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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Audric, 4 ans, était mort après une opération des amygdales
La clinique avait autorisé la sortie d’Audric Chassaing, 4 ans, après une opération des amygdales.
Une clinique de Vichy est jugée ce jeudi pour homicide involontaire.
L’établissement conteste toute faute.
Le tribunal de Cusset (Allier) va examiner une affaire douloureuse ce jeudi après-midi : la mort d’un enfant de 4 ans.
Le petit Audric est décédé le 25 octobre 2012, le lendemain de son opération des amygdales à la clinique La Pergola à Vichy.
Cet établissement est poursuivi, en tant que personne morale, pour homicide involontaire. Il lui est essentiellement reproché d’avoir laissé sortir trop tôt le tout jeune patient, et le fait de ne pas avoir possédé à l’époque de brassard pour prendre la tension adaptés aux enfants.
La clinique conteste toute faute, mais sera l’unique prévenu. Le chirurgien, qui avait été mis en examen le 30 janvier 2015, est en effet décédé pendant l’instruction, en juillet 2015.
Le jeune garçon - en parfaite santé avant l’opération - a été victime d’une « hémorragie cataclysmique » au niveau du foyer opératoire, survenue le lendemain de l’intervention.
« Il existait des complications postopératoires réelles, pouvant correspondre au risque hémorragique largement connu de la communauté médicale. Ce risque exigeait une surveillance toute particulière du patient Audric », ont estimé les juges d’instruction.
« En laissant sortir ce gamin, on a signé son arrêt de mort »
Insistant sur le défaut de brassard tensionnels appropriés, ils ajoutent dans leur ordonnance de renvoi : « L’absence de vérification artérielle a occulté toute possibilité de découvrir une éventuelle anomalie qui dans cette hypothèse aurait retardé la sortie de l’enfant. » L
’avocat des parents de l’enfant en tire une conclusion plus radicale.
« En laissant sortir ce gamin dans ces circonstances, on a signé son arrêt de mort », estime Me Gilles-Jean Portejoie, qui avait bataillé pour obtenir un procès même après les réquisitions de non-lieu prises par le procureur. De son côté, la clinique a admis l’absence de brassards adaptés aux enfants , un matériel rapidement acquis après le drame. Mais elle conteste tout manquement ayant entraîné la mort d’Audric et tout lien - même indirect - entre la sortie de la clinique et la survenue du décès.
Les Parisiens peuvent désormais échanger leur HLM en un clic
La ville lance la plate-forme d’échange de HLM. Ce mercredi matin chez Paris Habitat, Stéphane Dauphin, son DG, jette un dernier coup d’œil sur le site.
La ville vient de lancer une plate-forme d’échange des logements sociaux à destination de ses locataires, une première à Paris.
« C’est une petite révolution », s’est réjoui ce jeudi Stéphane Dauphin, le patron de Paris Habitat, dans un monde pourtant encore verrouillé et opaque du logement social parisien. Depuis ce jeudi, les locataires HLM peuvent faire affaire entre eux. Ils peuvent échanger leur appartement directement, sans passer (ou presque) par le bailleur, en se connectant sur la plate-forme echangerhabiter.fr.
Le locataire (déjà dans le parc social) s’inscrit avec son numéro sur le site parce qu’il a besoin d’un logement plus petit, plus grand ou ailleurs. Il remplit les critères (taille du logement, loyer, emplacement géographique, etc) et reçoit les annonces d’autres locataires avec qui l’échange est envisageable.
Si tout correspond, en fin de course , le bailleur valide. Tous les types de HLM sont concernés : les moins chers comme les logements intermédiaires de type PLI ou encore les logements non conventionnés.
Le dispositif n’est pas réservé en interne à un seul bailleur social : il est valable entre les locataires de 12 des 35 bailleurs sociaux franciliens (voir les chiffres ci-dessous).
