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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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SAVOIE
Il avait abusé de la mère de ses copains
En septembre 2017, une femme déposait plainte à la gendarmerie de Grésy-sur-Isère pour avoir subi une atteinte sexuelle de la part d’un homme âgé de 18 ans, ami des enfants de la plaignante.
Au cours d’une soirée très arrosée, le jeune majeur avait demandé à la mère de 41 ans de le rejoindre dans la montée d’escalier d’un immeuble où, après avoir tenté sans succès de l’embrasser, il lui avait écarté les jambes de force avant de lui imposer un cunnilingus, selon les éléments du rapport d’enquête.
Poursuivi pour agression sexuelle, l’homme a été jugé vendredi dernier par le tribunal correctionnel d’Albertville.
Assez peu loquace, il est resté confus dans ses explications.
« Durant toute cette soirée où nous avions tous consommé pas mal d’alcool, elle s’est beaucoup confiée à moi, tout en étant très tactile. Et dans l’escalier, même si elle me disait non, j’avais l’impression qu’elle était quand même d’accord, mais je suis honteux de ce que j’ai fait car c’est la mère de mes amis. »
« Si elle était vraiment consentante, elle n’aurait pas eu ces bleus sur les cuisses et n’aurait pas appelé à l’aide ses enfants », lui a signalé la présidente, Michelle Raffin.
Convaincue que la victime, conseillée par Me Alice Toureille, a subi une contrainte, le procureur Marie Kerbat a interpellé le jeune prévenu sur la gravité de son geste.
« Cette audience est aussi là pour lui rappeler que ce qu’il considère comme immoral est avant tout illégal et puni par la loi de cinq ans de prison. »
Du côté de la défense, Me Nicolas Paradan a d’emblée mis l’accent sur la personnalité de son client. Huit mois de prison avec sursis
« Avant de savoir s’il est coupable ou non, le tribunal doit d’abord se demander comment un gamin timide et introverti, qui n’a jamais connu le jeu de la séduction sexuelle, a pu se retrouver dans cette situation où il a vraiment cru que cette femme voulait avoir une relation avec lui. »
Le prévenu, sans casier judiciaire, a été condamné à huit mois de prison avec sursis assortis d’une obligation de soins. Il a, en revanche, bénéficié d’une dispense d’inscription au fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles.
Nordahl Lelandais : ce que dit l'expertise psychiatrique Nordahl Lelandais.
Des éléments de l'expertise psychiatrique de Nordahl Lelandais mis en examen pour le meurtre de la petite Maëlys et l'assassinat du caporal Arthur Noyer, ont été révélés ce mardi.
Nordahl Lelandais, mis en examen pour le meurtre de la petite Maëlys et l'assassinat du caporal Arthur Noyer, a raconté les nuits des deux meurtres dans son expertise psychiatrique, que révèle L'Express ce mardi.
Il s'agit des conclusions de trois experts psychiatres, qui disent n'avoir pas détecté de psychose chez lui et ne croient pas à la thèse d'un épisode délirant lors des meurtres.
"Nous avons le sentiment qu'il s'agit d'un discours appris et répété", observent-ils. Ils en concluent que l'homme présente "une personnalité clivée de type pervers": une partie "fonctionnant de façon à peu près adéquate à la réalité" et "une partie fonctionnant en dépit des interdits".
Sur les meurtres de Maëlys et d'Arthur Noyer Le 13 avril, Nordahl Lelandais racontait notamment qu'il se serait battu avec Arthur Noyer la nuit de sa disparition, en avril 2017.
"Quand je me suis battu avec lui, j'étais spectateur, j'étais comme un satellite au-dessus qui regarde la voiture d'en haut, comme un drone", a-t-il dit. Il a ensuite raconté avoir posé le corps du caporal au bord d'une route de montagne. "J'espérais qu'il soit vivant et qu'une voiture vienne le récupérer", assurait-il.
