Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Bienfaits des fruit et legumes(recette) (407)
· Bonne nuit (315)
· Bonne soirée (299)
· Bon lun-mar-mer-jeu-ven-sam-dim (222)
· Amitié (126)
· Bonjour-coucou (213)
· Bonne féte (117)
· Bonne journée (166)
· Citations divers (172)
· Bon week- end (51)

Derniers commentaires Statistiques

Date de création : 28.05.2009
Dernière mise à jour : 15.08.2012
5645 articles


Rechercher

La vie est un combat accepe le

Publié à 17:00 par sincerity
La vie est un combat accepe le

“Nous avons tous désir d'être avec Dieu dans son royaume, mais il est en notre pouvoir d'être dans son royaume avec Lui en cet instant.
Cependant, être heureux avec Lui, maintenant, signifie :

Aimer comme il aime,
Aider comme Il aide,
Donner comme Il donne,
Servir comme Il sert,
Sauver comme Il sauve,
Etre avec Lui chaque heure et chaque seconde,
Le rejoindre là où il a pris les apparences de la détresse.”
Mère Teresa

hommage a Mére Teresa

Publié à 16:49 par sincerity

 Mère Teresa de Calcutta(1910-1997)

Mère Teresa de Calcutta (1910-1997)      

“ Par mon sang, je suis albanaise. Par ma nationalité, indienne. Par ma foi, je suis une religieuse catholique. Pour ce qui est de mon appel, j’appartiens au monde. Pour ce qui est de mon cœur, j’appartiens entièrement au Cœur de Jésus.”

Petite de stature, avec une foi solide comme le roc, Mère Teresa de Calcutta, se vit confier la mission de proclamer la soif infinie de l’amour de Dieu pour l’humanité, en particulier pour les plus pauvres des pauvres, “Dieu aime toujours le monde et Il nous envoie, vous et moi, pour être son amour et sa compassion auprès des pauvres.”C’était une âme remplie de la lumière du Christ, brûlante d’amour pour lui et consumée d’un seul désir: “apaiser sa soif d’amour et des âmes.”

Cette messagère lumineuse de l’amour de Dieu est née le 26 août 1910 à Skopje, une ville située aux croisements de l’histoire des Balkans. Cadette de Nikola et Drane Bojaxhiu, elle fut appelée Gonxha Agnès ; elle reçut sa première communion à l’âge de cinq ans et demi et fut confirmée en novembre 1916. Le jour de sa première communion, elle fut remplie d’un grand amour pour les âmes. La mort soudaine de son père quand elle avait environ huit ans, laissa la famille dans une condition financière difficile. Drane éleva ses enfants avec amour et fermeté, influençant beaucoup le caractère et la vocation de sa fille. La formation religieuse de Gonxha fut soutenue par la paroisse jésuite très active du Sacré Cœur dans laquelle elle était bien engagée.

A l’âge de dix-huit ans, poussée par le désir de devenir missionnaire, Gonxha quitte sa maison en septembre 1928 pour rentrer à l’Institut de la Vierge Marie, connu sous le nom de Sœurs de Lorette, en Irlande. Là, elle reçut le nom de Sœur Mary Teresa, après Sainte Thérèse de Lisieux. En décembre, elle part pour l’Inde, et arrive à Calcutta le 6 janvier 1929. Après avoir fait ses premiers vœux en mai 1931, Sœur Teresa fut envoyée à la communauté de Loretto Entally à Calcutta et enseigna à l’école de filles, Sainte Marie. Le 24 mai 1937, Sœur Teresa fit ses vœux perpétuels devenant, comme elle disait, “l’épouse de Jésus” pour “toute l’éternité.”A partir de ce moment-là, elle fut appelée Mère Teresa. Elle continua à enseigner à Sainte Marie et en 1944 devint la directrice de l’école. Les vingt années de Mère Teresa à Lorette furent remplies d’une joie profonde, elle était très pieuse, aimant profondément ses sœurs et ses élèves. Remarquée pour sa charité, sa générosité et son courage, sa résistance au travail et douée d’un talent naturel pour l’organisation, elle vécut sa consécration à Jésus, au milieu de ses compagnes, avec joie et fidélité. 

