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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Tant, tant, tant, veulent les galgueros à leurs chiens, que certains d'entre eux les marquent à feu ou avec de l'acide pour les différencier du reste
Tant, tant, tant ils en veulent quelques-uns, que quand ils n'en n'ont plus besoin, ils n'ont aucun scrupule à se separer d'eux. Encore une fois, certains galgueros montrent au monde le cruel, inhumain et insensible qu'ils peuvent devenir et à quel point ils s'inquiètent et qu'ils se soucient du bien-être de leurs chiens. On nous mélangent les entrailles juste de penser à l'angoisse, la douleur et la souffrance qu'elle a dû supporter cette pauvre créature. Ça suffit !
Dans un élevage de l’Isère, en pleine canicule, des veaux sont enfermés dans des niches individuelles et opaques... provoquant une chaleur étouffante de plus de 40°C. !
Des veaux piégés et isolés dans des niches plastique à plus de 40°C ! Stressés par l'isolement dans leurs niches opaques, les veaux sont piégés sous le soleil en pleine canicule.
Dans une exploitation de vaches laitières de l’Isère, des veaux ont été cloîtrés dans des niches individuelles en plastique des heures durant… Avec la canicule, les jeunes bovins laissés en plein soleil ont dû supporter une chaleur étouffante avoisinant les 46°C !
Une véritable torture dénoncée par la Fondation 30 Millions d’Amis, qui a alerté les services de l’État. C’est un lanceur d’alerte qui s’est adressé à la Fondation 30 Millions d’Amis pour signaler des veaux piégés en plein soleil… sous des températures supérieures à 40°C !
Dans cet élevage de l’Isère qui compte une centaine de vaches laitières, les veaux – séparés de leur mère pour permettre à l’exploitant de revendre le lait – sont enfermés dans des niches individuelles en plastique opaque : « Chaque année je vois les petits veaux tous seuls dans ces niches, et cela me brise le cœur, se désole le lanceur d’alerte.
C’est scandaleux pour ces animaux qui ne demandent qu'à vivre près de leur mère, au milieu des prés ! » Les veaux isolés souffrent d’un stress intense Ne pouvant se voir qu’en glissant leur cou à travers un interstice entre des barreaux, et surtout, privés de contact tactile – pourtant essentiel à ces animaux sociaux –, les veaux isolés souffrent d’un stress intense.
La Directive européenne sur la protection des veaux est pourtant très claire : elle interdit les logettes individuelles pour les veaux âgés de plus de 8 semaines, conformément aux demandes des associations de protection animale et à leur mobilisation au niveau européen. Entre 0 et 8 semaines, ces cases peuvent être utilisées afin de réduire la propagation des maladies, mais à condition d’être dotées de « parois ajourées permettant un contact visuel et tactile direct entre les veaux » (art. 3, directive 2008-119-CE).
Pourtant, certains éleveurs emploient encore des niches individuelles avec 3 parois sur 4 entièrement opaques, excluant tout contact direct : « Il est difficile d’évaluer en pratique si ces niches sont utilisées dans le cadre de la dérogation, à savoir en cas de problème sanitaire », explique le Dr Estelle Mollaret, vétérinaire pour l’association Welfarm contactée par 30millionsdamis.fr.
Et même lorsque l’absence de maladie est prouvée, il est facile d’éviter les sanctions. Si le ministère de l’Agriculture prévoit que la privation de contact visuel entre veaux ne doit pas excéder une journée, l’éleveur dispose de deux semaines pour régler un défaut de contact tactile* ! Une éternité pour ces animaux envoyés à l’abattoir à l’âge de 6 mois. Piégés dans la fournaise En pleine période de canicule, les veaux de cet élevage seraient restés cloîtrés dans leurs niches sous les rayons brûlants du soleil…
L’atmosphère intérieure confinée atteignant un seuil critique d’environ 46°C ! Une fournaise pour ces animaux d’à peine quelques semaines, surtout quand on sait que la zone de confort conseillée pour un veau varie entre 5°C et 25°C. En l’espèce – et sous réserve que l’isolement des veaux étaient bien nécessité par des raisons sanitaires – l’exploitation a enfreint la réglementation en exposant ces animaux directement sous le soleil :
« Les niches étaient en pleine chaleur, alors qu’il aurait été facile de les protéger », confirme le lanceur d’alerte. Près de deux millions de veaux sont abattus chaque année en France, dont la plus grande partie provient du cheptel de vaches laitières, selon l’association Welfarm.