Quant à Maëlys, qu'il avait embarquée dans son Audi A3 lors d'un mariage, "je lui ai mis un coup de poing, je ne sais pas pourquoi", affirme-t-il, expliquant que la fillette aurait demandé à retourner dans la salle des fêtes. Lors de cet examen, il déclarait encore que la fillette "lui voulait du mal" et qu'Arthur Noyer "était revenu en elle".
Sur ses centres d'intérêt et d'affection
L'un des médecins note que Nordahl Lelandais porte un "attachement" et une "admiration quelque peu immature" à son père de 73 ans. "Mon père, c'est quelqu'un de très intelligent (...) Il a fait beaucoup de recherches sur notre famille jusqu'en 1300. (...) "Il nous expliquait tout, les fleurs, les animaux".
Il a affirmé n'avoir pas d'attirance sexuelle pour les enfants. Quant à ses aventures homosexuelles : "C'était une attirance en sachant que je préfère largement les femmes", assurait-il.
Nordahl Lelandais porte par ailleurs beaucoup d'affection... à ses chiens et s'est "effondré en larmes" en évoquant la mort de l'un d'eux devant les médecins.
Sur des troubles psychologiques
"La nuit, des fois, je suis tiré de mon lit, de mon corps, c'est comme un autre qui me vole, qui me prend, depuis que je suis tout petit j'ai l'impression qu'on me filme et qu'on m'écoute comme si tout le monde était en lien et pas moi", racontait Nordahl Lelandais en avril.
L'ex-maître-chien n'aurait pas d'antécédents psychiatriques, mais aurait vécu un épisode anxieux lors de son passage à l'armée entre 2001 et 2005, et "une crise d'angoisse dans un tunnel" au travail en 2007.
"La psychologue m'a expliqué que c'était pas grave, elle a dit d'arrêter les consultations", dit-il.
MEXIQUE
Le couple arrêté avec des restes humains a reconnu 20 meurtres
Un couple de Mexicains a avoué lundi le meurtre d'au moins 20 femmes . Les meurtriers attiraient leurs victimes en prétendant vendre des vêtements pour bébés.
Un couple de Mexicains, arrêtés dans la banlieue de Mexico alors qu’ils transportaient des restes humains dans une poussette, a avoué avoir tué au moins 20 femmes , ont annoncé lundi soir les autorités judiciaires.
"Ce sont des faits vraiment inouïs, jamais nous n’avions été confrontés à une affaire de cette nature" a commenté le procureur de l’État de Mexico, Alejandro Gomez, sur Radio Formula.
Le couple, d’abord soupçonné d’avoir tué dix femmes , avait été arrêté jeudi à Ecatepec, une banlieue au nord-est de la capitale mexicaine, connue pour sa violence. Mais l’homme a avoué le double de meurtres lors d’une première audience dans la prison où il est incarcéré.
Et il a fourni des détails pour dix d’entre eux. Ils attiraient leurs victimes en faisant semblant de vendre des vêtements pour bébés Le couple attirait les victimes en proposant à la vente des vêtements pour bébés.
"Il s’agissait de mère célibataires (...) qui avaient besoin de vêtements à bas prix", a expliqué le procureur. Les enquêteurs sont parvenus à remonter la piste des meurtriers en constatant que trois victimes avaient passé des coups de fil à un même numéro avant de disparaître.
L’homme a admis avoir abusé sexuellement de plusieurs femmes "avant de les tuer et de vendre leurs restes, ainsi que leurs affaires", selon M. Gomez, qui l’a qualifié de "tueur en série".
Il aurait aussi reconnu avoir vendu le bébé de deux mois de l’une des victimes à un autre couple, qui a également été arrêté, selon le quotidien El Universal. Le meurtrier a décrit les meurtres "avec un parfait naturel", a expliqué le procureur. "Je dirais même qu’il avait l’air content de l’avoir fait. Il veut que les gens voient sa photo, connaissent son nom".