Le 10 septembre 1946, en route pour sa retraite annuelle à Darjeeling, Mère Teresa reçut dans le train son “inspiration”, son “appel dans l’appel”. Ce jour-là, d’une manière qu’elle n’expliquera jamais, la soif de Jésus d’aimer et sa soif pour les âmes prit possession de son cœur et le désir de satisfaire cette soif devint la motivation de sa vie. Au cours des semaines et des mois suivants, Jésus lui révéla, par des locutions intérieures et des visions, le désir de son cœur d’avoir“des victimes d’amour”,qui “diffuseraient son amour sur les âmes.” Il la suppliait “Viens, sois ma lumière”.“Je ne peux y aller seul.” Il lui révéla sa douleur devant la négligence envers les pauvres, son chagrin d’être ignoré d’eux et son immense désir d’être aimé par eux. Il demanda à Mère Teresa d’établir une communauté religieuse, les Missionnaires de la Charité, dédiée au service des plus pauvres d’entre les pauvres. Presque deux ans d’épreuves et de discernement passèrent avant que Mère Teresa ne reçoive la permission de commencer. Le 17 août 1948, elle se revêtit pour la première fois de son sari blanc, bordé de bleu et passa les portes de son couvent bien-aimé de Lorette pour entrer dans le monde des pauvres.

Après un stage de courte durée chez les Sœurs de la Mission Médicale à Patna, Mère Teresa retourna à Calcutta et trouva un logement temporaire chez les Petites Sœurs des Pauvres. Le 21 décembre, elle alla pour la première fois dans les bidonvilles. Elle visita quelques familles, lava les plaies de plusieurs enfants, prit soin d’un vieil homme malade allongé dans la rue et d’une femme tuberculeuse mourant de faim. Elle commençait chaque journée en communion avec Jésus dans l’Eucharistie et puis elle sortait, le chapelet à la main, pour le trouver et le servir dans“les rejetés, les mal-aimés, les négligés.” Après quelques mois, ses anciennes élèves la rejoignèrent une par une.

Le 7 octobre 1950, la nouvelle congrégation des Missionnaires de la Charité était officiellement établie dans l’Archidiocèse de Calcutta. Au début des années 60, Mère Teresa commença à envoyer ses sœurs dans d’autres régions de l’Inde. L’approbation accordée par le Pape Paul VI en février 1965 l’encouragea à ouvrir une maison au Venezuela. Ce fut bientôt suivi par des fondations à Rome et en Tanzanie et finalement, sur tous les continents. Commençant en 1980 et continuant à travers les années 90, Mère Teresa ouvrit des maisons dans presque tous les pays communistes, y compris l’ancienne Union Soviétique, l’Albanie et Cuba.

Afin de mieux répondre aux besoins physiques aussi bien que spirituels des pauvres, Mère Teresa fonda Les Frères Missionnaires de la Charitéen 1963, en 1976 la branche contemplative des sœurs, en 1979 les Frères Contemplatifs, et en 1984 les Pères Missionnaires de la Charité. Cependant son inspiration n’était pas limitée à ceux qui avaient une vocation religieuse. Elle forma les Coopérateurs de Mère Teresa et les Coopérateurs Malades et Souffrants, personnes de fois et nationalités différentes avec qui elle partageait son esprit de prière, de simplicité, de sacrifice et son apostolat pour les humbles travaux d’amour.Cet esprit inspira plus tard les Laïques Missionnaires de la Charité. En réponse aux demandes de beaucoup de prêtres, en 1981 Mère Teresa commença aussi le mouvement Corpus Christipour les prêtres, traçantun “petit chemin de sainteté” pour ceux qui désirent partager son charisme et son esprit.

Durant ces années de croissance rapide, le monde commença à tourner son regard vers Mère Teresa et le travail qu’elle avait commencé. Elle reçut de nombreux prix pour honorer son travail, en commençant par le prix indien Padmashri en 1962 et le Prix Nobel de la Paix en 1979, alors que les médias, avec un intérêt grandissant, commençaient à suivre ses activités. Elle reçut tout cela “pour la gloire de Dieu et au nom des pauvres”.

L’ensemble de la vie et de l’œuvre de Mère Teresa témoignent de la joie d’aimer, de la grandeur et dignité de chaque être humain, de la valeur de chaque petite chose faite avec foi et avec amour, et, par-dessus tout, de l’amitié avec Dieu. Mais il y avait un autre côté héroïque de cette grande femme qui fut révélé seulement après sa mort. Cachée aux yeux de tous, cachée même à ses plus proches, sa vie intérieure fut marquée par l’expérience d’un sentiment profond, douloureux et constant d’être séparée de Dieu, même rejetée par lui, accompagné d’un désir toujours croissant de son amour. Elle appela son expérience intérieure, “l’obscurité”. La “ nuit douloureuse ” de son âme qui débuta à peu près au moment où elle commençait son travail pour les pauvres et qui continua jusqu’à la fin de sa vie, conduisit Mère Teresa à une union toujours plus profonde avec Dieu. A travers cette obscurité, elle participa mystiquement à la soif de Jésus dans son désir d’amour douloureux et ardent, et elle partagea la désolation intérieure des pauvres.