La Fondation 30 Millions d’Amis a de son côté alerté les services vétérinaires de l’Isère sur la situation de l’exploitation mise en cause.
Les requins tuent 5 à 10 humains par an environ. L'humain tue 11'415 requins par heure. Près de 100 millions par an, dont 50 millions uniquement pour leurs ailerons. 90% des requins ont déjà disparu, en 1 siècle. Le temps est compté.
Que ce soit une hécatombe d'humains lâches et pourris, que ce soit une revanche des taureaux, qui devienne une honte pour l'Espagne l'une des nations les plus cruelles avec les animaux. Que ce soit l'année la plus sombre et la plus sombre de ces fêtes honteuses et cruelles juste pour impuissants. Je ne suis pas un activiste cruel, je suis un activiste fatigué de toute cette cruauté ' becera et gratuite sur des êtres qui ne voudraient pas être là, ils ne voudraient pas faire du mal mais ils les forcent à faire du mal.
La triste histoire de Knut, le petit ours polaire
La triste histoire de Knut, le petit ours polaire, est celle de tous les oursons, blancs ou noirs, qui sont nés derrière les vitres d’un enclos. Elle est celle des éléphanteaux, des bébés pandas, des lionceaux si mignons comme Congo, expédié de Pairi Daiza à Nicosie, dans un zoo pourri et en faillite, elle est celle de tous ces bébés animaux, adulés dans leur tendre enfance puis complètement oublié dès qu’ils deviennent des adolescents.
L’histoire de Knut, l’ourson polaire, est particulièrement atroce, en ce qu’elle nous révèle que les ours polaires ont besoin d’amour, eux aussi, plus que d’enclos réfrigérés ou de toundras de pacotille.
C’était cette petite boule de peluche, l’ourson mignon tout blanc qui naquit à Berlin sous les vivats d’une foule abrutie par la propagande commerciale de l’industrie des zoos. Toute la presse était là. Il devint aussitôt une vedette internationale et fit bondir les chiffres d’entrée du zoo jusqu’à des sommets inouïs.
Puis l’âge venant, on a fini par le castrer, l’oublier, le laisser seul dans son enclos. Il y est devenu complètement fou. Quatre ans plus tard, le 19 mars 2011, Knut est mort en direct au terme d’un désespoir insensé. Knut fut le premier ours blanc à naître dans ce zoo en 30 ans.
Ses parents, Lars et Tosca, vivaient également au zoo de Berlin. A la naissance, son jumeau et lui-même furent rejetés par leur mère et abandonnés sur un coin de rocher, où les gardiens durent les récupérer à l’aide d’épuisettes. Son frère, resté sans nom, mourut quatre jours plus tard. Knut, lui, a stupéfait le personnel médical du zoo en s’accrochant à la vie.
Après avoir passé ses 44 premiers jours dans un incubateur, il fut confié au gardien du zoo Thomas Dörflein, qui commença à prendre soin du bébé 24 heures sur 24. Son besoin d’attention constante obligea Dörflein à dormir sur un matelas à côté de Knut. Il jouait avec lui, lui faisait sa toilette et le nourrissait, d’abord avec un biberon de lait toutes les deux heures, puis avec un mélange de nourriture pour chat, vitamines et foie de morue à l’âge de quatre mois. Dörflein accompagnait aussi Knut lors de ses deux apparitions publiques quotidiennes.
Le premier de ces shows eut lieu le 23 mars 2007, une date qui devint le « Knut Day » du Zoo de Berlin. Quelque 400 journalistes visitèrent le zoo de Berlin pour assister à la toute première présentation de l’ourson à un public international. Thomas Dörflein devint une célébrité lui aussi, très appréciée du public. C’était un homme modeste et gentil, musicien à ses heures.
Malgré l’opinion d’un journaliste de Der Spiegel qui déclarait que Knut « devenait de moins en moins mignon » avec l’âge, il continua à attirer les foules au zoo. Quand il atteignit en juillet l’âge de sept mois et pesa 50 kg, ses deux apparitions publiques par jour furent annulées par souci pour la sécurité de Dörflein. Celui-ci passa outre aux instructions de sécurité en pénétrant encore plusieurs fois dans l’enclos de son ami, qui supportait mal d’être séparé de lui. Mais le gardien savait parfaitement qu’un jour, les choses risquaient de tourner mal.