Capables de distinguer le bien du mal
L’homme présente "un désordre mental avec psychose et trouble de la personnalité", tandis que la femme est "déficiente mentale depuis sa naissance, et sujette à des délires", selon un examen psychiatrique présenté au juge. "Mais les deux sont capables de distinguer le bien du mal".
Le couple a trois enfants , dont un en bas âge. Les enquêteurs ont fouillé leurs domiciles et découvert des restes humains, recouverts de ciment dans huit seaux d’une capacité de 20 litres chacun, ainsi que congelés dans un réfrigérateur à l’intérieur de sacs en plastique.
Un collège à Paris remplace les retenues par du jardinage
Une conséquence plus utile pour tout le monde
Pendant notre scolarité, certains (plusieurs?) d’entre nous ont connu cette chose affreuse que sont les retenues. Recopier 100 fois une phrase, aller au coin, avoir un mot dans son carnet ou rester en retenue après les cours était la façon classique de gérer les problèmes de discipline.
Pour sa part, le collège parisien Pierre Mendès France a décidé d'essayer autre chose ces trois dernières années.
Une solution innovante et qui a du sens. On y a décidé de remplacer les punitions par des travaux de jardinage!
La direction de l’école désirait donner plus de sens aux sanctions et les rendre « utiles ». Le but était de lutter contre le décrochage scolaire, de donner aux élèves le goût de la nature et aussi celui de l'effort. Cette forme de punition, ou plutôt de conséquence, est appliquée si les parents sont d'accord uniquement et en dehors des heures de cours.
C'est l'association Veni Verdi qui a mis en place cette initiative sur les 4500 mètres carrés d'espaces verts du collège qui ont été transformés en véritable ferme urbaine. Les élèves peuvent apprendre à labourer, planter des légumes, etc., avec l'équipe de l’association.
Les tâches sont différentes selon l'élève et de son comportement. La principale adjointe du collège a expliqué au Figaro que cette solution semblait très efficace puisqu'« au total, une trentaine d'élèves a pu être rattrapée ». Le fait de mettre la main à la pâte et de voir le résultat de leur travail et de leurs efforts, sensibilise les jeunes peuvent à l'environnement. Ceux qui en ont besoin peuvent se défouler en remuant la terre, par exemple.
C'est également un très bon moyen de montrer la réalité de la nature à des enfants qui n'y sont pas habitués et de leur apprendre dans une ambiance fort différente de celle des salles de classe. Certains enfants se portent même volontaires toutes les semaines! Ils peuvent s'occuper du poulailler ou aider au jardin.
Cela aurait même permis à certains d’entre eux de se découvrir une passion et éventuellement, une vocation !
Aimeriez-vous que l’école de votre enfant donne des conséquences plus logiques et utiles à la société, plutôt que des copies ou des retenues?
Une musulmane de 18 ans attachée à un arbre et fouettée pour avoir tenté de fuir avec son amoureux
Une scène d'une rare violence.
Parfois dans la vie on se demande comment certaines horreurs peuvent encore avoir lieu à notre époque et c'est exactement ce qu'on se demande avec l'histoire de cette musulmane de 18 ans qui a été attachée à un arbre pendant des heures et fouettée pour avoir tenté de fuir avec son amant.
C'est le média britannique d'information et de divertissement le Daily Mail qui rapporte cette histoire effrayante qui fait froid dans le dos. En Inde, une jeune musulmane de 18 ans a été attachée à un arbre et fouettée pour avoir tenté de fuir avec son amant hindou.
Un passant a filmé la scène sur son téléphone portable et les images sont accablantes. Le plus dur dans tout ça, c'est que c'est sa propre famille qui lui a infligé un tel châtiment. En effet, ils n'ont pas supporté d'apprendre que leur fille était en amour avec une personne d'une autre religion. Même si rien n'excuse un tel acte, il faut savoir qu'en Inde, historiquement, les musulmans et les hindous sont deux religions qui se sont déchirées entre elles à travers les âges et que dans certaines familles, les tension et les ressentiments sont encore bien présents.
