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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Éliminez définitivement le tartre de manière naturelle
Le tartre est une plaque de bactéries de couleur jaune qui s’accumule sur l’émail de nos dents et durcit, en particulier près de la gencive, et ce pour plusieurs raisons.
Le tartre enlaidit notre dentition. Dans cet article, nous vous expliquerons ce qui cause le tartre, ainsi que les moyens de l’éliminer de la manière la plus naturelle possible, par notre alimentation, avec des remèdes naturels et quelques conseils simples.
Les causes du tartre
La cause principale du tartre est d’avoir une alimentation trop acide, riche en sucres, en aliments raffinés et en mauvaises graisses. Même si de nombreuses personnes pensent que la raison principale est une mauvaise hygiène buccale, elle ne serait pas aussi nécessaire si nous consommions assez de fruits et de légumes crus.
Une mauvaise hygiène dentaire contribue à l’apparition de la plaque bactérienne.
Le café, le thé noir et le tabac
Pourquoi faut-il éviter la formation de tartre ?
Le tartre ne pose pas seulement un problème esthétique. Si l’on ne le prévient ou ne le traite pas, au fil du temps cette accumulation de bactéries peut provoquer une inflammation des gencives, qui peut mener à une gingivite.
Les aliments et compléments bénéfiques Les aliments les plus recommandés sont les fruits et les légumes crus, en particulier les pommes et les légumes à feuilles vertes comme les épinards, la blette, la laitue, la roquette, etc.
Le sésame, pour sa grande teneur en calcium.
La stévia est une plante qui agit comme un édulcorant naturel. Il est très bénéfique pour nos dents.
L’eau de mer est un complément reminéralisant qui nous aide à laver et à renforcer nos dents, tout en étant alcalin.
La coenzyme Q-10 est recommandée quand le tartre cause aussi une gingivite.
L’argile blanche à usage oral nous aide à apporter des alcalins à notre organisme et améliore le pH de notre bouche.
Les bains de bouche à l’huile Les bains de bouche à l’huile de tournesol sont une méthode de soin de la culture ayurvédique d’Inde. Ils nous permettent de nettoyer nos dents, de traiter les problèmes de bouche ainsi que d’évacuer les toxines et de nettoyer notre bouche en profondeur. Ils sont particulièrement recommandés en cas d’infections buccales, de problèmes de gencive, de plaque dentaire, de dents jaunes ou affaiblies.
Il nous suffit d’un peu d’huile de tournesol ou de sésame à première pression à froid. Dans cet article, nous vous expliquons en détail comment traiter les problèmes de bouche les plus fréquents.
Le charbon actif
Le charbon actif est un excellent remède pour blanchir et nettoyer nos dents, ainsi que pour prévenir les maladies de la bouche. Vous pouvez vous en procurer dans des herboristeries ou des magasins de produits naturels. Il suffit de bien se brosser les dents avec cette poudre pendant deux minutes.
Malgré sa couleur noire, après vous être bien rincé la bouche, vous verrez que vos dents sont plus propres. Il est fondamental que le charbon soit d’origine végétale (bois, noix de coco, etc.) et qu’il ne provienne pas du pétrole.
L’eau oxygénée et le bicarbonate de soude
L’eau oxygénée est un excellent traitement de blancheur naturel, c’est pourquoi elle peut être utilisée une fois par semaine. Ajoutez trois gouttes sur votre brosse à dents.
Le bicarbonate de soude est un autre remède ancien pour nettoyer nos dents, mais aussi prévenir l’acidité buccale. Nous pouvons l’utiliser pour nous brosser les dents doucement, afin de ne pas rayer l’émail, pas plus de deux fois par semaine.
Quelques conseils pour finir
Comme nous l’avons vu dans cet article, il est fondamental d’avoir une bonne hygiène dentaire au quotidien : Il faut se brosser les dents après chaque repas, pendant au moins deux minutes, en insistant bien sur toutes les dents et les molaires.
Il vaut mieux utiliser un dentifrice écologique et naturel, puisque les dentifrices conventionnels contiennent des substances trop agressives pour le pH de notre bouche.
Il est important d’utiliser du fil dentaire chaque soir avant de se coucher, pour éliminer les restes de nourriture coincés entre nos dents. Vous pouvez également utiliser un bain de bouche.
Si vous voulez qu’il soit naturel, faites-en un à partir d’une infusion de thym et de menthe ou avec de l’eau de mer diluée dans une quantité deux fois et demie équivalente d’eau douce.
Si le tartre est ancien, il faut se rendre chez le dentiste pour réaliser un détartrage, même s’il ne faut pas le faire trop souvent, puisque cela pourrait abîmer notre émail. Partager
Le miel et le gingembre tuent les superbactéries mieux que les médicaments
Les bactéries se sont métamorphosées en des souches résistantes de superbactéries, ce qui rend les industries pharmaceutiques incapables de les maitriser, mais la recherche émanant de l’Institut de Médecine d’Ethiopie à l’Université de Gondar, prouve que nous n’avons pas besoin de Big Pharma pour traiter des maladies qu’ils ont ironiquement contribué à créer.
