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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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abandon et maltraitance image

horreur

Publié à 08:07 par fandeloup Tags : image centre sur bonne vie monde homme presse animaux
horreur

La vidéo d’un un ours brun lapidé par des humains, tombant d’une falaise choque les internautes

« Un homme cruel avec les animaux ne peut être un homme bon », a dit Gandhi.

Malheureusement, il semblerait que ses principes ne soient plus respectés. En Inde, la vidéo d’un ours brun pourchassé, lapidé puis tombant d’une falaise a suscité l’émotion des internautes. Alors que l’animal perdait la vie, les personnes ayant participé à ce massacre explosent de joie.

Une vidéo montrant un ours se faire lapider est très vite devenue virale sur Twitter.

Elle a été diffusée sur les réseaux sociaux par Mahmood Ah Shah, un ancien directeur au sein du ministère du Tourisme indien, chargé de la région du Cachemire.

L’ours brun tombe de la falaise sous les jets de pierres La scène horrible se déroule dans la ville de Dras, à la frontière entre l’Inde et le Pakistan, des villageois ont lapidé un ours brun qui s’approchait d’une zone proche de leurs habitations. La scène a été filmée et publiée sur les réseaux sociaux. On y voit un jet de pierres lancé sur l’animal .

L’ours perd alors l’équilibre et glisse de la falaise sur laquelle il se trouvait, avant de tomber dans la rivière en contrebas. On peut ensuite entendre des cris de satisfaction.

 La vidéo a été publiée par Mahmood Ah Shah, un ancien directeur au sein du ministère du Tourisme indien, chargé de la région du Cachemire. Il affirme que l’incident s’est déroulé jeudi dernier, dans la ville de Dras, dans le Jammu-et-Cachemire, un Etat du nord de l’Inde dans les montagnes de l’Himalaya.

Il faut dire que le plantigrade, dans ce pays, n’a pas forcément bonne réputation. En 2016, un ours sauvage avait tué deux villageois et un policier dans le centre de l’Inde.

 Une enquête a été ouverte

La vidéo, rapidement devenue virale, a choqué plusieurs internautes qui ont condamné la « barbarie » de l’acte. On peut voir l’animal accroché par les fils barbelés, mais là aussi, il réussit à s’en sortir vivant. « C’est vraiment barbare », écrit un tweetos en voyant ces images.

« Mon cœur pleure quand les animaux sont traités de façon inhumaine », écrit un autre internaute consterné. Un commissaire adjoint local a lancé une enquête pour tenter de retrouver l’ours, après le dépôt d’une plainte, selon la presse locale. Il a également déclaré que ses équipes travaillent à identifier les personnes qui ont jeté les pierres dans la vidéo, et garantit qu’elles seront poursuivies par la justice.

L’ours brun de l’Himalaya figure parmi les espèces les plus menacées au monde. Dans cette région de l’Himalaya, l’ours le plus connu est l’ours brun, qui a souvent été confondu avec la figure mythique du yéti.

Cette espèce est particulièrement menacée dans cette région de l’Asie, notamment à cause de la disparition progressive de son habitat et de la chasse pour sa fourrure, selon l’association Bear Conservation.

horreur

Publié à 13:47 par fandeloup Tags : photo homme sur france chez article femme animaux nature cadre internet soi animal
horreur

Dans l’Eure, il menotte et viole sa chienne, pendant que sa femme filme la scène

Un homme a été auditionné vendredi 14 juin 2019 par la gendarmerie de Verneuil d’Avre et d’Iton, dans l’Eure. Il est soupçonné d’avoir menotté et violé sa chienne Mya, un Dogue des Canaries de trois ans, pendant que sa femme filmait la scène.

 Mya, une Dogue des Canaries âgée de trois ans, a été menottée et violée par son propriétaire, pendant que la femme de ce dernier filmait la scène, dans l’Eure.  Un homme a été auditionné vendredi 14 juin 2019 par la gendarmerie de Verneuil d’Avre et d’Iton dans le cadre d’une enquête ouverte pour des actes de zoophilie, selon l’association Stéphane Lamart.