Ainsi, le Daily Mail rapporte que pour la famille de cette jeune musulmane de 18 ans, le fait qu'elle quitte la ville avec un hindou a été pour eux synonyme de déshonneur. Ils n'ont donc pas eu le choix d'agir cruellement envers elle pour apprendre la leçon. Une terrible sentence dont on est certain que cette jeune femme se souviendra.
En effet, les images parlent d'elles-même. On peut voir pendant 30 secondes plusieurs séquences de cette véritable humiliation en place publique. On peut voir cette jeune femme attaché à un arbre avec des cordes devant plus d'une dizaine de personnes. On ne voit pas à proprement parlé les coups de fouets mais on peut voir la jeune femme souffrir à maintes reprises. Elle reste immobilisée par la douleur et on se demande même à un moment si elle n'est pas morte.
Le Daily Mail raconte que la police a été appelé pour venir régler la situation mais une fois arrivée sur place aucune arrestation n'a été effectuée. C'est à rien n'y comprendre. On vous laisse regarder la vidéo au complet ci-dessous:
https://youtu.be/naP9LaaPPvM
Le lac d'Annecy au plus bas depuis 70 ans, bon pour les oiseaux migratoires, une “catastrophe” pour les poissons
Le niveau du lac d'Annecy est au plus bas depuis 1947 à cause de la sécheresse. Une situation inquiétante mais qui n'a pas que du mauvais, notamment pour les oiseaux migrateurs et pour certaines plantes.
A Annecy, les gestionnaires du lac, l'un des plus grands du pays, scrutent le ciel alors que, ces dernières semaines, la sécheresse a fait descendre le niveau de l'eau au plus bas depuis 1947.
C'est l'année des paradoxes: en janvier, des précipitations abondantes avaient au contraire gonflé le volume de l'étendue naturelle haut-savoyarde, propriété de l'Etat. En vigilance crue cet hiver La cote de 80 centimètres qui sert de référence à la stabilité des eaux depuis la fin du 19e siècle, sous un pont de la rivière Thiou, déversoir naturel du lac qui traverse la ville, a grimpé cet hiver à 115 cm, premier stade de vigilance pour les crues; elle est aujourd'hui retombée autour de 20, soit plus bas que lors de la canicule de 2003.
Pour assurer un niveau stable, le débit du déversoir est régulé manuellement, "d'une part pour éviter les inondations et d'autre part pour éviter le phénomène que nous avons aujourd'hui", explique Pierre Bruyère, président du Syndicat mixte du lac d'Annecy (Sila).
Mais à l'heure du réchauffement climatique, "il est temps de réfléchir à une autre manière de fonctionner", admet-il. "Cette année, nous avons eu deux phénomènes. Le lac a débordé cet hiver, les services de la ville ont donc ouvert les vannes en grand. Fin juin, la situation s'est brutalement inversée, jusqu'à la sécheresse.
N'ont-ils pas vidé trop vite le lac ?", interroge Thomas Terrier, président de l'Association des propriétaires riverains (April), pour qui la situation va "sensibiliser à la ressource en eau". En attendant, le niveau de l'eau découvre les berges et le fond des bateaux, et rend accessible à pied une grande zone au large du Pâquier, la promenade qui longe le lac au centre-ville. Les plantes vont être stimulées
Tout n'est pas négatif, notamment pour les roselières, "qui vont être exondées et dont les sédiments vont être régénérés, reminéralisés: les plantes vont être stimulées", souligne Damien Zanella, directeur Environnement au Sila.
"Sur le lac, pour les oiseaux , il n'y a pas de gros impact, au contraire", abonde Baptiste Doutau, chargé de mission à la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) en Haute-Savoie. Cette baisse du niveau d'eau "rend le site favorable à une halte migratoire" des oiseaux, qui ne pourraient s'arrêter dans le cas contraire. Mais la sécheresse provoque des "assecs assez prononcés" dans le lit des cours d'eau de la région et "pour la faune aquatique, c'est la catastrophe", souligne M. Zanella, l'accès à l'eau devenant plus compliqué. Alerte d'une "grande gravité" Pour la Frapna, qui fédère les associations de protection de la nature en Rhône-Alpes, l'état des affluents du lac d'Annecy constitue "une alerte de grande gravité".