Ce mercredi, la fine fleur du HLM francilien s’est donné rendez-vous au siège de Paris Habitat, rue Broca (Ve) pour le lancement de cette nouvelle bourse d’échange sur internet : grands bailleurs franciliens, dont Paris Habitat, la RIVP, Elogie Siemp, élus dont Ian Brossat, l’adjoint de Paris en charge du logement, représentants de l’AORIF (Union sociale pour l’habitat d’Ile-de-France), associations de locataires, presse, institutionnels…
« C’est une très bonne nouvelle, s’est félicité Jean-Jacques Anding, représentant les locataires au titre de la CLCV (l’une des plus importantes associations qui défend les locataires de HLM). Ça fait longtemps qu’on attendait ça ».
La nouvelle plate-forme devrait mettre fin à des situations ubuesques comme cette retraitée, locataire de Paris Habitat, veuve, dont les enfants sont partis du foyer et qui seule dans son 90 m2 n’
arrivait pas à échanger son appartement familial contre un petit deux-pièces. « Le bailleur ne me proposait que des trucs moches et inadaptés », regrettait-elle. Conséquence de cette fin de non-recevoir, la septuagénaire avait jeté l’éponge, louant l’une de ses chambres « au black », pour faire face au loyer, au grand dam des bailleurs et tandis que 126 000 demandeurs de logement social attendent désespérément.
Cette bourse d’échange n’est pas une première… « Elles ont déjà été mises en place, avec succès, à Montreuil (Seine-Saint-Denis) et en Savoie », précise-t-on chez Paris Habitat. Echanger Habiter devrait garantir la confidentialité des locataires.
« C’est un outil interlocataires, promet Louis-Valere Marielle, de l’Aorif (association des organismes de logement social d’Ile-de-France). Les bailleurs n’auront pas la main sur la messagerie privée même si on vérifiera quand même les annonces, pour voir si elles sont conformes, notamment les photos ». Pour l’instant, Echanger Habiter ne s’adresse qu’aux Parisiens. Au printemps 2019, le site sera élargi au reste de l’Ile-de-France.
En chiffres 224 000. C’est le nombre de logements potentiellement concernés par la bourse d’échanges, propriété des bailleurs participants. 230 285. C’est le nombre de logements sociaux à Paris (fin 2016 selon la dernière étude de l’Apur). Ça représente 20 % du parc des résidences principales dans la capitale. 12. C’est le nombre de bailleurs sur les 35 (en Île-de-France) qui participent à la bourse. Ce sont les plus gros bailleurs, qui totalisent à eux seuls 95% du parc HLM. Paris Habitat est le plus gros, suivi de la RIVP. 40 %.
C’est le pourcentage de logements sociaux dans le XIXe arrondissement pour les habitations principales. C’est l’arrondissement qui en compte le plus devant le XIIIe, le XXe, le XIVe et le XVIIIe. 126 000. C’est le nombre de Parisiens qui sont en attente d’attribution d’un logement social et qui ont coché la capitale en premier choix. Un demandeur sur cinq est déjà locataire dans un HLM.
1200 caméras vont traquer les mauvais conducteurs à Paris
L’unité de vidéoverbalisation, dans les sous-sols de la préfecture de police (IVe), continuera à travailler en partenariat avec l’unité que va créer la Ville.
Ce jeudi, la Ville de Paris va présenter son dispositif de vidéoverbalisation des infractions routières.Une vingtaine d’agents seront derrière les écrans. La sécurité est l’affaire de tous.
Les accidents sont bien trop nombreux pour les piétons, les cyclistes et les deux-roues. Les bouchons ne se résorbent pas. Bilan, en collaboration avec la préfecture de police, la Ville de Paris va présenter ce jeudi, dans un lieu du IVe arrondissement tenu secret pour des raisons de sécurité, son nouveau dispositif de vidéoverbalisation.
- Une vingtaine d’agents assermentés de la mairie devrait constituer ce nouveau service. Lors des phases de test, ils ont dressé près de 200 PV quotidiennement !