Queue scotchée et pattes menottées

Selon l’association, une vidéo le montrant en train de violer sa chienne Mya, une Dogue des Canaries âgée de 3 ans, a été saisie par les enquêteurs. Des images filmées par la compagne du suspect.

« Le pauvre animal a été retrouvé la queue relevée scotchée à son dos et les pattes arrière attachées avec des menottes », indique dans un communiqué l’association qui a récupéré la chienne samedi 15 juin 2019.

Vue par un vétérinaire dans leur Refuge des Orphelins, à Aunay-sur-Odon (Calvados), la chienne était « anormalement » maigre et présentait une patte tordue. Dans son communiqué, l’association reconnue d’utilité publique affirme que « le viol peut provoquer chez l’animal des troubles du comportement comme le renfermement sur soi, l’agressivité, une peur constante d’autrui outre des dégâts extrêmes et internes majeurs ».

Deux ans de prison et 30 000 euros d’amende encourus

Aujourd’hui, au XXIe siècle, il n’existe toujours pas de législation condamnant l’ensemble des faits d’origine zoophile. La loi punit seulement une disposition spécifique de la zoophilie dans son article 521-7 du Code pénal : « Le fait publiquement ou non, d’exercer des sévices graves, ou de nature sexuelle, ou de commettre un acte de cruauté envers un animal, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende. À titre de peine complémentaire, le tribunal peut interdire la détention d’un animal, à titre définitif ou non », poursuit l’association.

« Cet article se limite aux actes sexuels seulement, et ne prend pas en compte leur représentation qui est une incitation à commettre un délit. En effet, la diffusion de contenus zoophiles sur internet , ainsi que la commercialisation de contenus zoophiles dans des DVD ou dans des magazines proposés à la vente ou à la location dans les sex-shops sont toujours bel et bien légales en France. Par ailleurs, les animaux sauvages sont une nouvelle fois exclus des textes de loi visant à protéger les animaux pour des faits de zoophilie », regrette l’association.

bataille

Publié à 11:13 par fandeloup Tags : sur animaux
bataille

Mayenne - Souffrance animale : le lion Elyo placé dans un zoo refuge

One Voice combat pour qu'Elyo, le lion du cirque Buffalo, ne soit plus en cage

Les défenseurs de la cause animale, One Voice ont gagné une bataille judiciaire contre le cirque Buffalo Circus. Il y a quelques jours, le lion Elyo a donc été placé dans un "zoo-refuge".

 La bataille judiciaire durait depuis avril 2018 et la plainte déposée par l’association One Voice pour acte de cruauté. A l’époque, un vétérinaire mandaté par le Procureur de la République de Dunkerque s’était déplacé, mais la plainte avait été classée sans suite, par la justice.

Début mai 2019, Elyo vivait donc toujours dans une cage du cirque Buffalo Circus. L’association One Voice a donc récidivé et cité les deux dresseurs du lion à comparaître devant le tribunal correctionnel de Laval. Alors que se tenait l'audience de consignation, la justice demandait 3 000€ à l’association.

Elle a ainsi saisi l’animal et l’a confié à un zoo. Ce placement reste une victoire, pour l’association One Voice qui espère mettre fin "à la souffrance animale dans les cirques"et souhaite faire interdire définitivement ce type de spectacle.

En moins d'une année, l’association a suivi plusieurs animaux Maya, Lechmee et aujourd’hui Elyo. Une plainte pour actes de cruauté sur Maya est en cours d'instruction, et le 18 octobre l’association One Voice sera au tribunal de Laval pour obtenir la condamnation des dresseurs d'Elyo pour actes de cruauté.

éléphants

Publié à 07:52 par fandeloup
éléphants

Il faut savoir qu'en Thaïlande ces si belles créatures sont maltraitées dès le plus jeune âge... Elles sont dressées pour porter des humains, danser, jouer au football et faire la révérence.

horreur

Publié à 17:27 par fandeloup Tags : sur bonne vie france monde mode mort animaux place nature oiseaux
horreur

URGENT : L’Etat s’apprête à autoriser le massacre de 2 millions d’animaux !

