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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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La journée va encore être terrible pour les ours polaires du Monde Sauvage
Les vacances sans eux !!! Impossible Sinon pas de vacances !!!
Le Botswana a rouvert le droit de chasse aux éléphants
Après une suspension de cinq ans, la chasse est à nouveau autorisée au Botswana où évoluent environ un tiers des éléphants de savane d'Afrique.vendredi 24 mai De Rachael Bale Un chasseur allemand vient d'abattre un vieil éléphant mâle en Namibie. Le débat concernant la chasse au trophée et ses potentiels bénéfices pour la conservation fait rage depuis bien longtemps.
Après cinq ans de suspension, le gouvernement du Botswana a décidé d'autoriser à nouveau les chasseurs à tuer les éléphants, selon un communiqué publié le 22 mai par le ministère de l'Environnement, de la Conservation des ressources naturelles et du Tourisme. Le Botswana abrite plus de 130 000 éléphants, soit environ un tiers de la population africaine d'éléphants de savane, et il semblerait que le pays ait échappé à la récente crise de braconnage pour l'ivoire. En 2016, l'organisation Elephant Without Borders achevait son grand programme de recensement des éléphants par voie aérienne au-dessus de 18 pays. Baptisé Great Elephant Census et financé par Vulcan, ce programme a montré que le nombre d'éléphants avait diminué de 30 % entre 2007 et 2014 sur l'ensemble du continent africain.
Même si la chasse aux éléphants est à nouveau légale au Bostwana, cela ne signifie pas pour autant que les chasseurs occidentaux s'y précipiteront dans un futur proche étant donné qu'il est peu probable qu'ils puissent rapatrier leurs trophées de chasse. En 2017, une controverse a éclaté lorsque l'United States Fish and Wildlife Service (l'organisme responsable de la gestion et la préservation de la faune aux États-Unis) avait décidé de lever l'interdiction visant l'importation des trophées d'éléphants en provenance du Zimbabwe et de Zambie.
Le président Donald Trump avait alors réagi en tweetant son désaccord avec la décision, poussant le Fish and Wildlife Service à faire marche arrière et à opter pour une évaluation au cas par cas des demandes d'importation de trophées d'éléphants pour tout le pays. Depuis, aucune autorisation n'a été délivrée. En juin 2018, le gouvernement du Botswana avait réuni un comité pour débattre de la levée d'interdiction de la chasse aux trophées. Entrée en vigueur en 2014 sous le président de l'époque Ian Khama, cette interdiction avait pour objectif de favoriser la conservation des espèces telles que les éléphants.
« Il y avait très peu de transparence de la part de la fondation communautaire » responsable de la chasse à l'époque, déclare Mike Chase, directeur de l'organisation Elephants withouth Borders, lors d'une interview accordée à National Geographic en février dernier, alors que la proposition était en cours de débat. « Les villageois ne bénéficiaient pas du quota de chasse et des forfaits payés par les chasseurs. » Néanmoins, le comité qui rassemblait les autorités locales, des ONG, des chercheurs, des représentants de l'industrie et autres parties, a découvert que « la suspension de la chasse avait un impact négatif sur les moyens de subsistance, notamment pour les organisations communautaires » qui tiraient auparavant profit des activités liées à la chasse.
Il a également découvert que le Department of Wildlife and National Parks mettait trop de temps à intervenir pour contrôler les éléphants destructeurs, capables de ravager l'équivalent d'une saison entière de récolte en une seule nuit. « Au final, toutes les personnes consultées se sont accordées sur la levée de l'interdiction, » peut-on lire dans le communiqué. « Sur la base de ces problèmes, le Gouvernement a pris en compte et évalué les recommandations, puis a décidé de mettre fin à la suspension. »
« IL FAUT PRENDRE EN COMPTE LA RÉACTION INTERNATIONALE DÉFAVORABLE »
« Nous pouvons mettre en place un quota durable qui aura un impact négligeable sur la population d'éléphants, » indique Chase. « Mais il faut peser le problème et prendre en compte la réaction internationale défavorable et les conséquences néfastes sur notre économie, nos emplois et notre réputation en tant que défenseurs de la conservation. »
Toutefois, il comprend les communautés qui subissent les dommages infligés par les éléphants, c'est pourquoi il s'est montré favorable à la reprise de la chasse. Par ailleurs, il fait remarquer que l'aire de répartition des éléphants s'est considérablement étendue au Botswana en raison des sécheresses qui les ont poussés à s'aventurer plus loin pour trouver de l'eau, ce qui signifie qu'ils entrent plus souvent en contact avec l'Homme. « Ils côtoient au quotidien un animal de plus de 5 tonnes qui représente une menace pour leurs vies, détruit leurs cultures, ravage leurs propriétés : je peux comprendre leur détresse, » ajoute-t-il.