Une combinaison d’extrait de gingembre en poudre et de miel est si efficace qu’elle inhibe la croissance de superbactéries comme le SARM, l’E. Coli, et même les bactéries qui causent la pneumonie. Le SARM (staphylococcus aureus résistant à la méticilline), L’Escherichia coli et la Klebsiella pneumoniae sont parmi les superbactéries les plus dévastatrices.
Pourtant, lorsque les chercheurs ont comparé ce mélange de miel éthiopien et de poudre de gingembre par rapport à trois antibiotiques différents pour tester leurs capacités respectives à tuer les superbactéries, la combinaison de gingembre et miel a gagné et ce, considérablement. (Ils ont également testé une solution de gingembre et d’eau pour faire bonne mesure).
Le résultat de l’étude a conclu:
« Conclusion :
Le résultat de cette étude a montré que le mélange de miel – poudre de gingembre a le potentiel de servir de source bon marché d’agents antibactériens, spécialement concernant les souches de bactéries résistantes aux médicaments ».
(Outre cette étude, voici 8 antibiotiques naturels que vous devriez envisager d’utiliser).
Chaque « bouillon » de culture auquel les superbactéries ont été exposées a été cultivé pendant 20 à 24 heures. Les trois antibiotiques utilisés étaient parmi les plus puissants que l’industrie a jamais créés: la méthicilline, l’amoxicilline, et la pénicilline.
5 tests furent conduits pour le traitement de chaque bactérie :
Le Staphylococcus aureus (SARM et non-SARM) L’Escherichia coli (deux souches différentes) La Klebsiella pneumoniae Avec ces trois superbactéries, la combinaison de gingembre et miel était plus efficace pour inhiber la croissance que tous les antibiotiques.
Le seul antibiotique qui s’en soit un peu rapproché était l’amoxicilline. Les capacités d’inhibition des superbactéries de ce duo de choc étaient en moyenne de 25,62 et allaient de 19 à 30 – battant tous les antibiotiques pharmaceutiques haut la main.
L’extrait de gingembre n’a pas été préparé de façon fantaisiste non plus. Les chercheurs ont simplement fait sécher des morceaux de racines coupées en tranches à 37 degrés pendant 24 heures puis les ont moulus et mélangés avec du méthanol et de l’éthanol pour en faire une solution à 50%.
Ceci a ensuite été mixé avec le miel pour obtenir une combinaison exacte de 50-50. L’extrait aqueux de gingembre n’avait aucun effet inhibiteur sur les bactéries. C’est ce que d’autres recherches ont indiqué: l’alcool semble extraire les constituants antibiotiques du gingembre.
Nous pouvons continuer à prendre des antibiotiques toxiques et préjudiciables pour notre santé qui annihilent notre immunité naturelle, ou bien nous pouvons prendre du gingembre et du miel préparés selon la recette ci-dessus et jouir d’une santé étonnante.
C’est un choix évident pour moi.
HORRIBLE: Un professeur de Berkeley : « Les gens ne meurent pas du cancer mais de la chimiothérapie »
Ce professeur a étudié la chimiothérapie et ses effets sur les patients pendant 25 ans. Ses conclusions étaient plus que consternantes ! Il se trouve que l’industrie du cancer n’est rien de plus que l’industrie !
Le cycle complet implique chaque médecin, hôpital, compagnie pharmaceutique et presque toute personne concernée. Ils en retirent des gains à chaque fois qu’un patient décide de subir un traitement dangereux comme la chimiothérapie, la radiothérapie et la chirurgie pour enlever les parties du corps affectées.
La science confirme ces conclusions, même si l’industrie médicale affirme que la chimiothérapie aide les patients à gagner la lutte contre cette maladie pernicieuse.
Le Dr Hardin B. Jones est un ancien professeur de physique médicale et de physiologie à l’Université de Berkeley en Californie. Il a basé son étude sur l’espérance de vie des patients atteints de cancer pendant plus de 25 ans.
Il a décidé de faire sa propre recherche après avoir constaté que la chimiothérapie ne fonctionne pas du tout. Il dit que les patients qui subissent une chimiothérapie finissent souvent par mourir d’une manière horrible. Les patients qui suivent une chimiothérapie meurent aussi plus rapidement et éprouvent plus de douleurs que ceux qui acceptent une thérapie différente.
Le Dr Jones a constaté que les médicaments de chimiothérapie abrègent la vie du patient et finissent par le tuer. Tout ça est gardé secret parce que les intéressés gagnent des millions de dollars.