 Le ministre de la Transition écologique et solidaire consulte le public sur le nouveau projet d’arrêté fixant pour les 3 prochaines années les listes et les modalités de « destruction des espèces susceptibles d’occasionner des dégâts » (anciennement dits « nuisibles ») dans chaque département de France. Envoyez votre avis avant le 27 juin minuit via le formulaire situé en bas de la page qui présente le projet d’arrêté.

 Les nouveaux condamnés à mort Renards, fouines, martres, putois, belettes, corneilles, corbeaux freux, étourneaux, pies, geais : tous ont le malheureux point commun de figurer malgré eux sur la nouvelle « liste de la mort » du Ministère, établie tous les 3 ans.

Si l’on se fie aux bilans de piégeage réalisés de 2015 à 2018, ce seraient plus de 2 millions d’animaux sauvages qui pourraient être à nouveau tués, piégés, déterrés d’ici le 30 juin 2022 ! Selon la loi, une espèce peut être classée « susceptible d’occasionner des dégâts » dans un département pour protéger la santé et la sécurité publiques, la faune et la flore sauvages, les activités agricoles, forestières et aquacoles et la propriété en général.

Mis à part une légère amélioration du sort de la fouine, dont le piégeage serait autorisé dans 68 départements (contre 79 précédemment), de l’étourneau (36 départements contre 44) et dans une moindre mesure du corbeau freux (56 contre 58) et de la corneille noire (82 contre 84), le projet d’arrêté est un quasi copier-coller de l’arrêté en vigueur depuis le 1er juillet 2015…

Les choses sont même pires pour le renard, puisqu’il redeviendrait « destructible » en Savoie, ainsi que dans… 90 autres départements de France ! Le Ministère de la Transition (de l’Immobilisme) écologique, n’a décidément d’yeux et d’oreilles que pour le lobby chasse, et continue à tourner le dos aux associations de protection animale qui ne cessent de dénoncer l’absurdité de tels classements, qui vont à l’encontre de toutes les études scientifiques sérieuses. Seule bonne nouvelle : le nombre de piégeurs et de chasseurs diminue d’année en année, et les Français sont de plus en plus sensibilisés à la cause animale et au respect de la biodiversité en général, une pression citoyenne qui finira bien par faire éclater la petite bulle de destructeurs qui lutte pour la survie de ses intérêts macabres.

Les positions de l’ASPAS L’ASPAS s’oppose de manière générale à la destruction illimitée d’espèces animales autochtones. En plus d’être inutiles, ces abattages portent atteinte aux équilibres écosystémiques et sont à l’origine de souffrances eu égard aux modes d’abattage et aux périodes d’abattage autorisées (pièges non sélectifs et mutilants, déterrage pour le renard, abattage en période d’élevage des jeunes, etc.).

Concernant ce projet en particulier, l’ASPAS demande : l’interdiction du déterrage du renard, l’arrêt total du piégeage et du tir de la belette et du putois dans les rares départements qui l’autorisent encore, la reconnaissance du rôle bénéfique de toutes ces espèces dans les écosystèmes et vis-à-vis des activités humaines, une refonte de la procédure de classement qui est une instruction à charge menée par les chasseurs et dont les données sont invérifiables, l’impossibilité de tuer ces espèces pour satisfaire les intérêts liés à la chasse, la mise en œuvre de méthodes alternatives à la destruction pour toutes les espèces, un zonage beaucoup plus précis de l’interdiction de tuer ces espèces en dehors des activités sensibles à leur présence.

Une refonte de notre rapport à la faune commune Si la notion de « nuisible » a enfin définitivement disparu de nos textes en 2018, ce projet démontre que dans les faits, rien n’a changé. Ce projet reprend mot pour mot les termes de l’arrêté de 2015 qu’il est censé remplacer. Les abattages pourront continuer avec les mêmes méthodes dans quasiment les mêmes départements. Naturellement présentes dans le milieu naturel, ces espèces participent aux équilibres des écosystèmes, et sont bénéfiques aux activités humaines en prédatant d’autres espèces animales ou en disséminant des végétaux.