En jouant, Knut pouvait tout aussi bien lui broyer la tête ou lui arracher un bras sans le vouloir. Il se conduisait toujours comme un gosse mas son corps était devenu celui de l’un des plus dangereux prédateur au monde, doté d’une force gigantesque. Le zoo de Berlin estimait pour sa part qu’il était temps que Knut commence à s’associer avec d’autres ours et non avec d’autres personnes. On le mit donc dans sa propre enceinte.
Quoique le nombre de visiteurs au zoo ait diminué par rapport aux pics en mars et avril, Knut restait encore l’une des principales attractions du zoo. 400.000 visiteurs se pressèrent pour le voir en août 2007, le record depuis l’ouverture du zoo de Berlin.
Knut ne s'est jamais remis de la mort de son gardien Quand son «père adoptif», Thomas Dörflein, mourut le 22 septembre 2008 d’une crise cardiaque. Knut resta inconsolable.
Des spécialistes du comportement animal avaient déjà mis le zoo en garde : l’ours commençait à développer des tendances psychopathologiques. Knut était trop imprégné par l’homme et la société humaine. Il ne réussirait jamais à vivre avec d’autres ours polaires ou à trouver une partenaire. Aussi, lorsque le deuil le frappa et qu’il se retrouva seul sans son ami de toujours, Knut déprima beaucoup. Certains en prirent conscience.
En décembre 2008, une homme de 37 ans pénétra dans l’enclos de Knut. « Il nous a déclaré qu’il pensait que l’ours polaire était triste et solitaire et qu’il voulait lui tenir compagnie », a déclaré Miriam Tauchmann, porte-parole de la police. « Ce type a eu beaucoup de chance que rien de grave ne soit arrivé après un acte aussi idiot ! »
Mme Tauchmann a précisé que l’homme avait franchi la clôture et était descendu dans la tranchée remplie d’eau qui borde l’enclos de l’ours. Il a ensuite ignoré les ordres des gardiens du zoo de revenir immédiatement, tandis qu’il tentait d’attirer Knut hors de sa tanière avec de la viande. L’homme n’a quitté l’enceinte que lorsque la police est arrivée 20 minutes plus tard. Il a refusé un traitement médical contre l’hypothermie présumée puis il a été libéré.
Knut, le petit orphelin câlin qui captivait naguère les amoureux des animaux du monde entier, a maintenant deux ans. Il est devenu un grand prédateur adolescent de 440 livres. Knut vit seul dans son enclos depuis le décès de M. Doerflein d’une cause cardiaque, en septembre ».
En 2010, des images nous le montre rossé par un autre ours polaire blanc et tombant dans la fosse. Après plusieurs tentatives pour socialiser Knut, le zoo de Berlin promit de le déplacer dans un autre zoo, doté d’enclos plus vastes, mais rien ne fut fait en ce sens.
Le 19 mars 2011, Knut mourut seul, foudroyé par une sorte d’attaque. On le voit tourner sur lui-même pendant un moment, puis saisi par une sorte d’attaque qui le fait trembler puis chuter lourdement dans l’eau des douves de son enclos. Le corps tombe mais ne remonte pas. Knut vient de mourir devant six cent visiteurs épouvantés. Knut n’avait que quatre ans, c’était encore un enfant malgré ses deux cent kilos de muscles.
Les ours polaires mâles n’atteignent pas la maturité avant 10 ou 11 ans, et leur espérance de vie, selon le zoo de San Diego, se situe entre 15 et 18 ans pour les mâles et vers 25 ans pour les femelles en milieu naturel.
Debby, le plus vieil ours polaire en captivité, a été euthanasiée en novembre 2008, à l’âge de 42 ans, au zoo Assiniboine Park de Winnipeg, au Canada. Knut a rapporté 2 millions d’euros au zoo de Berlin en 2007 Quant à Knut, la cause de sa mort n’a bien sûr rien à voir avec la perte de son ami gardien, ni avec son chagrin.
Les autopsies ne prennent pas en compte les états d’âme des animaux. Le jeune ours polaire aurait simplement succombé à une « encéphalite auto-immune ». Le premier rapport d’autopsie avait fait chou blanc, malgré sa recherche presque désespérée de trouver un agent pathogène en utilisant toutes les méthodes les plus modernes, un séquençage de nouvelle génération et toutes les méthodes classiques de sérologie, et qui n’avait abouti à rien.
« Fort heureusement, le Dr Harald Prüss, neurologue au Centre allemand des maladies neurodégénératives de Berlin avait lu le premier rapport d’autopsie après la mort de Knut. Il avait remarqué que les symptômes ressemblait beaucoup à une maladie humaine traitée dans sa clinique, appelée encéphalite à récepteurs anti-NMDA.
