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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
5848 articles
Page après page...
Ecris l'histoire de ta vie, page après page, et prends soin de bien tourner celles du passé.
Tu ne pourras rien déchirer, rien effacer, car c'est grâce aux premiers chapitres que tu en es déjà au deuxième tome…
Tout ce que tu traverses aujourd'hui est bâti sur la façon dont tu as transformé les évènements révolus.
C'est toi qui écris l'histoire, c'est toi qui tiens la barre, personne d'autre n'est responsable de ta “littérature”, personne ne peut mieux que toi amener le navire à bon port.
(auteur inconnu)
Le conte du Colibri
Cela se passe dans la forêt amazonienne.
Dans cette forêt, l’on voit des arbres à perte de vue, mais en regardant un peu mieux, on aperçoit un arbre plus grand et plus haut que tous les autres.
Cet arbre, il a des branches qui disent : « Venez à moi, peuple des oiseaux !
Venez à moi, je vous accueille ».
Et tout ce petit monde piaille, joue, discute … vit en harmonie.
Mais un jour, arrive un grand malheur, l’arbre prend feu,
les oiseaux impuissants s’élèvent dans le ciel contemplant leur arbre partir en fumée.
A travers la fumée, ils distinguent un petit oiseau qui va à la rivière prendre une goutte d’eau dans son bec et la déposer sur l’arbre.
Il retourne à la rivière prendre une goutte d’eau dans son bec et la jette sur l’arbre
et retourne encore à la rivière inlassablement, prend une goutte d’eau dans son bec et la dépose sur l’arbre.
Et ce petit oiseau, c’est colibri.
Vous savez, ce petit oiseau multicolore avec un long bec pour sucer le nectar des fleurs.
« Mais colibri, que fais-tu ? Viens ! Cela ne sert à rien, viens rejoins-nous ! »
« Je fais ma part, je fais ma part, je fais ma part de travail pour éteindre le feu ! »
« Et vous aussi, vous aussi venez faire votre part, faire votre part ! Votre part de travail pour éteindre le feu. »
Les oiseaux se regardent, perplexes.
Et dans un même élan, ils s’élancent vers la rivière, prennent une goutte d’eau dans leur bec et la dépose sur l’arbre,
puis retournent à la rivière prendre une goutte d’eau dans leur bec et la jettent sur l’arbre et retournent encore à la rivière,
inlassablement prennent une goutte d’eau dans leur bec et la dépose sur l’arbre.
Et ces millions de gouttes d’eau forment une pluie si fine et si dense que le feu finit par s’éteindre.
Depuis ce jour, l’arbre reverdit, l’harmonie est revenue en son sein et chacun a gardé en mémoire qu’il doit faire sa part.
(auteur inconnu)
Partir...
Partir !
Aller n'importe où, vers le ciel ou vers la mer,
vers la montagne ou vers la plaine !
Partir !
Aller n'importe où, vers le travail, vers la beauté ou vers l'amour !
Mais que ce soit avec une âme pleine de rêves et de lumières,
avec une âme pleine de bonté, de force et de pardon !
S'habiller de courage et d'espoir,
et partir,
malgré les matins glacés, les midis de feu, les soirs sans étoiles.
Raccomoder, s'il le faut, nos coeurs
comme des voiles trouées, arrachées au mât des bateaux.
Mais partir !
Aller n'importe où
et malgré tout !
Mais accomplir une oeuvre !
Et que l'oeuvre choisie soit belle,
et qu'on y mette tout son coeur,
et qu'on lui donne toute sa vie.
Cécile Chabot
Vous êtes né avec un potentiel.
Vous êtes né pour la bonté et la confiance.
Vous êtes né avec des idéaux et des rêves.
Vous êtes né pour accomplir de grandes choses.
Vous êtes né avec des ailes.
Vous n'êtes pas fait pour ramper,
alors ne le faites pas.
Vous avez des ailes.
Apprenez à les utiliser et envolez-vous.
(Jalâl ud Dîn Rûmî)
Avec un peu d'imagination...
Viens dans mon nuage, laisse-moi t'emmener,
T'offrir en partage mes rêves cachés.
Je ne sais pas pourquoi ni comment,
Il m'arrive de voir la vie autrement.
Il suffit parfois de si peu
Pour que je m'envole vers d'autres lieux,
Pour que mon esprit vagabonde
Comme s'il voulait refaire le monde.
Si la terre était un tableau,
Je prendrais mes plus beaux pinceaux
Et les tremperais dans mon cœur
Pour y redonner des couleurs.
Je couvrirais le gris de la maladie
Par l'éclatant blanc de la vie
Et je remplacerais le noir
Par le vert, couleur de l'espoir.
Bien sûr, j'en laisserais un peu
Pour les nuits des amoureux.
Quant au rouge, j'en mettrais partout
Car les enfants l'aiment beaucoup.