Durant les dernières années de sa vie, malgré des problèmes de santé de plus en plus sérieux, Mère Teresa continua à gouverner sa congrégation et à répondre aux besoins des pauvres et de l’Eglise. En 1997, les sœurs de Mère Teresa étaient au nombre d’environ 4000 et étaient établies dans 610 fondations réparties dans 123 pays du monde. En mars 1997, elle bénit la nouvelle supérieure générale des Missionnaires de la Charité récemment élu et elle effectua encore un voyage à l’étranger. Après avoir rencontré le Pape Jean Paul II pour la dernière fois, elle rentra à Calcutta et passa ses dernières semaines à recevoir des visiteurs et à enseigner es sœurs. Le 5 septembre fut le dernier jour de la vie terrestre de Mère Teresa. Elle reçut du gouvernement de l’Inde les honneurs de funérailles officielles et son corps fut enterré dans la Maison Mère des Missionnaires de la Charité. Sa tombe devint rapidement un lieu de pèlerinage et de prière pour les gens de toutes fois, riches et pauvres. Mère Teresa laissa le testament d’une foi inébranlable, d’un espoir invincible et d’une charité extraordinaire. Sa réponse à la cause de Jésus, “Viens sois ma lumière”, fit d’elle une Missionnaire de la Charité, une “mère pour les pauvres”, un symbole de compassion pour le monde et un témoignage vivant de la soif d’amour de Dieu.

Moins de deux ans après sa mort, dû à la réputation de sainteté largement répandue de Mère Teresa et au rapport des faveurs reçues, le Pape Jean Paul II permit l’ouverture de sa cause de canonisation. Le 20 décembre 2002, il approuva les décrets de ses vertus héroïques et miracles.

      

 

bon apres midi

Publié à 13:40 par sincerity

la priére d'un cheval a son maitre

Publié à 12:29 par sincerity
la priére d'un cheval a son maitre

A toi, mon maître, je dédie cette prière:
Donne-moi souvent à manger et à boire; et, quand ma journée de travail est finie, veille à ce que ma litière soit sèche et propre et mon box suffisamment large afin que j'y sois à l'aise.
Chaque jour contrôle mes pieds soigne-moi avec une éponge humide.
Quand je refuse de manger, examine mes dents ; peut-être qu'un ulcère m'empêche de manger.
Comme je ne peux te dire quand j'ai soif, fais-moi boire souvent de l'eau fraîche et propre, même pendant le travail ; ceci m'évitera la colique et autres maladies.
Parle-moi : ta voix est souvent plus efficace que la cravache et les rênes.
Caresse-moi souvent pourque je puisse apprendre à t'aimer et te servir mieux.
Ne me tire pas la tête vers le haut avec le filet, ce qui me cause de grandes douleurs au cou et à la bouche et m'empêche de développer toutes mes forces et de me sauver des chutes.
Ne me coupe pas la queue, me privant ainsi de ma meilleure défense contre les mouches et les taons qui me tourmentent.
Ne tire pas sur les rênes, et dans les montées ne me donne pas de coup de cravaches. Ne me donne pas de coups, ne me bat pas quand je ne comprends pas ce que tu veux, mais essaye que je puisse te comprendre. Si je refuse, assure-toi que le mors et la bride soient en ordre et que je n'ai rien aux pieds qui me fasse mal. Si je m'effarouche, ne me frappe pas, mais pense que cela peut dépendre de l'usage des œillères qui m'empêche de bien voir ou de défauts de ma vue.
Ne m'oblige pas à tirer un poids supérieur à mes possibilités, ni à aller vite sur des rues glissantes. Quand je tombe, sois patient et aide-moi, car je fais de mon mieux pour rester debout; et si je bute, sache que ce n'est pas de ma faute ; n'ajoute pas à mon angoisse d'avoir échappé à in danger le mal de tes coups de cravache qui augmentent ma peur et me rendent nerveux.
Essaye de me mettre à l'abri du soleil. Et quand il fait froid, mets-moi une couverture Sur le dos, non pas quand je travaille, mais quand je suis au repos.