« Lorsque vous avez essayé toutes sortes d'alternatives et que l'animal est toujours dangereux, il doit être éliminé ou du moins, les communautés devraient être autorisées à tirer profit de la situation en donnant l'occasion à un chasseur de payer pour tuer l'animal, » déclarait-il en février. L'ex-président Ian Khama a critiqué la décision en dénonçant une manœuvre purement politique, destinée à recueillir les votes des électeurs ruraux en prévision de l'élection à venir en octobre.
Nombreux sont les défenseurs de l'environnement opposés à la chasse des éléphants, à la fois en raison de leur population en déclin sur l'ensemble du continent et de considérations éthiques : la capacité des éléphants à se montrer empathiques et à ressentir des émotions ne fait aucun doute. Le communiqué publié par le gouvernement du Botswana affirme que la chasse sera réinstaurée « de façon éthique et ordonnée » tout en promettant d'apporter prochainement de plus amples détails. Wildlife Watch est un projet d'articles d'investigation commun à la National Geographic Society et à National Geographic Partners.
Ce projet s'intéresse à l'exploitation et à la criminalité liées aux espèces sauvages. Retrouvez d'autres articles de Wildlife Watch à cette adresse et découvrez les missions à but non lucratif de la National Geographic Society ici. N'hésitez pas à nous envoyer vos conseils et vos idées d'articles et à nous faire part de vos impressions à l'adresse ngwildlife@natgeo.com.
Les éléphants utilisés pour les balades touristiques ' crié à l'agonie ' après avoir été battus et enchaînés. Un photographe de la faune a juré de ne jamais revenir dans une réserve naturelle en Inde après avoir été témoin de l'abus d'éléphants.
Le Torero Espagnol Ivan Fandiño est mort le samedi 17 juin à l'hôpital de Mont-de-Marsan dans le sud-Ouest de la France, après avoir subi une encornée lors d'une corrida dans la ville d'aire-sur-L'Adour. La chose ne nous dérange pas tant que ces lâches vivent de gloire sur la peau de tant de taureaux qui meurent entre d'atroces souffrances, j'espère que les morts des toreros grandissent de manière exponentielle pour obliger les institutions à interdire ces barbarie
Le calvaire de cet éléphant a déclenché une vague d'indignation internationale
Après la publication par National Geographic d'une photographie de Gluay Hom, un jeune éléphant blessé en Thaïlande, les lecteurs scandalisés se sont mobilisés pour lancer un appel au secours. Nous revenons aujourd'hui sur son état de santé.vendredi 21 juin De Natasha Daly Ici photographié en juin 2019 au Samut Prakarn Crocodile Farm and Zoo en périphérie de Bangkok, Gluay Hom est aujourd'hui âgé de cinq ans. Ses pattes enflées ont guéri et il n'a plus de plaie ouverte. Il reste toutefois enchaîné sous le stade où il exécute ses numéros et sa condition physique reste un problème, selon les experts du bien-être animal qui lui ont rendu visite.
En juin 2018, derrière un stade de la banlieue de Bangkok, en Thaïlande, je me tenais devant un jeune éléphant enchaîné à un poteau. Sa patte était enflée et bizarrement courbée. Il avait une plaie sanguinolente au niveau de la tempe à force de s'allonger sur un sol dur, et il ne parvenait pas à fixer son regard. Son nom : Gluay Hom. Cet éléphant retenu au Samut Prakarn Crocodile Farm and Zoo était alors âgé de quatre ans et son état ne lui permettait plus d'assurer ses représentations dans le spectacle organisé quotidiennement par l'établissement. À cette date, Kirsten Luce et moi-même étions en Thaïlande depuis un mois dans le cadre d'un reportage sur la réalité alarmante du tourisme animalier. Nous avions vu des centaines d'éléphants enchaînés dans des camps ou des enclos à travers tout le pays. Gluay Hom était le plus mal en point. Nous l'avons intégré à notre grande enquête sur le tourisme animalier.
IMMERSION DANS L'UNIVERS CRUEL DU TOURISME ANIMALIER.
Après la mise en ligne de notre reportage au mois de mai, nous avons reçu une quantité phénoménale d'e-mails, de messages et de publications sur les réseaux sociaux demandant des nouvelles de Gluay Hom, désormais âgé de cinq ans. Nombreux étaient ceux qui se demandaient pourquoi il n'avait pas encore été secouru. D'autres parlaient de mettre en place un financement participatif afin de le racheter à son propriétaire. Les gens voulaient savoir si son calvaire avait pris fin. Pour résumer, Gluay Hom va en quelque sorte mieux, selon les experts du bien-être animal qui lui ont rendu visite. Ses pattes enflées ont guéri et il n'a plus de plaie ouverte.