Attention à votre portefeuille et surtout à vos points donc votre permis. Si vous bloquez un carrefour, c’est 135 € d’amende
Parmi les nouveautés verbalisables par vidéo, il y a notamment le refus de priorité à un piéton. Si vous êtes pris la main dans le sac, ou plutôt le pied sur l’accélérateur en train d’empêcher une personne de traverser sur un passage protégé, il vous en coûtera 6 points. Après deux refus, vous n’avez tout simplement plus de permis de conduire.
Autre nouvelle infraction, si vous vous engagez dans un carrefour mais que vous ne pouvez pas le franchir et que vous bloquez la circulation, il sera possible de dresser, via la vidéo, un PV de… 135 €.
Mais comment tout cela va-t-il fonctionner ?
La préfecture de police, qui officie déjà dans ce domaine depuis 2013, va conserver son unité dédiée dans laquelle 22 fonctionnaires de police travaillent. Mais elle va mettre à disposition de la Ville les quelque 1 200 caméras de son réseau.
Pour éviter les doublons, policiers et agents municipaux se partageront les infractions.
Les ASP (agents de surveillance de Paris) auront deux écrans. Un pour constater l’infraction et le second pour rédiger immédiatement le procès-verbal qui arrivera ensuite chez vous. Après la réforme du stationnement et ça manne financière, voilà une nouvelle source de revenus pour la Ville.
REPÈRES* 1.
La circulation sur les voies réservées occupe la première place des infractions verbalisées devant le stationnement et le non-respect des feux rouge. 56 %.
L’augmentation des infractions sur les huit premiers mois de l’année. 1 200.
Les caméras qui scrutent les voies parisiennes. 78663.
Les infractions constatées depuis le 1er janvier 2018. 317 063.
Les procès-verbaux dressés depuis 2013 par l’Unité de vidéo verbalisation de la préfecture de police.
*Source préfecture de police
Tsunami et séisme en Indonésie : le bilan empire encore
La violence du tsunami a propulsé ce ferry au milieu des terres. AFP/Jewel Samad Le dernière estimation du nombre de victimes est d’environ 1 400. Un bilan sans cesse réévalué à la hausse.
Près de 1 400 personnes ont péri dans le séisme suivi d'un tsunami, vendredi dernier, sur l'archipel indonésien des Célèbes, selon un dernier bilan. Le nombre de victimes augmentera encore.
«Le bilan est désormais de 1 374 morts et 113 blessés», a annoncé le directeur de l'agence indonésienne de gestion des catastrophes naturelles.
«Il y a toujours quelques corps piégés sous les décombres. Nous ignorons combien. Notre priorité reste de trouver et sauver des gens».
Les autorités anticipent une aggravation du bilan à mesure que les secours progresseront dans les zones qui demeurent hors d'atteinte. De grands besoins en eau et nourriture. Près de 200 000 personnes, parmi lesquelles des dizaines de milliers d'enfants, ont également besoin d’une aide humanitaire d'urgence, selon l’Ocha, le bureau de coordination des affaires humanitaires de l'Onu (Organisation des Nations unies).
On estime à 66 000 le nombre de logements qui ont été détruits par la secousse de magnitude 7,5 et le raz-de-marée. Les survivants ont faim et soif en raison d'un manque d'eau potable et de nourriture, et les autorités sont dépassées par le nombre de blessés à traiter.
A Palu, ville ravagée par la vague géante, des gaz lacrymogènes ont été utilisés contre des pilleurs. Des problèmes sanitaires. Sur place, une autre difficulté apparaît : dans le climat équatorial chaud et humide qui prévaut en Indonésie, la décomposition est accélérée et fournit un terrain propice aux maladies. Les installations sanitaires sont par ailleurs un problème de plus en plus grave. «Partout, les gens veulent aller aux toilettes mais il n'y en a pas.
Alors il faut faire ses besoins de nuit, au bord de la route», témoigne un habitant, Armawati Yarmin, 50 ans. Aide internationale d’urgence. Face à cette situation, le gouvernement indonésien, bien qu’expérimenté dans «la gestion des catastrophes naturelles», d’après un responsable de l’Onu, a accepté l’aide internationale. Le Fonds central d'intervention d'urgence de l'Onu a débloqué 15 millions de dollars (environ 13 millions d’euros).