"Moins d'eau dans les rivières et ruisseaux, voire pas du tout de débit, entraîne moins de dilution de la pollution qui s'y trouve, donc une concentration plus forte, ainsi que la mort des poissons et autres organismes vivants." La fédération appelle à "réagir en adaptant nos usages à la ressource disponible et en faisant une utilisation plus rationnelle" de l'eau, à l'approche de la saison hivernale et de l'utilisation des canons à neige, très gourmands: "l'eau en Haute-Savoie, va-t-on choisir de la boire ou de la skier ?", demande-t-elle en indiquant que sur l'arc alpin, "95 millions de mètres cubes par an" sont utilisés pour l'enneigement artificiel, "soit la consommation annuelle d'une ville de 1,5 million d'habitants".
L'usage de l'eau a été restreint dans la région d'Annecy, placée en situation d'alerte "renforcée" par les autorités, de même que la zone du lac du Bourget en Savoie. De nombreux autres cours d'eau et départements sont touchés par la sécheresse dans le pays.
Trafic d'héroïne : 230 kilos de produits de coupe saisis, un réseau d'approvisionnement démantelé
Pour une dose d'héroïne, trois doses de produits de coupe (mélange de paracétamol et de caféine) sont ajoutées pour constituer une dose à la vente (20 euros/gramme, soit 100 euros le grip de cinq grammes).
Saisie record pour les policiers du groupe stupéfiants de la sûreté urbaine du commissariat d'Annecy. Le mercredi 3 octobre dernier, suite à l'interpellation, à Annemasse, de cinq individus d'origine albanaise identifiés comme les membres d'un réseau d'approvisionnement en héroïne des équipes de revendeurs du département, ce sont 230 kilos de produits de coupe servant à la fabrication de l'héroïne inondant la Haute-Savoie qui ont été saisis.
C'est une grande première.
Après l'interpellation en janvier et en mars dernier de deux équipes de revendeurs d'héroïne, les policiers annéciens ont neutralisé le mercredi 3 octobre dernier, sur la base des éléments collectés, le premier réseau d'approvisionnement en héroïne de Haute-Savoie. Une grande première en Haute-Savoie, un véritable coup d'arrêt pour le trafic Interpellés dans deux pavillons localisés à Annemasse et Gaillard, quatre des cinq individus âgés entre 30 et 40 ans ont été placés en détention, dans l'attente de leur jugement qui ne devrait pas intervenir avant fin 2019.
Le cinquième homme, propriétaire de la maison dont le garage servait à la confection du mélange des produits de coupe, a quant à lui été placé sous contrôle judiciaire. "Le démantèlement d'un réseau d'approvisionnement des équipes de trafiquants qui sévissent sur le département, et même au-delà sur le bassin lémanique et le canton de Genève, est une première.
Il est certain que c'est un coup d'arrêt pour le trafic, la marchandise va manquer dans les prochains mois, une pénurie est en perspective", a confirmé le commandant de police Jean-Philippe Charvet, chef de la sureté urbaine du commissariat d'Annecy. Soit 325 kilos d'héroïne à la vente, pour une valeur de 6,5 millions d'euros La perquisition du laboratoire des trafiquants a permis aux policiers de mettre la main sur 230 kilos de produits de coupe, un record qui prouve l'ampleur du trafic inondant la Haute-Savoie.
Ces 230 kilos de produits de coupe, nécessitant environ 95 kilos d'héroïne pure, correspondent, après coupe, à une quantité à la vente de 325 kilos d'héroïne, représentant une valeur marchande de 6,5 millions d'euros. Trois véhicules ont été saisis ainsi que 4000 euros en liquide.