Pour la plupart, elles jouent un rôle de police sanitaire en débarrassant la nature de cadavres d’animaux, évitant ainsi la propagation de maladies. Des modes de destruction barbares, non sélectifs, aux conséquences non contrôlées Ce projet d’arrêté continue à autoriser le piégeage de l’ensemble des espèces toute l’année ainsi que le déterrage du renard.

Or les pièges tuants, qui provoquent la mort de l’animal dès sa capture ou après de longues minutes de souffrance, sont toujours autorisés en France malgré les risques que cela fait courir aux espèces non ciblées, potentiellement protégées, et aux animaux domestiques. Le déterrage, quant à lui, engendre des heures de souffrances pour le renard traqué, et pour sa portée lorsque le déterrage a lieu en pleine période d’élevage des jeunes.

Ces pratiques barbares et non sélectives devraient être interdites. En outre, les destructions induisent nécessairement une réponse comportementale des animaux visés : ceux-ci peuvent se déplacer, adapter leur fécondité ou encore laisser une place libre que d’autres animaux vont rapidement occuper. Ces réponses rendent les destructions inutiles, voire contre-productives (propagation de maladies du fait du déplacement d’animaux porteurs d’un germe fuyant les destructions, élevage des jeunes rendu plus facile du fait de l’élimination d’animaux parasites augmentant ainsi les populations, etc.).

Les pouvoirs publics, conseillés par le monde cynégétique, continuent d’appliquer des méthodes d’apprenti-sorcier, sources de grande souffrance, sans en étudier les conséquences sur le comportement des animaux . Des prédateurs naturels tués pour satisfaire le plaisir des chasseurs L’ASPAS l’a longtemps dénoncé, et certains tribunaux l’ont même sanctionné. Pourtant, aujourd’hui, le ministère l’assume et l’écrit noir sur blanc : les prédateurs naturels peuvent être tués pour protéger le gibier des chasseurs.

Cet arrêté prévoit en effet que renard, pie bavarde, belette et autres mustélidés peuvent être tués à proximité des enclos destinés aux lâchers de gibier et dans les territoires où les chasseurs mènent des actions pour favoriser leur gibier préféré. Autant de zones dans lesquelles nos prédateurs naturels sont inévitablement attirés par une nourriture abondante et facilement accessible car peu habituée à la vie sauvage.

Un simple loisir, qui plus est aussi funeste que la chasse, ne devrait pas primer sur la préservation de notre patrimoine naturel. Protéger les activités plutôt que détruire une espèce animale Les mustélidés peuvent être piégés uniquement à proximité de certaines activités, mais tirés en tout lieu. Le renard peut être tiré partout, mais uniquement près des élevages avicoles à partir du 31 mars. L’étourneau sansonnet peut être tiré uniquement près de certaines cultures, mais être piégé partout.

Le geai des chênes peut être piégé dans les vergers et vignobles mais tiré partout, etc. Exceptée la pie bavarde qui ne peut être tuée qu’à proximité de certaines activités quel que soit le mode de destruction choisi, les espèces peuvent être détruites indépendamment des activités à protéger, même dans des lieux où aucun dégât n’a été causé, et même dans des lieux où aucun dégât n’est susceptible d’être causé.

L’objectif est donc de détruire un spécimen de l’espèce parce qu’il appartient à cette espèce, et non de trouver une solution à un problème posé par la présence de cet individu. Il est temps de recentrer les réflexions sur les moyens techniques à développer pour protéger efficacement et dans la durée certaines activités, plutôt que de privilégier le recours au fusil, facile mais inutile et dénué de toute éthique.

Des méthodes alternatives obligatoires mais incontrôlables

Les oiseaux sont protégés par la directive « Oiseaux », la martre et le putois par la directive « Habitats ». À ce titre, leur destruction ne peut être autorisée qu’après recherche, étude et mise en œuvre infructueuse de méthodes alternatives qui permettraient de protéger les activités humaines au moins aussi efficacement que leur destruction.