❝ « Les personnes qui ont refusé le traitement de chimiothérapie vivent en moyenne 12 ans et demi de plus que les personnes qui reçoivent une chimiothérapie », a expliqué le Dr Jones dans son étude publiée dans le New York Academy of Sciences. « Les gens qui acceptent la chimiothérapie meurent dans les 3 ans, et de nombreuses personnes, seulement quelques semaines après le début du traitement ».
« Les patientes atteintes de cancer du sein qui rejettent la thérapie conventionnelle vivent 4 fois plus longtemps que celles qui suivent le système. C’est bien sûr quelque chose que vous n’entendrez pas dans les médias conventionnels qui continueront à propager le mythe que la chimiothérapie est le meilleur remède pour combattre le cancer! ».
En 1979, le Journal de l’American Medical Association (AMA) a publié une étude selon laquelle les traitements les plus courants pour le cancer du sein, qui sont encore en usage, ne font en fait rien pour diminuer le taux de développement du cancer du sein ni même pour prolonger la vie.
Des conclusions similaires ont été confirmées dans deux autres études publiées dans The Lancet en 1980. L’une des études a été menée en Israël en 1978 et l’autre en Grande-Bretagne. Elles ont toutes deux révélé que la chimiothérapie ne pouvait pas améliorer le taux de survie des patientes diagnostiquées du cancer du sein.
❝ « La vérité soigneusement cachée est que beaucoup de gens qui sont morts du cancer sont en fait morts du traitement qui comprenait la chimiothérapie ou la radiothérapie. La chimiothérapie agit en tuant les cellules saines du corps avant qu’elles puissent détruire le cancer, qui peut se développer très lentement et dans certaines conditions naturelles, peut même s’arrêter et régresser, » comme il est expliqué dans l’étude.
Les patients qui meurent du cancer meurent en fait de malnutrition. C’est le résultat du fait que les cellules cancéreuses absorbent les nutriments du corps, et en fin de compte détruisent le système immunitaire. Le corps ne peut pas se défendre dans de telles conditions.
Malheureusement, la médecine moderne ne veut pas que vous connaissiez le secret sur les thérapies conventionnelles du cancer. Un seul traitement coûte de 300 000 à 1 million de dollars ! Comme vous pouvez le voir vous-même, cela est la raison principale pour laquelle la chimiothérapie est offerte aux patients diagnostiqués de cancer.
Les médicaments de chimiothérapie ne peuvent pas détruire le cancer ni prolonger la vie. La seule chose qu’ils puissent faire est d’affecter le corps au point de finalement tuer les patients.
En savoir plus sur http://www.onsaitcequonveutquonsache.com/2015/12/horrible-un-professeur-de-berkeley-les-gens-ne-meurent-pas-du-cancer-mais-de-la-chimiotherapie/#OJh6yZSoS74m0YA2.99
Ce que font ces 6 dangereux médicaments populaires
Ce n’est pas parce que votre médecin vous prescrit un médicament qu’iI est forcément bon de le prendre. Il s’avère que de nombreux médicaments couramment prescrits peuvent avoir de sérieux effets secondaires, des nausées et maux de tête de courte durée à une myopathie inflammatoire chronique ou une maladie cardiaque – voire pire.
D’importantes informations sont souvent cachées au public, ce qui perpétue l’idée selon laquelle les autorisations délivrées par les agences du médicament dépassent de loin les risques. Pour vous aider à mieux comprendre le sujet, voici six classes de médicaments et pourquoi vous devriez y réfléchir à deux fois avant de les ingérer.
1) Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) .
Des millions de personnes prennent des IPP pour atténuer les symptômes du reflux gastro-oesophagien, une maladie où des aliments et des acides remontent dans l’œsophage, provoquant des dégâts.
Or, il est apparu que les IPP bloquent l’absorption des nutriments et empêchent la production nécessaire d’acide par l’estomac, ce qui peut provoquer d’autres problèmes de santé.
La Food and drug administration (FDA, l’agence du médicament américaine) a publié au moins une douzaine de mises en garde contre les IPP, évoquant un risque accru de diarrhée bactérienne, de carence en magnésium et de fracture des os.
Leur consommation sur le long terme a aussi été reliée à une augmentation du risque de pneumonie et à un gain de poids dangereux pour la santé.
2) Les statines.
En tête des classes de médicaments les plus vendues plusieurs années d’affilée, les statines sont considérées par le corps médical comme un médicament miracle contre le cholestérol et les maladies cardiaques.
Les médicaments à base de statines populaires, comme le Lipitor et le Crestor, augmentent de manière importante les risques de diabète, de maladie du foie, de dommages au cerveau, d’atrophie musculaire et de mort prématurée.
Les effets secondaires des statines sont si sérieux que la FDA a récemment élargi ses mises en garde officielles concernant leur utilisation. En outre, des douzaines d’études ont montré que la prise de statines a peu d’effets, voire aucun, dans la prévention des crises cardiaques ou des AVC.