Cette maladie, très rare, survient lorsque les anticorps, les cellules immunitaires conçues pour reconnaître les agents étrangers, se lient aux récepteurs du glutamate dans le cerveau, ce qui entraîne leur dysfonctionnement. L’encéphalite à récepteurs anti-NMDA affecte environ une personne sur 200.000. Elle provoque d’abord de la fièvre, des maux de tête puis un état de psychose avant de dégénérer en problèmes moteurs, en convulsions et en décès si elle n’est pas soignée à temps ».
Ce n’était donc ni un virus, ni un microbe mais les conséquences d’une chute brutale des défenses immunitaires. Qu’une dépression nerveuse peut causer aussi…Mai tout de même !
Comme le zoo de Berlin a bien fait d’enregistrer le mot « Knut » comme marque déposée en mars 2007 ! Du coup, ses actions à la Bourse de Berlin, normalement d’environ 2 000 €, doublèrent de valeur, atteignant un pic de 4 820 € une semaine plus tard. Rien qu’en 2007, il avait déjà rapporté au zoo plus de 2 millions d’euros nets. Plusieurs entreprises ont profité de l’intérêt du public pour Knut en développant des produits à thème.
L’entreprise de bonbons Haribo créa un ourson en gelée parfum framboise appelé Cuddly Knut en avril 2007 ; elle promit de verser dix centimes d’euro au zoo pour chaque boîte vendue. Ils en vendirent tellement que l’entreprise dut augmenter la production de ces bonbons dans une seconde usine pour pouvoir répondre à la demande.
Choquant ? Pas du tout !
Gerald Uhlich, membre du conseil d’administration du zoo, déclara que Knut était devenu un merveilleux « moyen de communication ». Il pouvait « attirer l’attention sur l’environnement d’une manière sympathique. Pas d’une manière menaçante ou grondeuse». En conséquence, le ministre allemand de l’environnement, Sigmar Gabriel, adopta officiellement Knut comme mascotte d’une conférence sur les espèces menacées qui a eu lieu à Bonn en 2008. Le ministre rencontra Knut peu après sa première apparition devant le public du zoo, déclarant que même si Knut avait l chance d’être bien protégé au zoo, « partout, dans l’Arctique les ours polaires sont en danger. Si Knut peut aider la cause, eh bien, c’est une bonne chose ».
Knut a-t-il sensibilisé le public au changement climatique ?
Knut a-t-il aidé la cause ?
Les visiteurs sensibilisés par cette boule de poils blancs si médiatiques ont-ils changé leurs modes de vie, renoncé à la voiture et à la viande pour stopper l’effet de serre ? Fait-il moins chaud au Pôle Nord aujourd’hui qu’en 2007 ? Bien sûr que non. Par contre, il fait de plus en plus chaud dans les zoos, dont l’ours polaire est devenu l’incontournable attraction, et plus encore s’il se reproduit. Tout le monde en veut et même Pairi Daiza s’y mettra dès lors qu’une certaine contestation commercialement inopportune aura été réduite au silence à coups de procès et de publi-reportages.
Au Monde Sauvage d’Aywaille, les ours polaires cuisent déjà sous la canicule, des bébés y naissent et y meurent mais là non plus, il n’est pas conseillé de critiquer leur présence au risque de gros ennuis judiciaires, comme c’est le cas aujourd’hui pour l’association Wolf Eyes. C’est que, voyez-vous, tous les zoos sont restés marqués par cette histoire de Knut.
Non par sa mort ou sa souffrance mais par les flots d’argent frais que sa courte existence a pu rapporter. Il ne faudrait donc pas qu’on leur coupe la route.
Lemégot est une catastrophe environnementale.
Karen Mason était en visite à St. Pete Beach, en Floride, lorsqu'elle a remarqué qu'un oiseau de mer donnait un mégot à son poussin. Elle a publié ces 2 photos sur sa page facebook afin d’alerter les baigneurs des dangers causés aux animaux et à la vie marine par les filtres de cigarettes et autres détritus. Dans le monde, 4 300 milliards de mégots de cigarettes sont jetés dans les rues chaque année soit 137 000 mégots par seconde.
Au moins 30 milliards de mégots seraient jetés au sol chaque année rien qu’en France. L’an dernier, l’association Surfrider, association œuvrant pour la protection des océans, a ramassé 9500 mégots au canal St Martin (10 ème arrt - Paris) en seulement 3 heures.