Et enfin, mon bon maître, quand la vieillesse me rendra inutile, ne me condamne pas à mourir de privations et de douleurs sous la férule d'un homme cruel, mais laisse moi mourir de vieillesse, au pré, chez un paysan qui me traitera bien ou dans une pension pour vieux chevaux méritants comme nous en avons ou enlève-moi toi-même la vie, sans me faire souffrir et tu en auras le mérite

la défence des annimaux

Publié à 11:59 par sincerity
la défence des annimaux

Un grand merci à Bullies pour ce très beau kdo en faveur de la défense des animaux, il ne faut ni les abandonner, ni les maltraiter mais bien les aimer.

Le 25 décembre... Ce jour là, ce fut certainement le plus beau jour de ma vie!

Tu es venu, tôt le matin, nous voir moi et mes frères. Nous étions tous dans le panier familial avec maman pas loin pour surveiller tes faits et gestes. Tu as dis à mon papa "ils sont vraiment tous trop mignons!". A ce ton de voix, j'ai tout de suite su que je voulais venir avec toi! Je me suis approché, ma petite bouille toute timide, ma queue qui battait l'air, pour venir lécher tes mains. Je ne sais pas ce qui t'a plu, mais tu as craqué et tu m'as emporté. Dans la voiture j'étais si content... j'allais enfin vivre dans une vraie maison, devenir un grand chien, je serai ton fidèle compagnon! Et puis nous sommes arrivés. Devant moi se dressait un magnifique jardin avec plein de belles fleurs, des lumières ornaient les murs de ton foyer. Je ne savais pas pourquoi, mais j'allais bientôt le découvrir! Tu m'as mis un nœud rouge autour du cou, un chapeau rouge et un joli manteau tout aussi rouge, puis tu m'as emmené. Une petite fille est arrivée en courant et tu as crié "JOYEUX NOËL MA CHÉRIE!". Elle était vraiment contente de m'avoir comme compagnon, mais elle était si petite et si brutale! Souvent, elle me faisait mal en me tirant la queue ou les pattes, en criant trop fort dans mes oreilles, mais je l'aimais et elle aussi m'aimait! J'ai vite pris mes aises dans ta maison et je crois que ça ne t'a pas plu. Chaque jour, je faisais pipi et caca dans ta maison, je jouais avec les belles fleurs de ton jardin, tirais les guirlandes du sapin, mais j'étais si petit, il fallait m'éduquer. Petit à petit, tu oubliais de me donner à manger, de me promener et me câliner comme au début. Heureusement, ta fille te le rappelait souvent... elle était trop petite pour le faire elle- même, et toi, las de ces corvées journalières, tu repoussais toujours ce moment jusqu'à oublier. Mais j'étais heureux  car il y avait Cloé, cette petite fille si fragile, si brute mais que j'aimais tant! On passait des heures à jouer ensemble. Deux semaines s'étaient écoulées depuis mon arrivée, je jouais avec ta fille et tu es arrivé, tu as dit à Cloé "et si on allait promener le chien". Je me souviens que tu ne prenais jamais la peine de m'appeler par mon nom, pour toi, j'étais "le chien". Seule Cloé m'avait surnommé "petit cœur" et elle te rapellait souvent mon nom quand, par malheur, tu l'oubliais. Comme promis, nous sommes partis en ballade. Tu as pris la voiture et, après quelques longues minutes de route, nous nous sommes arrêtés à une station essence. Tu as donné des sous à Cloé et tu lui as dit d'aller s'acheter des bonbons. Je l'ai vue s'éloigner jusqu'à ce que tu m'appelles, la porte grande ouverte. Je suis sorti avec toi, content de me dégourdir les pattes. Nous nous sommes éloignés dans la forêt et tu as enroulé ma laisse autour d'un tronc d'arbre. Je t'ai vu partir, tout content, enfin débarrassé d'un poids qui te pesait! J'avais si peur, j'ai pleuré, mais tu semblais ne pas m'entendre, mais, moi, je vous ai entendu...  quelle leçon de vie tu as donné à ta fille! Elle est revenue avec des bonbons pleins les mains, comme si ça allait pardonner ton acte! Je me rappelle très bien ce moment: elle a crié mon nom plusieurs fois, puis a couru vers toi en pleurant, "où est tit cœur?" a-t'elle crié "je ne le trouve plus!". Comme un lâche, la seule réponse que tu as trouvée à lui dire était "Je suis désolé, ma chérie, mais il ne t'aimait plus et a décidé de partir". En entendant cela, j'ai eu envie de crier que c'était faux, mais vous ne m'entendiez pas, j'étais trop loin. Cloé a pleuré encore et encore, disant que tu mentais, et vous avez fini par partir. J'ai entendu le bruit du moteur s'éloigner, les pleurs s'estomper, et je me suis retrouvé seul, avec pour seul compagnie cette arbre et l'odeur de Cloé encore sur la laisse. La nuit est tombée, je me suis recroquevillé en boule, espérant que tu allais regretter ton geste, céder aux pleurs de Cloé, comme quand tu as cédé à ses envies. Mais les jours ont passé et tu ne revenais pas. Combien de temps suis-je resté là, mon ventre me tenaillant, le froid m'immobilisant, sous cette neige qui m'engloutissait? Peut-être 4 jours, ou 5, j'avais l'impression que cela faisait des mois que j'étais là! J'étais si petit, si fragile! Je priais dieu pour qu'il vienne enfin me chercher. Et enfin, quelqu'un est passé par là, un homme qui, en me voyant, l'horreur a traversé son regard et il a couru vers moi. Il m'a mis dans son manteau et, pour la première fois depuis des jours, j'ai cru que j'étais enfin mort, qu'enfin, j'avais gagné le paradis. Il m'a mis dans sa voiture et nous avons roulé. Cette promenade était bien trop courte à mon goût. Il m'a emmené dans un grand bâtiment rempli de chiens et de chats, seuls dans leurs boxes. Une dame nous a accueillis, si triste de me voir les rejoindre, et, à contre cœur, elle m'a mis dans un des boxes qui était vide. Les mois ont passé, j'ai grossi, j'ai grandi, on me faisair des câlins, me promenait de temps à autre, mais je me sentais si seul! Personne ne s'intéressait à moi, il y avats bien plus beau! Et enfin, il y a eu cette délivrance! La dame qui s'occupait de moi est venue me voir, m'a pris dans ses bras et je crois que jamais je n'ai eu un si beau câlin. Elle m'a conduit dans cette pièce qui sentait la mort. Une autre femme, qui parfois venait me voir quand j'allais mal, m'a immobilisé et, enfin,  m'a donné la piqûre de la délivrance. Je me suis endormi, tout près de vous qui pleuriez sur mon sort. Mais ne vous en faites pas, je vous aime vous qui avez du prendre cette décision. Et mon maître, sache que si un jour tu revenais, la porte de mon cœur serait grande ouverte, j'irais te lécher les mains comme au premier jour et je serais ton fidèle compagnon, même si tu ne l'as jamais été.
Petit cœur.