Pourtant, ce projet n’impose pas que la réalité de cette mise en œuvre soit constatée par une personne indépendante, laissant à chacun la responsabilité de respecter les dispositions européennes. Or la difficulté à initier ces alternatives et la facilité de recourir aux armes n’incitent pas les acteurs à préférer la méthode douce, pourtant plus efficace que la destruction. Campagnols : une lutte naturelle reconnue mais non exploitée

Ce projet entérine l’interdiction de tuer des renards et des mustélidés dans les zones où sont mises en œuvre des luttes chimiques contre les campagnols, reconnaissant ainsi le rôle d’auxiliaires que peuvent jouer ces petits prédateurs.

Cependant, la lutte chimique est toujours de rigueur, ce qui présente le problème de l’utilisation de substances nocives en pleine nature et favorise l’ingestion de poisons par les prédateurs de campagnols. En outre, lutte naturelle et lutte chimique coexistent alors que la lutte naturelle est bien plus efficace en amont des pics de pulluation, soit avant que la lutte chimique ne soit engagée. Interdire l’utilisation des armes en pleine ville La destruction à tir des mustélidés est interdite dans les zones urbanisées.

Pour des questions de sécurité évidentes, cette interdiction devrait être étendue à toutes les espèces. Le renard, une espèce classée partout en France Le renard est classé dans 91 départements (contre 90 la saison précédente, contrairement à ce qu’écrit le ministère). Cette espèce autochtone peut donc être détruite par piégeage et déterrage sur la quasi-totalité du territoire français. Pourtant, cette espèce joue un rôle utile sur les populations de certains micro-mammifères et contre la propagation de maladies en éliminant cadavres et animaux malades. Les dégâts causés aux poulaillers interviennent en général sur des installations vétustes qui ne sont pas correctement protégées, et ne justifient pas le classement du renard partout en France.

Le tort réel de cette espèce prédatrice et opportuniste est de s’attaquer un peu trop souvent au « gibier » des chasseurs, qui voient en elle une concurrente insupportable.

tristesse

Publié à 10:48 par fandeloup Tags : france jardin sur vie monde animaux place création nuit nature cadre animal chien histoire
tristesse

Cinq histoires d’animaux qui remettent en cause la captivité

Espace d’enfermement des animaux ou lieu privilégié pour leur conservation, les zoos reçoivent chaque année des millions de visiteurs. Parcours entre les cages et les vivariums avec Violette Pouillard, historienne des animaux.

Depuis l’aube du 19e siècle, profitant de la fascination du public pour la faune sauvage, les zoos se sont multipliés. Ils sont devenus un espace privilégié de rencontre entre les hommes et les animaux. Mais, au même titre que le tourisme animalier, qui fait l’objet d’un reportage dans le magazine National Geographic de juin 2019, ce type de relations mérite d’être questionné. Violette Pouillard est historienne à l’université de Gand (Belgique).

Elle s’est attelée à saisir le point de vue de la faune en captivité, en se fondant sur les récits de leurs compagnons humains, des registres vétérinaires et des travaux d’éthologues sur le comportement animal. Elle est l’auteure d’Histoire des zoos par les animaux (à paraître en novembre 2019, éditions Champ Vallon). Plongée en cinq étapes dans la vie des zoos.

 

LE LION, PREMIÈRE STAR DU ZOO

Le lion du Muséum et son chien représentés dans "La Décade philosophique, littéraire et politique"Le premier zoo naît dans le contexte de la Révolution française. Les premières lois en faveur de la libération des Hommes, et en particulier des esclaves, s’accompagnent d’un élan semblable envers les animaux. Les ménageries princières deviennent des symboles de la tyrannie. Leurs animaux sont saisis, ainsi que ceux des montreurs itinérants. Il devient rapidement indispensable de trouver un endroit pour les accueillir. L’ancien jardin du roi abrite donc la toute nouvelle ménagerie du Jardin des Plantes, qui fera ensuite des émules dans toute l’Europe.