Un volcan en éruption.
Le volcan Soputan, situé au nord-est de l’île, à un millier de kilomètres de Palu, est entré en éruption mercredi. Il crachait un nuage de cendres volcaniques de 4.000 mètres de hauteur, mais ne présentait pas de risque pour la population, selon les autorités locales
. « Les gens doivent rester calmes, rester à plus de 4 km du cratère et porter un masque », a indiqué l'agence de gestion des situations d'urgence, précisant que la population « n'a pas besoin d'évacuer pour l'instant ». Les images diffusées montraient une colonne de fumée en forme de champignon visible des kilomètres à la ronde.
Démission de Collomb : déjà sept départs du gouvernement depuis 15 mois
7 ministres ont démissionné ou quitté le gouvernment depuis mai 2017 Elysée Gérard Collomb, qui a répété mardi sa volonté de démissionner du ministère de l’Intérieur, est le septième ministre à quitter le gouvernement depuis le début de la présidence Macron. Le départ du ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, va venir allonger la longue liste des ministres démissionnaires du gouvernement Macron. Depuis 15 mois, sept ministres ont déjà claqué la porte, contraints ou non. Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur.
Le ministre de l’Intérieur a rappelé ce mardi sa « proposition de démission », refusée une première fois pour Emmanuel Macron. Si elle n’a pas été acceptée officiellement par l’exécutif, au gouvernement, on cherche activement son successeur. Gérard Collomb, fidèle du président, a décidé quitter son maroquin afin de se représenter à la mairie de Lyon.
- Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur démissionnaire.
Corsan Laura Flessel, ministre des Sports. Ministre populaire du gouvernement, Laura Flessel a annoncé son départ le 4 septembre dernier pour des « raisons personnelles ».
Si officiellement elle avait déclaré vouloir renouer avec « des engagements passés, justement tournés vers l’humain, la solidarité et la coopération internationale », l’ancienne championne olympique d’escrime aurait en fait été contrainte au départ « pour des raisons liées à sa situation fiscale », le litige concernant la société de droits à l’image dont son mari était gérant.
C’est la championne de natation Roxana Maracineanu qui a pris sa succession.
- Laura Flessel, ancienne ministre des Sports
Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique. En désaccord avec la politique d’Emmanuel Macron sur l’écologie, Nicolas Hulot a pris tout le monde de court le 28 août dernier en annonçant son départ en direct sur l’antenne de France Inter.
« Je ne veux pas donner l’illusion que ma présence au gouvernement signifie qu’on est à la hauteur », avait-il justifié. François de Rugy le remplace à ce poste le 4 septembre.
- Nicolas Hulot, ancien ministre de l’Ecologie François Bayrou, ministre de la Justice. Mis en cause dans l’affaire des emplois fictifs au MoDem, nommé depuis seulement quelques semaines, François Bayrou quitte le gouvernement en juin 2017.
« Cette situation exposait le président de la République et le gouvernement. […] je choisis de ne pas exposer à des campagnes mensongères le gouvernement et le président de la République que je soutiens », avait-il déclaré lors d’une conférence de presse.
- François Bayrou, ancien ministre de la Justice. Corsan Marielle de Sarnez, ministre des Affaires européennes. Egalement visée par une enquête préliminaire sur les assistants parlementaires des eurodéputés du MoDem, Marielle de Sarnez a lâché son portefeuille de ministre en juin 2017.
- Marielle de Sarnez, ancienne ministre des Affaires étrangères.
Sylvie Goulard, ministre des Armées.Chantre de l’Europe et de la coopération franco-allemande, Sylvie Goulard a renoncé à ses fonctions en juin 2017, un mois seulement après sa nomination, également emportée par l’affaire des assistants parlementaires du MoDem.
« Dans l’hypothèse où l’enquête préliminaire visant le MoDem conduirait à vérifier les conditions d’emploi de mes assistants au Parlement européen, je souhaite être en mesure de démontrer librement ma bonne foi et tout le travail que j’y ai accompli », avait-elle écrit. Sylvie Goulard avait pris la succession de Jean-Yves Le Drian.