Il reste toutefois enchaîné au même endroit sous le stade. Il est toujours très maigre. Il n'y a aucun moyen de lui venir en aide à moins que l'établissement ne le libère, le revende ou qu'il soit saisi par les autorités. Le propriétaire du zoo, Uthen Youngprapakorn, n'a pas répondu à nos demandes concernant l'état de santé actuel de Gluay Hom. Nous ne savons pas si Gluay Hom appartient personnellement à Youngprapakorn ou au zoo en tant qu'entité juridique.
Cependant, lors de notre visite de l'année dernière, il déclarait que le simple fait que les animaux ne soient pas morts démontrait que l'établissement les traitait correctement. Des vétérinaires du Department of Livestock (en français, ministère de l'élevage, ndlr) de Thaïlande prélèvent des échantillons de sang de Gluay Hom pendant que des employés du zoo le maintiennent en place, lors d'une visite en avril 2019. Les résultats de tests sanguins antérieurs avaient révélé la présence de parasites dans le sang de Gluay Hom, il a aujourd'hui été soigné.
Depuis juin dernier, les autorités du Department of Livestock de Thaïlande dont la juridiction couvre les questions liées aux éléphants en captivité, ont réalisé une série d'inspections du zoo de Samut Prakarn. Pour cela, ils ont sollicité l'aide d'Edwin Wiek, fondateur de Wildlife Friends Foundation Thailand, une organisation à but non lucratif axée sur la sauvegarde et la réhabilitation des animaux. Wiek et son équipe avaient déjà rendu visite à Gluay Hom et aux autres animaux du zoo de Samut Prakarn après que nous les ayons avertis de la situation en juin 2018. Wiek rapporte que son équipe avait trouvé les animaux dans un état « déplorable. »
L'année dernière, toujours au moins de juin, des vétérinaires avaient prélevé des échantillons de sang de Gluay Hom et les tests avaient révélé la présence de parasites, pour lesquels l'éléphant a reçu un traitement. En décembre, les autorités du Department of Livestock et du Department of National Parks, Wildlife and Plant Conservation, responsable du contrôle des zoos, avaient ordonné à l'établissement d'arrêter d'utiliser deux éléphants émaciés dans leurs spectacles et de changer leur régime afin de leur faire reprendre du poids.
À l'époque, Gluay Hom n'apparaissait pas dans ces représentations. Le quotidien Bangkok Post rapportait dans un article que les responsables dépêchés par le gouvernement « n'avaient relevé aucun problème au niveau des aspects physiques du zoo, mais qu'ils avaient recommandé à l'administration d'ajouter des activités et des outils permettant d'améliorer la vie des animaux dans leurs cages. » L'intervention des autorités s'est arrêtée là, indique Wiek. Le Department of Livestock et le Départment des parcs nationaux n'ont pas souhaité commenté la situation mais selon Wiek, les autorités gouvernementales n'ont pas officiellement reconnu de violations du bien-être animal au zoo de Samut Prakarn. Le 2 juin 2019, l'équipe de Wiek a de nouveau rendu visite à Gluay Hom et aux autres animaux.
À l'exception de Gluay Hom, tous les autres éléphants ont repris leurs numéros. Wiek indique que dans l'ensemble, les conditions n'ont pas changé. La semaine dernière, le journal Phuket News publiait de nouvelles images sur lesquelles on distingue clairement les blessures infligées aux éléphants. Quoi qu'il en soit, le sauvetage de Gluay Hom reste un projet irréaliste. La loi thaïlandaise sur le travail des animaux de 1939 considère les éléphants domestiques comme une propriété, tout comme les autres animaux forcés au travail comme les chevaux et les ânes. Les 3 800 éléphants en captivité en Thaïlande peuvent être légalement détenus par des particuliers ou des entreprises, et utilisés comme bon leur semble.
Cette loi, sur laquelle repose la façon dont sont traités les éléphants en captivité, ne protège pas leur bien-être, explique Wiek. « Nous ne pouvons pas nous appuyer sur la loi pour aider concrètement ces éléphants, » indique Wiek, qui est également conseiller honoraire au comité parlementaire sur les ressources naturelles et l'environnement. « Gluay Hom est un très bon exemple d'animal vivant dans d'horribles conditions qui devrait être saisi par les autorités. » Il existe en Thaïlande une loi sur sur le bien-être des animaux et la prévention de la cruauté, mais selon Wiek, elle est appliquée de façon irrégulière pour les éléphants en captivité.