3) Les antibiotiques.
Cause principale de l’apparition de « superbactéries », les antibiotiques sont aussi une classe de médicaments qui peut créer des problèmes de santé sur le long terme sans apporter beaucoup, voire sans aucun bénéfice.
Exagérément prescrits en dépit du bon sens pour des problèmes auxquels ils ne répondent souvent pas, les antibiotiques et leur utilisation abusive par le corps médical ont rendu de nombreuses infections plus virulentes et impossibles à traiter.
Selon le docteur Shane Ellison, du blog The People’s Chemist, les trois antibiotiques courants les plus dangereux sont la lévofloxacine, la vancomycine et la bactrim.
Le Dr Ellison cite aussi les quinolones, la classe d’antibiotiques la plus couramment prescrite, toute aussi dangereuse, indiquant que des antibiotiques comme la ciprofloxacine, la moxifloxacine et l’ofloxacine peuvent provoquer une invalidité sérieuse et permanente.
4) Les antipsychotiques.
L’une des classes de médicaments les plus mortelles, les antipsychotiques, sont couramment prescrits pour des problèmes comme la schizophrénie, les désordres bipolaires, les dépressions sévères, ainsi que pour des problèmes de moindre importance comme de légers désordres de l’humeur et de l’anxiété chronique.
Mais les antipsychotiques courants comme le fumarate de quétiapine, le rispéridone et l’olanzapine font augmenter les taux de sucre et de cholestérol et favorisent la prise de poids. Plus graves encore sont les dommages neurologiques et du cerveau qui peuvent résulter de la prise d’antipsychotiques, sans compter l’élévation du risque de syndrome métabolique qui peut inclure de graves problèmes de santé, comme une maladie cardiaque ou du diabète.
Les antipsychotiques sont si dangereux qu’une étude publiée dans le British Medical Journal les a déclarés plus mortels que le terrorisme.
5) Les analgésiques opioïdes.
Il a été officiellement déclaré que des médicaments vendus en pharmacie sont l’une des causes principales de décès aux États-Unis aujourd’hui. Cela est en grande partie dû à l’usage d’analgésiques à base d’opioïdes comme la vicodine, l’oxycodone, la codéine et la morphine.
Selon une étude émanant de l’Université Brandeis, dans le Massachusetts, les analgésiques sont maintenant responsables de plus d’overdoses fatales que l’héroïne et la cocaïne réunies.
6) Les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS).
Les antidépresseurs à base de fluoxétine, de sertraline, de paroxétine et d’escitalopram existent depuis des années, mais on prête généralement beaucoup moins attention à leurs dangers qu’ils le mériteraient. Des effets secondaires comme des tendances suicidaires, un dysfonctionnement sexuel, des saignements gastro-intestinaux et des maladies cardiaques ne sont que la partie émergée de l’iceberg concernant les ISRS.
Dans certains cas, ils peuvent aggraver les symptômes de la dépression, poussant certains individus à devenir violents. Donc, avant d’en prendre, renseignez-vous sur leurs effets secondaires.
Dr. Julien ROUÉ CHIRURGIE ORTHOPÉDIQUE
Prothèse inversée de l’épaule Le problème : Arthrose excentrée de l’épaule L’épaule correspond à l’articulation entre l’omoplate et l’humérus.
La partie supérieure de l’humérus constitue une tête qui pivote dans un creux de l’omoplate qui est la glène .
Les surfaces articulaires de glissement sont recouvertes de cartilage. Le muscle deltoïde et les tendons de la coiffe s’insèrent autour de la tête de l’humérus et participent aux mouvements d’élévation et de rotation du bras
L’arthrose excentrée est l’usure du cartilage associée à une ascension de la tête humérale due à la rupture des tendons de la coiffe. Cette usure s’accompagne aussi de remaniements de l’os de l’humérus et de l’omoplat
Ces modifications occasionnent une douleur et une diminution de la mobilité ainsi qu’une difficulté à utiliser le bras nécessitant l’utilisation importante d’anti-inflammatoires et d’anti-douleurs. L’usure du cartilage est irréversible et l’arthrose ne guérit pas spontanément.
L’évolution naturelle se fait vers une dégradation progressive de l’articulation, une limitation de plus en plus importante des mobilités et une utilisation de plus en plus difficile du bras. Les anti-inflammatoires et les anti-douleurs qui peuvent suffire au départ finissent par ne plus être efficaces.
C’est à ce moment que se pose la question d’une intervention chirurgicale. Le but de l’opération est le soulagement de la douleur, la récupération des mobilités de l’articulation et l’utilisation normale du bras.