La saisie record des produits en provenance de Belgique acheminés par la route jusqu'en Haute-Savoie découlait de plusieurs mois d'enquête et de surveillance des protagonistes par les policiers du groupe stupéfiants qui signent sans aucun doute la plus belle affaire de l'année.
SEINE-MARITIME À 4 ans, elle pique ses camarades avec une aiguille de seringue
Une petite fille de quatre ans a piqué huit autres enfants vendredi avec une aiguille intra-musculaire, dans une école maternelle de Canteleu.
Des parents d'élèves se sont rendus au commissariat de police dimanche, après qu'une petite fille de quatre ans a piqué leurs enfants avec une aiguille intra-musculaire, vendredi, dans une école maternelle de Canteleu (Seine-Maritime), rapporte France 3.
Etant donné que l'origine de l'aiguille n'est pas connue, les huit enfants touchés se sont vus administrer un traitement préventif.
L'aiguille en cours d'analyse
L'aiguille a été envoyée à un laboratoire pour y être analysée. Le rectorat a réagi dans un communiqué lundi : "Les élèves concernés ont été adressés aux urgences pédiatriques du CHU de Rouen, conformément aux préconisations du CHU et de l’ARS Normandie.
Les parents d’élèves de la classe ont été reçus par l’équipe éducative et l’inspectrice de la circonscription présente sur place. Des préconisations médicales ont également été adressées par écrit à tous les parents concernés". Les parents des enfants concernés n'ont pas déposé plainte pour le moment, selon Paris-Normandie.
Mais certains envisageaient de le faire lundi, dès qu'ils sauraient ce qui est possible sur le plan pénal, d'après France 3.
Le réchauffement climatique dans les Alpes, c'est vraiment maintenant
Des éboulements au glacier Carré dans l'Oisans, des températures positives trois mois de suite à 3 100 mètres, la station de ski des Deux-Alpes qui ne pourra pas ouvrir son glacier à la Toussaint...
Les Alpes sont touchées de plein fouet par le réchauffement climatique. Et, en montagne, ce n'est qu'un début.
L’appel poignant de Muriel Robin à Marlène Schiappa
Comme s’il suffisait de slogans pour bousculer la chape de plomb qui pèse sur les mentalités depuis trop longtemps et pour réactiver un sens civique en voie d’extinction!
Quatre millions d’euros: c’est le coût de l’énième campagne de prévention contre les violences conjugales qui va être diffusée à la télévision à l’initiative de Marlène Schiappa et qui, comme les autres, sera oubliée au bout de cinq minutes et ne permettra en rien d’éradiquer le mal.
Le but? Inciter les témoins de ces violences à réagir. Comme s’il suffisait de quelques slogans pour bousculer la chape de plomb qui pèse sur les mentalités depuis trop longtemps et pour réactiver un sens civique en voie d’extinction. Dénoncer des violences conjugales, c’est d’abord assumer la forte probabilité d’être seul à le faire, de n’être épaulé par personne ou presque, et même d’être accusé de nous mêler de ce qui ne nous regarde pas.
Si elles se déroulent dans votre immeuble, c’est accepter de risque de devoir croiser régulièrement l’auteur des faits que vous aurez désigné. Beaucoup d’entre nous préféreront se coller la tête dans le sable. Dans une société paradoxalement de plus en plus réceptive à la victimisation, les maltraitances exercées dans le cadre privé sur les conjoints ou les enfants ne sont pas toujours prises au sérieux.
Être maltraité vous condamne souvent à la double peine: celle d’encaisser, et celle de n’être pas cru si vous trouvez le courage de parler, surtout dans le cas de sévices psychologiques qui ne laissent pas de traces. La détresse des femmes victimes de violences reste souvent minimisée.
Certains se gausseront de voir leur collègue de bureau débouler une fois de plus avec un cocard. D’autres s’écraseront pour ne pas se brouiller avec un maltraitant qui fait partie de leur famille ou qui bénéficie d’une position sociale avantageuse pouvant leur être utile.
