cette étude repose sur l’analyse de plus de 1,4 million de fiches de paie de personnes employées au premier semestre 2018 comme intérimaires et rémunérées au même niveau qu’un salarié titulaire, comme le prévoit la loi.
Un rapport propose que les pharmaciens soignent les petits bobos
Le rapport propose notamment la « généralisation » de la vaccination par les pharmaciens. (Illustration) LP/Benjamin Jérôme Un rapport, rendu ce lundi soir à la ministre de la Santé, propose plusieurs pistes pour l’égalité de l’accès aux soins et mettre de l’huile dans un système grippé. Commandé il y a un an exactement, le rapport fait 70 pages et, depuis ce lundi, 18 heures, il est sur le bureau de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, avec ses 44 propositions pour améliorer l’égal accès aux soins des Français.
Un grand dépoussiérage qui va de mesures favorisant le travail entre tous les professionnels de santé à la formation des médecins à la gestion d’entreprise, en passant par la promotion des nouvelles technologies, dont la télémédecine, l’allègement des tâches administratives… Le rapport des délégués nationaux à l’accès aux soins, les docteurs Sophie Augros et Thomas Mesnier, aussi député LREM de Charente, et de la sénatrice UDI de la Mayenne Élisabeth Doineau, nommés en octobre 2017, s’évertue à faire remonter du terrain les « verrous » et des « solutions pragmatiques de terrain ».
8,6 % de Français sans médecin traitant La plus surprenante part du constat que nous allons encore manquer de médecins généralistes « jusqu’en 2025 au moins » et qu’il faut d’ici là répondre au mieux à la demande. « L’assurance maladie estime que 8,6 % des assurés de plus de 16 ans n’ont pas de médecin traitant aujourd’hui, résume le rapport, que nous avons pu consulter. 75 caisses primaires d’assurance maladie identifient des difficultés dans ce domaine sur leur territoire. »
Un panier de soins pour les pharmaciens Pour faire face à cet effet de la désertification et soulager les médecins en activité, les délégués n’y vont pas par quatre chemins : « Nous proposons de remettre sur le tapis la question de la délégation de tâches avec les pharmaciens, explique Thomas Mesnier. La possibilité de vacciner va être généralisée dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2019, nous pensons qu’il faut maintenant aller plus loin. Par exemple, définir un panier de soins de base pour lesquels le pharmacien pourrait fournir les premiers traitements. On pourrait y mettre le mal de gorge, qui pousse certains patients à aller inutilement aux urgences, les infections urinaires débutantes, les allergies saisonnières pour lesquelles le patient prend chaque année le même médicament… »
Mais avant d’en arriver là, le député et ses collègues suggèrent « d’établir un protocole avec les médecins du territoire ». « On trouve déjà ce genre de délégations de tâches en Suisse, au Canada, souligne Thomas Mesnier. Pour soigner un mal de gorge, on n’a pas besoin d’avoir fait dix ans de médecine. » Un décloisonnement fort, qui risque de contrarier une certaine frange des médecins libéraux attachés à leurs missions. Des cours communs à la fac Pour favoriser cet esprit de collaboration, le rapport suggère par ailleurs de faire se rencontrer les différents acteurs de santé, dès la faculté, « en organisant quelques cours communs aux médecins, pharmaciens, infirmiers… qui leur permettraient de mieux se connaître, de se parler… ».
Deux propositions très sérieuses que le député et délégué à l’accès à la santé n’exclut pas de porter sous forme d’amendement, lors du débat sur la loi Santé 2022 discutée au Parlement, au premier trimestre 2019. Faciliter les stages en zones sous-dotées Nommés il y a un an exactement par Édouard Philippe et Agnès Buzyn, les « délégués nationaux à l’accès aux soins » proposent, ce n’est pas nouveau, de faciliter les stages des étudiants en médecine dans les territoires sous-dotés en médecins.