L’intervention :
L’intervention consiste à enlever les zones d’os et de cartilage qui sont usés, et de les remplacer par des pièces artificielles permettant d’actionner le muscle deltoïde pour compenser la rupture des tendons de la coiffe. Une incision courte est réalisée au niveau de la partie antérieure de l’épaule. Les différents muscles sont écartés pour accéder à l’articulation. La tête humérale est enlevée, puis l’os de l’humérus et de la glène sont préparés pour recevoir la prothèse
La prothèse comporte deux parties :
la boule qui est implantée au niveau de l’omoplate et la partie creuse avec une tige qui est implantée au niveau de l’humérus
Cette prothèse totale d’épaule dite inversée déporte le centre de rotation de l’articulation vers l’omoplate ce qui permet au deltoïde d’être plus actif et de suppléer les tendons de la coiffe. L’intervention est réalisée sous anesthésie générale. Une anesthésie loco-régionale peut y être associée.
Elle dure en moyenne une heure et demie et nécessite une hospitalisation d’environ une semaine. Après l’opération, un pansement stérile ainsi qu’une attelle sont mis en place. Le traitement de la douleur sera mis en place, surveillé et adapté de manière très rapprochée dans la période post-opératoire.
La rééducation post opératoire et la reprise des activités Le lendemain de l’intervention, le kinésithérapeute vous lève et vous aide à mobiliser votre épaule.
L’attelle est progressivement abandonnée. A la sortie de la clinique, la rééducation peut être réalisée en centre ou chez votre kinésithérapeute. La reprise du volant est envisageable après le 2ème mois. Celle du travail survient en général après le 3ème mois et cela en fonction de votre profession, une activité de bureau pouvant être plus précoce.
Les activités sportives débutent généralement entre le 3ème et le 6ème mois et cela en fonction du sport pratiqué. Les risques et les complications
En plus des risques communs à toute intervention chirurgicale et des risques liés à l’anesthésie, notons quelques risques plus spécifiques à cette chirurgie :
Une raideur articulaire peut se développer si la rééducation post-opératoire n’est pas bien prise en charge. Il est possible que la zone opérée saigne après l’intervention et qu’il se forme un hématome. En fonction de l’importance du saignement, une évacuation de l’hématome ou une transfusion peuvent s’avérer nécessaires.
La survenue d’une infection de la prothèse, bien que rare (risque inférieur à 1 % dans notre établissement), est une complication sévère puisqu’elle peut nécessiter le changement de la prothèse ainsi qu’un traitement antibiotique de longue durée. Quand elle est détectée rapidement, un simple lavage de la prothèse et une mise sous antibiotiques peuvent être suffisants.
Les nerfs qui entourent l’épaule peuvent être accidentellement blessés. Cette complication exceptionnelle peut occasionner une douleur ou une perte de la sensibilité et de la motricité de certaines parties du bras.
Des petits caillots de sang solidifié peuvent se former et se coincer dans les veines du bras occasionnant une phlébite. Un traitement anticoagulant est alors nécessaire. La prothèse de l’épaule peut se déboîter lors de certains mouvements comme peut l’être une épaule normale.
Ce risque reste néanmoins très minime. Les risques énumérés ne constituent pas une liste exhaustive. Votre chirurgien donnera toute explication complémentaire et se tiendra à votre disposition pour évoquer avec vous chaque cas particulier avec les avantages, les inconvénients et les risques de l’intervention.
Les résultats Les résultats de cette chirurgie sont très encourageants puisqu’on retrouve une disparition complète des douleurs et une récupération rapide de la mobilité dans la grande majorité des cas.
L’utilisation aisée du bras est obtenue généralement dans les deux mois suivant l’intervention. On récupère en général 60 à 70% de la fonction d’une épaule normale. Même si la reprise des activités courantes est habituelle, il est tout de même préférable d’éviter les travaux de force et les sports violents.
Ces activités peuvent augmenter l’usure et diminuer la durée de vie de la prothèse malgré l’utilisation de nouveaux matériaux plus résistants. Certaines activités sollicitant de manière douce l’épaule comme le footing, la natation ou la randonnée sont possibles voire conseillées alors que la prudence s’impose pour le tennis, le golf et le bowling.
La durée de vie moyenne est d’environ 10 à 15 ans. On peut espérer qu’avec les progrès sur les matériaux utilisés aujourd’hui, les résultats seront encore meilleurs avec une longévité plus importante.
Dr. Julien ROUÉ CHIRURGIE ORTHOPÉDIQUE
Prothèse inversée de l’épaule Le problème : Arthrose excentrée de l’épaule L’épaule correspond à l’articulation entre l’omoplate et l’humérus.
La partie supérieure de l’humérus constitue une tête qui pivote dans un creux de l’omoplate qui est la glène .