Et peu leur importent les belles paroles d’un spot télévisé, tant qu’ils n’ont pas conscience que leur indifférence s’apparente à de la non-assistance à personne en danger. Le déni est un confort dont on se passe difficilement une fois qu’on y a goûté. Seule l’éducation dès l’enfance, peut permettre, d’une part, de venir durablement à bout du sexisme et des agressions qui vont avec, et d’autre part, d’acquérir un sens du devoir qui vous poussera à intervenir contre les agresseurs.
Qui n’a jamais entendu des discours abjects selon lesquels il y a des femmes battues « parce qu’elles le veulent bien », ou « qui l’ont bien cherché », qui « poussent leur conjoint à bout », et qu’elles « n’ont qu’à se barrer » si leur situation est si épouvantable?
C’est précisément ce que les détracteurs de Jacqueline Sauvage lui reprochèrent en boucle sur les réseaux sociaux: d’avoir attendu 47 ans avant de se dresser contre son tortionnaire. Ils oubliaient juste au passage qu’un individu fracassé par des décennies de torgnoles et d’humiliations ne se comporte pas avec la même logique que celui dont la vie affective est un long fleuve tranquille.
Et que ce n’est pas parce qu’on ne laisse rien transparaître qu’on ne ressent rien. Plus le temps passe, plus la victime perd son estime d’elle-même et trouve des excuses à son oppresseur. Desservie par sa surmédiatisation, Jacqueline Sauvage fut sans doute aussi l’otage d’une lutte entre les tenants d’un antiféminisme crasse, opposés par principe à sa libération conditionnelle après quatre ans de prison, et les mouvements féministes dont elle était devenue l’icône un peu malgré elle.
Un affrontement qui atteignit son point d’orgue avec la grâce, dans un premier temps partielle, accordée par un François Hollande au faîte de son impopularité, qui occulta le vrai débat: faut-il légiférer sur le droit à la « légitime défense différée » comme au Canada?
Peut-on admettre l’idée qu’une femme fragilisée et terrorisée, incapable d’affronter son bourreau au moment des coups, se protège « à retardement » en le tuant? Il est assez déplorable que cette question semble se résumer dans certains esprits friands de caricatures à une vague revendication féministe, car elle concerne dans l’absolu chacun de nous et mérite d’être posée. C’est ce que fait Muriel Robin via une pétition publiée par le JDD, dans laquelle elle demande également une politique plus volontariste pour épauler les victimes.
La comédienne, dont la remarquable prestation dans le biopic télévisé consacré à Jacqueline Sauvage, « C’était lui ou moi », a réalisé un carton d’audience sur TF1 (près de huit millions de téléspectateurs), a lancé un appel à manifester dans toute la France samedi 6 octobre à 14h, notamment à Paris devant le Palais de Justice. On peut toutefois regretter qu’il ait fallu que le monde du showbiz s’empare de ces sujets, notamment depuis l’affaire Weinstein, pour braquer sporadiquement les projecteurs sur des comportements qui furent trop banalisés et qui gangrènent la société de la longue date.
Mais quelles répercussions concrètes peuvent en attendre les citoyennes lambda? Selon un sondage réalisé cette semaine par Harris Interactive pour RTL Girls, 70% des Français sondés estiment que le mouvement #MeToo n’a rien changé. Entre autres mesures annoncées par la secrétaire d’État en charge de l’Égalité femmes-hommes, on retiendra la mise en place d’un outil de géolocalisation des places d’hébergement d’urgence, une subvention supplémentaire de 120.000 euros pour le numéro d’appel gratuit 3919 et la création d’une plateforme de signalement en ligne facilitant le dépôt de plainte.
Encore faut-il que les victimes aient le cran de se manifester et obtiennent l’assurance d’être ensuite en sécurité. Pas sûr que ces dispositifs suffisent à les rassurer. En 2016, 225.000 femmes déclarent avoir subi des violences physiques ou sexuelles. 123 d’entre elles ne s’en sont pas relevée