Texte de POKIE : 13 ans
son site
http://zoo-land.forumactif.com/forum.htm

 

 

 

 

http://bullies.centerblog.net/

 

bon appétit

Publié à 11:54 par sincerity
bon appétit

 

les vertus de la sardienes

Publié à 10:10 par sincerity
les vertus de la sardienes

Pour éviter les bouchons dans vos artères ! (…) La sardine à l'huile d'olive est une authentique médecine du cœur dont on ne se lasse pas d'honorer les vertus préventives. Sa chair est composée d'acides gras polyinsaturés du type oméga 3. Ces acides gras, issus de la chair des poissons bleus, sont très bénéfiques pour la santé. La sardine n'est pas le poisson le plus riche en oméga 3, mais c'est le plus abondant, le moins coûteux et, comme il n'existe pas d'élevage de sardines, le plus naturel.
Les poissons maigres (cabillaud, colin, daurade, merlan, etc.) renferment entre 0,5 et 4 % de lipides alors que les poissons gras (saumon, thon, hareng, maquereaux, sardine..) en contiennent entre 4 et 20 %. Ces derniers - riches en acides gras polyinsaturés oméga 3 - sont donc meilleurs pour la santé, surtout en prévention des maladies cardio-vasculaires. Les oméga-3 protégent le cœur en fluidifiant le sang, évitant ainsi les caillots et les lésions. D'après une étude réalisée aux Etats-Unis, l'absorption de deux cents grammes de poisson gras par semaine suffirait à faire chuter de moitié le risque d'infarctus. Mais leurs bienfaits ne s'arrêtent pas là : ils soulagent les inflammations et sont conseillés aux personnes souffrant de polyarthrite rhumatoïde. Les oméga-3 peuvent aussi s'avérer utiles en cas de dépression et de déprime. Ils protègent du diabète de type 2 et augmentent la résistance au cancer. Il est conseillé de consommer du poisson gras 2 fois par semaine à titre préventif, et au moins 3 fois à titre curatif.
(…) La sardine se nourrit surtout de phytoplancton riche en chlorophylle, source alimentaire des oméga 3. Elle est riche en phosphore, en vitamines B6 et en calcium lorsqu'on mange les arêtes.