UN SECTEUR FLORISSANT
Les éléphants sont la pierre angulaire du tourisme en Thaïlande. La majorité des 3 800 éléphants en captivité du pays travaillent dans des camps et exécutent des numéros ou interagissent avec les touristes. La Tourism Authority of Thailand (TAT), l'agence gouvernementale responsable de la promotion du tourisme en Thaïlande, n'hésite pas à promouvoir les balades à dos d'éléphants et les baignades avec ces animaux sur son propre site Web. Il y a encore quelques jours, le 13 juin, Samut Prakarn Crocodile Farm and Zoo figurait parmi les attractions recommandées sur le site Web de la TAT.
Ce jour-là, National Geographic a envoyé un e-mail à la TAT pour recueillir leurs commentaires sur ce point, la page a été supprimée dans la foulée. L'agence n'a pas souhaité répondre à nos questions sur la recommandation de Samut Prakarn ou sur la suppression de la page. Le secteur de l'élevage des éléphants est hautement lucratif en Thaïlande : la revente d'un jeune éléphant élevé en captivité peut atteindre 22 000 $ (soit 19 500 €) selon les chiffres communiqués par l'agence gouvernementale Thai Elephant Conservation Center(TECC), responsable de l'élevage et du dressage des éléphants.
Selon Wiek, le prix de ces animaux dépasse les 50 000 $ (45 000 €). L'importation illégale d'animaux capturés dans la nature et destinés au secteur du tourisme était une pratique très répandue jusqu'en 2012 d'après un rapport de TRAFFIC, une organisation de surveillance du commerce des espèces sauvages. Dans d'autres régions du pays, comme Ban Ta Klang, également connu sous le nom d'Elephant Village, le gouvernement subventionne le tourisme lié aux éléphants et offre un revenu mensuel aux dresseurs dont les éléphants sont capables de réaliser trois numéros et participent activement à des spectacles locaux.
Prise en juin 2018, cette photographie de Gluay Hom a été publiée dans l'édition de juin 2019 du magazine National Geographic. Elle a déclenché une vague d'indignation chez les lecteurs. Sa patte avant droite est enflée et inerte. Au niveau de sa tempe on distingue une plaie sanglante provoquée par le sol en béton sur lequel il s'allonge.
Le cas de Gluay Hom n'est pas unique parmi les éléphants captifs en Thaïlande. Au zoo de Phuket, un jeune éléphant émacié était au centre de toutes les attentions dans les médias thaïlandais et internationaux en avril après la publication par des activistes animaliers d'une vidéo montrant son corps squelettique. Officiellement baptisé Ping Pong mais également connu sous les noms de Jumbo, Dumbo ou Dodo dans la presse et pour le grand public, cet éléphant a fait l'objet d'une pétition ayant recueilli plus de 200 000 signataires qui demandait à ce qu'il soit transféré dans un sanctuaire. En réponse à cette levée publique de boucliers, les autorités du Department of Livestock de la province de Phuket se sont rendus dans l'établissement en avril.
Comme ils avaient pu le faire à la suite du reportage de National Geographic sur Gluay Hom, ces représentants ont reconnu que l'éléphant était malade et ont ordonné au zoo de Phuket de ne pas l'inclure dans les représentations tant que son état de santé ne s'était pas amélioré. L'un de ces agents a déclaré au journal local The Phuket News que malgré son poids, l'éléphant était correctement hébergé, nourri et abreuvé. Le 20 avril, Ping Pong est mort. Son corps était devenu si faible que ses deux pattes arrière ont fini par casser alors qu'il luttait pour s'extirper d'une marre de boue, a révélé le gérant du zoo aux médias locaux. Cet incident est survenu quatre jour avant qu'il soit envoyé à l'hôpital où il a rendu son dernier souffle. Il était âgé de trois ans.
UN AVENIR INCERTAIN
Le futur de Gluay Hom dans l'industrie touristique est incertain. Wiek nous informe que la différence de valeur entre les mâles et les femelles atteint plusieurs dizaines de milliers de dollars, parce qu'ils sont difficiles à contrôler et onéreux à entretenir. Chez les éléphants, l'âge de la maturité peut varier grandement mais elle arrive généralement entre 20 et 40 ans. À ce stade débute chez les éléphants mâles un cycle hormonal appelé musth au cours duquel ses niveaux de testostérone grimpent en flèche et son agressivité envers l'Homme s'exacerbe. L'envergure de la réponse publique face au reportage de National Geographic sur Gluay Hom permet de faire pression sur le gouvernement thaïlandais pour qu'il saisisse l'animal, affirme Wiek.