« Deux des animaux confisqués deviennent célèbres, raconte Violette Pouillard : le lion Woira et son chien, arrivés au Muséum d’histoire naturelle en 1794. À l’époque, il est assez courant de donner des compagnons canins aux captifs pour compenser l’absence de contacts avec leurs congénères. Inséparables depuis leur élevage commun au Sénégal, ceux-ci deviennent un symbole des idéaux révolutionnaires de réconciliation avec les animaux. »

Malheureusement, les conditions de vie sont difficiles dans la ménagerie et le chien meurt un an après son arrivée. Le lion, selon les récits, sombre dans la tristesse, s’isole et meurt à son tour en 1796. Dans cette histoire émouvante, l’historienne voit aussi la trace d’un changement de relation aux animaux : « L’idéal originel de libération animale passe rapidement au second plan. Il est supplanté par l’éducation et le plaisir des foules. La Révolution veut éduquer ses citoyens et offrir à tous la contemplation des animaux. »

 

L’ÉLÉPHANT, ANIMAL EXOTIQUE

Des touristes posent avec des éléphants, au parc Maetaman Elephant Adventure, près de Chiang Mai (Thaïlande). La contemplation des animaux devient justement un moteur essentiel du développement des zoos. Les visiteurs viennent nombreux pour admirer les espèces exotiques exposées. Dès 1794, la ménagerie du Jardin des Plantes ne se contente plus des animaux réquisitionnés et achète un premier éléphant. La scénographie évolue à partir de la fin du 19e siècle. Elle est marquée par des efforts pour tenter d’imiter les milieux de vie de certaines espèces. En 1907, en Allemagne, Carl Hagenbeck, un organisateur d’expositions animales, ouvre à Hambourg le premier zoo dit « sans barreaux ».

Les animaux y sont présentés dans de grandes plaines, figurant leur environnement naturel, dans une représentation toutefois assez libre. Mais les conditions restent rudes : les besoins des animaux sont mal connus, et les maladies, courantes. La place consacrée à la scénographie extérieure empiète sur les abris. La nuit, les animaux sont enfermés dans des lieux exigus. Beaucoup ont une durée de vie courte, et les institutions doivent mettre en place un important circuit commercial pour importer régulièrement de nouveaux individus afin de remplacer les précédents. Ce commerce s’inscrit dans le cadre des politiques coloniales des puissances européennes.

« Dans les années 1930, 90 % des mammifères de la ménagerie du Jardin des Plantes sont originaires des colonies françaises, précise Violette Pouillard. Ils doivent s’adapter à la captivité, au public, mais aussi à des conditions climatiques et environnementales qui diffèrent radicalement des leurs. »

Par ailleurs, dans ce contexte colonial où les expositions d’humains existent encore, l’idée est d’offrir un aperçu de l’empire aux visiteurs, par la possibilité d’appréhender l’ensemble du monde animal en un seul regard. Cette conception ne meurt d’ailleurs pas avec la fin du colonialisme. Ces dernières années, la rénovation du zoo de Vincennes a offert plus d’espace aux animaux, ainsi que des lieux pour leur permettre de s’isoler. Un choix qui déplaît à de nombreux visiteurs, ceux-ci se plaignant du peu d’animaux présentés ou de l’absence de certaines espèces emblématiques.

 

LES REPTILES, LES INVISIBLES DU ZOO

 Dans l’ombre des espèces phares, principalement les grands mammifères, les zoos abritent aussi toute une série d’animaux que Violette Pouillard appelle les “invisibles”. Parmi eux, les reptiles sont un bon exemple : les visiteurs les regardent brièvement, en passant, sans prêter véritablement attention.

« L’accent est mis sur le côté encyclopédique, note-t-elle. Il s’agit de montrer la diversité des espèces, comme dans un musée vivant. »

Les conditions de vie de ces invisibles sont donc souvent ignorées, alors même que celles des mammifères préoccupent de plus en plus les visiteurs. Les gestionnaires de zoos eux-mêmes avouent parfois leur ignorance concernant le ressenti des reptiles et leurs besoins. Les iguanes verts, par exemple, en ont longtemps été victimes : certains pouvaient devenir léthargiques et incapables de tenir sur leurs perchoirs du fait de fractures des os. Les scientifiques ont fini par découvrir que ces reptiles, quasiment coupés de toute exposition à la lumière solaire, manquaient de vitamine D. De nos jours, des lampes à ultraviolets et des compléments alimentaires leur permettent d’avoir des os plus solides.