• Savoir choisir
La sardine fraîche est toujours préférable. La qualité est primordiale si vous souhaitez bénéficier de ses vertus. Elle doit être irréprochable : les écailles et les yeux brillants, les ouïes bien rouges, l'odeur douce et agréable.(…) La sardine est fragile, elle ne se garde que 2 jours au réfrigérateur. Si vous n'avez pas un très bon poissonnier et si vous n'habitez pas au bord de la mer, achetez du poisson surgelé, ses qualités nutritives sont équivalentes à celles du poisson frais et il est presque aussi bon. Si vous choisissez des conserves à l'huile, optez pour les conserves à l'huile d'olive.

kefta de sardienes

Publié à 10:06 par sincerity
kefta de sardienes

Tajine de Kefta de Sardines  

maroc183Ingrédients
Pour 4 personnes

Pour les boulettes:
1 kg de sardines
3 gousses d'ail
1 botte 1/2 de persil
1/2 botte de coriandre
100 g de riz
1 c.s d'huile d'olive
1 c.c de sel
1/2 c.c de poivre
1/2 c.c de cumin
1/2 c.c de paprika

Pour la sauce:
2 gousses d'ail
3 tomates mûres
1/2 citron
1 pincée de poivre
3 c.s d'huile d'olive
1/2 verre d'eau

Préparation

Ecailler et vider les sardines. Les laver sous l'eau courante.
Avec un couteau bien aiguisé, hacher grossièrement  les sardines. (Ne pas effectuer cette opération à la machine pour ne pas réduire les poissons en purée).
Ajouter l'ail écrasé, le sel, les épices, les herbes hachées, l'huile et le riz cru. Pétrir cette "pâte" avec les mains.
Mouiller ses doigts et former des boulettes de la taille d'une noix.
Les disposer sur un plat.
Dans une marmite, mettre l'huile, l'ail écrasé, le sel et le poivre.
Faire revenir l'ail sans le faire brûler.
Ajouter les tomates lavées et émincées et le citron coupé en fines lamelles et l'eau.
Laisser frémir et ajouter les boulettes délicatement sans les écraser.
Couvrir et laisser cuire à feu doux pendant 1/2 h .

les vertus de la menthe

Publié à 09:44 par sincerity
les vertus de la menthe

La Menthe

Mentha x piperitaou menthe poivrée
Famille : lamiacée

Propriétés :La menthe est une vieille plante médicinale et culinaire. Elle est déjà connue des égyptiens, des grecs et des romains. Elle garde jusqu’à nos jours sa popularité.

La menthe entre dans la composition de diverses boissons rafraîchissantes et est intensément exploitée par l’industrie pharmaceutique, alimentaire et phytothérapeutique où elle rend de grands services.

Mentha « x » piperitasignifie qu’elle est issue d’un croisement entre Mentha aquatiquaet Mentha spicata.

Il est bon de savoir que le genre menthe ne s’arrête pas à la menthe poivrée. Il existe en effet toute une multitude de sortes de menthe.

Que ce soit Mentha aquatica, Mentha arvensis, Mentha suaveolens, Mentha spicata, Mentha pulegium, Mentha longifolia… elles ont toutes en commun une odeur caractéristique due au principe aromatique : le mentholet (une huile volatile) et la menthone (un alcool).

L’huile volatile ou huile essentielle de menthe est utilisée aussi bien en absorption qu’en application externe. Mais sa force et son activité sont telles qu’il est fortement déconseillé de l’utiliser en auto-médication. Pour cela, l’avis d’un thérapeute qualifié est requis.

Ne jamais l’utiliser pour les nouveaux-nés.

 Les vertus de la menthe sont multiples :

  • Carminative : elle expulse les gaz intestinaux.
  • Spasmolytique du muscle lisse : elle décontracte les muscles de la sphère digestive.
  • Cholagogue : elle stimule la vidange de la vésicule biliaire.
  • Elle est un stimulant général au pouvoir antiseptique.
  • Rafraîchissante et antalgique musculaire : elle calme la douleur musculaire par voie externe.

La Menthe se prépare en infusion avec les feuilles de la plante :
en général une cuillère à soupe ou deux cuillères à café de feuilles séchées pour une tasse d’eau bouillante qu'on laisse infuser 2 à 5 minutes.
A boire 1 à 5 fois par jour.

En période chaude, une branche de menthe laissée macérée dans une carafe d’eau fraîche aromatise agréablement l'eau.