- Sylvie Goulard, ancienne ministre des Armées.
Journois Richard Ferrand, ministre de la Cohésion des territoires. A la demande d’Emmanuel Macron, Richard Ferrand a quitté en juin 2017 ses fonctions de ministre pour la présidence de la République en Marche à l’Assemblée nationale. Le désormais président du perchoir était à l’époque empêtré dans une affaire immobilière à l’éthique douteuse. Le Canard Enchaîné avait révélé qu’en 2011, les Mutuelles de Bretagne, organisme privé dont Ferrand était le directeur général, avaient conclu un bail avec SCI de la compagne de celui-ci, Sandrine Doucen. Pour un local qu’elle n’avait pas encore acquis.
Le Parisien a retrouvé un ancien cliché du braqueur qui a croisé la route du chef de l’État, Emmanuel Macron, samedi, à Saint-Martin.
Avant son incarcération en février 2015, il fanfaronnait déjà. Même débardeur blanc, même provocation avec les doigts. Nous avons retrouvé un cliché sur lequel fanfaronne le jeune braqueur qui a croisé, en compagnie de son cousin, la route du président de la République Emmanuel Macron, samedi, lors de sa visite à Saint-Martin (Antilles françaises).
Des selfies pris par les deux cousins aux côtés du chef d’État, et diffusés sur les réseaux sociaux, ont créé la polémique. Cette fois, nous sommes en février 2015, Reaulf Fleming, dit « Raul », tout juste majeur, vient d’être interpellé à Saint-Martin pour braquage.
Le voyou qui porte en réalité des menottes aux poignets est sur le point d’être placé en détention provisoire. Il demande alors aux policiers qui l’ont arrêté d’immortaliser la scène. Le braqueur sera condamné en avril 2015 à 5 ans de prison ferme.
Il venait de sortir récemment de détention lorsque le chef de l’État l’a rencontré, ce week-end, préconisant au jeune homme d’arrêter « les bêtises » et de s’atteler à la reconstruction de l’île ravagée par l’ouragan Irma. Un proche contrôle le marché de la cocaïne
« Le président a dit qu’il allait m’aider à trouver du travail et aider ma mère malade », a confié Reaulf Fleming, au Parisien, lundi. Selon lui, le chef d’État lui aurait apporté une « grande motivation ».
« Il m’a donné envie de sortir de cette île. J’aimerais travailler dans la plomberie. »
Un véritable défi pour ce jeune braqueur dont un proche serait, selon nos informations, le chef du gang armé contrôlant le marché de la cocaïne en provenance de Guyane. Alors que sa cote de popularité ne cesse de chuter dans les sondages, Emmanuel Macron a suscité la polémique en acceptant d’être pris en photo avec le jeune homme et son cousin, torse nu, en train de faire un doigt d’honneur.
« J’aime chaque enfant de la République, quelles que soient ses bêtises, parce que bien souvent, il n’a pas choisi l’endroit où il est né, et il n’a pas eu la chance de ne pas en faire », a-t-il déclaré.
Balancer les gens dans leur lit n’est pas ma politique , s’indigne un soignant en EHPAD
Ce témoignage révoltant d’un aide-soignant en EHPAD nous a été adressé après la publication de celui de Zam, aide-soignante et illustratrice.
A l’instar du reportage d’Elise Lucet, il vient confirmer qu’il ne s’agit pas de situations isolées mais que le néolibéralisme à la sauce Macron est synonyme de mépris pour les personnes âgées.
Voici son témoignage :
Je suis aide-soignant au sein d’un EHPAD associatif. Nous avons la chance de tout mettre en œuvre pour le bien-être de nos résidents. Cependant, la triste réalité revient au galop. Le matin, nous devons finir à tout prix nos accompagnements avant 10h30 pour les transmissions. Une heure que je ne comprends pas, puisque le principe même des transmissions est de communiquer lors du changement d’équipe à 6h, 14h et 21h.