« Pour cela, résument-ils, il faut de bonnes conditions matérielles d’accueil et ça n’est pas toujours le cas. » D’où l’idée de favoriser la création d’internats ruraux pour réduire les frais de déplacement des étudiants. « En discutant avec les jeunes médecins, on s’aperçoit que beaucoup y sont allés à reculons et finalement y sont restés », rapporte Thomas Mesnier. Premiers effets concrets du plan d’accès aux soins Enfin, les délégués nationaux ont évalué la mise en place des premières mesures du plan d’accès aux soins, présenté à l’automne 2017.
Dans ce bilan d’étape, ils se félicitent que 2800 bourses d’étude ont été accordées à des étudiants en médecine et odontologie (en échange d’un engagement à s’installer en zone sous-dense). Et près de 400 jeunes médecins ont pu par ailleurs bénéficier du contrat d’aide à l’installation. Des avancées indéniables, mais il reste beaucoup à faire pour que le patient accède, enfin, normalement et partout, à des soins légitimes.
Arrêts maladie : le Medef veut un renforcement des contrôles
Geoffroy Roux de Bézieux demande un contrôle systématique au 4e arrêt maladie prescrit. LP/Delphine Goldsztejn Les dépenses des arrêts maladie ont augmenté de 19 % entre 2010 et 2017.
Pour maîtriser le coût des indemnisations des arrêts maladie, Geoffroy Roux de Bézieux, le patron du Medef, demande le renforcement des contrôles de l’Assurance maladie. Début septembre, Édouard Philippe, le Premier ministre, avait demandé une évaluation de la hausse de 4 % des arrêts de travail.
Selon lui, les dépenses d’arrêt maladie ont augmenté de 19 % entre 2010 et 2017 ce qui représente 1,1 milliard d'euros de plus sur la période. Dans le même temps, les recettes des cotisations employeurs et salariés ont grimpé de 31 %.
« On ne réglera pas le problème par une simple mesure budgétaire, ni en accusant les entreprises de mettre trop de pression sur leurs employés, les médecins de prescrire des arrêts injustifiés ou encore les salariés de profiter indûment du système », estime le président de l’organisation patronale dans Le Figaro.
Un contrôle systématique au 4e arrêt prescrit Selon lui, « l’Assurance maladie doit d’abord faire respecter la loi auprès des assurés sociaux » en s’assurant du respect de leurs obligations, mais « devrait aussi renforcer les contrôles avec une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. »
Geoffroy Roux de Bézieux suggère « un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit » ou la valorisation du « dispositif de la contre-visite médicale à l’initiative de l’employeur. » Pointant aussi la disparité des durées d’arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux estime « utile d’établir des référentiels de durées d’arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé. »
Sur la question d’imposer un jour de carence aux salariés du secteur privé, le patron du Medef reste ouvert. « Il n’y a pas de raison que les fonctionnaires aient un jour de carence non rémunéré alors que, pour la majorité des salariés du privé, les jours de carence sont en réalité payés car l’entreprise ou la mutuelle compensent », reconnait-il.
Ils perdent leurs triplés, la Sécu leur réclame 845,25 €
Durement touchés par le sort, Mégane Baltes et son compagnon Pierrick Stryczek doivent, en plus, faire face à une administration tatillonne.
C'est une épreuve qui s'ajoute au deuil : en décembre dernier, Mégane Baltes et son compagnon Pierrick Stryczek perdent leurs triplées, à cinq mois de grossesse. Moins d'un mois plus tard, la Caisse primaire d'assurance maladie se manifeste. Elle réclame 845€ de trop-perçu au couple chalonnais, précise notre confrère du Journal de Saône-et-Loire.
Selon la CPAM, Mégane a bénéficié d'indemnités journalières au titre de la maternité alors qu'elle aurait dû être indemnisée au titre de la maladie.
Rendez-vous au tribunal "Selon eux, j’ai accouché un jour trop tôt, s'emporte la jeune femme . Je considère ça comme une injustice totale !" Mégane a contesté la décision de la CPAM et le litige sera tranché par le tribunal des affaires de la Sécurité sociale (Tass). La CPAM de son côté a reconnu une "maladresse".
Un ancien élève fait au moins 18 morts dans un collège de Crimée
Une victime de l’attaque est prise en charge. AFP/Kerch. FM Les victimes auraient été tuées par balles après qu’une explosion est survenue. Au moins 18 personnes sont mortes et une quarantaine ont été blessées dans une attaque survenue ce mercredi, en Crimée, dans un collège technique.