Attention aux excès car ils peuvent provoquer des spasmes digestifs.

Quelques mots pour la culture :

La plupart des menthes sont rustiques et supportent bien notre climat, elles ne sont pas exigeantes en matière de sol. Un sol riche et léger favorisera une croissance rapide et abondante.
Le début du printemps est une bonne période pour les reproduire.
Les variétés botaniques se multiplient par graines et par stolons et les différents cultivars issus de croisement par stolons et/ou boutures.

les vertus du Thé vert

Publié à 09:35 par sincerity
les vertus du Thé vert

L’histoire du thé commence en Chine et non pas en Inde comme beaucoup le croit, il y a environ 4500 ans. De nombreuses histoires et légendes existent autour de sa découverte, la plus connue provient de Chine.

Elle raconte que l’empereur Shen Nung assoupi au pied d’un arbre « le camélia sinensis » découvrit à son réveil que des feuilles de l’arbre étaient tombées dans son récipient d’eau chaude. Il goûta alors à cette infusion au parfum agréable et la trouva merveilleuse, ainsi naquit le thé en Chine. De nos jours, le thé est la première boisson consommée au monde après l’eau. Il se boit chaque jour environ 15000 tasses de thé à chaque seconde. Ses bienfaits sur la santé, reconnus depuis bien longtemps par la médecine traditionnelle chinoise, ont été mis en évidence par différentes études scientifiques.

  

Le « camélia sinensis » est à l’origine de tous les thés, entre les thés verts, les thés noirs, les semi-fermentés, les blancs, les fumés, les parfumés, il en existe environ 3000 variétés à travers le monde. Les 3 principaux producteurs et exportateurs de thé sont l‘Inde, la Chine et le Sri-Lanka. Le thé quel qu’il soit est beaucoup plus sain pour la santé que le café et apporte à l’organisme une multitudes de bienfaits. Mais de tous les thés c’est le thé vert qui est le plus réputé et qui possède le plus grand nombre de propriétés car celui-ci contrairement aux thés fermentés, semi-fermentés, fumés, n’a subit aucune transformation et garde donc ainsi toutes ses vertus.

La composition pour 100 gr de thé vert est :
- vitamine C 300 mg
- vitamine E 100 mg
- vitamine B 11 mg
- provitamine A 15 mg
- poly phénols 35 %
- chlorophylle 1 %
- théine (caféine) 3 %

  

Le thé vert est consommé en infusion et pour pouvoir ressentir ses bienfaits il faut en consommer entre 1 à 3 tasses par jour et son effet stimulant se fait ressentir dès la première tasse. Cette action sur la fatigue s’exerce au niveau des centres nerveux en favorisant l’activité psychique. Ce coté stimulant de la théine dure bien plus longtemps que la caféine. Mais l’atout majeur du thé vert est ses puissantes vertus anti-oxydante grâce à la présence de polyphenols et de flavonoïdes qui permettent de lutter efficacement contre les radicaux libres qui sont les principaux responsables de notre vieillissement, des différents maladies cardio-vasculaires et du cancer. Cette richesse en anti-oxydant est supérieure à la plupart des légumes et des fruits reconnus comme étant riche en anti-oxydant, par exemple deux tasses de thé vert équivalent en anti-oxydant à 7 verres de jus d’orange frais. Sa capacité à lutter contre les radicaux libres serait même 4 fois supérieure aux non moins célèbres vitamine C et vitamine E.

Après avoir bu une tasse de thé vert notre organisme bénéficie de son action anti-oxydant durant environ 3 heures. Il diminue les différents risques de maladies cardio-vasculaires, diminue les risques d’accidents vasculaire cérébraux, réduit le cholestérol, stimule et régularise les battements du cœur, diminue les risques de thromboses.
Différentes études épidémiologiques ont aussi permis de mettre en évidence son rôle non moins négligeable dans la prévention des cancers en stimulant le système immunitaire. Mais il est aussi efficace dans le traitement des cancers en stimulant et en protégeant le système immunitaire des effets secondaires du traitement par chimiothérapie ou radiothérapie.

Son action contre le cancer agirait au niveau de la prolifération des cellules cancéreuses en empêchant l’angiogénèse qui est la formation de nouveaux vaisseaux sanguins autour des tumeurs cancéreuses.
Grâce à sa stimulation sur le système immunitaire, il pourrait aussi être utile contre toutes sortes de maladies infectieuses. Le thé vert possèderait aussi des propriétés amaigrissantes mais plus faible que l’on veut le faire croire et ce n’est pas sa principale vertu de toute façon.
Le thé contient aussi beaucoup de fluor et peut donc être utile contre la prévention des caries en protégeant l’émail des dents et aurait une action préventive contre la parodontite (maladie des gencives qui provoque le déchaussement des dents). Le thé vert par toutes ses vertus fait parti depuis plusieurs siècles de l’arsenal thérapeutique de la médecine traditionnelle chinoise.