Nous nous sommes battus pour changer cet horaire mais notre direction a refusé de le décaler sous prétexte que certaines filles prenaient des pauses le matin. Enfin bref. Nous devons en moyenne aider 30 résidents par étage et aider au petit-déjeuner alors que nous ne sommes que deux ou trois soignants par étage. Et je ne vous parle pas des week-ends où nous sommes en effectif réduit.
Lorsque nous sommes du soir, après 20 heures nous nous retrouvons à deux soignants seulement. Ce qui veut dire que nous faisons tous les transferts de la salle de restauration à deux, soit un peu plus de 30 résidents chacun. Et nous devons coucher ces résidents en une heure, voire moins si nous voulons faire nos transmissions et finir à l’heure.
Balancer les gens dans leur lit ne fait pas partie de ma politique. Où se trouve la dignité ?
Il en va de même pour le gavage alimentaire et les toilettes faites au plus vite. De même qu’où se trouve la nôtre lorsque nous n’avons pas le matériel nécessaire pour faire des soins (absence de gants en vinyle, de gants de toilettes, de draps ou de serviettes) ou bien que les aides techniques (verticalisateur ou lève-personne) sont HS ou en nombre limité ? Et nos salaires dans tout cela ?
Nous n’avons pas le droit à la prime de pénibilité ? Je suis titulaire d’un diplôme reconnu par l’état et je ne gagne que 1350€ ! A côté de ça, les résidents déboursent en moyenne 2200€ par mois pour des conditions d’accueil indignes. On va droit dans le mur.
Et que va faire la France pour nous soigner et permettre de mieux accompagner nos résidents et leurs familles ? J’aime profondément mon métier mais les conditions de travail deviennent de plus en plus dures à cause des économies de merde et du profit à la place de l’humain.
Cela fait 4 ans que je suis diplômé et que je fais ce formidable métier. Je continuerai à me battre pour nous, pour eux, pour notre avenir en tant que soignant et futur possible résident.
Jonathann Daval : ses avocats vont demander sa remise en liberté
Les avocats de Jonathann Daval devraient transmettre courant octobre une demande de mise en liberté au juge d’instruction.
Jonathann Daval est mis en examen pour le meurtre de sa femme Alexia.
Les avocats de Jonathann Daval ont révélé à nos confrères de l'Est républicain qu'ils transmettront, d'ici courant octobre, à la justice une demande de mise en liberté.
Fin juin, il était revenu sur sa version des faits, et a accusé son beau-frère, Grégory Gay, d'avoir tué Alexia Daval, tout en évoquant un "pacte familial". "Le changement de version implique naturellement une demande de mise en liberté, qui est en cours de préparation", a justifié son avocat, Me Schwerdorffer, à nos confrères.
Si la justice refuse cette demande de mise en liberté, les avocats de Jonathann Daval auraient la possibilité de faire appel auprès de la chambre de l’instruction de Besançon.
Jonathann Daval est mis en examen pour le meurtre de son épouse Alexia et en détention provisoire à la maison d'arrêt de Dijon depuis le 30 janvier dernier.
https://youtu.be/SNNVopVrrtc
Emploi : un plan de 15 millions d'euros pour insérer 5000 réfugiés
Cet appel à projets va permettre d’insérer entre 4 000 à 5 000 réfugiés. LP/Carmen Abd Ali L’insertion par le travail des réfugiés pourrait permettre aux secteurs en tension comme la restauration et le BTP de répondre à leurs besoins.
Alors que la France a accordé l’asile à 43 000 personnes en 2017, l’une des questions qui se pose concerne l’insertion dans l’emploi des réfugiés. Dans de nombreux cas, ils peinent à trouver du travail , faute de réseaux ou de reconnaissance de leur savoir-faire.
Dans cette otique, la ministre Muriel Pénicaud a annoncé le lancement d’un appel à projets, doté d’une enveloppe de 15 millions d'euros, pour permettre à 4 000 à 5 000 d’entre eux de trouver un emploi.