Les victimes sont en majorité des adolescents. Les enquêteurs ont annoncé qu’elles ont été tuées par balles. Une explosion a été causée par un « engin non identifié », selon les autorités locales.
L’auteur de l’attentat est un « ancien élève », habitant la ville de Kertch. Il s’est « suicidé », a déclaré le Premier ministre de la péninsule, Sergueï Aksionov. Des ambulances de fortune « Selon les informations préliminaires, un engin explosif bourré d’objets métalliques a été déclenché dans la cantine du collège polytechnique de Kertch », a indiqué le Comité d’enquête russe, chargé des grandes affaires criminelles dans le pays.
L’explosion s’est produite en fin de matinée dans cette ville portuaire de la péninsule de Crimée, annexée en 2014 par la Russie au détriment de l’Ukraine. Des victimes ont été évacuées dans des ambulances de fortune. Elles « ont été emmenées dans des transports en commun, dans des bus, en ambulance. Ce sont des enfants et des employés », a déclaré à une télévision locale un homme au tee-shirt couvert de sang, qui a aussi fait état « des coups de feu ».
Trois jours de deuil Alors que les premières réactions des autorités, citées par les agences de presse russes, indiquaient que toutes les versions étaient étudiées, notamment une explosion due au gaz, la version d’un acte préméditée a rapidement été avancée.
Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, la présidence russe, a déclaré aux journalistes que la piste du terrorisme est « considérée » et le président russe, Vladimir Poutine, a présenté ses condoléances aux proches des victimes. L’armée russe a décidé d’envoyer 200 militaires. Le Premier ministre Sergueï Aksionov a, quant à lui, décrété trois jours de deuil dans la péninsule.
Circulation : les péages urbains bientôt autorisés ?
Les grandes villes pourraient, comme à Milan (ici en photo ), instaurer un péage urbain pour limiter la circulation et en réduire l’impact environnemental. Le Parisien Le projet de loi d’orientation des mobilités qui sera bientôt présenté en conseil des ministres prévoit la possibilité pour les communes d’instaurer un péage urbain.
Après la hausse des carburants, les automobilistes risquent de devoir mettre une fois de plus la main au porte-monnaie. Le projet de loi d’orientation des mobilités qui doit être présenté le mois prochain en Conseil des ministres et au printemps au Parlement prévoit en effet la possibilité pour les communes de plus de 100 000 habitants de mettre en place des péages urbains, révèle le journal en ligne Contexte. Cette mesure figure dans l’avant-projet de loi qui a été transmis ces derniers jours au Conseil d’Etat.
Le gouvernement compte bien donner aux grandes villes la possibilité d’instaurer des péages urbains. D’après Contexte, les villes vont pouvoir instaurer un « tarif de congestion » dont l’objectif est de « limiter la circulation automobile et lutter contre la pollution et les nuisances environnementales. » Selon ce texte, le montant de ce péage « est déterminé de manière forfaitaire pour chaque entrée dans la zone soumise au tarif. Pour les véhicules légers, ce montant est au plus égal à 2,50 euros. »
Pour les autres véhicules, le tarif peut être jusqu’à quatre fois plus élevé. Pécresse y est opposée Pour les communes de plus de 500 000 habitants comme Paris, Marseille ou Lyon, les montants pourraient être multipliés par deux, soit 5 euros pour une voiture et 20 euros pour un camion. Les création de ces péages seront décidées par les villes ou par les communautés de communes et par la région en Ile-de-France.
Très détaillé, ce projet prévoit les dispositions pour pouvoir instaurer des tarifs réduits mais aussi la gratuité pour les « véhicules d’intérêt général » ou assurant « un service public de transport ». Concrètement, les communes ne vont pas installer des barrières de péage à l’entrée des villes mais un système de téléservice qui enregistre tous les passages avant d’envoyer la facture en fin de mois.