Il espère également que cet événement poussera la Thaïlande à adopter une loi introduisant des normes de bien-être pour les animaux dans les zoos. Wiek serait heureux de pouvoir accueillir Gluay Hom dans le refuge pour éléphants de son organisme Wildlife Friends Foundation mais pour lui, le fait de racheter l'éléphant à son propriétaire permettrait à ce dernier d'en acheter un nouveau, et cela ne ferait que perpétuer le cycle. « Le propriétaire ne devrait pas être récompensé financièrement pour son éléphant… L'éléphant doit être saisi.
Malheureusement, ça ne marche pas comme ça en Thaïlande, » conclut Wiek. « Pas encore. Bientôt peut-être. »
Mon tout pti chien me manque. Bientôt deux mois sans voir sa truffe au réveil. Sans faire nos loooongue balade pour s aérer la tête. Sans remplir son bol de croquettes. Sans le voir se rouler dans les flaques. Sans. Sans. Sans. Si vous avez Tao, ou l'avez vu, aidez nous. Aidez le. Permettez lui de retrouver sa maison. Permettez lui de retrouver sa copine Ella.
Permettez nous d être un peu plus legers a nouveau.... (Tao, disparu le 23/4 au Chevalon de Voreppe, Chartreuse, Isère 38)
Protection Animale
Encore une horreur de plus … Une cage de transport pour chiens, accrochée à l’extérieur de la voiture. Le chien est enfermé dans cette cage soumis au gaz d’échappement (la cage étant attelée au dessus du tuyau d’échappement du véhicule). En cas d’accident, aucune chance pour le chien de s’en sortir. Cette cage est au prix de 673 euros, et on commence à la voir un peu partout. Il est impensable de commercialiser de telles horreurs… mais l’humain est prêt à tout
L'enfer des "vaches à hublot" : les nouvelles images choc de L214
Les images de cette enquête montrent des vaches fistulées – leur estomac est perforé d’un trou de 15 cm de diamètre – pour étudier leur digestion.
L'association de protection des animaux a publié ce jeudi une vidéo tournée dans l'élevage expérimental de Sourches, dans la Sarthe, appartenant au groupe agro-industriel Avril. L'enquête montre des vaches fistulées pour étudier leur digestion.
L214, association de protection des animaux , a dévoilé de nouvelles images choc, tournées entre février et mai 2019, dans la station expérimentale de Sourches appartenant au groupe agro-industriel Avril, dans la Sarthe.
L'enquête dénonce l'enfer des "vaches à hublot" dans ce centre de recherches où des expérimentations sont menées afin d’élaborer et tester les aliments pour animaux de la marque Sanders, leader français de la nutrition animale et filiale du groupe Avril. Estomac perforé d’un trou de 15 cm de diamètre
Sur la vidéo, on voit des vaches fistulées – leur estomac est perforé d’un trou de 15 cm de diamètre – pour étudier leur digestion.
"Elles sont contraintes de vivre enfermées dans un bâtiment au sol bétonné, sans paille, à même leurs propres déjections. Dans un autre bâtiment, des poulets ne tiennent plus sur leurs pattes du fait de la croissance toujours plus rapide de leurs muscles. Les cochons, les lapins et les poussins sont détenus dans des cages vides de tout aménagement tandis que de jeunes veaux sont enfermés dans des cases individuelles aux parois opaques", indique L214.
L'association de défense des animaux a porté plainte mercredi contre le groupe Avril, entreprise qui gère ce laboratoire de recherches. La "fistulation" est utilisée dans plusieurs centres de recherche en France et dans d’autres pays.
"Il s’accompagne d’un suivi vétérinaire rigoureux et est considéré comme indolore pour l’animal", précise Tom Doron, porte-parole du groupe Avril au journal Le Parisien qui précise que la ferme de Sourches ne compte aujourd’hui que six vaches "fistulées".
Ouvrir ainsi la panse des bêtes a déjà permis "de réduire l’usage d’antibiotiques en élevage et de réduire les émissions de nitrates et de méthane (gaz à effet de serre) liées à l’élevage", argumente l’industriel. Mais pour L214 l'objectif est tout autre : rendre les animaux plus productifs.
https://youtu.be/ZZDv2IKV1L4
Les vacances approchent .. Les abandons aussi .. Ces personnes sans scrupules n'hésitent pas à se séparer de leur compagnon qui leur on donné tant d'Amour .. Mettez les en pensions ..mais ne les abandonnez surtout pas