Les surfaces articulaires de glissement sont recouvertes de cartilage. Le muscle deltoïde et les tendons de la coiffe s’insèrent autour de la tête de l’humérus et participent aux mouvements d’élévation et de rotation du bras
L’arthrose excentrée est l’usure du cartilage associée à une ascension de la tête humérale due à la rupture des tendons de la coiffe. Cette usure s’accompagne aussi de remaniements de l’os de l’humérus et de l’omoplat
Ces modifications occasionnent une douleur et une diminution de la mobilité ainsi qu’une difficulté à utiliser le bras nécessitant l’utilisation importante d’anti-inflammatoires et d’anti-douleurs. L’usure du cartilage est irréversible et l’arthrose ne guérit pas spontanément.
L’évolution naturelle se fait vers une dégradation progressive de l’articulation, une limitation de plus en plus importante des mobilités et une utilisation de plus en plus difficile du bras. Les anti-inflammatoires et les anti-douleurs qui peuvent suffire au départ finissent par ne plus être efficaces.
C’est à ce moment que se pose la question d’une intervention chirurgicale. Le but de l’opération est le soulagement de la douleur, la récupération des mobilités de l’articulation et l’utilisation normale du bras.
L’intervention :
L’intervention consiste à enlever les zones d’os et de cartilage qui sont usés, et de les remplacer par des pièces artificielles permettant d’actionner le muscle deltoïde pour compenser la rupture des tendons de la coiffe. Une incision courte est réalisée au niveau de la partie antérieure de l’épaule. Les différents muscles sont écartés pour accéder à l’articulation. La tête humérale est enlevée, puis l’os de l’humérus et de la glène sont préparés pour recevoir la prothèse
La prothèse comporte deux parties :
la boule qui est implantée au niveau de l’omoplate et la partie creuse avec une tige qui est implantée au niveau de l’humérus
Cette prothèse totale d’épaule dite inversée déporte le centre de rotation de l’articulation vers l’omoplate ce qui permet au deltoïde d’être plus actif et de suppléer les tendons de la coiffe. L’intervention est réalisée sous anesthésie générale. Une anesthésie loco-régionale peut y être associée.
Elle dure en moyenne une heure et demie et nécessite une hospitalisation d’environ une semaine. Après l’opération, un pansement stérile ainsi qu’une attelle sont mis en place. Le traitement de la douleur sera mis en place, surveillé et adapté de manière très rapprochée dans la période post-opératoire.
La rééducation post opératoire et la reprise des activités Le lendemain de l’intervention, le kinésithérapeute vous lève et vous aide à mobiliser votre épaule.
L’attelle est progressivement abandonnée. A la sortie de la clinique, la rééducation peut être réalisée en centre ou chez votre kinésithérapeute. La reprise du volant est envisageable après le 2ème mois. Celle du travail survient en général après le 3ème mois et cela en fonction de votre profession, une activité de bureau pouvant être plus précoce.
Les activités sportives débutent généralement entre le 3ème et le 6ème mois et cela en fonction du sport pratiqué. Les risques et les complications
En plus des risques communs à toute intervention chirurgicale et des risques liés à l’anesthésie, notons quelques risques plus spécifiques à cette chirurgie :
Une raideur articulaire peut se développer si la rééducation post-opératoire n’est pas bien prise en charge. Il est possible que la zone opérée saigne après l’intervention et qu’il se forme un hématome. En fonction de l’importance du saignement, une évacuation de l’hématome ou une transfusion peuvent s’avérer nécessaires.
La survenue d’une infection de la prothèse, bien que rare (risque inférieur à 1 % dans notre établissement), est une complication sévère puisqu’elle peut nécessiter le changement de la prothèse ainsi qu’un traitement antibiotique de longue durée. Quand elle est détectée rapidement, un simple lavage de la prothèse et une mise sous antibiotiques peuvent être suffisants.
Les nerfs qui entourent l’épaule peuvent être accidentellement blessés. Cette complication exceptionnelle peut occasionner une douleur ou une perte de la sensibilité et de la motricité de certaines parties du bras.
Des petits caillots de sang solidifié peuvent se former et se coincer dans les veines du bras occasionnant une phlébite. Un traitement anticoagulant est alors nécessaire. La prothèse de l’épaule peut se déboîter lors de certains mouvements comme peut l’être une épaule normale.
Ce risque reste néanmoins très minime. Les risques énumérés ne constituent pas une liste exhaustive. Votre chirurgien donnera toute explication complémentaire et se tiendra à votre disposition pour évoquer avec vous chaque cas particulier avec les avantages, les inconvénients et les risques de l’intervention.
Les résultats Les résultats de cette chirurgie sont très encourageants puisqu’on retrouve une disparition complète des douleurs et une récupération rapide de la mobilité dans la grande majorité des cas.
L’utilisation aisée du bras est obtenue généralement dans les deux mois suivant l’intervention. On récupère en général 60 à 70% de la fonction d’une épaule normale. Même si la reprise des activités courantes est habituelle, il est tout de même préférable d’éviter les travaux de force et les sports violents.