Les vertus du thé vert sont donc les suivantes :
- augmentation de la vigilance ;
- stimulation de l’intellect ;
- action vasodilatatrice ;
- action diurétique ;
- action anti-infectieuse ;
- action contre la diarrhée ;
- réduction des méfaits du tabac ;
- prévention de la carie dentaire et de la parodontite ;
- action amaigrissante ;
- stimulation du système immunitaire ;
- action préventive contre le cancer ;
- prévention des maladies cardio-vasculaires ;
- céphalée ;
- vieillissement ;

Posologie et recommandations :
- 1 tasse par jour pour une action stimulante ;
- 3 tasse par jour pour avoir les bienfaits. Mais cette posologie peut aller jusqu’à 10 tasses selon les cas. Pour bien préparer votre thé il est recommandé de ne pas verser dessus une eau bouillante ce qui ôterait certaines qualités du thé.

  

Le thé peut être aussi utilisé en usage externe par exemple un sachet de thé vert peut être, une fois refroidi, appliqué sur les yeux pour les reposer ou atténuer les cernes. Il peut aussi être appliqué sur un zona ou un herpès et on peut l’utiliser dans l’eau de son bain pour bénéficier des ses actions relaxantes.

Les contres indications :
- constipations ;
- grossesse ;
- allaitement ;
- insomnie ;
- ulcère ;
- en cas d’anémie car le thé s’oppose à la assimilation correct du fer dans l’organisme et il est donc fortement déconseillé de boire du thé lors des repas ;
- incompatible avec le ginseng car le thé neutralise tous les effets tonifiants de celui-ci ;
- incompatible avec différents médicaments car il s’oppose avec efficacité à certaines substances médicamenteuses ; Un excès de thé peut provoquer selon les personnes sensible à la théine :
- palpitation cardiaque ;
- céphalée ;
- acouphène ;
- vision trouble.
Pour déthéiner le thé rien de plus facile, il faut tout simplement jeter la première infusion après 1 à 2 minutes puis refaire infuser à nouveau avec une nouvelle eau, la théine se diffuse très rapidement dans l’eau lors des toutes premières secondes de l’infusion.

Le thé vert peut être aussi utiliser dans certaines recettes de cuisine comme le gâteau au thé vert ou la gelée au thé vert.

La recette du gâteau au thé vert (ou n’importe quel thé) pour 6 personnes : 200 gr de farine ; 3 c à soupe de feuilles de thé ; 175 gr de sucre en poudre ; 15 cl de lait ; 10 cl d’huile de votre choix ; 1 sachet de levure chimique et 1 noix de beurre pour le moule.

  

Préchauffer le four à 200 °C et beurrer un moule à manquer. Faire bouillir le lait puis ajouter les feuilles de thé, mélanger, retirer du feu et laisser infuser 10 min avant d’ôter une partie des feuilles car il faut en tout de même quelques unes pour ajouter à la préparation du gâteau. Dans un saladier, fouetter les œufs avec le sucre, ajouter le lait tiède et les feuilles de thé mises de coté ainsi que l’huile tout en remuant. Incorporer ensuite la farine et la levure. Verser cette pâte dan le moule à manquer beurre et mettre à cuire environ 40 min. Laisser refroidir le gâteau 10 min avant de le démouler.

La recette de la gelée au thé vert pour 6 personnes : 4 feuilles de gélatines ; 100 gr de sucre ; 5 gr de thé vert en poudre (macha) ; 1 blanc d’œuf ; 2 c à soupe de jus de citron ; 300 ml d’eau et 200 gr de crème fouettée.

  

Faire fondre la gélatine selon les instructions de l’emballage ; faire chauffer l’eau et y ajouter le sucre et la poudre de thé vert. Laisser réduire le tout jusqu’à épaississement du mélange et le passer au chinois. Ajouter ensuite le jus de citron et verser la préparation dans un moule rectangulaire. Battre le blanc en neige et y intégrer la crème fouettée. Verser cette nouvelle préparation dans le moule rectangulaire. Placer le moule au réfrigérateur durant 12 heures. Au moment de servir , couper la gelée au thé vert en tranches et servir aussitôt