Les filtres de cigarette sont composés d’acétate de cellulose, ils peuvent mettre jusqu’à 15 ans pour se dégrader dans la nature. Ces mégots représentent un réel danger pour l’environnement.
Ce déchet créé des risques de pollution chimique car il contient de nombreux composants nocifs pour l’environnement (nicotine, ammoniac, cadmium, arsenic, mercure, plomb…). Un mégot est susceptible à lui seul de polluer 500 litres d’eau.
Dans un seul mégot, il y a assez de poison pour tuer la moitié des poissons mis dans un litre d’eau, le tout en seulement 96 heures. Sans parler des risques d’ingestion par les animaux , qu’ils soient marins ou terrestres, qui en ingérant un mégot peuvent mourir en s’étouffant ou en s’empoisonnant.
Épargnez la nature, ne jetez pas vos mégots n’importe où ! Chacun de nous peut agir au quotidien !
Chaque jour nous sommes confrontés à l’horreur , c’est notre quotidien…
Chaque jour nous sommes confrontés à l’horreur et les photos comme celles-là sont devenues notre quotidien. Des appels au secours nous en avons tous les jours de toute l’Espagne mais malheureusement nous ne pouvons venir en aide à tout le monde sans pénaliser nos propres refuges et bien sûr c’est un crève-cœur à chaque fois
D’habitude la période d’été est plutôt calme mais cette année les galgos continuent d’affluer dans nos différents refuges. En effet les chasseurs commencent les sélections et se débarrassent des plus faibles et des moins performants.
Souvent ils les laissent dans la nature alors les Galgos divaguent durant des semaines et finissent par se faire taper par une voiture. Alors il faut les opérer ce qui engendre des coûts énormes pour les refuges si les associations qui prennent ces chiens en charge n’aident pas financièrement.
Beaucoup de Galgos sont emmenés dans les perreras (fourrières) et bien sûr ils y sont euthanasiés, alors les refuges vont les récupérer dans la mesure des places disponibles.
Oreo et Galaxy vont grossir le nombre des fracturés à l’hôpital de la FBM et demain il y en aura d’autre et ainsi de suite…. les chiens s’entassent.
LSF va financer des travaux d’extension car la clinique est devenue bien trop exiguë. Nous allons également aménager la salle de réhabilitation, il va falloir acheter du matériel, peut être une baignoire de balnéo suivant le prix.
Lorsque vous adoptez un Galgo fracturé, vous ne payez que 280 euros, le montant d’une adoption normale (vaccins, stérilisation, tests MM et transport), tout le reste est financé par LSF.
https://www.levriers-sans-frontieres.com/
Vous pouvez nous aider en faisant un don, soit par paypal sécurisé via notre site, soit par chèque à envoyer à LSF 43 rue de paris 10700 Villette sur Aube. Les dons sont déductibles de vos revenus un reçu fiscal vous sera envoyé.
Ajaccio : un chiot meurt de chaleur dans une voiture alors que son maître fait ses courses
Le chiot avait été laissé pendant plus d’une heure enfermé dans la voiture stationnée sur le parking d’une grande surface.
L'imprudence d'un automobiliste a été fatale à un chiot. Un jeune boxer délaissé par son maître à l'intérieur d'une voiture en plein soleil est mort mercredi à Ajaccio en raison des fortes chaleurs, rapporte Corse Matin.
L'automobiliste qui stationnait sur le parking d'une grande surface, à Ajaccio, avait laissé son chiot dans le véhicule pendant plus d'une heure pour aller faire tranquillement ses courses.
Le petit chien a suffoqué et n'a pas survécu à la chaleur. En, effet, le chien est un animal qui thermorégule très mal et qui a énormément de mal à évacuer la chaleur.
Il faut savoir que les services de Météo France indiquaient une température extérieure avoisinant les 30° mercredi dans la région d'Ajaccio. Dans ce contexte, à l'intérieur d'une voiture la température monte à 40° au bout de dix minutes, puis à 50° au bout de vingt minutes pour atteindre les 80° après une heure.
A chaque pic de chaleur, des drames se produisent avec les voitures garées en plein soleil : celle-ci se transforment très rapidement en véritable four, même avec une fenêtre laissée entrouverte.
La direction départementale de la sécurité publique a relevé l'infraction de mauvais traitement exercé sur un animal. Pendant la période estivale et particulièrement pendant les périodes de fortes chaleurs, la SPA rappelle de ne pas laisser votre animal dans une voiture ou dans une véranda (ou tout espace accumulant la chaleur) ou dans un jardin sans ombre.