Ces activités peuvent augmenter l’usure et diminuer la durée de vie de la prothèse malgré l’utilisation de nouveaux matériaux plus résistants. Certaines activités sollicitant de manière douce l’épaule comme le footing, la natation ou la randonnée sont possibles voire conseillées alors que la prudence s’impose pour le tennis, le golf et le bowling.
La durée de vie moyenne est d’environ 10 à 15 ans. On peut espérer qu’avec les progrès sur les matériaux utilisés aujourd’hui, les résultats seront encore meilleurs avec une longévité plus importante.
Elle frotte du curcuma contre son visage. Lorsqu’elle l’enlève incroyable !
Ce masque maison étonnant peut traiter un nombre important de problèmes esthétiques.
Cela va des rougeurs, inflammations, taches sombres ou cernes sous les yeux aux poils indésirables. il réduit les pores et élimine acné et eczéma.
Ce masque est très bon marché dont le principal élément est le curcuma.
Dans un bol, mélangez une cuillère à café de curcuma avec 2 cuillères à soupe de farine.
Ajoutez 1 cuillère à soupe d'huile d'amande et juste assez de lait pour en faire une pâte ni trop liquide, ni trop épaisse.
En général, 3-4 cuillères à soupe suffiront.
Une fois que vous aurez mélangé ces quatre ingrédients, votre masque de curcuma sera prêt.
En appliquant ce masque, évitez vos sourcils. Etant donné que que ce traitement est utilisé pour enlever les poils du visage, vous pouvez ainsi vous retrouver avec des sourcils moins fournis. Il en est de même pour vos cheveux.
Vous pouvez librement appliquer ce mélange sous vos yeux mais assurez-vous de ne pas en appliquer sur vos cils.
Le masque doit rester sur votre visage pendant environ 20 minutes, par la suite il faut le rincer à l'eau tiède.
Tamponnez ensuite votre visage pour le sécher.
Soyez conscient que votre peau peut être un peu jaunâtre après avoir retiré le masque.
Il suffit de laver votre visage une fois de plus. Cette fois-ci vous pouvez utiliser un nettoyant doux pour le visage et terminer avec une lotion lumière pour le visage. Répétez ce traitement au moins une fois par semaine.
Toulouse: Pour la première fois, des cœurs d'enfants ont été réparés grâce à la 3D
Le CHU de Toulouse a utilisé une nouvelle technologie, baptisée EchoNavigator, pour traiter les malformations cardiaques sans avoir recours à la chirurgie à cœur ouvert… Opérer les enfants atteints de malformations cardiaques sans avoir recours à une chirurgie à cœur ouvert, mais en utilisant la 3D.
C’est le pari technologique tenté par les services du CHU de Toulouse le 6 novembre sur trois jeunes patients. Pour la première fois en Europe, des chirurgiens toulousains ont utilisé sur des enfants le dispositif Echonavigator, mis au point par Philipps.
En visualisant en 3D le cœur, il permet au chirurgien d’avoir des gestes précis. Une hospitalisation plus courte, moins traumatisante Il combine aussi l’échocardiographie et la radioscopie.
« La fusion entre rayons X et ultrasons est une véritable révolution technologique. Voir le cœur en trois dimensions permet de décrire précisément la malformation », assure le Pr Philippe Acar, cardiologue et pédiatre, qui a travaillé sur ce projet avec le Dr Khaled Hadeed, cardiologue échographiste 3D et le Dr Sébastien Hascoet, cardiologue interventionnel.
Il a pu refermer la communication interventriculaire en passant un cathéter par les vaisseaux. Ce petit tuyau permet d’accéder au cœur et d’éviter le traumatisme d’une chirurgie plus classique.
Elle a permis aux jeunes patients de récupérer plus vite et d’être de retour chez eux 36 heures après l’intervention. Près de 40 enfants devraient être traités bientôt grâce à cette nouvelle méthode.
Une fillette de 5 ans a été la première à bénéficier de cet appareil, déjà utilisé à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil (Val-de-Marne), mais uniquement pour des adultes. Elle souffrait d'un trou intraventriculaire, nécessitant une opération très délicate.
Un garçonnet de 6 ans a ensuite subi la même intervention. Enfin, une petite fille de 9 ans a été opérée pour un problème de communication entre ses oreillettes.
9 sortes de douleurs qui sont directement liées aux états émotionnels
1. Douleurs dans la tête.
Les douleurs dans la tête, comme des maux de tête, peuvent être provoquées par le stress de la journée. Prenez le temps de vous détendre pour atténuer le stress de tous les jours.
2. Douleurs dans le cou.
Si vous ressentez des douleurs dans le cou, vous avez peut-être du mal à pardonner aux autres ou à vous-même. Si vous ressentez des douleurs dans le cou, réfléchissez à ce que vous aimez chez les gens.