J'en peindrais le nez des gens pour qu'ils soient moins sérieux
Et à tous, je mettrais de l'or au fond des yeux.
Évidemment, tout cela sort de mon imagination
Mais dans notre cœur, on a tous des pinceaux et des crayons
Pour colorer notre univers.
Il suffit de si peu pour le faire
Et d'ailleurs, si je t'ai fait l'imaginer,
C'est que j'y suis un peu arrivé.
(auteur inconnu)
Briller comme le Soleil
Laisse ton coeur te parler de ce que tu aimes,
de ce que tu désires…
Laisse ton coeur te parler d'amour, de tendresse.
Ton coeur te parle si bien.
Plein de richesses dans ton être encore à découvrir.
Ouvre-toi…
Continue de partager ce sourire, cet amour.
Cette vie que tu mènes, tu l'as choisie, elle est tienne.
Vis-toi.
Tu es riche, d'une richesse inouïe.
Tes trésors intérieurs sont multiples.
Découvre-les.
Découvre-toi.
Brille comme le soleil
(auteur inconnu)
Le pouvoir...
Tu as le pouvoir de rire et aussi de pleurer.
Tu as le pouvoir de dire le fond de ta pensée.
Tu as le pouvoir de changer ta propre destinée.
Mais tu n’as pas le pouvoir de revivre ton passé
ni celui de prévoir tout ce qui va t'arriver.
Avance pas à pas vers un monde
que tu choisiras avec tes rêves,
tes désirs et tes réalités,
en sachant que ton corps peut te limiter.
Mais n’oublie pas que plus tu avanceras,
plus tu t’éveilleras et plus tu grandiras.
Alors cesse d’avancer en regardant derrière toi
et fais rejaillir avec intensité toutes les qualités de ton Moi.
Accepte en toute honnêteté que tu es un être imparfait.
Auteur inconnu
Un jeune homme intervint : "Parlez-nous de l'Amitié"
Il répondit en ces termes :
Ton ami est la réponse à tes besoins.
Il est le champ que tu sèmes d'amour et récoltes en rendant grâces.
Il est ta table chargée de mets et ton âtre.
Car tu viens à lui affamé et le recherches pour la paix.
Quand ton ami te découvre son avis, tu ne redoutes pas de lui dire "Non", tu ne retiens pas ton "Oui".
Et quand il est silencieux, ton coeur ne cesse pas d'écouter le sien ;
Car sans mots, dans l'amitié, toutes paroles, tous désirs, toutes espérances naissent et se partagent, avec une joie spontanée.
Quand tu te sépares de ton ami, tu ne t'affliges pas ; Car ce que tu aimes le plus en lui pourra s'éclaircir en son absence, comme la montagne pour le grimpeur est plus nette depuis la plaine.
Et que l'amitié n'ait d'autre but qu'approfondissement de l'esprit.
Car l'amour qui ambitionne autre chose que la révélation de son mystère n'est pas amour mais un filet jeté, lequel n'attrape que l'inutile.
Qu'à ton ami tu donnes de ton meilleur.
S'il doit connaître le reflux de ta marée, qu'il connaisse aussi son raz.
Que serait ton ami si tu le cherchais pour tuer le temps ?
Cherche-le toujours pour le vivre.
Car il lui appartient de satisfaire ton besoin, pas ton vide.
Et qu'il y ait rire dans la douce amitié, et partage de plaisirs.
Car dans la rosée des détails, le coeur trouve son matin et la fraîcheur.
Khalil Gibran - Le prophète
Rappelle toi...
Que si un rien fait souffrir
un rien aussi fait plaisir...Que tu peux être semeur
d'optimisme, de courage, de confiance...
Que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres...
que tu peux, en tout temps, dire un mot aimable...
Que ton sourire non seulement t'enjolive,
mais qu'il embellit l'existence de ceux qui t'approchent...
Que tu as des mains pour donner
et un coeur pour pardonner...
Thomas Merton
Un homme qui avait la réputation d’être sage vivait en ermite sur une montagne et y méditait depuis de nombreuses années, loin de l’agitation et des vicissitudes du monde.
Il jour il reçut la visite d’un habitant du village voisin. Il n’avait pas plu dans la région depuis deux saisons entières et les récoltes avaient été maigres, la disette couvait. On commencerait bientôt à puiser dans les réserves de semailles. Et alors, que planterait-on la saison prochaine ?
L’homme exposa cette situation au sage et lui demanda conseil.
Le sage lui dit :
Mettez le grain qu’il vous reste en commun. Mangez-en la moitié pour survivre et semez le reste, mais seulement dans les champs les plus fertiles. Vous en prendrez soin en commun. Vous les arroserez avec l’eau du puits. Et vous partagerez la récolte.
Alors, l’homme s’exclama :
Ha ! voilà un sage.
Se penchant vers lui, le sage lui répondit :
Non, le sage c’est celui qui sait reconnaître la sagesse.
(auteur inconnu)