Au mois de janvier, Elisabeth Borne, la ministre des Transports, s’était dit favorable à ce type de mesures déjà mis en place à Londres ou Milan. De son côté, Valérie Pécresse, la présidente de région Ile-de-France, a déjà marqué son opposition. « Je suis résolument contre. Cela couperait la région en deux en accroissant la fracture sociale et territoriale. Il y aurait d’un côté les Parisiens et métropolitains les plus riches.
Et puis les autres, notamment les Franciliens les plus défavorisés. Ils sont déjà discriminés car ils ont souvent des véhicules anciens et n’ont pas la bonne vignette Crit’Air pour circuler dans Paris. Ce péage renforcerait leur sentiment d’exclusion », affirmait-elle il y a un an dans nos colonnes.
Interdire la chasse en France le week-end Pétition :
Pétition adressée à tous les citoyens Pourquoi privilégier la chasse aux sorties familiales en forêt le week-end ?
Qui n’a pas la peur au ventre lors d’une simple ballade en forêt alors que la chasse est ouverte ?
Les chasseurs ne sont pas les seuls à pouvoir jouir de notre patrimoine naturel. Est-il seulement nécessaire de chasser encore de nos jours ? Les accidents sont fréquents et souvent aboutissent à la mort sans aucune chance. Les balles perdues sont un fait et non pas une légende !
Pour une poignée de « passionnés », le reste de la population se voit interdire de se ressourcer et de profiter des plaisirs de nos forêts ! Où commence et où s’arrête la liberté individuelle ?
https://www.mesopinions.com/fr
Les paroles de la veuve ""Nos loisirs ne mettent pas la vie d'autrui en danger. Les chasseurs si !".
Quel être ignoble pourrait se planter devant cette dame et lui rétorquer droit dans les yeux, que son mari a été abattu pour de la pseudo-régulation??
On sait que le chasseur a un ego surdimensionné mais de là, à se prendre pour dieu ?
Elle interpelle Emmanuel Macron et les chasseurs sur Facebook, après un nouvel accident samedi. Son message est devenu viral. "Nos loisirs ne mettent pas la vie d'autrui en danger. Les chasseurs si !".
Le message, écrit lundi par la veuve d'un homme tué par un chasseur en 2013, en Haute-Savoie, a été partagé plusieurs dizaines de milliers de fois sur Facebook. Après la mort, samedi dernier, d'un cycliste de 34 ans, tué lui aussi en Haute-Savoie par un tir de chasseur, Mélanie Lavy Guedon a décidé d'interpeller l'ensemble des chasseurs, et le président de la République.
Mesures de sécurité insuffisante Elle déplore notamment l'"insuffisance" des mesures de sécurité complémentaires prises dans le département après la mort de son mari "d'une balle en pleine tête" alors qu'ils se trouvaient "tous les 2 sur des sentiers balisés". "Il semble également qu'un vttiste soit assez identifiable, avec son vélo...", cingle cette femme dans son message. "Lui aussi aimait la nature, lui aussi était heureux certainement ce jour-là de pratiquer son sport mais il est mort tué par un chasseur qui pratiquait lui aussi son loisir...", écrit-elle.
Accident de chasse : "Mon mari a été tué d'une balle en pleine figure" Le jeune homme tué samedi a été touché d'une balle dans la poitrine. "Il s'agit de munitions de guerre, type kalachnikov, autorisées depuis 2013", a déclaré le parquet lundi, selon Le Dauphiné.
Le procureur de la République Philippe Toccaniera également affirmé que "la visibilité était totale" au moment de l'accident. Critique des choix politiques Mélanie Lavy Guedon s'en prend surtout, aux dispositions légales qui encadrent la pratique de la chasse. Elle interpelle directement Emmanuel Macron sur sa décision, début septembre, de diviser le prix du permis de chasse par deux, "sans aucune contrepartie au niveau de notre sécurité et de notre liberté".
"Comment cela est possible quand n'importe qui peut passer et obtenir son permis de chasse, sans encadrement, sans tutorat, sans zone clairement délimitée, sans jour et heures délimités le week-end, sans contrôle, sans sanction ?", lance encore l'auteure du message, avant de conclure : "Combien de morts faudra-t-il pour que vous décidiez de mettre des vraies mesures en place ?".