3. Douleurs dans les épaules.
Les douleurs dans les épaules peuvent indiquer que vous portez un lourd fardeau affectif. D’où le dicton « endosser un problème ». Concentrez-vous à résoudre un problème proactif et à distribuer certains de ces fardeaux à d’autres personnes dans votre vie.
4. Douleurs dans le haut du dos.
Les douleurs dans le haut du dos signifient que vous n’avez pas suffisamment de soutien émotionnel. Vous vous sentez peut-être mal aimé et indésirable. Si vous êtes célibataire, cela peut signifier qu’il est temps d’aller à un ou deux rendez-vous.
5. Douleurs dans le bas du dos.
La lombalgie peut signifier que vous êtes trop inquiet au sujet de l’argent. Cela peut être le bon moment d’envisager un planificateur financier.
6. Douleurs dans les coudes.
Les douleurs au niveau des coudes sont directement liées à votre résistance au changement dans votre vie. Si vous avez les bras raides, cela peut signifier que êtes trop rigide dans votre vie. Faites des compromis et faites changer un peu les choses.
7. Douleurs dans les mains.
Les douleurs dans les mains signifient que vous ne tendez peut-être pas la main aux autres de la bonne façon. Pensez à vous faire de nouveaux amis, déjeunez avec un collègue de travail et créez une nouvelle relation.
8. Douleurs dans les hanches.
Les douleurs dans les hanches signifient que vous avez trop peur de bouger. Les hanches douloureuses peuvent indiquer que vous êtes réticent au changement. Vous êtes peut-être trop prudent lorsque vous prenez des décisions.
9. Douleurs au niveau du genou.
Les douleurs au niveau du genou peuvent indiquer que votre ego est un peu surdimensionné et que vous pensez un peu trop à vous. Devenez humble. Faites du bénévolat. Rappelez-vous que vous n’êtes pas immortel.
Voici comment les émotions peuvent nuire à votre corps
Les émotions sont des réactions à des stimulus affectifs, environnementaux ou psychologiques. Elles sont ressenties de manière différente d’une personne à une autre selon le passé, l’histoire de vie, les capacités intellectuelles et l’état psychologique de chaque individu.
Les émotions sont ce qui nous différencie des autres, mais quand elles sont négatives, elles peuvent nuire à notre corps. Les émotions et leur impact sur la santé La tristesse, la peur, la joie, la colère, la surprise ou le dégoût sont autant d’émotions que nous pouvons ressentir et qui ont un impact direct sur nous. Elles peuvent même nuire à notre corps. Cela peut paraître incroyable, mais c’est on ne peut plus vrai.
Les émotions négatives sont déclenchées principalement par la peur et peuvent impacter la santé mentale. Cela peut conduire à d’autres problèmes de santé tels que l’hypertension ou l‘indigestion. Il est donc nécessaire d’apprendre à reconnaître et identifier ses pensées et ses émotions pour pouvoir les contrôler, ou du moins pour dédramatiser. Il est important d’être pleinement conscient de l’impact des émotions, et de leurs conséquences sur nos comportements, nos relations et notre santé de manière générale. Voici comment les émotions peuvent nuire au corps.
1- La colère
Si vous êtes souvent en colère, essayez de vous calmer parce que cela affaiblit votre foie. Une maladie du foie peut être fatale.
2- Le traumatisme
Il est extrêmement difficile de contrôler ses émotions, et les traumatismes qui affectent les reins et le cœur. Les maladies cardiovasculaires qui en découlent peuvent êtres mortelles.
3- La peur
Combien de fois, à l’image d’un enfant, avez-vous effrayé quelqu’un pour rire ? Sachez que la peur peut être très mauvaise pour le corps. Elle affaiblit les reins.
4- L’anxiété
Se soucier trop peut endommager votre estomac, et générer des maux de ventre désagréables. Se soucier trop affecte la rate.
5- La tristesse et le chagrin
Ces deux émotions peuvent ne pas être entièrement contrôlées, mais il est toujours recommandé d’essayer de réduire leur impact sur vous. La tristesse et le chagrin affectent vos poumons, génèrent de la fatigue, un essoufflement et des pleurs, ce qui conduit à la dépression.
6 – Le stress
Il est vraiment difficile d’éviter le stress dans le monde où nous vivons. Essayez de ne pas stresser pour tout. Trop stresser affaiblit le cerveau et le cœur.
Le stress chronique affecte votre organisme et ses fonctions de manière globale. Pensez-y la prochaine fois que vous vous sentez stressé. Qu’on le veuille ou non, nous sommes tous influencés par nos émotions.
Savoir détecter les émotions négatives permet de mieux les contrôler pour les empêcher d’avoir un impact défavorable sur notre santé.
À vous maintenant de maîtriser vos émotions pour éviter les maladies du foie, du cœur, de l’estomac, la dépression et bien d’autres pathologies.