« Certains réfugiés ont une qualification, mais ils viennent de pays où il n’y a pas de reconnaissance de diplôme, ou qui s’exercent dans un cadre rendant nécessaire une formation complémentaire », a expliqué la ministre du Travail . « L’offre et la demande peuvent y gagner »
A l’inverse, « 39 % des réfugiés arrivant en France n’ont pas pu avoir de qualification professionnelle. Ces personnes qui ont vécu la guerre, la persécution ont le courage, l’envie d’apprendre », a-t-elle ajouté. Parallèlement, a-t-elle poursuivi, « on a des métiers en tension où on cherche du monde, donc l’offre et la demande peuvent se retrouver dans une démarche gagnant-gagnant ». Selon la ministre, ce programme vise à « aller plus loin que les cours de français sur l’accès à la formation et à l’emploi ».
Ainsi, le programme Hope, mêlant formation linguistique et apprentissage dans des secteurs en tension comme le BTP, a déjà bénéficié à un millier de réfugiés. 130.000 emplois à pourvoir dans l’hôtellerie-restauration Récemment, le président du Groupement national des indépendants de l’hôtellerie-restauration avait lancé un appel. « 130 000 emplois sont à pourvoir dans le secteur de l’hôtellerie-restauration. Les restaurateurs et les hôteliers sont dans les starting-blocks. On attend maintenant du gouvernement qu’il donne des papiers aux réfugiés.
La formation, le boulot, on est là pour les fournir. » A partir du moment où la personne a un statut de réfugié, elle peut travailler comme n’importe quel citoyen français. Il est également possible d’embaucher un demandeur d’asile (une personne en attente du statut de réfugié).
Mais seulement 9 mois après le dépôt de sa demande et uniquement dans un secteur manquant de main-d’œuvre dont la liste est établie par les pouvoirs publics. En revanche, les migrants économiques ou climatiques qui n’ont pas de papiers ne peuvent pas être embauchés tant qu’ils n’ont de titre de séjour.
Les carburants vont changer de nom le 12 octobre : adieu "sans plomb" et "diesel"
Le diesel s'appellera désormais B7 ou B10
Une directive européenne conduira les stations services à renommer tous les carburants à la pompe dès le 12 octobre Les automobilistes français ne trouveront bientôt plus de "sans plomb 95" à la pompe, pas plus que du "sans plomb 98" ou du "diesel".
A partir du 12 octobre, une signalétique unique sera mise en place dans toute l’Union européenne et dans des pays voisins comme la Norvège, l’Islande et la Turquie, conséquence d’une directive européenne de 2014. Rond, carré et losange : comment ça marche ?
Ces nouveaux sigles seront indiqués sur chacune des pompes à carburant ainsi que sur les pistolets, et également sur les véhicules neufs mis en vente à partir de cette date. Chaque type de carburant est désormais représenté par une forme : un rond pour l’essence, un carré pour le gazole (diesel) et un losange pour les carburants gazeux. Les nouveaux étiquetages de carburants communs à toute l'UE Les nouveaux étiquetages de carburants communs à toute l’UE
ACEA E pour essence, B pour diesel Les essences seront nommées d’après leur taux d’éthanol :
"E5" pour les anciens sans-plomb 95 et 98 (qui contiennent 5% d’éthanol),
"E10" pour le sans-plomb 95-E10 et "E85" pour le super-éthanol. La rédaction vous conseille Vidéo.
La Rochelle : Plastic Odyssey transforme le plastique en carburant Transports et mobilité en Nouvelle-Aquitaine : une étude pour y voir plus clair Pour les diesel, les automobilistes devront s’habituer à la lettre "B", qui annonce la teneur en biocarburant : "B7" ou "B10". Le "XTL" désignera bientôt le diesel synthétique, non-dérivé du pétrole.
En ce qui concerne les carburants gazeux, l’hydrogène sera nommée "H2", le gaz naturel "CNG", le gaz de pétrole liquéfié "LPG" et le gaz naturel liquéfié "LNG". Selon BFM TV, ces noms n’entreront pas en vigueur immédiatement dans toutes les stations, ce qui devrait laisser le temps aux consommateurs de s’habituer.