 

L’OURS EN MAL DE CAPTIVITÉ

Derrière un grillage, un ours blanc danse sur la glace, lors d’un show à Kazan (Russie).

En 2004, les ours de la Ménagerie du Jardin des Plantes peinaient tant à s’adapter à leur fosse que les gestionnaires du zoo parisien ont décidé de les confier à celui de Thoiry (Yvelines) pour qu’ils bénéficient d’un espace dix fois plus grand. Mais, le plus souvent, la souffrance des animaux n’a qu’un impact lent et décalé sur les politiques des zoos.

« Dans cette structure carcérale, les acteurs d’en bas sont peu entendus, pointe Violette Pouillard. Le parallèle avec la prison peut surprendre, mais il n’est pas nouveau. Dès la création des premiers zoos, des écrivains et des philosophes, notamment certains qui ont connu l’expérience de l’enfermement, critiquent la captivité des animaux. »

Cet enfermement est souvent stressant pour les animaux : ceux-ci s’ennuient, se sentent frustrés et n’ont aucun contrôle sur leurs interactions avec les visiteurs. Résultat, beaucoup développent des comportements « stéréotypiques », c’est-à-dire inutiles, répétés et causés par les conditions de captivité. Des félins se mettent par exemple à arpenter leur cage continuellement ou des ours à se balancer. Les zoos tentent donc de trouver des solutions, mais restent souvent contraints par le manque de moyens et les demandes du public.

 

LE RHINOCÉROS, ESPÈCE MENACÉE

Avec la sensibilisation du public à la souffrance animale, les conditions de vie en captivité vont plutôt en s’améliorant. Cependant, même les institutions les plus ouvertes donnent à voir des animaux sous la férule de l’homme.

« Plus que les conditions de captivité, le plus important serait de questionner notre grille d’appréhension du monde animal », critique l’historienne. D’autant que, pour de nombreuses espèces, comme le rhinocéros, la différence entre une vie en zoo et une existence confinée dans une réserve, menacée par le braconnage et soumise à la pression touristique, la différence est ténue. Les deux sont d’ailleurs loin de s’opposer. Les mêmes individus pouvant d’ailleurs passer de l’un à l’autre, au gré des programmes de conservation, notamment lorsque les zoos ont besoin de nouveaux animaux pour la reproduction en captivité.

Cette approche conservationniste, dont les zoos et les réserves sont emblématiques, n’est pas l’unique relation possible entre Hommes et animaux. C'est une option, née de la période coloniale, qui a marginalisé d'autres types de relations avec la faune. En attribuant aux animaux des espaces spécifiques ou en limitant les zones de chasse, les programmes de conservation sont d’ailleurs régulièrement entrés en conflit avec les habitants.

Violette Pouillard conclut : « Dans les réserves, comme dans les zoos, on retrouve la même séparation entre nature et culture, ainsi que la même démarche conservationniste de contrôle, avec des espaces réservés aux humains et d’autres, supposément, aux animaux. Mais ces derniers sont soumis à une pression croissante, notamment touristique et scientifique. Dans un sens, c’est le monde qui devient un zoo. »

tristesse

Publié à 08:13 par fandeloup Tags : animaux
tristesse

Ils poussent leurs propres excréments à travers les barreaux de leur cellule pour garder leur dignité intacte. Ces animaux intelligents font de leur mieux pour ne pas se noyer dans leurs propres déchets. N'ayant absolument rien à faire dans cette prison stérile, ils ont trouvé un stimulant en déplaçant leurs propres merdes à travers les barreaux. Quelle existence vraiment pourrie.

tristesse

Publié à 13:59 par fandeloup Tags : mort animaux jeune pouvoir chez
tristesse

CET ÉTÉ, FAITES TAIRE LES SOUFFRANCES DE L’ABANDON

Olaf est né chez un particulier qui l’a vendu très jeune. Mais sa nouvelle maîtresse qui n’avait pas conscience du temps qu’il fallait consacrer à un chiot l’a abandonné parce qu’il était trop remuant à son goût et pas encore propre. Arrivé dans l’un de nos refuges à l’âge de 6 mois, Olaf était désorienté, profondément choqué et passait des heures entières à pleurer derrière la grille de son box.

En plus de leur détresse émotionnelle, les animaux comme Olaf souffrent aussi souvent de blessures, de maladies, de sous-nutrition. Lorsque nous les recueillons, ils sont parfois au bord de la mort... Les bénévoles, vétérinaires et comportementalistes de nos refuges prennent le temps de réparer ces souffrances physiques et psychologiques.

Comme Olaf, les animaux abandonnés doivent surmonter le drame qu’ils ont vécu et retrouver confiance en l’homme avant de pouvoir être proposés à l’adoption. En plus de les nourrir et de les soigner, nos équipes les aident donc à se socialiser et les accompagnent tout au long de leur reconstruction pour qu’un jour, ils connaissent le bonheur de vivre au sein d’une famille aimante et respectueuse.

tristesse

Publié à 18:09 par fandeloup Tags : sur sourire animaux bonne
tristesse

Ce beau bébé pense que cet objet utilisé pour l'entraînement à la chasse est sa mère. Y a-t-il une logique et une bonne réponse pour tout ce que nous faisons aux animaux ? Les chasseurs ne se soucient pas des vies qu'ils détruisent ! Et pour quoi ? Une tête accrochée au mur ou un repas ou deux, affichant leurs meurtres avec le même sourire malsain sur les réseaux sociaux comme si ils avaient accompli quelque chose dont ils sont fiers, en réalité se sont de tueurs en série de la faune.

horreur

Publié à 15:09 par fandeloup Tags : sur france enfants nuit marne
horreur

Oise : ils tuent et découpent une vache en plein champ

Sur deux autres vaches comme celle-ci, l'agriculteur a découvert d'énorme cicatrice sur le crane, surement dues à des coups de hache.

 Plusieurs individus s’en sont pris à un troupeau à Bargny, dans le Valois, le week-end dernier. Ils ont finalement abattu à la hache et prélevé la viande d’une vache de 400 kg. L’agriculteur a porté plainte. Une scène d’horreur en pleine nuit.

Dans la soirée de samedi, un troupeau de vaches a été attaqué par plusieurs individus dans le village de Bargny. Le lendemain matin, en allant les nourrir, Dominique Garnier, agriculteur depuis 1991 a découvert la carcasse dépecée d’une génisse de 14 mois, pesant plus de 400 kg.

Ce jeudi, il doit enregistrer sa plainte à la gendarmerie de Crépy-en-Valois. L’agriculteur a pu être indemnisé à hauteur de 415 €.

« Il y avait du sang partout sur la route, se remémore-t-il, encore ému. Ils ont profité que les vaches soient dociles et se fassent souvent caresser par les enfants du village pour les approcher. »

Ici, le lait de ces 200 vaches est transformé et notamment vendu au roi du Maroc quand il est à Betz.

Deux autres bovins blessés

Les agresseurs — « une personne seule n’a pu faire ça » — auraient enfermé les vaches dans un petit enclos où elles s’abritent sous un hangar. Puis, avec une hache, ils auraient frappé plusieurs d’entre elles sur le crâne pour tenter de les tuer. Comme en témoigne la tête de deux autres jeunes bovins où deux énormes cicatrices sont encore visibles. « Ils en ont ensuite sorti une et l’ont amenée quelques mètres plus loin pour la découper », s’attriste Dominique.

Le filet, les pattes avant et arrière sont découpées « précisément, le fait d’un connaisseur ».

Dans les habitations, situées à environ 100 m, on n’a rien entendu. Cette route est très peu passante la nuit. Un acte de cruauté sévèrement puni

Si deux vaches ont été tuées sauvagement dans le nord de Seine-et-Marne en décembre, les derniers faits similaires dans l’Oise remontent à 2013 à Plailly. La gendarmerie est à la recherche de témoignages. « Il s’agit souvent d’une consommation familiale de la part des voleurs », commente la direction départementale de protection des populations (DDPP).

Pour ces faits sont considérés par la justice comme des actes de cruauté. Les auteurs risquent deux ans d’emprisonnement et une amende de 30 000 €.

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